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Effets secondaires des vaccins?

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Effets secondaires des vaccins?  

Cinq familles devant la justice  

   

  

Les parents des 5 familles qui incriminent les vaccins dans le handicap de leur enfant. Les enfants, de g. à d.: Naomie, Lolita, Lucia, et    Terry. Nello, hospitalisé ce jour-là, n'apparaît pas sur la photo. © DR  

   

Le 07 février 2014  

Mise à jour le 07 février 2014  

Vanessa Boy-Landry  

   

Ensemble, cinq familles demandent des comptes aux laboratoires GSK, Pfizer, et Sanofi. Elles attendent de la justice la    reconnaissance des effets secondaires des vaccins et une indemnisation pour leurs enfants aujourd’hui handicapés. Me Hartemann, leur avocat, a plaidé leurs dossiers, vendredi dernier, devant le    Tribunal de Bobigny.  

   

A l’issue d’une heure trente de plaidoirie, Me Hartemann se dit « plutôt agréablement surpris » par le verdict    de l’audience : les laboratoires ne s’opposent pas au lancement d’expertises médicales pour quatre des cinq dossiers. Un premier feu vert qui, s’il est confirmé, ouvrira la voie à des    examens complémentaires et à la recherche de maladies rares chez ces enfants qui, après avoir reçu des injections de vaccins ont présenté des troubles neurologiques graves. « Des    séquelles comparables à des traumatismes crâniens ou à des épilepsies énormes qui auraient endommagé le cerveau », précise l’avocat. « Il s’agit d’enfants qui ne    présentaient aucun problème de santé », explique l’avocat qui insiste sur la similitude des histoires, «et qui, suite à la première injection ou au rappel, ont d’un seul    coup arrêté d’évoluer et présenté des dommages très importants ».  

   

Sandrine: «Qu'est-ce qui a pu enlever à Nello la partie du cerveau qui commande    tout ce qui est moteur?»  

   

Nello (3 ans), Naomie (4 ans et demi), Lucia (3 ans), Lolita (18 mois), Terry (15 ans)… des enfants qui se développaient tout à    fait normalement et dont l’état s’est progressivement dégradé dans les jours ou semaines qui ont suivi les vaccinations. Très forte fièvre, pleurs impossibles à calmer, perte du tonus musculaire,    raidissement du corps… autant de signes alarmants observés par leurs parents. Aujourd’hui, ces enfants ne marchent pas ou plus, ne parlent pas, ne tiennent pas leur tête, ont des difficultés pour    manger, boire, saisir les objets… Les divers examens et prélèvements réalisés en neuropédiatrie n’ont pas permis d’identifier la cause de leur affection. Nello a fait une très forte fièvre suite    à un rappel de Priorix (vaccin du laboratoire GSK contre la rougeole, les oreillons, la rubéole), à 19 mois. [Photo: Nello et son papa].  

   

  

Une semaine après, ses parents remarquent qu’il fait du « quatre pattes » les pouces repliés à l’intérieur des mains. Huit jours plus tard, il prend appui sur les poings, et chute comme « Bambi sur la    glace ». Un mois plus tard, Nello part aux urgences : il pousse des hurlements de douleur, son corps est en boule, ses muscles rigidifiés. Une IRM de son cerveau a mis en évidence    une atrophie de la substance blanche (myéline). La batterie d’examens qu’il a subis ont écarté les causes génétiques, infectieuses et traumatologiques.  

   

«Qu’est-ce qui a pu lui enlever la partie du cerveau qui commande tout ce qui est    moteur? », demande Sandrine, sa mère.  

   

« Naomie, née prématurée, allait très bien jusqu’à ce qu’elle reçoive, à 14 mois, une première injection d’Infanrix Hexa    (vaccin du laboratoire GSK contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, et l’haemophilus influenzae type B) et de Prevenar 13 (vaccin du laboratoire Pfizer contre les    infections à pneumocoque)», raconte Sabrina, sa mère. Après une semaine de pleurs incessants, la petite part aux urgences : strabisme et perte du tonus musculaire (elle ne tient plus    assise). Les médecins ne posent pas de diagnostic.  

   

Lucia a failli mourir d'une encéphalite qui l'a laissée aveugle et tétraplégique  

   

Deux mois après que Lucia, à 18 mois, ait reçu les rappels d’Infanrix Hexa et de Priorix, sa mère la retrouve inconsciente dans    son lit, « comme une poupée de chiffon ». A l’hôpital, les médecins constatent une inflammation au niveau du cerveau. Trois jours après,    elle est opérée en urgence d’une encéphalite qui a failli lui coûter la vie et dont elle s’est réveillée, après un mois de coma, aveugle et tétraplégique. Ni maladie inflammatoire ni virus n’ont    été mis en évidence dans cette atteinte neurologique.  

   

Pas plus de diagnostic pour la petite Lolita, 18 mois, chez qui les premiers troubles sont apparus quinze jours après la première    injection d’Infanrix Hexa et de Prevenar 13, à 2 mois, lorsqu’elle fait une sorte de malaise avant de revenir à elle: « Le corps raidi, elle    râlait, bavait, et ne réagissait plus à la lumière », raconte sa mère. Suite à la deuxième injection, à 3 mois, la petite part aux urgences ophtalmologiques : «Ma fille était comme une larve, les mains fermées, le pouce à l’intérieur, et ne tenait plus sa tête.» Pour Lolita, à ce jour, les recherches génétiques n’ont    rien donné.  

    

Atteint d’une encéphalite « non étiquetée » à 12 mois, Terry, 15 ans, est aujourd’hui handicapé à 80%. Chez lui, les    premiers signes sont apparus après la première injection, à 2 mois et demi, de Pentacoq, (vaccin Sanofi retiré du marché en 2005, contre la coqueluche, l’haemophilus de type b, la diphtérie, le    tétanos et la poliomyélite): forte fièvre, cris persistants, bronchite chronique et, trois semaines après, paralysie du côté  gauche (de la hanche au    bras).      

   

Tous les parents témoignent de l’impossibilité d’envisager, auprès des médecins, la responsabilité des vaccins. « Professeurs, médecins et neuropédiatres, tous ont refusé cette hypothèse. C’est un sujet totalement tabou », raconte Lionel, le papa de Nello.     «Pour eux, le lien avec les vaccins est impossible car aucune étude scientifique ne le montre», ajoute Sabrina, la mère de Lucia, qui évoque le terrain génétique :     « C’est peut-être un risque rare, sur une certaine population d’enfants. »  

   

Le Dr Claude Béraud met en garde sur les conséquences des polémiques sur les vaccins  

   

Dans un point nuancé sur    les polémiques autour de certains vaccins, le Dr Claude Béraud rappelle que les risques de maladies neurologiques n’ont pas été démontrés par des études    cliniques, biologiques, et épidémiologiques. Et précise, pour l’hépatite B et le risque de sclérose en plaques que « si les études ne confirment pas le lien, elles ne permettent    pas davantage de l’exclure ». Pour le médecin, les conséquences de ces polémiques sont graves car « elles induisent, dans  une partie de la population le rejet de l’ensemble    des vaccins, qui constituent avec les antibiotiques, les deux classes de médicaments les plus utiles à la santé des hommes ».  

   

Aujourd’hui, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont obligatoires. Mais il n’est plus possible    pour un enfant de moins de 6 ans de recevoir le DTPolio, qui a disparu du marché en 2008. Les parents, amers, dénoncent un manque d’information de la part des médecins. Pour la    plupart, ils ignoraient le mélange des vaccins obligatoires et recommandés dans le geste médical. « Cet état de fait soulève, selon un expert du    médicament, la question des interactions vaccinales, qui est un non-dit. Et cela pose un problème juridique. » Dans le schéma existant, l’Etat, au titre de la solidarité nationale,    répare un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire à travers l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux). « Même si les juges reconnaissent que c’est bien le vaccin qui a causé l’encéphalopathie, le fait qu’il y ait des valences non obligatoires peut empêcher    l’indemnisation de la famille. » Comment prouver que le dommage a été causé par le vaccin obligatoire ?  

   

Me Hartemann, qui sait que les labos vont se battre sur la causalité du vaccin dans le dommage, espère qu’un arrêt de    jurisprudence va peser dans la balance. En 2012, après 17 années de procédure, le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité du vaccin Pentacoq (5 virus)    dans l’apparition d’un handicap à 95% chez un bébé de 5 mois.  Pour l’expert du médicament, « c’est un revirement favorable probablement dû à la    conscience des juges. Ils ont eu pour la première fois le raisonnement inverse : parce que le Pentacoq mélange les vaccins obligatoires et recommandés, ils ont considéré, par assimilation,    que le dommage avait tout aussi bien pu être causé par un vaccin obligatoire ».  

   

L'avocat compte aussi sur le faisceau d’éléments (temporalité, enfants en bonne santé avant la vaccination…) pour que les familles    obtiennent réparation. Pour le dossier le plus ancien, celui de Terry, les laboratoires invoquent la prescription. A moins que ne soit prouvée la responsabilité de Sanofi pour produit défectueux.    Prochain rendez-vous le 19 février : les familles sauront si les expertises médicales sont accordées.  

   

Source : Paris Match  

    

Initiative Citoyenne félicite et apporte tous ses encouragements aux courageux parents d’enfants dont la vie      a basculé après une vaccination et qui ont choisi de ne pas subir pareille injustice en silence et de se battre par amour pour eux. Il est évident      au vu des statistiques mondiales d’effets secondaires de vaccins que ceux-ci sont DRAMATIQUEMENT sous-estimés et qu’ils grèvent donc lourdement la qualité de vie de la société et des individus,      que ceux-ci en soient conscients ou non. Le tabou que ces parents pointent dans le chef du corps médical est une réalité que nous dénonçons déjà depuis des années. Les effets      secondaires graves de vaccins qui sont officiellement recensés ne correspondent qu’à 1 à 10% tout au plus des effets graves réellement attribuables aux vaccins selon des publications      scientifiques convergentes (JAMA 1993, Revue du Praticien novembre 2011). Pour comprendre cette tragédie      évitable, il faut oser pointer les vrais problèmes qui sont hélas communs à tous les vaccins et qui concernent la méthodologie précise avec laquelle on évalue leur prétendue sécurité. Comme      l’ont notamment signalé plusieurs auteurs dans la Revue du Praticien -qui est une revue médicale officielle- les essais cliniques pré-commercialisation des vaccins portent sur un nombre      insuffisant de sujets pour évaluer les risques statistiquement plus rares mais très graves. En outre, ils ne portent que sur quelques jours ou semaines et jamais au-delà or on sait de nos jours      que les mécanismes du système immunitaire peuvent prendre des mois à « dérailler ». Comment éthiquement accepter aussi que les vaccinés dans les essais cliniques ne soient jamais      comparés à un groupe d’enfants non vaccinés (donc un vrai groupe neutre/groupe placebo), de façon à pouvoir réellement objectiver une sécurité vaccinale qu’on nous prétend pourtant si mirifique      que l’ONE ose sans rire encore affirmer que ces cas ne concernent qu’ « un enfant sur 1 million » ?!! C’est en fait parce      que cette méthodologie est biaisée à la base et que la comparaison est rendue volontairement impossible (les enfants vaccinés étant comparés à d’autres enfants ayant reçu d’autres      vaccins eux aussi pourvoyeurs de lourds effets secondaires) que l’ONE se croit autorisé à faire croire indéfiniment aux gens que la sécurité des vaccins est bonne.    

     

Selon Initiative Citoyenne, il est indispensable que les médecins qui vaccinent      soient également poursuivis et ciblés au même titre que les autorités qui ont conseillé aveuglément des vaccins dont elles ignorent la balance bénéfices/risques      globale. Conseiller aveuglément ou même imposer des vaccinations mal évaluées constitue au regard du droit non seulement un délit mais aussi un      crime aux conséquences incalculables. Nous pouvons constater dans les faits que la loi sur les droits des patients n’est jamais respectée par les médecins en matière de vaccins et comme cela a      déjà été démontré, les autorités officielles comme celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont déjà rendues coupables de publicité vaccinale trompeuse (Jury d’Ethique Publicitaire, décision du 9 novembre 2011). Si nous ajoutons à cette insouciance, cette      ignorance et cette malhonnêteté les conflits d’intérêts à tous les étages, il n’est alors guère difficile de comprendre que SEUL le recours en      justice systématique de tous ceux qui s’estiment lésés par les vaccins permettra réellement de rompre la chape de plomb qui pèse sur ce qui est incontestablement le plus grand scandale que la      médecine ait jamais connu, que ce soit en termes de durée ou de nombre de victimes. Mais pendant ce temps bien sûr, certaines « bonnes âmes » appartenant à des médias comme Marianne estiment encore dans leurs pages qu’il est impensable de      questionner des vaccins autres que ceux contre le H1N1 ou le HPV.    

     

Le temps presse à nos yeux car la santé générale de la population par ailleurs de      plus en plus vaccinée ne cesse de se détériorer en Belgique comme dans le monde:    

     

- la consommation médicamenteuse explose    

- les taux de cancers ne cessent d’augmenter    

- les familles d’autistes qui sont plus de 100 000 en      Belgique se font entendre    

- un nouveau plan « Maladies rares » vient d’être lancé      par Mme Onkelinx mais ce plan qui concerne 700 000 patients en Belgique (près d’1 personne sur 10 !!!!!!!!!!!) ne fait qu’accompagner les malades dans le système médical classique sans      s’intéresser le moins du monde aux CAUSES possibles de cette explosion de « maladies rares ».    

     

« Comme par hasard », les rares études et enquêtes menées en comparant des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin ont toutes montré que      ces derniers jouissaient d’une bien meilleure santé avec moins de maladies neurologiques, de maladies allergiques, auto-immunes etc…



08/02/2014
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