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L’horreur au Canada : abus sexuels d’enfants sous couvert de la DPJ

L’horreur au Canada : abus sexuels d’enfants sous couvert de la DPJ


Des enfants maltraités par la DPJ, jusqu'à les rendre fous

De nombreux témoignages rendent compte d’une situation catastrophique au Québec vis à vis de la DPJ (La DPJ est la Direction de la Protection de la Jeunesse au Canada, l’équivalent en France de l’ASE – Aide Sociale à l’Enfance – Services sociaux – ex. DDASS)
Le témoignage suivant va bien au-delà de la maltraitance institutionnelle consistant à organiser la rupture du lien enfant-parent malgré les souffrances qu’elle induit sur ce dernier. Ce qui est en soit, déjà un scandale. Mais ici, on bascule plus loin dans l’horreur…
Stéphane Clavette
Stéphane ClavetteStéphane Clavette, intervenant de la DPJ parmi d’autres, ayant fait l’objet d’une plainte, tente de justifier les marques sur l’anus et les fesses d’un enfant pour expliquer qu’aucune enquête ne soit effectuée. Tandis qu’en outre l’enfant développe des maladies vénériennes, il est incontinent, reclus sur lui-même, il ne s’exprime plus.
Si le moindre prétexte ou dénonciation calomnieuse suffit à la DPJ pour arracher des enfants à leurs parents, de manière quasi-immédiate, il n’en va plus de même dès lors que les sévices s’effectuent sous couvert de la DPJ.
Les nombreux éléments qui justifieraient de mener une enquête ne suffisent plus pour faire cesser des abus sur les enfants. La DPJ convient cette fois, que dire que "l’enfant s’amuse(!) avec son anus" est une réponse tout a fait satisfaisante pour ne pas tenir compte des autres éléments. Aucune enquête criminelle sérieuse n’est effectuée, ni l’enfant éloigné. Pourrait-on imaginer qu’une pareille justification soit suffisante s’il s’était agi d’un simple parent ?
Chantal Carmichael, une autre intervenante (promue depuis) aurait participée à empêcher le rétablissement du lien de l’enfant avec sa mère, aujourd’hui toujours rompu. 


"Depuis que la DPJ a débarqué dans notre vie, tout a basculé"
Aucun enfant du Québec ne peut être complétement sans risque vis à vis de la DPJ. Et compte tenu de la situation, il faudra aller bien au-delà de simples "pétitions" ou "plaintes à l’ONU" (déjà formées), pour espérer que ca change.
Il est grand temps que les Quebecois s’organisent efficacement et s’intéressent de trés près aux activités de leurs services sociaux (DPJ) afin d’identifier le réseau qui permet l’arrachement et les sévices sur les petits québécois.
Le changement ne viendra pas tout seul. Les pervers auront leur tribut, mais ce sont surtout aux indifférents et aux ignorants de quitter rapidement leur léthargie pour espérer faire la lumière sur les causes de l’horreur, dans laquelle n’importe quel enfant (y compris le leur) peut se retrouver plongé, pour n’importe quel prétexte.

En Angleterre,
Des enfants subissent également une maltraitance institutionnelle (Cf. reportage de Florence Bellone pour la RTBF :
"Enlèvements d'enfants par les services sociaux britanniques") mais dernièrement le scandale a fini par éclater (Cf. Affaire Waterhouse [Lost in Care] / Jimmy Savile) relevant l’ampleur insoupçonnée des sévices que les très nombreux enfants subissaient…
 
 



« 50% des enfants enlevés à leur parent, sans nécessité» (…).
« Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales et de la maltraitance institutionnelle… qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas proposer des solutions alternatives adaptées (assistance, suivi, thérapie, etc…).
«Et toujours cette même constatation : une confusion entre le "principe de précaution" et "le principe de protection"…»


12/07/2019
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