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Gary McKinnon, le hacker anglais recherche de preuves sur les OVNIs

Mystère des ovnis

LE HACKER ET LES OVNIS

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 Information Georges Filer via sa Lettre d’information du 4 Janvier 2014 - Trad. Française par Era

Gary McKinnon, le hacker anglais risque 70 ans de prison aus Etats Unis pour avoir fouillé les sites du Pentagone à la recherche de preuves sur les OVNIs, son extradition a été bloquée le 19 Novembre 2013 et il ne sera donc pas emprisonné au Royaume Uni.

McKinnon a déclaré qu’il a réussi a accéder au réseau Américain ’ Space Command où il a trouvé les preuves d’une mission Extraterrestre. “J’ai trouvé une liste de noms d’officiers" déclare-t-il, sous le titre "Officiers Non-TerrestresJe pense que cela signifie qui ne sont pas basés sur Terre. J’ai trouvé une liste de  "transferts flotte-à-flotte» et une liste de noms de vaisseaux. Je les ai regardés. Ce n’étaient pas les navires de la Marine Américaine. Ce que j’ai vu m’a fait croire qu’ils ont une sorte de vaisseau spatial, hors de la planète ".

Le pirate affirmé qu’il y avait des pirates du Danemark, de l’Italie, la Chine, l’Allemagne, la Turquie, la Thaïlande … tous les soirs pendant l’ensemble des cinq à sept ans où il a fait cela.

McKinnon dit que  la chose la plus étrange qu’il ait trouvé était une liste d’ «Officiers non-terrestres» et des transferts de la flotte entre les navires qui n’existent pas dans la marine américaine ". -

Le Premier ministre David Cameron a déclaré: «Je reconnais la gravité de cette affaire, et le vice-premier ministre et moi avons  effectivement soulevé la question avec le président Obama lors de sa visite.  Je pense que le point est que ce n’est pas tellement au sujet de l’infraction présumée, dont chacun sait que c’est une infraction très grave, et nous pouvons comprendre pourquoi les Américains ont un si fort ressenti à ce sujet.

Source :  area51

Le HACKER ET LES OVNIS

Gary McKinnon, le hacker anglais condamné à 70 ans de prison aux États-Unis pour avoir  recherché sur les sites du Pentagone   des preuves d’OVNI, dit que le plus étrange qu’il a trouvé était une liste d’ «officiers non-terrestres» et des transferts entre des navires de la flotte qui n’existent pas dans la marine américaine .

Lors des débats à la Chambre des Communes le 13 juillet 2011, David Burrowes (Enfield, Conservateur) demande,

« Puis-je soulever avec le premier ministre un cas différent de piratage, celui du pirate informatique Gary McKinnon?

Bien que je reconnaisse que le Secrétaire de l’Intérieur ait un processus juridique à suivre, est ce que le premier ministre partage mon souci pour mon cauchemar de neuf ans d’électeur ? Il ressent que sa vie est littéralement pendue à un fil qui attend d’être coupé par extradition.

Le Premier Ministre David Cameron répond , « Je reconnais combien ce cas est sérieux et le Député Premier Ministre et moi, l’avons réellement soulevé avec le  President Obama lors de sa venue. Je pense que le point est que ce n’est pas tellement au sujet de la présumée infraction, dont chacun sait que c’est une infraction très grave, et nous pouvons comprendre pourquoi les Américains le ressentent  si fortement. Le cas est maintenant devant mon amie la Ministre de l’Intérieur qui doit examiner les rapports sur la santé et le bien-être de  Gary McKinnon. Il est juste qu’elle le fasse d’une manière bonne et efficace  et je suis désolé d’utiliser encore aujourd’hui ce mot quasi-judiciaire.

Le hacker et les ovnis

Remarque

Si les données de M. McKinnon sont correctes, il valide l’hypothèse que la marine américaine pourrait bien opérer hors de la planète par l’intermédiaire d’une Technologie conçue par les extraterrestres. Ses données indiquent que la Marine et probablement l’Armée de l’air dirigent une flotte de vaisseaux spatiaux et que des officiers soit les équipent en personnel ou alors les contrôlent. Gary McKinnon déclare, « j’ai trouvé une liste de transferts de flotte à flotte, et une liste de noms de vaisseaux. Je les ai vérifiés. Ce n’étaient pas des vaisseaux de la Marine Américaine.Ce que j’ai vu m’a fait croire qu’ils ont une sorte de vaisseaux spatiaux, hors de la planète. Le projet de mission Clementine de la Marine américaine a cartographié la Lune entière.

Dans son interview à la  BBC, Gary a déclaré, « Le Disclosure Project » ( Projet Révélation) avait des personnes très crédibles disant tous qu’il y a une technologie ovni, il y a l’anti-gravité, il y a l’énergie libre, et c’est d’origine extraterrestre et ils ont capturé des vaisseaux et les ont conçu à l’inverse ».

Il dit, qu’il a enquêté sur la déclaration d’un expert photographe de la NASA selon laquelle au bâtiment 8 du Johnson Space Center, les images étaient régulièrement nettoyées des preuves d’ovnis, et confirmé ceci, en comparant les originaux bruts aux images « traitées ».

Il a déclaré avoir vu une image détaillée de « quelque chose pas fait de main d’homme et en forme de cigare flottant au dessus de l’hémisphère nord. McKinnon dit que l’ image faisait une taille approximative de 256 megabytes, les détails de l’appareil étaient encore très distincts en basse résolution et 4-bit couleur sur sa connexion simple par modem de 56k.

Source :    sploid

Via George Filer’s Files

Depuis area51

Interrogé par magazine « Le Guardian », cet homme de 39 ans explique qu'il a commencé sa carrière de pirate en cherchant les preuves de dissimulations autour du mystère des OVNIs. À l’aide de programmes spécifiques, Gary McKinnon a commencé par découvrir des comptes d'administrateurs sans mots de passe lui permettant de se connecter à distance sur des réseaux proches de ceux de la NASA.
Il explique sa démarche de la manière suivante : « Vous commencez par entrer sur des réseaux dit faciles comme les réseaux qui gèrent les services du support et de la logistique, ce qui vous permet ensuite de tester la relation de confiance entre ces réseaux et ceux des départements militaires. Reste ensuite à les exploiter… ».
McKinnon confie qu'il a ainsi pu accéder au réseau de l'US Space Command où il aurait trouvé les preuves d'une mission extraterrestre.
« J'ai trouvé une liste de gradés avec le titre de "Non Terrestrial Officers" ... Ce que j'ai interprété comme étant des gradés sur des bases non-terrestres. J'ai également trouvé une liste correspondant à des transferts entre flottes associée à une liste de noms de vaisseaux qui, après recherche, ne faisaient pas partie de la flotte US. J'en ai donc déduit qu'ils devaient être des vaisseaux spatiaux non listés ».
Cependant, le pirate en « herbe » confirme qu'il n’a plus aucun souvenir de la quantité de drogue qu'il fumait face à son écran lors de ses diverses intrusions (sic) … Il a d'autre part nié toute implication dans le « plantage » du système informatique de Washington en admettant qu'il avait bien effacé quelques fichiers par erreur en appuyant malencontreusement sur la mauvaise touche…"

 

VIDEOS SEULEMENT EN ANGLAIS !

Voici la vidéo d'une interview de Gary Mckinnon réalisée par la BBC. Qui est cet homme? Un Ecossais, passionné d'ovnis et d'informatique qui a réussi à  pénétrer le réseau de la NASA, accédant aux données stockées dans 97 ordinateurs. source : parano 

L'HISTOIRE

En juin 2005, le citoyen britannique Gary McKinnon est arrêté pour avoir commis « le plus grand piratage militaire informatique de tous les temps. » Passionné d’ufologie, ce hacker de génie a piraté les ordinateurs du Pentagone, de la Nasa, du Johnson Space Center et de la Navy. Aujourd’hui extradé vers les Etats-Unis, il risque jusqu’à 70 ans de prison et 1,75 millions de dollars d’amende. Né à Glasgow, en Écosse, en 1966, McKinnon a six ans lorsque ses parents se séparent. Il grandit à Londres auprès de sa mère et son beau- père, amateur d’ovnis. «Il était de Falkirk, et juste à côté de Falkirk, se trouve un lieu appelé Bonnybridge, capitale mondiale des ovnis. À l’époque où mon beau-père vivait là-bas, il avait rêvé qu’il se promenait aux alentours de Bonnybridge, et qu’il y voyait d’énormes vaisseaux, Il m’a raconté ce rêve qui a éveillé ma curiosité. C’était un grand amateur de science-fiction. Comme il était mon deuxième père, moi aussi je me suis mis à lire cette littérature, et à l’imiter dans tout ce qu’il faisait...»

À 15 ans, Gary s’inscrit à l’Association britannique de recherches sur les ovnis (BUFORA). Deux ans plus tard, il voit au cinéma War Games, thriller racontant comment un jeune passionné d’informatique se branche sur un ordinateur secret de l’armée américaine. «Je me suis demandé si c’était possible, et si ça pouvait être aussi simple », raconte-t-il.

C’est ainsi qu’en 1995, il démarre ses activités de hacker. Il cherche et trouve, à plusieurs reprises, des administrateurs de réseau haut placés au sein du gouvernement américain et dans les institutions militaires qui n’ont pas pris la peine de protéger leurs systèmes par un mot de passe. Ça commence comme ça. Il s’entraîne en pénétrant à l’intérieur du réseau de l’université d’Oxford, par exemple, et peu à peu, se prend au jeu.

Quand on lui demande s’il se considère brillant, il répond que non, qu’il n’est qu’un technicien informatique, autodidacte, plutôt ordinaire, Il ajoute même qu’il est loin d’être seul dans son cas: «Une fois que vous êtes sur le réseau, il vous suffit d’activer une commande appelée NetStat Statut de réseau (Network Status)  qui vous donne la liste des personnes connectées à cette machine. Il y avait des hackers du Danemark, d’Italie, d’Allemagne, de Turquie et de Thaïlande. »

Et les extraterrestres dans tout ça, existent-ils ? Selon McKinnon, aucun doute : «J’ai trouvé une liste de noms d’officiels sous la rubrique “Officiels non-terrestres”, explique-t-il. Cela ne veut pas dire qu’il s’agisse pour autant de “petits hommes verts”. En fait, je crois qu’on a affaire à des personnes “non basées sur Terre”. J’ai trouvé une liste de “transferts d’une flotte à l’autre”, ainsi qu’une liste de noms de vaisseaux. J’ai fait une recherche sur ces noms. Ils n’appartenaient pas à la marine américaine. Cela m’a plutôt fait penser à une sorte de vaisseau spatial, situé en dehors de notre planète. Il y avait aussi un groupe appelé The Disclosure Project [Projet Révélation]. Ses membres ont publié un livre dans lequel témoignent quatre cents experts aiguilleurs du ciel civils, opérateurs de radars militaires, personnes responsables de déclencher ou non le lancement de missiles nucléaires. Toutes ces personnes très crédibles et très fiables nous disent: “Oui, il y a bien une technologie propre aux ovnis, une anti-gravité, l’énergie libre existe, tout cela est d’origine extraterrestre, et nous avons capturé certains de leurs appareils à partir desquels nous avons fait du génie inverse. “

Un scientifique de la NASA aurait rapporté l’existence, dans le bâtiment 8 du Centre spatial Johnson, de services chargés d’effacer les images d’ovnis, par retouche, sur les clichés haute résolution pris par satellite. D’où, sur certains dossiers, la mention « filtrés », ou « non filtrés », « traités » ou «vierges »... «Un jour, raconte Gary, j’ai sorti une photo d’un dossier, et, comme je me servais d’une connexion Internet de 56 k, donc très lente, j’ai baissé le niveau de couleurs de l’image à quatre teintes, à l’aide d’un programme de contrôle à distance; j’ai aussi baissé le niveau de résolution au maximum, et malgré ça, l’image tremblotait à l’écran. Mais ce que j’ai vu à ce moment-là a récompensé tous mes efforts: c’était l’image d’un objet qui n’avait clairement pas été fabriqué par main d’homme, Il était situé au-dessus de l’hémisphère terrestre, Il ressemblait un peu à un satellite, mais semblait n’avoir été fabriqué par aucun moyen connu: il n’y avait aucun rivet, aucune soudure. C’était comme un continuum de matière sans la moindre faille. Il était en forme de cigare et des dômes géodésiques l’entouraient, au-dessus, en dessous, à gauche, à droite et aux deux extrémités, et bien que ce ne soit qu’une image basse résolution, la photo avait été prise d’assez près. Au-dessus de la Terre, l’objet paraissait suspendu.»

Après les événements du 11 septembre 2001, Gary McKinnon s’intéresse à la thèse du complot: « Pourquoi l’édifice s’est-il effondré comme s’il y avait eu une série d’explosions contrôlées ? j’ai horreur des théories conspirationnistes, j’ai donc décidé de trouver la réponse par moi-même.» Par souris interposée, bien sûr. Mais le vent tourne pour Gary le hacker. Un jour, par mégarde, il appuie sur le mauvais bouton. Résultat : des fichiers gouvernementaux effacés et une mise en accusation du ministère de la justice. «Je commençais à être un peu brouillon, reconnaît Gary McKinnon, et chose que je n’aurais jamais crue, j’ai fini par devenir mégalo... j’ai commencé à parler aux personnes que je piratais, à leur écrire par messagerie des petites diatribes politiques... » Acte manqué fatal, McKinnon utilise sa propre adresse email pour télécharger un programme administratif d’accès à distance...
"


En tout cas, le gouvernement américain ne plaisante pas avec sa sécurité et le pirate est menacé de 60 ans de prison ferme. Et pas dans n'importe quelle prison : à Guantanamo. Quoi, vous ne connaissez pas ce havre de paix ?  …

Mais c'est étrange me direz-vous, qu'une personne ne soit pas jugée sur son propre territoire! Et bien, il va être jugé sur son territoire, mais pour "extradition", à la demande des autorités américaines. Aux dernières nouvelles, le gouvernement britannique a lâché l'un de ses enfants aux chiens puisqu'il a accepté l'extradition. Mckinnon est actuellement en procédure d'appel.

Sachez tout de même que les autorités américaines ont proposé un marché plus que douteux à ce pirate : une peine de prison réduite lui serait assurée s'il renonce à faire appel. Ce que son avocat dénonce comme étant une approche illégale. Mckinnon a refusé bien entendu ("chouette! seulement 30 ans de prison!") Je trouve ce marché douteux. On sait que les compagnies informatiques récupèrent souvent les hackers pour en faire leurs employés, ce n'est pas nouveau. Le gouvernement américain voudrait-il récupérer l'astucieux Mckinnon? Il serait tout de même plus utile que dans un cachot. Alors, dans ce cas, pourquoi ne pas arrêter les démarches d'extradition et ne pas le faire venir en toute légalité? De plus Mckinnon l'avoue lui-même au journaliste, il n'est pas un cerveau, il est juste persévérant. Et d'ailleurs, il a découvert sur le réseau une flopée de de hackers de tous pays entrain d'accéder aux mêmes informations que lui. Alors, le gouvernement a-t'il vraiment besoin d'un homme ordinaire? Gary Mckinnon est-il modeste ou possède-t'il des compétences particulières?

D'ailleurs, pourquoi les autres hackers (de Thaïlande, de Hollande...) qui ont aussi accédé aux ordinateurs de la NASA, n'ont-ils pas été embêtés?
Je vous le donne en mille : Mckinnon est devenu mégalo (sic) et a commencé à vouloir se faire connaître de ses "victimes". Il a commencé à leur envoyer des petits messages, puis a fait un téléchargement fatal d'accès à distance (permet de contrôler un ordinateur à distance de son propre poste)via sa boîte mail. Un idiot mégalo?

Son dernier recours sera la Cour Internationale des droits de l'Homme. Qui sait si la destinée de Mckinnon?

Finira-t'il ses jours en prison ou dans les locaux de la NASA ?

(source : parano-sans-frontiere)  

 

 

Gary McKinnon

Le Hacker contre la dissimulation - extraits (source : ovnis-usa)

Le pirate informatique anglais Gary McKinnon, accusé d’avoir fouillé dans 97 serveurs du Gouvernement Américain entre 2001 et 2002 avait été arrêté en 2002 par l’unité nationale contre le crime de haute-technologie du Royaume-Uni. 

Il a ensuite été poursuivi pour effraction dans les réseaux informatiques de la NASA et de l’armée américaine. Il a reconnu avoir passé deux ans à rechercher des preuves photographiques d’un vaisseau spatial alien et des technologies avancées dans le domaine de l’énergie. 

L’Amérique a obtenu qu'il soit extradé, et il pourrait être condamné à 60 ou 70 ans de prison et une forte amende. Il lui est interdit d’utiliser l’Internet. 

Gary McKinnon a fait appel devant la Cour européenne des Droits de l'Homme.

Gary McKinnon

Gary s’est confié à Spencer Kelly, présentateur de « Clic » sur la BBC, pour raconter son histoire, avant son audition d’extradition le mercredi 10 mai.

Spencer Kelly : Vous êtes accusé d’avoir pénétré les réseaux de l’armée, la Marine, l’Armée de l’Air, le département de la Défense, et la NASA, entre autres choses. Pourquoi ?
Gary McKinnon : J’étais à la recherche d’éléments d’une technologie qu’on laisse au placard, désignée par moquerie sous le nom de technologie Ovni. Je pense que c’est le secret le mieux gardé au monde en raison de sa charge de dérision, mais c’est une chose très importante. Les retraités ne peuvent pas payer leurs factures de carburant, des pays sont envahis pour que des nations occidentales s’attribuent des contrats pétroliers, et pendant ce temps des membres du gouvernement secret dissimulent des technologies concernant l’énergie libre.
SK : Comment avez-vous procédé pour trouver ce que vous recherchiez dans les ordinateurs de la NASA, ou du Département de la Défense ?
GM : Contrairement à ce que la presse aimerait vous faire croire, ce n’était pas si difficile. J’ai recherché des mots de passe en blanc, j’ai écrit un tout petit script en langage Perl qui reliait d’autres programmes de recherche de mots de passe en blanc, ainsi vous pouvez interroger 65.000 machines en moins de huit minutes.
SK : Vous dites avoir ouvert des ordinateurs ayant un statut supposé de haute protection, correspondant à un haut niveau de responsabilités, sur lesquels personne n’avait institué de mot de passe ? Qui n’avaient que le mot de passe par défaut ?
GM : Oui, c’est bien ça. Un rapport officiel américain a encore récemment publié un rapport dénonçant le très très bas niveau de sécurité fédérale.
SK : Pendant combien de temps avez-vous fouillé ? Une semaine ?
GM : Non, pendant deux ans.
SK : Et vous êtes passés inaperçu pendant cette période ?
GM : Oui. Je faisais attention aux heures. Je jonglais avec les fuseaux horaires. La nuit il n’y a pas beaucoup de gens devant les machines. Mais une fois un ingénieur-réseau m’a vu et nous avons dialogué sur WordPad, ce qui était très, très étrange. Il a demandé : « Qu’est-ce que vous faites ici ? » ce qui m’a surpris. J’ai répondu que je faisais partie de la Sécurité Militaire informatique, et ça l’a totalement convaincu.
SK : Avez-vous trouvé ce que vous recherchiez ?
GM : J’ai observé un genre de vaisseau ou de satellite, mais construit par des moyens que je n’avais jamais vus auparavant. Il n’y avait pas de rivet, pas de soudure, ça avait l’air construit d’une seule pièce.
SK : Qu’avez-vous trouvé à la NASA ?

GM : Une des personnes était un expert photographique de la NASA, [Donna Hare] et elle avait dit que dans le bâtiment 8 du Centre Spatial Johnson ils passent leur temps à retoucher les images satellite à haute résolution pour effacer les ovnis : ils ont des dossiers nommés "filtrées" et "non-filtrées", "à traiter" et "brutes". 

Donna Hare interview

J’ai sorti une image d’un de ces dossiers, mais je ne disposais que d’une connexion téléphonique très lente, à 56K, et, en utilisant une commande à distance j’ai dégradé l’information de couleurs à 4bit avec une résolution d’écran vraiment très basse, mais l’image s’affichait toujours par saccades. Et ce qui est apparu sur mon écran était étonnant. Tous mes efforts étaient enfin récompensés.C’était une image de quelque chose qui n’était certainement pas synthétique. Ca se trouvait au-dessus de l’hémisphère terrestre. Un genre de satellite. En forme de cigare avec des dômes géodésiques au-dessus, en-dessous, vers la gauche, la droite et à ses extrêmités, et bien que ce soit une image de basse résolution ça apparaissait bien défini. Cette chose flottait dans l’espace, avec l’hémisphère terrestre bien visible en-dessous, et sans rivets, ni soudures, rien qui ait l’aspect de nos constructions habituelles.

SK : Est-il possible que ce soit une représentation artistique ?
GM : Je ne sais pas. Pour moi, c’était plus qu’une coïncidence. Cette femme avait dit : "C’est ce qu’on peut voir, dans ce bâtiment, dans ce Centre Spatial". J’ai pénétré dans ce bâtiment, et c’est exactement ce que j’ai vu.
SK : Avez-vous une copie de ce document ? Elle a été capturée sur votre machine…
GM : Non, la visionneuse à distance affiche image par image. C’est une application Java, donc on ne peut rien sauver sur son disque dur, ou du moins seulement une image à la fois.
SK : Ainsi vous avez obtenu au moins une image ?
GM : Non.
SK : Que s’est-il produit ?
GM : Quand j’ai été coupé, l’image a juste disparu. J’ai été coupé pendant que je téléchargeais l’image.
SK : Quelle serait la punition appropriée pour quelqu’un comme vous ?
GM : Premièrement, en raison de ce que je recherchais, je pense que j’étais moralement correct. Bien que je le regrette maintenant, je pense que la technologie d’énergie libre devrait être publiquement divulguée. Je veux être jugé dans mon propre pays, pour intrusion informatique, et je veux que les Américains fournissent la preuve avant de m’extrader, parce que je sais il n’y a aucune preuve d’un quelconque dommage.
La NASA a déclaré à « Clic » qu’elle n’entendait pas discuter des questions de sécurité informatique ou des problèmes légaux. Elle a nié avoir jamais trafiqué des images dans le but de tromper et déclaré qu’elle avait une politique d’ouverture et de totale divulgation, ajoutant ne détenir aucune preuve directe de la vie extraterrestre.

Source & interview video.

Image : Kerry Cassidy & Gary McKinnon :

16 Août 2008

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a accordé un sursis à l'anglais Gary McKinnon, agé de 39 ans, empêchant provisoirement son extradition vers les Etats-Unis pour y être jugé. La peine encourue est d'une soixantaine d'années d'emprisonnement. 

Il est accusé d'avoir fouillé dans 97 serveurs du Gouvernement Américain entre 2001 et 2002 pour y chercher des preuves de la présence aliène. 

Son appel devrait être examiné de nouveau à Strasbourg le 28 Août prochain. En cas d'échec, il pourrait être aussitôt remis aux autorités américaines.

Quelques observateurs se demandent cependant ce qui se passerait si le gouvernement obtenait finalement qu'il soit jugé aux Etats-Unis. Les activistes en faveur de la Divulgation trouveraient certainement, en marge du procès, un nouveau moyen de relancer la question de fond dans les medias américains.

Vendredi 16 Janvier 2009

Le pirate informatique Gary McKinnon a décidé de plaider coupable, selon la législation britannique. Il joue sa dernière carte pour éviter l'extradtion aux Etats-Unis, où il risque une peine de 70 ans d'emprisonnement.

McKinnon est accusé de s'être introduit dans 53 ordinateurs de l'Armée américaine, et 26 de l'US Navy, dont ceux d'un arsenal, dans le New Jersey, qui est chargé de fournir en munitions la flotte atlantique. Il avait également fouillé dans 16 ordinateurs de la NASA, un du Ministère de la Défense, et un autre de l'US Air Force. 

Le Times rappelle qu'il s'était fait prendre en 2002, "alors qu'il était connecté sur un ordinateur du Johnson Space Centre de Houston, au Texas, en essayant de télécharger une photo assez imprécise, en noir et blanc. Il pensait qu'elle montrait un vaisseau alien."

Les ufologues aimeraient bien voir cette image, qui est au centre de l'accusation, pour en juger par eux-mêmes. Les autorités n'avaient pas eu de difficultés à le localiser parce qu'il utilisait son adresse email personnelle... Le procureur britannique fera connaître sa réponse le 20 janvier. Entre-temps, la justice américaine a laissé entendre que sa condamnation pourrait être ramenée à quelques mois.

Gary McKinnon continue d'affirmer qu'il n'a causé aucun dommage à ces matériels informatiques.

Dimanche 25 Janvier 2009

Gary McKinnon pourrait éviter l'extradition vers les Etats-Unis. La Haute Cour de Londres a finalement décidé vendredi que son sort serait maintenant entre les mains deKeir Starmer, procureur général et directeur des affaires publiques.Ca permettrait d'éviter à la NASA de devoir exposer les faiblesses de ses systèmes de sécurité à l'époque, et de présenter comme preuves les images que Gary avait cherché à télécharger.

Au fond, il n'est pas certain que la nouvelle administration américaine tienne à s'embarrasser de cette affaire, et le fait qu'il puisse être jugé en Grande-Bretagne pourrait arranger tout le monde.

Vendredi 31 Juillet 2009

Il avait été interpellé en 2002. La Cour européenne des droits de l'homme a jugé l'an dernier que son extradition était compatible avec sa maladie d'Asperger. Aujourd'hui la dernière procédure d'appel a été rejetée par la Haute Cour de justice, la plus haute instance judiciaire de Grande-Bretagne.

Mercredi 28 octobre 2009

Le hacker anglais Gary McKinnon, agé de 43 ans, avait été interpellé en 2002 à la demande du gouvernement américain. Il risque toujours une peine de 60 à 70 ans dans une prison de haute sécurité s'il est extradé vers les Etats-Unis. Ses avocats avaient entre-temps réussi à démontrer qu'il souffrait du syndrome d'Asperger, une forme d'autisme. Cependant, début octobre, la Cour suprême du Royaume-Uni rejettait son appel. 

Alan Johnson, ministre de l'intérieur britannique, vient de décider de suspendre la procédure d'extradition, afin "d'examiner très attentivement de nouveaux éléments de nature médicale présentés par ses avocats."Gary McKinnon

Il a "stoppé le compte à rebours" pour laisser le temps à la défense de former un recours auprès de la Cour européenne des droits de l'homme, qui siège à Strasbourg. Alan Johnson a justifié cette mesure en annonçant : "Nous devons veiller à ce que l'Article 3 de la Convention européenne des Droits de l'homme soit respecté."

Gary McKinnon est accusé d'avoir pénétré dans 97 ordinateurs de la NASA et de l'armée américaine. Il a reconnu que c'était pour y rechercher des preuves de contacts avec les extraterrestres.

Il aurait découvert que les Etats-Unis ont bénéficié de technologies exotiques, comme l'antigravité, et entretiennent une flotte secrète en orbite.

L'affaire était devenue un enjeu politique depuis plusieurs mois en Grande-Bretagne. Les partisans de Gary McKinnon mettent en cause les accords d'extradition qui seraient trop favorables aux Etats-Unis. - Source

Que sait Gary McKinnon ? - 22 avril 2010

"Alors que Gary McKinnon affirme qu'il désirait mettre fin au secret sur les ovnis et ainsi libérer la technologie de l'énergie libre, les procureurs américains crient au plus grand hack militaire jamais commis. Il est vrai que Gary s'était introduit dans les systèmes de l'armée, de la NASA, de la Navy, du ministère de la défense et de l'Air Force. Nous savons qu'il se bat pour éviter une extradition vers les Etats-Unis, mais savons-nous ce qu'il a découvert exactement?

Dans chacun de ses entretiens, Gary McKinnon mentionne deux trouvailles liées aux Ovnis. Au quotidien The Guardian, il confie avoir trouvé quelque chose de si important qu'il essaie de marchander avec le gouvernement. Lors de sa première arrestation, on lui propose une négociation : une peine de 3 ou 4 ans. Il refuse dans l'espoir de raccourcir la durée de la peine en menacant de publier ses découvertes. Hélas pour lui, le gouvernement US ne se laisse pas impressionner, Gary fait face à une peine de 70 années d'emprisonnement dans un lieu qui ne lui apportera pas le thé et les petits gateaux à l'heure habituelle. 

L'initiative Disclosure Project du Dr.Steven Greer avait inspiré Gary. La réunion de personnes crédibles et leurs témoignages devant le Club de la Presse à Washington, avait permis au public d'apprendre que ces témoins confirmaient l'existence de visiteurs extraterrestres. L'un d'eux avait déclaré que les photos de l'espace étaient retouchées sur le site du Johnson Space Center, on y supprimait les ovnis. McKinnon parvient à s'introduire dans les systèmes du Space Center, il dit "avoir trouvé la photo en haute définition d'un objet en forme de cigare au dessus de l'hémisphère nord." Sous le choc, il ne pense pas à la télécharger, le fichier étant très lourd, il en vient à perdre sa connection ainsi que l'image.

Gary McKinnon

Mais ce qu'il découvre en s'introduisant dans le système de l' US Space Command le surprend plus encore. Il affirme avoir trouvé une liste de noms d'agents non-terrestres.

Il pensera plus tard et à tord que cette information lui servira d'atout et lui permettra de négocier avec le gouvernement US. Il ne croit pas que ces agents non-terrestres soient des aliens mais pense que c'est une preuve que l'armée américaine dispose d'un bataillon secret dans l'espace. Les listes mentionnent des transferts de vaisseau à vaisseau mais McKinnon ajoute qu'il fumait de l'herbe à l'époque lorsqu'il piratait, si bien qu'il ne se souvient pas du nom des vaisseaux.
Des rumeurs circulent selon lesquelles il aurait mentionné les noms de deux vaisseaux, aperçus sur les journaux de transfert. Les noms étant : Le USSS LeMay et le USSS Hillenkoetter. Habituellement les vaisseaux de la Navy ne comprennent que deux "S" pour signifier "United States Ship", cependant nous avons trois "S", ce qui signifierait "United States Space Ships".

US Space Command

Les noms choisis sont également significatifs. Le General Curtis LeMay était un ami du Major Général de l'Air Force à la retraite, Barry Goldwater, également ancien sénateur de l'Arizona.

Celui-ci croyait à une couverture sur les ovnis organisée au coeur du gouvernement et soupçonnait son ami Le May d'être au courant.Des rumeurs circulaient selon lesquelles des preuves d'ovnis étaient entreposées dans une chambre secrète sur la base Air Force de Wright-Patterson, chambre nommée chambre bleue. Goldwater avait dit plusieurs fois aux médias que lorsqu'il posait la question à son ami, ce dernier, agacé, répondait : " Non seulement tu n'y entreras certainement pas, mais ne m'en parle plus jamais."

L'homonyme du second vaisseau, l'Amiral Roscoe Hillenkoetter fut le premier directeur de la CIA. Il était aussi membre d'une organisation de recherches ufologiques, le NICAP (Comité National d'Investigations des Phénomènes Aériens).

En 1960, le New York Times publie qu'Hillenkoetter a envoyé une lettre au Congrès qui cite cette déclaration : "En coulisses de hauts gradés de l'Air Force sont concernés au sujet des ovnis. Mais à cause du secret officiel et du ridicule, de nombreux citoyens sont conduits à penser que les objets volants non identifiés sont une absurdité."

Hillenkoetter se battait pour la fin du secret mais il cessa éventuellement d'en parler. De soi-disant documents secrets parvenus aux chercheurs ufologues font état de l'appartenance de Hillenkoetter au célèbre Majestic 12 créé par le président Truman pour gérer la question des ovnis.
Toutefois nous devons tenir compte que le fait que Gary McKinnon ait mentionné ces deux noms de vaisseaux reste une rumeur à ce jour puisque la source n'est pas identifiée lors de la publication dans le quotidien britanniqueThe Guardian.

Il se peut que tout ce qu'avait Gary n'étaient que la photo de l'ovni et les journaux de bord, malheureusement pour lui bien insuffisants pour inciter le gouvernement à adoucir la peine. Les évènements prouvent le contraire, Mckinnon se bat depuis des années pour éviter l'extradition, les cours d'appel sollicitées écartant sa demande.

Mr.Hillenkoetter

Le gouvernement américain est plutôt sévère à son égard en prétendant qu'il a provoqué le disfonctionnement des ordinateurs militaires et de ce fait a rendu les Etats-Unis particulièrement vulnérable après le 11 septembre. McKinnon nie ces allégations et affirme qu'il y avait de nombreux hackers, de tous pays, ayant accès à ces mêmes réseaux en même temps que lui.
De nombreuses personnes le considèrent comme un bouc émissaire. Chercher la vérité sur les ovnis est difficile, garder un tel secret peut être considéré illégal mais prendre des mesures illégales pour y parvenir n'est pas de bon conseil, Gary McKinnon l'apprend à ses dépens. Source

Diouf, pour Ovnis-USA 

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11/12/2015
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