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CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH-CIVILISATION TRÈS AVANCÉE

UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH, TÉMOIN GÊNANT D'UNE CIVILISATION TRÈS AVANCÉE .



Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, lacs et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu'en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
L’HISTOIRE OUBLIÉE DES PYRAMIDES
Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’École de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les "maîtres des chasses royales", pêchaient et chassaient au boomerang. Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme « une infinie merveille ». Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du Labyrinthe, « les passages étaient déroutants et complexes », destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote, qui le citait avec une crainte révérentielle: « Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, était entourée d’une colonnade. Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d'animaux, dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. » Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine (op.cit. Gizeh anciennement Memphis, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152 du chapitre précédent).
Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Égypte présentée traditionnellement.
Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Égypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides. Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Égypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’École d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx: « Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée. Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ. »
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était « un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion ». Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que « Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer », mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers « la demeure secrète des Anunnakis » n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la « tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor », et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois « Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus ». Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle, fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide. Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani, et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une "étrange chose" bloquant l’entrée, côté fleuve. Il rapporte l’épisode suivant: « À l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant: " Ne me suivez pas et ne me cherchez pas ", avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé. »
Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit: « elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau ». Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre La Guerre des Étoiles. Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout « sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis ». Massoudy prétendait que « les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre ». C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes "dignes" aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua: « J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues ».
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de « l’organisation de salles souterraines » par les créateurs originels de Memphis. Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993. La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé Le Mystère du Sphinx, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre:
MYSTÉRIEUX TUNNEL DANS LE SPHYNX
  Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable: Qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile. Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans « une salle secrète au-dessous du sol » et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’École des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section Le Plan Principal à la fin du livre.)
En 1935, la connaissance des Écoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal. Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour. Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles. L’attention est attirée sur trois lieux secrets: un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le "Chemin d’Horus" à travers le nord Sinaï.
DE GROS TITRES D'ACTUALITÉS
Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Égyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Égypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique. Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi. Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait: « Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Égyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. À partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales. »
À peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des Hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle. Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux, une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années.
Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des Hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée. Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. À peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren, on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2, conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de "Tombeau de Campbell" sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et « ce complexe », dit le Dr Selim Hassan, « se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres ». Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut.
La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc. Elle fut appelée "Tombeau d’Osiris" et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant « ouverte pour la première fois ». Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara: Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds… » Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif. Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme « un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep ». Aujourd’hui, personne ne sait où se trouve cette statue.
L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa "Chapelle de l’Offrande", creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide. Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence. On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh. Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu). La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais « sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception », fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide). Au centre de la salle, se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues. Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis, se souvint qu’il fut « profondément impressionné » par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais, selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Égypte.
Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.
Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux. Les archéologues responsables de la découverte furent « déroutés » par ce qu’ils avaient sorti de terre, une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments, y compris un palais. Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes. L’intrigante question qui en découle est: Où est aujourd’hui cette cité ?
Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques, et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large. La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Église Copte du vieux Caire. D’après les récits d’habitants "vivant sous Terre", relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal. On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé.
Un objet sphérique en cristal à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande. Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse.
Des recherches historiques du 20ème siècle relatent de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.
En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes. Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.
Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.
DÉMENTIS OFFICIELS
Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Égypte, qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh, atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance. Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterraines de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Écoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes. Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972: « Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Égypte et d’Orient. Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Égypte. Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx. »
Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle, mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées. L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public. Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.
LAMPES PERPÉTUELLES
En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié. Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre: à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis par des restes de fumée.
D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible de d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux "Constructeurs de Lumière", et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.
Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, contant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh. Ils décrivirent leur expérience: « Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage… les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brille de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non. Nous brisâmes l’un d’entre eux, qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes. » (du mercure ?)
Au fil du temps, les tubes lumineux commencèrent progressivement à s’éteindre, et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau. Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.
Une pratique courante des Égyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à "l’autre rive". Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique), on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.
Plus tard les Grecs et les Romains maintinrent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans. Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.
La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments. Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables. De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173. Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.
On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient "laine de salamandre". Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï. Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui « une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix ».
Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses. Il existe en Égypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole, et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes. D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés. Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs.
Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles, non seulement en Égypte mais aussi en d’autres parties du monde. Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. « Une statue en armure (un robot?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle ». Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. À cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix. Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme. On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable.

Par Tony Bushby - 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia

Source: NEXUS N°33 juil - aout 2004
 

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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Ven 25 Juin 2010 - 15:35

UN MUR AUTOUR DU TERRAIN DES PYRAMIDES
En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d'une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport  de la situation.
En mars 2002, j'ai entendu pour la première fois parler qu'un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d'Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur.  Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu'au désert, il en a été empêché par des gardiens armés. On leur a interdit de faire d'autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu'est-ce qui se passait ici ?

Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail
Apparemment, tout d'abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d'une suite d'une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres, on a d'abord posé les fondations ?     Et pourquoi  les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ?  Est-ce que l'on voulait cacher le plus longtemps possible ce qui est réellement construit ici ?  La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d'une hauteur d'environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.         Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.

En avril 2002 j'avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n'en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l'estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d'environ 8 km2. De plus,  il relata que "l'installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n'est pas seulement l'intérêt des touristes qui est en jeu. Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs."  
Le financement de ce mur  viendrait des USA, il est question, entre autre, de „Stanford University“      
Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été "radiographié" par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation vraiment ? Où serait-on en train de faire des recherches à l'intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ?  Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?    
Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir, surtout par des chercheurs indépendants.

Armin Risi
Blick (mit den Pyramiden im Rücken) in Richtung Südosten: Im Vordergrund der quer verlaufende, etwa 4 m hohe Gitterzaun, am Wüstenrand entlang verlaufend die große Betonmauer, im Hintergrund Kairo.
Nahaufnahme des quer verlaufenden Gitterzaunes, dort wo er von der Betonmauer in Richtung Westen abgeht.
Der Gitterzaun, lückenlos in Richtung Westen gezogen. Die Pyramiden befinden sich einen knappen Kilometer nördlich davon.
Die Betonmauer mit den aufgesetzten Gittern vor dem arabischen Friedhof am oberen Ostrand des Geländes.
Die Betonmauer direkt am Fuß des Giseh-Plateaus mit der Cheops-Pyramide.
Die Straße auf der Stadtseite entlang der Mauer am Nordrand, wo sie vorerst von den Pyramiden wegführt. Man beachte die beiden Männer zu Pferd zum Größenverhältnis.
Blick vom Osten (von außerhalb des Geländes), vom Pferderücken aus fotografiert: Man bekommt einen Eindruck von der Distanz zu den Pyramiden, etwa 600 bis 800 Meter.
Blick von der Südseite des Zaunes in Richtung Osten: Hier wird die enorme Länge der Betonmauer ersichtlich.
Blick durch den Gitterzaun in Richtung Norden zu den Pyramiden in etwa einem Kilometer Entfernung.

Helmut Eicher

source: soleil http://conspiration.ca/archeo/mur_pyramide_gizah.htm
 

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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Lun 12 Juil 2010 - 16:44

Il se passe vraiment d'étranges choses, à Gizeh, en ce moment:
X-Squared Radio publishes authorized exclusive photos of GIZA Plateau shaft dug to a treasure chamber below. The photographer is known to the host, but chooses to remain anonymous for safety reasons. http://www.xsquaredradio.com - check http://www.gizamap.com/ - .... this fits with the statements of Edgar Cacey. That we would find the answers to creation under the Sphynx! The Hall of Records! Brooks AgnewPhD "This is under the RIGHT PAW of the Sphinx. This is about 100-150 feet away from the Sphinx. The depth is about 100 feet, if you count the excavation 4 stories to get to the opening. The first two times Bill Brown's GPR was sent down a hole, the equipment fried. He did capture an image of a chamber. The Egyptians are going for the ... See MoreHall." "A.R.E. is publishing disinformation about the dig. They are telling the public nothing is going on. Their source is lying to them. The Red Bull Event work is clearly NOT part of this dig. They are making millions of dollars in selling antiquities. If there is technology coming out of there, the amount could be hundreds of millions of dollars. The reputation of a nation (albeit young) at stake. " "The Egyptians didn't build GIZA. That much is well known now. "Share the youtube on your profile page. Most important these pics go viral. Get the truth out there!!!" "HURRY!! They may try to get this video off the web. Get this on your Profile page immediately. The truth must get out there."
May 06, 2010 — As mentioned in my blog entry on projectcamelotproductions.com of May 3rd There are mysterious comings and goings in the cover of night on the Giza Plateau. A film has been released that shows the removal of items from underground. The clear sound of heavy machinery. The person who shot it used a cell phone and gave the film to Bill Brown and his partner Richard Gabriel. This person's life is now in danger. They cut the film, to disguise the identity and location of the photographer. They cut the voices out, which would have revealed the photographer's identity.
The Giza Geomatrix members have been working out at the Giza plateau, originally as members of the Polish team from Warsaw University. Bill Brown has been to Egypt 30 times in the last 5 years. He has been working on digs around Egypt and is known to the head of the Egyptian Antiquities organization (SCA), Zahi Hawass. He has been filmed as part of a National Geographic special. They have been investigating the incident in September, where 6 people died in mysterious circumstances, were buried alive in an illegal dig.
'Their research has revealed secret burial grounds and the possible location of Khufu's tomb. They have used ground penetrating radar to locate this as well as numerous locations of treasures hidden underground. Their interest in coming forward and releasing the film is to reveal the subterfuge, and encourage openness in regard to the discoveries being made out at the Plateau and around Egypt.
But their purpose there is much more complex. I encourage everyone to go to their website, Gizamap.com and watch the presentation there, the intro and the one entitled Earth Protection. The information they are in the process of revealing may hold the key to preventing the pole shift and survival of humanity.
This audio interview is the first half of a two part series to reveal what they have discovered.
Kerry Lynn Cassidy Los Angeles, California
1 mai:
We are being sent information that under cover of darkness, items are being excavated and removed from the area beneath the Sphinx. This video has been shot under great duress, to reveal to the world what is going on there. According to the website of Richard Gabriel:
"...However we can say right now, a couple of days ago we captured the exact moment under a full moon where they are removing items from below ground in the area in front of the Sphinx Temples. and it is a part of an ongoing SCA approved excavation project which has been in operation for almost one year.
Items of Great Importance are being openly removed by the Egyptian Authorities in front of the village people as well as the world.. and in other areas like this one! No one has been able to do a thing about it up to now. In the latest hour one Egyptian source claimed there was nothing found; however,eyewitnesses disagree.
"
11 mai:

According to a tip from still another source, I got the following very hot info (paraphrased to conceal their identity):
"...A friend of an unamed military enlisted guy was being sent to Egypt because of a heat signature registered in the "top room" of the 'major pyramid" -- apparently, according to him, an area that no one had access to. The source went on to say that he found it interesting that the U.S. had surveillance on the internal structure of the pyramid but he was informed that he should not be surprised, the U.S. has bases everywhere. The most stunning thing is that this room not even the U.S. has access to and neither does anyone else and yet there was this heat signature...And mention of an "entity". This friend was deployed a few days ago with some special forces to Egypt. Apparently between roughly April 22-23 when that unknown entity appeared and today there has already been a full scale operation dispatched. That is, they are saying, very quick work for the military."
I remote viewed that "room" at the top of the pyramid after hearing this news and clearly saw a very tall being, dressed in gold, wearing a bird headdress and the name I got was Ibis. On consulting our friends at the Giza Geomatrix I was informed, that that is Thoth. Looks like there really is something going on at Giza beyond stealing antiquities and treasure.
Stay tuned for my 2nd interview with the Giza Geomatrix team. They are also investigating the shaft being dug near the paws of the Sphinx and the disinfo surrounding that activity...Click here to see the video of what may well turn out to be the excavation for the Hall of Records.

12 mai :
I received the following information from my source who calls himself "KM or Kid Maste"r. If true the implications are important:
This is an update of the GIZA info. I just met with my contact and we discussed recent events while i showed him the Giza Geomatrix website. He has corroborated that the information on said website is in fact similar to his intel. In fact, he joked about how similar it was to his training in the service. Anyway the basic story is that during the Apr 23rd incident when we had "anamolous" weather as was reported by weather.com that night when we were supposed to have had clear skies, someone may have entered the Chamber of the Sun and started some kind of charge. This was supposed to have tilted our axis a few miles off. I asked specifically how far, he didn't know but there should be a noticable difference in star maps etc. This would have been the second time the U.S government was reading a heat signature from the apex of the pyramid that is supposedly made of a material called STERN alloy. I have yet to find any information on it, but he told me it is not a metal of this planet.
What i do know is that the military doesnt know how the device works and does not want to damage the device or anyone else to damage the device. In face some excavaters recently dug into something of a sand trap while searching thru some of the ruins and they have decided they dont want anyone to continue digging unless they know they wont trigger some kind of trap.or intended diversion. But there is quite a lot of digging happening there now and there are 3 governments involved, one that he did not name the other 2, of course, US and Egypt.
Some other tidbits of info is that from what he was told, only 2 of the pyramids work and there is one of which is 72 stories in depth as it is an upside down pyramid that was built in spain. He says there are several unknowns as well...
KM

soleil http://projectcamelotproductions.com/blog/may2010.html
 

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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Jeu 5 Aoû 2010 - 5:57

La deuxième vidéo du post précédent a été supprimée et je n'ai pas réussi à la retrouver.
Elle montrait des traveaux d'excavations effectués en pleine nuit sur le site des pyramides de Gizeh, donc en secret; et pas de petites excavations, puisque ces travaux étaient effectués par des engins de type pelleteuses.
J'ai quand même laissé les commentaires associés à la vidéo supprimée car je les trouve très instructifs.
On peut voir, dans les vidéos suivantes, des images prises pendant ces travaux (probablement des extraits de la vidéo supprimée, voire son intégralité). Par contre, en ce qui concerne les commentaires, je ne vous garantis par leur fiabilité. Déjà, je ne comprends pas l'anglais, ensuite, les créateurs de "Project Camelot" donnent souvent la parole à des désinformateurs.
 

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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Jeu 5 Aoû 2010 - 5:59

Peinture trouvée dans la tombe de Ptahhotpe
 

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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Mer 1 Déc 2010 - 11:07

UN ARCHÉOLOGUE ÉGYPTIEN ADMET QUE LES PYRAMIDES CONTIENNENT DE LA TECHNOLOGIE EXTRATERRESTRE
Dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen a dit à un auditoire qu’il pourrait y avoir une théorie selon laquelle les extraterrestres ont aidé les anciens Égyptiens à construire les plus anciennes pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh.
Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI, le Dr Shaheen, est resté vague et a répondu « Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur ses déclarations concernant l’ovni ou les extraterrestre.

source: soleil http://www.neotrouve.com/?p=1023
 
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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Mer 1 Déc 2010 - 11:16

Une fois de plus, les vidéos sur les excavations nocturnes effectuées sur le site de Gizeh ont été censurées bah ! .
Je ne comprends pas que les internautes ne soient pas plus nombreux à sauvegarder de tels documents pour les diffuser un peu partout.
Bon, j'ai quand même réussi à retrouver des vidéos reprenant ce sujet:
April, 30. GIZA PLATEAU: Egyptian government's secret ops under the sphinx.
I came across with some threads in web forums, reporting a suspect nocturn activity being carried nearby the sphinx, in the Giza Plateau. Some links took me to the website of Richard Gabriel, an UK citizen who travels extensively to Egypt with his partner Judith, and have exposed several evidences of the underworld containing the knowledge of a forgotten race related to ancient extraterrestrial humanoids that raised the Mesopotamian civilizations. He has posted a sample of a video supposedly provided by eye witnesses, that recorded heavy loader machines transporting large coffins or vaults, from the chambers under the sphinx, lately discovered. Unfortunately I couldn't verify the authenticity of the video. I hope that Gabriel can eventually upload more parts of the full footage. Another researcher of ancient alien subject, James J. Hurtak, stated that the access to that area is restricted to "special individuals with special equipment who will engage in 'special' work that the public should not see." I've been gathering some material and posting this video, analyzing these events. If you live nearby the Giza area and have something to clarify that, please bring it on.
The film had to be edited to protect the life of the person who took it. His life has already been threatened and we are issuing this warning:
The film has full sound accompanyment and can be verified, and shows more detail in its original condition. Copies of the film + verifications + copies of our detailed files have been lodged in safe places and will all be dumped to the Press if a single hair is harmed on anyone who is of the company of Friends of the Giza Plateau and a part of our exposure process. We take the threats to the filmaker seriously and the threats we have received ourselves; but so too must the promise of exposure for the whole dirty story be taken seriously.
Our material is being fed as fast as it is being prepared for presentation and also at a rate which recognised the prudence necessary to 'play a game' of negotiation which is necessary in all these matters.
However we can say right now, a couple of days ago we captured the exact moment under a full moon where they are removing items from below ground in the area in front of the Sphinx Temples. and it is a part of an ongoing SCA approved excavation project which has been in operation for almost one year.
Items of Great Importance are being openly removed by the Egyptian Authorities in front of the village people as well as the world.. and in other areas like this one! No one has been able to do a thing about it up to now. In the latest hour one Egyptian source claimed there was nothing found; however,eyewitnesses disagree.
These activities are a breathtaking Arrogence!
The authorities CANNOT stop the truth being revealed. The public are bound to learn of the amazing finds beneath the Giza Plateau... even if it does also reveal the bare faced lies that have been told to cover the fact for so long.
www.richardgabriel.info www.gizamap.com
 

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MessageSujet: LES MYSTÈRES DU PLATEAU DE GIZEH   Sam 18 Déc 2010 - 21:23

LES MYSTÈRES DU PLATEAU DE GIZEH
Désormais, grâce aux éléments que nous avons soulignés dans les deux dossiers de cette ouvrage - et qui constituent le point final de notre voyage antédiluvien - le trépas et la disparition d'Enki-Ea, le maître de l'eau, ne font plus aucun doute.
Ses traces se retrouvent en Egypte, particulièrement à Gizeh et au coeur des tunnels et chambres souterraines de la Duat inférieure - transformés en lieu de culte et d'initiation à la gloire de sa contrepartie africaine communément dénommée Osiris. Comme nous l'avons vu dans ce livre, ce complexe souterrain très profond est extrêmement ancien. Il fut originellement creusé par les Kadistu (planificateurs) félidés dénommés Urmah, lesquels en avaient fait leur base principale avant la venue des Anunna sur la Terre.
L'existence de ce réseau n'est pas une nouveauté. Le complexe souterrain égyptien est depuis des années secrètement exploré par le Conseil Supérieur des Antiquités Egyptiennes (SCA), sans doute épaulé dans la plus grande discrétion par quelques officiels de l'armée.
Comme nous l'avons évoqué plus haut, la grande majorité des autochtones qui résident sur le plateau de Gizeh savent pertinemment que le site est truffé de galeries formant un réseau souterrain monumental.
En 2005, l'auteur Antoine Gigal s'est associé avec le magazine français Top Secret pour réaliser toute une série d'articles sur les mystères du plateau de Gizeh. Comme il l'explique lui-même dans son premier dossier (Top Secret n°19), il a, pendant de longs mois, occupé un appartement à Gizeh plusieurs années de suite. Antoine Gigal fréquente l'Egypte depuis le début des années 80. Sa passion pour ce lieu lui a permis de relever les nombreuses intrigues qui engendrent là-bas spéculations, mensonges éhontés, fausses pistes, et autre loi du silence...
Son enquête est remarquablement documentée et s'apparente à un véritable travail d'investigation et de compilation. Pour rendre hommage à sa performance, nous allons citer ici un certain nombre de faits importants relevés par ses soins qui sont en relation avec le réseau souterrain de Gizeh. Je remercie par la même occasion Antoine Gigal de m'avoir autorisé à mentionner quelques éléments de son travail.

Depuis 2002, nous assistons à l'édification d'un mur de béton d'une grande hauteur (atteignant parfois 7m30) qui encercle totalement le vaste site des pyramides de Gizeh. Les explications officielles quant à l'existence de cette construction sont que « Ce mur sert à protéger les touristes d'éventuelles attaques terroristes et sert à éviter les dégradations, les accidents et les vols ».
Cependant, comme le souligne Antoine Gigal, le but manifeste de ce mur est plutôt de fermer totalement l'accès au site et d'empêcher le visiteur de se promener librement à l'intérieur de celui-ci. Serait-ce, par exemple, pour éviter que les trouristes ne s'intéressent de trop près à ces extraordinaires puits d'aération - construits il y a des milliers d'années - cachés au sommet des dunes, qui s'enfoncent profondément dans le sous-sol du plateau ?
L'énormité du sujet est tellement difficile à cacher que certaines découvertes finissent par parvenir aux oreilles des médias. Dans un article paru dans le «Cairo Press Review», l'organe du bureau de presse Egyptien d'Afrique du Sud, daté du 13 mai 1999 et intitulé «Découverte de catacombes géantes à Giza», figure la preuve de la découverte de chambres souterraines et de tunnels sous des appartements situés au pied du plateau de Gizeh.
Toutefois, l'article tente d'expliquer que ces tunnels et chambres «géantes» sont forcément d'époque romaine, voire islamique, étant donné qu'on y a retrouvé des poteries de ces époques ! Comme le fait remarquer Antoine Gigal: « C'est fou ce que l'on trouve comme quantité d'objets récents dans des lieux anciens ces derniers temps ! Plusieurs couches d'objets de différentes époques peuvent se trouver sur un même site. Cela n'est pas compatible. C'est en tout cas une aubaine pour tous ceux qui auraient intérêt à fausser les datations ». Nous savons que ce procédé est utilisé dans le monde entier par certains archéologues afin de falsifier les dates de différents sites, monuments ou objets pour les faire entrer dans les schémas communément instaurés par l'opinion savante (voir introduction du volume 1 des "Chroniques").
Nous avons évoqué, à la fin du chapitre précédent, l'expédition réalisée par le prix Nobel de physique Luis Alvarez dans la deuxième pyramide du plateau de Gizeh. Cette expédition a nécessité des millions de dollars, des milliers d'hommes effectuant des milliers d'heures de travail sur plusieurs années. Douze agences américaines et égyptiennes ont pris part à ce seul projet, dont la Commission Atomique américaine et le fameux Smithsonian Institute de l'université égyptienne d'Aïn es Sham. Le but de cette expédition était de « rechercher l'existence de chambres inconnues à l'intérieur des pyramides par l'utilisation de techniques photographiques des rayons cosmiques ». Antoine Gigal se pose ainsi la question de savoir pourquoi c'est la pyramide de Chéphren qui fut choisie, et pas la Grande Pyramide, bien plus prestigieuse. Le collaborateur de Top Secret fait alors cette remarque très perspicace: « E n réalité, il faut savoir que la chambre dite de Belzoni, dans Chéphren, a une particularité que les deux autres chambres principales des deux autres pyramides n'ont pas: elle se trouve en effet pratiquement au ras du sol... C'est essentiel pour qui voudrait explorer discrètement ce qu'il y a SOUS la pyramide... D'autre part, Chéphren se trouve au centre de la zone stratégique de Gizeh, entre Mykérinos, le Sphinx et Chéops. Si l'on soupçonne une infrastructure souterraine d'importance sous le plateau de Gizeh, c'est l'endroit qui convient pour chercher... »
Alvarez collecta des centaines d'enregistrements (on parle de deux millions de données au minimum) sans pour autant faire de commentaires sur ses découvertes, affirmant simplement n'avoir rien trouvé - et son équipe déclarant trois jours plus tard avoir subi "un bug informatique»!...
Mais la «bombe» éclata le 26 juillet 1969 par l'intermédiare du Times Saturday Review, et par la suite rapidement relayée par la presse et de nombreux auteurs. Dans l'article, le journaliste raconte avoir fait le voyage au Caire en tant que correspondant de son journal pour voir les résultats. Il parle d'incroyables anomalies. Les enregistrements différaient totalement d'un jour à l'autre. Il cite le Dr Goneid, temporairement en charge du projet : « Les résultats défients toutes les lois connues de la physique !... C'est scientifiquement impossible... Il y a une force présente dans la pyramide qui défie toutes les lois de la science ! »... L'information embarrassa énormément l'équipe du prix Nobel qui répéta qu'il n'avait rien trouvé dans la pyramide. En 1979, Maurice Chatelain, célèbre chef de tous les systèmes de communication de la NASA déclara à ce sujet: « Un ordinateur moderne installé au Caire a fait les analyses et a débité des absurdités déformées. Les rayons cosmiques furent enregistrés correctement, mais de fortes interférences d'une source de radiation inconnue dans la pyramide ont couvert les rayons cosmiques avec une telle densité que toutes les lectures et interprétations furent rendues impossible... Ce fut un désastre scientifique ! ».
Comme le souligne Antoine Gigal, ce ne sera que douze ans après les faits que le professeur daignera déclarer, dans une lettre adressée à un journaliste ayant pris parti pour lui, que les résultats d'analyse obtenus attestaient bien de l'existence d'une chambre cachée à l'intérieur de la pyramide de Chéphren. Cependant, à en croire les calculs, cette chambre était si vaste que la pyramide aurait dû s'effondrer dessus. Les résultats étaient incompréhensibles. Or, qui dit incompréhensible, dit inadmissible pour la science !
Selim Hassan (1886-1961) fut un archéologue remarquable qui creusa infatiguablement le site de Gizeh entre 1929 et 1937. Il a écrit une étude en 10 volumes intitulée «Les résultats des excavations de Gizeh» et publia également 170 autres livres sur l'archéologie égyptienne. Dans un de ses volumes, Selim Hassan nous apprend qu'il découvrit une zone souterraine sous le Sphinx en 1930: « Il y a des sanctuaires à colonnes, des couloirs, des temples et des chambres de rituel ». Dans «Excavation à Gizeh», vol. 5, Selim Hassan nous dit: « À travers l'eau transparente, nous avons vu que cela finit par un hall à colonnes avec des chambres latérales... » Antoine Gigal conclut ainsi pertinemment que ce qu'Edgar Cayce avait prédit en 1933 à propos de l'existence de salles sous le Sphinx n'avait rien de prophétique - tous les indices de la présence d'une chambre secrète sous le Sphinx étant déjà connus et mentionnés par les textes de l'égyptologie dès 1930 ! Hassan tenta pendant 4 ans de pomper l'eau qui se trouvait dans les souterrains, mais sans succès. Un autre explorateur du nom d'Edward Armytage, qui venait de Nouvelle Guinée, semble également avoir découvet des chambres souterraines et même une ville secrète à Gizeh entre 1933 et 1935. Au 10ème siècle de notre ère, les plus grands chroniqueurs et historiens arabes mentionnent l'existence de portes donnant accès sous le Sphinx et à de nombreuses galeries. Thutmösis IV (18e dynastie, 1397-1387 av. J.C.) est connu pour avoir désensablé le Sphinx après que ce dernier lui eût demandé ce service dans un rêve. Le récit de cette aventure est gravé pour l'éternité sur une stèle de granit rose placée entre les pattes du Sphinx. En 1945, le prince Farouk, fils du roi Fouad d'Egypte, aurait raconté que, pour commémorer le geste de son ancêtre Thutmösis IV, il vint avec sa jeep jusqu'au pied du Sphinx « pour y pousser une énorme dalle, qui se trouva servir de porte ». Antoine Gigal nous révèle que selon le chercheur espagnol Nacho Ares («La verdad los tuneles de la esfinge, Ano Cero») et certains habitants du plateau, « il trouva une grande pièce gardée par une sorte d'automate ». Si tant est que cela fût vrai, il n'en révéla malheureusement pas davantage...
En 1987, l'université japonaise de Weseda obtint de l'incontournable responsable du site, Zahi Hawass, une licence pour travailler à Gizeh avec un radar qui permettait de pénétrer le sol. Ils trouvèrent, eux aussi, de surprenants résultats qu'ils eurent le mérite de révéler. Leurs résultats indiquèrent la présence d'une cavité souterraine de 2m50 sur 3 au sud du Sphinx, et celle d'un sillon se prolongeant très profondément sous le corps du Sphinx. Ils découvrirent également un second sillon au nord du Sphinx qui pourrait indiquer que les deux sillons étaient reliés par une importante connexion souterraine. Enfin, ils trouvèrent une cavité placée devant les pattes du Sphinx et située à 2 m de profondeur qui pourrait, selon les indications reçues, s'étendre très largement sous le monument. Antoine Gigal conclut qu'après autant de révélations et de découvertes évidentes quant à des cavités présentes sous et autour du Sphinx, l'archéologie égyptienne aurait dû connaître un renouveau. Ce fut peine perdue. Les travaux de l'équipe japonaise auraient dû être commentés et examinés - des recherches auraient dû être menées pour approfondir les relevés et confirmer ces découvertes. Au lieu de cela, le silence est retombé: personne n'en a jamais entendu parler. Nous allons maintenant clore notre étude sur un sujet très important, qui est celui du tombeau originel d'Osiris. À la suite du rituel Abgal de résurrection exécuté dans la Grande Pyramide, le corps d'Osiris fut placé au sein d'une crypte dans la Duat inférieure. Ce dernier fait apparait par exemple très clairement dans le texte funéraire de Shabaka (voir la note 117 du volume I des «Chroniques»). Plusieurs représentations funéraires figurent Osiris mort, allongé sous un double Sphinx généralement dénommé Aker, lui-même le plus souvent représenté en double Sphinx. Le rôle probablement protecteur et funéraire du Sphinx est d'ailleurs confirmé par le sumérien: AK-ER «celui qui dispose les lamentations et les prières».
Il faut savoir que les représentations les plus courantes du Sphinx sont justement composées de deux Sphinx. Antoine Gigal explique ceci par le fait qu'il a bien existé deux Sphinx par le passé. La stèle de l'inventaire conservée au Musée du Caire évoque un éclair qui aurait foudroyé la coiffe du deuxième Sphinx, entraînant ainsi sa destruction. En se référant à des fragments de papyrus du Moyen Empire, l'archéologue Michael Poe prétend que ce deuxième Sphinx faisait face à celui que nous connaissons aujourd'hui, sauf qu'il siégeait de l'autre côté du Nil et aurait été dégradé par une crue particulièrement violente du fleuve, survenue autour de l'an 1000 après J.C. Les villageois auraient alors prélevé ses pierres pour reconstruire leur village. Cette version est confirmée par d'autres écrits comme ceux du géographe et savant arabe Al-Idrîsî (1099-1166) dans ses encyclopédies géographiques. Ce géographe mentionne que le deuxième Sphinx « est plus petit que l'autre, qu'il est de l'autre côté du Nil, que son état est très mauvais et qu'il est composé de briques et de pierres » (Annales de Rabi II, vers 1024)...
Inutile, donc, de se demander pourquoi l'imagerie égyptienne fait état d'un double Sphinx dénommé Aker qui personnifie la «terre». Sans doute est-il à mettre en parallèle avec le double lion Ruty, «l'hier et l'aujourd'hui», ce dernier étant fréquemment représenté en même temps que l'éclatement de la colline primordiale d'où sort le nouveau soleil, c'est-à-dire Neb-Heru (le seigneur Horus), la réincarnation d'Osiris.
Le tombeau d'Osiris aménagé sous le plateau de Gizeh a fait couler pas mal d'encre à la fin des années 90. Zahi Hawas, le responsable du site de Gizeh, s'est ainsi payé le luxe de revendiquer la découverte de ce tombeau, retransmise en direct par la télévision américaine le 2 mars 1999. Ceci n'est malheureusement pas exact étant donné que Selim Hassan, dont il a été question plus haut, annonce avoir découvert ce même lieu entre 1933 et 1934, en passant par un souterrain situé sous la chaussée qui relie la pyramide de Chéphren au temple «de la vallée» près du Sphinx. Dans un de ses volumes d'«Excavation à Gizeh», Hassan prétend d'ailleurs que la chambre était remplie d'une eau claire qu'il esseya de pomper, en vain, pendant quatre ans. Il en déduisit qu'une source inconnue alimentait continuellement le site. Cette découverte fut relayée par l'Illustred London News du 6 avril 1935.
Cette source mystérieuse est sans doute en relation avec l'Urenes - le Nil souterrain dont parlent les textes funéraires égyptiens - qui mesurait près de 3 180 km selon le registre 2 de la 1ère heure du texte funéraire de l'Amduat.
Il faut bien avouer que la redécouverte du «tombeau d'Osiris» par Zahi Hawas en mars 1999, soit à quelques mois des festivités qui eurent lieu à Gizeh pour fêter en grande pompe le passage vers le troisième millénaire, était une aubaine pour le responsable du site de Gizeh ! S'agit-il de la véritable tombe ? Il est actuellement difficile de répondre à cette question dans la mesure où le site ne peut être visité par des inconnus: jusqu'à présent, seuls quelques rares privilégiés en ont eu l'occasion.
Antoine Gigal et le réalisateur de films documentaires Boris Saïd font partie de ces privilégiés. Ils ont ainsi, chacun de son côté, visité les lieux quelques années avant la redécouverte de la chambre souterraine par Zahi Hawas... À cette époque, B. Saïd et A. Gigal ont constaté sur place la présence de deux pilliers autour du sarcophage enfoui sous l'eau, alors qu'au cours de l'exploration de Zahi Hawas, il y en avait subitement quatre ! Nous avons vu plus haut que les textes funéraires égyptiens évoquent effectivement la présence de quatre pilliers autour de la tombe d'Osiris... En 1997, lors d'une de ses explorations de la chambre mystérieuse, Boris Saïd a ausculté le sous-sol au moyen d'un radar. Il a détecté sous le sarcophage une anomalie de 2 m 50 de large. L'anomalie en question s'incline en outre vers le bas selon un angle de 25 degrés en prenant la direction du Sphinx. C'est là une découverte importante car, comme le souligne Saïd, les anciens textes égyptiens mentionnent qu'on utilisait fréquemment des couvercles de sarcophages pour obturer l'entrée de tunnels secrets.
Bien entendu, il ne sera fait aucunement mention d'un tel tunnel lors de la redécouverte du site par Zahi Hawas en 1999 ! Faut-il en conclure qu'il y a manipulation ? À mon humble avis, tout porte à croire qu'il ne s'agirait pas de la véritable tombe - laquelle a sans doute déjà été découverte - mais d'une pâle copie, arrangée à partir d'une tombe probablement plus récente et destinée à faire diversion auprès du grand public...
La véritable tombe d'Osiris-Enki doit se trouver quelque part sous le Sphinx. Elle est sans doute, elle aussi, baignée par les eaux du Nil souterrain. L'eau est l'élément majeur d'Osiris-Enki. On trouve par conséquent de l'eau dans le temple d'Osiris à Abdju (Abydos) et il était également indispensable qu'elle soit présente dans les divers sanctuaires mésopotamiens d'Enki-Ea, qui abritaient ainsi des étendues d'eau ou des bassins qui se mêlaient aux pierres saintes.
Il a largement été démontré dans ce dossier qu'il existe de nombreux souterrains sous le Sphinx et sous les pyramides. Nous verrons ainsi dans le prochain volume des «Chroniques» que le véritable tombeau, placé sous le Sphinx, a servi à recueillir le cadavre de Sa'am (Enki-Osiris) après le rituel de résurrection dont il fut l'objet au coeur de la Grande Pyramide.
Ce tombeau fut ultérieurement le décor d'une scène tragique. C'est en effet là que le corps d'Osiris fut mis en pièce par ses adversaires, ce qui a eu pour résultat que les restes de la dépouille du «dieu» se sont ensuite trouvés dispersés dans divers sanctuaires des quatres coins de l'Egypte.
Anton Parks Extrait de "Adam Genesis"

source: soleil http://www.scribd.com/doc/34243130/Les-mysteres-du-plateau-de-Gizeh
 
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ashram du graal.jpg
invitée
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MessageSujet: Re: UNE CITÉ ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH   Jeu 17 Fév 2011 - 16:39

Les "anciens dieux", à l'origine de ces constructions, vont-ils revenir ? étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t426-nos-anciens-dieux-annunakis-vont-ils-revenir
 


10/02/2016
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