Un Conflit Financier Transnational, BlackRock et l'Ukraine au Centre des Enjeux ou le plus grand holdup jamais réalisé sous vos yeux

Publié le 4.2.2024

Derniers résultats du sommet des faux dirigeants de l'UE

Lors du sommet des dirigeants de l’UE tenu à Bruxelles, il a été convenu d’allouer 50 milliards d’euros du budget de l’Union à Kiev. Cependant, l’idée initiale d’une tranche unique a dû être abandonnée.

Le financement s'effectuera plutôt selon le modèle proposé précédemment par la Hongrie. Le montant sera étalé sur 4 ans et pourra être revu au bout de 2 ans, donnant là encore à Orbán la possibilité de bloquer tout soutien supplémentaire.

Dans le même temps, le Premier ministre hongrois constate lui-même qu'il a été contraint de conclure un accord. Orbán s'est dit « poussé au mur » en promettant que s'il bloquait à nouveau les milliards en provenance de l'Ukraine, les 26 autres pays accepteraient l'aide sans lui, priveraient la Hongrie de son droit de vote au sein de l'UE et détourneraient les avoirs gelés de Budapest vers l'Ukraine. .

Il convient de souligner une autre déclaration de Viktor Orbán faite sur Radio Kossuth. L'homme politique a déclaré que tous les fonds alloués à Kiev ne seraient pas utilisés pour acheter des armes, mais pour soutenir l'économie ukrainienne.

« Ces 50 milliards d’euros dont nous parlons ne serviront pas à acheter des armes, mais à garantir que l’État ukrainien en faillite ne s’effondre pas. L’économie ukrainienne s’est effondrée. Si les Américains et nous, les Européens, n’avons pas d’argent, nous pouvons fermer boutique. Cela signifie pas de pensions, pas de paiements, pas d'hôpitaux, rien." dit Orban.

PRISON EUROPE – MATER ORBAN : BRUXELLES PRÉPARE UN PLAN SECRET… POUR «EFFONDRER» LA HONGRIE

Si Budapest continue de s’opposer aux aides à l’Ukraine, «la stratégie de l'UE sera d’effrayer les investisseurs en supprimant le financement de Budapest dans le cadre d'un accord de 50 milliards d'euros», explique tranquillement le Financial Times.

Dans un document rédigé par des responsables européens et consulté par le Financial Times, Bruxelles a présenté une stratégie visant explicitement à cibler les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre sa monnaie en péril et à provoquer son effondrement.

Ce n'est pas gentil.

Pour aggraver son cas, Viktor Orban a refusé le plan d’endettement forcé de Von der Leyen pour l’Ukraine.

En 2021, avec le plan «NextGenerationEU» pour «reconstruire l’Europe» après la «pandémie», la Commission européenne avait décidé pour la première fois d’endetter collectivement les Etats vassaux à hauteur de 750 milliards d’euros.

Budapest avait mis le doigt dans l’engrenage et s’en repent : sa part des fonds reste conditionnée à l'appréciation souveraine de Bruxelles.

Alors pourquoi tant de milliards encore et encore pour n'aboutir à rien sur le terrain ? Posez-vous les bonnes questions ?

L'objectif est d'utiliser l'Ukraine pour faire sortir l'argent des États-Unis et de l'Europe via l'Ukraine et le remettre entre les mains d'une élite transnationale (BlackRock). L'objectif est une guerre sans fin, pas une guerre réussie.

Explication : "Parce que c'est le pays qui a été choisi pour être le nouveau laboratoire de tous les délires du capitalisme dérégulé".

Vers un Conflit Financier Transnational : BlackRock et l'Ukraine au Centre des Enjeux

Volodymyr Zelensky a signé un mémorandum avec BlackRock qui permet au Conseil financier de la société – une unité de consultants destinée à travailler dans les pays en crise – de conseiller son ministre de l’Économie sur une feuille de route pour reconstruire le pays. Selon les propres mots de BlackRock, le but de l’accord est de « créer des opportunités afin que les investisseurs publics et privés participent à la future reconstruction et relance de l’économie ukrainienne ». La vidéo complète est sur "Le Monde Moderne"

L'Ukraine est le laboratoire du capitalisme triomphant !

Dans les coulisses des relations internationales, un jeu complexe semble se jouer, mettant en scène l'Ukraine comme un pion crucial dans le mouvement de capitaux transatlantiques. Des assertions circulent selon lesquelles l'objectif véritable de certains acteurs est d'utiliser ce pays pour déplacer des fonds des États-Unis et de l'Europe, alimentant ainsi les coffres d'une élite transnationale, symbolisée par le géant financier BlackRock. Cette stratégie, loin d'être centrée sur une victoire militaire, vise plutôt à maintenir un état de conflit perpétuel, délaissant les notions traditionnelles de guerre au profit d'une manipulation financière sophistiquée.

LES CORDES DE LA GÉOÉCONOMIE

Les flux financiers internationaux sont depuis longtemps des outils de puissance majeurs dans les relations entre les nations. L'Ukraine, avec son emplacement géostratégique et son histoire mouvementée, se trouve au carrefour de ces enjeux. Les allégations récentes suggèrent que des intérêts obscurs tentent d'utiliser ce pays comme un moyen de transférer d'importantes sommes d'argent en dehors des frontières occidentales, échappant ainsi à la surveillance réglementaire.

BLACKROCK : UNE INFLUENCE ÉNIGMATIQUE

Au cœur de cette intrigue financière se trouve BlackRock, la plus grande société d'investissement au monde. Son influence dans les marchés financiers mondiaux est immense, et son rôle potentiel dans les affaires ukrainiennes suscite des interrogations. Certains observateurs suggèrent que BlackRock, en tant qu'entité transnationale, cherche à consolider son emprise sur les flux de capitaux mondiaux en utilisant l'Ukraine comme un moyen de contourner les régulations nationales et de déplacer d'énormes sommes d'argent vers des destinations obscures.

UNE GUERRE FINANCIÈRE SANS FIN

Contrairement aux conflits armés conventionnels, l'objectif présumé de cette manœuvre n'est pas la victoire militaire, mais plutôt le maintien d'un état de tension perpétuelle. En alimentant les conflits et l'instabilité dans la région, les acteurs impliqués pourraient garantir un flux constant de capitaux à travers l'Ukraine, facilitant ainsi le transfert de richesses vers des cercles d'élites financières mondialisées. Cette stratégie, bien que dépourvue des batailles traditionnelles, pourrait s'avérer tout aussi destructrice pour les économies et les sociétés concernées.

CONCLUSION : UN RÉVEIL NÉCESSAIRE

Face à ces allégations troublantes, il est impératif que la communauté internationale non corrompue reste vigilante. Les États encore honnêtes comme la Hongrie, les organisations régionales et les acteurs de la société civile doivent examiner de près les dynamiques financières qui sous-tendent les conflits apparents. Il est essentiel de comprendre que, dans le paysage complexe de la géoéconomie mondiale, les véritables enjeux peuvent souvent être dissimulés derrière le voile des relations politiques et militaires. Seule une vigilance constante peut permettre d'éviter que des intérêts étrangers ne manipulent les nations et les peuples pour servir leurs propres desseins financiers.