[Dossier Lait] Hypocrisie Médicale et Scandale Sanitaire
[Dossier Lait] Hypocrisie Médicale et Scandale Sanitaire autour de l’Industrie Laitière
Dans l’état actuel des choses, au vu des études réalisées et des chiffres annoncés, il faut être insensible et insensé pour continuer à consommer des produits laitiers. En effet, ce qu’on nous vend comme un aliment indispensable à notre croissance, nécessaire pour nos besoins en calcium, se révèle être, outre une aberration (aucun mammifère passé le sevrage n’ingère de lait, ni exploite une autre espèce que la sienne pour nourrir ses petits), un aliment mauvais voire même dangereux pour la santé, et dont la chaîne de fabrication est non seulement extrêmement polluante, mais aussi génératrice de souffrance. Quand on sait que pour produire 1L de lait, il faut 1000L d’eau, que la production laitière mondiale frôle les 700 millions de tonnes par an, que par conséquent, pour toujours plus de rendement, le lait contient du pus, des antibiotiques, des hormones de croissance, etc, il n’est pas inutile de remettre en question une pratique alimentaire banalisée, même si elle s’avère dater de 12000 ans. « Humeur fondamentale du corps humain (comme le sang et le sperme), le lait est chargé d’une grande signification symbolique, car il a le pouvoir de transmettre les qualités et les défauts de la femme, voire de l’animal, qui l’a produit. », à ce titre, il est peut-être temps de cesser de s’alimenter comme des animaux pour cesser de se comporter comme du bétail…
Lait de vache : inconvénients pour la santé
Le lait de vache cumule plusieurs inconvénients : – C’est un aliment acidifiant et donc conduisant à une déminéralisation ( ostéoporose ) pour compenser le déséquilibre acido-basique : travaux de l’INRA – F . Cet état conduit d’abord à la spasmophilie ( par compétition Calcium > et Magnésium ) et induit enfin des lithiases calciques
– Le lait est trop riche en phosphore qui hyperstimule les parathyroïdes et trop riche en protéines perturbant l’assimilation du calcium
– Le lait est indigeste par sa quantité en graisses saturées ( autant que 3 tranches de lard pour 1 verre ! ) et son manque d’A.G.P.I permettant le développement du S.N et des organes des sens
– Le lait est indigeste car l’estomac humain ne possède pas la présure des ruminants ( nourrisson encore moins ) permettant de cailler le lait et sa caséine ( 300 fois plus que le lait maternel ) / mieux sous forme de produits lacto-fermentés / yaourts et fromages. Il faut donc attendre que cela se fasse sous l’effet de la chaleur pour pouvoir le digérer
– Le lait est indigeste au niveau de son lactose qui induit une intolérance de plus en plus fréquente du fait de la non possession de l’enzyme lactase (que seuls 40% des adultes possèdent dans le Sud de l’Europe ) et son affaiblissement physiologique avec l’âge / 15 % chez l’adulte sinon des troubles intestinaux perturbant la flore intestinale et la muqueuse entérocytaire / perméabilité … et responsable d’une toxiinfection générale ( O.R.L , Respiratoire , Cutané chez l’enfant puis articulaire , vasculaire , endocrinien , neurologique chez l’adulte ) apparaissent = effet colle ( AG si intolérance au gluten et infections virales ) avec des peptides devenant de véritables antigènes perturbant l’immunité .
– Le lait fait partie des 3 produits les plus allergènes car ( chez le petit ++ ) les molécules de lait passent la barrière intestinale sans être dégradées ( auto-intoxication ) conduisant à une perturbation membranaire inflammatoire responsable d’une anémie avec perte de fer
– Le rapport lysine / arginine du lait de vache favorise une athérogénèse précoce chez l’enfant
– Le lait est fait pour le veau et contient une information spécifique à cette espèce qui n’est pas adéquat pour l’homme donc pourrait perturber le système endocrinien
– Le lait contient trop peu de lipase pour le nourrisson encore inadapté dans sa sécrétion pancréatique
– Une corrélation existe entre la consommation de lait ( présence d’E.G.F stimulateur de croissance pour le bébé ) et certains cancers / sein , GI ( le lait diminue la sécrétion biliaire )
– Le lait est un facteur de fixation des toxiques lipophiles / solvants et métaux lourds
– Le lait contient des hormones de croissance , des xéno hormones , des antibiotiques , pesticides et herbicides , dioxines , etc. qu’ont reçus ou mangés les vaches et ceci est encore plus concentré dans les fromages et yaourts ( 200 fois )
– Des études médicales constatent une relation entre consommation de produits laitiers et maladies auto-immunes / diabète juvénile à cause de l’impact immunitaire perturbant du lait
– Aucune espèce animale ne consomme de lait après le sevrage …
– Le lait de vache ne contient pas les IgA sécrétoires apportant l’immunité à l’enfant dès la prise du colostrum + la lactoferrine bactériostatique et favorisant le développement de la flore intestinale
(Lire la suite sur AMESSI…)
Lait, mensonges et propagande par Thierry Souccar
Après le succès de Santé, mensonges et propagande, qui s’attaquait aux conseils nutritionnels devenus vérités premières, Thierry Souccar jette un nouveau pavé dans la mare de l’industrie agroalimentaire et de la nutrition « officielle ».
Avec ce document, il s’en prend à l’un des plus gros segments du marché de l’agroalimentaire : les produits laitiers. Il expose les dessous d’un succès marketing sans précédent et montre, études à l’appui, que les arguments des industriels et des nutritionnistes pour nous faire consommer plus de laitages sont mensongers :
« Les laitages préviennent l’ostéoporose. » Faux « Nos os ont besoin d’un maximum de calcium. » Faux « On est plus mince quand on boit du lait. » Faux « Il n’y a aucun risque de cancer avec les laitages. » Faux « Les buveurs de lait ont moins de diabète. » Faux
Au contraire, au niveau auxquels ils sont officiellement conseillés – 3 à 4 par jour – les laitages peuvent favoriser maladies cardiovasculaires, diabète, cancer de la prostate…
Puisé aux sources scientifiques les plus récentes, ce livre propose une alternative nutritionnelle, la seule aujourd’hui capable de prévenir l’ostéoporose et les maladies de civilisation. Sans se bourrer de laitages!
« Ce livre ne peut faire que du bien à la Santé publique. Il est en avance sur son temps. » Pr Henri Joyeux, cancérologue à la faculté de médecine de Montpellier, auteur de la préface (Source)
Extrait
Comme les extraterrestres de la série, d’autres Envahisseurs sont parmi nous depuis la fin des années 1960 : ce sont les représentants de l’industrie laitière ou les médecins qui travaillent pour elle. Rien, ou peu de chose ne permet de les distinguer d’un médecin ou d’un scientifique normal. Ils sont dans les instances officielles, les organisations gouvernementales, les colloques scientifiques et médicaux, les médias, les expositions pédagogiques, les écoles. Leur mission : nous faire avaler un maximum de laitages. Voici quelques traces de leur présence parmi nous ! La prolifération des Envahisseurs est orchestrée dans tous les pays par la grande famille des producteurs et des industriels de la voie lactée. Aux États-Unis, le National Dairy Council est aux commandes. En France, trois patriarches oeuvrent main dans la main : la Fédération nationale des producteurs de lait, la Fédération nationale des coopératives laitières et la Fédération nationale des industries laitières. Tout ce beau monde a porté sur les fonds baptismaux une structure de « promotion », le Centre national interprofessionnel de l’économie laitière (CNIEL). Or figurez-vous que le CNIEL a fait des petits.
À commencer par le CIDIL (Centre interprofessionnel de documentation et d’information laitières), créé en 1981. Le CIDIL contribue selon sa propre profession de foi « au développement de la consommation du lait et des produits laitiers, par des programmes de promotion collective ». Le CIDIL porte la bonne parole laitière aux médecins et au grand public. Aux médecins, en finançant des numéros spéciaux de la presse médicale pour rappeler l’intérêt du calcium laitier. Ou en montant des conférences.
Comme le CIDIL avait un patronyme un peu trop voyant, le CNIEL a accouché au début des années 1990 d’une association loi 1901 – plus discrète et donc propice à la mission des Envahisseurs – le Centre de recherche et d’information nutritionnelles (CERIN). Pas de trace de lait là-dedans, un nom bien rassurant et quasi officiel qui leurre chaque année des journalistes et jusqu’à la Commission européenne, un temps persuadée, comme nous l’avons écrit dans Santé, mensonges et propagande, que ledit CERIN était un organisme officiel. Si le CERIN se présente comme « un organisme scientifique dont la mission est de favoriser le développement et la diffusion des connaissances sur les relations entre alimentation et santé », les objectifs y sont en réalité les mêmes qu’au CIDIL : vous faire ingurgiter des laitages.
ILS SONT PARTOUT
La stratégie des Envahisseurs repose sur l’établissement de liens étroits et réguliers avec des médecins, des chercheurs, d’ailleurs souvent naïvement persuadés de l’intérêt des laitages, mais aussi des organismes publics. Ainsi, l’industrie assure une large part du financement de l’Institut français pour la nutrition (IFN), une structure très influente auprès des pouvoirs publics qui permet de rapprocher les vues des médecins et chercheurs d’une part et celles des industriels de l’agro-business d’autre part. L’IFN fonctionne comme un lieu d’échange où se nouent des contacts fructueux entre scientifiques et industriels. Les premiers parlent, mais ce sont les seconds qui paient. Équilibre délicat. Passe encore pour les colloques organisés par l’IFN sur des sujets qui ne fâchent pas comme le vieillissement cérébral ou l’activité physique. Là où l’exercice trouve ses limites, c’est lorsqu’il s’agit de dire le rôle des aliments transformés sur la santé, ces aliments-mêmes fabriqués par les bâilleurs de fond de l’IFN. (Source)
Lait : notre ami pour la vie
Le lait de vache, c’est bon pour la santé » : depuis 1954 et l’instauration du verre de lait obligatoire dans nos écoles, cette certitude est solidement ancrée dans la culture alimentaire française.
Au pays de Danone (le numéro 1 mondial des produits laitiers), nos supermarchés regorgent de laitages sous forme de produits frais (lait, yaourts, fromages) mais aussi dans un grand nombre de préparations industrielles (pizza, saucissons, bonbons…).
Résultat : les petits français ingèrent en moyenne 1 gramme de calcium par jour alors qu’il ne faudrait pas dépasser 0,5 grammes. Cela peut-il avoir des conséquences sur leur santé ?
Notre enquête montre qu’en dehors des traditionnels phénomènes d’allergies au lait de vache (80 000 bébés concernés par an, soit un enfant de 0 à 4 ans sur dix), les matières grasses des laitages tendent à favoriser obésité et diabète.
Plus préoccupant : des études scientifiques ont récemment mis en évidence un lien entre surconsommation de lait et cancers des ovaires ou de la prostate.
Ces enquêtes sont-elles fiables ?
Pourquoi sont-elles si peu connues en France ?
Les experts des organismes publics censés nous informer sont-ils vraiment indépendants ?
Comment l’industrie laitière pousse-t-elle nos enfants à consommer ?
Menée en France, aux Etats-Unis ou en Europe du Nord, cette enquête montre que notre pays tarde à s’interroger sur les conséquences sanitaires d’une surconsommation avérée de produits laitiers.
Dans d’autres pays comme la Finlande, des politiques publiques très volontaristes ont été mises en place pour réduire la surconsommation de laitages.
Une enquête de Cécile Allegra et Carole Gréco (Source)
Vaches laitières : le martyre des mères non-humaines
Ces 40 dernières années, on a transformé à coup de sélections génétiques, médicaments, hormones et subventions européennes (payées avec nos impôts), de paisibles mammifères ruminants en véritables MACHINES à lait. Une vache peut aujourd’hui produire entre 6.000 et 12.000 litres de lait par an ou 20-40 litres par jour ; c’est 10 fois plus que son ancêtre dans les années 50. La moyenne « naturelle » de production de lait d’une vache qui allaite son petit est de maximum 1.000 litres par an.
Ces 40 dernières années, on a transformé à coup de sélections génétiques, médicaments, hormones et subventions européennes (payées avec nos impôts), de paisibles mammifères ruminants en véritables MACHINES à lait. Une vache peut aujourd’hui produire entre 6.000 et 12.000 litres de lait par an ou 20-40 litres par jour ; c’est 10 fois plus que son ancêtre dans les années 50. La moyenne « naturelle » de production de lait d’une vache qui allaite son petit est de maximum 1.000 litres par an.
C’est à l’âge d’environ 15 mois que commence le cercle infernal : insémination, mise bas, retrait du petit, insémination…car pour produire du lait, une vache comme une femme ou tout autre mammifère, doit d’abord avoir un petit. Chaque grossesse dure 9 mois et chaque mise bas se fait systématiquement par césarienne car les sélections génétiques ont créé des veaux devenus trop larges pour passer par le canal naturel de mise bas.
Le petit veau est séparé de sa mère dans les 24 heures après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi pour la vache autant que pour le petit. Des études ont démontré que le deuil de la séparation dure des semaines entières, tandis que la vache totalement désorientée, pleure et cherche son petit. Trois mois après la naissance de son premier veau, la vache est à nouveau inséminée. Ce qui signifie qu’elle a constamment les mamelles pleines correspondant à une charge de plus de 50 kg.
À force de pousser l’animal au-delà de sa limite biologique, la vache est devenue anormalement difforme (bassin et pis hypertrophiés), ce qui engendre douleurs, boitements, infections mammaires entre autres maladies traitées à coup d’antibiotiques. Le petit veau finira en pâté pour chien et chat s’il est conduit à l’abattoir dès qu’il est retiré de sa mère. La présure, substance provenant de son estomac, sera alors extraite pour servir à la fabrication des FROMAGES. Ou bien, il passera 5 longs mois, enfermé dans l’étroitesse d’une caisse en bois, totalement isolé de ses congénères, où il n’aura pas même la place de se retourner.
L’industrie laitière fait intégralement partie de l’industrie bouchère : la viande de veau et la fabrication des fromages grâce à la présure extraite de son intestin en sont la démonstration : 70 % de la viande de bœuf provient des vaches laitières. En résumé, prétendre qu’une vache élevée pour sa viande souffre plus ou soit moralement moins acceptable qu’une vache élevée pour son lait est tout simplement ABSURDE. Il en est de même pour leur impact sur la planète et sur la santé humaine. (Source : Veganimal)
Quelques Chiffres…
– Litres de lait produits en Europe en temps réel – Litres de lait produits finissant en packs, bouteilles ou briques en temps réel – Kilos de fromage produits dans le monde en temps réel
La production de lait de vache en Europe se fait grâce à la culture intensive du soja . Celle ci se traduit par la déforestation, un usage conséquent de pesticides, d’OGM, la monoculture qui affaiblit les sols et appauvrit les populations locales qui ne sont plus en mesure de se consacrer aux cultures vivrières. Par ailleurs, pour produire 27 litres de lait, une vache doit boire plus de 170 litres d’eau !
Rappelons que 15 à 20% des émissions mondiales de méthane sont liées à l’élevage des animaux. La production d’un kilo de viande de veau rejette autant de GES qu’un trajet automobile de 220 km. Celle d’un kilo de bœuf équivaut, elle, à un trajet de 70 km. (Source)
– Les deux vaches mortes par Insolente Veggie –
Et les Alternatives?
Les alternatives à la consommation de lait de vache ne manquent pas. Pour la cuisine de tous les jours, on pourra utiliser des laits végétaux (amande, avoine, soja, noisette, riz, etc…) qu’on trouve facilement dans le commerce, ou qu’on peut réaliser soi-même (exemples ici et là) :
Pour l’alimentation infantile, si la mère ne peut allaiter son bébé pour des raisons de santé, il existe ici aussi des alternatives, on trouve par exemple les laits Modilac riz ou Prémiamande (voir ici et là. A noter que le second contient de la D3, vitamine D qui provient de la laine de mouton, et par conséquent n’est pas un produit végétalien mais végétarien, ce qui reste tout de même acceptable quand on ne peut vraiment pas allaiter).
Si la maman ne peut pas allaiter son enfant, on fabriquera du lait de femme avec : * les céréales (riz…) pour l’essentiel = 80% + légumineuses (lait de soja…) en petite quantité = 20% + un peu de légumes (carottes…) ou de fruits en compote + huiles (noix, soja, chanvre…)
Le tout passé au mixeur et filtré pour refaire un lait auquel on ajoutera là encore une petite partie de la tablette de multivitamines fondue [Le Multi Vitamine Prénatale de Biovea, à noter que c’est un produit végétarien et non vegan car la Vitamine D (cholécalciférol) qu’il contient est synthétisée à partir de la lanoline provenant de la laine de mouton], le tout donné au biberon.
Il ne faudra pas nourrir le bébé avec du lait de soja exclusivement, car ce lait est très lourd, ce qui provoquerait des difficultés de digestion avec nausées… (Source et suite)
LIRE AUSSI :
– « LE LAIT : LE POISON MORTEL » par Robert COHEN – LE MYTHE DU LAIT… – Le Grand Mythe du Calcium – Les dangers du lait de vaches dans notre alimentation – Le lait, un poison ?
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