Un article de Jean Casault

13 JUIN 2014

( Cet article en regroupe plusieurs autres et repris sous un nouvel angle d’attaque à la lumière de nouvelles informations)

C’est une vieille question. Tout a débuté lorsque le duo Louis Pauwels et Jacques Bergier ont suggéré dans leur Matin des Magiciens en 1960, que les nazis auraient peut-être construit un vaisseau capable de prouesses remarquables à partir de plans secrets, retrouvés au Tibet et concernant le Vril, une énergie géomagnétique en laquelle Tesla mettait beaucoup d’espoir.

La Société du Vril, la Société de Thulé sont nées de tout cela mais également de récits de fiction pure, puisque le premier à faire mention du Vril est le romancier Edward Bulwer-Lytton, dans un roman de science-fiction The Coming Race publié en 1871, et qui met en scène une race d’hommes souterraine, les Vril-ya, détenteur du Vril (nom probablement dérivé du latin virile) qui leur donne des pouvoirs psychiques comme la télépathie et la télékinésie

L’OVNI DE ROSWELL ÉTAIT-IL DE FABRICATION NAZIE ?

D’après les théories conspirationnistes les plus excentriques, il y a évidemment celle-ci. Récupérée par les soviétiques, le vaisseau de Roswell rempli de cadavres d’enfants mutilés aurait été jeté au sol pour faire croire aux américains que les extraterrestres sont sur Terre. En gros c’est l’histoire qui courait en mai 2011. Il s’agit en fait d’un ouvrage de Annie Jacobsen, qui venait de publier : AREA 51, an Uncensored History of America’s Top Military Base. Chez Little Brown and Company.

Qui est Annie Jacobsen ? Est-elle crédible ? Ses sources sont-elles crédibles ? Jacobsen est une jeune femme de Los Angeles, une bloggeuse, un terme épouvantable si vous voulez mon avis parce que trop collé sur blagueur. J’ai des frissons d’horreur chaque fois que quelqu’un s’identifie de la sorte. Je n’aurai jamais de blog ! Mais elle est aussi journaliste pour des magazines d’affaires, de finances dont le WomansWall Street.

Elle est l’auteur d’un autre ouvrage en 2005 portant sur la sécurité aux États-Unis après septembre 2001. On peut donc lui donner la note de crédibilité de tout bon journaliste Américain, avec ses forces et ses faiblesses. Parlant de faiblesse, son livre sur la sécurité des États-Unis s’est révélé faible, son accusation voulant que 13 musiciens Syriens à bord d’un vol de Nortwest Airlines fussent des terroristes s’est finalement révélée faux. Certaines critiques ont été acerbes : Jacobsen est une hystérique survoltée etc.

L’information concernant Area 51 date de 2007. Elle a publié en 2011. Quelles sont ses sources ? En fait quelle est sa source unique ? L’oncle de son mari, Edward Lovick, 88 ans un physicien de carrière. Alors qu’ils sont attablés au cours d’un souper de famille en 2007 il se serait penché vers elle en lui disant : « J’ai vraiment une bonne histoire pour toi! »

Lovick est authentique, il existe. Il a travaillé à Area 51 presque toute sa vie et particulièrement sur les radars des fameux avions espions dont tout le monde parle. Cette année-là, la CIA déclassifiait certains document notamment sur le Oxcart ou le A-12, un des avions secrets sur lequel Lovick avait travaillé. Lovick ainsi qu’un autre comparse Ken Collins se sont d’ailleurs mis à en parler gaiement de ces avions et de la base de Area 51.

Donc nous avons un véritable scientifique qui a vraiment travaillé à la base secrète Area 51 et qui parle à une vraie journaliste qui se trouve à être sa petite-nièce.Que dit-elle ? Ça c’est une autre histoire. Comme l’indique le titre, ce n’est pas une petite affaire. Rappelons-nous qu’un officier de l’Armée de l’Air Américaine a déjà donné des informations à la journaliste Linda Moulton Howes sur la même thématique et ça sentait la désinformation à plein nez.Or, d’après Jacobsen, qui ne croit pas aux extraterrestres de toute manière, l’ovni de Roswell était une technologie nazie.Sur les indications du vieil oncle Lovick, Annie Jacobsen a donc mené une chasse aux infos afin de déterminer si les révélations de son oncle tenaient la route !

Il y a deux courants de pensée concernant l’avancée technologique nazie.

La version officielle et la version ésotérique. La version dite ésotérique donne presque des pouvoirs magiques aux grands pontifes hitlériens. C’est dépassé tout cela. Certains étaient mystiques oui, mais la plupart n’étaient que des fous furieux, Himmler notamment avec son Ordre du Soleil Noir. Cet éleveur de poulets, malade comme un chien, sexuellement déficient et psychopathe jusqu’à l’os croyait que le mysticisme donne des pouvoirs surnaturels. Si c’était le cas, sa bande d’enragés aurait gagné la guerre haut la main alors que dans les faits, la guerre était perdue dès mai 1941 suite à la décision d’Hitler de ne pas envahir l’Angleterre.

Il ne faut quand même pas s’imaginer que les nazis détenaient une technologie extraterrestre fonctionnelle et hyper sophistiquée sans parler de ses capacités guerrières, c’est d’un ridicule consommé. je vais le démontrer soyez sans crainte.

Si Hitler avait détenu ou même fabriqué un tel appareil !

…ne serait-ce qu’un seul, il se serait bien moqué de la perte de presque tous ses Messerschmitt en 41 durant la bataille d’Angleterre. Il aurait utilisé son ovni magique pour mettre à genoux les défenses soviétiques au cours de l’opération Barbarossa et il n’aurait pas perdu des centaines de milliers d’hommes aux portes de Stalingrad en décembre 41. Admettons qu’Hitler aurait détenu ou fabriqué un engin extraterrestre au-delà de ces évènements. Si c’était le cas, il aurait rejeté les Alliées à la mer le 6 juin1944. Au pis-aller il aurait cassé leur avance à Caen, ou à Avranches, ou même à Rouen, mais non, les Alliés avançaient inéxorablement comme un rouleau compresseur,lent mais redoutable et un beau jour, ils se sont retrouvés acculés à leur propre ligne de défense Siegfried..

Et finalement, le dernier assaut donné par Hitler, sa bataille de la dernière chance qui sans lui donner la victoire aurait retardé la fin, s’est soldée par une défaite cuisante dans les Ardennes alors que Patton et ses chars ont non seulement contré son offensive mais l’ont repoussé jusqu’à Berlin. En admettant qu’Hitler avait en mains un engin extraterrestre il aurait utilisé cette arme redoutable au cours de l’Opération Borden plat en janvier 1945, sa toute dernière tentative à vie. On sait que cette attaque, aérienne de surcroit a coûté cher aux alliés qui ont perdu 156 appareils, mais les Allemands et leur super arme extraterrestres, en supposant qu’elle était là, quelque part invisible et très innéficace, ont perdu 227 appareils. Ils avaient bien un premier jet à réaction mais il fut détruit.

Le 18 janvier 1945, l’Allemagne se retirait des Ardennes, la queue entre les deux jambes emportant sous son bras sa soucoupe volante Vril capturée au Tibet ou fabriquée par les scientifiques allemands dans le plus grand secret. Puis ce fut la grande débâcle jusqu’en avril avec le suicide d’Hitler et la réddition des Allemands en mai. Alors cessez de penser que les Allemands détenaient l’arme ultime extraterrestre.

Il est toutefois parfaitement exact d’affirmer qu’Hitler ainsi que Himmler étaient extrêmement séduits par les déclarations extraordinaires de certains grands mages de l’époque. Comme déjà dit, l’ouvrage le plus sérieux et le plus crédible sur cette thématique est sans contredit le chef d’œuvre de Pauwels et Bergier : Le Matin des Magiciens. L’ordre de Thulé, le Soleil Noir, dont je me suis inspiré d’ailleurs pour rédiger mon roman-web Shar sont des réalités. Effectivement, les Nazis ont mis énormément d’argent dans des expéditions au Tibet, en Égypte, dans les endroits les plus sacrés de la planète et chacun sait que la croix gammée est l’usage occulte d’une croix hindoue vieille de plusieurs millénaires.

On sait tous aussi qu’Hitler se serait emparé de la Lance de Longinus qui a transpercé le flanc du Christ pour en absorber les pouvoirs. Le film d’Indiana Jones, le premier démontre sans exagération l’implication des Nazis en archéologie ésotérique à l’effet qu’Hitler cherchait effectivement à retrouver l’Arche d’Alliance. Tout ça est exact. La question demeure : At the bottom line qu’est-ce que cela a rapporté d’important et d’applicable sur le plan militaire, la priorité d’Hitler ? Rien. Zero. Niet. Nada.

Les Américains, très pragmatiques, pas ésotérique pour un sou ont fabriqué l’arme atomique avant tout le monde, l’ont balancé sur les Japonais et leur Empire Divin et ont forcé Hitler à se tirer une balle dans la tête pendant que son Mage Noir essayait de le trahir avec les Alliés. Trouvez l’erreur !

La version officielle reconnaît que les Nazis travaillaient sur un engin circulaire destiné à voler mais que le moteur, très conventionnel, leur a explosé en plein visage. La seule véritable technologique allemande valable et que les Américains n’avaient pas est le V-2. Vous noterez que Hergé l’a fidèlement reproduite dans son album de Tintin On a marché sur la lune. Ils ont capturé son concepteur, le docteur Werner Von Braun, l’ont emmené aux États-Unis où il est devenu le patron du Marshall Space Flight Center de Hunstville en Alabama et a permis aux Américains d’aller sur la Lune avant tout le monde notamment avec le programme des lanceurs Saturne.

En d’autres termes, je fais appel à une certaine logique voulant que l’Allemagne Nazie ayant fait la démonstration de sa dangerosité extrême depuis 1939, n’allait reculer devant rien pour asseoir son règne de 1000 ans. Das Berlin du prochain millénaire est phénoménal…sur papier. Hitler était un rêveur visionnaire de haut niveau, mais il fait établir une différence très claire entre ce qu’il voulait et ce qu’il pouvait ! Bref si Hitler avait récupéré une vieille technologie secrète extraite des ouvrages sacrés du Mahhabarata comme le veut la légende et qu’un Vril anti gravité et hyper silencieux capable de tout détruire avait été sur le point d’être construit, il l’aurait utilisée. Sans aucune hésitation.
En supposant qu’il était sur le point de le faire et que la guerre à son net désavantage l’en a empêché et que les Soviétiques l’aurait récupéré ils l’auraient utilisée eux aussi à leur avantage, quelques années plus tard pour déstabiliser les Américains. Ils auraient utilisé l’arme nazie en Corée, pour chasser l’oppresseur impérialiste américain. Ils ont échoué. Ils l’auraient utilisée au Vietnam précipitant la défaite américaine beaucoup plus rapidement, mais surtout en Afghanistan en 1980 alors que la puissante URSS a dû se retirer, incapable de se battre contre les Moudjahidines.

Mais revenons en arrière. Si les Soviétiques avaient eu un engin extraterrestre, auraient-ils reculé devant le blocus américain à Cuba en 1962? Ajoutez à cela que les Américains avaient Von Braun avec eux. Si un Allemand devait être au courant de la situation exacte de la technologie allemande c’est lui. Malgré cela, il faudra attendre 1969 pour faire un pet de Sœur jusqu’à la lune. Quant aux Américains c’est le même scéanrio. S’ils avaient détenu une telle arme, imgainez l’issue de toutes les offensives qu’ils ont menées depuis 1942 jusqu’à nos jours.

Alors avant de vous la jouer conspirationniste, répondez à cela : où était la technologie extraterrestre si comme Lovick le prétend elle a été récupérée à Roswell en 1947 ? Cet aspect-là a d’ailleurs été dénoncé par Richard Rhodes, un expert en armement qui tout comme moi estime que Annie Jacobsen a de grandes faiblesses de ce côté.

ALORS D’OÙ VIENT CETTE HISTOIRE ?

Oui d’où vient cette histoire que des soviétiques ont récupéré un engin nazi ? De sa source à la NSA à la CIA, de son mononcle assis à table avec elle ?Non. Cela vient de son imagination et elle le reconnaît à la toute fin. De nulle part ! Contrairement à tout ce que vous avez pu en penser, PERSONNE n’a dit à Annie Jacobsen que les Soviétiques avaient orchestré cette histoire avec un truc allemand et des enfants mutilés par Mengele. C’est une invention de son cru et qui se veut SA version hypothétique de ce qui s’’est PROBABLEMENT passé

Qui plus est, lorsqu’elle a fini par rencontrer un autre officiel de Area 51 encore en poste et qu’elle n’identifie pas, elle a raconté sa petite théorie et a mis un petit croûton de pain sur la table en lui disant : si ça c’est ma version, dites-moi ce qu’est la vérité ? Il lui a répondu : plus grand que toute la table. Ben oui ! Belle pirouette.Laissons donc les Allemands et les Soviétiques ainsi que Roswell en dehors du débat une fois pour toutes.

TOUT SE CORSE AVEC CORSO

Le Disclosure Project du docteur Steven Greer, celui qui trouve des cadavres extraterrestres de 8 pouces de long, prétend héberger actuellement une kyrielle d’experts, agents de renseignements, militaires et anciens hauts fonctionnaires de l’État pour témoigner de leur savoir occulte devant le Congrès. En retour, ils demandent l’amnistie. Certains n’ont pas attendu et n’ont jamais été ennuyés mais bon.

Si on se base sur cet extrait dont l’essentiel est dans mon livre Ce dont je n’ai jamais parlé et l’original dans The Day After Roswell rédigé par William J Barnes, on prend connaissance de l’Affaire Corso. Inutile de vous dire que les sceptiques ont reçu très froidement et parfois avec mépris le témoignage de cet homme. En 1960 et pendant deux ans, le Lieutenant-Colonel Philip Corso travaillait au Bureau des Technologies Étrangères au Pentagone, Recherche et développement, à enquêter sur les technologies des autres pays, comme par exemple l’hélicoptère développé par l’armée Française, et de les adapter à leurs propres technologies afin de préserver la vie des militaires sur le terrain.

En termes polis, il exploitait le travail des espions. Il envoyait des rapports à son patron, le Lieutenant Général Arthur Trudeau, chef du R&D. (Research & development) et prenait connaissance des dossiers les plus secrets. Mais derrière toutes ces tâches, Corso eut la responsabilité du secret le plus important : Les dossiers de Roswell. C’est-à-dire la récupération de débris et des informations sur l’équipe de récupération du 509éme Groupe à Roswell, et la récupération de l’épave d’un ovni qui s’était écrasé au Nouveau Mexique.

D’après Corso, les militaires ont pensé, au début, que l’appareil était une arme secrète Soviétique parce qu’elle avait une certaine ressemblance avec la forme des ailes volantes Horton et bien entendu il n’a jamais été question de ballon, qu’il soit de type météo ou mogul.

En 1961, les informations ultrasecrètes sur Roswell arrivèrent en possession de Corso à son bureau du R&D. Le Général Trudeau voulait que celui-ci incorpore la technologie de Roswell dans les développements d’armes en cours. Aujourd’hui, des objets ou des appareils comme le laser, les circuits intégrés, la fibre optique, le faisceau à particules accélérées et le Kevlar dans les gilets « pare-balles » proviennent de ces technologies selon Corso.

Hé, pourquoi pas ! Spielberg a même laissé entendre dans sa Série Taken que le velcro était d’origine extraterrestre. Dans les heures de confusion qui ont suivi la découverte de l’appareil à Roswell, l’armée détermina qu’en absence de toute autre information, l’objet devait être extraterrestre, et qu’ils devaient surveiller les installations défensives Américaines avec sans contredit des intentions hostiles. Un militaire est incapable de voir une arme à des fins exclusivement défensives. Si ces objets sont dangereux de par leur configuration ils sont potentiellement hostiles et probablement hostiles et anyway, vaut mieux agir comme s’ils étaient hostiles because better be safe than sorry.

Ils sont entraînés pour penser de la sorte. A l’inverse, ils seraient de piètres soldats et se ferait massacrer le temps de dire Repos ! Ils tentèrent donc d’utiliser le matériel retrouvé pour le retourner contre ces envahisseurs mais aussi contre les Soviets maintenant que la guerre froide était bien amorcée. Par la suite, Corso raconte en détail ce qu’il a appris des évènements. L’objet en forme d’aile Delta, très peu endommagé et cinq créatures qui malheureusement à la suite d’un tir nerveux, avaient péries sous les balles des militaires.

Une créature demeura vivante. Il raconte qu’à cette époque il était à Fort Riley et que lorsqu’arrivèrent les caisses en provenance de Roswell pour être ensuite dirigées plus tard vers Wright Patterson, Corso eut l’occasion de voir le contenu de l’une de ces caisses. C’était des corps de 120 cm de haut, avec une tête énorme et à la peau grise. Leurs yeux, fermés étaient énormes et pointaient vers le bas. Pas d’oreilles, pas de pommettes saillantes, pas de sourcils et aucun cheveu.

Dans le conteneur, Corso trouva un document des services de renseignements militaires qui décrivait la créature comme étant un occupant d’un vaisseau qui s’était écrasé à Roswell, Nouveau Mexique, plus tôt ce week-end, et envoyé à la base de Wright Field puis à la morgue de l’hôpital Walter Reed.

Les années vont passer et en 1960, Corso se retrouve de nouveau confronté au contenu partiel des autres caisses. C’est par la suite qu’on établira un filage de fibre optique, une pellicule adaptée aux yeux des occupants du vaisseau et qui permet de voir dans l’obscurité, des circuits imprimés, une pièce de tissu métallique qui reprend sa forme et qui semble impossible à déchirer ou à couper, un appareil émettant un faisceau invisible mais qui devient un point rouge lorsqu’il est pointé sur une surface. la liste s’étend.

Le colonel Corso (retraité) prêta serment en mai 1998. Certains voient d’un mauvais œil cette première attaque cardiaque qui suivit un mois plus tard et dont il se remet. La seconde survenue en juillet l’emportera. Un jour je ferai une recherche sur les morts bizarres en ufologie alors que geens en parfaite santé duisparaissent de la sorte ou sont victimes d’accidents à la Lady Di.

EISENHOWER ET SES RENCONTRES AVEC DIFFÉRENTES RACES

L’autre information classique qui donne à penser que des extraterrestres aient fait une alliance avec les humains est cette rumeur qui veut qu’en 1954 le Président Eisenhower ait eu une rencontre avec des leaders extraterrestres. Après tout, si notre hypothèse de base est que des extraterrestres soient ici, rien n’interdit de penser qu’à quelques reprises divers contacts ont pu être établis de manière plus officielle avec certains des dirigeants de la planète, quelques années après la grand Retour de 1945.

Le 8 mai 2010 l’ex-membre de la chambre des représentants de l’État du New-Hampshire, Henry W Mc Elroy Jr faisait parvenir une lettre et une vidéo aux médias américains, fort bien rédigée, et très claire, à l’effet qu’il a eu connaissance durant les années cinquante du fait que l’administration Eisenhower, le Président Eisenhower lui-même, aurait été promptement et officiellement mis au courant de la présence d’êtres provenant d’ailleurs sur Terre et qu’une rencontre pouvait être organisée. La rumeur déjà âgée serait donc confirmée par ce monsieur. Un autre canular ?

En 1954 cette rencontre a eu lieu avec des nordiques qui, en échange d’une technologie supérieure, auraient demandé au président de renoncer à l’arme nucléaire. Un scénario qui n’est pas sans rappeler celui du film de 1951 « Le Jour ou la Terre s’arrêta », avec Michael Rennie et tout récemment avec Keanu Reeves. Le Président aurait carrément refusé. Puis en 1955, cette fois avec des représentants des Gris, Eisenhower aurait accepté l’offre de laisser ces derniers enlever des humains par millions dans la mesure où chacun serait ramené chez-lui sain et sauf, en échange pour là encore, d’une technologie avancée. Soit que cette histoire se tient comme l’affirme d’ailleurs Laura Eisenhower son arrière-petite-fille ou on nage en plein délire.

Pour ma part je déteste ce qui n’a aucune logique quand les éléments eux le sont. On ne parle pas de métaphysique, de spiritualité ou d’anges venus du ciel dans ce dossier mais d’êtres physiques venus négocier avec un président américain des conditions physiques pour des opérations physiques. J’enlève des humains à des fins de prélèvement de matériel génétique dont j’ai besoin et je les retourne et en échange t’auras ca et ça et ca. Mais j’imagine qu’il devait être hors de question de livrer aux humains des secrets de propulsion ou d’armements ultra exotiques au point de leur donner un avantage mortel sur toute autre nation. Ca c’est logique. Ça se tient. Est-ce que cela fait maintenant partie d’un legs de président à président ou est-ce un dossier purement eisenhowerien ?

Voici une lettre troublante rédigée par JFK.On a la preuve officielle de l’existence de ce fameux mémo rédigé par Kennedy et adressé à la CIA. On le doit à William Lester l’auteur américain qui a écrit un ouvrage sur Kennedy « A Celebration of Freedom : JFK and the New Frontier ».

UNE LETTRE LOURDE DE CONSÉQUENCES

Alors qu’il effectuait de nombreuses recherches pour son livre il a fait la demande à la CIA, en vertu de la Loi d’Accès à l’information, de documents provenant de Kennedy à cet organisme concernant la question des OVNIs. Lester est un auteur déjà engagé dans la recherche sur les phénomènes paranormaux et les OVNIS mais cette fois c’est son intérêt pour ce grand disparu qui a fait en sorte que deux passions sont entrées en collision. Cette lettre démontre assez clairement que le président Kennedy est très au fait du phénomène ovni et qu’il relie ce phénomène à la sécurité d’État, au programme spatial et aux relations avec l’URSS.

Kennedy demande au directeur de la CIA à qui la lettre est adressée d’agir conformément à son précédent mémo adressé au directeur de la NASA, James Webb, visant à mettre en place un programme de coopération avec l’URSS pour la conquête spatiale et l’aventure lunaire.

Il rappelle donc à ce directeur qui ne peut être autre que John Mc Cone la teneur du mémo et passe en deuxième vitesse. Voici la version anglaise originale et par la suite une traduction effdectuiée par une ami dont c’est le métier. Elle ne s’est pas dite impressionnée par la qualité de l’anglais du Président ce qui l’étonne et moi aussi d’ailleurs.

Subject : Classification reviews of all UFO intelligences affecting National Security.It would be very helpful if you have the high treath cases reviewed with the purpose of identification bona fide as opposed to Cia and USAF sources. It is important that we make a clear distinction between the knowns and unknowns in the event the soviets try to mistake our cooporation as a cover for intelligence gathering of their defense and space programWhen this data has been sorted out I would like you to arrange a program of data sharing with Nasa where unknowns are a factor. This will help NASA mission directors in the defensive responsabilities. I would like an interim report on the data review no later than feb 1964.

« Examens de classification des renseignements mettant en cause des OVNI touchant la sécurité nationale. »

Il serait très utile de faire examiner les cas de menace élevée aux fins d’identification par des sources authentiques plutôt que par des sources de la CIA et la USAF. Il est important d’établir une distinction nette entre les éléments connus et inconnus au cas où les Soviétiques tentent de percevoir notre collaboration comme étant une activité masquée de recherche de renseignements sur leur programme de défense et spatial.

Une fois que les données seront mises au clair, j’aimerais que vous mettiez sur pied un programme d’échange de données avec la NASA dans lequel les éléments inconnus seront considérés comme un facteur. Cela aidera les directeurs de mission de la NASA dans l’exercice de leurs responsabilités en matière de défense. J’aimerais qu’un rapport provisoire sur l’examen des données soit dressé au plus tard en février 1964.

Si elle est authentique, les conséquences d’une telle lettre sont énormes.

Sachant que le programme Bluebook est en pleine opération au sein de l’US Air Force cela démontre :Que le Président Kennedy était parfaitement au fait du phénomène des OVNIS.Que la CIA est l’endroit pour s’informer sur la véritable nature des OVNIs et non pas la US Air Force malgré son mandat d’étudier le phénomène depuis 1953 (Projet Bluebook)Que malgré les recommandations du Jury Robertson de 1953 on s’occupe encore très activement des ovnis en haut lieu.Que la notion de menaces élevées est associée au phénomène ovni.Que Kennedy fait appel au directeur de la CIA et non à la CIA et l’US Air Force pour avoir l’heure juste.Que Kennedy est conscient de la différence entre les cas connus et les cas inconnus.Que Kennedy est préoccupé par l’interprétation que les Soviétiques pourraient faire des inconnus et se sentir menacés à leur tour ? Que la NASA allait être impliquée d’une façon ou d’une autre avec un dossier majeur sur les UFOS puisqu’ils sont cités à deux reprises dans cette lettre.Que Kennedy ne recevra jamais de nouvelle de cette lettre puisqu’il sera assassiné dix jours plus tard.

LES OVNIS NE REPRÉSENTENT AUCUN INTÉRÊT ?

Les Ovnis ne représentent aucun intérêt, aucune menace et aucun effort n’est mené de l’avant sur cette question. C’est ce que répondaient les organismes représentant les autorités américaines dès les premières années de l’existence de ce phénomène et c’est ce qu’elles répondent encore aujourd’hui. Des documents tels que celui-ci, tels que les 703 dossiers inexpliqués et inexplicables du projet Bluebook, tels les milliers d’autres documents du FBI viennent nous dire le contraire.

Ces documents viennent démontrer qu’il y a beaucoup de gens très haut placés très peu nombreux je crois, beaucoup de déclarations, beaucoup de documents secrets, et beaucoup de remue-ménage… pour un phénomène qui n’existe que dans l’imagination des gens…

Pour bien saisir la portée de cette lettre de Kennedy au directeur de la CIA, il faut suivre à la trace l’implication de la CIA auprès du phénomène lui-même.

LA CIA ET LES OVNIS

La CIA est fondée quelques semaines après l’incident de Roswell en juillet 1947. Apparemment, je suis le seul sur cette planète à présenter les choses de cette façon, mais enfin. Son directeur est le contre-amiral Roscoe Hillenkoeter. Le rôle initial de la CIA, est alors de centraliser, le mot le dit, tous les services de renseignements existants. Ce qu’elle n’a jamais fait. De nos jours elle ne le fait toujours pas et c’est le Homeland Security qui assure à ce niveau.

Le 15 Février 1949, le prochain directeur de la CIA le Général Charles P. Cabell, mettra sur pied le projet Grudge destiné à étudier le phénomène OVNI parce que le précédent projet soit le Project Sign dirigé par le Lieutenant Général Twining avait trop tendance à répéter à qui voulait bien l’entendre, qu’il était évident que les ovnis étaient d’origine extraterrestre. Vous avez bien lu ! Sign n’aura duré que deux ans mais Grudge ne fera guère mieux et subsistera à peine jusqu’en 1951.

Entretemps, l’activité ovnienne est loin de s’essouffler et alerte les autorités au plus haut niveau notamment à la suite de l’affaire Oak Ridge une centrale atomique et dont s’est mêlé personnellement John Edgar Hoover du FBI. Le reste c’est de l’histoire, le projet Bluebook, le jury Robertson et bien sur l’infâme Commission Condon. Officiellement, plus personne aux États-Unis ne s’intéresse aux OVNIS et ce depuis 1969.

LA CIA DANS L’EAU CHAUDE

Or en 1979, Victor Marchetti, ancien membre de la CIA et auteur de l’ouvrage CIA and the cult of Intelligence, écrit un article dans le magazine Second Look où il indique que les ovnis n’étaient pas un sujet de conversation courant à l’époque où il en était membre. Chacun savait que ce genre d’information était considéré comme extrêmement sensible. Aux plus hauts niveaux de la hiérarchie, il avait parfois entendu des allusions discrètes concernant des récupérations de disques accidentés et des corps de petits hommes.

Mais il faut être prudent puisque Marchetti a perdu en Cour pour une cause en libelle diffamatoire alors qu’il accusait d’anciens collaborateurs de ceci et de cela mettant sa crédibilité en doute ou plutôt son esprit vengeur en relief. mais j’ai déjà perdu une cause moi aussi cependant et j’avais pourtant raison…

En août 1997, EN RÉACTION À CE LIVRE, l’agence publie un article sur son rôle dans l’étude des ovnis de 1947 à 1990, dans lequel elle indique que de nombreuses observations d’ovnis dans les années 1950 et 1960 correspondaient en fait à des observations d’avions espions secrets U-2 et SR-71. Ce faisant, elle reconnaît avoir été active bien après 1969.

Quant à cette histoire de prendre des avions qui volent à plus de 50,000 pieds pour des ovnis, c’est tout à fait possible mais explique mal des ovnis de 50 pieds survolant une autoroute.

L’ARME DE CHOIX DE LA CIA : LA DÉSINFORMATION

J’ai expliqué dans mes premiers ouvrages le rôle de la CIA face aux ovnis. Un petit rappel pour ceux qui n’ont pas ces ouvrages en mains. Le magazine Time a fait paraître un reportage de leur correspondant à Washington, Douglas Waller alors que venait d’éclater un scandale à l’effet que la CIA remettait au Congrès son rapport sur l’étendue des dommages créés à la CIA, par l’espion soviétique et agent double, Aldrich Ames. C’est alors qu’on découvrit que la CIA utilisait une technique baptisée de feeding.

Le feeding consiste à fournir à l’ennemi de véritables informations sensibles et pouvant nuire à celui qui les donne, mais garantissant de la sorte un attachement de l’ennemi à la source. Ces révélations ont démontré à coup sûr que la désinformation est une pratique courante et très répandue. Bref, ce n’est pas du cinéma ! Si, comme plusieurs le croient, le mandat confié par le NSC à la CIA est de faire en sorte que les ovnis demeurent above top secret, il est clair que la désinformation est alors une arme de premier choix. Cela ne signifie pas que les architectes du projet de désinformation de la CIA sur les ovnis, croient forcément en leur existence. Ils croient cependant, à juste titre peut-être, que cet engouement est déstabilisant.

LE JURY QUI TUA L’UFOLOGIE

La création de la CIA est comme par hasard située dans le temps, à deux mois des événements de Roswell, un autre grand changement au sein de l’agence survient lui, un mois après une autre situation mettant les ovnis en cause : le Jury Robertson.La nomination d’un civil à la tête de la CIA, Allan Dulles, coïncide avec les conclusions du Jury Robertson sur lequel je vais revenir dans ce chapitre.

C’est de cette époque que datent les premiers rapports pouvant être associés à une forme de désinformation. Au lieu de simplement s’attarder à démolir les ovnis en ridiculisant les témoins, voilà que sont apparus des rapports d’ovnis extraordinaires, provenant de témoins tout aussi incroyables. Faisant front commun mais sous une étiquette différente, ces personnages ont considérablement nuit à l’image ufologique dans le monde : George Van Tassel et son contact Ashtar, les périples en vaisseau de Adamski, Howard Menger, Bethurum et Fry notamment qui disaient se promener en soucoupes volantes avec des Vénusiens et la liste s’allonge jusqu’à nos jours incluant Vorilhon et son petit frère Jésus.

On soupçonne également la CIA de passer des commandes spécifiques à certains réalisateurs de films et de nos jours, les sites internet de ce genre abondent plus que jamais. Ils ont joué le rôle d’agitateurs ! La démonstration est désormais chose faite : la CIA a toujours pratiqué la désinformation et le fait encore de nos jours, pour nuire à la crédibilité de la recherche ufologique. Pour cette raison, il m’arrive de penser que les milliers de films et vidéos de crétins qu’on retrouve sur YouTube sont de la désinformation pure et simple.

TOUT POUR TUER L’OVNI DANS L’ŒUF…MÊME ÉCLOS

En 1973 le journaliste J.F Delpech Laborie, rédigeait un excellent résumé de la situation et une fois de plus pour comprendre le contexte dans lequel Kennedy écrivait sa lettre il importe de s’y replonger. D’une part il rappelle que c’est au cours de la seconde guerre mondiale que le regard des autorités s’est porté sur ces phénomènes par l’intermédiaire des pilotes de guerre, dont il ne faut pas oublier le nombre considérable de rapports, à tel point dit-il, que la Luftwaffe, créa en 1944 un «Bureau Spécial 13» chargé d’étudier ces rapports, activité prenant le nom code d’opération «Uranus. »

Un an plus tôt, les services de renseignements britanniques avaient eux aussi formé un organisme d’enquête qui put établir, par le canal d’un agent double, que les objets mystérieux n’étaient pas d’origine allemande et causaient les mêmes soucis à ces derniers. Comme ceci le démontre, ce sont donc les services de renseignements qui, en temps de guerre, se sont occupés en priorité des ovnis.

La télésérie Project UFO diffusée en 1978 et qui n’a jamais connue de rerun serait basée sur cette Commission, alors que d’autres prétendent que c’est Bluebook qui l’a inspirée.On a déjà parlé de SIGN, la première Commission créée devant le nombre croissant des observations et les réactions du public. Depuis le début des événements, l’U.S. Air Force (U.S.A.F.) feint la plus totale ignorance. Elle a pourtant déjà eu l’occasion d’étudier des rapports similaires, ceux de ses pilotes pendant la guerre et de ses bases scandinaves en 1946. Suivez bien. On n,est pas dans les fantasmes de conspipi de chat ici, ce sont des faits bien réels, bien ancrés dans l’histoire moderne des UFOs.

Project Sign est placé sous la responsabilité de l’A.T.I.C le service de Renseignement technique de l’U.S.A.F.) à la base de Wright-Patterson, Dayton (Ohio) Il dispose de moyens importants et son travail est très actif. Ce sera la première et la dernière Commission américaine sérieuse sur les ovnis. En septembre 1948, « Project Sign » fait parvenir au chef d’état-major de l’U.S.A.F. un rapport top-secret, «The estimate of the situation». Ce rapport soutient clairement l’hypothèse de l’origine interplanétaire des U.F.O. Project Sign n’y survivra pas ! Le Pentagone repousse ses conclusions, puis le dissout purement et simplement. C’est la première amorce de la « politique du secret par-dessus laquelle Kennedy veut passer si on saisit bien le sens de sa lettre.

GRUDGE VEUT TOUT DIRE : RANCŒUR

Le 11 février 1949, le défunt « Project Sign» est transformé en Project Grudge La mission est de faire oublier Sign et ses tergiversations sur l’origine extraterrestre par le biais d’explications parfaitement douteuses et arbitraires. Ce traitement réussira si bien pendant toute l’année 1949, qu’il aboutira à un pourcentage négligeable de cas inexpliqués lors du rapport final de la Commission, en décembre, ce qui entraînera ipso facto la suppression de Project Grudge . Durant presque deux ans, toutes les observations seront impitoyablement rejetées aux oubliettes, c’est-à-dire dans les archives de l’A.T.I.C. Il faudra attendre octobre 1951 pour que Project Grudge soit rétabli, à la suite d’une observation d’ovni survenue en présence d’importantes personnalités. Une facon comme une autre pour les IS de dire : Vous voulez nous oublier ? Pas nous !.

La direction est alors confiée à un officier de renseignement de l’A.T.I.C., le capitaine Edward Ruppelt dont la première tâche est de former une sous-commission, Project Bear, véritable bureau scientifique composé des spécialistes de diverses disciplines. Ses pouvoirs sont encore accrus lorsque la Commission prend le nouveau nom de « Project Blue Book », en mars 1952. Tout ceci aboutit à une augmentation considérable des observations inexpliquées dans les statistiques officielles. Étrange n’est ce pas ?

Mais quelqu’un quelque part qui en sait très long sur la réalsité extraterretre du phénomène ovni veut faire mourir la recherche à tout prix et garder les infos ovniennes above top secret. C’est alors qu’à l’instigation de la CIA, un jury scientifique est réuni en janvier 1953 par le Pentagone pour statuer définitivement (!) sur le problème U.F.O : Le Jury Robertson.

Ce Jury va changer l’ufologie américaine du tout au tout ce qui donne à la lettre de Kennedy tout son poids. C’est tout comme si en parlant de bona fide il interpelle le directeur de la CIA en lui disant poliment : cut the bullshit ou si Kennedy avait été Québécois : fais moi pas chier avec tes restrictions…Rappelons que tous les détails concernant le Jury Robertson sont connus grâce aux documents découverts par le Dr Mac Donald au siège de l’A.T.I.C. en 1966. ce ne sont pas des théorèmes conspirationnistes mais des faits patents, vérifiés et rigoureusement authentiques.

Le Jury se réunit au Pentagone à partir du 12 janvier 1953, il est composé de plusieurs experts, présidés par le physicien H.P. Robertson, mais aussi du directeur de l’A.T.I.C. et de trois personnalités importantes de la C.I.A. Le Project Blue Book dépose ses conclusions, qui envisagent favorablement la réalité concrète des U.F.O. Au moment du rapport final, la C.I.A. se précipite au service de la science ! Elle réclame du jury un verdict négatif, qui couvrira une série de recommandations secrètes de la C.I.A. exigeant «...une réfutation systématique des soucoupes volantes en vue de réduire l’intérêt du public pour ce sujet… ».

Voyons le prétexte officiellement invoqué par la C.I.A. : tarir la source publique des informations, afin d’éviter que les réseaux de renseignements des services secrets ne soient submergés. C’est d’un con ! Si un phénomène est suffisamment puissant pour submerger les services de renseignements d’un pays comme les États-Unis c’est bien là qu’est l’urgence d’en découvrir la véritable nature, et non de le cacher sous le tapis ou de toute facon il y aura une si grosse bosse qu’on va tous s’enfarger dedans..

Deux règlements, maintenant célèbres, sont promulgués à cet effet : A.F.R. 200-2, qui organise l’acheminement des observations, et J.A.N.A.P. 146, qui considère la divulgation de toute information au niveau des bases, comme un crime passible de 10,000 dollars d’amende et de dix ans d’emprisonnement. Oui oui, tout ca si un pilote de l’Air Force prononce le mot ovni. Pas de problème s »il parle de Santa Claus ou de Superman. Pourquoi ? Parce que tout le monde sait que ce ne sont que des légendes. Alors par déduction, les ovni ne sont pas des légendes, donc ils sont vrais ?

Dans le motif officiel avancé par la C.I.A, on peut déceler une contradiction qui éclaire du même coup sa duplicité. Ce motif est donc le prétendu besoin pour la C.I.A. de débarrasser ses réseaux de renseignements de rapports présentés comme inutiles et dangereusement encombrants. Voilà qui donne un sens à la lettre de Kennedy à John Mc Cone.

En effet ce dernier sait très bien que la CIA possède d’une part, des réseaux suffisamment étendus, organisés, perfectionnés, et en possède suffisamment le contrôle pour ne pas risquer de les voir brouillés à tout propos. D’autre part, elle est libre de n’acheminer par ces canaux que les renseignements qu’elle estime dignes d’intérêt et elle peut rejeter à sa guise, les informations superflues, sans avoir besoin de recourir à la censure de l’U.S.A.F. L’observation de laborie est tout à fait juste.

TOUT CA POUR UN PHÉNOMÈNE..QUI N’EXISTE PAS ?

Comme le rappelle fort justement Laborie, ou bien les OVNIS ne sont que fantasmes aberrants, et pourquoi s’en embarrasser ou bien ils sont bien réels et constituent une préoccupation majeure. Le même argument que j’emmène à propos de Santa Claus. La lettre de Kennedy est donc extrêmement importante ici et révèle à tout le moins à l’esprit le plus sceptique et le plus obtus qui de toute manière ne lit pas ce texte, que le phénomène ovni qui n’existe pas, qui n’a aucune fondation sérieuse, qui n’est qu’une série de fadaises, dérange. Il a produit de nombreuses Commissions d’enquêtes officielles et suscité un intérêt certain auprès des plus hautes autorités des États-Unis et comme d’autres textes le démontre du Canada, de la France de la Grande Bretagne, du Japon, du Chili , de l’Argentine, du Brésil, de l’ancienne URSS, de la Pologne, etc…..

SUFFISANT POUR TUER L’HOMME ?

C’est la question qui intéresse tout le monde. Si Kennedy pousse dans ses retranchements la CIA et toute autre organisation à sortir le « vrai stock » concernant les OVNIs et non la bullshit bien connue de la CIA et de la US Air Force, la réponse à cela est non évidemment, parce que les ovnis n’existent pas et les États-Unis ne cachent rien de particulier. Mais supposons, on fait juste jaser là, juste de même, alors disons que pour la forme, Eisenhower a effectivement été contacté dans les années 50 après que les autorités de la base 509 de Roswell aient récupéré les corps d’un vaisseau étranger qui s’est écrasé en 1947.

Est-ce possible alors que la demande de Kennedy soit perçue comme une menace extrême advenant le cas que cet être détesté ad nauseam à la fois par Edgar Hoover du FBI et l’ex-directeur de la CIA Allan Dulles qu’il a foutu à la porte quelques temps plus tôt, décide de rendre public ces états de faits ?Un cocktail étrange et amer !

J’ai longement discuté de cette question avec mon ami et collègue ufologue Jean Gabriel Greslé. Il affirme que les États-Unis ne collaborent pas avec les autres nations dans l’échange de matériel récupéré ou recu en échange des enlèvements. Jean Gabriel Greslé, témoin, ex-pilote d’Air France est membre de la Commission SIGMA en France. Une sorte de société non pas secrète mais discrète.

ET AU CANADA ?

On ne sait que très peu de choses sur la politique du gouvernement canadien face aux ovnis sinon son mutisme total. Nous avons souvent abordé ces questions. La dimension nouvelle provenant de Jean-Gabriel Greslé s’illustre dans un encadrement serré ne laissant aucun échappatoire possible : le Canada est parfaitement complice du cover-up américain par son adhésion aux réglementations régissant les vols militaires et commerciaux, de même que les réglementations au sol et en mer. JANAP-146 a été instauré en 1966 et modifié en 1977 afin d’inclure l’obligation de faire parvenir, outre les informations descriptives, tout document visuel quel qu’il soit.

JANAP-146 a pour but de garantir un réseau d’alerte efficace en incluant tout officier dans le processus. Ce réseau n’a qu’un but : prévenir le plus rapidement possible toute intrusion de l’ennemi en territoire canado-américain, le Canada faisant partie de l’OTAN et de NORAD, particulièrement par la voie des airs. Sont donc inclus sous le vocable d’ennemi potentiel, tout missile, tout avion non-conventionnel, tout appareil ne répondant pas aux appels répétés mais et surtout en seconde position, les ovnis.

Les Forces Armées ne badinent pas avec le vocabulaire et donnent à tout, un terme précis qui se doit de demeurer sans équivoque et surtout parfaitement uniforme de sorte qu’il ne plane aucun doute lorsque le pilote indiquera à son récepteur qu’il voit un ovni. Or, si les ovnis sont des oies blanches, des ballons égarés, des étoiles encombrantes ou des émanations de méthane provenant des marais, pourquoi donc ces items seraient-ils considérés comme une menace ?

JANAP-146 est une réalité militaire trop sérieuse et trop importante pour la sécurité des États-Unis et du Canada : un pilote qui s’aviserait de rigoler en rapportant tous ces items ne quitterait plus le sol ! Que fait donc alors la mention ovni ou UFO évidemment dans un tel règlement ? Puisque les ovnis sont des hallucinations, des flammèches électromagnétiques provenant de secousses sismiques dans le lobe temporal du pauvre type qui se promène le long d’une faille, puisque les ovnis sont une forme de délire spatio-temporel induit par un alcool quelconque, pourquoi tous ces items ne sont pas inclus dans JANAP-146 ? Parce qu’aux yeux des gouvernements américain et canadien, les ovnis sont autre chose que tout cela. Ils sont bien réels, contrôlés et manoeuvrés par une forme d’intelligence qui ne relève pas de sa juridiction ni d’aucun autre pays.

Puisque les ovnis sont une réalité sociologique issue de l’inconscient collectif selon le principe jungien du mandala et manifestés à tout instant, pourquoi la Vierge Marie, les fées, les elfes, les lutins, les gnomes, les loups garous et les canots de la chasse-galerie ne sont pas requis d’être immédiatement rapportés au Département de la Défense des États-Unis au Pentagone à Washington et à son équivalent à Ottawa ?

Dans ce cas, qui va donc nous dire pourquoi les ovnis sont en seconde position dans l’un des plus importants règlements de la défense du territoire et par la même occasion, nous dire ce que sont ces ovnis ?

DESCRIPTION GÉNÉRALE ET BUT DES INSTRUCTIONS POUR LA TRANSMISSION DES OBSERVATIONS VITALES POUR LE RENSEIGNEMENT101.

But

Le but recherché par cette publication est de fournir des instructions standard pour la transmission des observations vitales pour le renseignement en temps de paix et leur acheminement vers les autorités militaires appropriées.102.

Champ d’application.

Cette publication est limitée à la transmission d’informations d’importance vitale pour la sécurité des États-Unis et du Canada et celle de leurs forces armées et qui, de l’avis de l’observateur, nécessitent une action défensive très urgente et/ou une enquête par les forces armées des États-Unis et, ou du Canada Les procédures contenues dans cette publication s’adressent aux :(1) Avions civils et commerciaux des USA et du Canada. (2) Avions militaires et gouvernementaux autres que ceux opérant sous des directives de transmission distinctes. (3) Vaisseaux marchands opérant sous pavillon des USA ou du Canada. (4) Vaisseaux militaires ou gouvernementaux autres que ceux opérant sous des directives de transmission distinctes.(5) Certains autres vaisseaux des USA ou du Canada, y compris les bateaux de pêche.(6) Les installations militaires recevant des rapports provenant d’observateurs civils ou militaires, au sol ou en mer, sauf s’ils opèrent selon des directives de transmission distinctes.(7) Des agences gouvernementales ou civiles susceptibles de produire des rapports à la suite d’informations en provenance d’observateurs, au sol ou en mer.103. Identification des messages.

Les rapports provenant de sources [situées] en vol ou au sol seront identifiés par le mot CIRVIS, prononcé SEUR – VICE2, utilisé comme premier mot du texte. (voir chapitre II) b. Les rapports transmis par des sources [situées] en mer seront identifiés par le mot MERINT, prononcé MEUR – ENT, utilisé comme premier mot du texte. Les plus grands efforts devront être faits pour confirmer les observations vitales pour le renseignement par des photographies en aussi grand nombre que possible. Les films non développés, les négatifs et les photographies devront être transmis avec un bref rapport écrit et toute autre information permettant son identification. Les films seront développés et un tirage de chaque photo ainsi qu’une bobine de film neuf seront retournés à l’intéressé. ( On se doute bien que ces directives ont du être modifiées avec l’avenement du numérique) . Photographies de type CERVIS. Les faire parvenir au directeur de la Defense Intelligence Agency (DIA/ [DC-6]), Washington, DC 20301, ou au quartier général de la Défense nationale, Ottawa, Ontario, KIA 0K2, à l’attention du directeur général du Renseignement et de la Sécurité.

RAPPORTS CIRVIS SECTION I – GÉNÉRALITÉS 201.

Informations à transmettre et quand les transmettre a. Les observations visées par ce chapitre, telles qu’elles sont précisées aux paragraphes 102b (1), (2), (6), et (7), doivent être transmises comme suit :(1) Pour les observateurs en vol ou sur des bases terrestres (a) Missiles (b) Objets volants non identifiés 3 (c) Sous-marins hostiles ou non-identifiés (e) Groupes de vaisseaux militaires de surface, hostiles ou non-identifiés f ) Vaisseaux de surface isolés, sous-marins, ou aéronefs de conception non- conventionnelle. etc…..
Greslé nous dit :  » J’ai plusieurs fois entendu ce sigle (CIRVIS) pendant ma carrière de commandant de bord et j’ai toujours cru qu’il concernait des problèmes de maintenance ou de service, concernant l’organisation de la navigation aérienne, dans la zone que je survolais. Les caractères gras n’existent pas dans le texte original. Ils ont été rajoutés pour mettre en évidence le fait que les ovnis ne sont pas cités une fois mais deux. La première dénomination, Unidentified Flying Objects en anglais, est utilisée depuis 1952 environ, la seconde, Unconventional Aircraft, plus ancienne, était utilisée ainsi que celle de Flying Discs avant cette date.* « 

Nos gouvernements considèrent les ovnis avec énormément plus de sérieux que personne n’aurait cru cela possible ! Il en va de même pour la NASA ! Le 5 octobre 1982, le Docteur Brian T. Clifford du Pentagone annonçait en conférence de presse (The Star NY) que les contacts entre des citoyens américains et des extra-terrestres et leurs véhicules étaient strictement illégaux. Ils n’existent pas mais il est illégal de s’en approcher. Nous avons contacté le bureau des Federal Regulations à Washington qui nous a fait parvenir une copie de cette réglementation. Elle se lit effectivement comme suit : Tout contact avec une source d’origine ou de nature extraterrestre est interdite et…Title 14, Section 1211.101 Applications…s’applique à toutes les missions spatiales de la NASA, habitées ou non habitées qui se posent et évoluent dans l’enveloppe atmosphérique de tout corps céleste et reviennent sur Terre.

Exposé à l’extraterrestre signifie la condition d’une personne, propriété, animal ou autre forme de vie qui a touché directement ou est venu en contact avec tout corps céleste ou son enveloppe atmosphérique OU qui a touché à toute personne, propriété, animal ou autre forme de vie répondant à l’article précédent.

Tous mes témoins seraient mis en quarantaine et quarantaine signifie la détention, l’examen et la décontamination de toute personne, propriété, animal ou autre forme de vie répondant aux articles précédents et inclus la saisie de cette personne, propriété, animal ou autre forme de vie. La surveillance peut aller aussi loin que l’utilisation de gardes armés. Une amende de 5000$ et une peine de prison d’un an sont les risques encourus par toute personne enfreignant l’une ou l’autres des règles de cette Loi. Il est également spécifié qu’aucun recours légal ne peut permettre à un individu de ne pas subir la quarantaine si elle a été dictée par l’Administrateur de la NASA.

Un bon avocat ou un bn notaiure notera l’absence d’un petit mot dans le libellé de l’application. En effet, il n’est pas dit que cette Loi ne s’applique seulement QU’AUX MISSIONS SPATIALES DE LA NASA. En termes de Loi, après avoir consulté divers experts juridiques en la matière il est exact qu’une telle loi crée une ouverture (loophole) pour le Procureur Général d’inclure après sa découverte, tout citoyen qui serait lui aussi entré en contact avec un corps céleste ou son enveloppe atmosphérique en dehors des missions spatiales de la NASA.

Puisque le Gouvernement des États-Unis n’a jamais reconnu l’existence de contacts extraterrestres sur cette planète, on pourra plaider l’absence de cette provision dans la Loi et réclamer de ce fait qu’elle soit désormais reconnue. Bien que cela puisse déclencher un débat juridique fort intéressant, il n’en demeure pas moins que cette Loi interdit à tout citoyen américain d’entrer en contact avec un UFO ou ses occupants, sans subir par la suite le traitement décrit dans les articles plus hauts. Cela rend également coupable d’un acte criminel, tout enlevé qui ne se rend pas de lui-même aux autorités. Il en va de même pour les citoyens qui ont été témoins d’une Rencontre du Troisième Type.

La Loi en question fut adoptée le 16 juillet 1969… tout juste avant le débarquement de Neil Armstrong sur la Lune et la conférence de presse du Docteur Clifford eut lieu le 5 octobre 1982, au plus fort de la rage E.T. occasionnée par le célèbre film de Spielberg illustrant la poursuite des autorités fédérales, la détention, l’examen et la mise en quarantaine d’un citoyen américain ayant été en contact avec… un extraterrestre. Était-ce un avertissement ?

Sinon pourquoi tenir une conférence de presse : “CONTACT BETWEEN US CITIZENS AND E.Ts ARE ILLEGAL” (Star New-York, 5 octobre 1982) sur une Loi adoptée treize ans plutôt?

COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL

Or voilà que Daniel Robin, mon collègue ufologue Français relance l’affaire suite au dossier Thales dont j’ai diffusé un extrait sur ce site. Selon lui, la rétro ingénierie est peut-être à l’œuvre encore de nos jours. Mais il semble qu’il implique davantage le complexe militaro-industriel plus que simplement nos gouvernements.

J’ai une opinion très ferme sur ce point. Les gouvernants partent, les hauts dirigeants restent. J’ai eu un oncle qui a été sous-ministre du transport pendant plus de 45 ans. À votre avis, qui de lui ou du tout jeune ministre élu pour la première fois il y a trois semaine est le plus à même de traiter les dossiers ? Qui connaît qui, où, qui sait comment et pourquoi et quand ? Lui ou le jeune coq qui se fait prendre aux photos avec une pelle ? Il en va de même au pentagone, à la CIA à la Nasa aussi chez Lockheed, Thompson etc Ces gens-là ont vu parader des Secrétaires à la Défense à la douzaine et sont tous en poste.

Est-il possible qu’avec toutes ces années ils aient pu mettre au point des secrets si étanches que même un président américain pourrait ne pas être au courant ? Clinton l’a dit lui-même. Il y a un gouvernement dans ce gouvernement sur lequel je n’ai aucun pouvoir. Lors d’une entrevue en avril 2014 avec Jimmy Kimmel au réseau ABC, un expert en non verbal a déclaré que Clinton est devenu très mal à l’aise, inconfortable et quasi incohérent lorsque Kimmel lui a parlé des OVNIS. Le spécialiste, Hansen dit : Vous pouviez entendre Clinton dire une chose et le nier avec sa tête et ses yeux.

Il disait avoir entièrement fait le tour de la question et qu’il n’y avait rien de plus à dire. Kimmel lui a alors rappelé que tous les documents concernant cette affaire et qui auraient dû être encore accessibles par le Général Accounting Services qui en faisait la demande en 1995 à la demande du Gouverneur de l’État du Nouveau Mexique avaient disparus parce que détruits par la US Air force.

Il a paniqué, pas ouvertement mais tout son corps criait à l, aide sortez-moi de là. Conclusion

Je ne crois pas que les Russes ou les Américains détiennent le secret de fabrication d’un appareil pouvant manœuvrer comme ceux qui sont observés. En admettant qu’une alliance humano-extraterrestre existe, je ne crois pas qu’elle soit à ce point avancée. Si cette alliance existe, elle est extrêmement ténue. Les humains sont corruptibles, faciles à manipuler, menteurs, fraudeurs, voleurs et tueurs de nature, sur le plan collectif s’entend. bREF ILS SONT DANGEREUX AU PLUS HAUT DEGRÉ. Je ne jouerais pas au poker avec cette race mais chose certaine, dans un échange de nature X, d’aucune manière, je ne livrerais le secret d’une technologie en avance de milliers d’années sur la leur si non plus.

Je ne crois pas non plus, en admettant qu’un de leur vaisseau soit en leur possession que nous ayons pu par nous-même découvrir le secret de leur propulsion. Quand bien même vous abandonneriez un I pad dans la forêt amazonienne croyez-vous qu’un jour les membres d’une tribu isolée qui ne connait pas encore le fer pourra le reproduire et se mettre à fureter sur Internet ? JAMAIS DE LA VIE.

Je crois cependant que de lourdes entreprises du complexe militaro-industriel, de l’Ouest, soit la France l’Angleterre, les États-Unis et le Canada mais également de l’Allemagne et de la Russie détiennent des informations d’origine extraterrestre, directement ou indirectement et qu’elles tentent de transformer ces données en réalités bien concrètes. Est-il possible que certains appareils, plus lourdauds, plus bruyants et non lumineux soient des tentatives plus ou moins réussies ? Surveillées par les « vraies » et le meilleur exemple à donner est le Dossier Thales ?

Daniel Robin raconte que le témoin principal a reçu la visite toute récente d’un employé de la compagnie Thales (SFC Thompson) pour un motif qui n’a aucun rapport avec l’observation mais comme le témoin l’indique, le visiteur ne cessait de regarder là ou j’ai vu l’ovni un peu comme s’il évaluait le point de vue exact que j’avais des lieux. Daniel écrit : Depuis la publication de mon rapport sur les évènements qui se sont déroulés à Forges-les-Bains dans la soirée du 15 décembre 2013, j’ai enregistré de nombreuses réactions de lecteurs qui m’ont fait part de leur intérêt pour cette affaire. Il ne leur a pas échappé, en effet, que le témoignage de Monsieur F. (le témoin principal), allait bien au-delà d’une simple observation d’un objet volant non-identifié, et que les questions qu’il soulevait était de la plus haute importance.

La raison pour laquelle ce cas mérite toute notre attention est le fait que les engins observés par le témoin évoluaient près d’un site militaire de haute technologie abritant les installations de la branche radar de la société « Thales Air Systems* ». .2) Quel degré d’« implication » ? En raison de l’ampleur des faits qui se sont manifestés à proximité de la société « Thales Air Systems », nous envisageons sérieusement la possibilité qu’il pourrait exister, d’une façon ou d’une autre, ce que j’appelle une forme d’« implication » entre certaines grandes entreprises de hautes technologies (civileEn ce qui concerne plus spécifiquement l’affaire de Forges-les-Bains, la première forme d’« implication » qui vient à l’esprit repose sur l’hypothèse qu’il pourrait exister un circuit de rétro-ingénierie, ou ingénierie inverse, à l’intérieur même du groupe Thales.

Cette technologie serait dérivée d’une technologie d’origine extraterrestre. La source première de la technologie exotique pourrait provenir d’une épave de vaisseau qui aurait eu une avarie ou encore d’un « don » volontaire de nos « visiteurs » dans le cadre d’accords strictement définis. Il n’est d’ailleurs pas certain que Thales soit un bénéficiaire direct, ou de « première mains » si je puis dire, de la rétro-ingénierie. Les « labos » R&D de cette entreprise ne pourraient avoir accès qu’à des retombées secondaires.

Bien que difficile à mettre en évidence, l’existence d’un tel circuit est cependant acceptée par diverses sources indépendantes (dont une connaît Thales de l’intérieur). Cette source de l’intérieur possède bien évidemment le niveau requis pour valider cette hypothèse. D’après elle : « les informations dont Thales dispose grâce à « ceux venus du ciel » (Élohim), viennent essentiellement du plateau d’Albion (à l’époque où Thales s’appelait Thomson CSF), et non pas de Forges-les-Bains » (Limours). Sur le plateau d’Albion : http://www.planete-revelations.com/t246-le-plateau-d-albion Il va sans dire que la règle qui impose le secret absolu de nos sources s’applique ici dans toute sa rigueur.

Plus de détails ici

Donc existe-il une alliance humano-extraterrestre ? Forcément oui, pas officielle, ultra secrète au plus haut niveau. Ils n’ont plus besoin des hommes en noirs ou d’intimider les témoins, le ridicule bien installé dans la communauté médiatique et la désinformation par l’étalage de sites complètement absurdes font le travail. Allez sur Wikistrike et amusez-vous !

Je crois qu’un nombre extrêmement réduit de gens sont derrière cette alliance, sans quoi elle éclaterait au grand jour. Je crois également qu’elle est inconnue des dirigeants officiels pour la plupart, sauf quelque uns. Lesquels ? Sais pas. Obama est-il l’un d’eux ? Poutine ? Aucune information sérieuse et dénuée de l’alarmisme traditionnelle des conspipi n’existe. Ou en est cette alliance ? Je crois que le nombre extrêmement réduit d’observations d’OVNI ces dernières années laisse penser qu’il y a soit un problème, un retrait de leur présence, la fin d’une opération et qu’autre chose se prépare, à un autre niveau. Mais ca bouge et je ne serais pas surpris que cette alliance soit maintenant…terminée et on va passer à autre chose. !

http://www.centretudeovnis.com/

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