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les juges pédophiles craignent d’être révélés

Lorsque les juges pédophiles craignent d’être révélés au grand jour

Sous la mince couche du vernis de la loi, nous sommes gouvernés par un réseau secret de traîtres, de pédophiles, de satanistes et de criminels, se faisant passer pour d’éminents avocats et juges, des politiciens, des hommes d’affaires et des chefs de police.

Ils sont souvent des Francs-maçons qui tirent leur pouvoir du cartel des banques centrales basé à Londres qui contrôle les médias de masse et cherche à imposer sa tyrannie sous le couvert de « Gouvernement Mondial ».

Si vous ne me croyez pas, vous n’avez probablement jamais entendu les noms de Renate Andres-Auger, de Jack Cram et de Bruce Clark. Ils sont des avocats de Vancouver qui ont été expulsés de la salle d’audience, drogués, radiés du barreau et internés dans un asile psychiatrique lorsqu’ils ont tenté de mettre à nu cette clique dans les années 1990.

CITY CONFIDENTIAL

La belle ville de Vancouver en Colombie-Britannique a été décrit par le Christian Science Monitor en 1997 comme « un paradis pour pédophile » un endroit connu pour son « commerce du sexe notoire », avec une réputation internationale « comme une ville où il est facile de trouver un enfant pour le sexe. » En 1999, l’UNESCO a placé Vancouver comme l’un des trois meilleurs centres du monde pour le trafic sexuel, la pornographie juvénile et la pédophilie en raison « d’une protection judiciaire suspectée envers les agresseurs sexuels d’enfants. »

En 1994, Renate Andres-Auger, une avocate autochtone et mère célibataire de six filles, a constaté des irrégularités dans une affaire de revendications territoriales qui s’avérait accablante pour l’autorité judiciaire. Elle a également attaqué certains juges et des avocats pour association de malfaiteurs servant à aider et protéger les pédophiles. Elle et son propre avocat Jack Cram ont présenté des preuves, y compris des photographies et des témoignages oculaires que deux juges de la Cour suprême étaient engagés dans la pédophilie et utilisaient leur bureau afin de protéger d’autres pédophiles. Elle a nommé le prestigieux « Club de Vancouver » comme centre de ce réseau pédophile. (Kevin Annett, « L’histoire cachée : L’holocauste canadien », p 147-150.)

Le juge ordonna que Auger soit écarté de la cour. « Les shérifs traînèrent Andres-Auger hors de la cour et on pouvait entendre le bruit sourd dans les escaliers derrière le banc du juge. » Ensuite, le juge ordonna aux sheriffs de sortir son avocat Jack Cram. La police fut appelée pour évacuer la salle d’audience d’environ 80 partisans. Selon un communiqué de presse, voici ce qui est arrivé lorsque Cram a plaidé la cause auprès du public :

« Une nuit à environ 23h30, après avoir terminé une interview à la radio, M. Cram rentra chez lui, gara sa voiture, et tout en marchant vers son immeuble, cinq policiers émergèrent des buissons et sautèrent sur lui. Il fut mis dans un fourgon banalisé et que dès qu’ils furent à l’intérieur ils « lui injectèrent quelque chose » et il fut transporté à l’hôpital psychiatrique de l’Hôpital Général de Vancouver – comme un patient « anonyme ».

SAUVER JACK CRAM

« Lorsque le comité découvrit où était M. Cram, ils durent se rendre à Prince George, à quelques 800 kms de là, pour trouver un avocat qui déposerait un bref d’habeas corpus afin de libérer M. Cram, mais il ne fut jamais utilisé car M. Cram fut de nouveau, de manière inattendue, libéré après avoir été détenu cette fois pendant 7 jours.

« M. Cram se rendit directement depuis le service de psychiatrie à une réunion du comité qui était en cours au même moment. Il était encore sous les effets des médicaments qui lui avaient été administrés jusqu’à environ deux heures avant sa libération. Mais il était en mesure d’expliquer ce qui s’était passé. Deux de ses plus proches collaborateurs, dont l’un était celui qui l’avait mis en cause à la télévision, avaient signé les documents incriminant M. Cram.

« Après un procès, le tribunal le radia pendant un an et il reçut une amende de 10 000 $. Il était en faillite et avait perdu son cabinet. Cram se déplaça à son ranch à Princeton, une communauté située à environ 280 km à l’est de Vancouver.

« Le juge Gibbs, en rendant sa décision récente sur l’appel du Dr Clark, a déclaré : « après que [M. Cram] ait reçu un traitement pour ses délires paranoïaques attribuable à sa maladie mentale, il a ensuite abandonné toutes les affaires judiciaires qu’il avait initié dans sa phase délirante » et l’une des conditions pour le retour à la barre après un an était qu’il continue de recevoir un traitement psychiatrique pendant cette année-là. M. Cram aurait pu être emprisonné pendant trois mois s’il ne recevait pas le traitement ou faisait défaut sur le paiement de l’amende. »

Renate Andres-Auger était rentrée dans la clandestinité. James Taylor, le membre officiel de la Law Society de la Colombie Britannique, qui avait radié Andres-Auger et Cram, est devenu un juge de la Cour suprême et a émis une injonction en 2002 contre toute mention et accusation de pédophilie.

Ed John, un dirigeant autochtone accusé d’avoir utilisé des tactiques mafieuses, et de la cocaïne et des réseaux de prostitution enfantine, a été effectivement nommé ministre des Services à l’enfance et à la famille dans le NPD (socialiste) du gouvernement provincial en 2000. L’injonction a également couvert toute mention de ces accusations.

COMMENTAIRES SUR CET ÉPISODE HONTEUX

Jennifer Wade, une des fondatrices d’Amnesty International à Vancouver, a déclaré en 1999 :

«Le cas Cram/Andres-Auger reste à ce jour, une histoire très étrange et effrayante de la corruption présumée et de la pédophilie opérant dans les hautes sphères. C’est aussi une histoire qui n’a jamais encore été complètement racontée. Peut-être si elle l’était, avec quelques autres histoires étranges, nous, les Canadiens aurions peu de raisons d’avoir le souffle coupé face à la révélation des réseaux pédophiles opérant en Belgique il y a deux ans. La question de la protection et de l’impunité de personnes en haut lieu au Canada devient de plus en plus crédible à mesure que de plus en plus de gens en parlent.»

En 2007, le professeur d’université du Lethbridge Anthony Hall a commenté dans le Canadian Dimension magazine :

«Aucune enquête publique sur le traitement et les accusations de Andres-Auger et Cram n’a jamais eu lieu. Nous ne pouvons que spéculer, par conséquent, sur les circonstances entourant un tel effondrement spectaculaire de la dignité et du respect dans le système de justice pénale. Certes, il parait vraisemblable que certains groupes ou individus haut placé pensaient qu’il, elle, ou ils avaient beaucoup à perdre si Andres-Auger et Cram avait été en mesure de porter ces accusations.»

Hall raconte comment en 1995, lorsque l’avocat Bruce Clark a essayé d’engager des poursuites juridiques pour le compte de clients autochtones, un incident semblable à celui d’Andres-Auger et Cram se produisit dans un tribunal rural de Colombie-Britannique avant qu’ils puissent porter leur témoignage. Clark fut placé en détention et envoyé dans une institution pour un examen psychologique obligatoire.

C’est ainsi que les dissidents étaient traités par les autres satrapes Illuminati en U.R.S.S. Certes ces événements ont eu lieu il y a 15-17 ans, mais vous pouvez parier qu’ils ont généré un froid qui perdure encore aujourd’hui.

CONCLUSION

Les Illuminati ont un intérêt vital dans l’utilisation du leadership autochtone afin de confisquer les terres autochtones et l’accès à l’eau, ainsi que pour organiser le trafic de drogue et les réseaux pédophiles. C’est pourquoi les avocats qui ont tenté de représenter les autochtones ordinaires ont encouru la colère de ces reptiles (moraux). C’est à ce moment que le masque a glissé, et nous avons alors eu un aperçu de la triste réalité de notre société.

Un commentaire sur “Lorsque les juges pédophiles craignent d’être révélés au grand jour

  1. En 1995 j’habitais à Perpignan. J’étais une mère célibataire au RMI, avec un fils de 7 ans et un bébé qui venait de naître prématurément. A la suite de plusieurs concours de circonstances, les services sociaux d’alors prirent mes deux enfants et les mirent en foyer et en pouponnière dans un quartier excentré de la ville. Comme je voulais allaiter mon bébé, j’allais le voir tous les jours, et là j’insistai pour qu’on me le rende. Cela amena le médecin à décréter que je ne pouvais plus voir mes enfants que le week-end. Je ne pouvais plus allaiter mon bébé. Un ami qui avait une chèvre venait tous les jours de Paziols avec du lait de sa chèvre pour mon bébé. Cela irrita le médecin qui mentit en déclarant qu’il y avait de la brucellose dans le lait, et il lui fit donner du lait maternisé. Je fis analyser le lait de chèvre par un laboratoire, qui ne trouva pas trace de brucellose. L’avocate que j’avais engagée eut peur de ma résistance contre l’establishment médical, elle ne voulait pas se compromettre. Je m’en séparai et en trouvai une autre très efficace qui fit sortir les enfants rapidement. Pendant toute cette période qui dura un mois et demi, je fus reçue à plusieurs reprises par le juge aux affaires familiales, je lui écrivis plusieurs lettres où je faisais appel à son humanité pour qu’il me rende mes enfants, et j’étais très étonnée d’avoir en face de moi un homme très dur et fermé qui ne voulait pas entendre ce que j’avais à lui dire. Ses comparses avaient dû me repérer comme étant une mère isolée à qui il serait facile de prendre ses enfants. C’était mal me connaître. A l’époque je ne savais rien des satanistes et de leurs réseaux, mais avec le recul je me rends compte qu’il y avait probablement là une branche de leur filière. Je souhaitais en témoigner afin que cela se sache. Je n’ai pas de preuves et je n’accuse pas, je mets juste cette histoire sur la table avec un point d’interrogation.



06/08/2019
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