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Sous les pyramides des vestiges gênant d’une science avancée

 

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De nombreux  témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes  naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts  sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.
 
L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
 
L’histoire oubliée des pyramides…
 
Pour bien  saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de  prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et  celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du  plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments  majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères.
 
Ce qui s’est  déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris  par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées  ces 80 dernières années le confirment.
 
Le district de  l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des  limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel.  C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant  eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au  boomerang.
 
Le Lac Moeris  avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le  célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”.  Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines  supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.
 
Selon les  prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”,  destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés  dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna  particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
 
Je vis douze  palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de  terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, était entourée d’une colonnade.
 
Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée  de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par  un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les  passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces  dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à  l’origine  “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Égypte et en Nubie, 1757, page 152.
 
Beaucoup  d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages  souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de  l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait  que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la  préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les  pyramides.
 
Dans son étude  célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et  d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif  de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique,  rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide  par le corps du Sphinx :
Cette entrée,  aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée  entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée  par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le  mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une  sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne  l’aurait fait une protection armée.
 
Dans le ventre  du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine  de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du  parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant  sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
 
Les antiques  cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des  Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont  l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient  Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
 
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments,  ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en  grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des  Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une  description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature  était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des  passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et  alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
 
La tradition  locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles  souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets  magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément  en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé  Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le  Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui  montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.
 
Ammianus  Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des  découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux  souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.
 
Des  inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées  sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent  construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne  d’être perdue dans les inondations.
 
Un manuscrit,  rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British  Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section  carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose”  bloquant l’entrée, côté fleuve.
 
Il rapporte l’épisode suivant :
 
A l’époque  d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le  tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de  texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et,  comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en  riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été  ensorcelé.
 
Apprenant que  d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut  remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien  écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si  l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de  manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
 
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés  stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide.  Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des  robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre  “La Guerre des Etoiles”.
 
Massoudy  raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à  l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la  conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les  manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient  profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire  réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les  comprendre”.
 
C’est une  information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis  l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses  salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à  décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale…  mais cependant je les ai vues”.
 
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un  passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut  horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le  couloir devant eux.
 
Hérodote  affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels  de Memphis.
 
Les plus  anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de  complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant  le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la  découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le  site en 1993.
 
La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du  Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003.  L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les  autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994,  sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :
 
Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :
 
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux.
 
Le Directeur  des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute  possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le  passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du  Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
 
L’hypothèse  courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a  survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par  des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et  Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un  espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages  souterrains en étoile.
 
Ces plans  furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le  fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz,  qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète  au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
 
Les croquis  furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des  ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis  fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont  inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)
 
En 1935, la  connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de  découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de  salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.
 
Le complexe de  Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le  Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en  surface et en sous-sol.
 
Ces quelques  dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar  pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte  utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les  cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
 
Le nouveau  système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec  précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs.  Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à  Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
 
Les clichés du  secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée  d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et  s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers  tout le plateau.
 
Avec cet  important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont  capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée  probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques  centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement  originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit  actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et  couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord  Sinaï.
 
De gros titres d’actualités…
 
Chez les  mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition  enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres.  En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles  secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en  connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de  prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre  funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique  faisant partie du rituel initiatique.
 
Selon les  traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des  niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait  différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons  maintenant la Chambre du Roi.
 
Peu à peu, les  découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des  Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion  souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du  Sphinx).
 
En 1935, au  moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de  sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze  ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des  découvertes réalisées.
 
Un article de  presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une  découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse  aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies  d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de  recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.
 
Il déclarait : …
 
Nous avons  découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième  Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.
 
A peu près au  même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails  concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut  construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des  hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus  tardive et superficielle.
Le souterrain  et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut  construit il y a des milliers d’années…
 
Il y a  davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car  les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage  souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le  Temple du Sphinx dans la vallée.
 
Le passage  avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet  article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et  d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du  Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au  grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
 
Des  archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu  près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout  droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau  de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce  complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au  centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”
 
Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut !!!
 
La découverte  avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée  verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
 
Elle fut  appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire  télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”.  Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons  trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La  profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit  plus de 125 pieds…
 
Lors du  déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine  tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.
 
Selon un autre  article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la  Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique  rare apparu sous le règne d’Amenhotep.”
 
Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.
 
L’article  décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées  par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non  seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une  pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme  affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.
 
Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces  piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la  Bible signale leur existence.
 
On peut en  conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC),  connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh.
 
Ce modèle  souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel  central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au  premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament,  construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un  profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes  verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant  l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).
 
La description  des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de  l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
 
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un  doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut  sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité  supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de  l’Offrande et la Grande Pyramide).
 
Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de  Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs  sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des  emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de  récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un  parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
 
On découvrit  d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs,  certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de  sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.
 
Le rapport du  Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un  auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se  souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude  hors d’Egypte.
 
Ces détails ne  représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan  qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le  titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente  qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.
 
Pendant la  dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus  surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.
 
Les  archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce  qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement  organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de  scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres  bâtiments y compris un palais.
 
Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage  rivalise avec d’autres équipements modernes.
 
L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?
 
Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint  la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur  d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh  s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du  Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
 
L’expédition  fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et  circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un  kilomètre de large.
 
La cité,  blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges  sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On  découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.
 
D’après les  récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la  Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit  anciennement nommée Gigal.
 
On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon  confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au  grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé…
 
Un objet  sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de  base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut  prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à  l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement  comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en  fait mentalement la demande.
 
Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…
 
Des recherches  historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes  eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une  autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande  Pyramide.
 
En 1964, on  découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume  turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir  appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à  8.000 ou 10.000 personnes.
 
Leur existence  même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains  attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.
 
Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les  passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre  étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et  spécifiquement conçu dans sa totalité.
 
Démentis officiels…
 
Grâce aux  fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance  spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères  d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau  de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.
 
Toutefois,  l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations  souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les  autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut  si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en  doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces  aux fins de mystifier les touristes.
 
Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :
 
‘’ Personne ne  doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues  concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés  ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide,  faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou  sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.
 
Ces choses  existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les  amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments,  plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher  volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte.
 
Mieux vaut  ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir.  Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples,  grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul  temple jouxtant le Sphinx.’’
 
Cette ligne  stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais  des déclarations officielles démentant formellement l’existence de  temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.
L’affirmation  que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été  exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx  fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.
 
Sur des sujets  échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et  conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.
 
Lampes perpétuelles…
 
En dépit de  découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive  Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire  non cartographié.
 
Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains  et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une  chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir  dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même  question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les  égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches  ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.
 
D’après ce que  l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq  kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les  Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux  “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut  s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones  souterraines de leurs complexes.
 
Jamblique rend  compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu  d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de  personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.
 
Ils décrivirent leur expérience :
 
‘’ Nous  arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière  automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main  d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle.  Comme nous approchions du tube, il brillait davantage…
 
les esclaves  furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous  étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre  possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de  lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans  d’autres, non.
 
Nous brisâmes  l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté  qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes  (du mercure ?).
 
Au fil du  temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et  les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.
 
Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’
 
Une pratique  courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes  allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur  divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à  “l’autre rive”.
 
Parmi les  tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde  brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à  l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.
 
Plus tard les  Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la  consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des  reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts.  Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée  parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…
 
Il existe des  preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes  éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres  rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts  des centaines d’années plus tard.
 
La capacité à  composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement  qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les  auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches  d’arguments.
 
Après avoir  dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens  prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs  compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui  brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.
 
De nombreuses  autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn  Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173.
 
Bien que les  différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité  admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns  soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup  voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs  siècles, sans renouvellement du combustible.
 
On pensait  généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites  d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ”  laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.
 
Plusieurs  formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent  sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée,  l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs  primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera  d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.
 
Certains  croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des  dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien  peu sérieuses.
 
Il existe en  Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et  certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à  un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou  plusieurs lampes.
 
D’autres  pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement  dégagés.
 
Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au  sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut  quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du  monde.
 
Montfaucon de  Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian  Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre  fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle  éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en  armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la  salle.”
 
Cela se  rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient  que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
 
Un récit du  17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de  l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui  bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi  décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.
 
Un campagnard  découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une  lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette  assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la  flamme.
 
On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…
 
 
Mais encore ;
 
Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre… Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen a dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les  extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus  ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh (ou bien ces  anciens Égyptiens étaient des aliens ?).
Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide  pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu :
« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.
Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient  lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances  cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stocker  dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, je ne me  prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup  soupçonnent de longue date.
On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les  pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très  avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.
Extrait :
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de  Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très  représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et  philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la  Grande Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être  retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était  autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération  publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité  mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie  souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le  long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y  engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure  secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un  tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils  nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon,  et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des  fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”,  mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure  secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de  Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou  obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux  parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était  parfaitement opportun.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement  radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans.  L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de  repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau  système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec  précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs.  Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se  recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont  capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée  probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à  quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de  l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on  construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept  mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui  reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers  le nord Sinaï.
Ceci n’est qu’un tout petit extrait de ce sujet, à voir ici, il est passionnant :
Il n’est nul doute,  que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des  secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans  l’espace, est falsifié…Mais jusqu’à quand ?
Un mur autour des pyramides …
En 2002, de manière  presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début,  Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la  situation.
En mars 2002, j’ai  entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour  du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour  d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du  mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne  des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des  gardiens armés.
On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici ?
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail
Apparemment, tout  d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans  le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier  (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton  doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de  plusieurs kilomètres ?
Et pourquoi les  premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très  éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se  rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce  que l’on recherche par ici ?
La visite suivante en  juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante.  Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une  hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en  décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette  construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau  des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j’avais  informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette  construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler,  mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de  nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia  l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8  km2.
De plus, il relata que  « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but  quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être  démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas  seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici  est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites  environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines,  tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de “Stanford University“
Quelles sont les  motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses  fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été «  radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs  fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de  faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des  souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?
Ce ne sont que des  spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous  surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des  chercheurs indépendants.
Armin Risi
Il paraitrait, selon  plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des  bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait  de quoi il s’agit réellement !
Une zone ou personne  n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les  États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que dans cette salle  découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur …  Et on mentionne la présence d’une «entité».
Des forces spéciales  ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette  entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant  une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il  semblerait que ce soit Thoth !
Thôt :
Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la  lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le  seigneur du temps ».
Inventeur de  l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des  scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les  formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la  légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du  Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.
Le respect que Thot  inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a  inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la  connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que  Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.
Il préside à  l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et  juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat  avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à  Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre  (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth,  qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).
On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !
Edgar Cayce, né en  1877 et mort en 1945, son œuvre est considérable. Elle se compose  d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses  données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une  transe médiumnique.
« Bientôt viendra le temps des grands  changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les  archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est  alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en  Egypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au coeur du pays  atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un  tout »
A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore :
« En ce qui concerne les archives  (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du  monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ».
Un autre homme,  Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que  l’univers était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités …
Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l’Église de l’époque, résultat : Il fut brulé par l’église !!
À la lecture de sa  condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ». Le 17  février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois  l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et supplicié  sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé.
Tout semble lié au  final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien  sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés  par un fil mystérieux…
Il n’est nul doute,  que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des  secrets cachés par les autorités et protégés par des mercenaires à la  solde de forces plus qu’obscures.
Nous vivons dans un monde de mensonges  constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans  l’espace, est falsifiée et mensongère… Mais jusqu’à quand ?
A vous de juger comme toujours…


24/07/2014
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