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DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 7, épisode 13/32 : REPOUSSER LES LIMITES DE LA DIVULGATION AVEC JOHN LEAR

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Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 7, épisode 13/32 : REPOUSSER LES LIMITES DE LA DIVULGATION AVEC JOHN LEAR

 

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Vidéo originale sous-titrée en anglais, diffusée en mars 2017, disponible sur : Gaia.com
(https://www.gaia.com/series/cosmic-disclosure)


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David Wilcock: Très bien, bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock, et je suis ici avec Corey Goode. Et dans cet épisode, nous vous présentons nul autre que John Lear, le fils de l’inventeur du Learjet. Et dans ce premier segment, vous allez le voir partager son passé avec vous.

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Alors sans plus tarder, je vous amène John Lear.

 

L’HISTOIRE DE JOHN

 

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John Lear : Vous savez, mon père était Bill Lear et il a mis au point le Learjet.

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Et j’ai été très impliqué dans l’aviation dès le début. Et j’ai volé pour différentes compagnies aériennes dans le monde entier.

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Et en 1985, j’ai commencé à m’intéresser à ce truc des OVNIs, auquel je ne croyais pas.

Il y a une réunion ici de temps en temps, ou tous les deux ans, ici à Las Vegas, des pilotes de l’Asie du Sud-Est. Je me suis entretenu avec l’un des gars, et il m’a dit qu’il avait été affecté à Bentwaters.

Et j’ai dit : « Oh, c’est là que cette soucoupe a soi-disant atterri. »

Et il a répondu : « Non, pas soi-disant. Je ne l’ai pas vue, mais je connais les types qui l’ont vue. »

Et j’ai dit : « Tu veux dire que ce truc est vrai ? »

Et c’est ainsi que j’ai commencé avec tout ça. Et tout ce que j’ai rencontré depuis m’a permis d’aller chaque fois un peu plus loin.

 

* * * * * *

 

David : [se tournant vers les spectateurs] Très bien. Dans notre prochain segment, nous allons aborder certaines des vraies questions autour de ce sujet, où nous avons un cas classique dans la littérature sur les OVNIs.

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J’ai découvert cela je pense même avant l’Internet, parce que pour moi, avant l’âge de l’Internet, vous deviez aller à la librairie, et vous cherchiez les nouveaux livres sur les OVNIs. Et, bien sûr, toutes ces informations étaient dépassées d’un an.

Mais l’un des noms cités dans ces livres était toujours Bob Lazar.

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Qui est Bob Lazar ? Vous allez le découvrir tout de suite dans ce prochain segment. Jetons un coup d’oeil.

 

* * * * * *

 

LES DÉBUTS D’UN INITIÉ

 

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John Lear : Il s’appelait Gene Huff, l’expert, et nous parlions des ovnis.

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Bob Lazar était assis là à rouler des yeux et il a dit : « Vous êtes fous. » Il a dit : « J’ai travaillé à Los Alamos. S’il y avait eu quelque chose de secret comme ça, je l’aurais su. »

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Et j’ai entendu ça tant de fois. Ce sont des gens incroyablement ignorants qui disent : « Je l’aurais su. » Ha, ha, ha, ha !

Quoi qu’il en soit, pendant le reste de l’été, nous avons donné à Bob suffisamment d’informations pour qu’il puisse vérifier avec ses amis qui travaillaient encore à Los Alamos pour découvrir que, eh bien, oui, il se passe quelque chose, parce qu’ils connaissent beaucoup de choses.

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Il a donc appelé le Dr Teller, qu’il avait rencontré à Los Alamos, et a dit qu’il voulait réintégrer le domaine scientifique. Et Teller a dit : « Voulez-vous travailler avec moi à Livermore en Californie ou au Nevada ? »

Bob a dit : « Je veux travailler dans la zone 51. »

Teller a dit : « D’accord, laissez-moi revenir vers vous. »

C’était donc en octobre 1988, et Bob a ensuite obtenu trois entrevues au cours des semaines suivantes.

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Il s’est rendu à EG&G, qui est « Edgerton, Germeshausen et Grier », et il y avait un comité, et ils l’ont interrogé. Et il a réussi tous les entretiens. Je veux dire, il avait tout ce qu’ils voulaient savoir sur le plan scientifique, où il était allé, ce qu’il avait étudié à la fac et tout ce genre de choses.

La deuxième entrevue, leur première question a été : « Quelle est votre relation avec John Lear ? Et que faites-vous d’autre avec John ? »

Il y avait donc un intérêt certain.

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Il avait l’habitude de venir le soir, et on racontait des conneries sur ce qui se passait. Il a dit : « J’ai vu un disque aujourd’hui. »

Et j’ai dit : « Quoi ? »

« J’ai vu un disque ? »

J’ai dit : « À eux ou à nous ? »

Il a dit : « À eux. »

J’ai dit : « Tu es allé dans la zone 51 ? »

Et il a dit : « Oui. »

Et j’ai dit : « Eh bien, que fais-tu ici ? » J’ai dit : « Tu sais qu’ils t’ont suivi. Pourquoi ne travailles-tu pas un peu, pour découvrir ce qui se passe, et ensuite en parler ? »

Il a dit : « John, tu t’es entendu dire tellement de conneries ces dernières années. » Il a dit : « Je voulais te dire que c’est vrai. J’étais dedans. Je l’ai touché. Ce n’est pas à nous. L’origine de ça est à des milliards d’années-lumière. »

Et donc, c’est comme ça que j’ai rencontré Bob. Et il a travaillé les mois suivants. Et il nous disait quand les vols d’essais allaient avoir lieu, toujours un mercredi soir. Et on y allait en voiture pour prendre des photos ou des vidéos.

Un jour, on s’est fait prendre. Et c’est là que les gardes de sécurité nous ont arrêtés sur le site du test.

Nous étions encore sur la terre du BLM [l’Agence américaine de protection naturelle qui gère les terrains publics], et c’était légal, mais ils ont dit : « Nous pouvons vous compliquer énormément la vie si vous restez ici. »

Nous sommes donc partis et sommes sortis sur l’autoroute, et c’est là que le shérif du comté de Lincoln nous a arrêtés.

« Sortez de la voiture, les mains en l’air », vous savez, tous ces trucs. Ils voulaient savoir deux choses : « Pourquoi y a-t-il quatre personnes dans la voiture – ou cinq personnes maintenant – et il n’y en avait que quatre quand la sécurité vous a arrêté ? » Et Bob s’était enfui dans le désert.

Et l’autre chose était : « Où est le 9 mm ? » Parce que Bob avait dit qu’il avait le 9 millimètres.

Après environ une heure, le shérif – et je connaissais bien son nom – m’a dit : « Je ne sais pas pourquoi on m’a dit ça, mais on m’a dit de vous laisser partir et de ne rien dire de plus. »

Nous sommes donc rentrés en voiture et tôt le lendemain matin, Dennis Mariana, le gars pour qui Bob travaillait, a dit : « Bob, ne va pas à l’avion. Je passe te prendre. On va monter jusqu’à Indian Springs. »

Et Indian Springs est maintenant la base aérienne de Creech, et c’est là que se trouve le centre de toutes les activités de sécurité des sites d’essais.

Et ils l’y ont emmené, l’ont sorti de la voiture avec un pistolet sur l’oreille et lui ont dit : « Bob, quand on t’a donné cette autorisation, ça ne voulait pas dire que tu devais prendre tous tes amis et leur parler des soucoupes volantes ! » Ha, ha, ha.

Donc, à ce moment-là, la femme de Bob avait une liaison avec son instructeur de vol, que Bob ne connaissait pas, mais dont ils étaient au courant, parce qu’ils écoutaient tous ses téléphones. Tout était sur écoute – ma maison, celle de Bob, celle de Gene, tout.

Alors ils ont dit : « Quand tu auras mis de l’ordre dans ta vie, tu seras le bienvenu pour revenir. »

Et Bob a dit que la raison pour laquelle il n’y est jamais retourné était le fait que les deux derniers voyages qu’il avait effectués dans la zone 51, il se souvenait d’avoir pris le 737 pour se rendre au lac Groom et en revenir, mais aucun souvenir entre les deux – rien de ce qui concernait le travail, de ce qu’il avait fait, rien de tout ça. Ça l’a contrarié.

Il voulait savoir sur quoi il allait travailler, mais leur contrôle mental est tellement avancé maintenant.

 

* * * * * *

 

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David : Donc, Corey, je voulais commencer quand il a mentionné « Edgarton, Germeshausen et Grier », je pense que c’est le nom de l’entrepreneur de la Défense EG&G.

Corey : EG&G est l’une de ces sociétés du CCI [le Conglomérat de Corporations Interplanétaire] qui fait le tour du monde.

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David : D’accord, donc ils sont directement impliqués dans la rétro-ingénierie d’engins spatiaux de nature avancée ?

Corey : Oui, oui, travailler sur différents composants.

David : Ok, maintenant, il a aussi parlé de Los Alamos, et certaines personnes pourraient dire : « Oh, ce n’est qu’une installation nucléaire. »

Sont-ils vraiment en train de faire les imbéciles avec les armes nucléaires ou y a-t-il autre chose ?

Corey : Non, il y a toujours d’autres programmes qui sont développés par en-dessous. J’ai trouvé ça très intéressant quand il a dit que Bob Lazar avait roulé des yeux et a dit : « S’il y avait quelque chose qui se passait là-bas, je l’aurais su. »

J’ai eu un incident quand je travaillais à la Réserve Fédérale. L’un des gars qui travaillait sous mes ordres, à l’improviste, s’est levé de son bureau, s’est tourné vers moi – il était dans l’armée de l’air depuis environ huit ans –, et il a dit : « J’ai travaillé dans tous ces endroits où l’on dit que les OVNIs volent et sont rétro-ingéniérés ».

Et il a dit : « Si ça existait vraiment, je le saurais. » Et il ne faisait que me regarder.

Et j’ai dit : « Hmm. »

David : C’est vrai.

Corey : C’est donc une chose courante. Beaucoup de gens peuvent travailler tout autour de ce type d’activité et, à cause du cloisonnement, ils n’ont aucune idée de ce qui se passe.

David : Donc, s’il dit qu’après être retourné deux fois dans la zone 51 et n’avoir eu aucun souvenir du travail qu’il y a fait, et que Lear dit que la technologie de contrôle mental est devenue si avancée, est-il possible qu’il ait aussi fait l’expérience de certaines choses à Los Alamos et qu’il ait également eu la mémoire effacée ?

Corey : Il a clairement eu la mémoire effacée. Ils avaient mis au point le procédé d’ardoise vierge [effacement de la mémoire] bien plus tôt, et l’avaient appliqué sur les astronautes et sur les gens qui participaient au programme spatial.

Et ils en utilisaient même une partie dans notre premier programme nucléaire. Ils faisaient des études et des effaçages d’esprit sur les gens chimiquement, selon différents types de méthodes. C’est donc quelque chose qui remonte à la Seconde Guerre mondiale.

David : D’accord, j’aimerais maintenant aborder Bob Lazar avec vous en détail, parce que le témoignage original était extrêmement fascinant. Cela a façonné toute ma carrière, et il n’y a vraiment pas touché du tout, mais il est au centre de la façon dont cela a vu le jour.

Donc la première chose que je veux vous lancer, c’est l’Élément 115. Le témoignage de Bob Lazar était qu’il y avait un  « élément transuranien  » super-lourd qui avait une masse atomique de 115, et que c’était la source de propulsion du vaisseau.

Alors, au moment où ces livres sont sortis, personne n’avait été en mesure de former un élément d’un tel poids, mais Lazar a dit qu’une fois que vous avez passé… je pense que c’était 112 ou 113… que tout d’un coup, ce n’est plus radioactif – cela devient un élément stable –, mais que c’est très dense, et que tout ce qu’il vous reste à faire, c’est de tirer sur les protons, et que cela dégage d’énormes quantités d’énergie.

Et il y a une petite sphère dans laquelle se trouve l’Élément 115. C’est comme un triangle autour. Puis il y a un tube qui monte, qu’il a appelé guide d’ondes. Et que c’était le système de propulsion du vaisseau.

Je me demande donc si l’un ou l’autre de ces aspects du témoignage de Lazar est quelque chose que vous pourriez commenter ou clarifier pour nous ?

Corey : Était-il en train de dire que la propulsion et la centrale électrique n’étaient qu’une seule et même chose ?

David : Oui.

Corey : D’accord, ça aurait du sens pour certains des vaisseaux extraterrestres les plus avancés. Mais beaucoup d’entre eux n’utilisaient que des moteurs à champ de torsion très similaires au Glocke. . .

David : D’accord.

Corey : . . . qui disposait d’une centrale électrique séparée qui acheminerait de grandes quantités d’électricité vers ces moteurs de torsion. Et il y en aurait généralement trois sur la plupart de ces vaisseaux.

David : C’est une partie très importante de ce que Lazar a également dit, et j’aimerais y revenir dans une minute.

Êtes-vous familier avec l’idée que des éléments super lourds, c’est-à-dire dont le poids atomique est supérieur à 115, pourraient redevenir stables et non radioactifs, que vous pourriez les tenir sans mourir ?

Corey : Le tableau périodique qui se trouvait sur le mur de divers vaisseaux dans lesquels j’étais lorsque je travaillais avec les scientifiques [Voir ICI], contenait bien plus de 112, 114 ou 118 éléments.

David : Vraiment ?

Corey : (hoche la tête pour confirmer)

David : Très bien, dans ce segment suivant, nous allons aborder le rôle de Lear et de la société aéronautique de son père dans le développement de ce que nous appelons aujourd’hui le Programme Spatial Secret. C’est tout à fait fascinant. Regardez un peu ça.

 

* * * * * *

 

LE PROGRAMME SPATIAL SECRET ET LA STATION SPATIALE INTERNATIONALE

 

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John Lear : Je sais que mon père a été l’entrepreneur principal de l’antigravité en 1952.

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Et j’ai les papiers là-dessus. Malheureusement pour lui, il ne pouvait pas se taire.

Et il est allé à Bogota en 1953 et a commencé à parler des OVNIs. Aussi impliqué qu’il fût, ils l’ont mis à la porte du programme, mais Lear, Incorporated, a quand même gardé ce truc antigravité.

Et je pense que c’était complètement terminé en 1956, ce qui veut dire que nous avions des soucoupes à l’époque – vous savez, toute l’enchilada [l’ensemble complet avec tous les détails des parties] à ce moment-là.

Kwajalein est l’endroit où vont toutes les choses secrètes. Tous ces lancements sont dans le Pacifique Sud.

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Et sur l’île de Kwajalein, le site Ronald Reagan [Ballistic Missile Defense Test Site], ils lancent probablement tous les deux jours. Il y a probablement un millier d’astronautes actuellement qualifiés qui sont impliqués tout le temps.

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Je travaillais donc au niveau ATS, Above Top Secret [« Au-dessus du Top Secret »], et nous parlions des divergences avec la navette qui montait et qui nécessitait 48 heures pour se rendre à l’ISS, alors que cela ne prenait qu’une heure aux Russes.

Et puis la même chose, quand ils se désengageaient de l’ISS, pourquoi mettaient-ils plus de 48 heures à revenir ?

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Et bien sûr, ce qu’ils faisaient en réalité… et ce qui m’a mis au courant, c’est une des vidéos qu’ils avaient quand la navette est arrivée, ils ont ouvert la porte, et elle était à moitié pleine.

Donc, ce qu’ils faisaient, c’était prendre autant de choses qu’ils pouvaient pour les astronautes qui faisaient toutes ces choses secrètes et, bien sûr, les choses qu’ils devaient avoir comme des fruits, des denrées périssables et d’autres choses. Et ça devait monter et être déchargé.

Et les Russes décollaient toujours le jour même où la navette était lancée. Et ce qu’ils avaient dans leur fusée était transféré à la navette, et quand elle redescendait, la raison pour laquelle il leur fallait deux jours, c’est qu’ils allaient à toutes les différentes stations spatiales et déposaient tout ce que les Russes avaient donné.

Ce qui m’amène à la guerre froide. Je pense que c’était des conneries. Il n’y a jamais eu de guerre froide. Nous avons toujours été alliés avec les Russes.

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David : Donc, tout d’abord, Corey, John Lear décrit comment son père avec son entreprise aéronautique a apparemment été chargé de développer l’antigravité, ou du moins était l’un des groupes chargés de cette tâche.

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Corey : Oui.

David : Et il a été essentiellement expulsé de la recherche antigravité, même si sa propre compagnie y était toujours impliquée. Par conséquent, il croit qu’en 1956, nous avions déjà des soucoupes volantes en état de marche.

Commençons donc par ce petit bout de données, et qu’est-ce que votre expérience et vos antécédents suggèrent qu’est la vérité derrière ce qu’il vient de dire à ce sujet ?

Corey : Eh bien, la façon dont vous avez formulé les choses était juste, parce que… c’est ce que Tompkins faisait : il transmettait cette information à de nombreux ingénieurs et entreprises.

David : Comme dans ces paquets ?

Corey : Dans ces paquets.

David : Alors, un paquet pourrait-il inclure des plans d’un prototype antigravité fonctionnel qu’ils auraient alors à réinventer ou quelque chose comme ça ?

Corey : Oui. Je veux dire, si vous avez cinq groupes différents avec cinq équipes d’ingénieurs différents, ils n’ont pas tous le même concept.

Ensuite, il y a cinq concepts différents ou quelques concepts différents sur lesquels travaillent des équipes différentes qui ne font pas de pollinisation croisée ni ne se polluent entre elles.

David : Maintenant, ce qu’il a évoqué ensuite, c’est la période, vous savez, en 1952 et 1956, où il pense que nous avions des prototypes qui fonctionnaient. Ça ressemble à ce que vous avez dit dans l’émission.

Corey : C’est le cas, et c’est justement le moment où tout était en cours d’élaboration.

David : Maintenant, vous avez déjà mentionné que les États-Unis avaient atteint un certain point dans leurs propres recherches, mais qu’ils avaient essentiellement heurté un mur de briques, et que, par conséquent, la faction dissidente nazie qui a survolé Washington D.C. en 1952 a forcé la conclusion d’une trêve, ce que les États-Unis voulaient faire en partie parce qu’ils avaient besoin de renseignements des Allemands pour être en mesure de perfectionner leur propre antigravité. C’est toujours vrai ?

Corey : Oui.

David : À votre avis, qu’est-ce qui se passait avec Lear Aeronautics à ce moment-là ? Est-ce seulement l’influence allemande qui leur a permis de perfectionner cette technologie en 1956 ?

Corey : De loin derrière les coulisses, ce groupe dissident allemand a infiltré le complexe militaro-industriel américain. Juste après Paperclip, l’infiltration a commencé.

Et puis, après les survols, nous avons conclu un accord avec le groupe nazi dissident, alors, oui, ils se sont infiltrés comme des fous après ça.

David : Ok, la prochaine chose dont Lear parle, c’est de cette île dont il a dit qu’environ 1 000 astronautes allaient travailler à Kwajalein et effectuer des missions spatiales. Cela semble beaucoup moins que certaines des choses dont nous avons parlé.

Est-il possible que ce soit le programme spatial secret du MIC dont il parle maintenant ?

Corey : Oui, c’est ça.

David : Comment ces chiffres cadrent-ils avec ce que vous avez entendu au sujet du programme MIC [le Complexe Militaro-Industriel] ?

Corey : Pas beaucoup de détails sur les chiffres, mais il y avait un certain nombre d’îles qui lançaient ces fusées à plusieurs étages, comme de vieilles fusées.

David : Oh, wow.

Corey : Et ils faisaient la maintenance. . . C’est aussi ainsi qu’ils ont créé certaines de ces stations spatiales. Certaines de ces stations spatiales MIC sont composées de différentes étapes de fusées qui, une fois utilisées pour quitter l’orbite, ont ensuite été transportées ensemble, en les soudant presque en cercle, mais plus comme un cercle aplati.

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Illustration représentant une des stations spatiales secrètes (voilées) actuellement en orbite autour de la Terre, appartenant au Programme Spatial Secret du Complexe Militaro-Industriel américain, et ravitaillées par les vaisseaux spatiaux de type TR-3B.

David : Comme un octogone.

Corey : Comme un octogone. Et ils en auraient deux ou trois couches, et au milieu, ils ont plus de ces modèles… comme le fuselage ou les étages de fusées, qui sont tournés dans l’autre sens.

Et puis la station tourne, créant une troisième gravité ou quelque chose comme ça. Et les navettes venaient s’amarrer au sommet du rayon de la roue.

David : Ils utilisaient la navette spatiale ?

Corey : Oui, ils ont utilisé la navette spatiale, des fusées conventionnelles, et plus tard, quand ils ont commencé à développer ces navettes triangulaires plus grandes [les TR-3B]… ils les appelaient des navettes… ils avaient assez d’espace pour apporter toute la nourriture et… Je veux dire, vous apportiez des affaires, et vous remportiez des affaires.

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David : Alors qu’est-ce que vous en pensez ? Lorsqu’il parle de la navette spatiale qui a besoin de 40 heures pour faire le même travail que les Russes en 1 heure, je suppose que ce que vous faites maintenant, c’est de confirmer que cela pourrait être du travail qui est fait, comme il l’a dit, en passant par les bases du Programme Spatial Secret du MIC de cette manière.

Corey : Oui, les navettes spatiales qu’on voyait quand on était gosse, elles accostaient sur ces stations spatiales secrètes. Elles aidaient à les construire au début, alors que nous développions la flotte des navettes [TR-3B], nous voyons ces triangles noirs.

 

C’est ce qui dessert maintenant ces diverses stations spatiales, et ils ont des satellites habités qui sont occupés par trois à six personnes faisant la rotation.

David : Qu’est-ce que ces astronautes pensaient faire ? Était-ce comme Star Wars et nous défendre contre les attaques nucléaires des Russes, ce genre de choses ?

Corey : C’était le programme Star Wars, SDI.

David : D’accord.

Corey : Ils ont tous juré de garder le secret. Toutes les personnes qui ont pu participer au programme en tant qu’astronautes, je crois, comme nous l’avons déjà dit, étaient des francs-maçons, c’était des gens qu’ils avaient dans le cadre d’autres projets militaires et qui avaient prouvé qu’ils pouvaient se taire – sans parler du fait qu’ils utilisaient aussi sur eux des procédés d’ardoises vierges.

David : Très bien, nous avons maintenant un autre segment de Lear dans lequel il décrit certains de ses propres renseignements au sujet de cette mystérieuse et énigmatique base au milieu de nulle part dans le Sud-Ouest. Jetons un coup d’oeil.

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TRAVAILLER AVEC LES E.T.

 

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John Lear : Je raconte toujours cette histoire au sujet de la zone 51. Ils avaient embauché un agent de sécurité lorsqu’ils ont commencé à démarrer, et il était censé s’asseoir à l’une de ces intersections des couloirs.

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L’une des mantes religieuses [les extraterrestres de type Mantides] est arrivée en marchant comme ceci [John balance ses épaules d’un côté à l’autre], et le gardien l’a regardée, a fait une crise cardiaque et il est mort.

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Ils ont donc fait plus attention par la suite. Pendant une période de trois ou quatre semaines, ils leurs montrent d’abord différentes photos pour qu’ils n’aient pas peur quand l’une de ces choses se promène dans le couloir, haha !

Joe Resnick me disait qu’il travaillait dans un laboratoire avec un Reptilien. Et il a dit qu’ils nous ressemblent, et que la seule différence est qu’ils referment la paupière intérieure de temps en temps. Et ça le choquait à chaque fois qu’ils faisaient ça. Ils avaient deux paupières.

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David : Très bien, alors passons à la deuxième partie d’abord. Il décrit un Reptilien qui, selon lui, nous ressemble, à part qu’il a une membrane dans l’œil.

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Cela ne ressemble pas exactement au même type de reptiliens dont vous avez parlé. Alors pourquoi pensez-vous qu’un être à l’aspect humain serait appelé un Reptilien ? Qu’est-ce qui se passait ?

Corey : Il y a un certain nombre de différents types d’êtres Reptiliens dont nous avons parlé.

David : Bien sûr.

Corey : Mais ce pourrait même être un hybride, d’après ce que nous pouvons savoir, un hybride d’humain avec un Reptilien.

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[Note : voir par exemple cette vidéo d’origine russe, qui semble être un support pour de la divulgation douce au sujet des hybrides humains/reptiliens :]

David : Depuis que vous avez personnellement vu toute une série de différents types d’ETs, avez-vous vu des ETs qui avaient une membrane comme celle qu’il a décrite ?

Corey : Il y a beaucoup d’êtres différents, en particulier les aquariophiles, qui ont une membrane qui va dans cette direction [Corey utilise deux doigts devant l’œil et les déplace ensemble horizontalement]…

…et ensuite ils ont une paupière qui va dans cette direction [Corey positionne son pouce et son index devant l’œil et les déplace ensemble et verticalement].

David : Donc passons à l’autre aspect des choses, où il parle de l’être de type mante religieuse. Je suppose qu’il y a une sorte de choc psychologique que vous allez devoir affronter face à une vie extraterrestre comme celle-ci.

Corey : Il est très rare qu’on mette une personne qui n’est pas acclimatée aux non-terrestres dans une situation avec des non-terrestres.

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Au début, ils leur montreront des photos de non-terrestres morts, comme un clip vidéo. Puis ils verront un mort. Et puis ils les acclimatent lentement à interagir avec ces non-terrestres.

Ils ont fait beaucoup de tests pour voir comment les gens allaient accepter la divulgation, et souvent c’était du personnel militaire qu’ils allaient exposer à des non-terrestres. Et cela n’a jamais été une bonne réaction.

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David : Est-ce que les êtres mantes religieuses sont l’un des types d’êtres les plus difficiles à voir ?

Corey : Les Mantides et les Reptiliens. Il y a une réaction viscérale programmée. Peu importe qui vous êtes, et quel que soit le degré d’avancement que vous croyez avoir.

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Quand vous voyez pour la première fois ces êtres, votre corps, avant que votre esprit n’ait la chance de les traiter, votre corps a une sorte de réaction viscérale étrange.

David : Pete a aussi décrit le son de la glissade de la chitine [ce qui constitue la substance de la carapace des insectes] quand vous êtes autour d’un de ces êtres de type mante, et que même le son de leurs corps en mouvement est comme très dérangeant et vous fait sentir tendu, même si vous ne les voyez pas. Vous avez déjà vécu ça ?

Corey : Oui. Il y a un certain nombre d’êtres qui ont un peu comme un exosquelette externe de type insectoïde. Et ils font des bruits ou des sons qui ressemblent presque à ceux d’ongles, des bruits étranges, mais ce n’était pas vraiment dérangeant pour moi.

David : Très bien, donc dans ce prochain clip, nous allons avoir des informations très controversées sur l’idée de la nature de notre système solaire.

Attendez d’entendre ce que Corey a à dire, car même si cela peut sembler difficile à croire, il y a des témoignages d’initiés convaincants pour étayer ce que Lear est sur le point de nous dire. Jetons un coup d’oeil.

 

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NOTRE SYSTÈME STELLAIRE : RÉVISÉ

 

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John Lear : Notre système stellaire avec le Soleil et prétendument les neuf planètes – il y a en réalité 40 planètes.

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Et beaucoup d’entre elles sont cachées, pour diverses raisons, de sorte que nous ne pouvons pas les voir. Et ils veulent garder tout cela secret, mais il y a tant de choses qui se passent entre les 40 planètes, leurs lunes, leurs satellites.

Carl Sagan dirait : « Il y a probablement des extraterrestres, mais ils sont à des millions d’années. »

Non, ils ne le sont pas. Ils sont carrément sur Terre. Probablement 25% de la population – la population terrestre -, sont des extraterrestres. Bien sûr, nous sommes aussi des extraterrestres…

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David : Alors parlons de ça. Est-il possible qu’il y ait d’autres planètes ?

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Corey : Eh bien, il y a d’autres planètes et planétoïdes, certains à l’intérieur et au-delà de la ceinture de Kuiper. Ils les appellent « objets de la ceinture de Kuiper ».

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La très vaste ceinture de Kuiper, constellée d’astéroïdes et planétoïdes de tailles très variables, et selon les initiés des Programmes Spatiaux Secrets, abritant même plusieurs très grandes masses ayant une taille et des caractéristiques propres à les faire pleinement ranger dans la catégorie des planètes… 

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Certaines sont détectées. Des anomalies gravitationnelles sont détectées. Et les astronomes commencent à dire : « Oui, il y a quelque chose dehors. »

Mais certaines des planètes, tout comme Pluton – je pense que Pluton est à 17 degrés du plan écliptique dans son orbite étrange. . .

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David : C’est vrai. C’est la seule « planète » ou planétoïde qui est en décalage [par rapport au plan de l’écliptique] dans les données officielles.

écliptique.

Corey : Oui. Et nous avons un système solaire assez désordonné. Il y a d’autres planètes et planétoïdes qui sont en orbites étranges hors du plan de l’écliptique.

David : Et il a dit qu’ils ont des satellites autour d’eux, c’est-à-dire aussi des lunes.

Corey : Oui.

David : C’est donc vrai d’après votre expérience ?

Corey : Oui. Je veux dire, ils ont leur propre attraction gravitationnelle. Certains d’entre eux ont de nombreux objets semblables aux lunes qui les orbitent.

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Mais il y a encore un grand nombre d’objets que l’astronomie conventionnelle peut découvrir.

David : Vous avez déjà mentionné que l’Alliance PSS est présente dans la ceinture de Kuiper. Est-ce que toutes ces différentes planètes dont nous parlons maintenant, les planètes et les satellites, sont occupés de diverses façons ? Est-ce que tous les « biens immobiliers » sont essentiellement utilisés sous une forme ou une autre ?

Corey : Ils ont tous été occupés dans le passé ou sont en train d’être occupés, tant par notre flotte spatiale que par des non-terrestres.

David : Donc, l’autre chose dont il a parlé était l’idée que 25% des habitants actuels de la Terre – et cela n’inclut peut-être pas que les êtres à la surface, selon mon hypothèse –, 25% pourrait être extraterrestres. Comment ce genre d’estimation de pourcentage peut-il concorder avec ce que vos renseignements pourraient suggérer, disons, les Dracos en Antarctique, les civilisations de la Terre intérieure, ce genre de choses ?

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Corey : Pour moi, on aurait dit qu’il disait qu’ils vivaient parmi nous, juste comme nous…

David : Hmm.

Corey : …25% de la population. La quantité de Dracos et d’autres êtres qui se trouvent en dessous de certaines régions de notre planète dépasse largement ce chiffre.

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[Note : étant donné que la population humaine à la surface du globe est de 7 milliards et demi d’habitants, ce que semble nous dire John Lear, donc, c’est que le total des individus non-terrestres – toutes races extraterrestres confondues – habitant dans les immenses cavités souterraines aménagées, sous la croûte terrestre, serait de 2 milliards d’individus environ ; et Corey Goode, lui, révise carrément cette estimation à la hausse, disant donc que cela « dépasse largement ce chiffre » de 25%… Il y aurait ainsi quelque chose comme peut-être 3 ou 4 milliards (voire plus) d’habitants non-terrestres sur cette planète, en plus des 7,5 milliards d’humains de la surface ! Rappelons que la Terre regorge d’immenses cavités souterraines, c’est un véritable « nid d’abeille », comme l’ont dit plusieurs initiés et comme expliqué dans cet épisode et aussi dans ce rapport de Corey Goode, et les diverses races technologiquement avancées n’ont aucune difficulté à les terraformer ‒ comme d’ailleurs l’ont aussi fait les civilisations humaines séparatistes souterraines telles que les Anshar et d’autres. À ce sujet, une présentation de certaines parties du monde souterrain Anshar est disponible dans cet épisode]

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Je n’ai entendu aucun renseignement indiquant qu’il y avait autant de non-terrestres qui vivaient parmi nous tout comme nous [en surface, donc].

David : En effet.

Corey : Ce qu’il a dit aussi, c’est que nous sommes tous des ETs, ce qui est vrai.

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Beaucoup de gens disent : « Je pense que je suis un hybride. » Ouais, tu l’es !!

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Nous sommes tous des hybrides. Nous sommes tous des expériences génétiques [c’est-à-dire que les humains de la surface sont le résultat de la Grande Expérience génétique et spirituelle menée sur Terre depuis des centaines de milliers d’années par la Super Fédération], et nous avons du matériel génétique de partout dans le cosmos.

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David : Très bien, nous avons donc maintenant un autre segment pour vous dans lequel Lear va décrire ses propres renseignements concernant la Lune.

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C’est un peu différent de ce que j’ai entendu et de ce que Corey a entendu, mais au lieu de nous disputer à ce sujet, nous voulons simplement essayer de trouver un terrain d’entente. Alors jetons un coup d’œil.

 

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LES HOMMES SUR LA LUNE

 

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John Lear : La Lune est artificielle. Les deux Russes qui ont écrit le livre sur le fait que ce soit un vaisseau spatial, ils avaient raison. C’est le cas.

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Et il y a plein de trucs dans la Lune, et oui, c’est artificiel.

Pour surveiller ce qui se passe ici… les humains qui y vivent sont complètement séparés des Gris qui ont des laboratoires là-haut.

J’estime qu’il y a probablement un quart de million de personnes sur la Lune en ce moment. Ce ne sont pas des humains comme nous, mais des humains venus d’ailleurs.

Et on pensait que les Gris enlèvent une personne sur dix. Non, ils ramassent tout le monde. Et ils le font tout le temps, et ils leur donnent des programmes mis à jour et des choses de ce genre.

Et ce sont des laboratoires fantastiques qu’ils ont là-haut. Et nous pensons qu’il y a 7 milliards de personnes sur Terre. Ça fait beaucoup de voyages.

Et on dit que s’ils se montraient un jour sans l’occultation [des vaisseaux], le ciel serait noir tout au long de la journée avec les vaisseaux allant et venant, emmenant toutes les personnes différentes de part et d’autre et faisant tous les tests et tout le reste.

 

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David : Lorsque Lear décrit la Lune comme étant artificielle, bien sûr, vous en avez parlé à maintes reprises [Voir par exemple ICI].

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Avez-vous eu d’autres réflexions sur cette partie de ce qu’il a dit au sujet de l’idée qu’il pourrait y avoir, pensait-il, un quart de million de personnes qui vivraient sur la lune ?

Apparemment, d’après certaines des choses dont nous avons parlé, cela pourrait représenter bien plus d’un quart de million.

Corey : Il est fort probable que le vrai chiffre soit plusieurs fois plus élevé que ça.

David : Hum.

Corey : Oui, la Lune est tellement développée, surtout à l’intérieur, comme il le disait.

David : Il y a une revendication très forte qui est faite ici que tout le monde sur Terre est victime de ces enlèvements par les Gris. Je ne sais pas trop d’où il a entendu cela, mais cela ne semble pas correspondre à ce que j’ai entendu de la part d’autres initiés. Et je suis curieux de savoir quelle serait votre expérience concernant ce genre d’information.

Corey : Eh bien, il y a un grand nombre d’enlèvements qui se produisent par d’autres êtres, d’autres êtres que les Gris.

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David : Bien sûr.

Corey : Vous savez, il y a une Grande Expérience qui se déroule ici, et il y a un grand nombre de personnes qui sont abductées. Mais ce n’est pas tout le monde. Je veux dire, c’est limité à ce qui relève de la logistique nécessaire autour de ça.

Par ailleurs, il a mentionné que le ciel serait rempli d’embarcations si elles n’étaient pas dissimulées. C’est-à-dire… ce ne serait pas noir, mais nous verrions une quantité incroyable de trafic aérien si ces vaisseaux n’étaient pas occultés [technologie de voilage, d’invisibilité], à la fois nos propres vaisseaux et les leurs.

David : Est-ce qu’il y a des choses du genre comme des autoroutes ou des canaux que les vaisseaux empruntent ? Ils ne sont pas totalement éparpillés dans le ciel comme des insectes ?

Corey : En effet. Ils ont des couloirs de vols dans lesquels ils volent. Même les Anshar, ils doivent voler dans certains couloirs de vol.

Mais ces embarcations volent si vite qu’elles pourraient voler partout, et vous ne les verriez pas même si elles ne sont pas voilées, à moins qu’elles ne s’arrêtent ou avancent vraiment lentement.

Ils bougent beaucoup plus vite, vous savez, des milliers d’images par seconde. Mais il y a beaucoup de trafic dans ces couloirs de vol.

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David : Très bien. Eh bien, cela a été un voyage fascinant à travers le témoignage de John Lear, le fils de l’étonnant pionnier de l’aéronautique, Lear lui-même, le gars responsable de ce que nous appelons aujourd’hui le Learjet.

C’est « Divulgation Cosmique », et j’espère que ça vous a plu. Je sais que ça a été mon cas. Je suis ici avec Corey Goode, et on se reverra la prochaine fois sur Gaia. Merci d’avoir regardé.

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Source originale de la transcription en anglais (aujourd’hui indisponible sur le blog de Corey Goode) : https://spherebeingalliance.com/blog/transcript-cosmic-disclosure-pushing-the-limits-of-disclosure-with-john-lear.html

Source de la transcription en français : Elishean/2009-2019/ Aux Portes du Temps : http://elishean-portesdutemps.com/repousser-les-limites-de-la-divulgation-avec-john-lear-cosmic-disclosure-saison-7-ep-13/

Révision de la traduction en français : Starseed12Pléiades


Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

 



05/10/2019
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