L'avocat de C. Ghosn révèle les «scandales de l'affaire»
Il simule son enlèvement pour échapper à son mariage
La vidéo serait classée « Top secret » pour des raisons de sécurité nationale
ETATS-UNIS - La vidéo serait classée « Top secret » pour des raisons de sécurité nationale
Nouveau rebondissement dans l’affaire des ovnis de la Navy. Pour rappel, le New York Times publiait il y a deux ans un article à propos d’une vidéo filmée en 2004 par un pilote de la Navy (marine de guerre des Etats-Unis) sur laquelle on distingue un objet volant non identifié.
Deux ans après avoir admis l’existence d'un programme d'études sur les ovnis, les autorités américaines reconnaissent aujourd'hui que des documents concernant cet objet volant sont classés « Top secret ». Certaines images en lien avec l’événement en font partie.
La sécurité nationale menacée
© O'Dell Dale/SUPERSTOCK/SIPA Photo d'illustration d'un ovni.
Une information qui vient tout droit du Pentagone. Ce dernier a été soumis à une demande d’accès à l’information garantie par le Freedom of Information Act, qui permet à chaque citoyen de demander l’accès à des documents d’une des agences fédérales, de la NSA à la Bibliothèque du Congrès. Une porte qui n’est jamais tout à fait ouverte puisque de nombreuses restrictions existent. Comme pour les documents qui exposent des secrets commerciaux, la vie privée d’autrui ou encore des « données géologiques ou géophysiques ».
Dans ce cas précis, c’est la classification « Top secret » qui bloque l’accès à plus de détails sur la nature de cet ovni. En témoigne la réponse qu’a reçue Christian Lambright, le chercheur à l’origine de la demande d’accès à l’information : « L’examen de nos archives a révélé que le bureau des renseignements de la marine (ONI) n’a pas de document publiable en lien avec votre demande. […] Nous avons découvert que certaines images sont classées TOP SECRET. L’examen de ces documents indique qu’ils sont pour le moment classifiés et que leur publication pourrait causer un danger exceptionnellement grave à la sécurité nationale des Etats-Unis ». Il y est mentionné plus loin que « l’ONI possède une vidéo classée SECRET » bien qu’il y soit précisé que son accès ne dépend pas de leur autorité mais d’un autre service de la Navy.
Une enquête en cours
Une porte-parole du Pentagone a ainsi déclaré à Vice que « l’enquête sur un phénomène aérien non identifié [un terme préféré à ovni car moins connoté] était encore en cours » et a confirmé que la vidéo circulant depuis 2017 est de même durée que la vidéo originale.
Un flou entretenu par l’administration qui ne permet pas d’établir formellement un lien entre la vidéo qui circule sur Internet et les « documents » dont fait mention la réponse de l’ONI.
La sécurité nationale menacée
© O'Dell Dale/SUPERSTOCK/SIPA Photo d'illustration d'un ovni.
Une information qui vient tout droit du Pentagone. Ce dernier a été soumis à une demande d’accès à l’information garantie par le Freedom of Information Act, qui permet à chaque citoyen de demander l’accès à des documents d’une des agences fédérales, de la NSA à la Bibliothèque du Congrès. Une porte qui n’est jamais tout à fait ouverte puisque de nombreuses restrictions existent. Comme pour les documents qui exposent des secrets commerciaux, la vie privée d’autrui ou encore des « données géologiques ou géophysiques ».
Dans ce cas précis, c’est la classification « Top secret » qui bloque l’accès à plus de détails sur la nature de cet ovni. En témoigne la réponse qu’a reçue Christian Lambright, le chercheur à l’origine de la demande d’accès à l’information : « L’examen de nos archives a révélé que le bureau des renseignements de la marine (ONI) n’a pas de document publiable en lien avec votre demande. […] Nous avons découvert que certaines images sont classées TOP SECRET. L’examen de ces documents indique qu’ils sont pour le moment classifiés et que leur publication pourrait causer un danger exceptionnellement grave à la sécurité nationale des Etats-Unis ». Il y est mentionné plus loin que « l’ONI possède une vidéo classée SECRET » bien qu’il y soit précisé que son accès ne dépend pas de leur autorité mais d’un autre service de la Navy.
Une enquête en cours
Une porte-parole du Pentagone a ainsi déclaré à Vice que « l’enquête sur un phénomène aérien non identifié [un terme préféré à ovni car moins connoté] était encore en cours » et a confirmé que la vidéo circulant depuis 2017 est de même durée que la vidéo originale.
Un flou entretenu par l’administration qui ne permet pas d’établir formellement un lien entre la vidéo qui circule sur Internet et les « documents » dont fait mention la réponse de l’ONI.