Afin qu’ils puissent encore plus efficacement se reproduire et que cette vermine submerge le pays tout entier encore plus vite. Daily Mail :
Les hommes avec plus d’une femme seront éligibles pour des allocations supplémentaires dans le nouveau système sociale, d’après une recherche officielle de la chambre des communes. [ndt : la chambre des communes est la chambre basse du parlement britannique]
Sous le système social de crédit universel, dont il n’est pas attendu qu’il soit pleinement mis en place avant 2021, les maisonnées polygames seront récompensées avec des allocations plus élevées, rapporte le Sunday Times.
Au Royaume-Uni, il est illégal de marier plus d’une personne.
Les mariages polygames, largement confinés aux familles musulmanes, ne sont reconnus en Grande-Bretagne que s’ils ont eu lieu dans des pays où ils sont légaux, comme des Etats moyen-orientaux, le Pakistan ou la Zambie.
Concrètement, cela veut dire que le musulman britannique qui veut avoir plusieurs femmes a juste à retourner dans son pays d’origine, trouver une famille prête à lui vendre une épouse, et à l’épouser là-bas, avant de revenir.
Il n’y a pas de chiffres officiels, mais il est estimé qu’il pourrait y avoir jusqu’à 20.000 mariages polygames dans la communauté musulmane britannique.
Actuellement, un mari et sa première femme sont payés jusqu’à 114,85£ par semaine. Les épouses subséquentes vivant sous le même toit reçoivent autour de 40£ chacune.
Sous le nouveau système de crédit universel, dont il n’est pas attendu qu’il soit pleinement mis en place avant 2021, les mariages polygames ne seront pas reconnus du tout.
Cette non-reconnaissance est cependant en fait pire encore…
… puisque la conséquence en est très simple :
L’indemnité standard est d’environ 498,89£ par mois pour les couples, mais les personnes seules peuvent réclamer environ 317,83£.
Cela signifie que le mari et sa première femme pourront réclamer l’allocation du couple marié et que les femmes subséquentes pourront réclamer l’indemnité pour la personne seule.
Et en France, c’est malheureusement la même chose sauf que les allocations sont plus généreuses encore qu’au Royaume-Uni. Les femmes des musulmans polygames prétendent être seules et reçoivent des aides pour « parent isolé ».
Alors que les blancs qui cherchent à vivre honnêtement sont étouffés sous les impôts, ces derniers servent à encourager la multiplication de parasites non-blancs nous haïssant, et qui n’ont pas nos scrupules pour exploiter le système les encourageant dans cette voie.
Pourquoi devrions-nous continuer à supporter ces humiliations permanentes qui n’ont pour but que notre destruction ?
Pour que les choses changent vraiment en Europe il faut bien que nos élites satanistes fassent erreur sur erreur pour qu’enfin le peuple puisse comprendre ce qui lui arrive.
AimeAime
C’est exactement ça, sans entrer dans les détails : c’est ce que je vis !
Pour les impôts, c’est encore pire : Les impôts servent à rembourser la dette exponentielle et les intérêts cumulés liés à cette « dette ». Ce qui signifie que l’État achète l’argent, à nos frais, pour ensuite le distribuer toujours en plus grande quantité… Donc vous avez tout-à-fait raison, mais j’ajoute que pour chaque euro distribué aux envahisseurs, nous payons 1€ plus le prix d’achat de cet euro qui sera distribué [les intérêts – donc le prix d’achat – sur cet euro emprunté/acheté].
D’autant que cet argent avec intérêts que l’État emprunte/achète n’est en plus pas réinjecté dans l’économie. Les envahisseurs envoient à l’étranger une part de ce qu’ils touchent. D’autre part ils dépensent cet argent dans une économie souterraine, non déclarée, non taxée.
C’est donc un triple revers pour nous, les envahisseurs s’entassent en nombre exponentiel, les intérêts – ou prix d’achat – sur l’argent que les anti-blancs distribuent sont eux aussi exponentiels.
Il n’y a, en toute bonne foi, qu’une conclusion possible : nous – Blancs – sommes en train de crever !
On est en train de se faire baiser, re-baiser, re-re-re-baiser, le tout 24h/24, 7j/7, 365j/365 ! Que les Blancs qui passeraient ici par « hasard » comprennent qu’il n’y a rien d’extrémiste, rien de mal moralement, à se lever pour sa propre survie : ce n’est pas un choix que vous feriez, c’est la seule réponse que vous pouvez donner aux génocidaires des Blancs, qui eux, ne vous laissent d’autre choix !
Fraternellement. Warezerie.
AimeAime
C’est pas comme ça déjà chez nous, sous une autre forme ? Pas énoncé aussi clairement mais à peu près ça quand on voit ce que la Caf allonge sans broncher et sans enquête. Chez nous aussi la polygamie est officiellement interdite, ce qui n’empêche pas ceux qui ont plusieurs femmes sur le territoire de vivre grassement et en toute tranquillité.
Nouvel article sur Le Blog de la Résistance
L’acte révolutionnaire de dire la vérité (John Pilger)
by ZLa phrase exacte d'Orwell est celle qui illustre notre Blog "en ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire" , et ça l'est effectivement de plus en plus comme vous le savez ... Orwell avait une fois de plus visé juste . Car tout est dans Orwell, qui retranscrit parfaitement dans ses écrits et déclarations la mentalité et la vision de l'élite mondialiste de son époque .
Comme l'explique ce papier "Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts créés, nos idées suggérées, en grande partie par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler" et ce n'est pas un mythe mais une réalité . J'ai donné encore un exemple flagrant pas plus tard qu'il y a quelques jours , avec 7 milliardaires qui contrôlent 95% de la production journalistique en France, j'écrivais ceci :
Et c'est l'effroyable réalité, vérifiable . On peut largement parler de « gouvernement invisible » quand on sait que ce sont ces mêmes personnes, qui s'emparent, concentrent , monopolisent et contrôlent toutes les richesses, qui financent , et "font" et défont nos politiques . Ce sont ces personnes qui se sont emparées du pouvoir médiatique, et directement ou indirectement, de celui de la création monétaire .
Ces personnes forment une élite mondiale, et détiennent le véritable pouvoir (dans l'ombre) , un pouvoir incommensurable . Ce sont ces personnes qui nous contrôlent (et non pas "gouvernent" ou dirigent") réellement .
On peut les nommer comme on veut, je trouve l'expression "illuminati" trop restreignante et décribilisante, mais ils existent bel et bien .
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George Orwell a écrit qu’à « une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».
Nous vivons une sombre époque, dans laquelle la propagande de la supercherie affecte nos vies à tous. Comme si la réalité politique avait été privatisée, et l’illusion légitimée. L’ère de l’information est une ère médiatique. Nous avons une politique médiatique ; une censure médiatique ; une guerre médiatique ; des représailles médiatiques ; une diversion médiatique — une chaîne de production surréaliste de clichés et d’idées fausses.
Notre merveilleuse technologie est devenue notre amie autant que notre ennemie. A chaque fois que nous allumons un ordinateur ou prenons en main un appareil électronique — les chapelets de ce siècle — nous sommes soumis à un contrôle : à la surveillance de nos habitudes et de nos routines, et aux mensonges et à la manipulation.
Edward Bernays, qui inventa l’expression « relations publiques », un euphémisme pour « propagande », a prédit cela il y a plus de 80 ans, en qualifiant ce phénomène de « gouvernement invisible ».
Il a écrit que « ceux qui manipulent cet élément invisible de [la démocratie moderne] constituent un gouvernement invisible représentant la véritable force dirigeante de notre pays… Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts créés, nos idées suggérées, en grande partie par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler… »
Le but de ce gouvernement invisible est de prendre possession de nous: de notre conscience politique, de notre perception du monde, de notre aptitude à penser indépendamment, de notre aptitude à séparer le vrai du faux.
Il s’agit d’une forme de fascisme, un mot que nous avons raison d’utiliser prudemment, préférant l’associer aux troubles du passé. Mais un fascisme moderne insidieux est aujourd’hui le principal danger. Comme dans les années 1930, d’énormes mensonges sont délivrés avec la régularité d’un métronome. Les musulmans sont mauvais. Les fanatiques saoudiens sont bons. Les fanatiques d’ISIS sont mauvais. La Russie est toujours mauvaise. La Chine commence à le devenir. Bombarder la Syrie est bon. Les banques corrompues sont bonnes. La dette corrompue est bonne. La pauvreté est bonne. La guerre est normale.
Ceux qui remettent en cause ces vérités officielles, cet extrémisme, sont jugés comme fous — jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’ils ne l’étaient pas. La BBC fournit ce type de service gratuitement. Ne pas se soumettre c’est se voir qualifier de « radical » — peu importe ce que cela signifie.
La véritable dissidence devient exotique; et pourtant les dissidents n’ont jamais été aussi importants. Le livre que je lance ce soir, « Le dossier WikiLeaks », est un antidote au fascisme qui ne dit jamais son nom. C’est un livre révolutionnaire, tout comme WikiLeaks est révolutionnaire — dans la même veine que ce dont parlait Orwell dans la citation que j’ai utilisée au début de ce texte. Car il explique que nous n’avons pas à accepter ces mensonges quotidiens. Nous n’avons pas à rester silencieux. Ou, comme l’a autrefois chanté Bob Marley : « Emancipate yourself from mental slavery » (« Emancipez-vous de l’esclavage mental »).
Dans l’introduction, Julian Assange explique que ce n’est jamais suffisant de divulguer les secrets des grands pouvoirs: qu’il est crucial de les comprendre, ainsi que de les replacer dans le contexte actuel, et de les intégrer à la mémoire historique.
Tel est l’accomplissement remarquable de cette anthologie, qui se réapproprie notre mémoire. Elle connecte les raisons et les crimes qui ont entraîné tant de bouleversements humains, du Vietnam et de l’Amérique Centrale, jusqu’au Moyen-Orient et à l’Europe de l’Est, toujours au sein de la matrice d’un pouvoir vorace, celui des États-Unis.
Il y a actuellement une tentative États-unienne et européenne de destruction du gouvernement Syrien. Le premier ministre David Cameron semble en être particulièrement désireux. C’est ce même David Cameron dont je me souviens comme d’ un homme mielleux lorsqu’il était en charge des relations publiques pour les requins financiers d’une chaîne de télévision privée britannique (Carlton Communication).
Cameron, Obama et le toujours plus obséquieux François Hollande veulent détruire la dernière autorité multiculturelle restante en Syrie, une action qui ouvrira certainement la voie aux fanatiques d’ISIS.
C’est, bien sûr, totalement démentiel, et l’immense mensonge qui justifie cette démence c’est que cela serait pour soutenir les Syriens qui se sont soulevés contre Bashar el-Assad lors du printemps arabe. Comme le révèlent les dossiers WikiLeaks, la destruction de la Syrie est un vieux projet des impérialistes cyniques qui date d’avant les soulèvements du printemps arabe contre Assad.
Pour les dirigeants du monde, à Washington et en Europe, le véritable crime de la Syrie n’est pas la nature oppressive de son gouvernement, mais son indépendance du pouvoir États-unien et Israélien — tout comme le véritable crime de l’Iran est son indépendance, et ainsi de suite pour la Russie, et la Chine. Dans un monde détenu par les États-Unis, l’indépendance est intolérable.
Ce livre révèle ces vérités, l’une après l’autre. La vérité sur une guerre contre le terrorisme qui fut toujours une guerre du terrorisme ; la vérité sur Guantanamo, la vérité sur l’Irak, l’Afghanistan, et l’Amérique Latine.
De telles vérités n’ont jamais été aussi nécessaires. A quelques honorables exceptions près, ceux des médias, soi-disant payés pour s’en tenir aux faits, sont maintenant absorbés dans un système de propagande qui ne relève plus du journalisme, mais de l’anti-journalisme. C’est aussi vrai des libéraux et des respectables que de Murdoch. A moins d’être prêt à surveiller et déconstruire chacune de leurs spécieuses affirmations, les prétendues « actualités » sont devenues irregardables et illisibles.
En lisant les dossiers WikiLeaks, je me suis souvenu des mots du défunt Howard Zinn, qui faisait souvent référence à « un pouvoir que les gouvernements ne peuvent supprimer ». Cela décrit WikiLeaks, et cela décrit les véritables lanceurs d’alertes qui partagent leur courage.
Sur le plan personnel, je connais les gens de WikiLeaks depuis déjà quelques temps. Qu’ils aient accompli ce qu’ils ont accompli dans des circonstances ne relevant pas de leur choix est une source d’admiration constante. Leur sauvetage d’Edward Snowden en est un bon exemple. Tout comme lui, ils sont héroïques : rien de moins.
Le chapitre de Sarah Harrison, « Indexer l’Empire », décrit comment ses camarades et elle ont mis en place une véritable bibliothèque publique de la diplomatie US. Il y a plus de 2 millions de documents maintenant accessibles à tous. « Notre ouvrage », écrit-elle, « est dédié à un objectif : que l’histoire appartienne à tout le monde. » Lire ces mots est exaltant, et cela témoigne de son propre courage.
Depuis le confinement d’une pièce de l’ambassade équatorienne à Londres, le courage de Julian Assange est une réponse éloquente aux lâches qui l’ont traîné dans la boue et au pouvoir sans scrupules qui cherche à prendre sa revanche contre lui, et qui mène une guerre contre la démocratie.
Rien de tout cela n’a dissuadé Julian et ses camarades de WikiLeaks : pas le moins du monde. Et ce n’est pas rien.
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