asthme
De l’album : Photos du journal
De Laurent Sophrologue
L'asthme Le corps comme processus, la symbolique Atanakor. Les décodages livrés ici reposent sur une nouvelle approche symbolique que nous avons élaboré pour pouvoir rendre plus lisibles les liens corps-esprit, et pouvoir, dans la pratique thérapeutique, proposer un sens psychiq...ue aux maladies individualisé à chaque personne. La grande nouveauté de cette approche est de considérer que la fonction principale du corps est de participer à l'évolution psychique de l'individu. Hélas, surtout dans nos civilisations, nous avons souvent perdu la bonne relation au corps qui permet cette croissance : une grande part de nos forces sont déviées, utilisées à s'adapter, et les symptômes révèlent que le corps n'arrive plus du tout à accomplir certaines de ces fonctions pourtant plus que vitales. Comprendre le symptôme c'est comprendre la limite d'un fonctionnement, individuel et collectif.
Qu'est-ce que l'asthme ? Il s'agit d'une inflammation des voies respiratoires, en particulier bronches et bronchioles qui produit une difficulté à respirer, avec oppression dans la poitrine, essoufflement et parfois sifflements. Un resserrement des bronchioles est produit conjointement par l'enflement de l'épithélium bronchial, une contraction des muscles entourant les bronchioles (sous commande nerveuse) et par la production de mucus qui va obstruer les alvéoles. Il existe plusieurs manifestations possibles de l'asthme, qui peut être chronique, avec restriction permanente de la respiration, et se produire sous forme de crises, pouvant être mortelles, et souvent déclenchées par l'effort ou par un facteur allergique. Décodage global de l'asthme Toute la zone de la poitrine, selon notre symbolique, a la fonction d'incorporer en soi un facteur extérieur à soi. C'est l'Air, et d'une façon plus générale, toute la relation que nous avons à l'autre. De la même façon que lorsque l'on aime quelqu'un on le serre sur sa poitrine, on laisse entrer en soi les émotions qui émanent de lui, on le respire. Le poumons sont l'organe d'incorporation du champ émotionnel et conscient de l'autre. Je me nourris de l'autre par les poumons, et c'est vital. L'asthme traduit une altération dans cette faculté de laisser l'autre me nourrir.
L'asthme, plus précisément, est une pathologie des bronches et bronchioles, c'est-à-dire, de la phase instinctive de cet organe : l'asthmatique est alors coupé de sa faculté instinctive à choisir dans ses relations sociales, à savoir discerner ce qu'il (ou même qui il) est bon de laisser entrer en soi. Vu ainsi, l'asthmatique est un individu qui a subit une « domestication » sociale et qui ne sait plus refuser des modes relationnels inappropriés pour lui autrement que par la crise d'asthme. Arguments à l'appui Deux informations assez remarquables viennent soutenir cette hypothèse d'une altération de la faculté instinctive à gérer les relations : • Il existe une théorie sur l'asthme (Dr Buteyko, 1950) affirmant qu'il est lié à un trop faible taux de CO2 dans les alvéoles : l'asthmatique ne saurait alors pas restreindre la quantité d'air extérieur (et donc le niveau relationnel), qui pénètre jusqu'en lui. La crise serait alors une solution d'urgence, pour contrôler ce rapport à l'autre lorsqu'il le déborde vraiment trop... • L'asthme est une maladie des sociétés modernes et pourrait être la conséquence d'une hyper-hygiène. C'est la peur du « méchant » à l'extérieur, le microbe, l'autre, l'étranger... C'est la marque de la stérilité affective qui ne cesse de se répandre. Le mode de vie a changé : même pour nos enfants, les relations sociales, amicales, et même amoureuses sont filtrées... et ce sont le tiers des asthmatiques !
Pour aller un peu plus loin... Que nous disent les sous-composantes l'asthme : • inflammation parle d'une irritabilité des parois, qui parle de souffrance de pas savoir établir de contact sain. • le spasme musculaire, sous contrôle nerveux, renseigne sur le mode réactionnel primitif : « il y a danger, je ne sais pas limiter consciemment les échanges, alors je bloque tout », qui traduit l'état interne d'urgence que vit l'asthmatique. • la production de mucus est une réaction immunitaire qui peut traduire une peur d'être anéantit (beaucoup d'asthmatique ont peur de mourir pendant la crise..).
Le fait que l'asthme se produise avec crises ou de manière chronique illustre diverses adaptations à une même difficulté. Les crises ont souvent un déclancheur allergique, ce qui est cohérent avec la logique de stérilisation de l'asthme, ou lié à l'effort, ce qui révèle encore l'aspect instinctif de cette pathologie. 2 Cas Cliniques • Un jeune homme voit son père mourir lorsqu'il a 15 ans. Instantanément, il déclenche un asthme puissant. Il est le seul homme au foyer, ne se donne pas le droit de hurler sa peine et subit la présence très envahissante de sa mère à laquelle il ne sait dire non. Il est dans une double contrainte, se sent coincé. L'asthme perdure jusqu'à l'âge adulte où il fonde sa propre famille et sort de l'emprise maternelle, et n'a plus eu depuis de manifestations de cette maladie.
• Une jeune personne (21 ans) atteinte de sclérose en plaques vient me consulter. Celle-ci s'est mis en place lorsqu'elle a accepté de prendre conscience de l'alcoolisme de son père et de ne plus se taire. Cet alcoolisme a toujours été là, plombe les relations familiales, mais personne n'en parle. Lorsqu'elle a déclenché la sclérose en plaques, elle a également cessé d'avoir des crises d'asthme qu'elle avait depuis enfant : toute son enfance elle a subit un climat émotionnel toxique sans pouvoir dire non, et lorsqu'elle se dresse, la puissance de l'interdit d'arrière fond se révèle par la sclérose. Aujourd'hui elle chemine avec cette maladie comme un allié et reconnaît ce qu'elle lui apporte comme moyen de se déverrouiller émotionellement.
Qu'est-ce que l'asthme ? Il s'agit d'une inflammation des voies respiratoires, en particulier bronches et bronchioles qui produit une difficulté à respirer, avec oppression dans la poitrine, essoufflement et parfois sifflements. Un resserrement des bronchioles est produit conjointement par l'enflement de l'épithélium bronchial, une contraction des muscles entourant les bronchioles (sous commande nerveuse) et par la production de mucus qui va obstruer les alvéoles. Il existe plusieurs manifestations possibles de l'asthme, qui peut être chronique, avec restriction permanente de la respiration, et se produire sous forme de crises, pouvant être mortelles, et souvent déclenchées par l'effort ou par un facteur allergique. Décodage global de l'asthme Toute la zone de la poitrine, selon notre symbolique, a la fonction d'incorporer en soi un facteur extérieur à soi. C'est l'Air, et d'une façon plus générale, toute la relation que nous avons à l'autre. De la même façon que lorsque l'on aime quelqu'un on le serre sur sa poitrine, on laisse entrer en soi les émotions qui émanent de lui, on le respire. Le poumons sont l'organe d'incorporation du champ émotionnel et conscient de l'autre. Je me nourris de l'autre par les poumons, et c'est vital. L'asthme traduit une altération dans cette faculté de laisser l'autre me nourrir.
L'asthme, plus précisément, est une pathologie des bronches et bronchioles, c'est-à-dire, de la phase instinctive de cet organe : l'asthmatique est alors coupé de sa faculté instinctive à choisir dans ses relations sociales, à savoir discerner ce qu'il (ou même qui il) est bon de laisser entrer en soi. Vu ainsi, l'asthmatique est un individu qui a subit une « domestication » sociale et qui ne sait plus refuser des modes relationnels inappropriés pour lui autrement que par la crise d'asthme. Arguments à l'appui Deux informations assez remarquables viennent soutenir cette hypothèse d'une altération de la faculté instinctive à gérer les relations : • Il existe une théorie sur l'asthme (Dr Buteyko, 1950) affirmant qu'il est lié à un trop faible taux de CO2 dans les alvéoles : l'asthmatique ne saurait alors pas restreindre la quantité d'air extérieur (et donc le niveau relationnel), qui pénètre jusqu'en lui. La crise serait alors une solution d'urgence, pour contrôler ce rapport à l'autre lorsqu'il le déborde vraiment trop... • L'asthme est une maladie des sociétés modernes et pourrait être la conséquence d'une hyper-hygiène. C'est la peur du « méchant » à l'extérieur, le microbe, l'autre, l'étranger... C'est la marque de la stérilité affective qui ne cesse de se répandre. Le mode de vie a changé : même pour nos enfants, les relations sociales, amicales, et même amoureuses sont filtrées... et ce sont le tiers des asthmatiques !
Pour aller un peu plus loin... Que nous disent les sous-composantes l'asthme : • inflammation parle d'une irritabilité des parois, qui parle de souffrance de pas savoir établir de contact sain. • le spasme musculaire, sous contrôle nerveux, renseigne sur le mode réactionnel primitif : « il y a danger, je ne sais pas limiter consciemment les échanges, alors je bloque tout », qui traduit l'état interne d'urgence que vit l'asthmatique. • la production de mucus est une réaction immunitaire qui peut traduire une peur d'être anéantit (beaucoup d'asthmatique ont peur de mourir pendant la crise..).
Le fait que l'asthme se produise avec crises ou de manière chronique illustre diverses adaptations à une même difficulté. Les crises ont souvent un déclancheur allergique, ce qui est cohérent avec la logique de stérilisation de l'asthme, ou lié à l'effort, ce qui révèle encore l'aspect instinctif de cette pathologie. 2 Cas Cliniques • Un jeune homme voit son père mourir lorsqu'il a 15 ans. Instantanément, il déclenche un asthme puissant. Il est le seul homme au foyer, ne se donne pas le droit de hurler sa peine et subit la présence très envahissante de sa mère à laquelle il ne sait dire non. Il est dans une double contrainte, se sent coincé. L'asthme perdure jusqu'à l'âge adulte où il fonde sa propre famille et sort de l'emprise maternelle, et n'a plus eu depuis de manifestations de cette maladie.
• Une jeune personne (21 ans) atteinte de sclérose en plaques vient me consulter. Celle-ci s'est mis en place lorsqu'elle a accepté de prendre conscience de l'alcoolisme de son père et de ne plus se taire. Cet alcoolisme a toujours été là, plombe les relations familiales, mais personne n'en parle. Lorsqu'elle a déclenché la sclérose en plaques, elle a également cessé d'avoir des crises d'asthme qu'elle avait depuis enfant : toute son enfance elle a subit un climat émotionnel toxique sans pouvoir dire non, et lorsqu'elle se dresse, la puissance de l'interdit d'arrière fond se révèle par la sclérose. Aujourd'hui elle chemine avec cette maladie comme un allié et reconnaît ce qu'elle lui apporte comme moyen de se déverrouiller émotionellement.
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