La Sainte Vierge dit :
- Mes chers enfants, mon coeur maternel est brisé de plus en plus ; mon royaume de France devient le centre de tous les abîmes du mal et, pour le sauver, que de victimes, que de sang répandu !… Mon royaume, sous peu, sera divisé. Les enfants de la France vont devenir les enfants d’un autre royaume, malgré leur prétention de rester français. (25 mars 1895)
Saint Michel dit :
- Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps, et vous verrez tout l’enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l’Église sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes. C’est mon dernier mot.
Et la voix vibrante de l’extatique saisit les assistants.
Mes bien-aimés enfants, consolez-vous à l’heure du désespoir terrible, sous le coup de la Justice, la fille aînée de l’Église verra se lever pour elle ceux qui ont été ses sincères amis. Elle sera sauvée et chantera le Te Deum d’actions de grâces. (2 juillet 1895)
- Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys. (19 mai 1898)
- Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos. Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice
Un peu plus tard, sous une belle aurore d’un matin plein d’espérance, sortira un Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes oeuvres; il favorisera mes desseins; il sera l’ami de Dieu.
Si les hommes ne font pas ce qu’ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon oeuvre sans les hommes et malgré les hommes. (1er décembre 1896)
- Ne vous découragez pas, dit Jésus, je laisse faire l’ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu’approche l’heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d’offenses. Je n’ai plus qu’à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.
Je m’effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d’années et qui n’est plus éloigné. J"aime tant la France. Je me la suis choisie pour l’accomplissement de mes grands desseins. (1 er mars 1923)
Les secrets de la Salette confirmés
Le docteur Imbert-Gourbeyre a rassemblé divers textes, tirés des extases de Marie-Julie, qui confirment expressément les révélations de La Salette. Les voici :
- J’ai prié, dit la Sainte Vierge; j’ai pleuré ; j’ai souffert. Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence..
J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche. (29 novembre 1877)
- J’ai renouvelé bien des fois, dit le Seigneur, le secret de l’humble fille de la montagne. Ma sainte Mère portait l’instrument de ma Passion. Elle répétait:
Les plantes chrétiennes seront si clairsemées que la terre ressemblera plutôt à un désert qu’à une terre habitée par des chrétiens, qui sont si nombreux pourtant.
Il y aura si peu de monde resté dans ces contrées qu’un grand nombre d’églises ne seront plus occupées, même par une seule âme. Ce sera selon les contrées et selon les progrès de l’iniquité. (29 mars 1882)
- Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux. (19 septembre 1896)
J’ai encore à mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j ‘ai révélé.
Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée… Quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le coeur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas.
Il les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.
Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser.
Il faut qu’ils passent visiblement.
Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore.
Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici. (29 septembre 1901)
- Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés.
J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde.
C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin.
Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ?
On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître. jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction.
C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées – et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce. (4 août 1904)
source: http://www.marie-julie-jahenny.fr/quelques-propheties.htm