François Hollande nous allie avec le diable
Syrie : ces chrétiens que nos nouveaux alliés islamistes massacrent "à l'ancienne"
Laurent Fabius fait tout son possible pour aider les islamo-rebelles syriens comme l’avait fait avant lui BHL avec les islamo-rebelles de Libye. Obama a choisi de remplacer Bachar El Assad par des mercenaires moyen-ageux à la solde des monarchies du Golfe.
La France fait le sale boulot…. Qu’il semble loin le temps où l’on refusait de se soumettre à l’Oncle Sam !
VIDEO
Sur la vidéo on voit des dizaines d’hommes et de garçons applaudir tandis que trois hommes sont assis sur le sol en attendant leur destin macabre. Ils sont ensuite méthodiquement décapités chacun leur tour avec ce qui semble être un couteau de cuisine. Cette vidéo censurée sur les sites youtube et dailymotion, a été présentée comme étant l'exécution des franciscains, dont le père Mourad. Âmes sensibles s'abstenir !
> > > ENFIN LA VÉRITÉ SUR LE 11 - 9 !
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http://www.youtube.com/watch?v=JujQj-Njc0g > > >
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> > > Syrie : Le pourquoi de la campagne sur l’utilisation d’armes chimiques
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http://www.france-irak-actualite.com/article-syrie-le-pourquoi-de-la-campagne-sur-l-utilisation-d-armes-chimiques-119871763.html >
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> > > Par Scarlett Haddad (Revue de presse : L’Orient- Le Jour- Médiarama – 4/9/13)*
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> > > Des sources diplomatiques des Brics l’émir Bandar ben Sultan, qui a supplanté les responsables qataris dans la lutte contre le régime syrien, avait mis au point un plan pour porter un coup fatal au régime via la capitale Damas. Une unité entraînée en Jordanie avait été préparée dans ce but. Les rumeurs véhiculées par la presse sur l’imminence de la bataille d’Alep n’étaient que de la poudre aux yeux, visant à détourner l’attention du régime syrien du véritable champ de l’offensive prévue. De même, l’attaque de l’opposition contre 13 villages de Lattaquié visait à obliger le régime à alléger son dispositif de sécurité autour de la capitale pour protéger son fief, Lattaquié. L’offensive contre la capitale devait avoir lieu sur deux fronts, celui du Nord et celui du Sud, et elle devait coïncider avec une large campagne médiatique, politique, psychologique et sur le terrain contre le Hezbollah pour le pousser à retirer ses troupes de Syrie et à se replier sur la scène interne libanaise.
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> > > Mais le régime syrien, selon la source, avait découvert ce plan et il avait lancé une contre-offensive, appelée «le bouclier de la capitale», destinée à élargir le périmètre de sécurité autour de Damas, autour du centre (Homs), jusqu’au littoral de Lattaquié, qui a été déclenchée le 20 août, dans une opération qualifiée de « préventive ». Le régime syrien et ses alliés ont ainsi pris leurs adversaires de court et enregistré une véritable percée. C’est alors, ajoute la source du Brics, qu’a été brandie l’affaire de l’utilisation des armes chimiques à Ghouta dans le rif de Damas, dans le cadre d’une gigantesque opération médiatique, à l’aide d’images très fortes, d’enfants morts, destinées à mobiliser l’opinion publique internationale.
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> > > Cette campagne s’est accompagnée de l’envoi d’émissaires américains en Russie et en Iran. Le ton, précise la source diplomatique du Brics, utilisé par les émissaires des États-Unis était très ferme et le discours se résumait ainsi: «Soit vous faites des concessions en abandonnant le régime d’Assad, soit nous vous les arracherons par la force.» La source diplomatique précitée affirme que les Américains auraient été surpris par le calme des Russes, alors que les Iraniens n’auraient au départ pratiquement pas réagi. Seul le président Assad a déclaré qu’il ne ferait pas de concessions.
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> > > Les Américains auraient alors décidé de hausser encore plus le ton en envoyant leurs navires destroyers en Méditerranée et en décrétant la mobilisation dans leurs bases dans la région, pour montrer le sérieux de leurs propos. Ils croyaient ainsi avoir bien fait comprendre à leurs interlocuteurs que cette fois, ils ne plaisantaient pas. Le ministre russe des AE a alors eu cette phrase qui a induit l’Occident en erreur, lorsqu’il a dit que la Russie ne se laissera pas entraîner dans une guerre contre l’Occident. Les États-Unis auraient pris cela pour un feu vert tacite, un peu comme lorsque l’envoyée américaine à Bagdad April Glaspie Glasby avait fait croire en 1991 à Saddam Hussein que les États-Unis ne réagiraient pas à une occupation du Koweït... En même temps, les sources militaires américaines ont dévoilé les cibles des frappes en Syrie, dans une tentative de convaincre les alliés du régime du sérieux de l’affaire.
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> > > Mais dans le camp adverse, les préparatifs allaient bon train. Une chambre d’opérations communes a été créée, entre la Russie, l’Iran, Damas et le Hezbollah. Les Russes ont mobilisé leurs navires devant les côtes méditerranéennes, les Iraniens ont décrété une mobilisation de leurs forces navales, aériennes et terrestres, alors que l’armée syrienne a mis en état d’alerte toutes les troupes gardées jusque-là en réserve. Les Russes et les Iraniens ont ensuite fait savoir aux Américains qu’à leurs yeux, il n’y a pas d’opération militaire limitée et ciblée et que toute attaque entraînerait une riposte totale, jusqu’au détroit d’Ormuz et à celui de Bab el-Mendab. Les Iraniens ont aussi laissé entendre que la riposte ne sera pas limitée à la Syrie mais pourrait atteindre d’autres cibles dans la région. Vendredi et samedi, les Russes et les Iraniens n’ont cessé de hausser le ton pour montrer qu’ils sont prêts à tout et finalement, c’est le président américain Barak Obama qui s’est rétracté, soumettant sa décision à l’approbation des députés américains, après la défection des Britannique.
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> > > Source :
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> > > Médiarama(4/9/13)
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http://gallery.mailchimp.com/fdeacba4fa4c5ec4d8ce5787c/files/Mediarama_414.pdf <
http://gallery.mailchimp.com/fdeacba4fa4c5ec4d8ce5787c/files/Mediarama_414.pdf >
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> > > Obama a décidé que c’est plus sûr d’acheter le Congrès que de faire cavalier seul
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> > > Paul Craig Roberts
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> > > Alors qu’il réclamait encore des pouvoirs dictatoriaux pour déclencher une guerre de sa propre autorité, Obama a mis son attaque unilatérale contre la Syrie en attente quand il a reçu une lettre de plus de 160 membres de la Chambre des représentants lui rappelant que mener le pays à la guerre sans l’approbation du Congrès constituait une faute pouvant entrainer la destitution, et quand il a vu qu’aucun des pays qui auraient pu servir de couverture pour un crime de guerre, pas même le gouvernement de la marionnette britannique et les Etats fantoches de l’OTAN, ne soutiendrait l’agression militaire américaine annoncée contre la Syrie.
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> > > Obama s’en est tiré avec l’attaque de la Libye sans le feu vert du Congrès, parce qu’il a utilisé des marionnettes de l’OTAN, et non les forces militaires américaines. Ce stratagème a permis à Obama de dire que les Etats-Unis n’étaient pas directement impliqués.
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> > > Maintenant que le manque de couverture et le défi du Congrès ont poussé l’apprenti-tyran Obama à suspendre son attaque contre la Syrie, que pouvons-nous attendre?
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> > > Si Obama était intelligent, et clairement, quelqu’un qui peut nommer Susan Rice comme son conseiller à la sécurité nationale n’est pas intelligent, il laisserait tout simplement l’attaque contre la Syrie se fondre en arrière-plan et mourir, tandis que le Congrès retournerait le 9 Septembre faire face aux problèmes insolubles du déficit budgétaire et du plafond de la dette.
> > >
> > > Une administration compétente se rendrait compte qu’un gouvernement qui est incapable de payer ses factures sans usage intensif de la planche à billets est en bien trop grande difficulté pour se préoccuper de ce qui se passe en Syrie. Aucune administration compétente ne risquerait une frappe militaire qui pourrait entraîner un embrasement du Moyen-Orient et la hausse des prix du pétrole, aggravant ainsi la situation économique à laquelle Washington fait face.
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> > > Mais Obama et sa bande d’incompétents ont démontré qu’ils n’ont aucune compétence. Le régime est aussi corrompu, et tout l’édifice ne repose que sur des mensonges.
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> > > Maintenant que la Maison Blanche se rend compte qu’Obama ne peut pas commettre un crime de guerre, sans couverture, voici ce que nous pouvons probablement attendre. L’argumentation va se déplacer ; ce ne sera plus “Assad a-t-il ou non utilisé des armes chimiques ?” mais plutôt que le Congrès ne doit pas saper le prestige et la crédibilité américaine en ne soutenant pas le président Obama, le dernier homme de paille pour les guerres américaines d’agression.
> > >
> > > La Maison Blanche va soudoyer, cajoler, et intimider le Congrès. L’argument du régime sera celui du prestige et de la crédibilité de l’Amérique, le Congrès doit soutenir le président. Le Président et le Secrétaire d’Etat ont fait des déclarations sans équivoque sur la culpabilité de M. Assad et leur détermination à punir Assad. Compte tenu de la folie de Washington, la façon dont il veut punir Assad, pour (prétendument) avoir tué des syriens avec des armes chimiques, c’est de tuer encore plus de Syriens avec des missiles de croisière.
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> > > Si cela n’a pas de sens pour vous, vous ne faites pas partie du gouvernement d’Obama ou des médias américains, et vous ne pourrez jamais être un néoconservateur.
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> > > La Maison Blanche fera valoir que Obama a cherché un compromis avec le Congrès en le laissant voter sur la décision, et que la part du Congrès du compromis est d’apporter son soutien. Rencontrons-nous à mi-chemin, dira la Maison Blanche.
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> > > Le lobby pro-israélien, Susan Rice, les néo-conservateurs et les va-t’en-guerre comme les sénateurs John McCain et Lindsey Graham diront que le manque de soutien de l’attaque d’Obama contre la Syrie nuit à la crédibilité de l’Amérique, aide les "terroristes" et "laisse l’Amérique sans défense." C’est déjà assez, diront-ils, que Barack Obama ait montré de l’indécision en attendant l’approbation du Congrès et de l’irrésolution en substituant une frappe limitée au plan original de changement de régime.
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> > > Face aux menaces d’une coupure des dons de campagne du lobby pro-israélien et le complexe militaro-sécuritaire, la Chambre et le Sénat peuvent être poussés à "soutenir le pays», alors que celui-ci commet un autre crime de guerre. La combinaison de la corruption, l’intimidation et les appels patriotiques pour soutenir le prestige de l’Amérique peut faire basculer le Congrès. Personne ne sait vraiment si les quelques 160 membres de la Chambre sont sincères en mettant Obama en demeure, ou s’ils veulent simplement quelque chose. Peut-être veulent-ils seulement monnayer leur approbation à Obama.
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> > > Si le Congrès apporte son soutien à un autre crime de guerre américain, le Premier ministre britannique David Cameron peut revenir au Parlement et leur dire que Obama "a maintenant rallié le Congrès, offrant ainsi la couverture, et si le Parlement ne suit pas, l’argent va nous être coupé".
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> > > Peu de politiciens britanniques, autres que George Galloway, sont à l’aise avec une coupure des fonds.
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> > > Si Cameron arrive à convaincre le Parlement, les autres pays de l’OTAN pourraient décider de s’accrocher au wagon des paiements. La règle primordiale de la civilisation occidentale, c’est que plus d’argent est toujours mieux que pas d’argent.
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> > > Washington et ses marionnettes européennes de l’OTAN critiquent la Russie et la Chine pour l’utilisation de leur droit de veto au Conseil de sécurité pour empêcher l’ONU d’apporter la justice, la liberté et la démocratie en Syrie. Ces faux arguments seront utilisés par les médias occidentaux presstitués pour minimiser l’importance de l’opposition du Conseil de sécurité de l’ONU à l’attaque de Washington contre la Syrie. Pourquoi Washington devrait-il être dissuadé par les membres du Conseil de sécurité qui soutiennent l’utilisation d’armes chimiques par Assad ? se demandent les putes médias américains. Les prostituées qui composent les médias américains feront tout ce qu’ils pourront pour veiller à ce que Washington tue encore plus de Syriens. Tuer est la marque de fabrique de l’Amérique.
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> > > Comme l’histoire de l’humanité le prouve, les gens feront n’importe quoi pour de l’argent. Les exceptions notables sont Edward Snowden, Bradley Manning et Julian Assange. Si une seule de ces personnes avait été à Washington et avait dit : «achetez-moi", en échange de son silence Washington aurait fourni des fortunes avec lesquelles il pourrait vivre une vie de confort.
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> > > Vu comment le gouvernement américain est corrompu et comment Washington est déterminé à pousuivre son plan, les inspecteurs d’armes chimiques de l’ONU sont à risque. Il est peu probable qu’ils aient un accident comme les SEAL Team Six (NDT : ceux qui sont censés avoir tué Ben Laden). Mais, à moins qu’ils ne soient séquestrés comme un jury, ils sont des cibles pour la corruption. Si le rapport de l’ONU ne soutient pas la position de la Maison Blanche, le Secrétaire général va subir des pressions pour rendre le rapport peu concluant. Après tout, c’est Washington qui signe les chèques grâce auxquels l’ONU fonctionne.
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> > > Personne ne devrait s’attendre à ce que le Congrès américain vote sur la base de la preuve. Par ailleurs, le Congrès n’a jusqu’ici toujours pas compris que, indépendamment de savoir si Assad a utilisé des armes chimiques, c’est un crime de guerre pour les Etats-Unis de commettre une agression manifeste contre la Syrie, un pays qui n’a pas attaqué les États-Unis. Ça ne regarde en rien Washington comment le gouvernement syrien réprime l’effort des extrémistes al-Nusra pour le renverser.
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> > > L’argument d’Obama qu’il est OK pour tuer des gens avec du phosphore blanc et de l’uranium appauvri, comme font les Etats-Unis et Israël, mais pas avec du gaz sarin, n’a aucune logique.
http://www.washingtonsblog.com/2013/08/the-u-s-and-israel-have-used-chemical-weapons-within-the-last-8-years.html > > >
> > > Washington lui-même a des plans d’urgence pour utiliser des bombes anti-bunkers nucléaires contre les installations nucléaires souterraines de l’Iran. Si Washington croit que les armes de destruction massive sont inadmissibles, pourquoi en a-t-il autant, et pourquoi des plans d’urgence pour les utiliser ? Washington a-t-il des regrets d’avoir lâché deux bombes atomiques sur des villes japonaises civiles au moment même où le gouvernement japonais faisait tout ce qui était en son pouvoir pour se rendre?
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> > > Depuis la fin de la dangereuse guerre froide, la guerre chaude a été le pilier de la politique étrangère américaine. George HW Bush a attaqué l’Irak après que son ambassadeur ait donné à Saddam Hussein le feu vert pour attaquer le Koweït. Clinton a attaqué la Serbie sous de faux prétextes et sans aucune autorité constitutionnelle ou légale. George W. Bush a attaqué l’Afghanistan et l’Irak sur la base de mensonges. Obama repart à l’attaque sur l’Afghanistan et a attaqué aussi le Yémen, le Pakistan et la Somalie. Obama a envoyé ses marionnettes de l’OTAN pour attaquer la Libye, a envoyé des mercenaires en Syrie, et a maintenant l’intention d’empêcher la défaite de ses mercenaires en attaquant la Syrie.
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> > > Washington construit une chaîne de bases militaires autour de la Russie et de la Chine. Ces bases sont extrêmement provocatrices et prédisent une guerre nucléaire.
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> > > Les États-Unis, un pays avec un vaste arsenal d’armes nucléaires, dont les dirigeants politiques sont à la fois corrompus et fous, est un grand danger pour la vie sur terre. Que Washington soit le danger numéro un au monde est désormais universellement reconnu, sauf par les Américains qui portent leur patriotisme sur leur manche. Ces dupes crédules sont les catalyseurs de la disparition de l’humanité par la guerre.
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> > > Jusqu’à ce que l’économie américaine s’effondre, Washington aura toujours de l’argent imprimé, et il pourra acheter l’acquiescement pour ses crimes. Il peut compter sur le soutien des presstitués pour raconter ses mensonges comme si c’était des faits. Le monde ne sera pas sûr jusqu’à ce que le château de cartes américain s’effondre.
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> > > Ça me désole de voir tous ces Américains mal informés qui pensent qu’ils vivent dans le meilleur pays au monde. Trop peu d’Américains se soucient que leur gouvernement ait détruit d’innombrables vies en Amérique centrale, au Vietnam, au Moyen-Orient et en Afrique. L’armée américaine a systématiquement assassiné des civils en Afghanistan, au Pakistan, au Yémen, en Somalie, et est responsable de pas moins de 1.000.000 morts irakiens et 4.000.000 Irakiens déplacés. La définition américaine de «meilleur pays au monde» c’est le pays qui peut assassiner les personnes les plus innocentes, des gens qui n’ont jamais attaqué l’Amérique, des gens qui regardaient autrefois l’Amérique comme l’espoir du monde et maintenant la voient comme une menace mortelle.
> > >
> > > Trop d’Américains n’ont aucune idée qu’un cinquième de leurs concitoyens dépendent de l’appui du gouvernement, ou s’ils le savent, ils accusent les malheureux d’être des sangsues sur la bourse des contribuables. Aux Etats-Unis, les salaires et les possibilités d’emploi sont en baisse. Il n’existe aucun obstacle au pillage des citoyens par les institutions financières. Il n’y a aucune contrainte sur l’illégalité et la brutalité de la police, et aucune limite aux mensonges qui maintiennent la population américaine piégée dans la matrice de l’ignorance de la réalité.
> > >
> > > Essayer d’imaginer comment un tel peuple peut conserver la liberté ou retenir un gouvernement dédié à la guerre donnerait des migraines.
> > >
> > > Ces républicains qui s’inquiètent du fardeau de la dette pour nos enfants et nos petits-enfants sont inquiets au sujet d’un avenir qui pourrait ne jamais arriver. L’hybris de Washington pousse le monde vers une guerre nucléaire.
> > >
> > > "Le meilleur pays du monde» est la force maléfique qui détruit la vie et les perspectives des différents peuples et pourrait encore détruire toute vie sur terre.
> > >
> > > ________________________________
> > > Synthèse nationale de renseignements déclassifiée
> > >
> > >
http://fr.scribd.com/doc/164909887/Syrie-Synthese-Nationale-de-Renseignement-Declassifie-02-09-2013 > > >
> > >
> > > L'opinion d'un ancien de la DRM sur les 9 pages d'anthologie
> > >
> > > Ayant travaillé plusieurs années à la DRM, j'ai reconnu le style clair, dépouillé, précis, objectif et prudent des travaux de cet organisme. Mes conclusions à la lecture de ce document.
> > >
> > > 1°) Il ne "prouve" pas la "culpabilité du "régime au pouvoir". Il apporte de sérieuses et convaincantes présomptions de culpabilité, mais pas de preuves.
> > >
> > > 2°) Le document original a probablement été falsifié. Falsifié à la marge peut-être mais falsifié quand même. Les notes de la DRM sont toujours strictement objectives quand elles parlent de belligérants et les qualifient, que nous soyons impliqués ou non dans le conflit en cause. Dans une guerre civile, il y a, par exemple, les "troupes gouvernementales" et les "rebelles". La seule expression "régime" qui contient une connotation partisane, donc politique et non strictement militaire, hostile au gouvernement en place, ne fait pas partie du vocabulaire habituel de la DRM.
> > >
> > > De plus le petit paragraphe ajouté en bas de chaque page, avec le petit drapeau français à côté pour faire officiel, pour bien marteler l'évidente culpabilité alléguée du "régime", sent à plein nez le texte ajouté.
> > >
> > > 3°) Il n'y a pas à la guerre de bons et de mauvais morts, de morts justifiables et de morts injustifiables. En quoi la mort d'enfants gazés en Syrie serait-elle plus intolérable que celle des enfants morts à Hiroshima ? Les conventions internationales interdisant certaines pratiques particulièrement odieuses ne valent que tant qu'elles ont respectées. La seconde guerre mondiale n'a pas vu l'usage des armes chimiques (Soman, sarin, tabun...) parce que des, deux côtés, il y avait des stocks considérables dont l'usage aurait été épouvantable. Hitler, jusqu'aux derniers moments de sa folie furieuse, n'a pas donné l'ordre de les utiliser.
> > >
> > > En Syrie, actuellement, malheureusement, le conflit étant tellement acharné, nous devons constater que "probablement" les deux côtés utilisent de telles armes. Nous devons nous indigner, et probablement aussi agir, face à la globalité de cette catastrophe humaine qui a déjà fait plus de cent mille morts, et non pas nous indigner sélectivement sur un fait limité dont les circonstances sont mal établies en prônant de plus une action dite de "frappe" qui n'apportera aucune solution au problème de fond et, en ajoutant des bombes sur les bombes, fera probablement autant de victimes innocentes que l'action qu'elle est censée "punir".
> > >
> > > 4°) Nous n'avons aucun droit à nous prévaloir d'une quelconque capacité à "punir" un état étranger. Nous n'avons aucun droit à agresser militairement un état étranger souverain. Le conflit syrien doit être traité par les instances internationales prévues pour cela : les Nations Unies. Nous ne pouvons alléguer de la prétendue incapacité de celles-ci dès lors que nous serions les premiers à saper son autorité en engageant une action militaire sans son aval et donc de façon parfaitement illicite.
> > >
> > > Quant aux criminels de guerre, il y a les tribunaux internationaux pour cela. Hollande et Fabius, prenez garde aussi de ne pas y être traduits un jour si vous persistez dans vos intentions de frappes folles.
> > >
> > > Ps cocasse :
> > > Par ailleurs envoyé un navire comme "Le Chevalier PAUL" dont le prédécesseur a été torpillé en 1941 en rade de Beyrouth ce n’est pas très futé car les marins sont superstitieux !
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> > > CHARBONNIER Marcel <
CHARBONNIER@finances.gouv.fr > > > > La none mal embouchée – En visite en Israël, une religieuse syrienne déclare son soutien au Président Asad assiégé > > > > > > Pourquoi la carmélite pense que l’attaque à l’arme chimique de Damas est une falsification > > > > > > par Gideon Levy, 1er septembre 2013 > > > traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier > > > > > > http://www.haaretz.com/news/features/.premium-1.544616 < http://www.haaretz.com/news/features/.premium-1.544616 > > > > > > > Sœur Agnès-Marie de la Croix redoutait que les Etats-Unis ne passent à l’attaque contre la Syrie samedi soir. Elle s’attendait à ce que cette attaque fût massive et elle redoutait qu’elle n’apportât la désolation à la Syrie et à toute la région. Selon elle, il y a en Syrie environ 150 000 jihadistes venus de 80 pays munis d’armes reçues d’Arabie Saoudite, de Jordanie, de Turquie et même des Etats-Unis. Elle avance que certains d’entre eux sont sous l’emprise d’une drogue, le Captagon, dont ils absorberaient des pilules. > > > > > > Notre none vit en Syrie. Elle est l’abbesse (ou la mère supérieure) du Monastère de Saint-Jacques-le-Mutilé. Elle affirme que ces combattants jihadistes contrôlent 60 pourcents des régions peuplées de la Syrie. Elle soutient que le groupe de rebelles islamistes syriens Jabhat al-Nusra, un groupe qui a été qualifié de terroriste par les Etats-Unis, est responsable de crimes de masse, de viols et de pillages perpétrés en Syrie. Elle affirme aussi que les combattants tchétchènes sont particulièrement cruels et que parmi les combattants étrangers se trouvent un nombre assez importants de prisonniers (de droit commun) libérés et de citoyens de pays occidentaux. Selon elle, la majorité des citoyens syriens soutiennent le régime du Président Bashar al-Asad car ils redoutent que des extrémistes islamistes ne prennent le contrôle du pays. Elle exhorte le monde à ne pas attaquer la Syrie et de stopper l’afflux des combattants étrangers en territoire syrien, ainsi que les fournitures d’armement dont ils bénéficient. Lorsqu’elle se déplace en Syrie, aujourd’hui, elle a l’impression d’être en Afghanistan ou en Somalie. Une frappe américaine contre la Syrie ne pourrait que porter atteinte à l’armée syrienne et [donc] ouvrir la porte à une mainmise totale sur le pays du mouvement djihadiste mondial, c’est du moins ce dont elle est convaincue. « Si le régime est renversé » dit-elle, « cela sera encore pire qu’en Irak. Il y aura des répercussions au Liban, en Israël et en Jordanie, et cela ne contribuera en rien au renforcement de la sécurité ». > > > > > > Elle pense aussi que les photos des victimes de l’attaque alléguée à l’arme chimique du mois d’août, à l’Est de Damas, sont des faux. > > > > > > J’ai rencontré Sœur Agnès-Mariam cette semaine dans un couvent situé sur une des collines qui entourent Jérusalem, non loin d’Abu Ghosh. Elle est en visite en « Israël » pour quelques jours et, la semaine prochaine, elle retournera en Syrie, un pays où elle vit depuis dix-neuf années. L’histoire de sa vie est aussi surprenante que ses déclarations sur la situation dans ce pays. > > > > > > Elle est née sous le nom de Fadia al-Laham, il y a de cela soixante-et-un ans, à Jounié, à Liban (ses parents avaient fui Nazareth en 1948). Elle a perdu son père alors qu’elle avait seulement quinze ans et elle reconnaît que durant les quelques années qui suivirent ce deuil, elle est devenue une hippie à petites fleurs qui consommait des drogues et errait entre le Népal et l’Inde. Sur la paume de sa main, qu’elle tient dissimulée dans la manche de son vêtement de religieuse, elle a encore quelques tatouages qu’elle s’était fait faire en Inde – souvenir de cette période de sa vie. Elle dit aimer écouter The Doors, les Rolling Stones et Santana. Son expérience indienne l’avait amenée à opter pour la vie cloîtrée, et durant vingt-deux ans, elle a vécu dans une solitude extrême dans un monastère carmélite situé dans la montagne libanaise. Sœur Agnès-Mariam est allée s’installer en Syrie il y a de cela dix-neuf ans. En compagnie de deux autres religieuses, elle a remonté les ruines d’un monastère situé non loin de la route principale entre Damas et Homs, dans le voisinage de village de Qara. Elle est devenue la mère supérieure de ce monastère reconstruit, le Monastère de Saint-Jacques-le-Mutilé. Actuellement, en plus des nones, vingt réfugiés sunnites vivent ayant fui les horreurs de la guerre sont venus s’y mettre à l’abri. > > > > > > Elle a été contrainte à quitter ce monastère en juin 2012 après une multiplication des menaces de mort contre elle : elle était soupçonnée de travailler pour le régime syrien. Son monastère est situé entre la zone contrôlée par l’Armée Syrienne Libre et celle qui est contrôlée par [ceux qu’elle appelle] les « légions étrangères ». > > > > > > Elle vit actuellement à Damas, elle est une activiste pacifiste internationale cherchant à mettre le monde entier en garde contre les dangers d’une prise de contrôle de son pays d’adoption par les djihadistes. Elle se bat contre ce qu’elle considère être un tas de mensonges, s’efforçant de contrer la propagande et la désinformation des médias arabes et internationaux, et de rendre compte des atrocités de la guerre pour l’organisation qu’elle a créée. Elle est venue cette semaine rendre visite à des parents à Nazareth et participer à une conférence interreligieuse en Israël. > > > > > > > > > Une admiratrice d’Israël > > > > > > Je l’avais déjà rencontrée lors d’une conférence de paix internationale à Kuala Lumpur, en Malaisie, où elle avait prononcé un discours retentissant et où elle avait présenté des documents vidéo insoutenables sur les atrocités perpétrées, affirmait-elle, par les djihadistes. Ayant été présentée à elle, elle me dit qu’elle aimait Israël et que les juifs devraient être réellement des lumières pour les nations. J’eus la surprise d’apprendre qu’elle avait déjà effectué une courte visite en Israël. > > > > > > Etant libanaise, affirme-t-elle, elle ne saurait être soupçonnée d’être un agent du régime Asad, du fait que le Liban est à ses yeux en réalité encore sous occupation syrienne. Elle met ces arguments en avant pour nier les allégations qui ont été proférées à son encontre, notamment contre l’accusation selon laquelle elle aurait été directement responsable, en janvier 2012, de la mort du journaliste français Gilles Jacquier, quarante-trois ans, un reporter télévision qui travaillait pour la chaîne française Antenne2. Elle nie catégoriquement toute responsabilité dans la mort de celui-ci, arguant du fait qu’elle l’avait simplement aidé à entrer en Syrie. > > > > > > Elle pense que le régime Asad est la seule chose qui puisse épargner à la Syrie de tomber sous le contrôle d’Al-Qaida et que la plupart des Syriens soutiennent le régime actuel. C’est la raison pour laquelle, explique-t-elle, le président égyptien Hosni Moubarak a été renversé si rapidement, alors qu’Asad est toujours en place. A la fin de l’année 2011, dit-elle, elle a commencé à comprendre deux choses : premièrement, que les rapports sur l’existence d’une opposition syrienne respectueuse des principes démocratiques étaient sans fondement, et la deuxième, le fait que la rébellion était au premier chef à l’initiative de puissances étrangères. Au début, se souvient-elle, on parlait à leur sujet de forces non identifiées ; toutefois, fait-elle observer, leur identité réelle a commencé à émerger au bout de quelques mois. > > > > > > Lorsque la chaîne télévisée basée au Qatar Al-Jazeera a dit, au début des combats, qu’il y avait eu un massacre dans une des villes de la banlieue de Damas assiégée par l’armée syrienne, elle s’est rendue sur place afin de constater de visu ce qui s’était passé, et elle avait été stupéfaite de découvrir que ce reportage était entièrement faux. Selon elle, lorsqu’elle a exprimé ses condoléances au prêtre local de ce faubourg de Damas, celui-ci ne comprit absolument pas ce à quoi elle faisait allusison. > > > > > > En décembre 2011, elle se serait rendue à Qusayr après qu’eurent circulé des informations selon lesquelles des civils y auraient été massacrés par l’armée syrienne. A l’hôpital de cette localité, on lui a montré les corps de cent civils qui avaient été assassiné la veille ; toutefois, selon les témoignages qu’elle a alors recueillis, prétend-elle, ce massacre avait en réalité été perpétré par des gangs de combattants étrangers. > > > > > > Elle pense que les morts sont attribuables au premier chef aux combats que les forces rebelles se livrent entre elles. Et elle prétend que dans certains cas l’armée syrienne collabore avec l’Armée Libre de Syrie pour combattre les djihadistes étrangers. A son avis, les combattants étrangers veulent imposer la Shari’a, la loi islamique, à toutes les sphères de la vie en Syrie, ils sont en train d’installer des tribunaux populaires et d’exécuter des gens. Ainsi, par exemple, elle affirme que le juge qui a été nommé dans la ville de Saraqib, dans le nord du pays, est en réalité quelqu’un dont la profession est de réparer de pneus. > > > > > > Ces derniers mois, elle s’est rendue à Homs, à Alep, à Qusaïr et dans d’autres localités où des combats avaient eu lieu. De plus, elle a visité des hôpitaux et elle s’est rendue chez des particuliers dans le cadre de ses efforts pour collecter des preuves pour l’organisation syrienne Musâlaha (Réconciliation), dont elle a fondé la branche internationale. > > > > > > Durant l’attaque chimique alléguée du 21 août, elle était à Damas. La semaine précédente, raconte-t-elle, un massacre terrible avait été perpétré à Lattaquié, où au minimum 500 civils avaient été tués par des organisations affiliées à Al-Qaida. Elle ajoute que, pourtant, les médias mondiaux n’avaient pratiquement pas fait mention de cet événement. > > > > > > A ses yeux, la Syrie est retournée à l’ère la plus barbare de son histoire, mais les médias continuent à se taire. Elle pense que la Jabhat-al-Nusra massacre tant des militaires que des civils et que cette organisation représente une menace pour l’ensemble du monde civilisé, en particulier pour le Liban et pour Israël : si le régime Asad est renversé, une dictature djihadiste émergera en Syrie. Si bien, affirme-t-elle, que les Etats-Unis, en réalité, ne font que prêter main-forte à Al-Qaida. > > > > > > Elle pense que les images de l’attaque chimique alléguée de la semaine passée ont été fabriquées. La plupart des civils de cette région [la Ghouta, oasis de Damas] avaient déjà pris la fuite, affirme-t-elle, si bien que l’on se demande comment des dizaines d’enfants ont pu se trouver là, subitement ? Cette partie de la région de Damas comporte aujourd’hui près de 20 000 combattants venus de Jordanie, affirme-t-elle. Si des armes chimiques avaient effectivement utilisées, s’étonne-t-elle, pourquoi les photos montrent-elles des médecins et des dizaines de personnes se tenant dans le voisinage immédiat de la scène de cette attaque sans masques à gaz ni aucune autre espèce de protection ? Après tout, dit-elle, les armes chimiques auraient dû être dangereuses pour eux aussi, non. ? > > > > > > > > > Lors de la première attaque chimique alléguée, à Alep – où des armes chimiques provenant de Turquie furent employées [sic !] – les médecins n’osaient même pas s’approcher des corps des victimes. Dans les clips vidéo qui ont été diffusés dans le monde entier et qui documentent, soi-disant, la dernière attaque chimique en date, l’on peut voir plusieurs dizaines de personnes se tenant debout à proximité des corps. Elle fait remarquer qu’elle était à Damas cette nuit-là et que les corps de cinquante soldats qui étaient morts par suffocation après avoir été gazés dans des hangars souterrains de l’armée syrienne avaient été évacués vers un hôpital. Elle affirme que c’est un bataillon islamiste qui avait perpétré cette attaque et que celle-ci a été la seule attaque chimique [réelle] à s’être produite au cours de toute la guerre civile syrienne. > > > > > > La seule chose qui puisse stopper les djihadistes, affirme la carmélite, c’est l’armée syrienne. Pour elle, si le régime actuel chute, la situation en Syrie sera pire que celle qui prévaut aujourd’hui en Irak. Elle supplie le président américain Barack Obama de ne pas participer à ce qu’elle considère comme un nouveau crime de guerre, une énième atrocité perpétrée contre la population civile. Elle ne parvient pas à comprendre pourquoi le monde est ainsi déterminé à lancer une guerre maintenant parce que, pense-t-elle, le résultat sera que la Syrie tombera sous le contrôle de groupes armés chaotiques et extrémistes. > > > > > > Les Etats-Unis se moquent de ce qui est préférable pour le peuple syrien, affirme-t-elle. Ils agissent en fonction de leurs propres intérêts. De plus, elle ne peut comprendre pourquoi l’Amérique vent initialiser une énième guerre au Moyen-Orient, qui ne pourra que conduire à l’émergence d’un régime islamiste cruel de plus. « Pourquoi vous [les Occidentaux] alimenter une guerre régionale pour soutenir l’Islam radical », demande-t-elle, « pourquoi » ? > > > > > > « Les Etats-Unis affirment détenir des preuves, mais cela ne suffit pas. Ils sont partie au conflit, par conséquent, ils ne peuvent être aussi des juges. Lorsqu’un pays s’érige en juge et en gendarme du monde, c’est extrêmement dangereux. Ce n’est pas la première fois que les Etats-Unis commettent cette erreur », ajoute-t-elle. « Nous n’avons pas besoin d’une autre guerre sous des prétextes fallacieux ». > > > > > > A la question : « Et que peut faire l’Occident, alors ? », elle répond qu’il devrait cesser d’alimenter les rebelles en armement, faisant tomber sa sentence : « Ce que fait l’Occident, en ce moment, c’est un scandale ! »