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Une civilisation unique ancienne, contrôlait le champ magnétique de la Terre

Une civilisation unique ancienne, contrôlait le champ magnétique de la Terre… ?

Porté à votre conscience par Arcturius,
le 5 novembre 2015

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Autrefois sur la planète Terre toute entière, une « civilisation première » semble être responsable de similitudes et de parallèles dans le domaine des langues, de la culture, de la religion, de l’archéologie et de l’ethnologie qui se manifestent auprès de civilisations bien éloignées, comme celle des polynésiens, de l’Égypte d’avant les dynasties, des premiers Ariens de l’Inde, des Mayas et des Incas.

Les « murs incas » sur l’île de Pâques ressemblent à l’époque précolombienne du Pérou et l’archaïque statue Tikuturi à celle de l’époque pré inca et ensuite les signes Rongo-Rongo que l’on retrouve sur des milliers de sceaux dans la vallée de l’Indus.

Charles Berlitz dit, à ce sujet, dans son livre : « Le huitième continent Berceau de toutes les cultures » : Les constructions en pierre de très hauts autels disséminées dans le monde entier font conclure à une civilisation commune, de laquelle ne sont restées conservées que les grandes pierres de ce type, remarquable de construction résistant au temps.

La civilisation mégalithique de Malte — l’une des plus anciennes civilisations de la zone méditerranéenne — est évaluée à plus de 8.000 ans.

Les cités et les tombes entourées de murs circulaires sur les îles Canaries qui ressemblent tellement aux ruines de Malte que l’on pourrait croire qu’elles ont été érigées par les mêmes architectes, semblent être même encore plus anciennes. D’autres anciennes constructions sur Malte ressemblent par contre aux murs de pierre du Pérou et aux murs et plates formes sur lesquelles s’élèvent les bustes en pierre de l’île de Pâques. »

Chez les Mayas et dans le premier type de construction de Mykonos se trouve la même sorte de console. Les tours de pierre rondes sur la côte irlandaise ressemblent aux nurages de Sardaigne et aux chulpas rondes du Pérou avant l’époque des Incas (Sillustani).

Une civilisation unique ancienne, contrôlait le champ magnétique de la Terre… ?

De grands cercles de pierre en Angleterre comme Stonehenge et la construction de Glastonbury qui fait près de 50 km, trouvent leur pendant dans des lieux de découverte préhistoriques dans les plaines côtières de l’Europe occidentale et dans les différentes parties de l’Amérique indienne.

Charles Berlitz : « Les murs de pierres complets ajoutés les uns aux autres découverts dans le Zimbabwe africain ont une similitude remarquable avec les murs de Cuelap dans la jungle du Pérou oriental (jusqu’à la réalisation de la ceinture en pierre du bord supérieur du mur) et avec les forteresses de pierre des îles Aran devant la côte occidentale de l’Irlande.

Ces organisations de pierre fortifiées si semblables entre elles dans leur construction — malgré l’éloignement de milliers de kilomètres — sont bien évidemment très vieilles, mais leur âge précis est difficile à évaluer, puisque des monuments de pierre qui ont plus de 50.000 ans ne peuvent être datés. »

Le docteur Manson Valentine, paléontologue, géologue et archéologue sous-marin à Miami a réalisé d’abondantes expéditions sous-marines surtout dans le triangle des Bermudes et sur les hauts-fonds des Bahamas. Il dit :

« Toute la région des hauts-fonds des Bahamas se trouvait, pendant la dernière époque glacière, au-dessus du niveau de la mer et a été par la suite submergée par la montée de la mer. J’ai voulu vérifier la thèse géologique qui stipule que, si les grands seuils sous-marins des Bahamas étaient encore une terre sèche dans un passé pas trop éloigné, ce qui semble assez sûr, doivent alors se trouver, dans les eaux profondes de cette région, des indices d’une ancienne colonisation par les hommes.

À la question : « Quel peuple, à votre avis, a construit ces rues ou ces murs ? »

Il répond : « C’est le peuple qui a aussi érigé les énormes constructions en Amérique centrale, les têtes de pierre de Tehuantepec, les gigantesques plates-formes de Baalbek au Liban et à Malte en Méditerranée, Stonehenge en Angleterre, les murs de aussi les menhirs représentent le premier exemple connu de l’art. On trouve ces menhirs partout sur la Terre : en Bretagne, en Terre de Feu, en Afrique, en Inde, au Cachemire, en Chine et en Mongolie.

La religion solaire de la pierre droite était une religion monothéiste.

Des pyramides sur l’île de Pâques Les pyramides ont aussi une signification solaire. Leurs arêtes et les pentes de leurs couloirs à l’intérieur représentaient les rayons du soleil et leur façon de tomber sur la Terre à travers les bouts de nuages.

L’existence des pyramides sur l’île de Pâques est aussi décrite dans un vieux livre espagnol du capitaine Don P. Gonzales de Haedo : « … qui proviennent de l’ancien continent pacifique et sont recouvertes aujourd’hui, par l’intermédiaire du déluge, par des sédiments. »

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« Les statues de l’île de Pâques sont des menhirs consacrés au dieu Crom et les autels faits de pierre volcanique ont pour nom Tepl. Il s’ensuit que, en Polynésie, les dieux Crom et Ra sont entièrement identiques.» (Marcel Homet)

Cette affirmation vaut pour les statues « archaïques ».

Les statues de la période « classique » sont des réservoirs collecteurs pour la Mana, cette force cosmique qui peut être comparée à l’énergie abondante produite par les rayons du soleil. Elles ne cessent d’être en relation étroite avec le culte solaire des Anciens.

À cette époque-là, la planète Vénus, qui s’était détachée de Jupiter, passa près de la Terre et des pierres effritées par elle tombèrent dans l’Océan Pacifique dans les environs de l’île de Pâques. Il s’agissait de pierres rouges fortement chargées en magnétisme.

Les initiés de Mu connaissaient l’existence des champs magnétiques et ils surent les utiliser. Ils possédaient la force d’utiliser les propriétés magnétiques de la matière pour créer un champ d’induction et ce champ, ils l’appelèrent Mana.

En utilisant les propriétés magnétiques de cet aimant naturel, les initiés créèrent des champs d’une telle intensité qu’il était possible de transporter des masses en pierre de plusieurs tonnes. Gerton de Wageningen écrit dans son ouvrage sur les minéraux :

« … les minéraux, là où on les rencontre, confèrent à quelques types de structure des propriétés magnétiques marquées et cela se trouve dans la lave ainsi que dans d’autres roches. Cependant ces cristaux, qui représentent de tout petits aimants, sont justement présents dans la lave quand la masse n’est pas encore entièrement solidifiée.

Et il est significatif qu’ils ont ensuite tendance à s’aligner d’après le champ magnétique existant au moment de leur formation. »Nécessité d’un étonnant savoir Un savoir étonnant était nécessaire pour utiliser les propriétés de ces véritables petits aimants inclus dans la lave refroidie des Moais.

Un vieil insulaire a dit à Francis Mezière :« Les Moais contrôlent la force des vents antarctiques et transmettent leur force unie à une puissante pierre volcanique rouge qui limite le triangle du monde insulaire du Pacifique. »

Le savoir concernant toutes ces choses physiques est mort avec la défaite des longues oreilles par les oreilles courtes qui, — d’après eux — ne disposaient plus de Mana. Ils affirmèrent que les statues ne se laissaient plus bouger de leur place, qu’elles ne vivaient plus. On mit un tabou sur la carrière et ce fut la fin des activités des sculpteurs.

Les érudits de la terre-mère Mu, initiés aux secrets du cosmos, avaient des connaissances qui s’étendaient jusqu’à l’astronomie. Les initiés observèrent la circonvolution de Vénus et ont pu calculer à l’avance ce qui arriverait.

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Jean Prachan écrit dans son livre : « Le secret de l’île de séparés et, en partie, l’harmonie architectonique entre l’île de Pâques et l’Amérique du Sud.

Sous la pression des indigènes, les descendants des initiés de Mu ont atteint, des milliers d’années plus tard, la vallée de l’Indus où ils fondèrent les villes Harappa et Mohenjo-Daro car la civilisation là-bas se manifesta soudainement et se développa pleinement au 4ème siècle.

Les coutumes de Mu semblent avoir laissé leurs empreintes aussi en Chine. Eux aussi portaient de longues oreilles comme signe de sagesse et de longévité. Dans la musique aussi, il y a des parallèles. La musique de l’île de Pâques ne ressemble pas à la musique polynésienne d’autrefois. On peut seulement la comparer à la musique archaïque chinoise.

Sous le symbole du dieu unique Comme les descendants de Mu devaient maintenir en vie la tradition, elle fut écrite. Des mémoires ont été conçus dans une forme symbolique et incompréhensible aux laïques, mémoires qui comprenaient toutes les connaissances des initiés de Mu, connaissances spirituelles et scientifiques qui avaient permis à ce peuple des milliers d’années avant nous de créer une civilisation mondiale, placée sous le signe du soleil comme symbole du dieu unique. L’exposé renferme aussi la tragédie du continent disparu.

Sir John Marshall écrivit en 1927 après son expédition dans la vallée de l’Indus dans son livre « Mohenjo-Daro » qu’il s’agissait d’une civilisation hautement développée et tout particulièrement centralisée, qui ressemblait beaucoup aux civilisations contemporaines de Mésopotamie et d’Égypte, bien qu’elle leur était supérieure à certains égards.

Les découvertes de Harappa et Mohenjo-Daro montrent une civilisation extrêmement raffinée. Dans les deux villes se développa une société de paysans et de commerçants qui contrôlait une région de 1.500 km de long sur environ 800 km de large.

Cela signifie que la civilisation de l’Indus s’est étendue jusqu’au Cachemire, ce qu’attestent les récentes fouilles à Bursahama près de Srinagar. Sept menhirs, des monolithes travaillés pesant des tonnes, constitués de deux sortes de pierre, le granit et le diorite vert, ont été mis au jour et sont les témoins d’une civilisation autrefois hautement développée sur le Jhelam, l’affluant de l’Indus. Beaucoup de choses demeurent ici encore enfouies et attendent qu’on les découvre.

Les habitants de Mohenjo-Daro et de Harappa ont construit des bains chauds bien dessinés et des maisons à l’architecture compliquée et habile qui étaient étonnamment supérieures aux constructions des Égyptiens et des Asiatiques occidentaux de la même époque.

On sait aussi qu’ils ont domestiqué de nombreuses espèces animales et qu’ils priaient des dieux qui habitaient sur des étoiles. Cette civilisation du 4ème siècle avant J.C. qui apparut si pleinement instruite et développée, connaissait des choses modernes comme la canalisation, les poids et mesures et avait une écriture. Cette civilisation a de nouveau disparu d’une manière énigmatique.

Y a t’-il eu des inondations catastrophiques qui ont détruit les villes de la vallée de l’Indus ? Des transformations climatiques ont-elles suscité un assèchement de cette région irriguée et fertile ?

Jusqu’à présent on sait seulement que Harappa a été attaquée par l’Ouest vers 1.800 à 1.500 avant J.C. et que Mohenjo-Daro a été abandonnée sciemment à la même époque. On a fait dans les deux lieux une découverte inhabituelle : à hauteur du niveau des rues d’autrefois on a mis au jour des squelettes dont l’orientation et la posture donnaient l’impression que ces hommes ont essayé de se protéger d’un danger. Les recherchent ont montré que ces squelettes étaient radioactifs. Explosion atomique à Mohenjo-Daro ?

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Lorsqu’on visite Mohenjo-Daro, on est frappé par le fait que, vers le centre de la station, se trouvent des briques qui présentent une surface émaillée et des bords fondus. Ces briques présentent partiellement de profondes crevasses et ont une couleur très noire. Il est indéniable qu’elles ont été soumises à une action de chaleur extraordinairement forte.

Charles Berlitz dit à ce sujet : « La théorie selon laquelle la Terre aurait été frappée dans le passé par une guerre atomique suffisamment dévastatrice pour transformer le climat, faire fondre les glaciers, influer sur la rotation de l’axe de la planète et, — comme c’est dit dans les légendes — faire changer de place terre et mer, relève de la science-fiction. Une guerre atomique dans le passé lointain est naturellement une des nombreuses raisons possibles de la disparition des civilisations anciennes de la Terre.

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Les écrits classiques de l’Inde parlent de la bombe atomique, d’armes pour faire une guerre chimique, de fusées et de vols spatiaux.

Ces écrits sont restés incompréhensibles pendant des siècles, jusqu’à ce que l’humanité ait atteint un degré de développement atomique connu des ancêtres depuis déjà des milliers d’années avant. Une guerre atomique préhistorique ?

Lors de fouilles archéologiques en 1947 en Irak on a fait une étrange découvertes : après avoir travaillé sur quelques couches de civilisations et les avoir traversées et après avoir mis au jour d’indéniables artéfacts babyloniens et sumériens, on est tombé sur une couche argileuse de 4 m d’épaisseur avec des sédiments, couche qui a fait conclure à une forte inondation.

Sous la couche de flux on a découvert une couche fondue émaillée qui présentait une grande similitude avec les sols désertiques d’Alamogordo au Nouveau Mexique, cicatrisés et brûlés par le premier essai atomique.

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Les habitants de la vallée de l’Indus ont laissé derrière eux un écrit que personne jusqu’à présent n’a encore pu déchiffrer.

On a trouvé à Mohenjo-Daro et à Harappa plus de 2.000 briques taillées, gravées et séchées à la chaleur. Elles comportent des scènes mythologiques et religieuses ou des animaux comme des buffles, des taureaux, des chèvres, des tigres, etc. Chaque sceau porte une inscription, mais on ne peut pas approfondir la signification des signes — comme pour les écrits de l’île de Pâques !

L’alphabet de l’île de Pâques est plus ancien que celui de Mohenjo-Daro et d’Harappa puisque c’est celui-là qui a inspiré celui-ci. Ce ne sont pas à vrai dire des signes primitifs, mais des signes très compliqués qui reviennent souvent.

Charles Berlitz écrit :« Sur les tables Rongo-Rongo on voit des formes humaines qui sont gravées et tiennent des tubes en forme de U de quatre longueurs différentes. Quelques-unes de ces formes tiennent un tube à l’intérieur duquel on voit quelque chose qui ressemble à un plongeur.

Dans la vallée de l’Indus, on trouve exactement les mêmes formes avec des petits tubes en forme de U et il se trouve aussi une forme qui agite un de ces tubes avec un plongeur à l’intérieur. »

Cette concordance ne saurait être un hasard. Mais les statues de l’île de Pâques que l’on croyait uniques, on les a découvertes aussi en Australie à 8.000 km de Rapanui. On a aussi établi des comparaisons entre les textes du Rig Veda et l’écrit de Mohenjo-Daro et il est apparu que les symboles découverts dans la vallée de l’Indus correspondent à ceux des textes des civilisations néo-hindoues.

Et c’est ainsi aussi que se sont retrouvés les symboles Rongo-Rongo de l’île de Pâques dans les textes sacrés des peuplades de cette religion. Les chanteurs Rongo- Rongo ont construit des ponts par delà le temps et l’espace. Était-ce pour cela que les habitants de Rapanui avaient donné à leur île le nom Te pito o te henua — Nombril du monde ?

La même écriture le long de l’Indus et dans la mer du Sud…

Il n’y a pas qu’à Harappa et à Mohenjo-Daro qu’on a trouvé des idéogrammes semblables à ceux de l’île de Pâques, mais à une date récente aussi dans les environs de Rockford dans l’État d’Illinois ainsi qu’à Mexico chez les plus anciennes traditions des Aztèques, les inscriptions du Codex Borbonicus.

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Il semble par conséquent qu’il y ait eu un système de communication mondial indépendant du temps et de l’espace, dont nous trouvons les traces partout dans le monde.

Ces traces peuvent toutefois prendre des formes complètement inattendues. Ainsi y a t’-il en radiologie, un pendule constitué d’un cylindre en bois avec une inscription sur la surface qui concorde absolument avec un idéogramme de l’île de Pâques qui a été souvent reproduit sur les tables.

On utilise ce pendule pour détecter des rayons non polarisés dont l’effet peut être influencé par la volonté de celui qui s’en sert. Pourquoi ce dessin sur un tel instrument ? Il semble qu’il y ait ici une relation avec les révélations qu’à faites le médium italien Béatrice Valvonesi à Dom Netoman.

Serge Hutin rapporte à ce sujet dans son livre : « Les civilisations inconnues » :

« Il y a 7.000 ans vivait dans la vallée de l’Indus un peuple hautement cultivé qui avait profondément pénétré les secrets du cosmos. Il savait que notre globe se meut dans un champ de rayons cosmiques qui correspond aux champs magnétiques ou électriques que nous connaissons aujourd’hui… Il savait en outre et avant tout qu’on peut polariser le globe par un dispositif, alors naissent deux pôles, qui ressemblent à ceux qu’un champ magnétique provoque dans une sphère métallique.

Des ondes cosmiques entrent par le pôle plus, traversent le globe et ressortent au pôle moins qui se trouve exactement au côté opposé. Ainsi les dons du ciel sont-ils apportés à la Terre et abandonnés à leur sortie du globe. Il savait enfin aussi que deux pôles opposés sont chargés de la même force opposée que, par exemple, le degré de fécondité du pôle plus correspond constamment au degré d’infertilité du pôle moins.

Comme ils souhaitaient pour leur pays un maximum d’ondes favorables, ce qui s’exprimait par la fertilité du sol, la santé de la race, l’épanouissement de la vie, ils décidèrent d’installer un “collecteur” d’ondes contraires sur le pôle opposé. »

Et Serge Hutin commente ainsi ces révélations :

« Le collecteur d’ondes contraires n’était rien d’autre que les statues géantes. Ils s’inscrivirent volontairement — par pur altruisme— consciemment à la maladie, à la faim, à la soif et enfin à la mort. Pour chaque être humain végétant au pôle de la mort il y avait un être humain prospérant au pôle de la vie. » (La vallée de l’Indus).

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Les descendants des sages de Mu retournèrent à leur première patrie et accostèrent sur les îles Marquise, sur Pitcaim et en dernier sur l’île de Pâques — reliquat du continent Mu d’autrefois. Ces vestiges sur les Marquises et sur Pitcaim (Temples solaires et pétroglyphes d’hommes, d’animaux, d’oiseaux ainsi que des figures géométriques comme des cercles et des étoiles) attestent de ce peuplement et créèrent ensuite la « période classique » sur l’île de Pâques en souvenirs des sages de Mu.

Nous savons que la Terre est un aimant gigantesque, chargé de forces électromagnétiques. Le Britannique John Micheli écrit dans « The View over Atlantis » :

« … Le magnétisme naturel de la Terre était connu des hommes préhistoriques et leur fournissait une énergie sur laquelle était synchronisée toute leur civilisation. »

Il pense qu’il est possible que toutes les constructions cyclopéennes tout autour du globe appartiendraient à une même culture mondiale et que leurs constructeurs ne les auraient pas seulement érigées pour caractériser les lignes de champs magnétiques, mais aussi pour les utiliser à des fins de contrôle du champ magnétique de la Terre.

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Les Chinois nommaient ces lignes« Voies du Dragon » (lung – mei). D’après une vieille tradition chinoise, ces lignes et centres de force ne couvrent pas seulement la Terre entière, mais sont aussi présentes dans le corps humain comme si la Terre vivante et le corps vivant de l’homme fonctionnaient en dépendant des mêmes forces. (Acupuncture comme représentation de lignes d’énergie précises dans le corps humain.)

La théorie selon laquelle les forces magnétiques de la Terre étaient connues et contrôlées depuis longtemps déjà pourrait être une explication pour les emplacements variés et inhabituels de constructions préhistoriques dans des régions de la Terre très éloignées les unes des autres. Elle inclurait tout : les constructions mégalithiques, les monticules de terre, les rues droites en Perse et en Amérique du Sud, les lignes de Nazca, du Chili et de Californie et les Voies du Dragon en Chine.

Également le système de transport énigmatique de la préhistoire, bouger les formidables blocs de pierre sur de lointaines surfaces et de profondes vallées pourrait trouver une explication par l’intermédiaire d’un branchement de l’énergie magnétique de la Terre. Car, d’après la tradition des Longues Oreilles, les statues regagnaient leur place d’elles-mêmes.

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Source : Magazin2000 spécial n° 4. Par Rusty James / via Elishean

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07/11/2015
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