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LES VAISSEAUX ALIENS GEANTS EN ORBITE TERRESTRE

LES VAISSEAUX ALIENS GEANTS EN ORBITE TERRESTRE

Orbitographie et « satellites »… d’origines inconnues !

Par Christian Macé

invaders2012207104.jpgTout d’abord, comment peut-on définir un OVNI ? Un OVNI, c’est ce qui reste quand on a tout éliminé !D’où la nécessité de procéder systématiquement à des éliminations successives des paramètres dits  » normaux  » ou  » naturels « , afin de cerner la nature exacte du phénomène observé.Est-ce un ballon-sonde, un dirigeable, un avion, un hélicoptère, un satellite, une météorite, etc., d’où l’apport opportun de l’orbitographie, entre autres.C’est seulement après cela que l’observation insolite pourra être classée  » OVNI « . C est le B.A.- BA de tout chercheur ufologue.

Dans le domaine de l’orbitographie, nous sommes malheureusement tributaires des informations fournies par les agences civiles et militaires, du nombre et des positions de leurs satellites autour de notre globe.Mais pouvons-nous avoir accès à toutes ces données ? On ne peut qu en douter, notamment en ce qui concerne celles que veulent bien nous communiquer les militaires ! L’orbitographie pêchera malheureusement par ces lacunes…

Avant d’approfondir ce sujet, n’oublions surtout pas que Spoutnik 1, le premier satellite envoyé par les hommes, est parti seulement le 04 octobre 1957.

Les  » satellites « …d’origine inconnue !

Dans son ouvrage  » Du nouveau sur les soucoupes volantes « , Éditions J’ai Lu, 1978, le journaliste Frank Edwards évoque et commente la lettre du 27 août 1966 rendue publique à la presse par le Dr J. Allen Hynek, consultant scientifique de l’Armée de l Air des USA pendant 20 ans (p. 144 à 152).Hynek remplit aussi les fonctions de Directeur-Adjoint du  » Smithsonian Astrophysical Observatory  » de 1956 à 1960, où il fut aussi chef du service d’études des couches supérieures de l’atmosphère et de repérage des satellites. Citation, p. 151 :  » L’équipement de repérage des météores et satellites ainsi que les radars, ont tous détecté des anomalies qui ne purent être identifiées, dit le Dr Hynek. On doit évoquer ici des cas tels que celui de l’étrange photographie du « satellite en marche arrière » prise en 1958, et l’embarrassant rapport soumis par plusieurs équipes de Moonwatch au cours du programme de l’Année Géophysique Internationale.Par « satellite en marche arrière », il désignait un objet accomplissant le tour de la terre d’Est en Ouest, ce que ne fait aucun objet construit sur notre planète.En outre, le Dr Hynek dit qu’il avait vu des photographies prises par des appareils de repérage des satellites, montrant des traînées inexpliquées, lesquelles, convient-il, ne furent jamais identifiées.  » fin de citation du livre de Frank Edwards.

Dans son autre ouvrage  » Soucoupes volantes, affaire sérieuse « , Éditions Robert Laffont, 1969, Frank Edwards mentionne p. 184 à 187, la première mise sur orbite de la capsule Gemini I, du 8 avril 1964.  » Au cours de sa première orbite, celle-ci fut rejointe par quatre objets d’origine inconnue commandés de façon intelligente !

« Lire également le livre remarquable du Major Donald E. Keyhoe  » Les étrangers de l espace « , Éditions France-Empire, 1975.Donald E. Keyhoe fut le responsable du NICAP, organisme privé des USA, si bien informé, qui luttait contre la censure imposée par les militaires. Dans son rang, on comptait nombre de militaires de hautes fonctions, dont l’Amiral Hillenkoetter qui fut le premier directeur de la CIA en 1947.Citations de son ouvrage, p. 179 à 181 :  » Depuis 1953, l’État-Major savait que des vaisseaux géants opéraient au voisinage de notre planète. Neuf fois au moins, ils avaient été vus ou repérés en orbite. Ils étaient parfois descendus plus près de la Terre pour de brefs moments. Chacune de ces descentes avait été une épreuve pour les censeurs, contraints « d’expliquer » les rapports qu’ils ne pouvaient escamoter.Au cours de l année 1953, les Forces Aériennes avaient procédé à des expériences avec un nouveau matériel radar à longue portée. Dés les premiers essais, les opérateurs eurent la surprise de repérer un objet gigantesque suivant une orbite voisine de l’équateur. Sa vitesse était proche de 28.000 km à l’heure. Des vérifications successives confirmèrent les premières données. Un objet inconnu faisait le tour de la Terre à mille kilomètres d’altitude. Peu de temps après, un second objet, aussi énorme, approchait de la Terre. Les experts radaristes de l’USAF le suivaient. Il se mit en orbite à l’altitude de 600 km.Alertés, les chefs du Département de la Défense lancèrent en urgence un projet pour la détection des satellites à White Sands, au Nouveau Mexique. L’expert scientifique chargé de cette recherche secrète était le docteur Clyde Tombaugh, le savant qui avait découvert la planète Pluton, le seul astronome connu qui ait reconnu avoir vu un UFO. Le groupe d’études était « Interarmes » sous contrôle du Service de Recherche de l Armée.En février 1954, des plans pour la recherche des satellites avaient été exposés dans un article de la Société Astronomique du Pacifique. Citant le Dr Tombaugh, le rédacteur annonçait le recours à un équipement télescopique nouveau. Écrivant bien avant le lancement du programme du ministère de la Défense, il n avait fait aucune mention de vaisseaux géants de l’espace. L’opération était présentée comme devant être une recherche d objets naturels. Mais les journalistes subodoraient un mystère. À White Sands, les hauts fonctionnaires de l Armée étaient harcelés de questions : y avait-il actuellement des satellites inconnus ? D’où venaient-ils ? Combien étaient-ils ? Était-ce la première fois que l’on constatait leur présence ?Les censeurs voulurent au début étouffer l affaire, mais le docteur Tombaugh parvint à les convaincre de l’inopportunité de la démarche. Le 3 mars, une explication officielle était, avec l’approbation du Pentagone, présentée à White Sands : il s’agissait de chercher des objets naturels venus de l’espace, sorte de « petites lunes », « mini-lunes » qui s’étaient placées en orbite autour de la Terre. On avait pu jusqu à ce jour ni les observer, ni les détecter par radar, ajoutait le porte-parole officiel, parce qu elles suivaient des orbites voisines de l’équateur, zone où l’on disposait de peu d’observatoires.Il aurait aussi fallu des caméras pointées automatiquement selon la vitesse angulaire des satellites. D’autre part, les caméras ordinaires ne pouvaient révéler ces objets dont l éclairage était très faible. Le but des Forces Armées était de localiser des mini-lunes utilisables comme bases spatiales lance-missiles pour la défense du pays.Aucune mention n’était faite de la possibilité d’un contrôle intelligent exercé sur ces satellites inconnus. Ils étaient présentés implicitement comme des astéroïdes. Sans plus.L’explication était absurde. Que des astéroïdes venus de l’espace en nombre, puissent tous, sans aucun contrôle, prendre le cap précis les plaçant en orbite terrestre, est impensable. Quleques jours passèrent où le Pentagone redouta un camouflet dans la presse. Il sentait sa position d autant plus inconfortable que si la version des mini-lunes ne prenait pas, il aurait de lui-même ouvert la porte à la seule explication plausible : la présence de vaisseaux spatiaux. Et le moindre article à sensation relancerait la crainte d’une migration spatiale, vers notre Terre.  » fin de citation.

Pages 184 & 185, le Major Donald E. Keyhoe ajoute :  » En 1955, le fameux journaliste Stewart Alsop attaquait vigoureusement les censeurs.

Très introduit dans les milieux gouvernementaux, et en particulier au NSC (National Security Council), Conseil National de Sécurité, Alsop avait eu connaissance du véritable mobile du programme d urgence de détection des satellites. Un nouveau groupe d étude à Mount Wilson doublait depuis peu celui de White Sands. Sur toute la chaîne de presse dont il disposait, Alsop révéla l’intense activité de recherche de satellites artificiels. Ce dégonflage de mini-lunes déchaîna les fureurs du Pentagone et du NSC. Alsop récidivait bientôt, dépeignant la colère du secrétaire du NSC, une colère telle que ses meilleurs amis au sein de l’organisme n’osaient plus se montrer avec lui.La censure du ciel fut renforcée, les rapports sur les colosses spatiaux mis au frigidaire. Vaines précautions. Entre les mailles du filet protecteur filait en 1960 une affaire caractéristique.

Le 25 août de cette année-là, un mystérieux satellite était détecté, puis suivi au radar pendant plusieurs jours. La Grumman Aircraft Corporation, industrie aéronautique américaine bien connue, put le photographier, et toute tentative pour nier l’authenticité des photographies fut vaine.Le 18 mai 1961, nouvelle découverte d un objet mystérieux sur orbite terrestre. L’annonce surprend d autant plus qu elle provient du Smithsonian Observatory, l’observatoire de Cambridge dans le Massachusetts, lequel participe activement au réseau mondial de détection des Forces Aériennes. Le Smithsonian précisait à la presse : le satellite a été vu d abord à Jupiter, en Floride… jusqu ici imprévu et insoupçonné. Il est très brillant et peut, dans certaines conditions, être vu à l’oeil nu… Les diverses stations d’observation sur toute la Terre ont été priées de nous aider à le suivre.L observatoire alertait également tout son dispositif de caméras télescopiques.  » Fin de citation.

Le 14 novembre 1964, le R.P. Benito Reyna, directeur de l’observatoire Adhara, à San Miguel près de Buenos Aires, put voir un OVNI accomplir différentes manoeuvres précises, comme une sorte de combat simulé, contre le satellite terrestre Echo II (Henry Durrant,  » Le livre noir des soucoupes volantes « , Éditions Robert Laffont, 1970, p. 156 & 157)…

Pour ceux qui douteraient encore d’une censure sur les OVNI opérée par nos hauts (ir)responsables, voici ce qui se passe… en France.

L’ufologue F. S., très sérieux, dirigeait un Groupe d’étude sur les OVNI dont je faisais partie prenante, et éditait une revue dans les années 70 – 80. Il avait même la réputation d’être le plus sceptique sur les OVNI parmi les ufologues.

Il y a quelques années, je rencontrais F.S. à Paris fréquemment.

Voici ce qu’il me dit :  » Je connaissais un scientifique qui travaillait à l’observatoire de Saint-Michel-l’Observatoire, en Haute Provence (France). Un dimanche, pendant qu’il n y avait personne, il me fit visiter cet observatoire. Étant sur la rambarde extérieure, je fus intrigué par un appareil qui y était installé. Cela ressemblait à une boîte aux lettres américaine.Le scientifique me révéla que cet appareil était un appareil photo très élaboré, avec un angle très ouvert de 180°, pointé vers le ciel…

pour photographier des OVNI ! ! ! « Comme me dit si bien F. S. :

 » Officiellement, les soucoupes volantes n’existent pas ! « 

Sans commentaire…

Christian Macé



12/01/2014
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