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Emmanuel Macron l’ennemi c’est l’homme Français blanc !

Emmanuel Macron l’a confirmé pour lui l’ennemi c’est l’homme Français blanc !

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Emmanuel Macron l’a confirmé pour lui l’ennemi c’est l’homme Français blanc !

De Christian Balboa, je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr
. Politique
24 mai 2018
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Christian Balboa
je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr

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Il est des choses qu’un président
ne devrait jamais dire !

Il est des choses qu’un président
ne devrait jamais dire !

Normal 1 er avait regroupé dans un livre un condensé de tout ce qu’il ne fallait pas écrire !

Emmanuel Macron, lui, a un problème à l’oral !

Ce n’est pas la première fois qu’il lâche des paroles malheureuses mais cette fois-ci, il s’est laissé aller à employer l’expression « mâle blanc » largement utilisée dans les milieux communautaristes !

Sophie Coignard, dans les colonnes du Point, nous rappelle qu’Emmanuel Macron n’en est pas à son premier dérapage avec l’expression « mâle blanc » :

« Mâle blanc » : un président devrait-il dire ça ?

En employant une expression à connotation communautariste, le président suscite les critiques de toutes parts. Pourtant, il n’en est pas à sa première incartade …

Ce mardi 22 mai, il devrait présenter un plan « banlieues » dans le sillage du rapport rédigé par Jean-Louis Borloo, mais annonce publiquement ne rien en faire : « Ca n’aurait aucun sens que deux mâles blancs ne vivant pas dans ces quartiers s’échangent l’un un rapport, l’autre disant : On m’a remis un plan… Ce n’est pas vrai. Ça ne marche plus comme ça. » Mâle blanc : voilà le président qui semble glisser sur la pente savonneuse du communautarisme sans corde de rappel. Car l’expression qu’il utilise emprunte au vocabulaire choisi par les chantres du séparatisme ethnique et autres organisateurs d’assemblées non mixtes ou interdites aux Blancs. Elle suggère aussi que seuls les habitants des cités seraient habilités à parler des banlieues et capables d’en résoudre les difficultés. Gênant !

D’ailleurs, les critiques ne tardent pas à pleuvoir. « Reprendre la rhétorique des associations communautaristes n’augure rien de bon. Faut-il être racisé·e pour parler des banlieues ? Très dangereuse vision communautariste du président Macron », s’indigne la porte-parole LR Lydia Guirous. François Pupponi, député socialiste et ancien maire de Sarcelles, fustige mercredi matin, sur France Inter, la « faute historique » du chef de l’État : « Dans les réseaux issus de la diversité, certains pensent qu’à partir du moment où ils sont issus des quartiers ils ont la légitimité et nous les élus nous ne l’avons plus. » Stéphane Le Foll dénonce, quant à lui, sur LCP « une logique très anglo-saxonne » dans laquelle « on s’appuie sur les communautés pour pouvoir régler les problèmes des banlieues ».

Et Marine Le Pen présente son propre « plan banlieues » en précisant qu’il a été « élaboré avec le concours de spécialistes, dont, c’est vrai, quelques mâles blancs, auxquels Emmanuel Macron semble, de manière obsessionnelle, dénier le droit de réfléchir à ces questions ».

Expression fétiche

Tout le monde semble tomber de la Lune alors que, de façon surprenante, l’expression revient souvent dans la bouche d’Emmanuel Macron. Interviewé par une ancienne condisciple de Sciences Po, Anne-Sophie Beauvais, en 2010 pour Émile , le magazine des anciens de cette grande école, il déclare : « Aujourd’hui, je ne suis pas prêt à faire les concessions qu’imposent les partis, c’est-à-dire à m’excuser d’être un jeune mâle blanc diplômé, à m’excuser d’avoir passé des concours de la République qui sont ouverts à tout le monde. »

En février 2017, il répond à une question du magazine Causette sur le manque de femmes dans son équipe de campagne : « La société politique, elle est mâle. Ce sont des mâles blancs de plus de 50 ans. » En mars dernier encore, il regrette au Collège de France, dans un discours sur l’intelligence artificielle, que les acteurs de ce secteur « soient par trop ce qu(‘il est) devant (eux), c’est-à-dire des mâles blancs quadragénaires ».

Tantôt quadragénaire, tantôt quinquagénaire, le « mâle blanc » est donc un personnage récurrent chez le chef de l’État. Sans doute y voit-il avant tout une marque de dérision vis-à-vis de lui-même.

Mais les mots ont un pouvoir tel qu’un président ne devrait pas dire ça …

Sophie Coignard pour le Point.

Voici la vidéo du « mâle blanc » :

 

 

 

Accusés « mâles blancs », couchez-vous !

United colors of Macron

 

Emmanuel Macron n’en peut plus d’être un « mâle blanc ». Le président a de nouveau employé l’expression dans son discours sur les banlieues du 22 mai. A l’entendre, les concernés devraient tous l’imiter. 


Je suis, avant toute chose, la somme de deux fautes.

La première est d’être la cause de toutes les dominations sociétales et de toutes les haines raciales. Je porte la responsabilité de ma « race » ou de la « représentation sociale » de ma « race » dans la traite négrière, la colonisation, et les discriminations actuelles que subissent certains Français d’origine étrangère. Mon avis sur ces questions importe peu puisque je suis ontologiquement coupable, forcément ontologiquement coupable.

La seconde est d’être un criminel en puissance, un prédateur, un violeur ou un agresseur sexuel qui s’ignore, et même pire, un patriarche. Je n’ai commis aucun crime et ne suis sujet à aucune pathologie psychiatrique mais cela n’a aucune espèce d’importance, c’est ma nature qui est invoquée de nouveau pour justifier la sentence.

Je suis blanc donc je nuis

Je dois donc faire acte de contrition. Ici l’assignation à résidence est devenue une assignation à pénitence. Jamais on ne s’aventurera à me définir par rapport à la somme de mes actes. Peine perdue. Je ne suis qu’une identité rivée à sa communauté comme une moule à son rocher.

Qui suis-je ? On donne la réponse : mon tout est un « mâle blanc ».

Monsieur le président Emmanuel Macron dont la victoire fut une divine surprise pour le désordre établi a prononcé, lors de son discours du 22 mai sur les banlieues, la phrase suivante qui résumait son échange avec Jean-Louis Borloo, l’homme qui a électrifié l’Afrique (enfin presque) : « Cela n’aurait aucun sens que deux mâles blancs ne vivant pas dans ces quartiers s’échangent un rapport ».

A lire aussi: Plan Borloo pour les banlieues: le retour des années 1980!

Non content d’animaliser monsieur Borloo et lui-même (plus d’hommes ni de femmes mais des mâles et femelles, la déshumanisation est complète), le président de la République incrimine au passage la couleur de peau, ou la « race » pour ceux que le mot passionne, pour mieux décrédibiliser un rapport qu’il a, ne l’oublions pas, commandé. La grande question qui surgit à l’écoute de cette phrase, qui opte pour la politique du P.I.R., est bien celle du rapport entre la couleur de peau, le genre, et « accessoirement » l’aptitude de l’exécutif à rendre compte convenablement d’un rapport public.

On est curieux de savoir comment M. Macron en est arrivé à un tel lien entre ces éléments mais on dispose déjà de quelques éléments de réponse.

Au bon conseil de Belattar

L’évocation de l’expression « mâle blanc » n’est absolument pas neutre, surtout dans la bouche d’un homme qui pèse au trébuchet la moindre des syllabes qu’il prononce. On la retrouve le plus souvent chez les indigénistes et certains groupuscules néo-féministes, elle participe d’un discours militant que l’on a pu découvrir récemment dans certaines facs bloquées. Des réunions réservées aux « racisés » ou excluant « les cisgenres », au nom de la libération d’une parole militante opprimée par ces « dominants », ont ainsi eu lieu à Tolbiac ou à Nanterre. On pourrait également mentionner la dernière conférence prévue, qui bien heureusement n’a jamais eu lieu, sur « l’impérialisme gay » (entendre sur l’oppression menée par la culture gay blanche sur la noire). Le « mâle blanc » c’est le dominant donc l’oppresseur, dans un discours qui nous est rabâché à longueur de journée sur les réseaux sociaux et beaucoup de médias publics et privés.

A lire aussi: Trop de « mâles blancs quadragénaires »: Emmanuel Macron ou le racialisme d’Etat

M. Macron a décidé de joindre sa petite musique de chambre à la fanfare des idéologues racialistes et autres essentialistes. Il y a un an et demi (une éternité en Macronie), le chef de l’Etat trouvait quelques attraits au mâle blanc à condition qu’il communie dans la « start-up nation » et s’habille en costards tout en rêvant de « devenir milliardaires ». Mais maintenant, on apprend grâce à l’ancien porte-serviette de Paul Ricœur que ce moindre mâle doit s’effacer au plus vite pour ne pas indisposer son nouveau conseiller politique es banlieues, « l’humoriste », Yassine Belattar. Une nouvelle thématique à ajouter aux réunions essentialistes ? « Plan banlieue réservé aux racisés ».

 
 

Trop de « mâles blancs quadragénaires »: Emmanuel Macron ou le racialisme d’Etat

Quand le président de la République assume des idées indigénistes

 
 
 

Lors de son discours en faveur de l’intelligence artificielle, le 29 mars, au Collège de France, Emmanuel Macron a regretté l’omniprésence de « mâles blancs quadragénaires » comme lui dans ce domaine des sciences. Un « dérapage » contrôlé symptomatique de sa vision de la France, et donc du monde.  


« Il ne faut pas que les acteurs de l’IA soient tous des mâles blancs quadragénaires formés dans les universités européennes ou américaines. #AIforhumanity »

 

Ce tweet du 29 mars pourrait presque passer inaperçu tant nous nous sommes habitués à cette rhétorique sur les réseaux sociaux. A cela près que son auteur n’est autre… qu’Emmanuel Macron. Il devient dès lors particulièrement révélateur des évolutions qui attendent et menacent pour partie la France telle que nous la connaissons, avec son histoire et ses spécificités. Quels enseignements pouvons-nous tirer de ces 153 caractères?

De la novlangue mondiale…

Certains auront sans doute relevé en premier lieu ce hashtag dans la langue de Shakespeare, dont notre président LinkedIn fait grand usage. Cette novlangue, malgré son caractère peu solennel, peut à certains égards être portée à son crédit : l’économie, surtout depuis qu’elle est financiarisée, repose sur une certaine dose d’irrationalité ; elle est sensible aux notions de confiance et de communication. Dans ce domaine, force est de constater que nous disposons à l’international d’un VRP optimiste et énergique, qui parle la langue du business et aspire à changer l’image de la France pour le bien de notre économie nationale. Mais en se désolant de la prééminence des universités occidentales plutôt que de s’en féliciter, le président se glisse sans vergogne dans le costume d’un président global, au-delà de nos intérêts nationaux. Leader of the Free World comme disent les Américains, voilà un rôle qui siérait à Emmanuel Macron, parfait exemple de l’élite mondialisée exempte de sentiment national.

…au racialisme assumé

Ceci explique peut-être cela, il en a profité pour jeter l’anathème contre les « mâles blancs quadragénaires ». Avec quelle rapidité et quelle force l’opprobre aurait-il, à raison, couvert quiconque aurait regretté « une trop forte proportion de minorités visibles dans certains sports », « l’omniprésence de noirs et d’arabes dans les meilleures ventes de disques » ou la « féminisation massive de la magistrature » ? Mais non, nul orage n’a grondé à l’horizon. Notre président précoce a tranquillement stigmatisé une catégorie jugée majoritaire de chercheurs déjà en place plutôt que de les soutenir, malgré le tarissement des budgets qui grève leurs recherches et tandis que la France n’est pas dans le « top 5 » mondial de l’intelligence artificielle, selon l’aveu même du mathématicien de renom et député de la majorité, Cédric Villani. Le président aurait pourtant pu formuler cette phrase différemment et appeler de ses vœux « une plus grande diversité ».

On imagine volontiers le président entouré de bataillons de conseillers en communication et de spin doctors ; toute sortie de route incontrôlée est donc à exclure et il ne faut voir ici que l’illustration des idées qui l’animent et une des applications concrètes du principe théorique que je nommerais « gulf stream politique ». L’observation du monde anglo-saxon, États-Unis en tête, nous indique ce qui attend l’Europe continentale dans les dix ou vingt années à venir dans la plupart des domaines, notamment les valeurs culturelles et les combats politiques. Alors que ce bref sursis nous permettrait de renforcer notre propre vision, tout autant universaliste, le plus souvent nous ne faisons que retarder l’échéance. Macron, chantre de la « disruption » va plus loin, nous propulsant à toute vapeur dans le champ anglo-saxon des valeurs communautaristes, se plaçant de plain-pied dans un discours en vogue, teinté de racisme, de misandrie et d’âgisme, dans le sillage du Premier ministre canadien « feel-good » Justin Trudeau.

Une République vendue à la pièce

Emmanuel Macron croit sans doute donner des gages à ces mouvements de lutte intersectionnels qui font tant fureur dans les pays anglo-saxons et qui se multiplient chez nous : ces néoféministes (Lallab), indigénistes (PIR), syndicalistes (SUD-Éducation) qui prennent le contrepied des féministes universalistes telles qu’Élisabeth Badinter et interdisent leurs ateliers « non-mixtes » de « libération de la parole » aux hommes, aux non-racisés (c’est-à-dire aux blancs) et aux cisgenres. Ce sont ces apologistes du « vivrensemble » à tout crin qui souhaitent le retournement des rapports de force plutôt que l’égalité. Ce sont les mêmes qui promeuvent le port du voile islamique au nom de la liberté des femmes, au mépris de la lutte actuelle des femmes iraniennes. Ce sont les mêmes qui justifient l’antisémitisme au nom de l’antisionisme.

A lire aussi: Enquête: des associations antirépublicaines subventionnées par l’Etat

L’intersectionalité, concept créé aux États-Unis il y a moins de trente ans, dont Macron se revendique désormais consciemment ou non, ne présente-t-il pas l’avantage de légitimer un électoralisme paresseux et efficace, celui d’une « vente à la découpe » moins laborieuse que de réunir les Français autour de valeurs partagées et d’un destin commun ? Le passé de banquier d’affaires du président joue sans doute un rôle dans la segmentation de la population en marchés plus ou moins porteurs et dans son positionnement supranational. Les concessions au profit des communautaristes, ces nouveaux identitaires, et parfois même des islamistes, qui sont pourtant nos ennemis les plus dangereux actuellement, sont particulièrement emblématiques du renoncement et de l’hypocrisie d’une présidence attrape-tout.

Emmanuel « Rokhaya » Macron

Parmi les exemples les plus récents, on peut trouver l’invitation faite à Sherin Khankan, femme imam danoise aucunement représentative de sa religion, à s’asseoir dans le fauteuil du président de la République sous l’objectif d’un appareil photo, donnant lieu à une flagrante démonstration de prosélytisme. Khankan a déclara : « Il faut un président bien sage pour défendre le féminisme islamique et considérer la religion comme une partie de la solution et non du problème ». Il y a quelques mois, entre deux attentats islamistes, Emmanuel Macron épinglait la « radicalisation de la laïcité ». La République indivisible et laïque appréciera.

On pense également à la nomination au Conseil présidentiel des villes de Yassine Belattar, « comique » proche du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et donc des Frères musulmans, professionnel de l’identité blessée qui aurait reçu par SMS les mots de réconfort de son « frère » Emmanuel : « Continue. Les critiques suivent le talent. » On se rappelle il y a quelques mois le maintien de Mohamed Saou, finalement « blanchi », en tant que référent LREM dans le Val-d’Oise. C’est un « radical mais un type bien » disait Emmanuel Macron dans un oxymore digne de sa « pensée complexe », de celui qui clamait pourtant qu’il ne serait « jamais Charlie » et qui relayait les propos de Marwan Muhammad, directeur du CCIF.

Dans la même veine, la néoféministe identitaire Rokhaya Diallo, fondatrice des bien mal nommés Indivisibles et proche du Parti des Indigènes de la République, ayant construit son fonds de commerce sur la dénonciation du « racisme d’État », fut nommée au Conseil national du numérique par un arrêté du Premier ministre, Édouard Philippe. Finalement débarquée de cette assemblée devant la bronca, Diallo se contente désormais d’un rôle de chroniqueuse dans une émission d’une médiocrité crasse où son dernier fait d’armes consiste à avoir houspillé le courageux Bernard de la Villardière. Numéro 2 de Macron, Édouard Philippe est quant à lui connu pour sa gestion très accommodante à la mairie du Havre : prêt d’un terrain et inauguration d’une mosquée radicale, destruction de milliers de desserts destinés aux cantines car contenant de la gélatine de porc…

Macron, une politique hors sol

La nature humaine et les systèmes politiques étant ce qu’ils sont, l’histoire oscille entre des extrêmes et peine à trouver l’équilibre pérenne que permettrait un progressisme raisonnable. Les tenants du progressisme à bride abattue, auréolés de bonne volonté, ne veulent pas voir que leurs excès pavent la voie du retour brutal, à terme, d’un conservatisme qu’ils abhorrent. Emmanuel Macron a beau vouloir prêter à son leitmotiv « en même temps » les accents ricœuriens de la pensée complexe, il ne conjugue en réalité la conduite d’une des plus vieilles démocraties occidentales qu’à l’application d’une idéologie anglo-saxonne communautariste contraire à nos traditions politiques.

Il nous en avait déjà livré les prémisses inquiétantes, laissant entendre qu’il n’y avait pas de particularisme ni de génie français : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France », « l’art français, je ne l’ai jamais vu », son lieutenant Castaner renchérissant que le savoir est l’apanage des élites mondialisées : « on peut être cultivé et parler comme les Français ». Macron ne nous offre pas une politique située au barycentre des partis traditionnels comme il voudrait nous le faire croire, mais il mène résolument une politique déracinée en laissant essaimer avec sa complicité bienveillante des concepts radicaux, initialement minoritaires chez nous, qui commencent déjà à faire florès.



24/05/2018
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