John Podesta, ancien conseiller de Bill Clinton et de Barack Obama, est un militant de longue date en faveur de la déclassification des dossiers OVNI.
C’est un tweet passé relativement inaperçu et qui pourtant en dit long: « Finally, my biggest failure of 2014: Once again not securing the #disclosure of the UFO files. »
«En définitive, mon plus grand échec en 2014: une fois encore ne pas avoir réussi à obtenir la divulgation des dossiers OVNI».
Ce commentaire n’émane pas d’un quelconque complotiste mais d’un très proche conseiller de Barack Obama, ancien directeur de cabinet de Bill Clinton, John Podesta, 66 ans. Ce poids lourd du parti démocrate, qui a quitté ses fonctions à la Maison Blanche le 13 février dernier, n’a jamais caché son intérêt pour les OVNIs et sa volonté que toute la lumière soit faite par les plus hautes autorités sur la question.
En 2007, lors d’une conférence au National Presse Club, il a déclaré: «Je pense qu’il est temps d’ouvrir les dossiers concernant les objets volants non identifiés. Il est temps que nous sachions si la vérité est vraiment ailleurs. Nous devons le faire car le peuple américain est capable d’accepter la vérité et nous devons le faire parce que la loi nous y oblige».
John Podesta a aussi signé la préface de l’un des meilleurs livres consacrés aux OVNIs, ces dernières années: «OVNIS. Des généraux, des pilotes et des officiels parlent» de la journaliste d'investigation, Leslie Kean. Ce best-seller a été traduit en français en 2014 pour les éditions Dervy., quatre après sa parution aux Etats-Unis… Parmi les nombreux témoignages officiels que l’on peut y lire, citons celui du français, Yves Sillard, ancien Directeur général du Centre national d’études spatiales français (CNES):
«La réalité objective des phénomènes aériens non identifiés, mieux connus dans le grand public sous le sigle OVNIs, ne fait plus de doute. Le climat de soupçon et de désinformation, pour ne pas dire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte de témoignages, illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel.»
Après avoir conseillé Bill Clinton puis Barack Obama, nul doute que John Podesta poursuivra son discret lobbying auprès de sa grande amie, Hillary Clinton, probable candidate démocrate à la présidence des Etats-Unis en 2016...