Mais qu'y a-t-il de tellement secret sur la Lune
On nous affirme à présent, que contrairement à ce que l’on nous affirmait depuis plus de 50 ans, que la Lune n’est plus le pauvre désert aride que l’on pensait, bien au contraire même, et toute proportion gardée, La Lune renferme autant d'eau que la Terre !
Ca peut parraitre anodin comme cela au premier abord, pour le quidam, qui se soucie peu de ce qui se trouve autour de lui, ou au dessus de sa tête, mais regardons y plus en détail :
Le rayon lunaire à l'équateur est de 1 738 kilomètres, soit 3,67 fois moins que celui de la Terre, qui est de 6 378 kms.
Les Océans couvrent 71 % de la surface de la terre, le volume d'eau présent sur notre planète est composé de : 97.2 % d'eau salée ( océan ) et 2.8 % d'eau douce, ce qui représente un volume d'eau total d'environ: 1,34 milliards Km3 !
Ce qui représenterait pour la Lune environ 370 millions de Km3 d’eau !
Il faut bien s’imaginer ce que cela représente, à savoir 370 millions de cubes d’eau, de 1 km de coté ! Très loin donc en effet de l’astre aride, sec et désertique que l’on nous a enseigné depuis des decénnies !
la Lune, est le cinquième plus gros satellite du Système solaire.
Ensuite, il parrait évident que toutes les planètes et lunes de l’univers contiennent autant d’eau, d’autant que maintenant on nous enseigne que cette eau serait arrivée par comète ou météorites, tout comme l’air que nous respirons !
Voir ici par exemple : " La mer est tombée du ciel " et L'atmosphère terrestre serait extraterrestre...
On peut donc difficilement admettre et soutenir l’hypothèse que cette eau et cet air, ne serait ‘’ tombés ‘’ que sur la belle planète bleu, en évitant soigneusement tout le reste des corps celestes de notre système solaire, ou même de l’univers !
Notons au passage que les océans sur Terre représentent un volume habitable 300 fois supérieur à celui des habitats terrestres, à l’air libre, et nous ne connaissons à peine que 10% de ce gigantesque habitat marin !
On ridiculise celui qui dit que peut être il y a de la vie sur la Lune, en lui retorquant que c’est stupide, au mieux, mais les détracteurs admettent sans broncher par contre que la vie est issue des comètes, ces astres qui évoluent au plus près du Soleil, subissant alors des températures approchant des milliers de dégrès. Et inversement subissant, au plus loin du Soleil, beaucoup plus loin que Pluton par exemple, des températures de moins 273 degrès par endroit ?!!
En effet dans l’univers les températures varient énomément, de -273 °C à + quelques plusieurs de millions de °C.
Ou la vie sur ces comètes possède de bonnes doudounes bien chaude, pour les centaines ou milliers d’années ou elle sont exposées au froid de l’univers à savoir entre moins 100 °C et moins 273 °C, et par ailleurs inversement une bonne climatisation pour les périodes ou elles sont proches de leur étoile, et exposées à des températures dépassant largement les 1 000 °C parfois !!
Qui est le plus ridicule des deux ? je vous pose la question !
A ce propos d’ailleurs un extraterrestre qui regarderait la Terre depuis une autre planète en conclurait très certainement à cou sur, que toute vie ici serait impossible, pourquoi ?
Juste un petit exemple : Des températures de 1000 degrés ont été enregistrées dans l'ionosphère de la Terre à 300 kilomètres d'altitude. De nombreuses sondes en orbite transmettent des données telles, que la Terre elle-même serait trop chaude pour la vie humaine avec une atmosphère mortelle, une insuffisance d'oxygène, des éléments hostiles etc etc…
De plus si les infos ne sont pas complètes, cet éventuel ET, constaterait que l’atmosphère de la terre est composée de principalement d'azote, d'oxygène, d'argon de dioxyde de carbone, de gaz à effet de serre majeurs comme la vapeur d'eau, le méthane, l'oxyde d'azote et l'ozone, de chlore de fluor de mercure et de soufre. Donc totalement impropre à la vie… et pourtant !
C’est exactement ce que nous déduisons de l’étude avec nos sondes des autres planètes qui nous entourent, en affirmant qu’il fait moins 250 degrès à sa surface, ou plus de 400 degrès à sa surface, que leur atmosphère est composée d’amoniac, d’océan de méthane ou de je ne sais quels élèments qui en font une atmosphère mortelle !
Tout cela c’est du pipeau, car les agences spatiales mettent un top secret sur ces études, et soit elles sont mensongères, soit elles sont fausses, ou éronnées. La NASA bien entendu qui a le monopole, est bien la championne du monde des cachoteries…
Pour en revenir à la Lune, de nombreuses preuves plus ou moins indirects laissent supposer que non seulement il y a de la vie, mais aussi des constructions, des vaisseaux etc.
La NASA détient une impressionnante série de photos à ce sujet. La plupart ont été classées top-secret et ne sont pas diffusées, mais même les documents dont nous disposons prouvent que certaines régions de la Lune ne ressemblent pas du tout à ces paysages froids, désolés et inhospitaliers que l’on a cherché à nous montrer.
Les célèbres remotes viewers suivant tels Stephan Schwartz, Russel Targ, Harold Puthoff, ou Ingo Swann, qui ne sont pas des rigolos, et qui ont fait leur preuve, au point que NASA, Pentagone, et autres officines gouvernementale occultes les emplois, nous affirment qu’il y a une présence sur la Lune, autant de construction, de batiments, d’ installations etc, que d’êtres physique.
Il est maintenant pratiquement établi qu’il y a des constructions sur la Lune, il y a des ponts, des tours, des bâtiments, et des dômes gigantesques. Tous ces édifices semblent accréditer la thèse selon laquelle la Lune aurait pu jadis abriter d'autres races qui ont élues domicile sur celle-ci, mais quand est il à présent ?
Dernierement, et c’est tout frais, des images prises par LRO ont révélé au sommet du massif montagneux du cratère Tycho (qui mesure une quinzaine de kilomètres à sa base) la présence d'un bloc rocheux de 120 mètres niché dans une légère dépression. Comment est-il arrivé là ? Mystère...
Voir en détail, et grand format ci-dessous :
http://www.futura-sciences.com/uploads/RTEmagicP_cratere_txdam22975_9a7503.jpg
Cette formation lunaire est particulièrement remarquable et est située dans l'hémisphère sud de notre satellite. Le cratère Tycho est né il y a un peu plus d'une centaine de millions d'années suite à l'impact d'un astéroïde qui devait avoisiner les 10 kilomètres de diamètre.
Le choc a provoqué une excavation circulaire dont le fond se trouve 4.700 mètres en dessous du niveau du sol environnant. Le cratère est célèbre pour les rayons clairs qui s'en échappent en étoile et traversent la Lune sur plusieurs milliers de kilomètres, qui sont selon nos scientifiques, des éjectas résultant d'un impact oblique.
Le centre du cratère est occupé par un ensemble de montagnes s'élevant à plus de 2.000 mètres, le pic central. C'est lui que la sonde LRO a détaillé.
L’orbite de la Lune, inclinée sur l’écliptique, est animée d’une précession dont l’axe est perpendiculaire à l’écliptique ; l’axe de rotation de la Lune elle-même décrit un petit cône de précession dont l’axe est aussi perpendiculaire à l’écliptique.
Rappelons que l’axe de la Terre subit la précession dite « des équinoxes » dont la médiane est également perpendiculaire à l’écliptique. Tous ces axes, parallèles à l’axe des pôles de l’écliptique, sont orientés vers un même point de l’espace situé dans la constellation du Dragon.
Nous ne pouvons manquer ici de songer à l’importance du symbole du Dragon dans de nombreuses mythologies, légendes et textes anciens.
Nous savons maintenant que la Lune n’est pas symétrique. Bien différente de celle que nous voyons, sa face cachée est très montagneuse, criblée de cratères, et forme un renflement qui n’existe pas du côté visible.
Selon la doctrine courante, la rotation obligée résulte des frottements qu’ont entraînés les marées causées par la Terre à la Lune lorsque celle-ci était en formation ; tout au moins dans le cadre d’une des théories, toujours mise en question, sur l’origine et la formation de la Lune.
Le professeur Ian Garrick-Bethell, de l’université de Californie à Santa Cruz, attribue aussi à cela le renflement de la face cachée, tout en reconnaissant ne pouvoir expliquer pourquoi l’effet de marée n’a pas produit ce résultat symétriquement des deux côtés.
D’autre part, les irrégularités orbitales des sondes LO (Lunar Orbiter) des années 60 et des LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter) plus récents ont révélé que le centre géométrique de la Lune ne correspond pas à son centre de gravité, lequel est légèrement déplacé en direction de la Terre.
Rappelons que ni la Lune ni la Terre ne « tournent vraiment rond » !
La combinaison de leurs mouvements respectifs fait qu’elles décrivent ensemble, autour du Soleil des trajectoires en spirales imbriquées dont l’orbite terrestre théorique est une médiane. Selon certains scientifiques, la Lune stabilise, par inertie gravitationnelle, l’obliquité de 23,45° de l’équateur terrestre sur l’écliptique.
Sans cela, des variations importantes de l’obliquité rendraient complètement chaotique le rythme des saisons. Ainsi, la présence de la Lune nous rendrait-elle, aussi par hasard, un grand service ?
La conjugaison de l’ensemble des caractéristiques et paramètres que nous avons vus jusqu’ici est si exceptionnelle que la probabilité qu’elle résulte de n’importe laquelle des théories envisagées quant à l’origine de la Lune est voisine de zéro.
Grâce à des réflecteurs laser placés sur la Lune par les Américains et par les Soviétiques, on mesure au centimètre près la distance Terre-Lune ainsi que les mouvements orbitaux de la Lune. De 1969 à 1982, à l’observatoire McDonald au Texas, sous la direction d’Eric Silverberg, trois réflecteurs laser des missions Apollo plus celui du robot russe Lunokhod 2 ont été utilisés pour cette télémétrie.
Or tout récemment, le Lunokhod 1, qui avait été perdu de vue et que l’on croyait hors service depuis longtemps, a été retrouvé par un LRO. Après quarante ans, il est en parfait état, au point qu’il peut même être utilisé en plein jour. « Le fait que le réflecteur de Lunokhod 1 soit plus puissant que celui de son jumeau est un mystère, déclare Eric Silverberg.
Cela pourrait fournir des indications importantes concernant par exemple la perte de réflexion de tous les autres après une dizaine d’années de service6. » Qui peut bien avoir passé une chamoisette sur Lunokhod 1 ?
De 1969 à 1977, les séismographes déposés par les missions Apollo ont enregistré jusqu’à 3 000 secousses par an, assez faibles pour la plupart et causées par des météorites ou la chute de fusées épuisées. Mais beaucoup d’autres secousses détectées proviennent des profondeurs de la Lune.
Ces mouvements internes sont attribués à des tassements de roches dus à l’attraction de la Terre lorsque le satellite passe au périgée de son orbite.
Cette hypothèse est remise en question lorsque, en novembre 1958, l’astronome Nikolaï A. Kozyrev, de l’observatoire d’astrophysique de Crimée, photographie pour la première fois ce qu’il interprète comme une éruption gazeuse fluorescente au sommet du relief central du cratère Alphonsus.
Il détecte aussi une lueur rougeâtre, typique des composés du carbone, qui « semble se déplacer, puis disparaître au bout d’une heure7 ». Les conclusions de l’astronome sont refusées par certains scientifiques jusqu’en 1963, année pendant laquelle des astronomes de l’observatoire Lowell observent des lueurs rougeâtres sur les crêtes de la région d’Aristarque.
Quelque temps plus tard, deux autres observatoires font rapport de lumières colorées durant plusieurs heures. Cela s’appelle des phénomènes lunaires transitoires (PLT). Il se passe quelque chose à l’intérieur de la Lune présumée dénuée d’activité volcanique.
Quant aux signaux sismiques détectés lorsque la Lune passe au périgée, ils ne peuvent s’expliquer par un phénomène naturel. En revanche, on peut imaginer qu’un hypothétique grand fragment de coque métallique artificielle peut bouger de la même façon dans les mêmes circonstances et produire les mêmes effets.
On a d’abord cru que la Lune était extrêmement sèche. Aucun échantillon de roche rapporté ne contient de l’eau à l’état libre, ni même des molécules liées aux minéraux. Cependant, les astronautes de la mission Apollo 16 ont trouvé des particules de fer rouillé ; or l’oxydation exige la présence d’oxygène et d’hydrogène libres.
Il doit donc y avoir de l’eau quelque part. Le 7 mars 1971, les instruments laissés sur place par les missions Apollo envoient vers la Terre des signaux indiquant qu’un « vent » de brume a traversé la surface de la Lune.
D’où peut bien venir cette eau qui se vaporise dans ce milieu dépourvu d’atmosphère et qui se comporte comme le vent sur la Terre ? Les éruptions de vapeur ont duré quatorze heures et couvert une surface de 260 km2. « Cette découverte, la plus excitante à ce jour, indique qu’il y a de l’eau à l’intérieur de la Lune, probablement libérée par un séisme », ont déclaré les physiciens John Freeman Jr et H. Ken Hills de l’université Rice.
Les officiels de la Nasa proposent alors une explication moins spectaculaire, mais aussi moins crédible : deux réservoirs, contenant 25 et 45 litres d’eau, abandonnés avec les LEM (module d’exploration lunaire) des missions Apollo 12 et 14, se seraient fissurés, libérant leur contenu. « Faux », affirment les deux universitaires. « Ces réservoirs sont à 180 km l’un de l’autre, tandis que la vapeur a été détectée selon le même flux aux deux endroits, expliquent-ils.
D'autre part, les instruments étaient orientés dans des directions opposées. » D’autres scientifiques ont eux aussi mis en doute les chances de rupture simultanée de deux réservoirs séparés. Sceptiques, ils s’interrogent également sur la formation d’un nuage de vapeur de 260 km2 avec une aussi faible quantité d’eau.
C'est le 20 novembre 1969, lors de la mission Apollo 12, que surgit l’indice le plus probant de cette caractéristique inattendue. Revenu au module de commande, l’équipage renvoie le LEM s’écraser sur la Lune, ce qui provoque un petit séisme artificiel.
Le LEM touche un point situé à 64 km du site où la mission a installé un séismographe ultrasensible. Ce que l’instrument enregistre est stupéfiant : la Lune résonne comme une cloche. La vibration atteint son maximum au bout de huit minutes environ, puis diminue progressivement pendant une heure.
Ce jour-là, en conférence de presse, Maurice Ewing, codirecteur de l’expérience, déclare que les scientifiques sont incapables d’expliquer le phénomène : « Je préfère ne rien interpréter pour l’instant. Mais c’est comme si quelqu’un avait frappé une cloche dans un beffroi, un seul coup dont la réverbération se serait poursuivie pendant 30 minutes. » En réalité, les petites répliques ont duré plus d’une heure.
Le phénomène de résonance se reproduit lorsque le LEM d’Apollo 13 est projeté de la même manière sur la Lune, provoquant un choc équivalant à onze tonnes de TNT. Selon la Nasa, la Lune réagit comme un gong. Le séismographe est à 173 km du point de chute, les enregistrements montrent que la réverbération dure 1 h 20 et se propage jusqu’à une profondeur de 35,42 à 40,25 km.
Des résultats similaires seront obtenus par la suite lors d’impacts provoqués par l’homme : lors d’un essai, la Lune a résonné pendant quatre heures. Ajoutée au problème de la densité de la Lune, cette résonance renforce l’hypothèse du satellite creux.
Désormais, les scientifiques espèrent enregistrer l’impact d’une météorite assez grosse pour envoyer une onde de choc jusqu’au centre de la Lune et produire un écho en retour. Cette chance survient le 13 mai 1972 lorsqu’une météorite frappe la Lune avec une force de 200 tonnes de TNT.
Sidérés de n’obtenir aucun écho à l’onde de choc, les scientifiques s’interrogent… Anomalie du noyau du satellite ? Absence de noyau ?
« On soupçonne la présence de nombreuses cavités sous la surface de la Lune et plusieurs engins ont été envoyés pour tenter d’en savoir davantage », raconte Farouk El-Baz, spécialiste des questions lunaires.
À ce jour, les résultats de ces expériences n’ont pas été rendus publics.
Selon les analyses de roches, son intérieur diffère du manteau terrestre à tel point qu’on se demande si son noyau n’est pas tout petit, voire inexistant. En 1962, le scientifique de la Nasa Gordon MacDonald déclare : « La réduction des données astronomiques se traduit par le constat que l’intérieur de la Lune doit être moins dense que ses couches externes. Elle ressemble plus à un corps creux qu’à une sphère homogène. »
« Les expériences du Lunar Orbiter ont largement élargi notre connaissance du champ gravitationnel de la Lune […] soulevant l’inquiétante éventualité qu’elle peut être creuse », relate Sean C. Solomon, directeur du département Magnétisme terrestre à la Carnegie Institution de Washington.
Pourquoi inquiétante ?
Parce que ce constat implique ce qu’a exprimé l’astronome Carl Sagan, cosignataire, en 1966, de Intelligent Life in the Universe : « Un satellite naturel ne peut pas être creux. »
Métaux apparemment usinés…
Il semble que la Lune possède une coque extérieure très résistante et un intérieur plus léger ou vide. La coque contient des minéraux denses, comme le titane, utilisé sur Terre pour la construction aéronautique et spatiale.
Certains se souviennent d'avoir observé, à la télévision, les astronautes essayant vainement de forer des trous dans le sol des mers de la Lune. Leurs forets, spécialement conçus pour cela, ne pouvaient pénétrer que de quelques centimètres.
Le mystère de cette surface dure s’est épaissi à la découverte de métaux apparemment usinés. Les experts ont été surpris de trouver des roches lunaires contenant, outre le titane presque pur, du cuivre, du mica et de l’amphibole.
Selon le laboratoire national d'Argonne, certaines roches contiennent aussi de l’uranium 236 et du neptunium 237, éléments jamais trouvés dans la nature. Tout en cherchant à expliquer la présence de ces matériaux, les scientifiques ont appris qu’un échantillon de sol de la mer des Crises contenait des particules de fer non corrodé.
En 1976, Associated Press annonce que les Soviétiques ont trouvé, dans des échantillons ramenés en 1970 par la sonde Zond 20, des particules de fer pur non oxydé, après ces années de séjour sur Terre. Le fer non allié à d’autres métaux qui ne rouille pas est inconnu dans la nature et la technologie actuelle n’est pas en mesure de le produire.
Parmi les découvertes stupéfiantes que les scientifiques préfèrent appeler « anomalies », l’âge de la Lune. En examinant les traces laissées dans les roches lunaires par le rayonnement cosmique, les scientifiques sont parvenus à estimer que la Lune précède la Terre d’environ 33 millions d’années.
Le très sérieux journal d’astronomie de Harvard Sky and Telescope rapporte que, lors d’un colloque concernant la Lune en 1973, une roche lunaire a été estimée vieille de 5,3 milliards d’années, c’est-à-dire beaucoup plus ancienne que le Système solaire.
Plus suprenant encore, la poussière lunaire dans laquelle reposait cette roche s’est avérée plus ancienne d’un milliard d’années que la roche elle-même. L’analyse chimique a montré que sa composition différait complètement de celle de la poussière environnante. Étant donné qu’un sol poudreux est généralement le résultat de l’érosion et de la pulvérisation des roches locales, ces roches doivent provenir d’un autre endroit. Mais d’où ?
La Lune présente au moins trois couches de roches. La distribution des minéraux est irrégulière et, contrairement à l’idée reçue selon laquelle les éléments les plus lourds s’enfoncent en profondeur, on les trouve en surface.
« Si la Terre et la Lune ont été créées l’une près de l’autre en même temps, comment expliquer que la Terre a reçu tant de fer alors qu’il y en a très peu sur la Lune, s’interroge le journaliste scientifique américain Earl Ubell. Cette différence indique que les deux corps se sont formés loin l’un de l’autre, ce qui place les astrophysiciens dans l’impossibilité d’expliquer comment la Lune est devenue un satellite de la Terre. »
La lune n’a pas de champ magnétique ; cependant on a constaté que les roches lunaires étaient magnétisées, même si ce n’est pas suffisant pour soulever une agrafe à papier.
Autre mystère, les « mers »…
Vastes étendues de roche fondue solidifiée, ressemblent parfaitement à d’énormes et très anciennes coulées de lave. En outre, les quatre cinquièmes de ces mers se trouvent du côté est du satellite et en majorité sur la face visible.
En revanche, la face cachée contient beaucoup plus de cratères et de zones montagneuses.
Il y a très peu de cratères dans les mers, et les orbites d’engins spatiaux sont déviées lors du survol du centre des mers ou de leur voisinage. Cette influence gravitationnelle révèle la présence de « mascons », larges concentrations de masses circulaires situées à des profondeurs de 32 à 65 km sous les centres des mers.
Les mascons seraient de grosses météorites ferreuses qui auraient plongé dans la croûte lunaire alors qu’elle était encore molle et en formation. Sachant que les météorites percutent à des vitesses telles qu’elles se vaporisent au contact, cette théorie n'est pas retenue.
Autre explication : les mascons ne seraient rien d’autre que des cavités remplies de lave ; rejetée aussi car il n’y aurait pas assez de lave pour les remplir.
Tout se présente comme si les mascons étaient d’énormes disques artificiels situés au milieu des mers, comme au centre d’une cible. Hasard ou accident ?
La rétention d'information, particulièrement de cette importance, est une des clés essentielles que le pouvoir, qu'ils soit religieux, civil ou militaire, garde jalousement pour assurer sa pérennité.
Cela dit, on a découvert sur notre satellite toutes sortes de traces d'objets de très grande taille, de formes géométriques manifestement pas naturelles, des trous, des traces ressemblant à des routes, des galeries sous la surface, etc... Il suffit de parcourir certains sites Internet pour voir des photos de ces objets, et les commentaires abondent à propos du silence des instances officielles, ainsi que des manipulations subies, de toute évidence, par certaines photos.
« Des scientifiques de la Nasa et des ingénieurs qui ont participé à l’exploration de Mars et de la Lune ont communiqué les résultats de leurs découvertes lors d’un briefing au Washington National Press Club le 21 mars 1996, peut-on lire dans un communiqué de presse officiel.
Ils annoncent pour la première fois que des structures et objets de fabrication non humaine ont été découverts sur la Lune. Les savants se sont exprimés avec circonspection et évasivement à ce propos, sauf concernant un ovni.
Ils maintiennent que la présence de tels objets est possible et déclarent que cette information est toujours à l’étude. Les résultats officiels seront publiés ultérieurement. » À ce même briefing, il est annoncé que « l’Union soviétique possède des photos prouvant la présence d’activité sur la Lune.
Bien que le type d’activité n’ait pas été précisé, des milliers de photos et vidéos provenant des opérations Apollo montrent de nombreuses zones de la surface lunaire où cette activité et ses traces sont évidentes. » Surpris, l’auditoire demande les preuves qu’avancent les chercheurs.
« Nous pouvons difficilement prévoir la réaction du public à l’annonce que des créatures se sont trouvées ou se trouvent encore sur la Lune. Il y a en outre d’autres raisons qui ne sont pas du ressort de la Nasa. »
Selon Richard Hoagland, essayiste et théoricien américain, considéré par la majorité des astronomes comme extravagant et relevant de la pseudo-science, « la Nasa est encore en train de modifier des données photographiques avant leur publication dans des catalogues et dossiers accessibles au public. Ils font des retouches et modifient la mise au point lors des copies ».
Certains enquêteurs, dont Richard Hoagland lui-même, supposent qu’une race extraterrestre a utilisé la Lune comme base pendant ses activités sur la Terre, notion confirmée par les légendes et la mythologie de différentes cultures.
Juste en passant également nous pourrions souligner, que si la vie est issue des comètes comme s’est admis par la science, alors que celles ci subissent des variations de températures incroyables ( + 1000 °C - 273 °C ) on peut à juste titre supposé qu’il en est de même sur tous les astres de l’univers, et d’autant plus sur la Lune qui n’est plus aride et séche comme on le pensait, mais qui abonde en eau, dans ce cas elle ne devrait pas être stérile non plus…
Qui peut juste imaginer que quand il tient dans ses mains une poignée de terre, il y a dans cette poignée de terre, plus d’organismes vivant, qu’il n’y a dêtres humains sur la planète ! Et prétendre en même temps que les autres corps célestes eux sont stériles et sans vie est d’une stupidité sans nom…
Comme toujours c’est bien à vous de juger de tout cela…
Sources :
Futura sciences / Nexus N° 73 / Wikipédia/ & moi même…
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