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Les prophéties de la Grande Pyramide

 
 
 
       
De nombreux documents indiquent que des inscriptions gravées sur le parement d’origine de la    Grande Pyramide de Gizeh prédisaient l’avenir de la planète…   
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Tiré de NEXUS n°59  
   
La Grande Pyramide recèle les plus grands mystères de cette planète et a  
suscité plus d’écrits que tout autre édifice. Mais quelle en était au juste la nature , et    pourquoi a-t-elle été érigée ?  
   
La réponse réside peut-être au coeur des croyances des anciens Égyptiens, racines d’une pensée    religieuse qui s’est perpétrée pendant des milliers d’années, au sein de ce qu’ils nommaient le « Règne des Dieux ».  
   
Cet article part du postulat que séjourna en Égypte un peuple d’intelligence supérieure, porteur    d’une connaissance ésotérique et désigné traditionnellement  
comme la « Compagnie des Dieux ». En considérant la valeur authentique de la  
littérature des prêtres des anciens temples, nous accédons à une perception nouvelle des    réalités antiques.  
   
Vers 1450, parut un livre qui fit sensation et plongea l’intelligentsia occidentale  
dans la fascination : ‘’ Histoires d’Hérodote ‘’. Cet historien grec  (484-425 av.J.-C.) avait    visité plusieurs fois l’Égypte afin d’y mener des recherches et ses  découvertes étaient demeurées inconnues en Occident jusqu’à leur  traduction en latin par le grand humaniste et précurseur    Lorenzo Valla (1407-1457).  
   
Hérodote évoque en détails les « dieux et déesses d’Égypte », mais fournit  également la plus    ancienne description connue de la Grande Pyramide et des merveilles  environnantes (Histoires, Paris, éd. de 1592). Ce qui offre aujourd’hui  l’aspect d’une ruine lui apparut alors, il y a 2 400    ans, dans sa splendeur quasi inaltérée, splendeur qui le laissa  d’ailleurs « perplexe ».  
   
La  « merveille gravée » Dans son récit des sept années passées en Égypte à partir de 449 av.    J.-C., Hérodote fait clairement état de la présence sur la Grande  Pyramide d’un parement de pierres d’une blancheur étincelante et si  parfaitement ajustées que, même de tout près, il était quasi    impossible de déceler les joints, ce qui donnait à l’édifice  l’impression d’être fait d’une seule pièce.  
   
Les pierres, explique-t-il, « sont parfaitement polies » et ornées de « signes et symboles qui    me plongèrent en conjectures ». Il qualifie la Grande Pyramide de « merveille gravée » et se demande avec étonnement :  
   
« d’où vient le savoir produisant une chose pareille ? ».  
   
De nombreux documents indiquent que des inscriptions gravées sur le parement  
d’origine de la grande pyramide de Gizeh prédisaient l’avenir de la planète.  
   
Quelle était la nature de ces prophéties ?  
En quoi rejoignent-elles les récits de cataclysmes évoqués par d’autres traditions ?  
   
D’autres écrits anciens confi rment que le parement était gravé d’inscriptions qui, selon    Josephus, historien du premier siècle (an 37), « témoignent d’une certaine forme de sagesse »  
   
Un complément d’information est livré par un manuscrit de l’astronome/astrologue arabe du VIIIe    siècle Abou Balkhi, conservé à la Bodleian Library de l’université d’Oxford :  
   
«  Deux d’entre elles [les pyramides] dépassaient les autres en hauteur,  mesurant 400 coudées de    haut, autant en largeur et autant en longueur. Elles étaient faites  de grands blocs de pierre si bien ajustés que les joints étaient à peine perceptibles.  
   
Sur les faces de la plus belle des structures [la Grande Pyramide] étaient gravés tous les    mystères et merveilles de la physique. »  
   
Une information similaire, encore plus circonstanciée, se trouve dans les rapports de Al-Masudi,    un historien et auteur arabe du Xe siècle :  
   
«  Sur la pyramide orientale, la grande, construite par les Anciens,  étaient gravées les sphères    célestes ; ainsi la position des étoiles et leurs cercles, avec  l’histoire et les chroniques des temps passés, de ceux qui viennent et  de tous les événements futurs. On y trouve aussi les étoiles fixes et ce qu’il advient de leur progression d’une époque    à l’autre... et des images des créations de leurs ancêtres. » (Manuscrit Al-Masudi n°9576, British Museum) [  
   
NdT : Par « progression des étoiles fixes d’une époque à l’autre », ne  
faut-il pas comprendre la précession des équinoxes, certainement connue bien avant Hipparque    ?]  
   
Il apparaît clairement que certaines inscriptions étaient des prophéties et selon  
Ibn Haukal, autre voyageur et écrivain du Xe siècle, s’il avait fallu les  recopier, leur    retranscription aurait rempli « des milliers de pages des plus  grandes feuilles de papyrus dont nous pourrions disposer » (Murtedi, The History of the Marvellous Things in Egypt, c.1710 ; l’auteur arabe Murtedi puisa son information dans d’anciens    manuscrits dont les dates sont inconnues).  
   
Les techniques utilisées par la « Race des Maîtres » – les dieux et déesses  – pour créer ces    inscriptions et assembler ces pierres de parement sur la pente à 51° de la Grande Pyramide demeurent un profond mystère. Ces messages  célestes  exotiques furent-ils écrits de la main même des dieux et déesses ?  
   
Le plateau de Gizeh a été submergé…  
   
S’appuyant sur des textes coptes (descendants des anciens Égyptiens), Al-Masudi  souligne    (manuscrit n° 9576) que la Grande Pyramide « portait les écrits  inconnus et indéchiffrables de peuples et de nations dont les noms et  l’existence ont été oubliés depuis longtemps. ».  
   
Toutefois, l’auteur du papyrus du XIIe siècle attribué aux Coptes, découvert dans le monastère    égyptien d’Abou Hormeis en 1927, ne semble avoir eu aucun mal à décrypter les inscriptions du parement :  
   
« Ainsi fut construite la Grande Pyramide. Sur ses pentes furent écrits les mystères de la    science, de l’astronomie, de la géométrie, de la physique et beaucoup de connaissances    utiles que quiconque comprenant notre écriture (copte ?) est capable de lire. » (Auteur inconnu, manuscrit de la Bibliotheca Alexandrina)  [Nouvelle bibliothèque d’Alexandrie].  
   
Selon Ibn Batuta, historien arabe du XIVe siècle, « La première pyramide a  été conçue et    construite par Thot pour assurer la conservation des arts, sciences  et autres acquis scientifiques à l’occasion d’un déluge. » (M. Jomard,  Quotations from Ancient Authors, 1801, traduit du copte    par le professeur ben Abdullau).  
   
Thot était membre de la compagnie des Dieux, et le plus vieux livre du monde, le Livre des morts    égyptien, confirme qu’il conçut et construisit la Grande Pyramide selon les    spécifications d’un « livre venu des cieux ». (A. L. Champollion-Figeac, Wisdom Literature, Paris 1888). D’anciens traités d’astrologie mentionnent Thot en tant que gouverneur du sixième climat, ce qui peut faire    référence à un cycle de changements de l’environnement terrestre.  
   
Rappelons les mots (date incertaine) de Sonchis, prêtre égyptien de Sais, qui  déclara à l’avocat    et marchand athénien Solon (638-559 av.J.-C.) : « Vous êtes tous de  jeunes âmes, car vous n’avez pas de vieilles traditions, ni de croyances et connaissances d’âge vénérable. Et voici la raison :  
   
Nombreuses furent les destructions de l’humanité et nombreuses encore  
seront-elles. » (S. L. MacGuire, Manuscripts in the    Glastonbury Library, Salisbury, 1922).  
   
De nombreux coquillages pétrifiés …  
   
Dans le Timée, les paroles d’un autre prêtre égyptien confirment qu’il y eut de nombreuses    anciennes catastrophes : « Vous [les Grecs] ne vous souvenez que  d’un seul déluge, mais il y en eut bien d’autres antérieurement. » (Platon, c.428-348 av. J.-C., Le Timée, ch. 23).  
   
Cette information est recoupée dans le dictionnaire Camoos de Firazabadi, un  livre    extraordinaire et peu cité sur le passé mystérieux de l’Égypte,  écrit au VIIIe siècle, mais composé à partir de documents plus anciens.  La version originale est conservée à la Bibliotheca    Alexandrina.  
   
Ainsi que l’indiquent de nombreuses anciennes chroniques arabes, ce document affirme que la    pyramide fut érigée avant un antique déluge catastrophique désigné par « déferlement des    eaux ». Assertion confirmée par l’incontestable description dans Histoires d’Hérodote :  
   
« J’ai remarqué la présence de coquillages sur les collines ainsi que haut sur la surface gravée    de l’édifice où ils étaient calcifiés… et que le sel exsudait du sol au point de causer des dégâts aux pyramides. »  
   
Plus de 2 200 ans après Hérodote, l’écrivain danois Frederic Louis Norden, visitant les    pyramides au milieu du VXIIIe siècle, constata aussi qu’il y avait des coquillages sur le plateau de Gizeh.  
   
Il fut surpris de trouver : « … un grand nombre de coquillages et d’huîtres pétrifiées, ce qui    est très surprenant, car jamais les crues du Nil ne montent au point de couvrir cette    plaine ; d’ailleurs, même si cela se produisait ce ne pourrait en  être la cause, puisque ce fleuve ne charrie pas, ni n’a jamais contenu de mollusques sur tout son cours.  
   
Alors qu’il n’y a point de coquillages dans le Nil, ils abondent en mer Rouge et l’on  
pourrait se demander d’où proviennent ces coquilles que l’on trouve même sur les pyramides ?     » (Frederic Louis Norden, Travels in Egypt and    Nubia, publié via la Royal Society of Sciences, Copenhagen, 1755-1757).  
   
Les commentaires de Hérodote et de Norden nous apprennent donc que le sable de toute la région    contenait des mollusques, preuve qu’au cours de l’existence des pyramides, le plateau fut    immergé sous la mer.  
   
Nous allons à présent tenter de savoir quand et comment cela s’est produit.  Al-Masudiécrit que    Saurid Ibn Salhouk, un ancien roi d’Égypte, construisit deux  pyramides près d’un « … grand rocher blanc qui s’élevait de la plaine,  et le rocher était plus haut que les montagnes et à angles vifs tel que sa disposition définissait les quatre    secteurs du cercle [NdT : les points cardinaux], et il convergeait vers le haut jusqu’au ciel étoilé.  
   
Mais ce rocher était vieux, plus vieux que le temps. » (Al-Masudi, Les  Prairies d’Or, tome 2,    traduit par Barbier de Meynard ; description similaire dans Pastor  of Herma, IIe siècle, Whitehaven Books, London 1942, cité aussi par H.P.  
   
Blavatsky dans Isis Dévoilée, 1877, livre 2, Théologie, p. 45). Le « grand rocher blanc » Dans    Isis Dévoilée, la description du « grand rocher blanc » mentionne  qu’il est « ancien et percé d’une ouverture », et Jamblique (250-330),  représentant syrien de l’école des études mystiques et    philosophiques d’Alexandrie, note qu’il y avait une « ancienne  dégradation » sur la face nord de la Grande Pyramide (Les Mystères, particulièrement d’Égypte, de Chaldée et d’Assyrie, IVe siècle).  
   
Le « grand rocher blanc » est donc bien la Grande Pyramide.  
   
En l’an 820, le prince arabe Abdullah al-Mammun partit de cette ouverture pour creuser un tunnel    dans l’édifice.  Il finit  par recouper une galerie étroite et inclinée nommée aujourd’hui le «  passage descendant », et entrepris l’exploration de    l’intérieur de la pyramide.  
   
Quoi qu’il en soit, le compte-rendu de Al-Masudi laisse entendre que la  Grande Pyramide était la    seule existant à l’époque, et c’est le Roi Saurid Ibn Salhouk qui  autorisa la construction de deux autres structures semblables à  proximité. Une des deux était peut-être la pyramide d’albâtre    translucide située à l’ouest de la Grande Pyramide (Golden Armour,  un rapport du professeur Greaves, vers 1897, conservé à la Bibliotheca  Alexandrina) ;  
   
   
supposée avoir été détruite en 590 av. J.-C. (Histoires). Un document rare du  IXe siècle de    l’historien arabe Ibn Abd Hokm nous livre le curieux passage que  voici : « De nombreux chronologistes s’accordent pour affirmer que le constructeur des pyramides, [à l’exclusion de la Grande Pyramide], fut le Roi d’Égypte Saurid Ibn Salhouk,    qui vécut trois cents ans avant un grand déluge.  
   
Il le fit car il avait vu en rêve que la Terre entière serait retournée,  ainsi que ses    habitants, les gens face contre terre, les étoiles qui tomberaient  et s’entrechoqueraient avec un bruit terrible ; et il trembla dans  l’inquiétude.  
   
Se réveillant dans la peur, il convoqua les grands-prêtres de toutes les  provinces d’Égypte, au    nombre de cent-trente, dont le chef était Aclimon, et leur raconta  ce qu’il avait vu. Ils relevèrent la position des étoiles et, faisant  leurs pronostiques, prédirent un déluge.  
   
Le Roi dit : “ Cela va-t-il affecter notre pays ?”  
Ils répondirent : “ Oui et cela le détruira ”.  
   
Mais il restait encore quelques années avant l’échéance et il ordonna qu’entretemps soient    construites deux pyramides avec des caveaux et des entrepôts destinés à toutes sortes de merveilles et trésors.  
   
Sur les murs et plafonds furent gravées des sciences telles que l’astronomie, les mathématiques    et la médecine. » (Ibn Abd Hokm, traduction conservée à la Bibliotheca Alexandrina).  
   
[NdT : Dans Mondes en collision, Immanuel Velikovsky démontre que la Terre a effectivement    basculé sur son orbite sous l’effet du proche passage d’un gros  objet, à savoir Vénus, dont l’orbite était encore très excentrique.  C’est aussi ce que décrit Anton Parks dans Les Chroniques du    Girkù].  
   
Sept chambres dédiées aux sept planètes…  
   
Le récit de Ibn Abd Hokm suscite beaucoup de controverses, parce que les chambres gravées dont    il parle n’ont pas été trouvées dans les pyramides présentes aujourd’hui sur le plateau de Gizeh.  
   
Il existe cependant une description détaillée de l’une des deux pyramides  du Roi Saurid Ibn    Salhouk. Il est indiqué qu’elle comportait « … sept entrées, chacune garnie d’une seule pierre fermée par un verrou avec une telle précision qu’il était impossible de les forcer ; qu’il y avait    sept chambres dédiées aux sept planètes ; et dans chaque chambre une idole en or ayant la main sur la bouche et portant sur le front une  inscription en Sind.  
   
 [NdT : L’auteur indique « langue ancienne ».     S’agirait-il du Sindhi, langue indo-aryenne parlée dans la province  du Sindh au Pakistan ?] ; que lorsqu’on lit l’inscription, l’idole ouvre la bouche et délivre une clé, qui donne accès à divers    appartements. » (Colonel Howard Vyse, Operations    Carried on at the Pyramids of Gizeh in 1837, James Fraser, London, 1840, Vol. II, p.    348).  
   
   
Lorsque les pyramides furent construites, le roi Saurid Ibn Salhouk ordonna que : « les    inscriptions soient disposées de haut en bas en rangs parallèles… [s’agissant] des secrets  de l’astrologie et de l’incarnation… Il les    construisit  
en six mois et les couvrit de soie colorée…  
   
Alors il couvrit la Grande Pyramide avec le tissus rayé du Yémen, et ensuite  
des brocarts… ils suscitèrent tant d’admiration qu’ils furent vénérés… et il y eut des    pèlerinages aux pyramides. » (Dr A. Sprenger, c.1835, citant des passages de  
al-Akbari, The Wandering Stars, XIVe siècle, dans Ancient Egypt du professeur Charles L.C.    Stanton, Bloomsbury, London 1849).  
   
Les prêtres annoncèrent au roi que le grand déluge viendrait de « la constellation du Lion »,     suivi de « feu du ciel » (ibid.).  
   
Il n’est pas facile de reconstituer un puzzle dont il manque les  trois-quarts des pièces, mais    un élément important émerge tout de même de cette ancienne chronique : la Terre devait connaître un grand bouleversement et le roi  souhaitait que    certaines informations soient conservées dans et sur des pyramides de pierre.  
   
Avant sa mort, il fit consigner ces instructions sur une tablette : « J’ai construit les    pyramides pour faire face aux conséquences terribles du déluge qui va bientôt submerger la Terre…  
   
j’ai laissé la date afin que notre peuple puisse se retirer dans les montagnes  
pour échapper aux eaux. » (M. Jomard…) [NdT : Même référence et même remarque que plus    haut].  
   
Le roi cherchait à protéger la Grande Pyramide et les deux nouvelles  constructions de la    destruction dans le cataclysme annoncé et les méthodes  extraordinaires auxquelles il eut recours sont révélées dans les  documents  
de l’Histoire.  
   
Des gardiens de pierre…  
   
Des légendes arabes conservent fidèlement une tradition et offrent des détails concernant la    construction d’étranges gardiens de pierre érigés pour protéger les pyramides.  
   
Ils sont décrits dans d’anciens ouvrages sur les mystères d’un monde disparu, (par exemple dans    le Camoos de Firazabadi), mais sont rarement mentionnés  
dans les écrits des auteurs contemporains.  
   
L’éminent égyptologue français, Gaston Maspero, qui fut directeur général du  service des    antiquités égyptiennes (fi n XIXe - début XXe) écrit : « Le Roi  Saurid Ibn Salhouk, après avoir placé les dépouilles des rois  précédents, les devins et les idoles dans les deux nouvelles    pyramides pour les préserver du déluge, érigea un gardien pour  chaque pyramide. » (Gaston Maspero, Histoire égyptienne)  
   
[NdT : Dans la biographie et les oeuvres de G. Maspero, nous avons trouvé le titre Histoire des    Peuples de l’Orient, qui se rapproche le plus de la référence citée].  
   
Aux dires de chercheurs subséquents, ces « gardiens » étaient d’excellents Cerbères, les chiens    à trois têtes qui, dans la mythologie grecque, gardaient l’entrée de Hadès. (E.A. Wallis Budge, Handbook for Egypt and the Sudan,  
British Museum, 1948, p. 82)  
   
Le professeur Maspero enrichit notre compréhension limitée de ce sujet  passionnant : « Le    gardien de la pyramide orientale était une idole de pierre blanche  et noire assise, les yeux grands ouverts, sur un trône ; à côté se  trouvait une hallebarde. Le malheureux visiteur qui    apercevait la hallebarde entendait aussitôt un bruit énorme qui  provoquait une défaillance cardiaque à l’issue rapidement fatale.  
   
Un esprit se trouvait au service du gardien, sans jamais lui adresser la  parole. Le gardien de    la pyramide occidentale (à l’ouest de la Grande Pyramide ; n’existe  plus depuis le déluge), était une idole pierre rouge dure, tenant en  main une sorte de hallebarde et coiff ée d’un serpent lové    qui se précipitait sur quiconque  approchait et le tuait par strangulation.  
   
Il y avait aussi un esprit, laid et difforme, attitré à ce gardien. Une  petite idole en pierre    pellucide gardait la troisième pyramide, fascinait ceux qui la  contemplaient et les attirait au point qu’ils mouraient ou perdaient la  raison.  
Cette statue avait, comme les autres, un esprit fidèle à son service.» (Gaston Maspero, La    Destruction des Hommes, c.1898, Vol.1, p. 2).  
   
Un égyptologue du XIVe siècle nommé Soyuti, et dont on sait peu de choses, nota que le Roi    Saurid Ibn Salhouk avait également placé, devant le Sphinx, une «  mascotte gardienne » qui « empêchait la progression des sables du désert  
» (manuscrits 660 et 780 du Catalogue de Uri, conservé à la Bodleian Library).  
   
Soyuti écrivit aussi que le roi veilla à ce que « les trésors cachés dans ses pyramides soient    gardés par des esprits que l’on voyait fréquemment circuler autour des édifices à l’aube et à midi ».  
   
Trace d’eau sur la Grande Pyramide…  
   
Malheureusement pour nous, l’historien, Al-Masudi ne fournit pas les dates de la vie du Roi    Saurid Ibn Salbouk, il se borne à dire qu’il vécut 330 ans avant un grand déluge.  
   
Cette légende arabe est l’une des nombreuses qui font état d’un déluge annoncé et des efforts    entrepris par des dirigeants pour tenter de sauvegarder de la destruction des informations importantes.  
   
Les inscriptions de surface sur la Grande Pyramide étaient la source originelle d’une    prodigieuse connaissance du ciel et probablement la raison de la  construction de l’édifice.  
   
Il importe de noter que les annales des anciennes écoles de mystères  précisent que de nombreuses    constructions égyptiennes étaient destinées « entre autres à servir  de salles permanentes d’initiation, mais aussi de trésor et de châsse  abritant quelque grand talisman de pouvoir en prévision    de l’engloutissement dont les initiés connaissaient l’avènement ». (W ; Scott-Elliot, The Story of Atlantis, préface de la première édition par A.P. Sinnett, 1896, p.38).  
   
On peut en conclure que la mention de « coquillages… calcifiés en hauteur » sur la Grande    Pyramide, ainsi que l’écrivit Hérodote il y a 2 400 ans, montre bien que ce  
monument fut construit avant le déluge ; un point de vue soutenu par les traditions arabes que    les égyptologues classiques persistent le plus souvent à dénigrer ou à ignorer.  
   
Un autre fait est généralement passé sous silence par les égyptologues :  aux deux tiers de sa    hauteur et sur ses quatre faces, la Grande Pyramide porte la marque  laissée par l’eau, indice indubitable qu’elle fut partiellement  submergée pendant une période de sa longue existence.  
   
Il est intéressant de noter que la pyramide voisine, celle de Khephren, ne porte pas de trace de    ce genre ; d’où l’on peut conclure que sa construction est postérieure à l’événement qui a marqué la Grande Pyramide.  
   
Curieusement, les pierres de parement blanches qui subsistent sur la partie  supérieure de la    pyramide de Khephren sont irrégulières, minces et mal ajustées,  témoins d’une construction de moindre qualité comparativement à la  grande voisine. En outre, elles ne sont pas gravées de « sphères    célestes » ou autres graphismes comme le furent celles de la Grande  Pyramide.  
   
   
La suite dans Nexus numéro 60. Traduction : André Dufour  
   
Source : NEXUS n°59  
   
A chacun de juger comme toujours…  
   
En conclusion, une question déjà posée sur ce blog, mais la réponse étant toujours aussi ‘’     surprenante ‘’, je ne peux m’empecher de vous la reposer à nouveau :  
   
Combien y a t-il de pyramides en Egypte ?   8      -  18 -  68 -  128 - 758…  
   
L’Egypte compte 128 pyramides, non vous ne revez pas ! Source : Ca M’interesse  Janvier 2009. Sur    le net on nous donne des chiffres plutot nettement inférieur comme : 87 ou 70. Vous le savez maintenant il y a 128 pyramides en Egypte…  
   
   
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28/07/2014
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