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LES SERPENTS ET LES DRAGONS VOLANTS

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LES SERPENTS ET LES DRAGONS VOLANTS

Par R.A. Boulay ©1990

Cette version électronique de « LES SERPENTS ET LES DRAGONS VOLANTS » de R.A. Boulay fut initialement une publication privée de "Galaxy Books" de Clearwater, Floride, en 1990. La première édition n’est plus disponible maintenant, et cette version électronique n’est d’aucune manière une tentative d’enfreindre sur les droits d’auteur de M Boulay; la présente est tout simplement une tentative de conserver cette première version importante pour la postérité, et elle est accompagnée de mes commentaires personnels. Un nouvelle édition révisée et plus détaillée de FLYING SERPENTS AND DRAGONS (en Anglais) fut republiée sous forme de livre vers la fin de 1997 et est disponible à l’adresse suivante : THE BOOK TREE, P.O. Box 724, Escondido, California, 92033 (Tél.+800-700-8733). Voici l’adresse de leur site sur l’Internet:

http://www.thebooktree.com/default.htm

Polo Delsalles de Montréal, Québec, prépara la superbe traduction française de ce travail passionnant, et sa traduction n’est que disponible à ce site Internet.

Roberto Solàrion

Dallas, Texas,

Le 1er février, 2001


Prologue

Pourquoi les anciens Dieux étaient-ils si timides ?

La littérature et la mythologie des anciennes cultures sont remplies avec des comptes de dragons, de serpents volants et autres lézards ailés. Qui étaient ces créatures volantes crachant le feu qui paraît avoir coexisté avec l’homme, quelquefois comme son bienfaiteur mais plus souvent comme son bourreau ?

Elles étaient peut-être seulement que des créatures fabuleuses, le produit de l’imagination fertile de l’homme. D’un autre côté, il est possible qu’elles fussent la manifestation de quelque chose d’autre d’événements si traumatisants et profondément enracinés dans son passé, que la connaissance de leur vraie nature a été inconsciemment supprimée et il n’en reste seulement qu’un souvenir allégorique.

Plusieurs civilisations de ce monde tracent leurs racines ancestrales à de tels dragons, lézards ou serpents volants. Dans la plupart des cas, ils sont crédités d’avoir apporté les avantages de la civilisation à l’espèce humaine. De plus, ils sont souvent décrits comme son créateur réel.

L’homme ancien a décrit ces créatures comme des êtres supérieurs ou des dieux qui pouvaient facilement se déplacer dans les cieux dans leurs "chariots de feu" ou "bateaux du ciel." Ils vivaient habituellement dans une "demeure céleste" et sont souvent descendus pour perturber les affaires de l’homme.

La culture la plus ancienne et importante, celle de Mésopotamie, a probablement été fondée par ces dieux serpents. La colonisation de cette planète par ces créatures est décrite dans un des anciens documents le plus dramatique et significatif la "Liste des Rois Sumériens."

Daté du troisième millénaire avant J.-C., ce document fournit la succession des Rois de Sumer et leurs successeurs, la longueur de leurs règnes depuis, ce qui était pour les Sumériens, le commencement du temps quand leurs ancêtres sont venus ici et "descendirent" pour établir plusieurs villes sur la plaine alluviale de la Mésopotamie. S’appelant "Anounnaki," ces Proto-Sumériens sont crédités avec l’établissement de la civilisation occidentale sinon, celle du Monde.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, il existe beaucoup d’informations sur ces civilisations les Sumériens, qui furent plus tard remplacés par les Akkadiens et les cultures Babyloniennes. Des nombreux monuments, objets fabriqués et tablettes cunéiformes qui ont été déterrés récemment, il est possible de reconstruire les événements qui se sont déroulés au début de l’espèce humaine.

Il y a aussi plusieurs preuves qui ont été originairement dérivées de la même source mais auxquelles on a donné une interprétation religieuse en étant transmise à travers des canaux sacerdotaux ou religieux. C’est de ce réservoir de sources anciennes que les histoires de l’Ancien Testament furent dérivées.

D’une combinaison de ces anciennes sources séculières et religieuses, il est donc possible de rapiécer ensemble l’histoire de notre descendance qui se trouve dans la venue des dieux serpents étrangers ou des astronautes qui ont colonisé la Terre il y a de cela plusieurs millénaires.

On y découvre que nos ancêtres commencèrent une colonie sur la Terre pour obtenir des métaux pour leur planète. Dans le but de transformer et de transporter ces métaux par vaisseau cargo au vaisseau mère orbitant, ils construisirent cinq villes opérationnelles en Mésopotamie. Une de celle-ci servie comme plate-forme de lancement spatial.

Les Sumériens appelaient ces "dieux" les Anounnaki, littéralement les fils d’Anou, leur dieu principal et leur chef. Les Anounnaki étaient une race extra-terrestre. En réalité, ils étaient une race de reptiles. Ils nécessitèrent une main-d’œuvre peu coûteuse et, pour cette raison, ils créèrent un homme primitif.

En combinant les caractéristiques du singe homme natal avec leur propre nature Saurienne, ils produisirent "l’Adam" de l’Ancien Testament. Cet Adam était demi-humain et demi-reptile. Cependant, puisqu’il était un clone, il ne pouvait pas se reproduire.

Comme les conditions commencèrent à changer sur la Terre et le climat s’assécha, il est devenu nécessaire de modifier l’Adam pour mieux l’adapter au climat variable. L’Homo-Saurien fut modifié et ils lui donnèrent plus de traits de mammifères. Ce fut la "Chute de l’Homme" biblique où Adam a acquis la "connaissance" ou la capacité de se reproduire sexuellement.

Comme résultat de cette modification génétique, l’homme a perdu la plupart de son apparence et de sa nature Saurienne, sa peau brillante et écailleuse. Il a acquis des caractéristiques des mammifèresune peau flexible et douce, des poils, le besoin de transpirer et la capacité de se reproduire. Il n’était plus nu. Il devait maintenant porter des vêtements pour son confort et sa protection. À toute fin pratique, l’homme était maintenant un Homo sapiens. L’homme moderne ou l’homme de Cro-Magnon arrivait en scène.

L’homme a bientôt peuplé la Terre comme esclaves pour ces maîtres Sauriens. Il fut testé par les astronautes qui descendirent pour s’accoupler avec les filles de l’homme. Connus dans les Saintes Écritures comme les Néfilim, ils ne produisirent non seulement que des progénitures mélangées, mais ils firent des expériences génétiques qui sont mal tournées et produisirent un grand nombre de formes monstrueuses.

Ce fut une période pénible pour l’espèce humaine, puisque durant cette époque, il était littéralement de la nourriture pour les dieux. C’est le temps des Patriarches bibliques et ses rois dieux sumériens.

L’agitation sur la Terre fut soudainement terminée par le début d’une catastrophe naturelle mondiale, connu comme le Déluge ou la Grande Inondation. À ce moment, les dieux se retirèrent à leurs vaisseaux spatiaux, laissant derrière leurs progénitures semi-divines pour périr avec l’espèce humaine.

Après le Déluge, ils descendirent à nouveau pour établir de nouvelles villes sur les plaines de la Mésopotamie. S’accouplant encore avec l’espèce humaine, ils produisirent une race d’êtres semi-divins pour gouverner leur empire sur la Terre. De plus, une race de dieux guerriers fut établie dans les terres du Levant. Descendant des Néfilim, mais connue par le nom de Rephaim, cette race barbare persécuta l’humanité pendant des milliers d’années et n’a pas été éliminée comme menace jusqu’au premier millénaire avant J.-C.

Dans l’ancienne Mésopotamie, les dieux résidèrent dans un temple sur le dessus d’un ziggourat, une pyramide à étages élevée au-dessus des plaines. Ils y étaient protégés du public et seulement quelques prêtres de confiance y avaient accès. Dans cet endroit, ils mangèrent en secret étant entourés de rideaux, afin que même les assistants prêtres ne puissent les voir. On se demande si leurs manières de table étaient si atroces qu’ils devaient se cacher même de leurs serviteurs. Où était-ce encore beaucoup plus sinistre ?

Dans l’Ancien Testament, le besoin évident du secret est aussi vrai. Pendant l’événement connu comme l’Exode, la divinité vivait dans une tente et n’a jamais été vue; de plus, elle ne mangeait jamais en public. Des directives spécifiques furent données à Moïse pour la préparation de la nourriture qui était laissée sur un gril près des quartiers de la divinité pour qu’il puisse manger en secret.

Il était défendu aux êtres humains de le voir. Le Dieu dit à Moïse: "Vous ne pouvez pas voir mon visage, parce que l’homme ne peut pas me voir et vivre." Et cette prohibition contre être vu par les êtres humains est portée à l’extrême partout dans les Saintes Écritures. C’est même devenu un ordre de ne pas faire "une image" ou une ressemblance de la divinité.

Donc l’homme est non seulement interdit de voir à quoi son dieu ressemble mais même de faire une image de ce qu’il pensait à quoi il ressemblait. Pourquoi le tabou ? Serait-ce que son apparence serait si étrangère et répulsive qu’il devait être retenu de l’homme ? On supposerait logiquement que si les divinités étaient si supérieures et grandes comme les Saintes Écritures l’indiquent, qu’ils seraient flattés et permettraient à l’homme de voir et de copier leur magnificence  !

Seulement quelques privilégiés pouvaient même s’approcher des divinités. En Mésopotamie, ils étaient les demi-dieux, la progéniture de l’accouplement d’un dieu ou d’une déesse et d’un être humain. Ceux-ci formaient l’aristocratie, et devaient voir aux besoins des dieux et former une barrière avec l’espèce humaine. Même ces demi-dieux étaient quelque peu étranges en apparence et avaient probablement certaines caractéristiques reptiliennes. Le célèbre Gilgamesh avait par exemple, quelque chose de bizarre dans son apparence qui faisait qu’il était différent des hommes normaux. Les Patriarches bibliques avaient aussi quelque chose d’exceptionnel au sujet de leurs apparences comme est démontré par le comportement absurde de Noé losque son fils l’a vu nu pour la première fois.

Selon la tradition de l’ancienne Babylonie, telle que rapportée par Bérossus, le prêtre Babylonien qui écrit à Athènes durant le troisième siècle avant J.-C., la descendance de l’homme peut être tracée à Oannes, une créature amphibie qui est sortie du Golfe Persique pour enseigner l’art de la civilisation à l’homme.

Bérossus les a appelés "annedoti" signifiant "les répulsifs" en Grec. Il leur fait aussi référence comme "musarus" signifiant "une abomination." La tradition babylonienne croit que la fondation de la civilisation est due à une créature qu’ils considérèrent être une abomination répulsive.

Si la tradition avait été inventée, une attitude plus normale aurait été de glorifier ces créatures comme des dieux splendides ou des héros. Mais le fait qu’ils choisirent de décrire leurs ancêtres de cette manière plaide pour l’authenticité du conte.

L’apparence reptilienne des dieux bibliques fut un secret bien gardé et seulement parfois est-elle perceptible dans l’Ancien Testament, comme par exemple, l’adoration évidente du "séraphin" ou du "serpent effronté" dans l’incident pendant l’Exode. Il y a un plus grand nombre de références, plusieurs d’entre eux explicites, dans la masse de littérature religieuse qui forme la base des livres de l’Ancien Testament.

L’opinion est maintenant accepté que l’Ancien Testament a subi plusieurs annotations et de sélections par les transcripteurs sacerdotaux. Mais, ailleurs dans la littérature religieuse, non sujet à leur influence, on trouve un portrait différent.

Dans le Haggadah, la source de légendes et de traditions orales Juives, il est révélé qu’Adam et Ève ont perdu leur "peau brillante et écailleuse" en mangeant le fruit défendu.

Les Gnostiques, rivaux des premiers chrétiens, racontent que comme résultat d’avoir mangé le fruit, Adam et Ève ont acquis la connaissance, en parti le fait de reconnaître que leurs créateurs étaient des "formes bestiales."

Le triste fait est que nous avons créé Dieu dans notre image et pas l’opposé. De cette façon, nous avons caché la vraie identité de nos créateurs.

La plupart des mythologies et des religions du monde font référence à leurs ancêtres comme des serpents volants ou des dragons qui ont apporté les arts et les métiers de la civilisation à l’espèce humaine. Le plus vieux des livres Chinois, le mystérieux "Yi king," déclare que les premiers êtres humains furent formés par l’ancienne déesse Nu Kua [Note de l’éditeur: comparez la linguistique à Ninhoursag  !] qui était un dragon. Les empereurs Chinois réclamaient être des descendants de cette déesse dragon.

Les plus vieux et célèbres des classiques Hindous, le "Ramayana" et le "Mahabharata," concernent les rapports de l’homme avec les dieux serpents qui étaient aussi leurs ancêtres.

La mythologie Mésoaméricaine et Africaine racontent que des serpents volants et des êtres ressemblant à des dragons descendirent des cieux pour leur enseigner les éléments essentiels de la civilisation.

Les dragons et serpents volants qui se trouvent dans la mythologie ancienne étaient des lézards à grandes jambes qui avaient aussi la capacité de voyager leurs vaisseaux spatiaux. Comment autrement les vieillards pouvaient-ils illustrer ce fait sauf qu’en leurs fournissant des ailes ?

Même l’Ancien Testament décrit que le serpent du Jardin d’Éden était un lézard ou reptile puisque, s’il avait perdu ses mains et ses pieds comme résultat de la Chute de l’Homme, alors logiquement il avait été précédemment un serpent ou un reptile avec ses extrémités.


Chapitre 1

L’arrivée des Proto-Sumériens : les anciens astronautes

"Les reptiles sont vraiment descendus. La Terre est resplendissante comme un jardin bien entretenu. À ce moment, Enki et Éridou n’étaient pas encore apparus. La lumière du jour n’existait pas, ni celle de la lune." Un fragment de la plus vieille tablette Sumérienne connue.

La liste des rois Sumériens

Un des documents historiques les plus remarquables et précieux est la Liste des Rois qui enregistre les noms des Rois de Sumer et le temps de leurs règnes de ce qui était pour eux, le commencement de l’histoire un temps dans le distant passé quand "la royauté est descendue du ciel" et fonda cinq villes sur la plaine de la Mésopotamie.

Elle enregistre une interruption quand "l’Inondation a balayé la Terre," un événement que nous connaissons comme le Déluge ou la Grande Inondation. La Liste des Rois poursuit la narration comme "la royauté descendue" une fois de plus. Elle décrit les rois et leurs règnes jusqu’à une partie de la Dynastie d’Isin qui commença à gouverner vers 1950 avant J.-C.

La Liste des Rois attribut des règnes de longueurs légendaires et incroyables à plusieurs des souverains des temps pré-diluviens. Dans ce sens, elle affirme le grand nombre d’années des Patriarches de l’Ancien Testament. Bien que ces longs règnes ne puissent pas être expliqués, il y a une consistance parmi les sources séculières et religieuses qui indiquent qu’ils avaient une logique qui leur était propre, qui n’est pas encore perçue par les autorités en place.

La Liste des Rois a reçu toute sorte de critiques mélangées parmi les savants. Mais depuis que ses registres des quatrième et troisième millénaires avant J.-C. furent corroborés séparément, par des preuves archéologues, ceci est maintenant accepté par plusieurs comme un document historique précieux.

Dans son œuvre "Les Sumériens", le Professeur Samuel Noah Kramer, le doyen des études Sumériennes, accepte sa valeur comme un outil de recherche. Il a suggéré que la Liste des Rois "si utilisée avec discrimination et compréhension, nous fournit une structure historique de valeur inestimable."

La Mésopotamie : berceau de la civilisation

Notre histoire ne commence pas avec la création du monde. Elle commence avec l’arrivée de la vie intelligente sur la Terreceux que nous connaissons historiquement comme les Proto-Sumériens. On se sait pas exactement quand ces ancêtres sont venus ici ni pourquoi. On présume qu’ils sont arrivés ici quelque temps avant la catastrophe mondiale appelée le Déluge. C’était aussi longtemps avant la venue de l’homme moderne ou Homo sapiens.

Il est consenti généralement que ces Proto-Sumériens soient à l’origine de notre civilisation occidentale et que leurs commencements fussent dans la région appelée la Mésopotamie, littéralement "la terre entre les deux rivières." L’arrivée de ces "dieux" est rapportée dans les registres que leurs descendants ont laissés derrièreles Sumériens, les Akkadiens et les tablettes cunéiformes de Babylonie.

La terre connue comme la Mésopotamie et le berceau de la civilisation se situe principalement entre les rivières Tigre et Euphrate. En provenance des montagnes d’Arménie dans le nord, les deux rivières convergent graduellement leur cours sur une large plaine herbeuse jusqu’au Golfe Persique. À ce temps, la région était composée de marais et de lagunes, comme c’est aujourd’hui.

L’introduction d’un système de canaux-rivières pour irriguer et assécher la plaine a par la suite crée une grande population et l’établissement d’une grande culture. La partie Sud de la Mésopotamie est devenue une région de jardins fertiles que les Sumériens surnommaient l’E-DEN, ou "la demeure des justes et vertueux." Ce fut l’emplacement de l’Éden biblique.

La partie Sud de la Mésopotamie s’appela Sumer et la région juste au Nord à la convergence des deux rivières s’appela plus tard Akkad. La ville Akkadienne BAB-ILU est devenue proéminente et donna son nom à la région entière Babylonie.

Après le Déluge, les villes Sumériennes furent reconstruites et habitées à nouveau sur la plaine alluviale de la Mésopotamie. Puisque la plus vieille est datée à environ 3500 avant J.-C., il est évident qu’elles ne furent pas construites sur les ruines des villes précédentes. Ceci est dû au fait que les eaux du Golfe Persique se sont élevées de 150 pieds depuis le Déluge, inondant ainsi les villes antérieures. Cela sera discuté plus tard.

Nous ne savons pas clairement quelle raison ou but apporta ces êtres étrangers ou Anounnaki à cette planète. Mais, de leurs légendes et mythes, nous pouvons déduire que c’était probablement dans un but de commerce. Selon la Liste des Rois, ils sont venus ici il y a plus de 240 000 ans.

Ce document décrit les activités des Anounnaki antédiluviens comme "la royauté est descendue du ciel" et fut en premier établi à Éridou, l’Erech de la Bible. À cet endroit, deux rois ont gouverné pendant 64 800 ans.

Éridou fut abandonné comme la capitale et la royauté fut déplacée à Badtibira où trois rois régnèrent pendant 108 000 ans. Par la suite, la parenté fut déplacée à Larak et un roi gouverna pendant 28 800 ans. Une quatrième ville à devenir la capitale fut Sippar où un roi, Enmeduranna, régna pendant 21 000 ans. Cet Enmeduranna est important à notre histoire,
puisque, comme nous le verrons, il était l’Énoch d l’Ancien Testament.

La royauté fut transférée à Shouroupak où un roi gouverna pendant 18 600 ans. Donc, comme la tablette résuma, huit rois gouvernèrent cinq villes pour un total de 241 200 ans.

La Liste des Rois affirme alors laconiquement, l’Inondation balaya la Terre, mettant une fin à toutes les activités commerciales et autres.

Ces nombres énormes ont été un casse-tête pour les savants. Ils sont cohérents partout dans la Liste des Rois et par conséquent ne sont pas erronés. Bien qu’une explication rationnelle ait jusqu’ici échappé aux historiens, la plupart des chercheurs sentent qu’il doit y avoir une réponse logique à ces grands nombres puisqu’un parallèle est évident dans le nombre d’années énorme des Patriarches antédiluviens.

Il est entièrement possible que ce ne soient pas des années terrestres comme nous les connaissons. Une année divine ou "année d’Anou" est souvent mentionnée dans les tablettes cunéiformes et, bien que pas complètement comprit, n’est probablement pas équivalente à notre année normale. Une réflexion de ceci est trouvée dans le l’Ancien Testament (Psaumes 90:4) où un jour divin est l’équivalent de mille années. [Note de l’éditeur: Cette même formulation ou quelque chose de semblable se trouve aussi dans le Coran, je pense.]

Il n’était pas exceptionnel pour les anciens de calculer le temps par un moyen autre que des années terrestres normales comme, par exemple, dans le "Livre des Jubilés" où une année de Jubilé est équivalente à 50 années régulières, c’est-à-dire, sept semaines années (une semaine année était l’équivalent de sept années) et une année ajoutée pour l’expiation lorsque toutes les activités étaient supposées cesser.

De plus, il y a une indication que les années de la Liste des Rois ont une logique fondamentale comme cela se trouve dans leur système d’énumération. Leur système numérique était sexagésimal, mais de plus, ils utilisèrent aussi le facteur de 10 aussi bien que celui de 6. Donc la séquence 1, 10, 60, 360, 3600 prend une signification spéciale dans leur mythologie. Le chiffre 60 avait une signification spéciale pour les Sumériens, parce que dans leur système de rang numérique, il était le plus haut chiffre et était assigné à leur dieu principal, Anou.

Si la durée des plusieurs termes de royauté sont présentées graphiquement, il devient évident que ce système sexagésimal doit être la composante des nombres fabuleux de la Liste des Rois. Appelé un "shar" par le Sumériens, le nombre 3 600 paraît avoir une signification spéciale dans cette liste. On peut voir que, avec un léger ajustement, les années de règne des rois Sumériens sont divisibles par ce nombre. Cela indique que le terme pour le règne d’un roi Sumérien antédiluvien était vraisemblablement un shar et était renouvelable à chaque 3 600 ans. [Note de l’éditeur: C’est la période d’orbite de la Planète Nibirou.]

Les Dieux souverains du panthéon Sumérien

Les Sumériens et les Akkadiens n’ont pas appelé leurs visiteurs étrangers des "dieux." C’est dans les cultures qui suivirent que la notion des êtres divins s’est infiltrée dans notre langage et notre pensée. Ils les appelèrent "ilu" ou ceux du ciel, duquel le "ili" Sémite et "el" Hébreu ont évolué. [Note de l’éditeur: Le nom du prince Utu dans la langue des Mayas, était Xochipili.]

Le mot occidental "dieu", à travers son usage, est venu à signifier des êtres spirituels supérieurs, distant de l’homme et incapable de défaut ou d’erreur. D’un autre côté, l’homme est considéré être incomplet, taché, accablé par le "péché original" et est destiné à adorer et rendre hommage à un dieu qu’il ne peut atteindre. Les dieux Sumériens étaient loin de la spiritualité. Ils étaient des êtres physiques très vivants capables de commettre des erreurs sérieuses et des manques de jugements. Ils pourraient être appelés des "surhommes" si ce terme pouvait être appliqué génétiquement à une race Saurienne.

Les dieux Sumériens considérèrent l’homme comme une commodité et rien de plus. Ils leur fournissaient leurs manques et la chair de canon pour leurs divers projets militaires et gardaient leurs villes. Les dieux pouvaient être des maîtres cruels et antipathiques. Ils considérèrent les êtres humains simplement comme des enfants indisciplinés, pas plus importants que les animaux domestiques, devant être gouvernés sans pitié et sans sentiment. Ces accusations peuvent paraître comme hyperbole au lecteur, mais nous verrons, dans les événements subséquents, que c’était effectivement le cas. [Note de l’éditeur: Cette notion est semblable à la discussion des "Archons of Destiny" de John Baines dans son livre "The Stellar Man."

Bien que le terme Anounnaki s’applique génériquement à tous les Proto-Sumériens qui sont venus sur cette planète, il signifie littéralement "les fils d’Anou," leur grand dieu. Pendant la période antédiluvienne, un groupe grand de ces Anounnaki est descendu du vaisseau mère pour coloniser la Terre. Selon le "Enuma Elish, " le mythe Babylonien de la Création, 300 de ces Anounnaki sont descendus tandis qu’un autre 300 est resté à bord du vaisseau mère. Ceux-ci furent appelés des "Igigi" et étaient vraisemblablement les techniciens du vaisseau spatial.

Les Dieux aînés – Anou, père des Anunnaki

Anou, ou An en Akkadien, signifiait "Celui des Cieux" et son nom a toujours été écrit pictographiquement comme une étoile. Il était le grand ancêtre et dieu aîné qui était au-dessus de tous les autres dieux. Sa demeure et son siège d’autorité étaient dans les cieux, le vaisseau spatial orbitant ou URU-SAG-AN-NA, littéralement "la ville principale des cieux." [Note de l’éditeur: Anou en Grec/Romain était Kronos/Saturne, le fils d’Alalou ou Ouranus/Caelus. Sitchin écrit comment Anou et Antou organisèrent un coup d’État et déposèrent Alalou et Lilitou. La mythologie Grecque rajoute une note curieuse de cette même histoire en affirmant qu’avant d’usurper le trône d’Ouranus, Saturne a d’abord castré son père. En effet, ces Sauriens sont des créatures impitoyables  ! Et il devrait être noté que bien que la Planète Nibirou arriva dans notre système solaire il y a de cela 500 000 années terrestres, la Liste des Rois Sumériens ne commence pas avant 240 000 années. Donc, les années survenues avant l’Ascension d’Anou et le début de la Liste des Rois peuvent signifier le règne d’Alalou.]

Il descendait sur la Terre pour certaines occasions spéciales seulement, en temps de crise, ou pour des cérémonies. Lorsqu’il était ici, il demeurait dans son temple, l’E-ANNA ou "Maison d’Anou" sur la ziggourat à Ouruk, sa ville sacrée. Le terme ziggourat vient du mot babylonien "zaquru" et signifie "être élevé et au-dessus." Il signifie le sommet d’une montagne ou une tour à étages et celle-ci fournissait une plate-forme artificielle sur la plaine Mésopotamienne.

Anou avait trois enfants deux fils Enlil et Enki et une fille Ninhoursag. La division d’autorités entre ses deux fils causa beaucoup de dissension, et le dieu aîné dépensa beaucoup de temps à régler des différends entre eux aussi bien que ses petits-fils par la suite. [Note de l’éditeur: Reportez-vous à "The Vengeful Birth of Lord Hellespontiacus" dans lequel on mentionne qu’Anou a dû régler le différend entre la princesse Inanna et la reine Éreskigal sur la "propriété" de l’enfant kidnappé Dumuzi qui est finalement devenu l’amant public de la princesse Inanna.

Enlil, chef de l’expédition à la Terre

Bien qu’il fût le plus jeune fils d’Anou, Enlil est devenu le dieu le plus puissant du panthéon Sumérien sauf Anou. Littéralement "Le Seigneur de l’Ordre," Enlil fut commandant de l’expédition des Anounnaki à la Terre. Il avait un grand nombre de noms qui décrivirent son autorité seigneur du Ciel et de la Terre, Seigneur de toutes les Terres, Donneur des Royautés, Prince du Ciel et chef de la Terre.

Enlil était l’archétype pour le dieu des Terres occidentales de la Palestine et de la Syriele "El" des Sémites et en particulier le "El" générique ou "Élohim" de la Bible.

Enlil s’assura que les décrets des dieux étaient respectés et accomplis par l’espèce humaine. Il fut souvent représenté avec un arc et des flèches, un symbole des armes puissantes à sa disposition pour mettre en vigueur son autorité.

Enlil détestait l’espèce humaine et les tolérait seulement puisqu’ils étaient nécessaires au bien-être des dieux. Selon l’histoire sumérienne du Déluge, ce fut Enlil qui amena la destruction de l’espèce humaine parce que le bruit des êtres humains perturbait son repos.

Le temple consacré à lui à Nippour fut appelé le DUR-AN-KI ou "lien du Ciel et de la Terre," d’où il a dirigé les activités de l’espèce humaine. Cette structure est décrite en partie dans les tablettes cunéiformes comme un type de centre de communication ou de contrôle.

De son temple au-dessus l’Ekur à Nippour, on disait qu’il avait "des yeux qui pouvaient parcourir la Terre." Le matériel utilisait les sons comme une sorte de radar puisque les tablettes décrivent, "il élève les rayons qui cherchent le cœur de toutes les terres."

La règle d’Enlil fut parfois turbulente. Un jour, voyant une déesse nue se baignant dans un ruisseau sur la Terre au-dessous, il s’en est amouraché et descendit la séduire. Le panthéon fut horrifié de son escapade puisque cela abrogea une de leurs conventions de base. Bien qu’il fût le dieu principal, il fut exilé du vaisseau spatial et perdit ses pouvoirs. Le panthéon a permis à Enlil de reprendre son autorité seulement qu’après l’avoir marié et faire en sorte qu’elle soit sa femme principale.

Enlil la nomma Ninlil et lui donna un statut équivalent au sien. Le résultat de cet épisode fut un fils appelé Nannar qui est devenu le favori d’Enlil. Dans le Panthéon, on donna à Nannar le rang immédiatement dessous celui d’Enlil et Enki, et des honneurs et des terres en rapport avec sa position. [Éditeur : Selon Sitchin, dans la mythologie Grecque, Enlil était l’équivalent de Zeus, et le Prince Nannar était le Grec Hermès et l’Égyptien Thoth. Parce que les parents de Hermès étaient Zeus et Maia, il suit que Ninlil était l’équivalent de Maia.]

Enki, chef des opérations

Bien qu’il fût le premier-né d’Anou, Enki reçu un rang plus inférieur que celui de son plus jeune frère Enlil, étant né d’une autre épouse qui était aussi sa demi-sœur. Selon les lois d’héritage Sumérienne, Enlil est devenu l’héritier du trône. Des ressentiments sur son exhérédation et la compétition croissante sur qui contrôlerait les activités sur la Terre amenèrent Enki en conflit direct avec son frère Enlil.

EN-KI ou "Seigneur de la Terre" s’appela aussi EA ou "celui qui a sa maison sur l’eau," une référence tacite à sa place d’eau ou Abzou d’où il dirigea les opérations lorsqu’il arriva sur la Terre en premier lieu. Enki était un être à tout faire pour l’expédition: l’Ingénieur chef, le principal scientifique, le chef de l’exploitation minière, et plus important, le Créateur de l’espèce humaine. [Note de l’éditeur: Ici nous trouvons une fois de plus une référence océanique à Enki, ou Poséidon, le Dieu des Mers.]

Comme maître ingénieur, il supervisa la transformation des terrains marécageux de la Mésopotamie inférieure en véritable paradis. Il organisa et surveilla la construction d’un système de canaux, de barrages et l’écoulement des terrains marécageux. Dans un poème élogieux, il se vante d’avoir transformé les terrains marécageux en refuge pour les oiseaux et les poissons, de l’invention et l’usage de la charrue et des attelles, du début de l’agronomie animale, et d’amener les arts de la construction à la Terre pour élever les villes.

Enki avait un grand nombre d’épithètes. Il était le Dieu de la Sagesse, le Dieu des Mines, le Seigneur des Eaux Coulantes, et le Seigneur de la Mer et de la Construction Navale. Il est souvent dépeint avec un ruisseau et des poissons qui coulent de ses épaules, un symbole de sa capacité de fournir des eaux navigables et d’assurer de l’eau potable aux villes de la Mésopotamie.

Sa maison fut É-RI-DOU, c’est, "la maison construite au loin," une référence voilée au fait que c’était une colonie. Éridou fut la première ville construite par les astronautes étrangers sur la Terre et fut localisée sur le bord de la plaine arrosée ou ÉDEN.

Enki aimait aller naviguer sur ces cours d’eau dans son bateau qu’il appela " l’Ibex", un terme provenant des chèvres agiles qui habitaient les montagnes environnantes. De cette façon, l’Ibex et la chèvre avec une queue du poisson sont devenues symboliques du Dieu Enki et paraissent souvent sur les sceaux et monuments sumériens.

En tant que Dieu de l’Exploitation Minière, Enki est souvent démontré comme un mineur humain tenant un lingot de métal sur une perche de transport. Le métal était moulé de cette façon, en forme de cylindre, avec un trou à travers le milieu pour faciliter son transport sur une perche avec un manche.

Il est aussi quelques fois démontré avec ses deux fils Gibil et Nergal qui étaient responsables des activités minières. Mais plus important encore, on se rappelle qu’Enki est le dieu qui créa l’homme et qui est venu à sa défense contre un Enlil capricieux. Comme le créateur de l’homme, il est souvent démontré avec "l’Arbre ou l’arbrisseau de la Vie."

Le serpent était aussi l’emblème d’Enki, vraisemblablement pour sa capacité de renouveler sa peau et par conséquent accomplir une sorte d’immortalité. La description du serpent était une méthode que les anciens artisans représentaient leurs ancêtres reptiliens. C’est aussi de la représentation du serpent enroulé autour de l’arbre de vie que le "Caducée" des Grecs a évolué plus tard. [Note de l’éditeur: Ce même emblème est utilisé par les médecins aujourd’hui même  !]

Comme on se souvient du capricieux Enlil comme étant le dieu qui produisit le Déluge, Enki est reconnu comme celui qui sauva l’espèce humaine par son avertissement opportun de la catastrophe qui s’approchait au Sumérien Noé. La création non autorisée d’Enki de l’homme moderne ou Homo sapiens l’aliéna davantage d’Enlil. L’animosité entre les deux se souleva encore après le Déluge parmi leurs enfants qui gardèrent le Moyen-Orient dans un état d’agitation pendant des milliers d’années. [Éditeur : Même jusqu’à présent, on peut ajouter, ces gens n’arrêtent jamais de se battre !]

Ninhoursag, chef-officier médicale

NIN-KHUR-SAG ou "Dame du Sommet de la Montagne" était la quatrième des dieux aînés Sumériens. Elle était la demi-sœur d’Enki et d’Enlil. Plutôt, Ninhoursag était de plus haut rang qu’Enki et précéda son nom lorsqu’ils parurent ensemble. Éventuellement, son rang fut réduit et a pratiquement disparu du panthéon comme influence majeure ou efficace. [Note de l’éditeur: Des œuvres de Sitchin, nous savons que Ninhoursag est l’équivalente de l’Isis égyptien, et selon la mythologie grecque, elle est la Déesse Héra, plus tard renommé Junon par les Romains.]

Il se peut qu’elle fût éclipsée par la montée en étoile d’Inanna ou Ishtar qui s’introduisit dans toutes les affaires sumériennes et occidentales. Dans les Terres occidentales telle la Palestine, la Syrie et le Liban, Ishtar apparue en plusieurs rôles. Comme la déesse mère, elle déplaça Ninhoursag. Son rôle fut celui de la déesse du sexe ou de l’amour. Elle était aussi connue pour son rôle militant comme la déesse des guerriers.

Ninhoursag est aussi connue par un grand nombre d’autres noms tels que NIN-TI (la Dame qui donne la Vie), NIN-MAH (La Dame Exaltée), MAM-MU (La Déesse de la Création), un nom d’où vient le mot Maman. [Éditeur : Dans les terres des Mayas, elle était connue comme "Pachamama".] On donna à Ninhoursag la ville antédiluvienne de Shourouppak où elle régna comme médecin-chef et infirmière-chef pour les membres de l’expédition. Son emblème sacré était le cordon ombilical et le couteau qui le coupait.

Enki et Ninhoursag dirigeaient des expériences biologiques dans les laboratoires sur sa ziggourat à Shourouppak et dans le vaisseau des quartiers généraux d’Enki qui menèrent à la création du premier homme primitif appelé "lulu." C’était un hybride mammifère reptilien. Cela a été fait à la demande directe d’Enlil qui voulait une créature capable de prendre en charge le travail difficile maintenant exécuté par les enfants d’Anou.

Suivant des formules et des processus fournis par Enki, Ninhoursag produisit un ouvrier, mais avec une défaillance majeure il ne pouvait pas se reproduire. En allant encore plus loin et en modifiant cet être primitif en lui donnant des caractéristiques mammifères prédominantes, Enki et Ninhoursag sont allées plus loin que leur consigne.

En croisant le "lulu" avec l’homme primitif sauvage de la période de l’homme de Néanderthalils formèrent un nouveau type d’ouvrier, l’homme moderne ou Homo sapiens, connu comme l’homme de Cro-Magnon. [Note de l’éditeur: c.-à-d., Nous.] Ce fut cette activité qui causa la colère d’Enlil. En diluant davantage la génétique Saurienne, il voyait ceci comme une menace directe à la survie de la race reptilienne.

Le rang numérique des Dieux

Il y avait un ordre très explicite parmi les astronautes-dieux du panthéon sumérien. Ils furent assignés des rangs numériques basés sur un système de 60. Ce nombre avait une signification spéciale, presque mystique, pour les Sumériens.

Chaque dieu majeur portait un "nom" numérique qui représentait son rang dans la hiérarchie. De cette façon, les nombres furent utilisés comme une sorte de cryptographie. Les rangs numériques des divinités souveraines Sumériennes étaient assignées en ordre d’importance descendant :

Anou 60 Antou 55

Enlil 50 Ninlil 45

Enki 40 Ninki 35

Nannar 30 Ningal 25

Utu 20 Inanna 15

Ishkour 10 Ninhoursag 5

Les nombres qui se terminent par 5 furent assignés aux femmes. Selon la tradition sumérienne, seuls les mâles pouvaient commander, une politique qui causa beaucoup de détresse dans les affaires du Moyen-Orient, puisque Inanna refusa d’accepter son statut et complotait régulièrement pour gagner le pouvoir politique.

Le nombre 50 ne représentait non seulement le rang d’Enlil, mais aussi sa place comme chef de toutes les activités sur la Terre. Après le Déluge, quand les plus jeunes dieux défièrent l’autorité des plus vieux pour la direction, l’assistant militaire d’Enlil, Ninourta assuma le titre de 50 et de ce fait, réclama le rang qu’Enlil avait apparemment délaissé.

En plus de Ninourta, il y avait un autre revendicateur à la direction. Mardouk, le fils aîné d’Enki, était sans rang dans le panthéon; il a lui aussi assumé le titre de 50 en se proclamant chef de Babylone.

Avec l’éclipse des dieux aînés après le Déluge, il y eut une bousculade pour le pouvoir parmi les plus jeunes dieux Nannar, Utu, et Ishkour (toujours avec la participation d’Inanna.)Cela causa beaucoup de désordre aux nations du Moyen-Orient et se manifesta par des guerres constantes parmi les villes de la Mésopotamie qui sont devenues des pions dans la lutte des dieux rivaux.

Second tiers du Panthéon les plus jeunes Dieux souverains

Seulement que les fils, les filles, les femmes, et les petits-enfants d’Enlil reçurent un rang numérique dans le panthéon ! Les fils d’Enki n’y ont pas participé, peut-être parce qu’ils furent assignés des régions géographiques et des activités loin de la Mésopotamie après le
Déluge, une précaution de la part d’Enlil pour prévenir un conflit entre cousins, mais vraisemblablement aussi pour retenir le contrôle de la Mésopotamie pour sa famille.

Les dieux sumériens furent toujours représentés graphiquement avec des couronnes cornues. Plus tard, les dieux aînés furent représentés par une couronne cornue assis sur un autel.

Quand les noms des dieux furent écrits sur les tablettes cunéiformes, ils étaient toujours précédés par le symbole pictographique d’une étoile ou d’un "dingir." Le terme le "dingir" était une combinaison de DIN qui signifiait "le vertueux" et GIR, le mot pour un oiseau ou un objet volant. En d’autres termes, le symbole "dingir" signifiait que le nom qui le suivait était celui d’un dieu qui était séparé de l’humanité commune par sa capacité de se déplacer par char céleste ou vaisseau.

Chaque dieu avait son animal sacré et son symbole; ceux-ci peuvent être vus sur les pierres qui délimitaient les bornes d’une région tel qu’utilisé par les dynasties Babyloniennes du deuxième millénaire avant J.-C.

Nannar, souverain légitime de la Mésopotamie

Né du viol de Ninlil, NAN-NAR (Le Brillant) était le fils favori d’Enlil. Après le Déluge, il fut assigné toutes les terres de la Mésopotamie, la Syrie et la Palestine. Sa ville sacrée était Our ou "Ville Capitale" et son symbole sacré était la lune en forme de croissant. Ce symbole a tellement dominé les temps post-diluviens qu’il fut plus tard adopté par Islam, comme la croix de Shamash fut adoptée par les Chrétiens.

Son nom Sémite SIN (la région du Sinaï fut ainsi nommée d’après lui) n’est pas un nom Sémite mais plutôt un mot emprunté du Sumérien SU-EN ou ZU-EN qui signifiait "Le Sage Seigneur." Puisque les noms sumériens peuvent être lus aussi bien de l’avant qu’en arrière, Zuen peut être le EN-ZU ou "Le Seigneur Zu" qui vola les Tablettes de la Destinée d’Enlil et qui furent rapportées par Ninourta avec l’aide d’Ishkour avec les armes fournies par Enki. Ceci est suggéré par l’absence notable de Nannar/Sin du "Mythe de Zu" discuté plus loin. Cela explique aussi le fait que Sin perd la faveur à certains temps dans l’histoire de la Mésopotamie et le défi de Ninourta pour le rang de 50.

Utu, chef des installations spatiales

Utu ou "Le Brillant" était un petit-fils d’Enlil et, avec Inanna, était un jumeau né à Nannar. La ville d’Utu dans les temps antédiluviens fut la plate-forme spatiale à Sippar, d’où les vaisseaux cargos chargés de métaux faisaient la navette au vaisseau orbitant.

Après le Déluge, Sippar demeura sa ville sacrée, bien qu’il ait déplacé ses activités spatiales à l’ouest à la terre de Liban où Baalbek est devenu la nouvelle plate-forme spatiale. Dans les Terres occidentales, il fut connu par son nom Sémite de Shamash. La ville de Baalbek fut appelée Beth-Shamash dans l’Ancien Testament, ou en d’autres termes, la "Maison de Shamash."

Le symbole de Shamash était une étoile à quatre pointes contre un disque avec les rayons. Plus tard, le disque solaire ailé fut associé à Shamash.

Il est éventuellement devenu connu comme le Dieu de la Justice dans le panthéon babylonien, comme démontré sur une tablette datant de 900 avant J.-C. trouvé à Sippar. Shamash fut adoré comme le Dieu du Soleil qui traversa les cieux quotidiennement et "celui de qui aucun secret ne pouvait être cachés," probablement parce que son vaisseau surveillait tout ce qui se déroulait sur la surface. Dans cette tablette, deux dieux cornus dans le "ciel" tiennent des cordons divins qui sont connectés avec l’autel de Shamash. Les cordons représentent sa connexion ou le vol de sa navette entre le Ciel et la Terre. Comme celui qui tenait les cordons divins, on disait qu’il traversait les cieux et "mesurait les liens de la Terre." [Note de l’éditeur: Utu/Shamash était connu dans la mythologie Grecque comme le Dieu du Soleil Apollon, renommé plus tard Hélios par les Romains. En Égypte, il était connu comme le Dieu Harpocrate.]

Shamash fut souvent représenté avec les ailes signifiant son rôle comme Astronaute Principal des Anounnaki. Un relief Assyrien du palais d’Assourbanipal II à Nimroud le démontre dans une roue ailée planant sur l’Arbre symbolique de la Vie. Il est encadré par deux nobles et deux astronautes ailés, chacun portant les symboles de l’immortalité la pomme de pin et le "situla" ou seau d’eau.

[Note de l’éditeur: Drunvalo Melchizedek parle au sujet du fait que la pomme de pin se forme dans la parfaite Séquence de Fibonacci. J’ai regardé des pommes de pin après avoir lu cela et c’est vrai. Donc, si la Séquence de Fibonacci est incorporée dans la structure mathématique de la Grande Pyramide d’Égypte, comme Drunvalo le suggère, alors ce symbole concernant Utu pourrait aussi indiquer ceci, parce que la Grande Pyramide et le Sphinx ont été construits initialement pour être "des phares d’atterrissage," pour la base spatiale d’Utu au Sinaï. De plus, il est intéressant que dans le livre "Hamlet’s Mill" par Giorgio de Santillana et Hertha von Dechend, à propos de la discussion de la Planète Nibirou dans l’Appendice 39, "l’arbre symbolique" ou le "pukku" est grandement détaillé.

Inanna, déesse de l’amour et du trouble

IN-ANNA ou "La Bien-aimée d’Anou" fut la jumelle de Shamash et petite-fille d’Anou. Puisque Anou descendit sur la Terre seulement qu’à l’occasion pour visiter sa ville sacrée d’Ouruk, Inanna a réussi à le convaincre de la laisser gouverner cette ville pendant son absence ! Plus tard, elle devint la divinité protectrice d’Agade juste avant sa destruction.

Mieux connu par son nom sémite d’Ishtar, elle fut représentée comme une déesse puissante pendant la période post-diluvienne, dans les Terres occidentales aussi bien qu’en Mésopotamie. Son symbole sacré, l’étoile à huit pointes, est toujours prédominant parmi les symboles des dieux souverains.

En raison de son sexe, Inanna ou Ishtar ne pouvaient pas gouverner légalement, mais elle a cependant réussi à s’injecter partout dans la politique. Un poème décrit sa descente au monde inférieur pour tenter de saisir le pouvoir de sa sœur aînée Éreskigal. [Note de l’éditeur: À cause de toutes les relations incestueuses parmi les dieux et déesses de rang numérique, il est souvent difficile de déterminer qui était la sœur ou le frère de qui, ou à qui appartenait un petit-enfant. Par exemple, c’est mon opinion qu’Inanna était la grande petite-fille et non seulement la petite-fille d’Anou. Ces problèmes généalogiques seront analysés en plus grands détails dans un futur article consacré spécifiquement aux lignées royales.]

Un autre mythe raconte comment elle a réussi à déjouer Enki pour qu’il lui donne quelques-unes des Tablettes de la Destinée ou MEs qui lui donnèrent l’autorité et les moyens de s’installer comme souveraine d’Ouruk. Dans le célèbre "Épique de Gilgamesh", elle offre ses faveurs au héros qui repousse ses avances, la rendant furieuse au point qu’elle essaya de le détruire.

L’image présentée par la littérature Sumérienne et Babylonienne n’est pas uniforme d’un côté, celle de la déesse de l’amour et d’un autre, celle d’une guerrière militante. Elle a non seulement perturbé les affaires de la Mésopotamie mais elle a aussi dominé le panthéon des Terres occidentales de la Palestine, du Liban, de la Syrie et de l’Anatolie où elle était connue sous plusieurs noms tel qu’Ishtar, Ashtoreth, Astarté, Asherah, et Anat amont parmi d’autres.

Inanna fut le prototype des deux, déesse de l’amour et déesse des guerriers dans la région Méditerranéenne et plus tard devint le modèle pour les deux déesses Grecques, Pallas Athéna et Aphrodite. [Note de l’éditeur: Ce n’est pas tout à fait juste. Dans la mythologie Gréco-romaine, Inanna fut connu comme Aphrodite/Vénus; donc, en Égypte comme Hathor. Athéna fut une déesse différente, une déesse de la guerre qui donna son nom à la ville d’Athènes et l’épouse du dieu guerrier Gréco-romain, Haphaestus/Vulcain/Typhon. Ces deux guerriers furent connus en Égypte, respectivement, comme Sekhet et Ptah. Du point de vue linguistique de Nibirou. On y réfère comme le Baron Ninourta et la Baronne Bau.]

Ishkour, seigneur d’Anatolie et Dieu de l’ancien testament

Le plus jeune fils d’Enlil, ISH-KOUR ou "Celui des Terres Montagneuses" fut assigné l’Anatolie comme domaine. Ishkour tenta de s’immiscer dans la politique de la Mésopotamie, mais principalement, il limita ses activités à tenter d’étendre sa sphère d’influence et de contrôle sur la Palestine ou Chanaan. [Note de l’éditeur: N’oubliez pas que l’Anatolie fut la "Terre des Amazones et de Lesbos," les légendaires "Déesses de la Naissance" qui se révoltèrent contre l’Empereur et l’Impératrice, causant la création d’Ève par le Chef Officier Médical et Généticienne, la Reine Ninhoursag/Isis. Pour des détails additionnels, voyez l’œuvre de Sitchin.]

Mieux connu par son nom Sémite Adad, il était le dieu du tonnerre et des éclairs. Il est souvent représenté tenant le symbole de l’éclair bifurqué. Adad, fut en toute probabilité le Yahvé (Jéhovah) de l’Ancien Testament qui tenta en premier lieu d’utiliser Abraham et plus tard, Moïse, pour étendre sa sphère d’influence sur la terre de Chanaan. Ce rôle est discuté ci-dessous. [Note de l’éditeur: Ceci est faux. Enlil était le Yahvé/Jéhovah de la Bible. Et je ne suis pas d’accord avec la tentative de Zecharia Sitchin dans son livre "Divine Encounters" au dernier chapitre, d’éliminer le Yahvé de la tradition Juive du Panthéon de Nibirou. Autrement dit, c’était une fausse manœuvre de la part de Sitchin. Il ne peut tout simplement pas voir cela de deux façons.]

Les tablettes de la destinée de Nibourou

Le contrôle sur les opérations des villes et des activités de l’espèce humaine fut exercé à travers un système de directives et de formules appelés les "MEs" en Sumérien. La signification exacte du mot est perdue dans l’antiquité, mais il semble dénoter un ensemble de règles assigné à chaque entité et phénomène pour l’assurer d’un succès opérationnel. [Note de l’éditeur: Ces MEs sont discutés en grands détails par Sitchin dans "The Wars of Gods and Men," aussi bien que par les auteurs de "Hamlet’s Mill," Appendice 39.]

Quelquefois, ils paraissent être des objets physiques que quelqu’un pourrait prendre et apporter. La possession d’un ME donnait un contrôle absolu d’un certain aspect de la vie ou du comportement. Peut-être qu’ils étaient quelque chose comme un cerveau d’ordinateur dans lequel des données et des ordres opérationnels étaient inscrits pour activer une pièce d’équipement. Dans le mythe "Enki et l’Ordre Mondial," les MEs paraissent contrôler un avion sous l’ordre d’Enki. Dans cette histoire, Enki est décrit comme le "Seigneur qui conduit les grands MEs."

Les MEs étaient en la possession d’Enki et furent partagés graduellement et modérément pour bénéficier l’espèce humaine. Notre source fondamentale d’information est l’histoire "d’Inanna et Enki" où la civilisation est divisée en plus de 100 éléments, chacun exigeant un ME pour le garder en fonction.

Quelques 60 sont lisibles dans ce mythe et ils incluent, par exemple, la royauté, le bureau sacerdotal, la sagesse, la paix, la consultation, le jugement, le mensonge, l’art, les instruments de musique, les armes, la diffamation, la prostitution, la loi et la destruction des villes. [Note de l’éditeur: Cela semble encore être comme les "Archons de la Destinée". Peut-être que les plus hautes strates de la Société Royale de Nibirou sont vraiment les "Archons de la Destinée".

Ce mythe concerne le succès de la tentative d’Inanna d’extraire quelques-uns des MEs d’Enki. Selon l’histoire, Enki avait préparé un repas somptueux pour la belle et ambitieuse petite-fille d’Anou. Voyant qu’Enki avait trop bu de vin et est devenu enivré, Inanna a vu sa chance et demanda sept des MEs les plus importants et il y consentit sottement.

Ces MEs représentaient les fonctions nécessaires pour administrer une ville, tel que, comment diriger un temple, l’art de la guerre et des armes, la musique et les arts, l’écriture et les mathématiques, et plusieurs métiers concernant le bois et les métaux. [Note de l’éditeur: N’oubliez pas qu’Utu était l’amant secret d’Inanna et fut éventuellement connu comme "le dieu de la musique et de la chanson" et l’inventeur de la flûte et de la lyre. Elle lui a probablement donné les secrets de la musique qu’elle avait obtenue par sa tromperie d’Enki.]

Plus tard, lorsque Enki reprit ses esprits, il se rendit compte de ce qu’il avait fait et envoya son chambellan en "bateau du ciel" poursuivre Inanna et rapporter les MEs. [Note de l’éditeur: Souvenez-vous comment elle vola partout dans le Secteur Sirius en poursuite du Duc Dumuzi causant ainsi les Guerres des Pyramides ?] Inanna a réussi à déjouer le messager d’Enki et arriva à sa ville d’Ouruk à l’acclamation de l’ensemble des habitants. Inanna se vanta que, pour toutes fins pratiques, elle était maintenant une souveraine car elle avait l’autorité officielle d’un monarque.

Ces MEs ne conféreraient non seulement l’autorité au propriétaire mais le pouvoir absolu en plus, rendant ainsi le propriétaire de certain MEs imprenable par les armes. Cet attribut est décrit dans l’histoire Sumérienne "Le Mythe de Zu." Comme dieu servant de serviteur à Enlil, Zu complota une révolution au palais en essayant de saisir le contrôle des Tablettes de la Destinée qu’Enlil avait laissé sans surveillance. Il fut suggéré précédemment que le responsable qui a entrepris le coup d’état était Nannar/Sin.

Comme Enlil prenait un bain, Zu a conçu l’idée de voler les MEs ou Tablettes de la Destinée pensant que ces décrets divins lui donneraient le contrôle sur les Anounnaki et l’espèce humaine et le placeraient en tête du panthéon.

Zu accomplit ce geste et s’échappa avec les Tablettes. Le panthéon subit un désordre complet par rapport à ce développement. Enlil déclara que quelqu’un devrait trouver les MEs pour empêcher Zu d’usurper l’autorité des dieux.

Mais il paraît que le contrôle des MEs rendit Zu imprenable en lui donnant la capacité de dévier et neutraliser toutes les armes envoyées contre lui. Des flèches explosives semblant être comme des missiles furent lancés contre lui mais il les dévia par une sorte de champ magnétique protecteur autour de la "montagne" qu’il avait fortifiée.

Enfin, Enki conçut une nouvelle arme spéciale dans son laboratoire. Il le donna à Ninourta, l’aide militaire d’Enlil qui finalement battit Zu et l’amena au vaisseau pour subir son procès. Donc, ici fini la pire menace jamais éprouvée par les dieux Sumériens souverains. [Note de l’éditeur: Sitchin dit que "Zu" est Mardouk. Voyez son livre "The Wars of Gods and Men".]

La présence de symboles d’autorité est mentionnée dans les Saintes Écritures où il est souvent affirmé que la possession des certains "noms divins" conférait un pouvoir extraordinaire. Les MEs des Sumériens sont-ils les noms divins des Saintes Écritures ?

Selon "l’Apocalypse Hébraïque d’Énoch," losrque Énoch, le Patriarche antédiluvien, fut déifié à sa montée à la "demeure céleste," on lui donna "soixante-dix noms." Appelé aussi "Le premier Livre d’Énoch," on croit que ce document est en provenance de la communauté juive de Babylonie et est attribué au Rabbin Ishmaël, le renommé savant Palestinien qui est mort en 132 après J.-C.

Ces soixante-dix noms conférèrent le pouvoir et l’autorité à Énoch. Il fut second à la divinité principale. Les "noms divins" donnèrent le pouvoir à Énoch de détruire les rois, d’élever ceux qui étaient humbles, de subjuguez les souverains, de conférez la sagesse, de faire des jugements et de "contrôler la procession du temps et des saisons." Vraisemblablement, ce dernier point signifiait l’autorité pour ajuster le calendrier quand nécessaire, tel que quand une catastrophe mondiale rendait les vieux calendriers obsolètes.


Chapitre 2

Les villes antédiluviennes et leurs fonctions

"Lorsque la Royauté descendit du Ciel, Anou fonda les cinq villes, leur donna leurs noms et réparti leurs fonctions. Il donna au chef Nudimmud [Enki]"de l’histoire Sumérienne de la Créationla première de ces villes, Éridou.

Selon la Liste des Rois Sumériens, il y eut seulement cinq villes royales avant le Déluge ou, en d’autres mots, qui servit de villes capitales aux Anounnaki antédiluviens. L’ordre dans lequel elles sont données est la succession dans laquelle elles gouvernèrent, bien qu’elles fussent toutes construites probablement au même moment.

La raison pour le changement de capital d’une ville à l’autre a pu être politique. D’un autre côté, le changement des cours d’eau dû aux inondations et aux sécheresses périodiques de la partie du sud de la Vallée Mésopotamienne, comme le climat changeait, a pu être la raison pour le changement de capitale plus au nord.

La Liste des Rois ne mentionne pas les villes d’Ouruk et Nippour qui furent aussi construites avant le Déluge. Celle-ci furent conçues comme des villes sacrées et c’est probablement la raison qu’elles n’aient pas été incluses dans la Liste des Rois. Les cinq villes de la Liste des Rois étaient des villes strictement opérationnelles.

Elles furent construites par Enki et ses ingénieurs astronautes dans le but précis d’obtenir des métaux rares, de les transformer et de les transporter en lingots aux vaisseaux, mère orbitant. Les cinq villes étaient un groupe cohésif, chacune provenant une fonction essentielle au but principal de l’expédition. Leur fonction est décrite dans leurs noms, et est comme suit:

Éridou, quartiers généraux des opérations d’Enki

Littéralement "la Maison Construite au loin," E-RI-DU fut la première ville à assumer la royauté. Elle fut, bien sûr, les quartiers généraux d’Enki et d’où il dirigeait toutes les opérations sur la Terre, comme il surveilla l’écoulement des terrains marécageux, la construction des villes, l’établissement de l’agriculture et l’agronomie animale et généralement rendant la Terre plus hospitalière et productive.

D’Éridou, Enki dirigeait aussi le développement des mines, vraisemblablement en Afrique, le transport des minerais et le traitement des métaux à Badtibira.

Éridou fut la première ville construite sur cette planète qui donna probablement son nom à notre monde la Terre, la troisième planète dans notre système solaire. L’origine du mot "Terre" est inconnue et perdue dans l’antiquité, mais logiquement et linguistiquement il peut être tracé à Éridou. [Note de l’éditeur: Étant un linguiste compétent, je peux aussi voir ce rapport. Souvenez-vous de ce que j’ai discuté précédemment au sujet des consonnes et des aspirations. Les consonnes dans Éridou = RD, et les consonnes dans Earth = RT (H compte rarement). T et D sont des consonnes jumelles dans la linguistique; elles sont formées exactement de la même façon par les muscles de la bouche, mais D exige l’emploi des cordons vocaux. Essayez-le ! D’un autre côté, l’autre nom d’Enki était Ea qui est reproduit dans le mot Earth. Cependant, comme nous le savons de Sitchin, le nom original de notre planète avant l’arrivée de Nibirou était Tiamat.]

Le nom assigné à leur planète par ses occupants peut être tracé à la racine Éridou. Dans le Vieux Haut Allemand, la Terre est Erda; Erthe en Milieu Anglais, Era en Grec, Ereds en Aramaïque et Eretz en Hébreu, pour en nommer seulement quelques-uns. Il paraît que toutes les routes philologiques mènent à la première ville construite sur cette planète par nos aïeux extraterrestres Éridou.

Badtibira, centre de transformation des métaux

Le nom BAD-TIBIRA signifie "ville où les minerais sont transformés." Dans la Liste des Rois, elle retenu la royauté plus longtemps que toutes les autres villes, presque la moitié de la période de temps enregistrée avant le Déluge indiquant son importance fondamentale. Le "Tibira" Sumérien est dérivé du même mot Proto-Sumérien que le mot Hébreu "tubal," signifiant "métallurgiste." Ce rapport est vu dans la Genèse où Tubal-Caïn, le fils du Patriarche Lameck, est crédité avec l’invention des métaux: "Tubal-Caïn, qui forgea les divers outils de cuivre et de fer."

Badtibira fut la première ville opérationnelle construite par Enki et reflète la raison pour laquelle les Anounnaki sont venus ici pour obtenir et transformer certains métaux, vraisemblablement de l’or et de l’argent et peut-être d’autres métaux rares. [Note de l’éditeur: Ils avaient besoin de cet or, comme nous le savons, pour renforcer le bouclier de chaleur autour de leur Planète Nibirou.]

La Liste des Rois assigne la ville de Badtibira à Nugig ou NU-GIG qui signifie "celui du ciel brillant" et fut une épithète pour Nannar, le fils favori d’Enlil.

Arrivant par bateaux des mines Africaines, les minerais seraient transformés à Badtibira en lingots et seraient envoyés au vaisseau mère orbitant pour être enfin transportés à Nibirou. Pour cette raison, une ville contenant des phares était nécessaire pour guider les navettes.

Larak, centre de contrôle spatial

Le nom LA-RA-KA signifie "voir la lumière brillante" et fut la troisième ville assignée à la royauté. Son nom indique sa fonction, celle de guider les navettes arrivant et quittant la Mésopotamie.

La Liste des Rois assigne la ville à Pabilsag, signifiant "le grand protecteur" et ce fut un des titres de Ninourta, l’assistant militaire d’Enlil qui recouva les MEs du fils rebelle Zu. Très peu est connu de cette ville et comme celle de Badtibira, elle n’a pas encore été archéologiquement localisée. [Note de l’éditeur: Ninourta en Égypte était Ptah; Zu ou Mardouk en Égypte était Amon-Ra, le Baal de la Bible.]

Sippar, plate-forme de lancement spatial

La quatrième ville construite était SIP-PAR ou "Ville de l’Oiseau." Elle était la plate-forme d’atterrissage pour les navettes, surtout celles qui transportaient les métaux. Un des mythes Sumériens déclare que cette ville fut construite pour le dieu Utu, un parmi le cercle des sept grands dieux qui décrétèrent les destins.

Mieux connu comme Shamash, son nom Akkadien et Sémite, Utu était le chef des astronautes. Quand la plate-forme spatiale et toutes les activités connexes furent déplacées aux Terres occidentales [Note de l’éditeur: c.-à-d., le Sinaï] après le Déluge, Shamash fut placé en charge de la ville spatiale de Baalbek aussi bien que la terre du Liban. [Note de l’éditeur: Ceci est légèrement inexact. Le prince Utu était le Commandant Spatial à la plate-forme du Sinaï; la Princesse royale Inanna était la Commandante à Baalbek, bien qu’elle fût sous l’ordre direct de son frère et amant secret, le Prince Utu.

Puisque c’était "l’escalier vers les étoiles," Sippar était d’une grande importance parmi les villes antédiluviennes. Son seul roi Enmeduranna signifie littéralement "le Seigneur dont les MEs lient le Ciel et la Terre," une allusion à sa capacité de contrôler les vols entre Sippar et le vaisseau orbitant. Enmeduranna est le héros d’une tradition Sumérienne qui dit qu’il fut transporté au ciel, tout comme l’Énoch Biblique. La preuve qui identifie Énoch comme Enmeduranna se trouve dans les écritures du Pseudepigrapha discutées plus bas.

Shouroupak, centre médical principal

La cinquième ville à être construite fut SHU-RUP-PAK, ou "la place de l’extrême bien-être." Cette ville fut consacrée à l’Infirmière chef et l’Officier Médical de l’Expédition, la Déesse Ninhoursag. Elle voyait aux besoins médicaux et à la santé des Anounnaki et jusqu’à un certain point, aux besoins des êtres humains, de son temple sur la ziggourat à Shourouppak.

Uruk, ville sacrée du grand Dieu Anou

Ouruk ou "Grande Ville" fut consacrée au dieu principal Anou. Son temple sur la ziggourat fut le centre de cérémonie pour Sumer. Elle était sa résidence lorsqu’il n’était pas dans sa ville spatiale et qu’il visitait la Terre, ce qui est devenu moins fréquent à mesure que la Terre se peuplait. L’influence d’Anou paraît avoir décliné juste avant le Déluge et Enlil pris son autorité. Puisqu’il utilisait rarement cette ville, Anou la donna à Inanna à sa demande. [Note de l’éditeur: Anou et Inanna furent des amants pendant longtemps.] Elle raffermit son contrôle sur la ville d’Ouruk en obtenant les contrôles et les autorités nécessaires dans les MEs qu’elle avait prise d’Enki, comme nous l’avons vu.

Nippour, centre administratif d’Enlil

Cette ville fut consacrée à Enlil et c’est là qu’il gouverna de son Ekur ou "maison sur la montagne." À Nippour, Enlil exerça le contrôle suprême sur tous les Anounnaki de la Terre avant le Déluge.

Un des cantiques consacré à lui fournit une description graphique d’un centre de contrôle plein de d’appareils de communications et autres matériels électroniques qui parcourent les horizons. De l’Ekur, on disait que Enlil, "parcourt la terre avec ses yeux" et "son rayon élevé cherche le cœur de toutes les terres."

Nippour fut reconstruit après le Déluge comme sa ville sacrée. C’est aussi la ville où, selon le "Troisième Livre d’Énoch" que le Seigneur garda son "Shekinah" ou vaisseau spatial, à l’entrée du Jardin d’Éden jusqu’aux jours d’Énosh lorsqu’il est parti abruptement pour sa demeure céleste pour ne revenir qu’en certaines occasions spéciales. Ce fut aussi à Nippour, à la Rivière Kebar, qu’Ézéchiel vit pour la première fois le "chariot de feu" lequel est décrit dans le "Livre d’Ézéchiel." [Note de l’éditeur: Si jamais vous traversez Pittsburg, Texas, déjeuner au Warrick’s Restaurant excellente nourriture typiquement Acadienne. Ils ont une copie exacte du vaisseau d’Ézéchiel en plein milieu du restaurant à côté d’où joue le groupe de musiciens Samoan tous les week-ends. Oui, c’est vrai !]

L’Abzou, palais flottant d’Enki

AB-ZU, ou Apsu en Akkadien, est dérivé de la combinaison d’AB ou AP [Note de l’éditeur: Linguistiquement, le B et le P sont des consonnes jumelles] signifiant "le père, le créateur, ou le grand" et ZU ou SU signifie "celui qui sait, le sage," suggérant ainsi que c’était la source de toute la sagesse et des connaissances. L’Abzou paraît avoir eu trois significations différentes pour les Mésopotamiens, dépendant de la période ou l’époque auxquelles les tablettes font références.

Originairement, Abzou fut le terme pour notre Soleil. Dans le Mythe Sumérien de la Création qui traite de la formation de l’Univers, l’Abzou est appelé "le primordial" et "le créateur" des planètes de notre système solaire. Plus tard, quand les Anounnaki arrivèrent ici et commencèrent à installer leurs opérations, l’Abzou est clairement la demeure d’Enki située près la ville d’Éridou.

Après le Déluge, la signification prend des connotations sinistres. Il devient "le profond" d’où la provenance du mot Grec "abyssos" et "l’abîme" moderne et fait référence au monde inférieur, vraisemblablement aux anciennes mines. Miner ne paraît pas être la préoccupation principale de la période post-diluvienne. Bien qu’elles soient encore probablement opérationnelles et travaillées sur une base limitée par une population de détenus, elles étaient principalement devenues un endroit de détention. [Note de l’éditeur: Après le Déluge, les mines d’or d’Afrique du Sud sont devenues désuétudes. Alors, les Guerres des Pyramides compliquèrent davantage cette situation. Le duc Nergal fut démis de sa position et remplacé par le Prince Enki qui déplaça l’opération entière dans la région du lac Titicaca et de Nazca au Pérou. Ce changement fut aussi motivé par le fait que le Prince Utu, l’amant secret et l’allié de la princesse royale Inanna dans les Guerres des Pyramides, fit sauter la plate-forme spatiale du Sinaï pour l’aider dans sa lutte contre le vilain Baron Mardouk et son épouse, la vilaine Baronne Sarpanit. Ces derniers furent connus en Égypte comme Amon-Ra et Nut-Bast et dans la Grèce Ancienne, comme Belus et Anchinoe.]

C’est la deuxième signification, celle des quartiers généraux flottants d’Enki qui envahit la littérature concernant les jours antédiluviens. Dans le mythe "Enki et l’Ordre Mondial," un des plus longs et le mieux conservé des poèmes narratifs, l’Abzou d’Éridou est décrit comme un splendide haut lieu, niché parmi l’ombre des arbres remplis d’oiseaux et de canaux navigables stockés de poissons.

Dans ce jardin comme l’Éden, Enki voyage sur les terrains marécageux et les canaux dans son type de bateau MAGUR qu’il décrit comme "l’Ibex de l’Abzou." Le terme MA-GUR signifie "bateau qui tourne facilement."

L’Ibex est une allusion à la chèvre sauvage des montagnes environnantes et est souvent utilisé pour représenter Enki sur sceaux-cylindres et les statuettes. La plus belle de celle-ci est probablement la statue de l’Ibex qui regarde à travers un arbrisseau, trouvée dans le palais royal à Our et datée à environ 2500 avant J.-C. Fabriquée d’or et de lapis-lazuli, elle démontre un Ibex ailé qui regarde à travers un arbrisseau représentant "l’Arbre de Vie" ou l’immortalité. [Note de l’éditeur: Quelqu’un m’a récemment envoyé un e-mail me demandant où vont ces "dieux" lorsqu’ils "meurent," puisque le Duc Dumuzi/Adonis, l’amant de la provocatrice Inanna fut assassiné par le Baron Mardouk pendant les Guerres des Pyramides. Je ne sais pas ce qu’il leur survient. Le duc Dumuzi, en autant que je le sache, est le seul qui ait été privé de la vie. Les autres Dieux Sauriens boivent un élixir d’un "Arbre de Vie" qui confère la vie éternelle, pourvu qu’ils continuent de le boire. C’est pourquoi ils ne permettaient absolument pas aux hybrides Adam et Ève d’en obtenir. Ils ne voulaient pas que "nous" atteignions le statut de "dieux immortels".]

Enki est souvent représenté comme résidant dans cet Abzou ou "palais d’eau." Un sceau-cylindre daté d’environ 2000 avant J.-C. le démontre comme sa maison entourée d’eau. Ce fut aussi probablement un véhicule marin mobile, tel qu’indiqué dans "l’Épique de Gilgamesh" où Utnapishtim, le Noé Babylonien, se fait dire de sceller son arche pour le rendre imperméable. "Comme l’Abzou, tu la scelleras," lui dit-il.

L’Abzou semble donc être scellé comme un bateau et fut probablement aussi submersible. Avant que Enki ait construit la première ville d’Éridou, il résida dans l’Abzou qui apparemment, était descendu du vaisseau spatial orbitant pour se localiser dans les marais de la Mésopotamie. Vraisemblablement, sa configuration lui permettait de voler et aussi d’être submersible. Il y a une comparaison intéressante à la configuration de l’Arche de Noé: voir le Chapitre 13.

Enki, l’Oannes des légendes babyloniennes

[Note de l’éditeur : Lisez "The Sirius Mystery" par Robert K. G. Temple. Ces Sauriens sont sans doute arrivés ici du Système Sirius.]

Les traditions de l’Ancienne Mésopotamie racontent l’histoire d’un ancêtre amphibie qui enseignait les arts et les métiers de la civilisation à l’espèce humaine. Écrite durant le troisième siècle avant J.-C. par le prêtre Babylonien Bérossus, elle décrit les origines de la civilisation selon ses aïeux.

Bien que les travaux de Bérossus aient été perdus, un grand nombre de fragments ont été conservés par plusieurs écrivains contemporains tels qu’Apollodore, Aleksander Polyhistor et Abydens, un des disciples d’Aristote qui écrit aussi l’histoire d’Assyrie, maintenant perdue.

Le récit est, qu’un groupe de créatures sorties du Golfe Persique appelé "Annedoti" fut conduit par Oannes. Ils furent représentés comme des créatures amphibies possédant une tête humaine, un corps et une queue de poisson, cependant, avec des jambes humaines.

Conduites par Oannes, ces créatures enseignèrent à l’homme toutes les anciennes connaissances. Selon la légende, Oannes enseigna à l’homme comment construire des villes, fonder des temples, compiler des lois, inspecter les terres et comment cultiver de la nourriture. Il leur a aussi appris les mathématiques, les sciences et tous les différents arts.

Apollodore fit référence à Oannes et à l’Annedoti comme "Musarus." Le mot "Musarus" signifie en Grec, "une abomination" comme "Annedoti" signifie "ceux qui sont répulsifs." En d’autres termes, les créatures à qui on donne le crédit d’avoir fondées la civilisation furent décrites par les Babyloniens qui les révéraient, comme des "abominations répulsives".

Si la tradition avait été inventée, une attitude plus normale serait de glorifier ces créatures comme des dieux splendides et des héros. Mais le fait qu’ils choisirent de décrire leurs ancêtres de cette façon démontre l’authenticité du récit. Selon la tradition Babylonienne, ils devaient leur connaissance à des créatures qui sont venues de la mer qui étaient dégoûtantes et repoussantes à regarder.

Encore plus important, l’Oannes de Bérossus et Apollodore a une ressemblance frappante au Sumérien Enki qui fonda la civilisation Mésopotamienne et apporta les arts et les sciences à l’espèce humaine. Enki vivait dans son palais d’eau ou Abzou localisé sur le bord du Golfe Persique. L’Abzou d’Enki fut scellé et était vraisemblablement submersible. On disait qu’Oannes retournait à sa demeure aqueuse pour passer la nuit.

Même le terme Annedoti est semblable au peuple d’Enkiles Anounnaki. Le terme Grec est peut-être en provenance des Sumériens et fut plus tard utilisé comme description d’une race qui était à la fois reptilienne et repoussant.

Lorsque nos ancêtres Sauriens sont arrivés ici pour exploiter les ressources de cette planète, ils ont dû trouver les conditions physiques ici idéales pour vivre, peut-être semblables à celles de leur planète. Quelles étaient ces conditions si compatibles à la race étrangère qui est venue ici il y a de cela des centaines de milliers années ?


Chapitre 3

Les conditions physiques avant le déluge

"Et le deuxième jour, il fit le firmament au milieu de l’eau. Et les eaux furent divisées en ce jour. La moitié s’éleva et l’autre descendit en bas du firmament." Du Livre des Jubilés.

Au moment de l’arrivée des astronautes étrangers ou Anounnaki, le climat de la Terre était moite et stable, ne connaissant pas les extrêmes de température que nous avons aujourd’hui. Cette condition était due à la quantité énorme d’humidité qui était contenue dans l’atmosphère, un véritable baldaquin de nuages. Cette condition est décrite dans le Livre de la Genèse comme la "séparation des eaux."

C’est dans ce climat moite que les Anounnaki arrivèrent pour exploiter les ressources de la Terre. Ils étaient une race de Sapiens reptile et trouvèrent les conditions très convenables à leur existence car ils se rapprochèrent de celles de leur planète.

[Éditeur : Nous savons de Sitchin qu’avant l’arrivée de la Planète Nibirou, la Terre était dans une orbite différente autour du Soleil. Après la collision d’une des lunes de Nibirou avec la Terre dans la région que nous appelons maintenant l’Océan Pacifique, la Terre/Tiamat fut projetée et changea d’orbite. Évidemment, lorsque ces Nibirouiens arrivèrent, ils trouvèrent un climat différent de celui ce que nous avons éprouvé dans les temps plus modernes.]

Ce n’est pas aucun accident que les premières villes furent fondées à l’embouchure de grandes rivières où l’humidité était abondante. Sauf le Tigre et L’Euphrate, d’autres civilisations surgirent dans le delta du Nil et de l’Indus. Ils furent des rejetons de la colonie principale en Mésopotamie.

La signification de la séparation des eaux

Selon le conte de la création du Monde dans la Genèse, à un certain moment, les eaux furent toutes mélangées ensemble. Alors, elles furent divisées: "Dieu dit, ` Qu’il y ait une étendue dans le milieu de l’eau pour former une division entre les eaux,’ et ce fut ainsi. Dieu créa l’étendue, et elle divisa l’eau d’en dessous de l’eau d’en dessus."

La séparation des eaux avec la moitié restant sur la surface de la Terre et l’autre moitié formant l’atmosphère supérieure est aussi mentionnée dans le Livre des Jubilés. Un des livres perdus de la Bible, les Jubilés, fut écrit en Hébreu mettant plus de détails dans les livres de la Genèse et l’Exode. Ce livre a aussi été trouvé écrit en Grec, en Syriaque, en Latin et en Éthiopien. Cependant, le texte Éthiopien est le seul qui a survécu en totalité. Le Livre des Jubilés mentionne qu’autant d’humidité est restée dans l’atmosphère qu’il se trouvait dans les océans mondiaux:

"Et, pendant le deuxième jour, il fit le firmament au milieu de l’eau. Et les eaux furent divisées en ce jour. La moitié d’eux monta et l’autre descendit en bas du firmament."

Clairement, il est affirmé qu’autant d’humidité était contenue dans le ciel, vraisemblablement comme de denses nuages et dans les mers dessous. Bérossus dans son histoire de la Babylonie, des fragments ayant été conservés par Polyhistor, raconta qu’au temps de la création "l’univers entier consistait d’humidité" et que Zeus "sépara le ciel et la terre l’un de l’autre."

Cette condition fut notée universellement. Plusieurs anciennes cultures font référence à un temps dans le passé lointain quand il n’y avait aucun soleil comme nous le connaissons aujourd’hui. Le Popul Vuh, le livre sacré des anciens Quiche Mayas, affirme qu’il y avait un temps quand c’était nuageux et le crépuscule régnait sur la Terre. Ils ne voyaient pas encore le soleil puisque "le ciel et la terre existaient mais le soleil et la lune étaient couverts." Ces denses nuages ou cette vapeur voudraient dire que le ciel bleu n’a pas été vu par les anciens qu’après le Déluge. [Note de l’éditeur: Boulay et Sitchin paraissent être sous la fausse impression que seulement un Déluge s’est produit dans notre histoire planétaire. Si nous acceptons les théories du Dr Immanuel Velikovsky dans "Worlds In Collision," il y a eu une série de "Déluges," lesquels furent le résultat direct d’une série des déplacements des axes polaires. Donc, cette référence dans le Popul Vuh fait sans doute référence à seulement qu’un de ces cataclysmes.

Un des plus vieux récits mythologiques Sumériens, sinon le plus vieux, répète la description du Popul Vuh. Il est paraphrasé comme suit:

"Les reptiles descendent vraiment. La Terre est resplendissante comme un beau jardin. À ce temps, Enki et Éridou n’étaient pas encore apparus. La lumière du jour ne brillait pas. Le clair de lune n’avait pas émergé."

Un baldaquin de nuages signifiait aussi que la Terre devait être arrosée d’une manière différente. Le Livre de la Genèse corrobore ceci en disant:

"Dieu n’avait pas encore envoyé de la pluie sur la Terre... à la place, une source jaillirait de la terre et arroserait le sol entier."

Ce ne fut pas jusqu’au moment où cet abri de nuages s’écroula avec l’événement connu comme le Déluge que l’homme vit la lumière du soleil et le ciel bleu. On trouve aussi ceci dans la Genèse qui dit que le Seigneur introduisit l’arc-en-ciel après le Déluge. Les arcs-en-ciel sont le résultat de l’effet prismatique du cintrage des rayons du soleil à travers les gouttelettes d’eau. Les arc-en-ciel peuvent se produire seulement qu’après la pluie et exige l’action directe de la lumière du soleil.

La baldaquin de vapeur terrestre antédiluvien

La théorie que la Terre avait un baldaquin de vapeur primordial fut développée par Donald Patten dans son livre "The Biblical Flood and the Ice Epoch." Il présume que c’était en sorte comme ce qui encercle Vénus aujourd’hui. Le baldaquin de Vénus consiste surtout de bioxyde de carbone et d’hydrocarbures, avec un peu de vapeur d’eau. Le baldaquin de vapeur primordial de la Terre fut surtout composé de vapeur d’eau, un peu de bioxyde de carbone et aucun hydrocarbure. Cet abri de nuages se condensa au temps du Déluge. Patten croit que la vie végétale fut exubérante en cette période due aux proportions de bioxyde du carbone et de vapeur d’eau dans l’atmosphère et la capture des longues ondes de radiation qui causèrent "l’effet de serre."

Cet effet de serre signifiait que les températures auraient tendance à être constantes entre la nuit et le jour aussi bien qu’entre l’été et l’hiver. Il y avait peu de circulation dans l’atmosphère et cette absence d’activité de cyclone empêcha la formation de tempêtes et autres formes de précipitation.

Bien que la surface de la Terre ait été protégée des rayons directs du Soleil, la vie végétale était riche et abondante dû à la proportion de bioxyde de carbone à celle de vapeur d’eau dans l’atmosphère. La quantité de bioxyde de carbone dans l’atmosphère était probablement plusieurs fois plus grandes qu’elle l’est aujourd’hui. Deux climatologues, Owen Toon et Steve Olson, dans leur article sur "The Warm Earth," dans la revue Science, (octobre 1985) maintenaient que l’atmosphère du début de la Terre a pu contenir autant que mille fois plus de bioxyde de carbone qu’aujourd’hui.

En ces jours, les gens obtenaient l’eau de sources souterraines, comme affirmé dans la Genèse 5: "Dieu n’avait pas encore envoyé de la pluie sur la Terre... à la place, une source jaillirait de la terre et arroserait le sol entier." L’eau fut aussi fournie par les rivières qui descendaient des montagnes, nourries par les sources naturelles. De plus, l’atmosphère très saturée se condensait à la tombée de la nuit, produisant ainsi beaucoup de rosée et fournissant une certaine quantité d’humidité.

Cependant, pendant la nuit, ces conditions devinrent insupportables pour l’homme lorsque la rosée était précipitée. Cela peut expliquer pourquoi les cavernes étaient d’usage courant par l’homme en Europe entre 60 000 et 10 000 avant J.-C. Vraisemblablement, elles furent utilisées comme refuge de protection contre les animaux sauvages, mais aussi, en faisant des feux à leurs entrées, elles lui fournirent un répit des conditions climatiques oppressives.

Avec ce baldaquin de vapeur, l’humidité, même pendant le jour, aurait été au maximum et les températures auraient été logiquement près du point de rosée. À la venue de la nuit, les températures tombèrent légèrement et le point de rosée serait atteint rapidement. À ce moment, une couche de rosée quelque peu moite et inconfortable commençait à se former. En construisant un feu près de la bouche de la caverne, l’homme primitif pouvait maintenir la température au-dessus du point de rosée toute la nuit pour être plus confortable. [Éditeur : Cette hypothèse est extrêmement provocatrice et exceptionnelle, et, à ma connaissance, elle est unique au livre de Boulay.]

L’assèchement de la Terre

Pendant cette période, le climat était bénin sur la Terre. L’atmosphère stable et moite était idéale pour les énormes dinosaures végétariens et autres formes de grands reptiles. Si le climat antédiluvien était resté le même, qui sait quelles formes reptiliennes auraient évolué ? [Note de l’éditeur: Il est à noter que Boulay suppose que les dinosaures et l’homme ont coexisté. C’est le même type de théorie révolutionnaire proposée par le Dr Velikovsky, une qui fut attaquée par la science.]

Dans leur analyse des raisons pour lesquelles les dinosaures et les reptiles sont disparus, Allaby et Lovelock dans leur livre intitulé "The Great Extinction," ont suggéré que si le climat était resté inchangé jusqu’à maintenant, il n’y a aucune raison de supposer que les reptiles auraient décliné. Ils maintiennent de plus que, "les mammifères pourraient encore vivre dans l’obscurité nocturne et si des êtres intelligents avaient évolués des êtres avec des technologies avancée sils auraient peut-être de la peau écailleuse et probablement de longues queues."

Cependant, les conditions physiques commencèrent à changer dramatiquement. La terre a commencé à s’assécher. Puisqu’il n’y avait aucune activité de cyclone pour produire la pluie, l’humidité provenait de la terre ou de rivières nourries de sources. Une quantité limitée d’humidité fut aussi fournie par l’atmosphère qui se condensait à la tombée de la nuit.

Le climat changeant n’était plus sain pour les Sauriens étrangers. Les mammifères s’adaptèrent mieux aux changements et replacèrent graduellement les reptiles comme espèce dominante sur la Terre. La végétation luxuriante déclinait et les Anounnaki commencèrent à souffrir.

Un mythe Sumérien appelé "La Dispute entre le Bétail et le Grain," décrit comment les Anounnaki avaient vécu dès l’origine de la Terre:

"Ils ne connaissaient pas le pain, ni les vêtements. Ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons, buvaient de l’eau du fossé."

Puisque les conditions sur la Terre avaient changé, les Anounnaki ne pouvaient pas se nourrir. Le mythe décrit comment deux déesses furent créées dans le vaisseau spatial pour aider les Anounnaki à obtenir de la nourriture la Déesse du Bétail, Lahat et, la Déesse du Grain, Ashnan. Les Anounnaki ne pouvaient pas apprendre comment se nourrir pour des raisons qui ne sont pas données et l’expérience échoua. C’est pourquoi le mythe déclare que l’homme fut créé.

À ce temps, les Anounnaki étaient des végétariens et ce n’est que plus tard quand la nourriture devint rare qu’ils commencèrent à manger de la chair. L’Apocalypse Éthiopienne d’Énoch décrit que les Néfilim commencèrent à manger la chair des animaux, tout en se plaignant continuellement de la pénurie de nourriture végétarienne.

Les sources religieuses et séculières indiquent que l’homme et les dieux serpents qui vivaient parmi eux furent des végétariens et non des mangeurs de viande. Selon la Genèse, l’homme mangea de la chair seulement qu’après le Déluge. Ce n’était pas vrai des Néfilim et des Anounnaki qui mangèrent de la chair animale et finalement, celle des humains.

L’assèchement de la Terre a pu être partiellement causé par les nombreuses catastrophes de cette période. On fait souvent allusion aux tremblements de terre et autres catastrophes naturelles dans la période antédiluvienne dans la littérature religieuse aussi bien que dans les mythes Sumériens.

Les tremblements de terre et autres catastrophes

Les tremblements de terre et autres catastrophes naturelles n’étaient pas inconnus de l’homme à cette époque car ils sont mentionnés dans plusieurs sources religieuses et séculières anciennes. Le Haggadah, la source de tradition orale Hébraïque, fait référence à une période de calamités qui s’est produite dans la génération d’Énosh, la seconde après Adam, quand la Terre fut assaillie par "quatre révolutions de la nature," vraisemblablement une référence à des tremblements de terre, peut-être causés par un changement d’axe de la Terre.

D’autres sources anciennes révèlent que pendant les jours d’Énosh, il y eut des interruptions sévères dans la provision de l’eau et que "les montagnes sont devenues stériles," et tellement de gens sont morts que les cadavres pourrissaient là où ils étaient sans qu’ils soient enterrés.

Un tel changement aurait eu aussi un effet sur le calendrier, surtout sur la longueur de l’année. Dans le Premier Livre d’Énoch, il y a plusieurs avertissements contre les erreurs dans la compilation de la longueur de l’année. Énoch dit à Méthuselah que "l’année est complétée en 364 jours" et de ne pas noter cette correction renverseraient l’ordre des jours de célébration. Il paraît donc que, pendant quelque temps, la longueur de l’année fut de 364 jours au lieu de 365. [Note de l’éditeur: Ce point est discuté en détail par le Dr Velikovsky dans "Worlds In Collision."]

Même l’écrivain Grec Hérodote, dans ses histoires, fit référence aux anciennes perturbations de la Terre. Il fut informé par les prêtres Égyptiens à l’ancienne ville de Héliopolis que dans les 10 000 années précédentes, "le soleil avait changé son cours normal quatre fois." Il paraît que l’axe de la Terre avait été déplacé quatre fois, puisque le soleil, disait-il, avait changé sa position habituelle, deux fois se levant à l’ouest et deux fois à l’est.

Curieusement, ce que dit Hérodote est en accord avec les anciennes sources religieuses qui racontent quatre troubles majeurs durant les jours d’Énosh. Le comportement excentrique du soleil est aussi trouvé dans la tradition orale Hébraïque qui affirme qu’à l’époque avant le Déluge, "les lois de la nature furent suspendues, le soleil se leva à l’ouest et se coucha à l’est."

Le siècle juste avant le Déluge a dû être un plusieurs catastrophes naturelles qui étaient un signe avant-coureur de celle qui s’en venait. [Note de l’éditeur: Peut-être que ce "Déluge" à qui Boulay semble attribuer tant d’importance fut en effet une "catastrophe majeure," de proportions monumentales, à comparer à un Changement d’Axe Polaire ordinaire, si on ose appeler un tel Changement d’Axe ordinaire.]

La période de 120 ans dans la Genèse

Il y a une énoncée curieuse dans la Genèse 6 qui précède la narration du Déluge, qui fait référence à une période de 120 ans. Depuis des générations, les savants ont interprété ce verset par le Seigneur comme voulant signifier que l’homme fut alloué un temps de vie de 120 ans. La Genèse dit,

"Mon esprit ne demeurera pas dans l’homme à jamais, car il est chair, mais ses jours seront cent et vingt années."

Cette interprétation relatant à la durée de vie de l’homme paraît bizarre vu le fait que le texte traite de l’intention de Dieu de détruire l’espèce humaine dans le Déluge qui approche. Ainsi, pourquoi lui offre une longue vie ?

D’autres versets subséquents dans la Genèse ne supportent pas cette durée de vie arbitraire. Après le Déluge, les descendants de Noé vécurent plus que la limite de 120 ans. Shem vécu 600 ans, son fils Arphaxad 483 et son fils Salah 433, et ainsi de suite jusqu’à Abraham qui est mort de vieillesse à l’âge de 175 ans. Isaac vécu 180 ans et Jacob 147 et, ce ne fut pas jusqu’aux générations de Moïse qui est mort à 120 ans que cette prophétie paru devenir vraie. Depuis les jours de Moïse, il y eu un déclin stable dans la durée de l’homme jusqu’à présent où l’âge de 80ans+ est considéré être la moyenne.

Évidemment, ce verset dans la Genèse ne s’applique pas à la durée de vie mais à autre chose dont la signification fut omise durant les premières années de l’Ancien Testament. De plus, l’emplacement de ce verset immédiatement avant le conte du Déluge suggère fortement qu’il est sans doute en rapport avec la catastrophe universelle.

Ce témoignage est évident dans plusieurs anciens documents religieux. L’ancienne littérature Rabbinique, par exemple, raconte que Noé fut informé de la catastrophe qui s’approchait 120 ans avant et on lui a dit d’exhorter les gens à changer leurs façons d’agir. En d’autres mots, les 120 ans furent des années de probation, pendant lesquelles l’homme avait le choix d’éviter la destruction en changeant ses agissements.

Un avertissement semblable est prononcé dans l’Apocalypse Slavonique d’Énoch, aussi appelée le Deuxième Livre d’Énoch, mais ici l’avertissement est donné à Méthuselah au lieu de Noé à qui on dit de prévenir les gens à changer leurs manières dues au fait "que la destruction de la Terre se rapproche."

Méthuselah fut aussi informé que la Terre "changerait ses saisons," dans l’anticipation du temps de la destruction. Apparemment, il y aurait des problèmes sévères sur la Terre pendant cet intérim de 120 ans.

Pendant cet intervalle, les conditions sur la Terre furent perturbées et les troubles nombreux signifiaient la destruction majeure à venir. Les cieux de la période durent être terrifiants puisque le système solaire jouait un jeu de ping-pong céleste.

Le Deuxième Livre d’Énoch parle d’une période de chaos juste avant le Déluge qui brisa la société et quand les peuples et les nations se battaient une contre l’autre. Des références à de tels troubles ne sont pas limitées aux documents religieux mais se trouvent également dans la littérature cunéiforme Sumérienne.

Dans l’Épique Atrahasis, le conte Babylonien du Déluge, l’homme est affligé par des fléaux et autres pestes juste avant la catastrophe. Des interruptions des courants d’eaux en provenance des montagnes causèrent les plaines Mésopotamiennes à devenir salées et improductives. Cette réduction d’eau fraîche permit à l’eau salée du Golfe Persique de pénétrer les rivières Tigre et Euphrate. Les eaux devinrent saumâtres, et comme l’Épique le décrit:

"Les fontaines furent arrêtées afin que l’inondation cesse de monter à la source. Les champs diminuèrent leur production. La grande plaine fit couverte de sel; son ventre révolté pour qu’aucune plante ni grain puisse y pousser."

L’Éden de la Bible était devenu une plaine saumâtre désolée. Selon l’Épique, les conditions de vie devinrent insupportables il y eut la famine, la maladie et les survivants durent avoir recours au cannibalisme.

Une diminution de la nourriture n’était pas le seul problème; il y avait aussi celui du surpeuplement. Employant la généalogie du Livre de la Genèse comme source démographique, il peut être démontré qu’il y avait une haute densité de population dans cette région.

En supposant que chaque avait vingt enfants, un chiffre très conservateur considérant la longue vie des habitants et le système de polygamie et, en comptant seulement que dix générations d’Adam à Noé, le nombre extraordinaire d’un milliard de gens peut être déduit.

Bien que ce nombre puisse être mathématiquement correct, logiquement, il représente un recensement impossible pour le nombre de gens qui existait au temps du début du Déluge. Il suggère plutôt qu’il y avait un très haut taux de mortalité parmi les êtres humains.

 

 


Chapitre 4

L’Ancien testament commence à Sumer

"Le plus difficile et le plus obscur des livres sacrés, la Genèse, contient autant de secrets que de mots et, chaque mot en dissimule plusieurs autres." Saint Jérôme

Les Annunaki décrits dans les Saintes Écritures

Y a-t-il des preuves dans la littérature religieuse occidentale qui corrobore les activités des Anounnaki telles que trouvées dans les nombreux mythes, poèmes et cantiques de la Mésopotamie ? Ces sources Sumériennes traitent des mêmes événements la création de l’homme, sa modification subséquente en homme moderne ou Homo sapiens, l’existence de rois-dieux, la venue du Déluge et plusieurs événements subséquents de l’histoire.

Il y a beaucoup de littératures religieuses à part du Livre de la Genèse qui traite de la période avant le Déluge. Des sources telles que les trois livres d’Énoch, le Livre des Jubilés, les enseignements Gnostiques, les Manuscrits de la Mer Morte, le Haggadah ou la tradition orale des Juifs, les écritures Rabbiniques, les travaux de Josephus et plusieurs travaux du Pseudepigrapha.

Plusieurs choses qui ne sont pas intelligibles dans ces anciennes écritures religieuses sont expliquées en partie dans la grande bibliothèque de symboles et d’inscriptions cunéiformes Sumérienne et Babylonienne. Il sera démontré que les Saintes Écritures et la littérature Sumérienne, vues dans un contexte historique et en enlevant leur verbiage spirituel et mythologique, se supportent mutuellement. Il est clair que Sumer fut la source des événements et des histoires de l’Ancien Testament et autres écritures religieuses occidentales.

Bien que plusieurs apologistes Bibliques essayassent d’éviter ou de brouiller la question de l’origine de l’Ancien Testament, les faits historiques démontrent clairement que ses antécédents sont dans la vallée de la Mésopotamie.

La culture Sumérienne qui peut être tracée dès le commencement du quatrième millénaire avant J.-C., fut la source de tous les mythes des civilisations du Moyen-Orient qui suivirent, tels les Akkadiens, les Babyloniens et les Assyriens qui héritèrent beaucoup de la culture Sumérienne. Cette culture fut éventuellement transférée vers l’Ouest aux terres de la Palestine, la Syrie, le Liban et l’Anatolie.

La langue réelle des Sumériens fut bientôt remplacée par l’Akkadien, une langue Sémite. Le Sumérien est non-sémite et ses origines sont inconnues. Elle semble n’avoir aucune affinité et est apparue sur la Terre soudainement de nulle part. Les Akkadiens et les Sumériens s’entremêlèrent plus tard et fusionnèrent enfin les deux langues. De ce milieu Sumérien-Akkadien, les Sémites évoluèrent et éventuellement, les Hébreux ou les Juifs. Les Hébreux n’ont pas inventé leur langue ou leurs formes littéraires leur culture fut héritée des cultures plus anciennes de la Mésopotamie et de Chanaan.

Nous devrions réaliser plus clairement que lorsque vécurent ces fameux personnages bibliques, Noé et Abraham, l’Hébreux n’existait pas. Les Juifs autant que les Arabes réclament leur descendance d’Abraham qui n’était ni juif ni arabe mais un résident de la ville d’Our en Mésopotamie.

La première référence de l’Ancien Testament démontrant la présumée ascendance hébraïque d’Abraham est une erreur perpétuée par une fausse traduction. Dans leur impatience de prouver l’antiquité hébraïque, les traducteurs firent incorrectement référence à Abraham comme telle dans la Genèse 14.

Le contexte dans lequel apparaît cette référence est l’invasion des rois de l’est dans la terre de Chanaan et la réaction d’Abraham lorsque son neveu fut pris comme prisonnier. Voici le texte :

"Les vainqueurs prirent toutes les biens de Sodome et de Gomorrhe et tous leurs vivres, et ils s’en allèrent. Ils prirent aussi Lot, fils du frère d’Abram, et ses biens, et ils s’en allèrent; car il demeurait à Sodome. Un des fugitifs vint l’annoncer à Abram l’Hébreu, qui habitait aux chênes de Mambré, l’Amorhéen, frère d’Echkol et frère d’Aner, tous alliés d’Abram."

Apparemment, Abraham (Abram) était un étranger dans cette terre à ce moment; il avait émigré de la ville d’Our en Mésopotamie. Lui et Lot étaient des visiteurs ou des voyageurs. La traduction du mot "ibri" comme "hébreu" n’a aucun support linguistique. La racine "br" signifie "passer à travers ou traverser." Donc, "ibri" comme il paraît dans le texte de la Genèse, signifierait celui qui traverse ou un visiteur. En réalité, Abraham apprit que son neveu et ami avait été capturé par les envahisseurs. [Note de l’éditeur: Dans les traditions linguistiques Éthiopiennes, dans une des plus vieilles de toutes les civilisations modernes, le mot "bir" signifie "dollar." Puisqu’un dollar passe de main à main, ou d’une personne à une autre, il est facile à voir comment la racine linguistique de ce mot influence encore les langues modernes.]

Le "ibri" Sémite est sans doute en rapport avec le "ibru" Akkadien d’où il est probablement dérivé. Dans la version Akkadienne de la L’Épique de Gilgamesh, son ami Enkidou, avec qui Gilgamesh partage la plupart de ses aventures, s’appelle "ibru." Le "Chicago Assyrian Dictionnary" le définit comme un rapport entre des personnes de même comportement et l’obligation d’assistance mutuelle. Cette définition décrit parfaitement la situation d’Abraham et de Lot.

Les activités subséquentes d’Abraham dans la terre de Chanaan ne laissent aucun doute qu’il était un étranger et un visiteur. Par exemple, après sa lutte avec l’armée envahissante, il devait se rapporter à Melchisédech, le Roi de Salem où il paya une dîme de dix pour cent de tout le butin qu’il avait recouvré. [Note de l’éditeur: Ce Melchisédech, Roi de Salem, est l’homme qui fonda l’Ordre de Melchisédech; et son nom a une sorte de signification occulte dans le pseudonyme du "prophète" moderne John Grace, connu comme Drunvalo Melchizedek.]

Plus tard, quand Abraham s’installa dans la terre de Chanaan près de Gerasa, ce fut à la tolérance d’Abimelech, le roi Philistin qui contrôlait aussi les terres autour de Gerasa et de Beersheba. Plus tard, Abraham eut une confrontation à Beersheba avec Abimelech qui rendit clair qu’il était responsable de cette terre, appuyant ceci avec des troupes menées par le Général Phicol.

Par la suite , Abraham a dû acheter un morceau de terre pour enterrer sa femme Sarah; il paya 400 shekels d’argent pour cette terre, un montant extrêmement élevé pour un petit morceau de terre contenant une caverne. Bien que cette somme fût anormalement élevée, comme visiteur, Abraham n’était pas en position de soulever des objections.

Les activités d’Abraham ne furent pas les actions d’un autochtone et il vivait parmi les gens de Chanaan avec leur permission. C’était la coutume sinon la loi de la terre qu’un étranger ne pouvait pas posséder de propriété. Ceci explique probablement pour le prix élevé qu’Abraham a dû payer.

Les légendes empruntées de l’Ancien Testament

La plus vieille partie de la Bible, la Genèse, les chapitres 1 à 6, traitant de la période antédiluvienne, ne fut pas écrite dans sa forme actuelle bien avant 800 avant J.-C. D’un autre côté, la plupart des histoires et des légendes Sumériennes furent composées et publiées vers 2 500 avant J.-C. ou pas longtemps après. Les versions cunéiformes des tablettes rapportèrent des événements qui eurent lieu avant le Déluge aussi bien que des activités juste après l’événement. [Note de l’éditeur: Si, comme je suppose, la Planète Nibirou était "garée" au-dessus de l’Axe Polaire du Nord aux environs de 1590-690 avant J.-C. du temps de l’Exode et du Cataclysme Santorini au temps des campagnes de génocides de Sargon et la série de "grands tremblements de terre," selon les théories du Dr Immanuel Velikovsky, incluant tout ce segment de l’histoire ancienne qui fut dupliqué dû à la confusion de masse contemporaine et seulement réinterprété pendant ce siècle dans le livre "Ages In Chaos"alors cette partie de la Genèse fut écrite pendant que les Nibirouens étaient dans ce voisinage pour le "dicter" à leurs scribes demi-dieux.]

L’originalité des événements de l’Ancien Testament est examinée minutieusement puisqu’il n’y a rien là qui ne puisse pas être trouvée dans les mythes anciens et la littérature de la Mésopotamie et de la terre de Chanaan. Si les activités d’Abraham peuvent être datées à environ 2 100 avant J.-C. et ses antécédents sont en Mésopotamie, alors tous les événements de l’Ancien Testament qui eurent lieu avant Abraham et le Déluge ont dû avoir leur origine parmi les autochtones.

Ce qui n’est pas souvent perçu est que les Juifs avaient à leur disposition une vaste bibliothèque de la création et autres mythes qui nous étaient complètement inconnus et de laquelle ils empruntèrent sélectivement. Par exemple, nous savons que l’Éden de la Bible était localisé dans la région du delta de la Mésopotamie et que l’histoire de la création d’Adam est un conte Sumérien. L’histoire de l’Arche, du Déluge et de Noé est venue de comptes Sumériens. En fait, l’histoire du Déluge ne fut pas limitée au Moyen-Orient mais fut connue universellement.

Il y eut aussi des parallèles Ougaritique (Chanaan du nord) à la Bible hébraïque. L’histoire de Daniel fut prise d’un poème du Nord de Chanaan daté de 1 500 avant J.-C. L’Épique Ougaritique de Keret décrit la capture d’une mariée du Roi Keret par un roi venant de terre lointaine. C’est éventuellement devenu le motif d’Hélène de Troie. Mais, encore plus important, il est la source des histoires de la Genèse 12 et 20 où deux fois, Abraham dû récupérer sa femme Sarah des mains d’autres rois.

L’histoire de Job vient d’un poème Babylonien traitant d’un homme vertueux nommé Tabu-utul-bel qui fut péniblement affligé pour des raisons inconnues et tourmenté par les dieux.

L’histoire de Jonas a de nombreuses origines et fut apparemment universel, puisque Hercule fut avalé par une baleine à précisément le même endroit, Joppa. Les légendes de Perse disent que leur héros, Jamahyd, fut avalé par un monstre marin et plus tard, vomi sain et sauf sur le rivage. Un conte semblable de l’Inde dans l"Épique classique Samedev Bhatta où Saktedeva fut avalé par un poisson et plus tard, s’enfuit.

L’histoire de Samson est si étrange pour les Hébreux que cela indique qu’il fut emprunté dans sa totalité de la mythologie de Chanaan; en fait, son nom est dérivé de Shamash, le dieu du soleil de Chanaan qui gouverna le Liban. [Note de l’éditeur: Comme nous savons, Shamash est le Prince Utu de la Planète Nibirou, le même "dieu" que le Dieu Soleil Grec Apollon. Le prince Utu était responsable de la Base Spatiale du Sinaï et son aéroport satellite à Baalbek au Liban, sous l’ordre de la Commandante responsable, la princesse royale Inanna, la sœur et l’amant secret du Prince Utu.

Il y a tellement de parallèles qu’il n’y a pas de doute que les Hébreux ont empruntés à leurs contemporains. Comment cette influence a-t-elle pu si complètement pénétrer la Bible ?

À un certain moment pendant le deuxième millénaire avant J.-C., l’écriture, la langue et la littérature Babyloniennes s’infiltrèrent dans toutes les terres à l’ouest de la Mésopotamie. La langue Babylonienne était devenue la langue diplomatique du Moyen-Orient afin que la correspondance entre les princes de Syrie, de la Phénicie et de la Palestine avec leurs chefs suprêmes Égyptiens se fasse en Babylonien. [Éditeur : Cet énoncé est corroboré par la recherche du Dr Velikovsky. On peut penser au Babylonien comme "l’Anglais de l’Ancien Monde".] Par conséquent, pour apprendre l’écriture et la langue des Babyloniens, il est nécessaire pour ces peuples d’étudier leur littérature et pour cette raison, des textes étaient nécessaires. Parmi les tablettes découvertes à Tel-Amarna en Égypte furent des copies, en forme d’exercices scolaires, des histoires Babyloniennes d’Ereshkigal, la Reine du Monde Inférieur et l’histoire d’Adapa, le mortel qui fut trompé à refuser la nourriture et l’eau pour être immortel. Alors ce n’est pas déraisonnable de supposer que plusieurs des traditions Sumériennes et Babyloniennes, telles que les histoires de la Création et du Déluge, furent aussi connues des Hébreux, ou du moins à leurs chefs.

Quand il quitta Our dans la vallée de la Mésopotamie, Abraham apporta vraisemblablement ces traditions Sumériennes avec lui. Son père Terah était haut prêtre dans le gouvernement d’Our et aurait certainement eu une grande connaissance de la culture Sumérienne.

Par conséquent, il est manifeste que les contes Sumériens des dieux du Ciel et de la Terre, la création de l’homme et le Déluge sont la source dont les nations de l’Ancien Monde tiraient leurs connaissances et croyances.

La Bible I « invisible »

Il est maintenant généralement accepté que l’Ancien Testament soit une version condensée des événements que vécurent les premiers hommes. Il est aussi évident que la Bible est le résultat d’un long processus de sélection, et, pour cette raison, elle exclut plusieurs anciens textes sacrés et autres écrits.

Plusieurs textes Chrétiens ou "Apocryphe" et textes Juifs appelés "Pseudepigrapha" furent mis de côté en grande partie dû à la violente rivalité politique et religieuse en ce temps entre les sectes, entre les Juifs, les Chrétiens et les Gnostiques. En fait, le Pseudepigrapha a complètement été perdu de l’héritage transmis, des documents qui proviennent de 200 avant J.-C. à 200 A.D.

Le terme Pseudepigrapha a évolué du Grec signifiant "écritures avec de fausses inscriptions," mais le terme est utilisé aujourd’hui par les savants, non pas parce qu’il dénote quelque chose de faux, mais plutôt parce que le terme est maintenant utilisé universellement.

Ce qui fut retenu dans les livres de l’Ancien Testament après des siècles de correction par la prêtrise fut une version introspective de la vaste quantité de littératures disponibles. Les manuscrits tels que les trois livres d’Énoch, le Livre des Jubilés et d’autres raconte une histoire différente de la Création, d’Adam et Ève et des activités des Patriarches antédiluviens. Ces livres "perdus" de la Bible expliquent plusieurs des casse-tête et des inconsistances de l’Ancien Testament.

La littérature Gnostique fut complètement éliminée des Saintes Écritures. Étant de sérieux rivaux aux premiers Chrétiens, les Gnostiques furent harcelés et totalement défaits et leur littérature fut consignée aux oubliettes.

Au début de l’Église Chrétienne, le culte Gnostique le plus systématique et organisé était le Manichaéisme qui se répandit de la Mésopotamie à travers l’Asie Mineure, l’Afrique du Nord et les territoires Européens de l’Empire Romain. Durant les quatre premiers siècles, le Gnosticisme fut si populaire qu’il posa un sérieux défi à l’Église Chrétienne.

Pendant le deuxième siècle, Valentinus, un Penseur Gnostique important, tenta de se faire sélectionner comme Pape à Rome et presque réussi. Cela marqua l’apogée du Gnosticisme. S’il n’avait pas été battu, on se demande ce que la grande influence de St-Augustin, né un Manichéen, aurait changé au cours de l’histoire de l’Église Catholique.

Comme résultat, les textes Gnostiques disparurent ou ne furent pas copiés, ce qui arrivait au même but. Jusqu’à récemment, seules les réfutations de la part des pères Chrétiens furent disponibles. Alors, en 1945, plusieurs traités Gnostiques furent trouvés dans de la poterie en Égypte à une petite ville appelée Nag Hammadi. La découverte fut aussi importante à la recherche Biblique que celle des Manuscrits de la Mer Morte en Palestine.

C’est dans les écritures Gnostiques que l’existence des dieux serpent est clairement indiquée. C’est Ève qui donna la vie à Adam et le serpent dans le jardin est une créature noble et vertueuse. Il est facile à voir pourquoi les Manichéens ont tant été persécutés. Mais, même avec cela, elle a persisté en Europe comme religion aussi tard que le treizième siècle.

Les Albigensions dans le Sud de la France furent le dernier emplacement des Manichéens; cependant, ils furent exterminés par le Pape Innocent III qui organisa une croisade militaire contre eux. Ce fut alors que l’Inquisition commença avec sa mission principale d’écraser le restant des hérésies Gnostiques.

Donc, comme de plus en plus d’anciennes sources sont découvertes, il est clair qu’une quantité énorme d’information de sources anciennes fut omis de l’Ancien Testament. L’analyse de ces sources nous fournit la perspicacité dans les histoires du Livre de la Genèse et en particulier, la période avant le Déluge qui est couverte par seulement six courts chapitres du livre. Ces documents anciens décrivent, bien que camouflés en termes religieux et symboliques, l’organisation et les opérations des dieux Sumériens et leurs activités ici sur la Terre.

Les Dieux pluriels de l’Ancien Testament

Il est généralement consenti que deux traditions composent les livres de l’Ancien Testament, la plus vieille ou la tradition Élohiste qui fait référence à la divinité en termes génériques et la tradition Sacerdotale où la divinité est appelée Yahvé, ou Jéhovah quelque peu par erreur, dû à une fausse traduction de la Septante Grecque.

Ces deux influences principales sont entrelacées partout dans l’Ancien Testament et parfois, coexistent côte à côte comme, par exemple, dans la Genèse où il y a deux versions de la Création.

La divinité est appelée "El" ("Élohim" pluriel) certaines fois et "Yahvé" dans d’autres. Les savants Bibliques consentent que l’usage de Yahvé semble être un anachronisme et ait pu être inséré plus tard.

L’"Élohim" Hébreu est grammaticalement, une forme plurielle et est souvent traduit comme "Dieu" à certains moments mais aussi comme "Dieux" ou "Êtres divins" dans d’autres, principalement parce que le texte est souvent ambigu. Généralement, le nom pour la divinité est "El" lequel semble être le terme générique pour la divinité en Sémite aussi bien qu’en Hébreu Biblique. Il fut apparemment emprunté du panthéon des autochtones de la terre de Chanaan. Qui fut ce El qui était alors la divinité suprême des Cananéens ? [Note de l’éditeur: Ce "El" est plus tard devenu le "Allah" Islamique.]

Comme le dieu souverain du panthéon Sémite, la divinité Sumérienne principale Enlil fut transcrit syllabiquement comme "ilulu," et est alors devenu "ili" en Akkadien ou en Sémite, et plus tard, "el" en hébreu. Le El est donc devenu le nom pour Enlil, l’être suprême en Palestine et s’inséra dans l’Ancien Testament. [Note de l’éditeur: Pourquoi Sitchin ne pouvait pas voir ce simple fait est au-delà de ma compréhension. Je ne suis pas anti-juif, mais je dirais qu’il y a plusieurs Juifs dans l’industrie du livre dans la Ville de New York et fort probablement, Sitchin fut forcé à prendre la position qu’il a pris dans le dernier chapitre de Divine Encounters pour vendre plus de livres à son propre groupe ethnique.]

Pendant que le reste du Monde croyait en plusieurs dieux, les rédacteurs et les éditeurs de l’Ancien Testament essayèrent de proclamer la foi en un seul dieu. Malgré ces tentatives monothéistes, ils restent plusieurs exemples où les narrations Bibliques sont dans la forme plurielle d’El ou Élohim. Dans la Genèse, par exemple, quand la notion de créer Adam est amenée, les mots utilisés sont tous pluriels: "Et Élohim (pluriel) dit: `Laissez-nous créer l’homme à notre image et à notre ressemblance.’" [Note de l’éditeur: Une chose que presque tous oublie en parlant des traditions monothéistes des Juifs, des Chrétiens et des Musulmans est que toute cette philosophie provient des Hébreux comme une rébellion contre la tradition polythéiste des Grecs. Les anciens Hébreux ont tout fait pour s’éloigner des traditions Grecques. Ce fut autant une question sociopolitique ou culturelle que religieuse. Aussi, le livre "The Stellar Man" par John Baines affirme que la tradition Hébraïque monothéiste est seulement survenue au temps de Moïse quand l’idée d’un seul Dieu seul devait être inventée par les prêtres Hébreux pour cacher la gaffe que Moïse avait fait en négociant avec les Archons de la Destinée.]

Plus tard, dans le jardin d’Éden, quand le serpent tente Ève, il dit: "Vous n’allez pas mourir. Non, les dieux (Élohim) sauront que le moment où vous le mangez, vos yeux seront ouverts et vous serez comme les dieux (Élohim) connaissant la différence entre le bien et le mal." Encore plus tard, après la Chute,
la divinité se plaint : "Maintenant que l’homme est devenu comme nous (pluriel) discernant le bien du mal !"

Dans d’autres cas, la divinité a souvent adressé des remarques à d’autres membres du personnel céleste qui étaient tout près. Même après le Déluge, quand l’homme essayait d’élever une tour à Babel, la divinité remarqua à un associé, "Alors, allons descendre et confondre leur parole." Par conséquent, malgré les tentatives par des premiers éditeurs à proclamer une politique monothéiste, les preuves d’un panthéon n’ont pas été complètement effacé du texte de l’Ancien Testament.

Le problème de l’utilisation du terme « Yahvé »

Selon le Livre de l’Exode, le nom Yahvé ne fut pas en usage jusqu’au temps de Moïse, car Moïse se fait dire par la divinité, "Je suis Yahvé, j’ai apparu à Abraham, Isaac et Jacob comme El Shaddai, mais je ne me suis pas fait connaître à eux par mon nom Yahvé." Les savants consentent que le nom Yahvé fût plus tard une addition des scribes sacerdotaux. Le tétragramme YHWH ou Yahvé est devenu le nom distinctif personnel pour le dieu d’Israël et est fréquemment utilisé partout dans l’Ancien Testament pour représenter la divinité. [Note de l’éditeur: À nouveau, pour plus de détails, voyez: "The Stellar Man" par John Baines.]

L’origine de Yahvé est inconnue; et bien que plusieurs explications pour sa signification ont été proposées, la plus logique semble être que le nom divin soit une forme du verbe "être" ou HWH, signifiant ainsi "celui qui est." Ceci est manifeste dans l’Exode 3 où Moïse demande au Seigneur son vrai nom afin qu’il puisse informer les tribus d’Israël qui souhaite savoir comment appeler leur dieu:

"Et Dieu dit à Moïse : `Je suis parce que je suis.’ Et il dit : `C’est ainsi que tu répondras aux enfants d’Israël : "Je suis" m’a envoyé vers vous.’"

Ce verset a causé toutes les sortes des problèmes aux savants et la plupart des traductions de la Bible contiennent une annotation avertissant que cela peut aussi vouloir dire "je suis ce que je suis" ou "je serai ce que je serai." Son ambiguïté est probablement due au fait qu’il est une épithète liturgique. Il signifie exactement ce qu’il dit: "Je suis celui qui est ou qui existe."

Dans les temps anciens, les noms divins avaient un pouvoir intrinsèque et certains noms pouvait seulement qu’être utilisés par la prêtrise. Dans le panthéon Sumérien et Babylonien, seulement que des noms descriptifs sont utilisés. Les vrais noms des dieux ne sont pas connus.

Yahvé ou "celui qui est" est probablement une tentative de la part des prêtres Hébreux à substituer un nom inoffensif pour celui de la divinité, désamorçant ainsi toutes conséquences malfaisantes possibles. Ceci se trouve aussi dans la tradition Rabbinique où le nom Yahvé contient des certains pouvoirs et, dans les temps anciens, seulement quelques prêtres furent permis à prononcer le nom. [Note de l’éditeur: Selon les traditions Hermétiques secrètes qui furent publiées à travers les travaux de John Baines récemment, de prononcer le nom de Yahvé à haute voix seraient d’invoquer le nom de l’Archon qui joua la ruse à Moïse. Le fait de répéter ce nom à haute voix augmentait le pouvoir de l’Archon.]

El Shaddaï, l’affreux et terrible Dieu

Comme nous l’avons vu, en s’adressant à Moïse, la divinité l’informa qu’il avait apparu à ses ancêtres comme El Shaddai. Ce nom, El Shaddai, apparaît dans Genèse pas moins de six fois et est considéré être le titre descriptif du dieu des Hébreux.

La racine Hébraïque "shadad" duquel il provient signifie "maîtriser," "traiter avec violence," ou "détruire." Ces significations donnent un caractère affreux à la divinité, celui de dévastateur ou de destructeur. C’est en partie pour cette raison que le dieu des Hébreux est connu comme un dieu intransigeant et vindicatif.

Shaddai peut aussi être associé linguistiquement au mot Assyrien "shadu" ou montagne. En fait, ces deux significations peuvent être appliquées au Dieu Hébreux El Shaddai, car il n’est rien d’autre que le Dieu des Éclairs et du Tonnerre des Hétéens, une version du Nord-ouest du dieu Sumérien Ishkour et le Sémite Adad. Il fut le dieu de la montagne de l’Anatolie et est souvent représenté avec la foudre dans sa main. [Note de l’éditeur: Il est donc le Zeus des Grecs.]

Après le Déluge, quand les Anounnaki sont redescendus pour reconstruire les villes de la Mésopotamie, les terres connues comme "le croissant fertile" furent divisées parmi les enfants d’Enlil. Nannar/Sin fut donné l’autorité sur toute la Mésopotamie et les Terres de l’Ouest, sauf l’Anatolie qui fut assigné à Ishkour/Adad et le Liban qui fut donné à Utu/Shamash. La déesse Inanna/Ishtar déplaça sa base d’opérations au Liban et gouverna là avec Shamash. Le panthéon du Levant consistait de trois divinités majeures après le Déluge: Adad, Shamash, et Ishtar. De l’Anatolie, la terre des Hétéens, Adad étendit son influence aussi loin vers le Sud que Jérusalem. Cela est illustré dans Ézéchiel 16 où les origines de Jérusalem sont trouvées dans la formulation "votre père fut un Amorrhéen et votre mère, une Hittite."

Les Dieux secondaires : les Néphilim et les Anges

[Note de l’éditeur: Je ne suis pas d’accord avec cet énoncé. Je ressens que les Néfilim étaient en fait les Dieux primaires tandis que les Anounnaki furent les secondaires.]

Non seulement que l’Ancien Testament suggère qu’il y avait un grand nombre de divinités mais ces dieux secondaires semblent être descendus pour perturber les affaires de l’homme. Ceci est explicite dans la Genèse 6 qui dit :

"Quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face du sol, et qu’ils leur fut né des filles, les fils de Dieu (Élohim) virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent pour femmes toutes celles qui leur plurent... Il y eut des géants (Néfilim) sur la terre en ce temps là, et aussi depuis lors, quand les fils de Dieu s’approchant des filles des hommes en ont eu des enfants." [Note de l’éditeur: Si ma mémoire est bonne, dans la version Éthiopienne des Saintes Écritures, les "Néfilim" sont considérés comme "Ceux du Ciel".]

Le terme Biblique pour ces divinités secondaires semble avoir été Néfilim. La descente des Néfilim est-elle reflétée dans la littérature Mésopotamienne ? Sont-ils les Anounnaki qui sont aussi descendus sur la Terre durant la période antédiluvienne ? Nous verrons que ceux-ci furent des noms différents pour le même groupe d’êtres.

Le terme "Néfilim" causa beaucoup de problèmes aux théologiens et aux traducteurs à travers les siècles, tellement, qu’aujourd’hui, c’est la politique de le laisser tel quel dans les traductions modernes. "Néfilim" est dérivé de l’Hébreu NFL, littéralement "ceux qui se sont abaissés" ou encore mieux, "ceux qui arrivèrent." Cela fut interprété comme des "anges déchus" dans le sens de ceux qui furent lancés en bas, ou les mauvais anges, bien que le texte ne justifie pas cette conclusion.

Le distingué commentateur Biblique Juif du 19ème siècle, Malbim, disait que dans les temps anciens, les souverains des pays du Moyen-Orient étaient les fils de divinités qui arrivèrent sur la Terre des cieux.

Il maintient qu’ils étaient les fils des divinités païennes et les appelaient les Néfilim. La Genèse affirme qu’ils descendirent sur la Terre en deux groupes: "Ce fut alors que les Néfilim apparurent sur la Terre, aussi bien que plus tard." La descente séparée des deux groupes de Néfilim ou les "anges" jusqu’au Mont Harmon au Nord-Est de la Palestine est rapportée dans le Livre des Jubilés. Un groupe est descendu durant les jours de Jared pendant le 10e Jubilé; plus tard pendant le 25e Jubilé, pendant les jours de Noé, un autre groupe descendit sur la Terre. Puisqu’un Jubilé représente 50 années régulières, cette source dit qu’ils descendirent séparément sur la Terre avec un intervalle de 750 ans.

Dans l’Enuma Elish, le conte Babylonien de la Création, un groupe d’Anunnaki est aussi descendu pour peupler la Terre. Ces êtres divins se marièrent aussi avec les filles de l’homme.

Les soi-disant anges de l’Ancien Testament sont devenus un terme général pour décrire des divinités secondaires qui furent très actives dans les affaires de l’homme. Dans l’Hébreu Biblique, le mot souvent utilisé est "malakh"; cependant, d’autres termes tel que "bene elohim" ou fils de dieu sont souvent traduits comme des anges. Il fut utilisé pour toutes les divinités secondaires qui entrent en contact avec l’espèce humaine.

Ces messagers se déplacèrent très facilement par une sorte d’appareil volant; d’où la représentation des anges avec des ailes, un symbole de leur capacité à voler. C’était la seule façon que les anciens connaissaient pour représenter ce fait. L’incident de la destruction de Sodome et Gomorrhe illustre la capacité de ces anges à voler çà et là à volonté.

Comme les événements se déroulent dans la Genèse 18 et 19, quelques anges renseignaient Abraham sur la destruction des villes à venir. La traduction traditionnelle raconte que quand ils décidèrent de visiter Sodome, ils "partirent de là et firent face à Sodome." Le distingué savant Biblique E. A. Speiser dans son travail "Genesis," suggère que cette traduction est erronée et qu’elle devrait lire,"ils virent le visage de Sodome en bas." Bien sûr, cette interprétation donne une signification complètement différente à l’incident. [Note de l’éditeur: Vous pouvez voir que Boulay a travaillé pour le Gouvernement Américain quand il fait des énoncés informels tels que le "les anges renseignaient (briefing) Abraham".]

Plus tard, après que les anges amenèrent Lot et sa famille en sécurité à l’extérieur de la ville, le texte traditionnel affirme, "les amenèrent en sécurité à l’extérieur de la ville." Encore, Speiser suggère une traduction alternative à "les firent sortir et les déposèrent à l’extérieur de la ville."

Donc, le texte révisé clarifie que les anges se rendaient aux villes en volant; alors, voyant la nécessité de secourir la parenté d’Abraham, les amenèrent avec une sorte d’avion et les déposèrent à l’extérieur dans un endroit hors de danger.

Les Hôtes d’Eden : les serpents aux jambes ou les reptiles

Selon la Genèse et autres documents et, bien avant que les humains existent, le serpent (nous l’appellerons comme cela puisque nous n’avons pas de meilleur mot, car il est évidemment un lézard) vivait dans le jardin d’Éden et fit tout le travail nécessaire pour le maintenir.

Ce serpent Biblique n’était pas seulement qu’un simple petit serpent. Il pouvait converser avec Ève, il connaissait la vérité sur l’Arbre de la Connaissance et il était d’une telle taille qu’il défia sans peur la divinité. Des informations additionnelles de cette créature sont disponibles d’autres sources.

Les anciennes légendes Juives décrivent le serpent d’Éden comme semblable à l’homme il ressemblait et parlait comme un homme. Cela est élaboré avec plus de détails dans le Haggadah, ce vaste réservoir de contes et de légendes qui forment la tradition orale des Juifs.

La section qui traite de la Création décrit le serpent qui habitait le jardin avant la création d’Adam comme une créature se tenant debout sur deux pieds et qui était égal en hauteur à un chameau. On lui donne un grand nombre d’excellentes qualités et de capacités mentales qui sont supérieures à celles de l’homme. En fait, le Haggadah déclare que ce fut sa capacité mentale supérieure qui conduit à la chute de l’homme aussi bien qu’à la sienne.

Selon cette source, la tâche du serpent incluait le fait de fournir la divinité avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses et des perles, une tâche plutôt mondaine pour un groupe d’êtres soi-disant spirituels. Il est à noter qu’encore une fois, nous avons cette préoccupation avec les pierres précieuses, comme dans Genèse qui décrit les produits de l’Éden: "L’or de cette terre est de choix; il y a du bdellium et du lapis-lazuli."

Précédant l’homme et plus tard, cohabitant le jardin d’Éden avec lui, le serpent était semblable à l’homme de plusieurs façons. Il était grand et se tenait debout sur deux jambes. Il faisait tout le travail des dieux, en particulier l’exploitation minière et le travail agricole. Et, au-dessus de tout, le serpent possédait un intellect supérieur à celui de l’homme. Ce sont tous des attributs d’Anunnaki.

Le terme "serpent," appliqué à cette créature, soulève plusieurs problèmes. Employant la terminologie moderne, il pourrait être décrit comme un grand lézard ou un reptile. Les anciens ont pu lui donner une signification différente que nous définissons aujourd’hui comme un reptile sans jambes. Dans ce contexte, les difficultés d’interprétations sont dus à donner une signification moderne à la traduction de mots anciens. Par exemple, la Grèce ancienne ou classique n’avait pas de mot pour serpent. Le mot "drakon" fut appliqué aux serpents aussi bien qu’à d’autres créatures fabuleuses ressemblant à des serpents. En fait, des mots composés basés sur le serpent furent des variations de "drakon"; par exemple, le mot pour sinueux ou tordu comme une route était "drakonforos." "Drakonktonia" signifiait le fait de tuer un serpent.

Dans la Septante, la version Grecque pré-Chrétienne des Saintes Écritures Hébraïques, le mot le "drakon" est utilisé pour dénoter des serpents, des grands reptiles et d’autres grandes créatures terribles ou féroces.

De cette manière, la confusion de dragon et de serpent conduisit à des créatures mythologiques qui étaient ailées, avaient des jambes et respiraient le feu. Les serpents de l’Ancien Monde furent représentés comme de grands animaux ressemblant à des lézards avec des ailes dénotant leur capacité à voler une métaphore pour une sorte de vaisseau. Leur capacité de se défendre en jetant des flammes des appareils ou peut-être leur dangereux gaz d’échappement furent transformés en apparence mythologique d’un dragon respirant le feu.

C’est dans cette origine que l’homme est lancé dans la civilisation antédiluvienne des dieux serpents. Les tablettes Sumériennes cunéiformes sont plus spécifiques dans ce respect. Les Anounnaki ou enfants des dieux serpents se fatiguent de leur fardeau de faire toutes les tâches déplaisantes de l’exploitation minière et de l’agriculture et lancent un appel au dieu principal pour alléger leur souffrance. C’est ici que l’homme entre en scène.


Chapitre 5

La création et la « chute » de l’Homme

"Je ferai un sauvage. Son nom sera Homme. Vraiment, je créerai l’homme sauvage. Il verra aux services des Dieux pour qu’ils puissent être à l’aise." L’Épique de la Création Sumérienne

Un des plus vieux fragments de la mythologie Sumérienne décrit les conditions sur la Terre lorsque les astronautes étrangers ou Anounnaki arrivèrent et avant qu’ils fussent descendus pour construire les villes en Mésopotamie. Il parle d’un temps quand le visage du soleil et la lune ne pouvaient pas être vus, quand la surface de la Terre était abondamment arrosée et les nuages descendaient jusqu’à la surface de la Terre. Ce fut alors, comme la tablette déclare que "les reptiles descendirent vraiment." [Note de l’éditeur: Si, comme Sitchin l’affirme, la Planète Terre/Tiamat était localisée plus loin du Soleil au temps de l’arrivée de Nibirou dans ce système, dans ce qui est appelé aujourd’hui "la ceinture d’astéroïdes" et si seulement plus tard après la collision de la lune de Nibirou avec ce qui est aujourd’hui connu comme l’océan Pacifique, alors ceci pourrait très bien être une description des conditions climatiques de cette "autre Terre".]

Dans les Épiques de la Mésopotamie, la création de l’homme fut secondaire et même sans importance à la création de l’univers et à la colonisation de cette planète par les visiteurs étrangers. Après que les astronautes eurent débarqué, la récupération des marais et la construction des villes commencèrent sous la direction d’Enki. Toutes les villes construites eurent un but spécifique de supporter les opérations minières dont le centre de traitement fut à Badtibira. La construction des villes, la réparation constante, la reconstruction des canaux et des digues et les opérations minières exigèrent tous un effort considérable de la part des fils d’Anou.

C’est avec cette origine que l’homme arrive sur la scène. La création de l’homme a été conçue et exécutée non comme une fin en soi ni comme un développement naturel de la civilisation de la Mésopotamie. Plus tôt, l’homme a été créé comme un moyen de satisfaire un groupe d’étrangers mécontents. Le but de l’homme était de servir les dieux; il a été fait pour alléger le fardeau des dieux et assumer les tâches laborieuses et déplaisantes qui étaient exécutées par les Anounnaki de plus en plus malheureux et rebelles. L’homme devait être le soutien de la famille, le travailleur et le concierge des dieux.

Les Saintes Écritures décrivent le travail accomplit dans le jardin d’Éden avant la création de l’homme. C’est le serpent qui l’exécutait et plus tard, ce fut l’homme. En plus de l’agriculture, les dieux serpent minaient les minéraux pour "fournir Élohim avec de l’argent, de l’or, des pierres précieuses et des perles," démontrant ainsi une des activités principales des dieux serpents avant la venue de l’homme.

Les premières tentatives de créer un Homme primitif

Les difficultés de leurs enfants d’en dessous ne furent pas négligées par les dieux orbitant dans leur vaisseau spatial. La végétation était si abondante qu’ils n’avaient pas à produire beaucoup de nourriture et ils vivaient littéralement de la terre. Avec le changement de climat et de l’environnement, ils devaient maintenant cultiver une grande partie de leur nourriture. Ils ne furent pas très compétents à l’accomplir.

Un des mythes Sumériens, "La Dispute Entre le Bétail et le Grain," décrit les premières tentatives d’alléger la souffrance des Anounnaki. Comme le poème le raconte, les fils d’Anou ne savaient pas comment cultiver le grain, faire du pain, ni fabriquer des vêtements. Ils mangeaient des plantes comme les animaux et buvaient de l’eau des fossés. [Note de l’éditeur: Si c’est vrai, pouvez-vous le croire ? : -)] Aussi longtemps que la végétation était abondante, ils n’eurent aucun problème à se nourrir; mais comme la terre commençait à s’assécher et que le nombre d’humains croissait, ils durent trouver d’autres moyens pour s’alimenter. Il était maintenant nécessaire de cultiver leur propre nourriture.

Ce mythe décrit des tentatives dans la "Chambre de la Création" du vaisseau spatial de trouver des moyens pour les fournir de grains et de viandes. Deux déesses sont créées pour leur apprendre des méthodes pour cultiver leur propre nourriture et comment élever les animaux Lahar, la Déesse du Bétail et Ashnan, la Déesse du Grain.

Ces déesses tentèrent d’enseigner aux Anounnaki les arts de l’agriculture et de l’agronomie animale, mais sans succès. Alors, réalisant que cette expérience était un échec total, les dieux en conseil décidèrent de faire le grand pas créer un ouvrier primitif. Donc, par égard pour le bien-être des Anounnaki, "l’homme reçu le souffle."

Ce mythe semble être en rapport avec une période datant d’il y a 100 000 ans quand les terres ne supportaient plus les énormes reptiles végétariens et l’assèchement de la terre avaient apporté l’évolution des dinosaures mangeurs de viande et des grands mammifères. Le mythe indique que les Anounnaki étaient devenus des carnivores nécessitant l’introduction de l’agronomie animale.

Donc, les dieux assemblés dans les cieux décidèrent que le meilleur moyen d’alléger la souffrance de leurs enfants sur la Terre était de produire une nouvelle créature. Anou, le dieu principal, décréta qu’un sauvage soit créé, et "l’homme sera son nom." Il serait chargé dans le service des dieux afin qu’ils puissent avoir leur repos. Puisque les expériences antérieures dans le vaisseau spatial ne furent pas couronnées de succès, il fut décidé de mettre Enki et Ninhoursag, l’infirmière principale, responsable de produire un être primitif. Cette nouvelle création, appelée un "lulu" par les Anounnaki, fut le premier homme primitif.

Enki et Ninhoursag dirigèrent plusieurs expériences dans l’Abzou, le laboratoire flottant d’ Enki près d’Éridou, toutes visées à la création d’un ouvrier primitif. Dans un de ces mythes, la création de types imparfaits est décrite.

Ninhoursag façonna des variétés d’individus de sexes différents de "l’argile," mais ceux-ci se sont toutes avérées être anormales et furent des échecs complets. Le meilleur parmi eux fut décrit comme étant faible et dans son corps et dans son esprit. Elle leur donnèrent aux créatures du pain à manger, mais ils l’a refusèrent. Elles ne pouvait ni s’asseoir, ni se tenir debout et ni plier leurs genoux. Éventuellement, ils abandonnèrent et décidèrent que cette créature était un échec complet. Enfin, après plusieurs essais et erreurs, Enki et Ninhoursag ont trouvé une formule qui fonctionnait.

Création de l’hybride Homme-Singe-Reptile

Au début, il y eut plusieurs essais et erreurs. En fin de compte, une méthode qui fonctionnait fut trouvée. Utilisant un groupe d’animaux primitifs féminins, vraisemblablement la femme singe, les œufs furent fécondés par les jeunes astronautes, et alors extraits et réimplantés dans les utérus de quatorze déesses de la naissance.

Cette procédure est décrite dans l’Épique d’Atrahasis qui traite de la création de l’homme. L’histoire raconte que "quatorze utérus furent rassemblés ensemble," fécondés avec "l’essence" des dieux et comme résultat, sept mâles et sept femelles furent créées.

Bien que le processus ait effectivement produit un être primitif viable, il avait un inconvénient majeur démontré par les événements subséquents les créatures produites étaient des clones et ne pouvaient pas se reproduire. Le fait que les deux sexes aient été produits, sept mâles et sept femelles, suggère que l’intention avait été de les rendre capables de se reproduire. Pour une raison biologique inconnue, le processus fut un échec dans cet aspect.

L’homme primitif ou Adam fut créé ainsi, une combinaison hybride mammifère reptile. La procédure utilisée par les Sumériens est décrite dans la Genèse lorsqu’elle affirme que l’image de Dieu fut imposée dans "l’argile," la matière génétique de base comme dans les tablettes Sumériennes. L’essence de Dieu est mélangée avec l’argile malléable de la terre l’homme singe. Dans les comptes cunéiformes, l’argile est mélangée à l’essence des dieux et avec cette création, ils "introduisent l’image des dieux." Dans les deux cas, il devrait être observé que l’homme est créé à l’image de son dieu.

Par conséquent, la question suivante se pose: Quelle fut la provenance de la matière génétique qui produisit les caractéristiques mammifères de l’hybride ?

L’homme de Néanderthal avait été sur la scène depuis des centaines de milliers d’années étant le résultat d’un lent processus d’évolution. Ce fut vraisemblablement cet homme singe qui fut utilisé dans les expériences des Anounnaki. Cet homme singe est décrit dans l’Épique de Gilgamesh comme l’homme sauvage qui est précisément "converti" en être civilisé pour enfin devenir le compagnon de Gilgamesh dans ses nombreuses d’aventures.

Appelé Enkidou, il est une créature sauvage qui se nourrit d’herbe et vit parmi les animaux. Dans le conte, un chasseur malheureux se plaint alors à Gilgamesh qui est roi de la ville d’Ouruk. Gilgamesh se fait dire que cette créature ne porte pas de vêtements et qu’elle est couverte de poils. Il est assez intelligent pour remplir les fosses que le chasseur avait creusées pour attraper des animaux sauvages. Cet homme sauvage libère aussi le gibier de leurs pièges. Il vit avec les animaux, court avec les gazelles et partage l’endroit où ils s’abreuvent.

Cette créature sauvage est sans doute le Néanderthal qui est mêlé avec les Anounnaki reptiliens. De cette combinaison, on espérait produire un hybride qui pouvait s’adapter à l’environnement changeant. L’assèchement de la Terre et les changements apportés à la flore et à la faune rendirent cela nécessaire à produire un ouvrier primitif.

L’Adam de la Bible n’était pas l’Homo sapiens d’aujourd’hui. Il était ce qu’on peut appeler "Homo saurien," une créature hybride mammifère saurienne qui allait devenir notre ancêtre et le premier pas dans la création de l’homme moderne. En quelques années seulement, l’homme avait fait un saut géant dans l’évolution. Il avait soudainement évolué de l’homme singe sauvage à un hybride qui deviendrait une nouvelle espèce connu comme l’homme de Cro-Magnon.

L’hybride qui fut créé ressemblait probablement aux reptiles puisqu’il fut créé en l’image de ses dieux. La genèse est très spécifique à ce sujet, car elle affirme, "alors Dieu dit, `Je ferai l’homme à mon image, selon ma ressemblance.’" Adam fut donc créé à la fois en l’image ou "selem" et la ressemblance ou "dmut" de son créateur. L’usage des deux termes dans le texte Biblique ne voulait laisser aucun doute que l’homme était semblable en apparence aux dieux. C’est cette ressemblance, ou son absence comme nous verrons, qui est à la base de plusieurs des avertissements de la Bible et de la littérature Sumérienne.

Plus tard, quand les hommes se marièrent avec ceux de la même espèce, les caractéristiques reptiliennes s’éliminèrent graduellement et ils développèrent ainsi, de plus en plus, leurs caractéristiques mammifères. Les gènes des mammifères dominèrent les gènes reptiliens et l’homme devint plus "humain," ressemblant moins à dieu. Cela explique la nature "pécheresse" et la "chute" de l’homme. Le péché original fut la déviation d’homme de son origine de base reptilienne ou de dieu. Cela explique aussi pourquoi l’homme fut défendu de reproduire toute ressemblance de ses dieux.

À travers la manipulation biologique, les Anounnaki ou Néfilim prirent un homme singe existant et lui donna une partie de leur divinité, leur sang Saurien. Quelques-unes des Saintes Écritures confirment le fait que les expériences biologiques prirent place sur la Terre et que quelques-unes devinrent hors de contrôle. Ces expériences semblent avoir été faits régulièrement par les Néfilim, qui ne possédèrent non seulement des moyens techniques avancés dans le transport et les communications, mais aussi dans les sciences biologiques. [Note de l’éditeur: John Baines, dans les connaissances Hermétiques secrètes récemment révélées dans, "The Stellar Man," déclare que ces Néfilim adressèrent une pétition aux "plus hauts dieux" pour aussi recevoir le statut de "dieux créateurs". Il y eut beaucoup de discussion parmi les plus hauts dieux créateurs à savoir s’ils permettraient aux Néfilim d’avoir cette capacité. Finalement, après beaucoup de différence d’opinion et de discussion, ils reçurent ces pouvoirs; mais ils restèrent avec le rang de plus bas de tous les "dieux créateurs" de l’Univers. Nous, les Cro-Magnons, sommes leur premier produit. Selon la Loi Universelle, ils ont la charge de "prendre soin de nous".]

Dans le premier Livre d’Énoch, les infractions des Néfilim sur la Terre avant le Déluge sont divulguées en détail. Daté au deuxième siècle avant J.-C., ce livre avait perdu son importance dans l’Église Occidentale au quatrième siècle A.D., et, seulement dans l’Église Éthiopienne est-il encore considéré comme canonique. Originairement en Hébreu et en Aramaen, il fut traduit en Grec et puis en Éthiopien où il fut conservé et non retrouvé par les Européens jusqu’au 18e siècle. C’est le plus vieux des trois livres pseudepigraphiques attribués à Énoch et certaines parties furent découvertes dans les Manuscrits de la Mer Morte.

Selon le premier Livre d’Énoch, les Néfilim reçurent la mission d’apporter les arts salutaires et les métiers à l’espèce humaine. Mais ce qui commença comme un effort élogieux tourna rapidement en vinaigre.

Les Néfilim commencèrent à enseigner les arts martiaux à l’homme, "la fabrication d’épées, de couteaux, de boucliers et d’armures corporels." Ils enseignèrent aussi à l’homme les sciences défendues de "l’incantation, l’alchimie et l’astrologie." Mais la pire des infractions dont ils sont accusés fut de jouer avec la génétique, de "changer l’homme en cheval, en mulet, ou vice versa, ou de transférer un embryon d’un utérus à un autre." Cette pratique de réimplanter un embryon dans un autre utérus est semblable aux activités décrites dans l’Épique de la Création Sumérienne. Il semble que les Néfilim ou Anounnaki connaissaient très bien la manipulation génétique et la croissance sélective.

Homo-Saurien, l’homme primitif de l’Eden

La genèse répète à maintes reprises qu’avant la "Chute," l’homme était nu pendant qu’il occupait le jardin d’Éden. Ce ne fut qu’au moment oùil ait mangé le fruit défendu qu’il se rendit compte qu’il était nu et mi des vêtements. D’autres sources religieuses anciennes confirment ceci, mais elles révèlent aussi la raison pour laquelle il était nu. Selon le Haggadah, les corps d’Adam et Ève "avait une peau écailleuse," et de plus, on disait de la peau d’Adam, "elle était aussi brillante que la lumière du jour et couvrait son corps comme un vêtement lumineux." Adam avait donc avait l’apparence extérieure d’un reptile avec sa peau écailleuse et brillante. Ce fut pour cette raison qu’Adam et Ève ne portaient pas ne nécessitaient pas de vêtements comme protection ou confort.

Le Livre de la Genèse dit aussi qu’Adam ne transpirait pas dans le jardin d’Éden avant la "Chute." Ce fut sa punition d’avoir mangé le fruit défendu, car on lui avait dit, "par la sueur de ton visage gagneras-tu ton pain." Avant la "Chute," Adam ne transpirait pas pour la simple raison que la transpiration est caractéristique des mammifères et non des reptiles.

Aussi longtemps qu’ils restèrent dans le jardin d’Éden, Adam et Ève n’ont pas procréé. Les tablettes Sumériennes expliquent pourquoi parce qu’ils étaient des "mulets" et ne pouvaient pas reproduire leur propre espèce. L’incident que la Bible appelle la "Chute de l’Homme" fut son habileté à acquérir la capacité de procréer en se donnant plus de traits des mammifères. Ceci est explicite dans la punition d’Ève dans le fait qu’elle doit maintenant subir les douleurs de naissance comme tous les mammifères.

Le changement génétique définitif fut accompli par Enki. Il ne fut pas autorisé et causa beaucoup de dissension parmi les dieux et demeura une question envenimeuse entre Enlil et Enki. Enki est le Créateur, le défenseur et le bienfaiteur de l’espèce humaine. Enlil méprisait l’espèce humaine comme une abomination et une détérioration de la génétique Saurienne. Il était un dieu cruel et vindicatif et, celui qui produisit le Déluge.

L’homme primitif ou Homo saurien fut placé dans le jardin d’Éden pour cultiver de la nourriture; puisque comme le dit la Genèse, "Le Seigneur planta un jardin à l’Éden, dans l’Est et plaça là l’homme qu’il avait fait." Puisque l’homme fut créé dans l’Abzou d’Enki à sa ville d’Éridou et étant la partie la plus à l’Ouest de la plaine Mésopotamienne entre les deux rivières, il semble que la région fertile à l’Est d’Éridou soit le jardin d’Éden. Par coïncidence, les Sumériens appelèrent cette région E-DIN ou "la maison de ceux qui sont vertueux."

Selon les Jubilés, Adam et Ève furent placés dans le jardin d’Éden pour le labourer et le récolter. "Ils protégeaient le jardin des oiseaux, des bêtes et du bétail et, ramassaient les fruits et la nourriture." Les obligations d’Adam sont décrites en termes semblables dans une des versions Babyloniennes de la Création de l’Homme: il était de son devoir de maintenir les canaux et les cours d’eau et de cultiver des plantes en abondance pour remplir les entrepôts de grains des Anounnaki.

Jusqu’à l’événement connu énigmatiquement comme la "Chute de l’Homme," l’homme primitif cohabitait le jardin d’Éden avec les dieux serpents et, ensemble, ils accomplirent le travail nécessaire. Apparemment, cette main-d’œuvre ne fut pas suffisante pour accomplir le travail essentiel et une modification fut nécessaire pour rendre l’Homo Saurien plus efficace. Pour avoir une plus grande main-d’œuvre, il fut décidé de fournir à l’Adam ou le "lulu" sa capacité de se reproduire.

La chute de l’Homme ou la création de l’Homo-sapien

L’événement que les savants Bibliques appellent la "Chute de l’Homme" commence avec Adam et Ève qui furent placés dans le jardin d’Éden par la divinité pour le labourer et l’entretenir. Parmi le grand nombre de choses savoureuses à manger fut le fruit de deux arbres dans le milieu du jardin: "l’arbre de la vie et l’arbre de la connaissance du bien et du mal." On dit à Adam et Ève:

"Des fruits des arbres du jardin nous en mangeons. Mais les fruits de l’arbre qui au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, sinon vous mourriez."

Alors, les Saintes Écritures ajoutent laconiquement "les deux étaient nus, l’homme et sa femme, mais ils ne ressentir pas la honte." Plus tard, lorsqu’ils mangèrent le fruit défendu, le seul et l’unique résultat fut, "alors leurs yeux furent ouverts et ils découvrirent qu’ils étaient nus."

On se demande pourquoi toute cette emphase est placée sur la nudité. C’est comme si l’expulsion d’Adam et Ève du jardin était un moyen dramatique pour expliquer comment l’espèce humaine en est venue à porter des vêtements. Il est évident que le fait de porter des vêtements était tout simplement une manifestation d’autre chose, l’acquisition de la "connaissance."

La racine Hébraïque "YD" qui est utilisée partout dans à travers la Genèse ne signifie pas seulement la "connaissance" mais plus spécifiquement, "faire l’expérience de." Tel qu’appliqué aux relations conjugales, la racine "YD" signifie connaître sexuellement, c’est-à-dire, avoir des relations sexuelles. En fait, elle ne s’applique non seulement aux relations maritales normales mais aussi à une conduite clandestine, même à l’homosexualité et au sexe parmi les animaux.

Donc, en ayant la "connaissance," l’homme a acquis une sorte de force sexuelle ou de prouesse. La connaissance qui fut retenue de l’homme était d’une nature plus profonde et sérieuse que de juste être conscient de sa nudité. Pour l’homme, ce fut quelque chose de bien, mais quelque chose que les créateurs ne voulaient pas qu’il ait. Avant qu’Adam et Ève ne l’eussent, ils vivaient dans le jardin d’Éden sans progéniture. L’ayant obtenue, Ève fut condamnée à souffrir les douleurs de l’accouchement. Le conte d’Adam et Ève est l’histoire d’un pas crucial dans l’évolution de l’homme: l’acquisition de la capacité de procréer comme un mammifère. Cependant, ayant cette capacité, l’homme perdit certains traits Sauriens, sa soi-disant divinité.

L’Homme perd son apparence saurienne et sa divinité

La Genèse décrit sommairement les changements physiologiques qui résultèrent de la punition d’Adam et Ève. Comme châtiment, Ève devait souffrir les douleurs de l’accouchement tandis qu’Adam devait gagner son pain à la sueur de son front. Logiquement, il semble qu’auparavant, Ève n’eût pas produit de progénitures et Adam ne transpirait pas.

D’autres sources religieuses révèlent quelques-uns des changements qui furent provoqués par cet événement important. Dans la section sur la Création du Monde, le Haggadah explique ce qui se passa dans le jardin après qu’ils eurent pris le fruit défendu:

"Le premier résultat fut qu’Adam et Ève étaient devenus nus. Avant, leurs corps avaient été couverts avec une peau écailleuse et enveloppés avec l’auréole de gloire. Aussitôt qu’ils eurent violé le commandement, l’auréole de la gloire et la peau écailleuse tombèrent d’eux et ils se trouvèrent là nus, ressentant la honte."

Il est évident que leur nudité devait être associé à la perte de leur "peau écailleuse" et de leur "auréole de gloire."

Des descriptions semblables se trouvent dans les vieilles légendes Rabbiniques. Décrivant homme avant la Chute, il était dit que, "sa peau était aussi claire que la lumière du jour et couvrait son corps comme un vêtement lumineux."

Selon ces sources, plus tard, lorsque Ève mangea de la pomme, le résultat immédiat fut, "qu’à ce moment, toutes les parures que Dieu avait données à la femme d’Adam disparurent et elle vit qu’elle était nue !"

Cette peau lumineuse était le "nuage de gloire." D’autres légendes disent que le changement provoqué par la Chute fut que, "la luminosité de sa peau qui l’avait couvert comme un vêtement, disparut."

La nudité qui est tant accentuée dans les anciens documents est de quelque façon, en rapport avec une sorte de peau protectrice externe, lumineuse et brillante, le nuage de gloire. La nudité de l’homme fut le fait de perdre cette peau écailleuse protectrice, en d’autres mots, son apparence reptilienne ou divine. Désormais, l’homme devait porter des vêtements pour protéger sa peau vulnérable de mammifère. L’homme commencerait alors à transpirer comme un mammifère, une fonction physiologique qui pas intrinsèque aux reptiles.

L’Homme crée à l’image des Dieux reptiliens

Le Livre de la Genèse rend abondamment clair que l’homme fut originairement créé à l’image de son dieu:

"Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance ... Et Dieu créa l’homme à son image; il le créa à l’image de Dieu : il les créa maâle et femelle."

Puisque Adam de la Genèse et les "lulus" Sumériens furent créés à l’image du dieu serpent, trouve-t-on des traces de ce fait dans les Saintes Écritures ? En effet, dans la version Gnostique de la Création de l’Homme. Il y en a un qui décrit la réaction d’Ève dans le jardin d’Éden:

"Elle regarda l’arbre. Et elle vit qu’il était beau et magnifique et elle le désirait. Elle prit un de ses fruits et le mangea et elle le donna aussi à son mari et il en mangea aussi. Alors, leurs esprits s’ouvrirent. Lorsqu’ils en mangèrent, la lumière de la connaissance brilla sur eux lorsqu’ils portèrent la honte et ils savaient qu’ils étaient nus puisqu’ils avaient la connaissance. Lorsqu’ils revinrent à leur sens, ils virent qu’ils étaient nus; et ils s’amourachèrent l’un l’autre. Quand ils virent leurs créateurs, ils les détestèrent puisqu’ils avaient une forme bestiale. Ils en comprirent beaucoup."

Donc, une description appropriée d’Adam et Ève et leurs créateurs serait comme suit: Ils avaient une peau écailleuse ou calleuse; elle était brillante et lumineuse comme on voit chez certains reptiles; ils ne transpirait pas laquelle est un trait de mammifères; ils ne portaient pas de vêtements puisque c’était inutile; ils avaient une peau de couleur vert pâle.

La preuve pour la couleur de leur peau se trouve dans le Haggadah qui décrit comment Adam fut créé de poussière prise des quatre coins du monde:

"La poussière était de plusieurs couleurs rouge, noir, blanc et vert. Le rouge fut pour le sang, le noir pour les intestins, le blanc pour les os et le vert pour la peau pâle."

Si Adam eut été un Homo sapiens, la couleur de poussière utilisée pour la peau aurait été vraisemblablement le rose ou le brun.

L’Homo Saurien ou l’homme reptile était probablement beaucoup plus grand que l’homme moderne. Plusieurs sources anciennes lui font références comme ayant la taille d’un géant avant l’incident d’Éden. Par exemple, les registres Rabbiniques divulguent que, "Adam, qui avait été un géant, diminua en taille jusqu’à la dimension d’un homme ordinaire."

Les Patriarches antédiluviens et les rois Sumériens étaient en partie des Sauriens et furent apparemment de très grands hommes qui ressortirent physiquement parmi les hordes de l’espèce humaine. Les Rephaïm, les descendants des Néfilim vivant après le Déluge, furent aussi des géants; et comme les antédiluviens, leur durée de vie semble avoir diminué étant donné le fait que leur sang Saurien se diluait de plus en plus.

L’Homme perd la longévité pour devenir un mammifère

Bien qu’il y ait eu deux arbres dans le jardin, seulement l’arbre de la connaissance était tabou. Apparemment, l’homme avait l’accès à l’arbre de vie ou l’immortalité puisque cela ne lui a pas été défendu. Maintenant qu’il possédait la capacité de procréer, la divinité Biblique s’inquiétait qu’il pourrait aussi prendre de l’arbre de vie pour devenir immortel:

"Et Yahweh Dieu dit : `Voici l`homme devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Maintenant, qu’il n’avance pas sa main, pour prendre aussi de l’arbre de vie, afin d’en manger et de vivre à jamais.’ Et
Yahweh Dieu le renvoya du jardin d’Eden, pour aller travailler le sol d’où il avait été pris. Il chassa l’homme, et il mit à l’est du jardin d’Eden les chérubins et la lame de l’épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie.’’"

Selon les Saintes Écritures, l’homme ne pouvait pas revenir en arrière. Il avait maintenant pris le pas décisif et possédait la "connaissance" et pouvait commencer la race de mammifère connue comme l’espèce humaine ou Homo sapiens. Cependant, ayant obtenu ceci, il devait perdre la longue vie ou l’immortalité. Les deux étaient mutuellement exclusifs tel qu’indiqué dans le Livre de la Genèse. L’homme aurait pu retenir sa forme divine et sa longue vie tout en demeurant un mulet, une sorte d’Homo Saurien limité.

Voyant que l’homme avait besoin de vêtements pour se protéger contre les éléments, une divinité apparemment compatissante, "fabriqua des chemises faites de peaux pour l’homme et sa femme et les vêtit." Cependant, cette divinité généreuse avaient probablement d’autres raisons en tête, puisque le Haggadah révèle, les vêtements furent fabriqués des peaux muées délaissées par les serpents. [Note de l’éditeur: Selon John Baines dans "The Stellar Man," n’importe quelle race de Dieux Créateurs, tels ces Sauriens, sont responsables sous la Loi Galactique à voir au bien-être des créatures qu’ils peuvent choisir de concevoir et à qui ils donnent la vie. Par conséquent, ce fut nécessaire que ces Sauriens de Nibirou créent une nouvelle "peau externe," des vêtements pour Adam et Ève et tous leurs descendants subséquents. Ces Sauriens n’avaient pas d’autres choix.]

Est-ce que cela fut fait pour rappeler à l’homme ses origines reptiliennes ? Ce fut un moyen ironique pour graver dans la mémoire de l’homme le fait qu’il provenait de source Saurienne et qu’il existait selon la tolérance des dieux serpents. Ce thème se répète plusieurs fois dans les relations subséquentes de l’homme avec ses dieux Sauriens et fut formalisé dans le rituel de la circoncision. [Note de l’éditeur: ce qui fut sans doute une rébellion sociopolitique et culturelle contre les organes sexuels couverts des reptiles, aussi bien que plus tard contre les pratiques des Anciens Grecs dont la culture fut grandement influencée par le Prince Utu de Nibirou, ou le Dieu Soleil Apollon des Grecs.]

Le mythe de la Création dans le conte d’Adapa

Bien qu’aucun mythe Sumérien n’ait pas encore été trouvé qui est un parallèle à la Chute de l’Homme tel que raconté dans l’Ancien Testament, il y a un poème qui raconte une histoire qui est probablement la source de la narration de la Genèse.

Le Conte d’Adapa fut découvert dans les archives des rois Égyptiens à El-Armana, aussi bien que dans la bibliothèque du roi Assyrien, Asshourbanipal. Il était sans doute connu universellement dans les jours anciens. Son thème principal, comme celui de l’Épique de Gilgamesh, est le fait que l’homme rate l’occasion de se donner l’immortalité.

Adapa fut un spécimen Homo sapiens modèle créé par Enki dans l’Abzou. Comme l’Adam de la Genèse, Adapa possédait la connaissance mais non l’immortalité. Le conte commence avec l’affirmation:

"Avec une grande compréhension, à lui, il (Enki) avait donné la sagesse, mais la vie éternelle il ne lui avait pas donnée."

Enki avait entraîné Adapa à faire des corvées spécialisées pour sa maisonnée: il procura la nourriture pour la table, faisait la cuisson et prépara et servit la table au palais d’eau d’Enki. Comme se poursuit l’histoire, un jour, Adapa était dans son bateau en train de pêcher pour obtenir de la nourriture pour la table d’Enki, quand, le "Vent du Sud" s’éleva et inonda le bateau. Adapa maudit le vent et, comme l’histoire le raconte, "brisa l’aile du Vent du Sud."

Cette phrase est en effet curieuse et, à la lumière d’un autre poème Sumérien, elle semble être l’aile d’un avion. Dans le Mythe de Zu, une des armes utilisées contre Zu et celle qui le battit fut le "Vent du Sud." Ce contexte le fait paraître comme une sorte de vaisseau inhabité. Dans le cas d’Adapa, il semble l’avoir mis hors de fonction par hasard. [Note de l’éditeur: Quelque chose m’est venu à l’esprit comme j’écrivais. Ce livre ne semble-t-il pas être comme un document préparé par un fonctionnaire du gouvernement ? On se demande si Boulay fut ordonné à compiler ce "rapport gouvernemental" pour la "Défense Intelligence Agency" pour qui il travaillait.]

Pendant ce temps, dans sa "demeure céleste," le dieu principal Anou s’inquiète que le "le Vent du Sud n’a pas soufflé sur la terre depuis sept jours" et demande que son vizir fasse une enquête. Quand il rapporta qu’un simple mortel l’avait mis hors de fonction, Anou était furieux et appela Adapa à son vaisseau spatial pour s’expliquer. Enki, qui était non seulement le créateur de l’homme mais aussi souvent son défenseur et son bienfaiteur, mis Adapa au courant de comment agir en la présence du grand dieu.

Adapa se fait dire comment atteindre le bateau céleste d’Anou. Dans le conte, Enki "lui fit prendre la route du ciel et au ciel il se rendit," prenant évidemment une navette de Sippar, la ville spatiale. Il est prévenu qu’il sera offert le pain de la mort: "tu ne le mangeras pas." Ensuite, tu seras offert l’eau de la mort: "tu ne le boira pas," lui dit Enki.

Adapa fut introduit au dieu Anou qui lui demanda directement pourquoi il avait brisé le Vent du Sud. Adapa lui expliqua qu’il était en train d’attraper du poisson pour la table de son maître. La mer était comme un miroir jusqu’au moment où le Vent du Sud s’éleva et renversa son bateau, démontrant donc que son bateau avait été inondé par le jet de vent du "Vent du Sud" qui volait très bas.

Anou fut impressionné par l’intelligence d’Adapa et de plus, par le fait qu’il avait appris des "choses défendues," c’est-à-dire, des informations réservées aux dieux et leurs enfants semi-divins. Il questionna Adapa à savoir pourquoi Enki avait divulgué le "plan du Ciel et de la Terre" à un être humain, sans valeur, comme lui. Anou demanda pourquoi Enki lui avait fabriqué un "shumu."

Le dieu principal songea quoi faire avec Adapa maintenant qu’il connaissait le chemin des dieux, puisqu’il avait voyagé de la Terre au Ciel dans un "shumu," un voyage seulement permis aux dieux. Dans ce sens, le mot Sumérian "shumu" fait référence à une fusée ou une navette spatial pour atteindre le vaisseau orbitant dans les cieux. Ce terme est discuté en détail dans le Chapitre 11.

Pour continuer l’histoire d’Adapa, il fut décidé à le joindre aux rangs des dieux en le fournissant le pain et l’eau de vie. De cette façon, Adapa posséderait l’immortalité et deviendrait comme un des dieux. En réalité, cela signifiait revenir en arrière à sa nature reptilienne. C’est peut-être la raison pour laquelle Enki l’ait prévenu ne voulant pas que sa création soit altérée.

Quand Adapa refusa la nourriture et l’eau de l’immortalité, Anou voulait savoir pourquoi. Adapa lui dit de l’avertissement d’Enki, ce qui rendit Anou furieux et il envoya un messager pour châtier Enki. Anou s’est finalement calmé mais c’était trop tard pour Adapa; symboliquement, l’homme avait manqué sa chance de posséder la vie éternelle.

Adapa retourna à la Terre, un voyage pendant lequel il vit les merveilles de l’espace, "comme Adapa regarda de l’horizon du ciel à son zénith, il vit sa splendeur."

Adapa fut décrété un haut prêtre à Éridou et il reçut la promesse que, désormais, la Déesse de la Guérison soignerait aussi les maladies de l’espèce humaine. Mais ce qui est encore plus important à l’histoire d’Adapa comme parallèle à celle d’Adam à l’Éden, est qu’il fut décidé par les dieux qu’il, comme Adam, serait l’ancêtre de l’espèce humaine. Anou décréta que, comme destin, Adapa serait "la semence de l’espèce humaine."

La nourriture et l’eau de vie sont souvent dépeintes sur les sceaux-cylindres et les murales Sumériens. Les dieux sont parfois démontrées avec une pomme de pin dans une main et un seau d’eau ou "situla" dans l’autre, représentant la nourriture et eau de vie éternelle ou l’immortalité.

La triste histoire est que l’homme ne pouvait pas avoir le meilleur de deux mondes, une forme de mammifère et une longue vie. Cela explique pourquoi les durées de vie de l’homme se raccourcissent progressivement comme chaque génération dilua de plus en plus les gènes Sauriens. Les dieux furent malheureux avec la détérioration des traits Sauriens et dans les années à venir, ne laisseraient pas l’homme oublier son choix. Cela se répète partout dans les chapitres de l’Ancien Testament comme "la faiblesse de la chair."

Plus que l’homme évoluait de ses origines Sauriennes, moins qu’il s’en souvenait. À travers un long processus d’amnésie sélective, encouragé par une prêtrise qui se perpétuait et qui fut bien dissimulée, l’espèce humaine en est arrivée à perdre toute connaissance de son ascendance Saurienne. [Note de l’éditeur: Est-ce une histoire triste et pitoyable, ou quoi ? Voyant ceci du vingtième siècle, je suis quasiment soulagé que ce fut ainsi à long terme. Ces "dieux Sauriens" ont, maintenant, complètement perdu le contrôle de notre évolution ultime comme mammifère "hommes" et "femmes." Jamais plus pouvons-nous les reconnaître comme "dieux" ou "déesses." D’une certaine façon, maintenant, pour nous, ils ne signifient rien.]

La généalogie de l’Homme

Notre thèse est que nos ancêtres furent des formes reptiliennes qui sont venues à la Terre d’une autre planète pour obtenir, il y a longtemps, certains métaux. Trouvant le climat bénin, ils y fondèrent une colonie en Mésopotamie. Comme le climat changea, tel que démontré par le décès des dinosaures, il est devenu insupportable pour les Anounnaki. Ils décidèrent ainsi de produire un ouvrier primitif mieux adapté au climat. Le résultat fut un Homo Saurien, demi-homme singe et demi-reptile. Cependant, cette créature ne pouvait pas se reproduire.

Résoudre ce problème de main-d’œuvre, l’Adam ou le "lulu" reçu des caractéristiques dominant de mammifères et le résultat fut le premier Homo sapiens.

Quant à l’évolution, l’homme moderne apparu sur la scène il y a quelque 40 000 ans comme par magie. L’Homo sapiens, ou l’homme de Cro-Magnon, n’était pas un homme-singe et, si différent de la forme qu’il replaça pour exiger un saut quantique dans le processus de l’évolution.

Le problème complexe du "manque de liens" a confondu les évolutionnistes depuis plus de 100 ans. Est-ce possible que le soi-disant manque de liens ne soit jamais trouvé ? Et plus important encore, si ce manque de liens est découvert un jour, ce sera sans doute dans les ruines de l’ancienne civilisation de la vallée Mésopotamienne.


Chapitre 6

Les Dieux serpents et l’immortalité

"Faites un séraphin et montez-le sur une perche. Et si quelqu’un qui est mordu, le regarde, il recouvra." Livre des Nombres

La perception du Serpent comme étant mauvais

En plus Adam et Ève, l’autre hôte important du jardin d’Éden était le serpent. On lui donne des qualités qui rivalisent avec et surpassent celles d’Adam. Même la Genèse concède ce point en affirmant que "le serpent était le plus sagace de toutes les bêtes sauvages que Dieu avait fait." Le Haggadah décrit le serpent comme étant grand, ayant deux jambes et avec des pouvoirs mentaux supérieurs. Il était le seigneur de toutes les bêtes d’Éden: "Dieu parla au serpent, ` Je vous ai créé pour être le roi de tous les animaux. Je vous ai créés pour être debout.’" Dans le Haggadah, il semble avoir peu de doute qu’il ait marché comme un homme.

Dans la Genèse, le serpent fut puni sévèrement pour son rôle dans la Chute d’Adam et Ève. Désormais, son destin fut de ramper sur son ventre. De cette façon, la Genèse sous-entend, qu’à un certain moment, le serpent fut une créature avec des jambes et qu’il les perdit en mangeant du fruit défendu. Le Haggadah est plus explicite et dit carrément que, "ses mains et ses pieds furent coupés."

En apparence, le serpent aux jambes a dû être une créature effrayante, dominant tous les animaux aussi bien que l’homme. En fait, quand Adam et Ève furent expulsés de l’Éden, ils portèrent des "chemises de peau." Mais puisque Adam et Ève étaient végétariens pendant cette période et que l’homme n’avait eu la permission de manger de la viande jusqu’à après le Déluge, ces "peaux" ont dû être celles qui furent muées par les reptiles. Ce fait est confirmé par plusieurs sources anciennes.

Les anciennes légendes Juives indiquent que les vêtements portés par Adam et Ève ne furent non seulement faits de peaux reptiliennes mais qu’elles les protégèrent des prédateurs: "Quand ils portèrent les manteaux, disait-on à Adam et Ève, toutes les créatures de la Terre les craindraient." Les peaux de serpent étaient symboliques de la race souveraine et ne leur rappelèrent non seulement leur origine mais agissaient aussi comme un talisman pour les protéger des créatures sauvages. [Note de l’éditeur: Encore aujourd’hui, nous portons des peaux reptiliennes de serpent, d’alligator, de crocodile qui sont dispendieuses et distinguent le porteur de la multitude générale. Et le serpent, surtout le cobra, fut très révéré dans les anciennes cultures comme celles de l’Égypte et l’Inde.]

La notion du serpent représentant le mal est assez récente, car elle se développa au début de l’Époque Chrétienne. En réalité, le serpent Biblique est souvent associé à la connaissance divine, la guérison et l’immortalité. Le mot Hébreu pour la créature qui tenta Ève est "nahash" lequel est souvent traduit comme serpent mais signifie littéralement "celui qui résout les secrets."

Même dans l’Ancien Grec, le mot serpent posa des problèmes dans la traduction. Dans la Septante, la première version Grecque de l’Ancien Testament, le serpent s’appelle "drakon." Dans la Grèce Ancienne, le mot le "drakon" fut utilisé pour toutes les créatures effrayantes telles que les serpents, les grands reptiles et autres animaux terrifiants. Donc le terme "drakon" fut utilisé dans la sémantique et est devenu associer à un serpent ailé avec de grandes jambes comme dragon dans la littérature et la culture occidentale. [Note de l’éditeur: Aujourd’hui, la monnaie Grecque s’appelle "drakma." Il serait intéressant d’enquêter sur la source étymologique de ce terme moderne.]

En toute probabilité, les dragons et autres créatures fabuleuses de la mythologie ne sont que des créatures déformées du dieu serpent. C’est un problème de sémantique provenant de la répulsion de l’homme à sa descendance Saurienne. Deux compréhensions différentes semblent avoir contribué à la légende du serpent comme étant malfaisant et répulsif.

Le premier est le rapport maître esclave. L’homme remplaça les Anounnaki comme ouvriers et commença à exécuter toutes les tâches domestiques et déplaisantes. La mémoire de cette domination par les cruels et impitoyables reptiles fut exacerbée par la descente de Néfilim avant le Déluge. Ces hommes de l’espace vivaient et se marièrent avec l’espèce humaine et à la fois, les Saintes Écritures et les sources Sumériennes révèlent qu’ils étaient une race de barbares et de cannibales.

Au moment de la venue du Déluge, l’homme en était arrivé à mépriser et à même persécuter ces progénitures Sauriennes. Les sources anciennes suggèrent fortement que n’importe qui démontrant des signes de descendance des dieux serpents fut traqué et détruit.

Le deuxième facteur majeur dans l’évolution de l’idée qu’il représentait le mal fut l’inimitié entre Enlil et Enki. Quand les terres furent réclamées après le Déluge, Enlil plaça ses fils responsables des terres du Moyen-Orient et les fils d’Enki reçurent les terres étrangères telles que l’Égypte et la Vallée de l’Indus. Cependant, les fils d’Enki revinrent au Moyen-Orient et, son fils aîné Mardouk, saisit le contrôle de Babylone et réclama le titre tant convoité de "50."

On se souvient d’Enki comme le créateur et le bienfaiteur de l’espèce humaine et il est associé à la connaissance divine, la guérison et l’immortalité exactement les mêmes qualités attribuées au serpent dans le jardin d’Éden. Donc, la "Chute de l’Homme" Biblique revêt le caractère d’une confrontation entre Enlil, l’Élohim de l’Ancien Testament et Enki, le dieu serpent usurpateur. [Note de l’éditeur: Dans le livre, "The Stellar Man" de John Baines, l’Archon de la Destinée qui dupa Moïse et devint par la suite l’usurpateur de pouvoir de cette planète du plus "amical" souverain Archon antérieur, fut connu par la lettre Y. Ce Y réfère-t-il à Yahvé et par conséquent, au prince héritier Enlil ?]

Le même conflit est vu dans le Conte d’Adapa quand Enki a prévenu Anou (plus tard, Enlil représentait Anou puisqu’il est devenu le dieu aîné) de ne pas altérer sa création. Cette dissension se trouve dans le Troisième Livre d’Enoch lorsque le Patriarche serait donné le statut de dieu et l’immortalité. Les "anges," représentant le plus vieil ordre, protestèrent que Dieu révélait des secrets divins à l’homme. Ils lui rappelèrent à la mémoire, "les dieux primordiaux n’ont-ils pas donné un bon conseil lorsqu’ils dirent, `ne créer pas l’homme’ ?"

Pour les dieux conservateurs et plus anciens, l’homme fut considéré un animal inférieur, puisque à plusieurs reprises, il est critiqué pour sa transpiration et sa saleté, des traits typiquement de mammifères. Dans le Troisième Livre d’Énoch, l’homme est méprisé par les dieux mineurs ou les anges qui le caractérisent comme "l’espèce humaine née de la femme, tachée, malpropre, salie par le sang et le flux impur, des hommes qui transpirent des gouttes putrides." Ce dégoût des anges envers leurs cousins mammifères puants et poilus est réitéré partout dans l’Ancien Testament d’où cette aversion est masquée sous l’image de la "faiblesse de la chair."

Les Anounnaki étaient fiers de leur apparence reptilienne leur corps lisse et brillant et les traits de mammifère leur étaient répugnants. Du point de vue objectif, l’élégance et la beauté de la forme reptilienne ont beaucoup de mérite. Il est difficile de voir comment se développa la répugnance physique envers ces créatures.

Le problème de la répulsion difficile et il est peut-être mieux de le laisser aux psychanalystes. Il semble quand être une expérience acquise, le résultat de ce que l’on nous a apprit quand nous étions jeunes. D’un autre côté, le lointain souvenir du traitement bestial et barbare par les ancêtres reptiliens peut exister dans notre subconscient et contribuer à l’aversion des reptiles. [Note de l’éditeur: Nous pouvons encore démontrer une autre différence entre la culture des Anciens Grecs et celle des Hébreux. En Grèce, les dieux et les déesses représentaient l’ultime dans la beauté physique et la perfection. Et comme noté plus tôt, une des raisons fondamentales pour la création du Judaïsme fut une rébellion contre tout ce qui était Grec. Donc, cette répulsion envers les Dieux Sauriens provient peut-être de l’événement que Moïse et ses prêtres vécurent faisant face aux conséquences de son pacte avec le "vilain" Archon, menant en fin de compte, aux traditions religieuses Judaïques et cette notion de "répulsion" de quoi que ce soit de reptilien.]

L’Immortalité à travers la régénération

Dans les légendes anciennes, l’homme semble avoir eu une sorte de "connaissance" mais, il perdit l’immortalité. C’est quasiment comme si les deux furent mutuellement exclusifs.

Adam obtient la "connaissance" mais est expulsé du jardin et on lui défend de prendre le fruit de l’Arbre de Vie. Il en est ainsi pour Adapa qui reçoit la "connaissance" d’Enki mais est dupé de l’eau et de la nourriture de vie qui l’aurait rendu immortel. Plusieurs des aventures de Gilgamesh furent des tentatives d’obtenir l’immortalité. On lui nie un voyage jusqu’au ciel pour implorer aux dieux une longue vie. On lui refuse aussi lorsqu’il trouve Utnapishtim, son grand-père. Il obtient enfin la plante magique qui guérit et prolonge la vie mais, un serpent la lui vole, sans doute une image des dieux serpents.

Dans la mythologie mondiale, le serpent a toujours été le symbole de la longue vie, de la guérison, de la régénération et de l’immortalité. Partout ailleurs, les serpents furent associés avec la guérison. Par exemple, le "Chilam Balam" des Mayas raconte que les premiers habitants du Yucatán furent les Chanes ou "Gens du Serpent" qui vinrent de l’Est en traversant l’eau avec leur Chef Itzamna qui fut appelé par hasard le "Serpent de l’Est." Il fut un guérisseur et pouvait guérir par l’imposition des mains et même ranimer les morts. [Note de l’éditeur: Même aujourd’hui, le symbole de l’Association Médicale Américaine porte le symbole de deux serpents enroulés autour d’une perche. Itzamna est le nom Maya du prince-héritier Enlil. Son fils, le Prince Nannar mena la première expédition des Anounnaki (ou Olmèques) d’Afrique du sud vers les Amériques. Nannar fut connu comme le légendaire Quetzalcóatl, le dieu serpent volant. Pour plus de détails, voyez "The Lost Realms" par Zecharia Sitchin.]

Dans l’Ancien Testament, le rôle du serpent comme guérisseur est illustré dans l’incident du "serpent impudent" ou "séraphin" qui s’éleva sur une perche et devint une cure pour les maladies des tribus pendant leur Exode d’Égypte.

Dans les sources anciennes, on ne trouve pas beaucoup de détails sur la dualité de la connaissance et de l’immortalité, telle que représentée par les deux arbres dans le jardin d’Éden. À part les brèves références dans le Conte d’Adapa, la littérature ancienne concentre sur les efforts de l’homme à accomplir l’immortalité et la longévité. L’arbre de Vie symbolique et la nourriture et la boisson magiques sont des sujets populaires parmi les diverses cultures du Moyen-Orient et paraissent souvent dans leurs formes d’art.

Le contraire est vrai de l’Ancien Testament où l’immortalité est presque oubliée et l’emphase est placée sur les péchés de l’homme causé par sa Chute quand il a acquis la connaissance. Une exception se trouve dans le document Pseudopigraphique appelé, "La Vie d’Adam et Ève," qui raconte des épisodes de leur vie après qu’ils eurent laissé l’Éden.

Datant du premier siècle A.D., il est disponible en Grec et en Latin. Il fournit un événement peu connu de la tentative d’Adam d’obtenir quelques-uns des remèdes de rajeunissement. Selon le texte, Adam était vieux et malade et approchait la fin de sa vie. Il demanda à Ève et à son fils Seth de retourner au jardin d’Éden pour "l’huile de l’arbre de la pitié" avec qui il pourrait être oint, soulagé de sa douleur et peut-être même augmenté sa durée de vie. À l’entrée de l’Éden, ils furent reçus par l’ange Michel qui refusa le plaidoyer de Seth disant que l’élixir magique n’est pas pour l’homme.

La concentration Hébraïque, contraire à celle des traditions séculières anciennes, suggérerait que l’emphase sur la "connaissance" par la prêtrise fut une déviation délibérée pour imposer sur leurs gens une doctrine de "péché original" ainsi que la "Chute de l’Homme," se donnant un grand contrôle de leurs esprits et de leurs comportements. [Note de l’éditeur: Amen !]

La recherche de la régénération, une forme d’immortalité, fut un thème commun de la littérature ancienne et de la mythologie. Dans l’Épique de Gilgamesh, ce fut un sous-thème où, après avoir dit à son petit-fils que les dieux lui avaient refusé l’immortalité, Utnapishtim a la compassion pour son petit-fils; et, pour ne pas le laisser retourner les mains vides, il est informé d’une plante magique qui restaure la jeunesse et la vitalité et où la trouver. [Éditeur : Et, depuis ce temps, nous avons recherché "la fontaine de jouvence" !]

Donc, à son retour, Gilgamesh suit les directions de son grand-père et réussit à obtenir cette plante magique. Quelque peu imprudemment, il décide ne pas l’avaler immédiatement mais plutôt, de l’apporter à la ville d’Ouruk pour le partager avec ses amis. Cela s’avère être une erreur, puisque quand Gilgamesh arrête près d’une mare d’eau pour se baigner, la plante lui est volée.

Pour enlever la saleté de son long voyage, Gilgamesh décida de prendre un bain bien mérité. Sottement, il laisse la plante magique sur le rivage sans surveillance. Pendant qu’il se baigne et à sa grande consternation, un serpent ou "seru" sentit le parfum de la plante, traversa sur l’eau et l’amena. Comme le serpent parti, il mua et laissa derrière sa peau. De cette façon, l’histoire représente la capacité régénératrice du serpent d’allonger sa vie en muant périodiquement sa peau.

Dans la recherche de l’homme pour la panacée de la longévité et la vitalité, la science n’a pu encore fournir la réponse. Comme processus naturel, la régénération n’est pas très développée chez l’homme et les plus hauts mammifères, étant capable de régénérer seulement que les cheveux, la peau, les ongles, le foie et certains autres tissus. Ce processus est beaucoup plus prononcé chez les animaux inférieurs, par exemple, les salamandres et les lézards qui peuvent remplacer leurs queues, les homards et les crabes qui peuvent régénérer de nouveaux membres et le vers plat qui créé plusieurs nouveaux individus lorsqu’il est coupé en morceaux.

Bien que la régénération ait été défendue par les dieux partout de par les âges, certaines références voilées sont parfois retrouvées dans la littérature. Quand le serpent vola la plante magique de Gilgamesh et mua immédiatement sa peau, il démontrait une forme d’immortalité. Le fait de muer la peau de cette façon fit partie de la théologie des Hébreux et des Chrétiens dans le rite de la circoncision.

Faisant partie intégrante de la convention entre Abraham et son dieu et renforcée par la suite en étant répétée plusieurs fois à ses descendants, Dieu lui dit, "Vous circoncirez la chair de votre prépuce et ce sera la marque de la convention entre vous et moi."

Comme le serpent parvient à la longue vie en sacrifiant et en laissant derrière une partie de lui-même, ainsi l’homme peut aussi y parvenir en sacrifiant rituellement une partie de lui-même. Le rite de la circoncision servit aussi de rappel perpétuel que ses vraies origines proviennent du dieu serpent créateur et qu’il existait à la longanimité de ces dieux. [Note de l’éditeur: Souhaitant éviter une discussion au sujet des pour et des contres de la circoncision, il devrait être noté que bien que ce fût peut-être l’intention originale de la coutume, plusieurs cultures Chrétiennes d’Europe rejetèrent cette pratique par la suite, qui a, pour toute fin pratique, presque disparue de la vie européenne moderne. C’est encore une pratique universelle parmi les Juifs et les Musulmans comme ce l’est encore parmi plusieurs peuples traditionnellement animistes d’Afrique. Elle est aussi relativement populaire aux États-Unis, mais plus à cause de la tradition culturelle que religieuse. Ailleurs dans le monde, la pratique de la circoncision est pratiquement non-existante.]

De ceux qui ont atteint l’immortalité et joint les dieux, seulement deux sont enregistrés dans la littérature ancienne. Les dieux disaient que cet attribut n’était pas donné à la légère. Utnapishtim en fut un à qui ils donnèrent l’immortalité.

Après le Déluge, Utnapishtim et sa femme furent amenés au vaisseau spatial où Enlil le fit passer à travers un rituel: "Jusqu’ici, Utnapishtim eut été seulement qu’un homme, mais maintenant Utnapishtim et sa femme seront pour nous des dieux." Il fut envoyé vivre "à la source des deux rivières où Shamash s’élève," dans la terre de Dilmun. Non pas comme son équivalent, Noé n’a pas atteint l’immortalité. Les dieux de l’Ancien Testament furent des dieux beaucoup plus jaloux et intransigeants.

Avant le Déluge, un des Patriarches atteignit cette distinction. La Genèse en parle énigmatiquement en disant que, "Énoch marcha avec Dieu. Il disparu alors puisque Dieu le prit." Néanmoins, les trois livres apocalyptiques d’Énoch fournissent toute l’histoire des détails qui furent omis de la Bible.

Énoch fut non seulement rendu immortel mais aussi déifié et il est devenu second en pouvoir à la divinité principale. Cette métamorphose exceptionnelle fut accomplie pour fournir un magistrat objectif qui pourrait présider au procès des Néfilim qui avait été accusé de toutes sortes d’infractions sur la Terre.

De longues durée de vie sont-elles possible ?

La longévité parmi les anciens est proverbiale. Le nom du Patriarche Méthuselah fut le synonyme d’une très longue durée de vie. Si on croit les anciens registres religieux et séculiers, les Rois et les Patriarches antédiluviens jouirent d’une durée de vie exceptionnelle. Ces revendications sont si cohérentes et même en admettant une certaine exagération, on doit concéder qu’il doit y avoir un peu de vérité. Tacitement, l’homme moderne commence à prendre ces revendications au sérieux puisque aujourd’hui, il joue avec les possibilités que le vieillissement peut être contrôlé, même renversé et, la durée de vie peut être grandement étendue.

Les théories de vieillissement actuellement étudiées par la science moderne vont du concept de contrôle purement génétique au concept de réduire les effets de l’environnement sur l’organisme humain. Les scientifiques croient maintenant que les mécanismes qui causent le vieillissement sont extrêmement complexes et variables et, plutôt que d’avoir une seule cause, un grand nombre de phénomènes sont sans doute en cause.

La plupart des théories de vieillissement peuvent être mises en deux catégories générales: les théories d’erreurs et les théories de programmation. Les théories d’erreurs sont basées sur la prémisse que des événements aléatoires, tels que les effets de l’environnement, causent du dommage aux cellules du corps. Ce dommage s’accumule avec le temps et crée le mauvais fonctionnement des cellules, des molécules et des organes. Les théories de programmation sont basées sur la supposition que le vieillissement est programmé à l’intérieur même de la cellule et est le résultat attendu d’une séquence préméditée d’événements écrits dans les gènes.

Une des plus vieilles théories de vieillissement est la théorie de l’usure qui énonce qu’au niveau moléculaire, l’A.D.N. est continuellement endommagé mais le corps ne peut pas réparer le dommage et, qu’il s’accumule menant au mauvais fonctionnement moléculaire et enfin, celui des organes. La théorie du métabolisme dit que plus que l’organisme vit rapidement, plus rapidement il mourra. [Note de l’éditeur: Vivre vite, mourir jeune !] Les restrictions caloriques semblent être le seul facteur qui, à maintes reprises, change le taux de vieillissement chez les animaux et la nutrition semblerait contrôler le changement de certaines hormones responsables du métabolisme.

La théorie des radicaux libres se concentre sur les effets préjudiciables des radicaux libres, des fragments chimiques très instables produits pendant le métabolisme normal qui réagissent et endommagent d’autres molécules. Avec l’âge, l’accumulation du dommage des radicaux libres peut perturber les fonctions vitales des structures clefs de la cellule.

Donc, les nombreux partisans de la théorie d’erreurs déclarent que le corps produira des produits chimiques défectueux et des protéines qui seront synthétisées et accumulées. Ce processus conduit à des cellules, des tissus et des organes endommagés entraînant ainsi la mort.

De l’autre côté, la théorie de la sénescence programmée énonce que le vieillissement et la mort sont dus aux événements programmés, le résultat de l’activation et de l’inhibition séquentielle de certains gènes. Certains peuvent agir comme une horloge biologique, tels ceux qui contrôlent la puberté et la ménopause. Si le vieillissement est programmé, le système endocrine ou hormonal et le système immunitaire sont les deux candidats possibles contrôlant le vieillissement.

Des événements se produisant dans l’hypothalamus et la glande pituitaire peuvent être responsables pour certains processus de vieillissement importants. La glande pituitaire, localisée à la base du cerveau, sécrète des hormones qui stimulent d’autres glandes à produire des hormones. Il est possible qu’une horloge biologique dans l’hypothalamus (une région du cerveau) ordonne la glande pituitaire à sécréter une hormone qui perturbe la capacité des tissus du corps de réagir aux hormones thyroïdiennes. Cette hormone théorique, que quelques-uns appellent "l’hormone de la mort," n’a jamais été identifiée.

Le système immunitaire défend le corps contre les bactéries, les virus et les autres organismes envahissants. La glande thymus, localisée dans le thorax est une composant essentielle du système immunitaire. Elle atteint sa dimension maximale pendant l’adolescence et décline au point où elle est à peine visible à l’âge de 50 ans. Les partisans de la théorie du système immunitaire croient qu’en diminuant la capacité du corps à lutter contre l’infection, de se défendre du cancer et même réparer l’A.D.N. endommagé, le déclin de ce système peut être l’élément le plus important dans le processus de vieillissement.

Comme nous pouvons le voir, l’étude du vieillissement est toujours dans son enfance, bien qu’elle semble être une discipline en croissance. Le fait de comprendre le mécanisme du vieillissement aidera sans doute à éliminer des maladies et des désordres associés au vieillissement et à allonger vraisemblablement la durée de vie. La science est aussi au seuil de pouvoir modifier les gènes.

Peut-être un jour, atteindrons-nous la sophistication technique de nos ancêtres, les dieux serpents qui semblent avoir résolu ces problèmes scientifiques troublants ?

Quelle ironie qu’une race d’êtres intelligents puisse vraiment exister dans notre voisinage de l’espace qui soit reptilien et répulsif mais qui fondit la civilisation humaine ! Mais, ces créatures "répugnantes" doivent avoir une technologie suffisamment avancée pour leur permettre de voyager dans l’espace. Une race qui pourrait traverser l’espace aurait certainement la capacité de modifier les gènes et la capacité de se régénérer et, de ce fait, d’avoir une durée de vie prolongée.


Chapitre 7

Les dragons et les Dieux Serpents dans la mythologie mondiale

"Les légendes anciennes de la tribu Nyoro en Afrique disent que les premiers êtres humains sont descendus du ciel et ressemblèrent à des caméléons et qu’ils fondèrent l’espèce humaine." De source inconnue

Le Séraphin de l’Ancien Testament

Dans l’Ancien Testament, des références explicites à nos ancêtres dieux serpents furent quasiment toutes éliminées de par les siècles à travers un long processus de sélection et d’édition. Quand nous trouvons des allusions dans les Saintes Écritures, elles sont interprétées comme étant simplement des allégories. Dans le Livre des Nombres, un incident étrange est raconté concernant un serpent impudent qui soulève plusieurs questions qui ne sont jamais complètement expliquées par les savants Bibliques.

Pendant la deuxième année de l’Exode, après qu’ils eussent laissé les conforts du Mont Sinaï et peinèrent à travers le désert, les tribus eurent une escarmouche avec le Roi d’Arad et prédominèrent après beaucoup de difficulté. L’incident du Serpent eut lieu à ce temps:

"Ils quittèrent le Mont Hor par la route à la Mer Rouge contournant la terre d’Édam. Mais, pendant le voyage, les gens sont devenus rétifs et parlèrent contre le Seigneur et contre Moïse. `Pourquoi tu nous a faits quitter l’Égypte pour mourir dans le désert ? Il n’y a ni de pain ni eau et nous sommes venus à détester cette misérable nourriture.’ Le Seigneur envoya des serpents séraphins parmi les gens. Ils mordirent les gens et plusieurs Israélites sont morts. Les gens vinrent à Moïse et lui dirent, `Nous avons péché en parlant contre le Seigneur et contre vous. Intercédez auprès du Seigneur pour qu’il retire les serpents de parmi nous.’ Et Moïse intercéda pour les gens. Le Seigneur dit alors à Moïse, `Faites un représentation d’un séraphin et montez-le sur une perche. Et si qui que ce soit est mordu et le regarde, il guérira.’ Moïse fit un tel serpent et le monta sur une perche; et lorsque qui que ce soit fut mordu par un serpent, il regarderait le serpent et guérirait."

Il est difficile de mal interpréter la conclusion que la signification de l’incident est sans doute de l’idolâtrie, une activité rigoureusement défendue dans les Saintes Écritures. Le mot hébreu "seraph" est exceptionnel et apparaît seulement quelques fois dans les livres de l’Ancien Testament.

Dans Isaïe 14 et 30, le "séraphin" est rapporté "me ofef seraph" ou littéralement "serpent volant" et est associé avec la Philistie et le Négueb, des terres qui furent traditionnellement le pays des descendants des Néfilim après le Déluge. Le Serpent qui fut fabriqué par Moïse à l’ordre de Dieu fut révéré dans le sanctuaire du Temple jusqu’au huitième siècle avant J.-C. qui, selon II Rois 18, le Roi Ezéchias, fâché de l’adoration de l’idole, "brisa en morceaux le serpent de bronze que Moïse avait fait." [Note de l’éditeur: Le huitième siècle avant J.-C. auraient inclus l’année 762 quand, tel que noté auparavant, la série de cataclysmes commença accompagnant le départ de la Planète Nibirou de sa position au dessus du Pôle Nord de la Terre.]

Ce n’était probablement pas le "séraphin" original fait par Moïse vers 1 450 avant J.-C. et on doute qu’il ait survécu jusqu’à présent. D’une façon ou de l’autre, cela démontre que l’adoration des dieux serpents étaient bien établie parmi les Israélites pendant la période des Juges et des Rois et cela suggère aussi que Yahvé avait été identifié au moins une fois avec le dieu serpent.

Le terme "seraph" a inquiété les traducteurs et les commentateurs Bibliques de par les années. Il est traduit comme "serpent ardent" dans la version "King James." Cependant, la tendance moderne est de ne pas le traduire et de le laisser comme tel. Le "seraph" ne fait pas partie d’aucune classification ou de traduction. Il est plutôt un mot emprunté du Chanaanéen qui l’a acquis de leur héritage Mésopotamienne.

Les racines du terme peuvent possiblement être de source Mésopotamienne. Le "serpent ardent ou volant" sur le haut de cette perche, adoré pour ses propriétés curatives, représente Enki, le dieu Sumérien de la guérison, qui fut souvent associé au symbole du serpent. Il y a aussi une ressemblance curieuse du serpent enroulé autour d’une perche avec le caducée des Grecs.

Dans l’Épique de Gilgamesh, le serpent qui vole la plante magique du héros est appelé un "seru" et la ressemblance des mots suggère une origine commune. Le terme est aussi utilisé dans la mythologie Hindoue et a des antécédents Sumériens. Les Nagas, les dieux serpents mystérieux qui vécurent en Inde furent appelés des "sarpa" ou serpents.

Dans ses études de la religion Hindoue, la théosophe Madame Helena Petrovna Blavatsky affirme que les Nagas ou "sarpa" de l’Inde sont "indiscutablement les Séraphins Juifs, dérivé de serapi ou sarpa signifiant serpent."

Un ancien document religieux très peu connu réfère non seulement aux dieux serpents mais aussi énigmatiquement aux dieux du panthéon Sumérien. Comme tel, ce cantique Chrétien a probablement ses origines dans une prière Sumérienne. Appelée la Prière de Joseph, elle fait partie d’un groupe appelé les papyri magiques. Il est d’origine Grecque et est daté du deuxième siècle A.D. Il commence comme un cantique d’éloge:

"Père des Patriarches, Père de toutes les choses, Père de tous les pouvoirs du Cosmos, Créateur de tout, Créateur des anges et des archanges, le Créateur des noms rédempteurs, je vous invoque."

Après d’autres invocations, la prière continue dramatiquement:

"Vous qui êtes assis sur la Montagne Sacrée du Sinaï, Vous qui êtes assis sur la mer, Vous qui êtes assis sur les dieux serpents, le Dieu qui s’assied sur le dieu du soleil."

Ce péan est intéressant et pertinent pour plusieurs raisons. À part la référence tacite aux dieux serpents, il fait référence aussi au dieu qui s’assied sur la mer. Bien que cette ligne soit incomplète (curieusement, tous les mots manquants sont aux places critiques !), il paraît être une référence voilée au dieu de l’eau Enki et son palais d’eau. [Note de l’éditeur: Enki était l’équivalent du Poséidon Grec, Dieu de la Mer.] Le dieu du soleil est vraisemblablement Utu/Shamash de même que le dieu du Mont Sinaï est Ishkour/Adad. [Note de l’éditeur: Utu était équivalent du Dieu Soleil Vert Apollon et Ishkour à Arès, Dieu de la Guerre.]

Donc, l’invocation semble être adressé à Enlil [Zeus], le dieu souverain du panthéon Chanaanéen qui devint plus tard connu comme "El" dans l’Ancien Testament. De plus, les noms rédempteurs sont probablement les Tablettes de la Destinée ou des Noms Divins associés aux MEs Sumériens.

Les dieux serpents ne se trouvent pas seulement que dans l’histoire ou la mythologie des pays du Moyen-Orient. Des dragons, des serpents volants et des dieux serpents paraissent dans la mythologie des gens partout dans le monde et partout, ils sont les créateurs et les ancêtres bienveillants d’homme. Certaines cultures conservent la mémoire d’une race de serpent qui était cruelle et barbare.

Les Dieux Serpents dans la civilisation de l’Indus

Aratta est souvent mentionné dans la littérature Sumérienne comme une terre lointaine contrôlée par la déesse Inanna de sa ville tutélaire d’Ouruk. Selon l’Épique Enmerkar et le Seigneur d’Aratta, cette terre était située au-delà d’Anshan (maintenant l’Iran) et un voyage à Aratta exigeait la traversée de sept montagnes et de la dangereuse rivière Kur.

Il a été suggéré qu’Aratta était peut-être le même que le Harappa de la civilisation perdue de la Vallé de l’Indus. Harappa, avec Mohenjo-daro, fut une ville des anciens Dravidiens, les gens serpents légendaires qui précédèrent la race Aryenne de l’Inde.

Durant les années 1920, les archéologues furent quelques étonnantes découvertes dans la Vallée de la rivière Indus. Les ruines de deux grandes villes anciennes furent excavées, une s’appelant Mohenjo-daro située directement sur la Rivière Indus et l’autre, Harappa, sur la Ravi, une branche majeure de l’Indus localisée dans le Punjab ou Terre des Cinq Rivières. Comme les villes de la Mésopotamie et de la Vallée du Nil, elles furent construites sur les plaines alluviales. Cependant, contrairement à ces autres villes, Mohenjo-daro et Harappa paraissent avoir été complètement organisées dès le départ. En effet, leurs dispositions étaient identiques. Bien qu’aucune ziggourat n’ait été trouvée, chaque ville avait un monticule de dix mètres de haut, une sorte de plate-forme artificielle.

Ces villes n’ont pas évolué de villages primitifs mais furent complétées en moins d’un siècle. Elles furent construites à partie de rien comme par une force extérieure. En d’autres mots, elles furent construites comme colonie, probablement par les Sumériens et vraisemblablement par Enki, leur ingénieur principal.

Les villes existent depuis environ 3 500 à 3 000 avant J.-C. et, selon les preuves archéologiques, en sont venues à une fin violente aux alentours de 2 000 avant J.-C. Ce qui laisse perplexe les historiens est que les gens qui vivaient là n’avaient pas de rapport avec les Aryens qui sont venus quelques 500 à 600 années plus tard s’établir dans la Plaine de Punjab et de la Gange. Comme les anciens Sumériens, les gens de Mohenjo-daro et Harappa parlèrent une langue inconnue. [Note de l’éditeur: En supposant que la Planète Nibirou fut pour la dernière fois dans notre système local de 1 600 à 700 avant J.-C., alors sa visite antérieure aurait été versajouter 3 600 ans à cette date 4 200 à 3 300 avant J.-C. Ces dates sont assez proches des années notées ci-dessus pour conclure que ces villes Dravidiennes furent construites par les Nibirouens pendant leur avant dernière visite à la Terre/Tiamat.]

Les objets fabriqués découverts dans ces villes les lient avec la vallée de la Mésopotamie. Des sceaux en forme de bouton trouvés à ces emplacements sont semblables aux sceaux cylindres de Sumer. En fait, un de ceux-ci démontre un homme sauvage qui lutte avec deux bêtes, semblable à celui de Gilgamesh qui se tient debout entre deux lions. Ces deux villes sont probablement des colonies Sumériennes établies après que la Terre devint inhabitable, après le Déluge. Certains historiens ont suggérés que ces villes étaient le centre de la culture Dravidienne et furent habitées par les Nagas, une race de d’hommes serpents. [Note de l’éditeur: Si à chaque fois que la Planète Nibirou arrive et part de cette région de notre système solaire, il y a des cataclysmes planétairesou des "déluges"en raison des anomalies gravitationnelles et électromagnétiques, cela supporte ce qui est suggéré ci-dessus que ces deux villes Dravidiennes furent fondées par et pour l’usage des Nibirouens pendant leur avant-dernière visite ici.]

Les Nagas, la race des Serpents de l’Inde ancienne

Le Livre Ancien de Dzyan, probablement le plus vieux de source Sanskrit, parle d’une race serpent qui descendit des cieux et enseigna l’espèce humaine. Madame H. P. Blavatsky passa trois ans au Tibet, au Bhoutan et au Sikkim, accumulant des milliers de sources Sanskrit qui furent compilées dans le Livre de Dzyan. Ces sources concernent les gens anciens appelés les Nagas ou Sarpa qui étaient des êtres semi-divins avec un visage humain et la queue d’un dragon. Blavatsky croyait que ces Sarpa étaient indubitablement les Séraphins de l’Ancien Testament; les Séraphins auraient donc les mêmes racines étymologiques que les Sarpa de l’Inde ancienne.

La mythologie et la littérature Hindoue sont aussi remplies de liaisons sexuelles entre les dieux et l’espèce humaine et de la procréation de nombreux êtres étranges appelés Dravidiens et Dasyus. Cette race habitait hypothétiquement dans de grandes villes fortifiées. Ils étaient grossiers, cannibales, de peau foncée et camus. Les Aryens qui sont venus plus tard, rencontrèrent les descendants de cette race serpent; ils sont décrits dans le Ramayana:

"Près de Bhogavata, il existe un endroit où demeurent les hôtes de la race serpent, une ville de boulevards, fortifiée et interdite dont les légions vigilantes gardent et défendent. Le plus violent des jeunes serpents, chacun affreux de par sa dent de venin, et sur le trône dans son couloir impérial, Vasuki les gouverne tous."

Les Dravidiens antédiluviens furent éliminés par le Déluge. Quand la Terre fut repeuplée, Harappa et Mohenjo-daro devinrent le centre de la culture Dravidienne.

Une grande partie des preuves que Dravidien, Dasyus et Nagas étaient tous des noms différents pour ces gens peuvent être trouvées dans les grandes Épiques de l’Inde, le Mahabharata et le Ramayana. Les deux Épiques concernent les contacts des Aryens avec cette race serpent, quelques-uns, amicaux et d’autres, hostiles. Dû à l’intermariage des Aryen avec ces gens, une sorte d’ambiance, un rapport amour haine se dégage de ces deux grands Épiques.

Dans l’Épique du Mahabharata, un groupe d’êtres "célestes" arrive par voiture aérienne pour assister à la fête de mariage des rois Aryens:

"Les dieux arrivèrent en chariots ennuagés pour voir la belle scène. Des Suparnas ailés, des Nagas écailleux, des chariots célestes brillants, tous ensemble naviguaient dans le ciel sans nuages."

Ces Nagas se marièrent avec les Aryens, produisant des rois et des héros. Par exemple, dans le Rig Veda, il y a des noms comme Divodasa qui indiquent qu’il y eut un croisement entre les Dasyus et les Aryens peu après 1 500 avant J.-C. [Note de l’éditeur: Cette date tombe dans la période 1 600-700 avant J.-C.]

Plusieurs anciens dieux hindous se marièrent avec les êtres humains et, comme à Sumer, produisirent un hybride mammifère reptile, les rois semi-divins qui résonnent partout dans la littérature de Sumer et de l’Inde.

La littérature Hindoue affirme que des gens divins descendirent et dirigèrent des expériences biologiques avec les singes. En fait, Hanuman, le dieu singe qui, avec Rama, le héros de l’Épique Ramayana, fut conçu quand le dieu Shiva donna un gâteau sacré à Anjan, le singe. Cette référence évidente à une expérience génétique produisit Hanuman, le super-singe, évocateur de l’Enkidou de l’Épique de Gilgamesh. [Note de l’éditeur: Selon ma recherche linguistique et mythologique, le Dieu Hindou Shiva serait l’équivalent d’Enki, le co-créateur d’Adam et Ève.]

Les Dieux Serpents des époques épiques hindous

Une des grandes Épiques de l’Inde, le Ramayana, est l’histoire de Sita, la mariée d’un Prince du nord appelé Rama, qui est enlevée par Ravana, le roi serpent du Ceylan [le Sri Lanka moderne]. [Note de l’éditeur: Mon hypothèse est que Rama est le Prince Nibirouen Utu (l’Apollon Grec) et que Sita est la Duchesse Nibirouenne Aya (l’Artémis Grec).]

Rama chasse l’armée de Ravana à travers l’Inde avec l’aide d’une force de singes sous l’ordre du singe général Hanuman. Ravana se retire à son royaume de l’Île de Ceylan, hypothétiquement hors de danger. Mais Hanuman construits un pont de galets en travers le détroit qui sépare l’Île de la terre ferme et Sita est secouru par Rama.

Partout dans l’histoire, Ravana est décrit en termes barbaresil se "nourrit d’êtres humains" et "boit le sang de ses ennemis." Il est redoutable dans la bataille et réussit quasiment à battre Rama en utilisant son arme spéciale, Naga, décrit comme un "dard Naga de nez de serpent," lequel semble paralyser ses ennemis et écouler leur énergie et leur force vitale. Comme toutes les créatures divines et semi-divines dans la mythologie, Ravana avait accès à des armes sophistiquées.

Le Ceylan, le royaume de Ravana, est la forteresse des Nagas. Il est décrit comme le pays des Nagas dans de très anciennes sources Chinoises. Dans une des premières références littéraires du Ceylan, quand il y avait des relations commerciales avec la Chine avant l’occupation Aryenne de l’Inde, il est décrit comme une terre de créatures reptiliennes étranges. À cause de ses pierres précieuses, de ses épices et de son emplacement, il est devenu populaire avec les négociants Chinois.

Fa-Hsien, le négociant Chinois, divulgua qu’au début, l’Île était occupée par les Nagas ou les serpents divins avec qui les négociants de divers pays faisaient le commerce. Les Nagas ne se montrèrent jamais aux étrangers. Ils exposèrent leurs précieux produits qui étaient tous étiqueter avec le prix de vente. Les négociants étrangers achetèrent selon le prix et apportèrent les produits.

L’autre grand Épique de l’Inde est le Mahabharata, le plus long et peut-être le plus grand poème Épique de toutes les langues. Plus vieux que le Ramayana, il contient 88 000 vers. Le thème principal est la rivalité entre deux branches de la même famille, les Kurus. Les Pandavas et les Kauravas se battent et cela fini par la destruction presque totale des deux branches de la famille à la grande bataille de Kuruksetra.

Comme l’histoire commence, le Roi Pariksit des Kauravas tira un cerf en chassant à l’arc. Poursuivant le cerf, il demande à un ascète s’il avait vu le cerf blessé. Observant un vœu de silence, le sage ne répondit pas. Cela mis Pariksit en colère et alors, il pris un serpent mort et le plaça autour du cou du sage. Le fils de l’ascète, Srnga, devint fâché et mit une malédiction sur Pariksit. Ainsi commença la querelle de sang entre les deux familles.

Une troisième partie intervient. Fâchés du blasphème d’un des leurs, les dieux serpents entrent dans l’histoire. Taksaka, le roi des gens serpents, envoie des serpents causant la mort de Pariksit.

L’histoire de la querelle de sang est racontée comme quelque chose qui s’est passé dans le distant passé. Puisque l’ancien royaume des Kurus prospéra le long du cours supérieur du Gange durant les 14e et 13e siècles avant J.-C. [Note de l’éditeur: Encore dans la période 1 600-700 avant J.-C.], les événements ont pu se dérouler au début de l’invasion Aryenne quand il y avait beaucoup de rapports sexuels avec les Nagas.

L’histoire du Mahabharata commence avec le grand sacrifice du Roi Janamejaya. Comme l’histoire est racontée par le sage Vyasa, le fils de Pariksit, le Roi Janamejaya entreprend une cérémonie pour venger la mort de son père, un sacrifice au serpent appelé le "yajna." Son but est de totalement détruire les Nagas, les dieux serpents qui pouvaient hypothétiquement assumer à volonté soit la forme de serpent ou la forme humaine, dont un tua Pariksit.

Dans le rituel, le prêtre invoque les noms des serpents tout en lançant des serpents vivants dans le feu. Astika, le fils du roi serpent Taksaka, intervient et implore Janamejaya de laisser vivre sa parenté. Les histoires de guerre et autres narrations furent, par la suite, dites comme des contes à ces sacrifices qui étaient de longue durée. L’historien Indien D. D. Kosambi dit que le "yajna" lui-même n’était pas autant le conte d’une grande guerre mais plutôt l’histoire du grand sacrifice "yajna". En d’autres termes, ce fut une cérémonie symbolique d’apaiser leurs ancêtres serpent et en même temps, de les éliminer de leur héritage culturel.

Dans la lutte entre les deux branches des Kurus pour contrôler les plaines du Gange supérieur, il y a une ressemblance avec les guerres des fils d’Enlil et Enki dans la Mésopotamie. Dans l’Épique Hindou, les Pandavas paraissent être les vainqueurs puisqu’ils regagnent la plupart de leur royaume qui avait été perdu plus tôt. Cette lutte commença avec des armes conventionnelles de la période, telles que des lances, des épées, des arcs et des flèches, mais plus tard, l’emploi d’armes plus puissantes et sophistiquées fournies par les dieux des deux côtés se rajoutèrent.

Ces armes ont toutes les caractéristiques de missiles modernes et de systèmes nucléaires. Dans un exemple, un côté lance un missile qui est contrecarré par un missile opposant. L’explosion des deux missiles cause un grand nombre de morts sur la Terre. La bataille a des connotations modernes.

C’est comme si un côté avait lancé un missile balistique qui est contrecarré par un missile nucléaire anti-balistique et détruit, causant une pluie mortelle de retombées radioactives.

Après une guerre prolongée, les Kauravas perdent la lutte et sont dans une situation désespérée. C’est alors qu’ils décident de terminer la guerre à travers l’emploi de tactiques défendues. Dans le milieu de la nuit, ils descendent sur les Pandavas endormis et tuent la plupart des guerriers. Enragés par l’infraction des règles de la guerre et la décimation de leur armée, les Pandavas décident qu’ils n’ont aucun choix que d’utiliser l’arme ultime, "l’arme céleste" qui est capable de détruire toutes les autres armes.

Le chef des Kauravas décide de se servir d’une arme similaire qui pouvait produire de la radioactivité, car il déclare, "Je dirigerai cette arme sur les utérus des femmes Pandava." Il prédit que la lignée des Kuru deviendrait éteint "puisque les foetus mourront." Son avertissement est vrai puisque l’arme produit la stérilité chez toutes les femmes Pandava. La guerre entre cousins Kuru finit enfin dans une impasse avec la presque oblitération des deux branches de la famille.

Les Dieux Serpents ou Dragons dans l’histoire chinoise

Bien que le dieu serpent est démontré comme un dragon dans l’histoire et la mythologie Chinoise, il n’y a pas aucun doute que nous traitons de serpents avec des ailes et des jambes ou les Naga des Hindous. La Chine choisit le dragon comme symbole national pour des raisons très importantes. Ils croyaient que le Dragon Céleste était le père de la première Dynastie des Empereurs Divins et comme résultat, le symbole du dragon inspirait la bienfaisance divine à la terre de Chine.

Selon l’histoire Chinoise, les dragons Asiatiques étaient présents à la Création et partageaient la Terre avec l’espèce humaine. Comme le serpent occidental, le dragon fut rattaché au développement de l’homme; et ce fut le dragon qui lui apprit les arts essentiels tels que comment faire le feu, comment tisser des filets de pêche et comment faire de la musique.

Le dragon Chinois était sans égal dans sa sagesse et son pouvoir de conférer des bénédictions et comme résultat, en est venu à symboliser le plus bienfaisant des hommes, l’Empereur qu’on croyait avoir du sang de dragon. Cette affinité avec le dragon est démontrée par les accoutrements impériaux: l’Empereur s’asseyait sur un trône en forme de dragon, navigua dans un bateau en forme de dragon et dormait même dans un lit en forme de dragon.

Selon Charles Gould, dans son œuvre classique sur la mythologie Chinoise, la croyance en l’existence et l’amitié du dragon est tissée dans la vie de l’ancienne histoire Chinoise. Le Yi-king, le plus ancien des livres Chinois, dont les origines sont mystérieuses, décrit les jours quand l’homme et le dragon vivaient ensemble pacifiquement et même se marièrent entre eux, et comment les dragons sont venus qu’à représenter l’Empereur et le trône de Chine et, comment le Dragon Principal avait sa demeure au ciel.

En l’année 212 avant J.-C., l’Empereur Tsin-Shi Hwang-Ti ordonna que tous les livres anciens soient détruits et que soit entreprise la persécution de tous les sages pour une période de quatre ans [Note de l’éditeur: la première "révolution culturelle" ?]. Le résultat fut que 460 sages furent enterrés vivant ensemble. Pendant cette orgie de suppression d’anciennes connaissances, le Yi-king était considéré si sacré qu’il fut spécifiquement exempté de l’édit. [Éditeur : C’est intrigantbien que ce soit une pure coïncidence que la Bibliothèque d’Alexandrie fut brûlée autour de cette même période. Cette bibliothèque logea aussi tous les textes les plus anciens et sacrés des civilisations du Moyen-Orient.]

Dans ce classique, plusieurs empereurs anciens sont décrits comme ayant des traits de dragon comme, par exemple, Hwanti que Gould date à 2 697 avant J.-C. On dit que l’Empereur Yaou (2 356 avant J.-C.) fut conçu par un père dragon et une mère humaine. L’empereur Shun (2 255 avant J.-C.) est décrit comme ayant la contenance d’un dragon.

Le Serpent comme le bien et le mal dans l’ancienne Égypte

La dualité du serpent comme une source du bien et du mal faisant partie de la religion Égyptienne est probablement due à certains événements historiques singuliers. Dans le Vieux ainsi que le Royaume Central, il est bienveillant et associé aux dieux et à l’immortalité.

Plus tard, commençant avec le Nouveau Royaume, la 18e Dynastie en particulier, il devient une créature sinistre et un objet à être détesté et exorcisé. [Note de l’éditeur: Si nous supposons que l’historique du Dr Immanuel Velikovsky est un fait réel, alors le Royaume Central cessa autour de 1 600 avant J.-C., étant le résultat direct de cataclysmes qui causèrent aussi l’Exode et l’Explosion de Thera/Santorini, c.-à-d., l’arrivée de la Planète Nibirou dans ce voisinage. Alors, commença un "Millénaire des Dieux," lequel dura jusqu’à approximativement 700 avant J.-C., le temps du début de la célèbre 19e Dynastie du Nouveau Royaume, celle de Seti le Grand et Ramsès le Grand. Si le départ de Nibirou causa des cataclysmes additionnels à ce temps, durant la campagne de génocide de Sargon d’Assyrie, il est facile à voir comment les derniers souverains de la 18e Dynastie et cuex du début de la 19e cesseraient de voir les "Dieux Sauriens" comme bienveillants et commenceraient à les condamner comme sinistres.]

Sur les murs des tombes des plus vieilles dynasties, le serpent est représenté comme une créature amicale portant le roi sur son dos jusqu’au ciel. C’est le symbole du roi qui est emporté par le dieu serpent à la terre de l’immortalité, à la terre des dieux.

À ce temps, le serpent fut adopté comme symbole de royauté et commença à apparaître comme le "uræus," la vipère divine sur la coiffe du pharaon.

Mais, dans le Nouveau Royaume, après que les premiers rois de la 18e Dynastie ont expulsé les Hyksos détestés de leur pays, le serpent prend un caractère malveillant. Il devient un vilain objet devant être exorcisé pendant des rituels. Appelé Apep ou Apop (l’Apophis Grec), il est la manifestation des Hyksos barbares qui avaient envahi et occupé l’Égypte pendant des centaines d’années. [Note de l’éditeur: Selon le Dr Velikovsky, les Hyksos envahirent l’Égypte au même moment que la fuite des Israélites, c.-à-d., autour 1 600 avant J.-C. Ils gouvernèrent l’Égypte conquise jusqu’à environ 1 000 avant J.-C. quand le Roi Thutmose I de la 18e Dynastie les expulse à jamais et établit le Nouveau Royaume.]

Apop fut le souverain Hyksos original et, avec ses descendants, gouverna de la 14e jusqu’à la 17e Dynastie. Plusieurs souverains adoptèrent le nom Apop et en particulier, le dernier roi Hyksos battu par Ahmosis et Kamose, les fondateurs de la 18e Dynastie.

Apop posséda plusieurs épithètes. Dans les cérémonies pour le détruire, il fut maudit par plusieurs noms. Le rituel est évocateur du "yajna" des Hindous qui donnèrent plusieurs noms aux serpents en les jetant dans le feu. La haine Égyptienne était profondément enracinée dans leur mémoire des règnes cruels des rois Hyksos qui détruisirent systématiquement la culture Égyptienne et leurs monuments. Nous verrons que ces gens si détestés n’étaient nul autre que les descendants des Rephaim, les progénitures des Néfilim antédiluviens qui gouvernèrent les terres du Moyen-Orient après le Déluge.

Les Dieux Serpents dans la mythologie américaine et africaine

Parmi les Mayas de l’Amérique centrale, le symbolisme du serpent était très courant. La plupart des serpents représentés dans leur art ont des plumes, indiquant la capacité de voler. L’ancien livre Maya "Chilam Balam," raconte que les premiers habitants du Yucatán furent les Chanes ou les "Gens du Serpent," qui traversèrent la mer de l’Est, menés par Itzamna, un dieu serpent. [Note de l’éditeur: Itzamna est l’équivalent du prince héritier Enlil, le père du Prince Nannar/Quetzalcóatl.]

Il était la divinité la plus importante du panthéon des Mayas; et comme le dieu du ciel dominant, souverain des cieux, il est un des rares dieux Mayas à ne pas être associé à la mort ou à la destruction.

Itzamna fut le dieu créateur, celui qui donna le souffle de vie à l’homme. Comme tel, il décrit le dieu Sumérien Enki parfaitement. [Note de l’éditeur: Selon ma recherche, l’équivalent Maya d’Enki est le dieu Tlaloc. Cependant, je suis d’accord avec Boulay concernant la logique de sa conclusion. Votre éditeur consultera à nouveau ses sources. Selon moi, Itzamna était le "dieu du tonnerre et des éclairs"donc, le Zeus Grecet Tlaloc était leur "dieu de la mer"donc, Poséidon/Enki. Mais puisque Zecharia Sitchin, dans "The Lost Realms," place Enki/Poséidon en charge des mines d’or au Lac Titicaca et du centre spatial à Nazca, sa conclusion renforce celle de Boulay.]

Eric Thompson, le doyen des études sur les Mayas, maintient que le terme "itzem," duquel le nom d’un dieu est dérivé, devrait être traduit comme "lézard" ou "reptile." En fait, Itzamnal, la ville du dieu Itzamna, signifie littéralement "la place du lézard." Il y a aussi un grand nombre de formes anthropomorphiques du dieu Itzamna où il est représenté comme demi-être humain et demi-serpent.

Le dieu serpent bienveillant est aussi trouvé, plus tard, dans la mythologie Mexicaine de la civilisation Aztèque qui remplaça les Mayas. Quetzalcóatl est le dieu serpent de plumes qui apporta les bienfaits de la civilisation au Mexique et enseigna à l’homme, l’astronomie et les mathématiques. [Note de l’éditeur: Sitchin identifie correctement Quetzalcóatl avec le Prince Nibirouen Nannar, le Thoth Égyptien et le Hermès Grec. J’inclus aussi une corrélation avec le Bouddha Asiatique.]

Des légendes de dieux serpents abondent aussi partout dans la mythologie et la religion Africaine. Pour les Dogons de Mali et de la Volta Supérieure, leur ancien dieu créa le soleil et la lune, la Terre d’un morceau d’argile et finalement les premiers êtres primitifs qui furent des jumeaux appelés Nummo, demi-humain et demi-serpent. [Éditeur : Et comme nous savons, les Dogons placent l’origine de leurs dieux dans le Système Sirien de Double Étoile que les Égyptiens appelèrent Osiris et Isis.]

Dans la tribu Nyoro, les légendes disent que Dieu envoya le premier couple humain du ciel quand il fonda le monde. L’homme avait une queue et a produit deux jeunes filles et un garçon. Ceux-ci en retour engendrèrent le caméléon, le père de l’espèce humaine.

D’autres tribus Africaines tracent aussi leurs ancêtres à des gens ressemblant à des reptiles. Pour les Kumbis, les premiers hommes que Dieu créa possédaient des queues. La tribu Ewe-Ho décrit des hommes avec des queues qui descendirent sur la Terre à l’aide d’une corde. Pour les Jaggas, leurs ancêtres descendirent sur la Terre à l’aide d’un fil de toile d’araignée: l’ancêtre s’appela "celui à la queue." [Note de l’éditeur: Bien sûr, nos anthropologues modernes nous feraient croire que nos coccyx sont des os résiduels de nos ancêtres, les grands singes. S’ils savaient... ! ]


Chapitre 8

Les patriarches : demi-dieux de la période anté-diluvienne

"Et un enfant sortit du Sopanim morte. Et il s’assied sur le lit à son côté. Et Noé et Nir le regardèrent et virent l’insigne de la prêtrise sur sa poitrine. Il était glorieux en apparence."

On se souvient des jours antédiluviens comme étant le règne des dieux rois de la Liste des Rois Sumériens et comme l’Époque des Patriarches du Livre de la Genèse. Les sources disent que les chefs qui formaient l’aristocratie gouvernante en ces jours furent de sang divin, c’est-à-dire, en partie Sauriens.

Un deuxième groupe sur la Terre fut soit les Néfilim ou les Anounnaki qui descendirent vivre ici et se marièrent avec les femmes humaines.

Le troisième groupe à peupler la Terre fut l’espèce humaine, l’Homo sapiens, produit par les Anounnaki comme force de main-d’œuvre pour faire toutes les tâches secondaires.

Des trois groupes, nous nous concernons ici de celui des demi-dieux, les prêtres-rois de la période antédiluvienne qui sont connus dans l’Ancien Testament comme les descendants d’Adam et Ève.

Deux lignées de descendances : Caïn et Seth

La lignée de descendances d’Adam et Ève fournie par le Livre de la Genèse pose un grand nombre de problèmes, puisqu’elle n’énumère non seulement les progénitures de Caïn mais inclut aussi la lignée parallèle de Seth. Elle duplique même quelques-uns des noms Caïnites et se rapproche de certains autres.

Par conséquent, il semble y avoir deux lignées traditionnelles séparées dérivant de la même source distante. Le centre original de la dissémination était manifestement en Mésopotamie. Bien que le nom Methusael soit clairement Akkadien (MUTU-SA-ILI ou "homme de dieu"), les autres noms n’ont rien de commun avec leurs antécédents Mésopotamiens; et il semble qu’avant qu’ils atteignent les Hébreux, ils traversèrent un centre de dissémination secondaire où ils furent transformés avec les registres et les traditions locaux.

Dans la littérature pseudopigraphique, une troisième liste, longtemps négligée, est mentionnée vraisemblablement parce qu’elle ne correspond pas à la proposition dans la Genèse qu’Abraham hérita de la cape de prêtrise de Noé. Provenant du deuxième Livre d’Énoch, cette liste de prêtres-rois se termine avec le Patriarche Melchisédek qui est transporté aux cieux juste avant du Déluge. Elle contient plusieurs noms étranges et peu familier qui ne paraissent pas ailleurs dans les Saintes Écritures. Aussi appelé l’Apocalypse Slavonique d’Énoch, il est daté au premier siècle après A.D. et décrit la montée d’Énoch au ciel, sa déification et son retour à la Terre. Il est peut-être mieux connu pour sa ligne de succession qui évite Noé, la faisant passer à son frère Nir et ensuite à son fils, Melchisédek.

Dans la Genèse, la lignée de Caïn fut interrompue soudainement et vraisemblablement, ce changement d’attitude fut en relation du meurtre de son frère Abel. Caïn fut exilé aux terres à l’Est de l’Éden où, plus tard, il produisit un fils appelé Énoch qui, dit-on, construisit des villes, sept en fait, toutes nommées d’après ses fils. C’est peut-être une coïncidence que les Sumériens avaient aussi construit sept villes majeures avant le Déluge et cela suggère une source d’origine commune.

Sans événements précis, la Genèse continue la lignée de Caïn à travers Irad, Mehujael, Methusael et finie alors avec Lameck. Mais les Saintes Écritures ont laissé derrière un casse-tête, un mystérieux verset qui a été un énorme problème pour les savants Bibliques. Le verset qui termine la lignée de Caïn se lit comme suit:

"Lameck dit à ses femmes : Ada et Cilla, écoutez ma voix, femmes de Lameck, oyez ma parole: J’ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtisure. Sept fois Caïn sera vengé, mais Lameck septante et sept fois."

La Genèse ne mentionne plus du tout la lignée Caïnite et commence abruptement la généalogie de Seth. Évidemment, le verset contient les indices de ce changement de politique. Si la lignée avait été condamnée, pourquoi ? La solution de ce verset énigmatique qui termine la lignée de Caïn est probablement le fait qu’il existe deux, même trois lignées de descendances parallèles.

Le mystère du meurtre Caïn-Abel

L’explication Biblique du premier meurtre enregistré dans l’histoire de l’espèce humaine n’est pas convaincante puisque, selon la Genèse, Caïn tua Abel parce que son sacrifice fut snobé par le Seigneur en faveur de celui d’Abel. Logiquement, cela ne semble pas être une assez grande provocation pour que Caïn commette un fratricide. Ça semble être plus une fausse explication inventée par les anciens chroniqueurs. La réponse se trouve ailleurs dans les travaux du Pseudepigrapha. Une version plus complète et sinistre du crime est fournie dans cet ancien document, La Vie d’Adam et Ève.

Quand Ève conçut et porta Caïn, elle dit, selon la Genèse, "J’ai rajouté un être humain avec l’aide du Seigneur." Cependant, dans le cas d’Abel, le texte dit simplement que, "elle conçu et porta ensuite son frère Abel." La genèse suggère donc, bien que de billet, que, des deux, la naissance de Caïn impliqua la divinité !

D’autres éclaircissements de la paternité de Caïn sont trouvés dans L’Apocalypse d’Adam, un document Gnostique du premier siècle A.D., où Adam révèle à son fils Seth que "le Seigneur qui nous créa, créa un fils pour lui et Ève, votre mère."

Si la divinité était le père de Caïn, et qu’Abel fut engendré par Adam, cela explique plusieurs des événements qui se sont passés par la suite. Si la divinité était son père, Caïn serait semi-divin, en partie reptilien et plus comme Dieu. Cela expliquerait aussi sa nature violente et sanguinaire causant le meurtre de son frère Abel.

Au sujet de la naissance de Caïn, ce document observe qu’Ève "donna naissance à un fils et qu’il était brillant et lumineux." C’est une bonne description de la peau brillante et lumineuse des dieux reptiliens.

Une description exceptionnelle et quelque peu bizarre du crime de Caïn est aussi inclue dans ce document qui raconte des épisodes de la vie d’Adam. Il y a deux versionsla version Latine ou Vita et la version Grec ou l’Apocalypse Un. Dans la version Vita, Ève a une vision où, "comme si le sang de notre fils Abel était dans les mains de Caïn qui l’avalait dans sa bouche." La version Apocalyptique est encore plus dramatique, comme Ève dit à Adam:

"Mon Seigneur, j’ai vu un rêve hier soir, le sang de mon fils Amilabes, appelé Abel, entrant dans la bouche de Caïn son frère et il le buvait sans pitié... Et il n’est pas resté dans son estomac mais est sorti de sa bouche. Ils allèrent voir et trouvèrent Abel tué par Caïn."

Le crime de Caïn était, apparemment, non seulement le fratricide mais aussi manger la chair et boire le sang de son frère. Ce comportement paraît plus reptilien qu’humain, puisque Caïn fut engendré par la divinité, non pas comme son frère qui avait Adam comme père. Par conséquent, Caïn était demi-Saurien. C’est peut-être la raison principale de terminer la lignée de Caïn, pour être remplacé par celle de Seth.

Qu’il ait été provoqué ou pas, Caïn commit un crime sérieux, beaucoup plus sérieux qu’une simple erreur en offrant un sacrifice. Caïn, non seulement tua Abel mais mangea sa chair et bu son sang. Pour cette action barbare, Caïn fut banni à l’Est à la terre de Nod. Et comme signe que Caïn était sous la protection du Seigneur, il plaça une marque sur Caïn qui n’est pas décrite dans la Genèse.

Pour protéger sa progéniture semi-divine, la divinité avertie que "quiconque tue Caïn souffrira sept fois plus de vengeance." Étrangement, cette même formulation est répétée dans le verset sur Lameck qui termine la lignée de Caïn et évidemment, les deux versets sont associés.

La divinité considère que Caïn est une mauvaise expérience; mais puisque lui et sa progéniture sont semi-divins, il ne peut pas le détruire mais peut seulement l’exilé à une terre lointaine afin que ni lui et ses progénitures ne puissent plus faire aucun mal. On dit que Caïn épousa sa sœur Awan à la fin du Quatrième Jubilé ou vers la 200e année de la vie d’Adam.

Les sources Rabbiniques indiquent qu’il est mort en sa 930e année, c’est-à-dire, un an avant la mort d’Adam. Dans le Pseudepigrapha, Caïn fut tué accidentellement par Lameck, accomplissant ainsi la malédiction de la septième génération.

La lignée de Seth : Enoch, Kenon, Mahala’El et Jared

Après la mort d’Abel et le bannissement de Caïn, un troisième fils arrive sur la scène. Comme Abel, Seth naquit d’Adam et Ève. Il semble que la divinité décida de ne pas intervenir dans les affaires de l’homme et de lui permettre de produire sa propre progéniture. Seth épouse sa sœur et Énosh naît. Ainsi commence la lignée des Patriarches qui continue sans interruption jusqu’au temps du Déluge. Les héros de l’Ancien Testament, souvent et fièrement, revendiquent leur descendance de cette lignée Sethite.

Qui furent alors ces Patriarches ? Et puisqu’ils étaient indubitablement des résidents de la Mésopotamie, quelles preuves y a-t-il dans les Saintes Écritures et autres écritures anciennes pour les lier étroitement aux Anounnaki ou astronautes étrangers ?

Très peu d’information est disponible dans l’Ancien Testament au sujet des premiers quatre Patriarches. Énosh signifie "mortel" ou "être humain" et selon les Saintes Écritures, il fut considéré être le premier mortel ou humain. Selon les sources Rabbiniques anciennes, c’est pendant cette époque que les "visages des hommes sont devenus semblables à celles des singes". Il semble que la contenance humaine soit devenue moins reptilienne et plus comme celle des mammifères ou des singes durant les années d’Énosh.

C’est peut-être pour cette raison que la génération d’Énosh n’est pas bien expliquée dans les sources anciennes. Le Haggadah l’appelle la génération du "conseil des impies" puisque les contemporains d’Énosh furent accusés de pratiquer "les arts de la divination et le contrôle des forces célestes." L’homme commençait à démontrer un esprit d’indépendance et de curiosité intellectuelle qui, apparemment, ne plaisait pas ses maîtres reptiliens. [Éditeur : Je crois que la Hiérarchie Nibirouenne aurait préféré ne pas créer l’homme du tout. L’homme fut une créature nécessitée par leur avidité et leur paresse. Cependant, une fois créé, l’homme devait être civilisé et instruit. Donc, ces Dieux Sauriens avaient cette responsabilité, que cela fasse leur affaire ou non. Aujourd’hui, je crois qu’ils espèrent être libres de nous à jamais et que nous ne soyons plus leur fardeau.]

Les jours d’Énosh furent aussi marqués avec un grand nombre de tremblements de terre causant beaucoup de misère. La sécheresse et la famine suivirent et alors il y eut la mort en masse de la population. Selon le Troisième Livre d’Énoch, en les jours d’Énosh, le Seigneur décida de retirer son "shekinah" ou vaisseau spatial de la région du jardin d’Éden et de retourner aux cieux.

Les sources Sumériennes révèlent qu’en premier lieu, le dieu principal Anou résida à Ouruk, l’Erech de la Bible, mais, pour des raisons non mentionnées, il décida de retourner à sa demeure céleste, pour ne jamais y revenir sauf quelques occasions spéciales. Il est peut-être parti à cause des nombreux tremblements de terre et des mauvaises conditions au temps d’Énosh.

On dit qu’Énosh vécut 905 années. À l’âge de 90 ans, il engendra Kenon ou Caïnan, signifiant "métallurgiste" ou "artisan," dont très peu est connu des anciennes sources. Puisque la deuxième ville construite s’appela Badtibira ou "ville de transformation du métal," il semble y avoir une association dont la signification a été perdue.

Kenon vécu 910 ans et engendra Mahala’el à l’âge de 70 ans. Mahala’el ou "glorifiant le Seigneur" vécu 895 ans; on ne sait rien de lui. À 65 ans, Jared est né ou 460 ans après qu’Adam eut laissé l’Éden. Donc, Adam, Énosh, Kenon, Mahala’el, aussi bien que Caïn, vivraient tous en même temps en entrant l’époque de Jared.

Jared fut le premier Patriarche à ne pas épouser sa sœur. C’est peut-être symbolique de la fin d’une époque où l’intermariage entre frères et sœurs était non seulement pardonné mais pratiqué comme coutume générale comme, par exemple, parmi la famille royale Égyptienne. Les jours de Jared seraient, par le calcul des chiffres donnés dans la Genèse, de l’an 460 AA à 1422 AA ( AA signifie, Après Adam, ou les années écoulées depuis la naissance d’Adam).

William W. Hallo, dans son article sur les "Villes Antédiluviennes" (Journal of Cuneiform Studies, Vol. 23, No. 3) suggère que Jared ou Yered, signifie "celui d’Éridou." Cela placerait Jared à la ville d’Éridou, comme Énosh était à Badtibira et Énoch à Sippar.

Les jours de Jared sont d’une grande signification à histoire humaine puisque ce fut alors que les Néfilim descendirent la première fois. Les Jubilés disent que, "en ses jours, les anges du Seigneur, appelés des Observateurs (Néfilim), sont descendu sur la Terre pour enseigner les fils de l’homme et exécuter le jugement et la droiture sur la Terre." L’arrivée de ces astronautes pendant les jours de Jared est aussi rapportée dans le premier Livre d’Énoch et plus tard est vérifiée par d’autres documents trouvés parmi les Manuscrits de la Mer Morte.

Énoch ou Enmeduranna, le favori des Dieux

Dans la Genèse, l’information au sujet d’Énoch est rare et on parle de lui très peu. Énoch avait 165 ans lorsque son fils Méthuselah est né. 200 ans plus tard, "Énoch marcha avec Dieu et alors, n’e fit plus, parce que Dieu l’amena avec lui." L’expression "marcha avec Dieu" fut souvent interprétée pour signifier qu’il monta au ciel pendant sa vie. Cette expression mystérieuse implique, néanmoins, l’existence d’une autre narration plus complète au sujet d’Énoch, perdue ou omise de l’Ancien Testament.

Énoch devint un héros dans la littérature Apocalyptique Juive et deux livres lui sont attribués, les livres "Éthiopien" et "Slavonique." Son personnage était très important dans le mouvement spirituel duquel provinrent les Manuscrits de la Mer Morte. Son histoire et ses écrits sont traités dans le Livre des Jubilés et il joue un rôle actif dans l’Apocalypse Hébraïque d’Énoch qui est attribuée au savant Palestinien Ishmaël.

La montée d’Énoch au ciel est en réalité juste le commencement d’une carrière fabuleuse pendant laquelle Énoch devint "divin" et principal chef des cieux, second seulement à la divinité. Après sa montée, il revint brièvement à sa famille pour enseigner à son fils Méthuselah la sagesse qu’il avait apprise et écrit au ciel.

Après un bref séjour ici, il retourna au vaisseau spatial pour six années de Jubilé. Pendant cette période, apparemment, il faisait la navette entre le vaisseau spatial et la Terre. La littérature Apocalyptique mentionne sa résidence à l’Éden et sur le Mont Qatar, un endroit non identifié qui pourrait très bien être la ville de Sippar en Mésopotamie.

LaA "montée" de pouvoir d’Énoch

L’élévation d’Énoch au statut de dieu est racontée dans l’Énoch Slavonique. Énoch lui-même révèle l’expérience:

"Quand 165 ans furent complétés pour moi, j’ai engendré mon fils Méthuselah; et, après cela, j’ai vécu 200 ans... Au jour assigné du premier mois, j’étais seul dans la maison ... Et je me suis couché sur le lit ... Alors, deux hommes énormes me sont apparus que je n’avais jamais vu sur la Terre ... Et ils étaient debout à la tête de mon lit et m’appelèrent par mes noms."

Enoch s’éveilla terrifié.

"Alors ces hommes me dirent, `Soyez courageux Énoch, en vérité ne craignez pas, le dieu éternel nous a envoyés. Voyez, vous monterez avec nous au ciel aujourd’hui.’"

On lui dit de dire à ses fils et à sa maisonnée qu’il les quittait. Il fut alors amené "sur leurs ailes" aux cieux.

Énoch fit le tour du vaisseau spatial. À un certain endroit, il vit deux cents "anges" découragés et on lui dit qu’ils étaient ceux qui étaient descendus, qui commirent plusieurs crimes et qui étaient en attente de leur procès. On enleva les vêtements d’Énoch et il fut "oint" et, on lui donna des "vêtements de gloire," un symbolisme démontrant qu’il était changé physiquement ressemblant maintenant aux dieux.

C’est exactement le contraire de ce qu’Adam avait vécu dans le jardin d’Éden; il perdit son "nuage de gloire" et on lui donna ensuite des vêtements. Concernant ce qui arriva par la suite, il semble qu’à ce moment, qu’Énoch reçut une forme de "divinité." Alors, on lui donna un "stylo pour écrire à grande vitesse" et on lui lu des livres pendant qu’il prit des notes au sujet "des merveilles et des secrets du ciel."

Il resta dans le vaisseau spatial pendant soixante jours et fut alors retourné à la Terre pour trente jours pour partager sa connaissance à ses fils. On le prit alors et il retourna au vaisseau spatial où il devint l’investigateur principal pour l’enquête des crimes des Néfilim.

L’hébreu du Troisième Livre d’Énoch contient le témoignage du Rabbin Ishmaël, le célèbre savant Palestinien, où il rêve qu’il est emmené au ciel et rencontre Metatron qui paraît être là, l’Être le plus puissant. "Pourquoi votre nom est-il comme celui de votre Créateur avec soixante-dix noms ?" demande Ishmaël. "Vous êtes plus grand que tous les Princes, plus exalté que tous les anges, plus bien-aimé que tous les Ministres." Énoch répond, "Parce que je suis Énoch, fils de Jared." Il décrit alors comme on a fait de lui le chef des cieux sur les objections des anges.

Enoch devient le chef suppléant avec tous les titres et pouvoirs de cette fonction.

On lui donne les "noms divins," les soixante-dix noms qui confèrent le pouvoir du Ciel et de la Terre. Ces noms ressemblent aux Tablettes de la Destinée ou les MEs des dieux Sumériens. Ils sont des formules d’appareils qui donnent, au propriétaire, le contrôle absolu sur certains aspects et catégories de la vie. [Note de l’éditeur: Nous trouvons encore des ressemblances aux attributs des mystérieux "Archons de la Destinée".]

Énoch servit comme Metatron (du Grec "metathronos" ou "celui qui sert derrière le trône") pendant six années de Jubilé ou 300 ans. Selon ce document, il revint s’établir à l’Éden; et bien que peu soient connus des 300 ans qu’il servit comme Metatron, il faisait vraisemblablement la navette entre une ville de la Terre et le vaisseau spatial.

Les crimes et le procés des astronautes criminels

Le Livre des Jubilés énonce qu’en les jours de Jared, "les anges du Seigneur qui s’appelaient des Observateurs, vinrent à la Terre pour enseigner les fils de l’homme." Ce sont les Néfilim qui sont décrits dans la Genèse 6:

"Quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face du sol, et qu’ils leur fut né des filles, les fils de Dieu (Élohim) virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent pour femmes toutes celles qui leur plurent... Il y eut des géants (Néfilim) sur la terre en ce temps là, et aussi depuis lors, quand les fils de Dieu s’approchant des filles des hommes en ont eu des enfants."

[Éditeur : Ma Version de La Bible, "Standard Revised," la décrit différemment. Voici ce que ma Bible dit au sujet de ce même événement dans la Genèse 4:1-8. "Quand les hommes commencèrent à se multiplier sur la Terre et qu’ils eurent des filles, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles; et ils ont pris comme femme celles qu’ils choisirent. Alors le Seigneur dit, `Mon esprit ne demeurera pas à jamais dans l’homme, car il est chair, mais ses jours seront cent et vingt années.’

["Les Néphilim étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité.

["Yahweh vit que la malice des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. Et Yahweh se répentit d’avoir fait l’homme sur la Terre, et il fut affligé dans son cœur. Et Yahweh dit : `J’éffacerai de la face du sol l’homme que j’ai créé, et avec l’homme les animaux domestiques, et les reptiles et les oiseaux du ciel, car je me repens de les avoir faits.’ Mais Noé trouva grâce aux yeux de Yahweh."

[Dans les traditions Juives et Éthiopiennes, Néfilim veut dire des "gens du ciel."]

200 astronautes descendirent en les jours de Jared sur le Mont Hermon dans le Nord-Ouest de la Palestine, près du Liban.

Dans les registres Babyloniens de la Création, l’Enuma Elish, un grand nombre d’êtres divins descendit sur la Terre. La Tablette VI de l’Épique révèle que les Anounnaki étaient très agités dans leur vaisseau spatial.

N’ayant plus à accomplir le dur labeur vu la création de l’homme, ils s’ennuyèrent de plus en plus et devinrent agités. Il fut alors décidé d’en réinstaller un certain nombre sur la Terre. En conséquence, 300 descendirent sur la Terre tandis qu’un autre 300 resta dans le vaisseau spatial. Appeler les "Igigi," ces derniers étaient spécialisés dans leurs fonctions, les techniciens du vaisseau.

Les plans bien intentionnés des Néfilim ou Anounnaki paraissent avoir changé pour le pire puisque, bientôt, ils s’engagèrent dans une variété d’activités qui causa l’ire des dieux et de l’homme. Le Livre Éthiopien d’Énoch suggère que la descente fut un acte secret et non autorisé de la part d’un groupe "d’anges" rebelle.

"En ces jours, quand les enfants de l’homme s’étaient multipliés, plusieurs belles filles naquirent. Et les anges, les enfants du ciel, les virent et les désirèrent et se dirent l’un l’autre, `Venez, permettons-nous de choisir des femmes parmi les filles des hommes pour nous engendrer des enfants.’ Et Semyaz, leur chef, leur dit, `Jurons tous et que tous soient liés par une malédiction de ne pas abandonner cette suggestion mais de la mettre en action.’ Alors, ils jurèrent tous ensemble et se lièrent l’un l’autre par la malédiction. Et ils furent en tout, deux cents." [Éditeur : On pourrait présumer que, si Cro-Magnon pouvait se croiser avec les Sauriens, alors ce croisement est encore possible. (Cela fait encore partie de cette "chose de la peau.") De plus, on affirme seulement que les mâles Sauriens se croisèrent avec les femelles mammifères. Il n’y a aucune mention de femmes Sauriennes qui complotent secrètement pour "forniquez avec" des mammifères mâles. Cela mène à la pensée que le mécanisme physique du processus de la naissance prédominerait sur le côté féminin, puisque ces races croisées enregistrées sont nées vivantes, comme d’autres mammifères. Si les femmes Sauriennes s’étaient entrecroisées avec les mammifères mâles, étant probablement plus discrètes et plus sélectives, elles auraient sans doute leurs progénitures enfermées dans une sorte de coquille d’œuf pour l’incubation finale. Ainsi, il semble que "les garçons seront des garçons," indépendamment de la planète sur laquelle vous vivez. Est-ce rassurant, ou quoi ?]

Pendant ce temps, Énoch faisait le travail d’un scribe à un emplacement caché sur la Terre; le conte dit, "Personne des enfants de Dieu savait par quel moyen il fut caché ni où il était," bien qu’il dise qu’il était parmi les Anounnaki de la vallée Mésopotamienne. Il est alors approché par les "Néfilim du Ciel" et on lui dit d’aller parmi les "Néfilim de la Terre" pour les informer de leurs crimes.

"Énoch, le scribe de la droiture," on lui dit, "allez et faites connaître aux observateurs du ciel qui ont abandonné le haut ciel et qui se sont profanés sur la Terre."

"Énoch approcha les Néfilim et les averti, `Il n’y aura pas paix avec vous, un jugement grave est tombé sur vous. Ils vous mettront dans des attaches et vous n’aurez pas d’occasion pour vous reposer. Vous avez démontré aux gens des actions honteuses, pleines d’injustices et de péchés.’"

Comme groupe, "Ils étaient tous effrayés et la peur et des tremblements les saisirent." Ils demandèrent à Énoch de rédiger une lettre de pardon et de l’adresser à la divinité de leur part. Énoch fit comme on lui demanda.

À ce temps, les registres disent, Énoch était dans la région de Dan, près du Mont Hermon où les Néfilim débarquèrent originairement. Énoch s’envola au ciel dans une navette spatiale ou "chariot ardent" et dans ses mots, "Les vents me causèrent de voler et m’amenèrent haut dans le ciel."

Il fut salué par la divinité qui entendit la pétition d’Énoch de la part des Néfilim de la Terre. La divinité était fâchée et non disposée à être miséricordieux, principalement parce ce n’était pas approprié qu’un mortel intercède pour les Néfilim. Cela ne se faisait tout simplement pas. Il était plus approprié que les Néfilim intercèdent pour l’espèce humaine.

Il les châtia terriblement, "Pour quelle raison avez-vous abandonné le haut ciel sacré et éternel ?" Il soutenait qu’ils avaient été des êtres spirituels "possédant la vie éternelle mais vous vous êtes défilés avec les femmes et comme elles produisant du sang et de la chair qui mourront et périront."

Il paraît que leurs progénitures aient été plus mammifères que reptiles et nous voyons encore cette équation, contrastant la vie éternelle et la physiologie des Anounnaki avec celle des mortels de sang et de chair.

Mais les plans des Néfilim sur la Terre sont mal tournés et ils produisirent des créatures tout à fait différentes de leurs ancêtres reptiliens. La race "divine" devenait diluée et les gènes mammifères paraissaient dominer ceux des reptiliens qui devinrent récessifs. Ce facteur a pu être la raison principale qui mena aux expériences génétiques, un des crimes majeurs apportés contre les Néfilim.

Pour rétablir la dilution imprévue et injustifiée des traits Sauriens, les Néfilim commencèrent des expériences pour changer les codes génétiques, espérant rétablir comme dominant, leurs traits génétiques. Apparemment, ils perdirent le contrôle de ces expériences, puisqu’une des accusations contre les Néfilim fut de pratiquer "l’alchimie" en "changeant un homme en cheval ou mulet ou vice versa, ou transférant un embryon d’un utérus à un autre."

D’autres références mystérieuses indiquent que ces expériences impliquèrent aussi des animaux, puisque, "Ils commencèrent à pécher contre les oiseaux, les animaux sauvages, les reptiles et les poissons." Des monstres de toutes sortes furent produits; en retour, ils opprimèrent l’espèce humaine dans le temps avant le Déluge.

Les Néfilim tournèrent alors au cannibalisme, ce qui ne fut pas tellement un grand changement moral pour ceux qui étaient habitués aux sacrifices humains. L’augmentation de la population humaine et les catastrophes de la période produisirent de grandes pénuries de nourriture. La littérature religieuse raconte que, "Les géants consommèrent tous les produits alimentaires et les gens détestèrent les nourrir. Ainsi, les géants se tournèrent contre les gens pour les manger."

Les dieux dans le ciel furent fâchés de ces activités et jurèrent d’éliminer les progénitures des Néfilim qui causèrent le ravage sur la Terre. La divinité dirigea les "anges vengeurs" à :

"Procédez contre les bâtards et les vauriens et contre les enfants d’adultère; et détruisez les enfants d’adultère et expulsez les enfants des Observateurs de parmi les gens. Et envoyez-les l’un contre l’autre afin qu’ils puissent être détruits dans la bagarre."

L’Épique de la Création Athrasis décrit une condition de famine et de désespoir juste avant du Déluge. La terre était devenue stérile à cause de la sécheresse. Les gens erraient dans le désespoir dû à la maladie. Il y avait des morts partout et, comme les tablettes révèlent, chaque famille "dévore" l’autre et alors enfin, mange leur propre jeune. [Éditeur : Aussi horrible que cela puisse sembler, ce n’est pas rare. Une famine au Vietnam vers le milieu de ce siècle a vu des parents manger leurs propres jeunes enfants.]

Le compte-rendu du procès des enfants de dieu n’est pas décrit dans les livres d’Énoch, mais il y eut une décision qu’Énoch devait leur transmettre. "Il témoigna au sujet des Observateurs qui avaient péché avec les filles de l’homme; il témoigna contre eux tous," raconte le livre d’Énoch. Le verdict est donné et dans les mots d’Énoch:

"Votre jugement est maintenant rendu. Dès maintenant, vous ne pourrez plus monter au ciel pendant toute l’éternité, mais vous resterez à l’intérieur de la Terre, emprisonner tous les jours de l’éternité. Avant cela, vous verrez la destruction de vos bien-aimés."

Il y a deux parties au verdict: les Néfilim seront emprisonnés à l’intérieur de la Terre, et deuxièmement, leurs progénitures seront détruites. Leur emprisonnement à l’intérieur de la Terre est reflété dans les Épiques Mésopotamiens où certains Anounnaki souffrent un destin semblable.

Dans l’Épique Sumérien, "La Descente d’Ishtar au Monde Inférieur," certains Anounnaki vivent dans le monde inférieur où ils sont visités par la déesse Ishtar [Inanna/Hathor/Aphrodite/Lakshmi]. C’est une "terre de non retour," une terre d’obscurité et de misère où, "les prisonniers mangent de l’argile à la place du pain et boivent de l’eau embouée comme bière."

Énoch comme Metatron et Enmeduranna

Selon le Haggadah, Énoch alla au ciel dans un chariot ardent où il fut changé physiquement et rendu divin comme premier pas pour devenir le chef principal des cieux, second en pouvoir seulement à la divinité. Le Livre Hébreu d’Énoch décrit sa montée de pouvoir sur les objections des anges. Apparemment, la divinité n’avait pas confiance en les anges et amena Énoch jusqu’aux cieux pour rétablir l’ordre. Trois des anges demandent au Seigneur, "Quel droit a celui-ci à monter à la hauteur des hauteurs ?" Le Seigneur répond, "J’ai choisi celui-ci en préférence à vous tous, pour être un prince et un souverain sur vous dans les hauteurs célestes."

Il reçoit le nom Metatron et Prince titulaire de la Présence Divine. Ces titres et pouvoirs d’Énoch rendirent cela très difficile pour les savants Bibliques de tenter de l’inclure dans la doctrine monothéiste.

Énoch ou Metatron est placé en charge du personnel céleste et il avait accès à toutes les parties de la demeure céleste ou vaisseau. Énoch assume aussi le contrôle de tous les véhicules, fusées et autres matériels techniques. Pour toutes fins pratiques, Metatron est le Chef Officier Exécutant au Président ou Président du Comité Exécutif.

Les ressemblances entre Énoch et Enmeduranna, le roi Sumérien, sont si frappantes qu’elles indiquent que les histoires d’Énoch et celles du dieu-roi légendaire de Sippar viennent d’une source commune.

Bien que les registres Bibliques conservent une narration en partie expurgée de l’histoire d’Énoch, plusieurs des motifs mythologiques originaux d’Énoch persistent dans la tradition orale jusqu’à ce qu’ils aient atteint leur forme présente dans le Pseudepigrapha Juif, les légendes médiévales et la littérature mystique.

Énoch et Enmeduranna furent le septième souverain avant le Déluge, Énoch étant le septième Patriarche dans la lignée de Seth et, Enmeduranna, le septième roi antédiluvien d la Liste des Rois Sumériens. Souvent appelé un prêtre-roi dans les livres qui portent son nom, Énoch gouverna sur la Terre et dans les Cieux.

Enmeduranna gouverna à Sippar, le port spatial des dieux antédiluviens. Son nom EN-ME-DUR-ANNA signifie, "le Seigneur des MEs qui connectent le Ciel et la Terre," ou en d’autres mots, le roi qui contrôle les Tablettes de la Destinée et les vols entre le Ciel et la Terre. C’est peut-être pourquoi Énoch reçu autant d’importance parmi les Patriarches puisqu’il était responsable de Sippar, le port spatial et la ville la plus importante des Sumériens.

Selon les Jubilés, Énoch fit des offrandes d’encens sur le Mont Qatar. Listé comme un des quatre endroits sacrés sur la Terre, avec le jardin d’Éden, le Mont Sinaï et le Mont Zion, Qatar n’est pas identifié dans la littérature religieuse sauf qu’on y réfère comme la "Montagne de l’Est."

Puisque le point de référence de cette entrée dans les Jubilés est le Mont Sinaï, la Montagne de l’Est serait dans la direction générale de la Mésopotamie. Ça serait peut-être la ziggourat de Sippar, la montagne artificielle où Enmeduranna était prêtre-roi.

Le mystérieux Lamech, fils de Methuselah

La Genèse contient très peu d’information au sujet de Méthuselah, le fils d’Énoch. Cependant, son fils Lameck est le sujet d’un historique mystérieux. Dans la tradition Caïnite et Sethite, Lameck est le fils de Méthuselah. La genèse consacre beaucoup d’espace à expliquer les activités de la lignée de Caïn et alors la quitte soudainement. Tout à fait mystérieux, il y a ici une signification perdue à l’antiquité.

Selon cette lignée, Lameck eut trois filsJabal, Jubel et Tubal-Caïn. Ses femmes étaient Adah et Zillah. Il fut donc le premier polygame admis et le père des fondateurs des nomades, des arts musicaux et des métallurgistes.

Selon la lignée Caïnite, Lameck est la septième génération et les nombres tels que 7 et 77 semblent jouer une rôle important dans son poème dans la Genèse: "Lameck dit à ses femmes, Adah et Zillah, entendez ma voix, femmes de Lameck, écoutez mes paroles; j’ai tué un homme puisqu’il m’avait blessé, un garçon me blessa. Si Caïn fut vengé sept fois, alors Lameck le sera soixante-dix-sept fois."

La référence de tuer un garçon et un homme, menant à une malédiction jusqu’à la 77e génération fut un casse-tête pour les savants pendant des siècles. Qui donc étaient ces gens si importants pour apporter un tel châtiment à Lameck ?

La réponse peut être trouvée dans le Haggadah qui fournit des détails du meurtre de Caïn. Dans cette histoire, Lameck était vieux et aveugle; et quand il est alla à la chasse, il était conduit par son fils Tubal-Caïn qui dirait à son père où se situait le gibier afin que Lameck puisse le tirer avec son arc.

Une fois, il visa une sorte de créature cornue que Tubal-Caïn pensait pour être une bête. En fait, selon le Haggadah, c’était Caïn qui portait le "signe de Caïn," une corne sur le front mais plus probablement une paire de cornes sur la tête.

Lameck le tua et dans son désespoir, lança à nouveau par inadvertance et tua son fils, Tubal-Caïn. Aussi invraisemblable que semble cette histoire, elle explique le meurtre d’un homme et d’un garçon, tous deux n’étant pas des gens ordinaires. Le meurtre de Caïn était sérieux puisqu’il était demi-reptile et protégé par les dieux comme un des leurs.

Pendant les jours de Lameck, les Anounnaki ou Néfilim étaient devenus la peste de l’espèce humaine. La haine pour ces ancêtres barbares a pu mener Lameck à assassiner Caïn; et bien qu’il ait pu être applaudi par l’espèce humaine, les dieux n’étaient pas contents. Il y a un écho de ceci dans le traitement de Melchisédek, le petit-fils de Lameck qui a amené par les Néfilim pour prévenir qu’il soit tué par les gens.

Comme Prêtres Rois, les Patriarches furent considérés être des alliés et des amis des dieux, vraisemblablement puisqu’ils étaient en partie des Sauriens. Les vestiges reptiliens ont dus les rendre facilement reconnaissables; et ces caractéristiques, peut-être une parcelle de peau écailleuse sur la poitrine ou le visage, ou peut-être les restes de traits reptiliens sur la contenance serait considérés par les êtres humains comme le soi-disant "insigne de honte." C’est peut-être pourquoi Noé fut si fâché lorsque vu nu par ses fils.

Le Lameck de la lignée de Seth

Il semble y avoir eut deux traditions différentes des Patriarches antédiluviens qui sont provenues de la même source. Pourquoi les deux Lamechs sont si différents est un casse-tête intéressant qui exige une solution. Peut-être qu’une partie de cette confusion peut être tracée aux événements du temps.

Énoch semble être le dernier des Patriarches bien-aimé en qui les dieux eurent confiance. Selon nos calculs, il monta pour la deuxième fois en 987 AA (années Après Adam) pour devenir Metatron et présider sur le procès des Néfilim. Les Néfilim descendirent hypothétiquement pendant les jours de Jared; et puisqu’il est né, en 460 AA, les troubles causés par eux furent entre 460 AA et 987 AA.

Au temps de Noé, un deuxième groupe descendit et causa une fois de plus, un grand nombre de problèmes pour l’humanité. Bien qu’il n’y ait aucune preuve que les dieux ne pouvaient pas se fier à Méthuselah comme prêtre-roi, le peu de références qu’il reçoit dans tous les documents anciens indique il ne fut pas très populaire. Lameck non plus, puisque le Livre Slavonique d’Énoch dit que Méthuselah passe la cape de la prêtrise à Nir, sautant ainsi la génération de Lameck; et ce qui est encore plus important, sautant Noé, son fils aîné. De ce Lameck, la Genèse 5 dit ceci:

"Lameck avait 182 ans quand il engendra un fils. Il le nomma Noé, signifiant `Celui-ci nous apportera un répit de notre travail et du labeur de nos mains, du sol même que le Seigneur avait placé sous proscription.’ Après la naissance de Noé, Lameck vécu 595 ans et engendra des fils et des filles. Tous les jours de Lameck sont de 777 ans et alors, il est mort."

Les Saintes Écritures semblent ambivalentes au sujet de Lameck, déchiré entre le mal-faiseur de Caïn et le louable de Seth. Ce qui n’est pas souvent perçu est que bien que les Patriarches avaient des durées de vie prodigieuses, ils vécurent tellement en même temps que selon la chronologie de la Genèse, le temps écoulé n’est pas plus que 1 656 ans.

En fait, si cette chronologie est utilisée, au moment de la naissance de Lameck en l’année 874 AA, tous les Patriarches étaient encore vivants, Adam et Caïn étant les premiers à mourir en 930 et 931 AA, respectivement.

Par conséquent, les événements des jours de Jared, lorsque les Néfilim descendirent la première fois, à travers les générations d’Énoch, de Méthuselah, de Lameck et de Noé jusqu’au Déluge, ne furent probablement pas plus de 700 ou 800 ans. La fin des durées de vie de Lameck et de Méthuselah coïncide avec le début du Déluge, nous menant à croire que les deux sont morts dans cette catastrophe.

Methuselah et les prêtres rois Nir et Melchisédek

Bien que Méthuselah vécût le plus vieux de tous les Patriarches, 969 ans, peu est connu à son sujet. Il est mentionné dans le "Pseudo-Eupolemus," une source fragmentaire du premier siècle avant J.-C., attribuée à l’écrivain Grec Eupolemus qui prit probablement ses connaissances dans les travaux de Bérossus et Polyhistor.

Selon Eupolemus, Méthuselah obtint la connaissance "des anges et la partagea à l’espèce humaine." Ceci peut faire référence à la connaissance qui fut partagée par Énoch à sa famille sur son premier retour à la Terre. Comme Énoch, Méthuselah a dû aussi faire la navette entre la Terre et le vaisseau spatial.

Dans une histoire des Manuscrits de la Mer Morte, Lameck fut inquiet de l’apparence étrange de son nouveau fils Noé et demanda à son père Méthuselah de voir Énoch pour une explication. Méthuselah n’a eu aucun problème à rejoindre Énoch qui était, à ce temps, dans le vaisseau orbitant.

Méthuselah fut aussi prévenu de l’éminente catastrophe. L’Énoch Slavonique révèle que, 200 ans avant l’événement, on lui dit que, "la destruction de la Terre se rapproche." En même temps, on lui dit de faire venir Nir, le deuxième fils de Lameck et de le mettre au courant de la catastrophe qui s’approche, "alors je conserverai le fils de votre fils Lameck, son premier Noé."

Bien que le petit-fils de Méthuselah, Noé, soit bien connu dans les Saintes Écritures comme le héros du Déluge, il y a très peu de références à propos de son deuxième petit-fils Nir, le fils de Lameck et, ni beaucoup sur le fils de Nir, Melchisédek.

Les deux sont considérés des Prêtre-Rois dans la tradition des Patriarches. Quand Énoch revint au vaisseau spatial après avoir instruit son fils Méthuselah, la cape de la prêtrise lui fut donnée. Alors, la Terre fut plongée dans l’obscurité.

Méthuselah et ses frères, avec les fils d’Énoch construisirent un autel et sacrifièrent des moutons et des bœufs pour concilier les dieux. Cela semble avoir fonctionné; il y eut du moins un répit de dix ans avant la Terre soit dérangée à nouveau.

Juste avant que Méthuselah meure, la divinité lui dit de transférer la prêtrise à Nir. Pour une raison quelconque, la génération de Lameck n’est pas incluse.

Méthuselah devait aussi mettre Nir au courant de la destruction de la Terre qui s’approchait par tremblement de terre et l’élévation des eaux et par, "les grands réservoirs d’eaux du ciel qui descendront sur la Terre." Vraisemblablement, cela fait référence à la disparution du baldaquin du nuage entourant la Terre.

C’est à ce temps que la femme de Nir, Sopanim, qui avait été jusqu’alors stérile, conçu soudainement un enfant. Elle disait que ni Nir ni tout autre homme avaient couché avec elle, suggérant que le père était sans doute un Néfilim. Nir ne fut pas convaincu de son innocence et la banni de sa vue. Plus tard, comme elle allait donner naissance, il la visita; soudainement, elle mourut à ses pieds. Ils l’enveloppèrent dans des vêtements d’enterrement et la placèrent sur le lit pendant qu’ils sont partis préparer ses funérailles. Ils revinrent à la maison et eurent la surprise de leur vie. Sopanim avait produit un enfant et comme l’Énoch Slavonique déclare :

"Et un enfant sorti de Sopanim qui était morte et il s’assied sur le lit à ses côtés. Et Noé et Nir vinrent pour enterrer Sopanim et ils virent l’enfant assis aux côtés de Sopanim qui était morte, essuyant ses vêtements. Et Noé et Nir furent terrifiés puisque que l’enfant était développé physiquement comme un enfant de trois ans. Et il parla avec ses lèvres et bénit le Seigneur. Et Noé et Nir le regardèrent et hélas, l’insigne de la prêtrise était sur sa poitrine et il était glorieux en apparence."

Noé et Nir habillèrent l’enfant dans les vêtements sacerdotaux et lui donnèrent le nom Melchisédek. Noé suggéra à Nir que la présence de l’enfant soit gardée secrète car ils ne comprendraient pas et le mettraient à la mort. Cet "insigne de la prêtrise" qu’il avait sur sa poitrine et qui le rendit si unique qu’il fit immédiatement reconnu comme en partie divine n’était rien d’autre que la "marque des Néfilim," probablement une parcelle de peau écailleuse, brillante et lumineuse.

Ce signe de divinité, une parcelle de peau écailleuse, est aussi mentionné dans les classiques Hindous. Dans le Mahabharata, un des demi-dieux, Karna, naît du dieu soleil Surya [l’équivalent Nibirouen pas encore identifié] et d’une mère humaine. Comme tel, il naît "vêtu d’un manteau d’armure, comme un être divin." Karna fait un pacte avec les dieux pour rendre son armure divine pour obtenir une arme sophistiquée.

Après avoir accepté l’arme céleste, Karna commence à respecter son engagement. Il commence à enlever "l’armure" de son corps avec les outils tranchants. "Les dieux, les mortels, voyant Karna couper une partie de son propre corps, rugissent avec approbation puisque aucun signe de douleur était visible sur son visage et il n’eut pas non plus de cicatrices sur son corps."

De même que le dieu soleil Hindou était le père de Karna, la même chose peut être vraie de Melchisédek. Melchisédek, Adonizédek (Josué 10), signifie "Mon Seigneur est Zédek." Zédek était le nom Hébreu pour le dieu soleil Romain Jupiter [Enlil/Zeus/Osiris]. Comme nous verrons, Noé aussi portait probablement la "marque des Néfilim."

Plus tard, Nir fut informé que, bientôt, une grande catastrophe envelopperait la Terre et détruirait l’espèce humaine, mais son fils Melchisédek ne périrait pas. Un messager apparu plus tard pour amener Melchisédek, car il dit, "Lorsque les gens sauront au sujet de l’enfant, ils le saisiront et le tueront." Melchisédek fut amené à sa nouvelle maison, le vaisseau orbitant la Terre.

La prêtrise de Melchisédeck

La tradition de la prêtrise de Melchisédek est absente de l’Ancien Testament et, à la place, elle est revêtue par Aaron, le frère de Moïse, pour être remplacée plus tard par la tribu de Lévi ou les Lévites. La prêtrise de Melchisédek fut gardée en vie par les Mormons qui lui donnèrent préséance sur tous les autres prêtres dans les Saintes Écritures.

La plus haute prêtrise de l’Église Mormon, ou l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, est appelée la Prêtrise de Melchisédek. Aaron et Lévi reçoivent moins d’importance puisque la prêtrise secondaire est appelée la Prêtrise Aaronique de laquelle la Prêtrise Lévitique n’est qu’une sous-division.

Le Livre de Mormon trace les origines de la Prêtrise Melchisédek aux jours d’Abraham, au personnage de ce nom qui fut haut prêtre et Roi de Salem (plus tard, Jérusalem) à qui Abraham rendit hommage et paya une dîme de dix pour cent.

L’apparence étrange de Noé

La genèse affirme que "Noé trouva la faveur du Seigneur... Noé fut un homme vertueux; il était sans blâme dans cette époque. Noé marcha avec Dieu." Le seul autre Patriarche qui, "marcha avec Dieu" fut Énoch qui fut déifié pendant sa vie.

Bien que Noé n’ait pas été déifié ou rendu divin dans la littérature religieuse, son équivalent Sumérien, Utnapishtim fut rendu immortel et envoyé vivre avec les dieux. Pour certaines raisons, la prêtrise Hébraïque décida de ne pas immortaliser Noé.

Comme son neveu Melchisédek, Noé était physiquement différent. Dans le Livre perdu de Lameck, de petits morceaux retrouvés dans les Manuscrits de la Mer Morte, Noé était si différent physiquement quand il est né que Lameck plaida à son père Méthuselah qui en retour demanda à Énoch si Noé avait été conçu par les Néfilim.

On dit à Méthuselah que Noé n’était pas d’un des êtres divins mais était de son propre fils Lameck. Quelle est donc cette différence physique qui dérangea tant Lameck ? Était-ce la différence qui causa une telle consternation à Noé et à ses fils après le Déluge ?

La genèse 9 met beaucoup d’emphase sur l’incident après le Déluge quand Noé, enivré d’avoir trop bu de vin, s’écroulé dans une stupeur ivre dans sa tente. Ham entra et vit son père nu et le dit à ses deux frères qui allèrent chercher du tissu pour couvrir Noé. Sachant que son fils Ham l’avait vu nu, Noé perd tout sens de raison et met une malédiction sur Ham et son fils Chanaan.

On se demande au sujet de cette réaction absurde. Était-ce parce que Noé voulait cacher les vestiges de son passé reptilien ? La sensibilité de Noé d’être vu nu ne peut vouloir dire seulement qu’il portait le "signe des Néfilim."

Comme son neveu Melchisédek, cela pouvait être une grande parcelle de peau écailleuse sur sa poitrine.

Les relations entre les êtres humains et les Néfilim et leurs progénitures furent si tendues juste avant le Déluge qu’ils se battirent ouvertement et, tout vestige de descendance reptilienne chez l’homme était considéré un "insigne de honte." Melchisédek fut amené par la divinité pour éviter que les gens le tuent.

 



13/05/2014
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