JUSTICE, AXA FRANCE, HÔPITAL de BOURGES : crime en bande organisée.
Catherine Nikaise
06 59 34 23 44
Falsifications Médicales
"Administration de substances nuisibles"
Complicités de la Justice
Catherine Nikaise
06 59 34 23 44
JUSTICE, AXA FRANCE, HÔPITAL de BOURGES : crime en bande organisée.
JUSTICE, AXA FRANCE, HÔPITAL de BOURGES : crime en bande organisée.
1- Les dix parties constitutives du site, sont accessibles par l'onglet "Médecine/Justice" ;
2- Figurent tous les noms de ceux : magistrats, avocats, enquêteur, médecins, qui sont rentrés dans la spirale mortifère du mensonge ;
3- Ce que j’ai écrit va choquer les beaux esprits, englués dans le doux confort procuré par l’idée que le monde des illusions serait celui de la vraie réalité.
Par contre, ce que j’ai écrit parlera immédiatement à tous ceux que la mafia judiciaro-médicale a tenté d’éliminer ;
4- Quelques-uns de ces beaux esprits me disent parfois : « Tout cela est impossible » ; « Il est impossible qu’existe une telle accumulation de mensonges, de falsifications ».
Nier le réel n’a aucune incidence sur ce même réel.
Les seules questions rationnelles sont les suivantes :
Une telle accumulation existe-t-elle.
Est-elle méticuleusement prouvée par des éléments factuels parfaitement objectifs ;
5- Enfin, pourquoi une telle succession de falsifications ?
Tous n’étaient pas conjurés au départ pour masquer les vérités.
Mais l’un a protégé l’autre, qui a protégé l’autre, pensant que je me découragerai.
Mais j’ai persévéré dans les investigations : ils ont été contraints de monter en puissance.
Le dossier prenant de l’ampleur, celui ou celle sur le bureau duquel ou de laquelle le dossier arrivait, comprenant l’ampleur grandissante des malversations s’est empressé de tenter d’enterrer et de repasser le bébé qui refuse obstinément de se taire !
A mes Lectrices et à mes Lecteurs.
Après des années de lutte contre la mafia judiciaro-médicale, j’ai décidé de mettre en œuvre la guerre grâce au pouvoir qu’offrent les réseaux sociaux.
Mon objectif est multiple.
Faire plier tous ceux qui depuis tant d’années ont formé une collusion criminelle afin de tenter d’étouffer cette affaire, et afin de tenter de me conduire à la ruine et au désespoir.
Témoigner auprès de celles et ceux qui se croient démunis face à la puissance destructrice du système médical, judiciaire, face aux assurances aussi (AXA en la circonstance), qui n’hésitent pas à mentir, à produire des faux en écritures.
Les faits dont je vais témoigner défient l’entendement.
Je vais mettre en ligne une série de documents, courriers : seront supprimés (lors de la diffusion sur les réseaux sociaux), certains éléments concernant mes activités professionnelles ; tout comme je supprimerai quelques noms.
Sont impliqués des médecins, un « expert judiciaire » très comique, un officier de police, des juges, des magistrats, l’avocat desdits médecins évidemment : Maître Wedrychowski (Barreau d’Orléans) ; les plus hautes instances d’AXA France, évidemment aussi Madame Cornillault, la directrice de l’hôpital de Bourges qui se drapera dans le rôle de la belle offensée…
Je prouverai par des preuves factuelles les erreurs saisissantes commises à mon encontre par plusieurs magistrats.
Que l’expertise judiciaire du 01 septembre 2014 fut une vaste escroquerie, destinée à protéger la carrière desdits médecins.
Qu’en vue de cette « expertise » criminelle d’où je suis ressortie brisée, a été rédigé par les médecins un argumentaire « scientifique » hallucinant, pathétique de contre sens multiples, argumentaire dans lequel sont cités de multiples articles scientifiques sensés illustrer leurs thèses fantasmagoriques.
Toutefois, si l’on ouvre ces études - ce qui a été fait évidemment - on se rend compte que ces études disent exactement l’inverse de la théorie que cette étude était sensée illustrer.
Sont intervenus dans mon dossier quatre avocats.
J’en ai changé au fil des années, au fur et à mesure que je comprenais l’ampleur du carnage dont j’ai été victime, au fur et à mesure que je gagnais en assurance, osant dire non, osant dire à un avocat que ses services ne me convenaient pas.
J’ai rencontré en juin 2016 mon avocat actuel qui me sauve la vie par son engagement sans faille à mes côtés, par son courage et par son sens de l’éthique.
A vous qui aurez la bienveillance de me lire, je vais vous livrer un texte qui oscille entre la tragédie et la comédie.
En effet, les protagonistes, pour l’instant conjurés afin de tenter de sauver leur carrière, ont menti lamentablement et mal menti, se contredisant lourdement les uns les autres.
Ils ont menti avec le sentiment erroné qu’ils ont de leur toute puissance d’intouchables, ils ont travesti la vérité évidente des faits de façon parfois comique, habitués au fait de considérer leurs victimes comme des imbéciles, incapables de comprendre et de leur résister.
Les textes sont parsemés de références scientifiques très précises : un médecin coupable a le droit de dire n’importe quelle ineptie sans preuve ; une victime doit par contre justifier chaque mot.
Chacun des textes reproduit ici et envoyé à différentes autorités, a été à chaque fois accompagné par un volume de pièces jointes, volume qui, à chaque fois a été relié séparément du corps de l’analyse, afin de permettre aisément la lecture et la consultation des preuves.
Mon avocat possède l’ensemble des textes que je vais mettre en ligne (en supprimant certains éléments comme je l’ai mentionné précédemment) et il possède l’ensemble des volumes de pièces jointes.
Il faut me faire confiance : je ne suis pas l’un des médecins ou autre personne que j’accuse : je ne falsifie pas la documentation…
Les analyses, courriers qui seront insérés ont été rédigés avec le plus de rigueur possible : chaque texte est rédigé avec un plan.
L’objectif étant de tenter de mettre de l’ordre et de démêler le gigantesque chaos organisé par la mafia judiciaro-médicale - et ce avec la protection de la fine fleur des cadres dirigeants d’AXA France - pour tenter de noyer la vérité et tenter de me noyer en me faisant sombrer dans un désespoir mortel.
Malgré la rigueur de l’argumentaire qui, a priori, apparaît dans chaque texte rédigé, il n’en reste pas moins que chaque texte accumule une telle série de faits insensés, contradictoires, que le réflexe premier sera de penser qu’il s’agit de mon fait de pure affabulation.
J’opposerai à ceux qui m’accuseront de je ne sais quelle pathologie psy (paranoïa, par exemple ou autre douceur…) les 36 pages exemplaires de mon CV, où figurent des Témoignages de Félicitations signés par de hautes autorités de la République.
Surtout, je dispose de cinq expertises accablantes à l’encontre des médecins, expertises réalisées par des grands noms de la médecine française et internationale. La justice les possède depuis longtemps ; en vain.
Elles n’ont même pas été cotées par Madame Barucco, Doyen des Juges d’Instruction du TGI de Bourges…
La base scientifique qui parcourt l’ensemble des textes provient essentiellement de ces cinq expertises rédigées par de grands noms de la médecine française.
Lorsqu’un des mystificateurs de médecins que j’accuse lira un des textes mis en ligne sur ce site, il pourra se parer de sa toge de « sachant » face à un petit cerveau féminin « néophyte »...
L’important n’est pas qui a écrit un texte. Mais si le texte est juste ou non, et étayé ou non par des arguments scientifiques authentiques.
J’ai mis une photo afin d’incarner mon message.
De même, sont joints une adresse mail et un numéro de portable : je répondrai à tous les messages bienveillants.
Maître François Gaston a tenté toutes les voies légales pour que je sois entendue ; il lui a été signifié le 19 septembre 2017 que la justice pénale refusait que je sois entendue, ce qui est un droit imprescriptible :
« Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement par un tribunal indépendant et impartial » - Article 6 de la « Convention Européenne des Droits de l'Homme ».
Et le 04 octobre 2017, la demande d’appel faite suite à ce refus que je sois enfin auditionnée loyalement après des années de combat, cette demande d’appel a été rejetée par des arguments malhonnêtes.
La justice a tellement menti et ce à haut niveau, qu’il ne faut en aucun cas que l’affaire ne sorte.
Mon avocat confirmera les affirmations précédentes :
Maître François GASTON : 29 rue Jean Jaurès, BP 50492, 86 012 Poitiers cedex -
gdsr.avocats@free.fr - 05 49 41 41 22
Chacun pourra me faire des reproches sur le ton, le style, le vocabulaire.
Ils sont à la hauteur des enjeux et à l’image du carnage que ceux que j’accuse depuis si longtemps avec autant de preuves, ont répandu dans ma vie.
A ma place, comment chacun de ceux qui lira aurait fait.
Que l’on me pardonne d’éventuelles erreurs.
Mesdames, Messieurs les Coalisés,
Monsieur Montané, Directeur Général AXA Entreprises : votre dernière campagne de publicité est une merveille qui met les larmes aux yeux: « Donner à chacun les moyens de vivre une vie meilleure ». Le film met en scène Lisa, blessée lors d’un séisme au Népal alors qu’elle était en mission humanitaire. Sont retracés les évènements tragiques vécus par la jeune femme, soutenue par les équipes Axa depuis son rapatriement jusqu’à son long combat pour se rétablir physiquement et psychologiquement. Monsieur Montané, Bourges il est vrai est moins exotique que le Népal ; toutefois, vous avez accompagné Lisa, dit votre publicité. Faites de même avec moi plutôt que de persévérer à nier les évidences des culpabilités flagrantes de votre client : l’hôpital de Bourges. Sans compter, Monsieur Montané que votre très brillant parcours figure sur internet ; et que votre stratégie consiste à feindre avec indécence la faiblesse intellectuelle, puisque vous m’avez écrit que « ni moi-même ni mes collaborateurs ne pouvons prétendre à ce niveau de connaissance… que vous pensez avoir acquis au fil du temps » !
Ainsi, Monsieur le Directeur Général, selon vous, au sommet de la pyramide intellectuelle du prestigieux groupe AXA, personne ne comprendrait le moindre mot de médecine !
Maître Boizard, avocat réputé, spécialiste des questions médicales, vous qui défendez les intérêts et l’image d’AXA qui fait de l’éthique et de l’assistance aux victimes, l’alpha et l’oméga de sa communication. Maître Boizard, c’est l’ex très charismatique et très puissant Président Directeur Général d’AXA MONDE, qui a demandé dans un courrier dont une copie qui m’a été adressée le 30 juin 2016, que le plus grand soin soit mis dans l’étude de mon dossier. Et malgré cela, malgré les preuves accablantes émanant en particulier d’un de vos experts, vous feignez toujours avec indécence de ne rien comprendre.
Et vous persévérez dans le stupide raisonnement selon lequel le pseudo rapport d’expertise du mystificateur « docteur » Cotineau, serait favorable à AXA. Pseudo rapport en réalité grossièrement falsifié, comme l’ont prouvé cinq expertises que vous possédez ; expertises rédigées par de grands noms de la médecine française et internationale. Rapport « favorable », avez-vous répété telle une antienne stérile. Maître, les vents sont favorables ou non à la navigation. Un rapport médical n’est pas « favorable » ou défavorable. Mais juste au niveau scientifique, étayé de preuves factuelles ou non.
Ce rapport ne vous est pas « favorable » non seulement par ce qu’il est faux au niveau scientifique.
Mais aussi, parce qu’en vous obstinant à le croire, vous associez l’image de la belle compagnie AXA si soucieuse se son éthique, à la cause d’assassins.
Maître, du long entretien avec mon avocat et vous-même, je ne retiendrai ici qu’une de vos affirmations scandaleuses. J’ai évoqué la mutilation terrible dont j’ai été victime suite à la prescription insensée maintenue pendant près de trois ans par vos clients ; et ce malgré les terribles effets secondaires apparus immédiatement.
Une femme mutilée suite à un cancer du sein a perdu une grande partie du sens de sa vie et se voit condamnée à la solitude.
Vous avez eu l’indécence de minimiser. « L’amour c’est autre chose » a dit avec cynisme l’orateur que vous êtes.
Non absolument, Maître. Vos dénégations de la douleur liée à la mutilation révulseront toutes les femmes qui liront ce texte - et tous les hommes honnêtes.
Maître, je vais transposer et je vais vous parler de « l’âpre réalité », comme l’écrit Stendhal en exergue de son fameux roman : si vous aviez été castré, aucune femme ne vous désirerait et ne vous aimerait.
Docteur Baudet, votre hiérarchie n’a pas estimé utile de vous faire savoir qu’un site internet très accusateur à votre encontre était actif. Comme je suis loyale, j’ai décidé le mardi 20 novembre 2017, après la rencontre avec votre avocat, de me rendre dans votre service afin de vous donner moi-même et en direct cette information.
La suite confine au grotesque.
Votre bureau était ouvert, la lumière allumée.
Vous êtes sorti, vous m’avez aperçue, et vous avez déguerpi, fuyant à grands pas à travers la salle d’attente pleine. Puis vous vous êtes caché…
J’ai attendu, bien sage et très élégante !
Vous avez eu l’indécence et l’imprudence d’appeler les hommes de la sécurité, qui m’ont entourée, m’ont demandé ce que je faisais là : un citoyen qui se rend dans un hôpital public financé avec l’argent de ses impôts n’a pas à rendre des comptes sur les motifs de sa venue.
J’ai été encerclée, conduite dans un couloir, les lourdes portes battantes ont été fermées de part et d’autre. J’ai donc été prise au piège ; j’étais sous le coup de l’émotion et vous avez temporairement remporté une pathétique victoire : j’ai été mise hors de votre service.
Docteur Baudet, je vous remercie de cet aveu inespéré de votre lâcheté, de votre médiocrité, et surtout de votre culpabilité.
Car si vous n’aviez rien à vous reprocher, vous auriez fait votre devoir de médecin : vous m’auriez accordé quelques instants.
Vous êtes mon bourreau et je suis votre victime.
Je suis flattée de vous avoir fait si peur.
Maître Boizard, votre client m’a gravement traumatisée par ce nouvel acte violent à mon encontre. Je vous demande d’organiser très rapidement une confrontation avec le docteur Baudet, afin que celui-ci ne vous avoue les raisons de sa fuite et de son recours à la force.
Madame Cornillault, cela fait quatre ans que mes avocats ont tenté en vain d’obtenir une rencontre avec vous ; et à chaque fois, vous avez refusé. En novembre 2017, vous avez fini par accorder cet entretien fixé une première fois le 02 novembre.
Après cinq reports de ce rendez-vous en un mois - au mépris de l’emploi du temps de mon avocat et de moi-même - cette rencontre a lieu.
Toutefois vous avez préféré fuir, comme votre chef de service d’ophtalmologie : le docteur Baudet - et vous avez eu la lâcheté de vous faire représenter.
Par ailleurs, vous avez eu l’indécence de contacter la rédaction du journal ayant fait paraître un article sur cette affaire ; vous avez proféré des menaces ; la rédaction vous a proposé un droit de réponse que vous avez refusé d’exercer.
Car à part fuir, mentir, menacer, vous n’avez aucun argument factuel à opposer aux très graves fautes dont sont accusés vos médecins et vous-même.
Maître Wedrychowski payé par de l’argent public au service de la protection de médecins que vous savez coupables, car vous êtes un avocat très aguerri, spécialiste des questions médicales,
Docteur Anne Sophie Labussière, médecin interniste à l’hôpital de Bourges, qui ne vous souvenez plus si oui ou non vous avez témoigné le 31 août 2015 à 08h24 (ce qui signifierait que la pièce cotée D41 est un faux),
Docteur Cotineau, médecin expert en ophtalmologie qui avez inventé de toutes pièces une gravissime pathologie et ce, sous la dictée de votre ami le docteur Baudet, vous qui avez évoqué (dans un courrier à destination du Tribunal Administratif de Poitiers) la « mise à disposition d’une table quadrangulaire, de fauteuils confortables, de sanitaires » ! le jour de votre criminelle expertise.
Docteur Baudet, Chef de Service à l’hôpital de Bourges, docteur Baudet, je suis persuadée que seul votre très brillant cerveau pouvait orchestrer cette gigantesque falsification, je vous ai pris longtemps pour un homme d’honneur.
Et vous n’êtes qu’un assassin lâche.
Cette tragédie, qui dure depuis dix ans, est très largement votre faute : car si vous aviez avoué votre erreur dés le début des terrifiants effets secondaires que j’ai subis, je n’aurai rien dit, car vous vous seriez trompé, ce qui évidemment arrive.
Mais vous avez persévéré par ubris : le grand docteur Baudet ne reconnaît pas ses erreurs, quitte à sacrifier celle qui vous faisait confiance et qui vous a eu admiré.
Docteur Baudet, descendez de votre position altière et superbe, et ayez le courage de venir discuter avec mon avocat et le très grand ophtalmologiste de réputation internationale, votre collègue de réputation mondiale, auteur de deux expertises accablantes à votre encontre,
Docteur Baudet qui avez une très bonne mémoire, vous souvenez-vous que votre ami : le docteur Aaron (qui voulait dire la vérité mais à qui vous avez imposé le silence) m’a demandé publiquement pardon à deux reprises, le jour de la terrifiante parodie d’expertise que vous avez manigancée de toutes pièces le 01 septembre 2014, avec votre intelligence fulgurante et machiavélique.
Madame Cornillault, directrice de l’hôpital de Bourges, coupable d’avoir couvert le tout,
Vous tous, restez prudents car, plus la justice fait des faux, s’obstine envers et contre tout dans le déni, et plus la vague prend de la hauteur.
Elle m’emportera peut-être.
Mais je vous promets en amont d’organiser une campagne de communication redoutable afin de porter à la connaissance d’un large public, vos pratiques mafieuses.
Catherine Nikaise
Téléphone : 06 59 34 23 44
Mail :
« Crime » en bande organisée : caractérisation de l’infraction.
« Administration de substances nuisibles ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente » : mots notés par la main de deux Procureurs de la République.
Plus précisément « Administration aggravée de substance nuisible ».
Guide Dalloz des infractions pages 668 à 670 :
« PP crime. 15 ans de réclusion. Cas A2 : A2 : 20 ans ».
Remarque :
Ce site est le résultat d’un « travail dantesque », dit mon avocat…, travail débuté en octobre 2012. A cette date, après avoir échappé à la mort, après une dramatique opération mutilante suite à un cancer généré par l’imurel, j’ai débuté ce travail, découvrant au fil des années les incroyables dissimulations.
Est inséré en lien 1 le résumé en quatre pages des faits.
Les faits ainsi résumés paraîtront insensés.
Toutefois ce résumé est conforme à l’exacte réalité.
« Ce n’est pas parce qu’il y a des problèmes que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas qu’il y a des problèmes ».
Sénèque.
« On peut mentir une fois à tout le monde, on peut mentir tout le temps à une personne, mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde ».
Abraham Lincoln - Seizième Président des Etats-Unis.
Très bref résumé des faits et explications - (4 pages)
I- Très bref résumé des faits.
1- 16 décembre 2008 : prise en charge par le docteur Baudet (ophtalmologiste hôpital de Bourges) d’une affection oculaire (une uvéite). Suite à une surcharge de travail, j’ai attendu que les douleurs soient intenses pour me rendre à l’hôpital. Guérison de cette affection notée le 12 janvier 2009 (Acte 15 12/01/2009 - 18H20 : Tyndall = 0 (Tyndall 0 signifie disparition totale de l’affection).
2- 28 avril 2009 : nouvelle uvéite rapidement guérie (guérison totale notée dans les dossiers médicaux). Une uvéite le plus souvent n’a pas de cause. Elle est plus rarement la conséquence d’une autre pathologie. Le médecin ophtalmologiste (docteur Baudet), envisageant la seconde possibilité théorique, m’a adressée au médecin interniste (docteur Aaron) pour faire un bilan, qui n’a jamais été réalisé. Il est essentiel de prendre en compte ceci : à l’époque, j’étais en excellente santé, j’étais marathonienne. Il n’existait donc strictement aucune raison de suspecter la moindre pathologie sousjacente.
3- Le 28 avril 2009, suite à un seul rendez-vous, le docteur Aaron (médecin interniste hôpital de Bourges), que je ne connaissais pas, a posé 5 diagnostics sans réaliser les examens pourtant indispensables pour poser les deux diagnostics somatiques notés infra (radio, scanner…) :
a) Deux diagnostics de graves maladies somatiques : « Spondylarthrite évolutive ankylosante avec atteinte périphérique et centrale » : une très lourde maladie auto-immune invalidante et incurable (« atteinte périphérique » : mains, pieds ; « atteinte centrale » : bassin, rachis, colonne vertébrale). Ce diagnostic lourdement erroné de spondylarthrite est un élément décisif : en effet, la spondylarthrite est une maladie grave, dont une des manifestations peuvent être des problèmes oculaires. « Ténosynovite » (inflammation de la gaine synoviale qui entoure les tendons). Le docteur Baudet (ophtalmologiste), le docteur Labussière (médecin interniste), le docteur Aaron (médecin interniste) et le docteur Grunchec (mon ex médecin généraliste) étaient persuadés que cette « spondylarthrite » - qui n’existe pas !! - expliquait l’uvéite (du 28 avril 2009) totalement guérie en quelques jours. b) Trois lourds diagnostics de maladies mentales !! : « Antécédents anxio-dépressifs » ; « Troubles du comportement alimentaire avec de nombreuses restrictions » ; « Contexte névrotique »….
Remarque : Ces diagnostics sont notés dans des courriers échangés entre le docteur Baudet, le docteur Aaron, et le docteur Grunchec. Ils figurent dans le dossier médical de médecine interne auquel a eu accès le docteur Anne Sophie Labussière (médecin interniste hôpital de Bourges). Or, je n’ai jamais été informée de cet échange de courriers, ce qu’exige l’Article 68 du « Code de Déontologie ». Et je n’en ai pas été bien sûr destinatrice.
Je n’ai pris connaissance de ce quintuple diagnostic qu’en octobre 2012, date à laquelle j’ai obtenu mon dossier médical. Le monde s’est écroulé.
4- Suite à ce diagnostic imaginaire de très grave « spondylarthrite », posé sans aucun examen : prescription hors Autorisation de Mise sur le Marché et hors cadre législatif (Article L 5121-12-1 du « Code de la Santé Publique ») d’un médicament hautement toxique : l’imurel, un immunosuppresseur.
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Ce médicament a été prescrit immédiatement à la dose maximale : 150 mg (Dose maximale maintenue quasiment en permanence pendant près de trois ans) (L’imurel est un immunosuppresseur prescrit dans les greffes ; il altère l’immunité afin d’éviter le rejet). Ce médicament toxique était sensé guérir la très grave forme de « spondylarthrite » (Abréviation : SPA) - qui n’existe pas - « spondylarthrite » responsable parait-il de l’affection oculaire - totalement guérie par ailleurs dès le 05 mai 2009… Remarque : Les médecins ont compris évidemment rapidement que cette SPA n’existe pas. Ils l’écrivent eux-mêmes à plusieurs reprises dès juin 2009 « Probable spondylarthrite » ! (Courrier du 10 juin 2009).
Prescription maintenue envers et contre tout. Les médecins nient tous les effets secondaires. Les médecins ne cessent d’affirmer dans ce dossier médical que je vais très bien. Que ma « tolérance » à ce médicament toxique est « excellente » !!
Car impossible de reconnaître - auprès de moi du moins - la réalité insensée : m’a été prescrit un médicament très toxique à la dose maximale pour traiter une pathologie n’ayant jamais existé : une grave spondylarthrite.
Prescription validée puis maintenue pendant près de trois ans malgré les très graves effets secondaires - et ce malgré les recommandations formelles du VIDAL : par le docteur Baudet (ophtalmologiste) ; par le docteur Labussière (médecin interniste hôpital de Bourges) ; par le docteur Grunchec (médecin généraliste).
Remarque 1 : Dans le courrier initial (15 mai 2009 - page 2) échangé entre les médecins aux noms notés précédemment, il est écrit que ce médicament a été prescrit à ma « demande » : « A la demande de Madame Nikaise »… Remarque 2 : Prescrire hors Autorisation de Mise sur le Marché (en dehors du cadre législatif très précis : Article L 5121-12-1 du « Code de la Santé Publique ») - ce qui fut mon cas - est une faute très lourde qui entraîne la radiation de l’Ordre des Médecins.
5- J’avoue avoir commis l’erreur de faire confiance : début de la prise de ce « médicament » le 05 mai 2009. Or, à cette date, comme le notent les dossiers médicaux et le courrier initial du 15 mai 2009, j’étais en parfaite santé. PARADOXE : dans ce courrier précité, sont notés les deux graves diagnostics somatiques (Cf. Page 1 du présent résumé - 3- a). Mais il est noté aussi dans le même courrier, que les signes cliniques de ces maladies sont absents ! Logique car ces maladies n’ont jamais existé… J’étais donc en très bonne santé ; ce qui n’a pas duré.
6- Trois ans de calvaire dans le déni absolu des médecins. Ma vie s’est brisée dès les premiers jours. Je ne comprenais rien. Aucun des médecins précités ne voulait entendre mes douleurs. Les très graves effets secondaires dont j’ai souffert, sont tous référencés par le VIDAL ; par « L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament ».
Graves effets secondaires immédiats :
Très fortes nausées dès les premiers jours ; Vomissements importants et itératifs, qui m’épuisaient ; Perte très rapide de mes cheveux : perruque (puis complément capillaire) pendant quatre ans. Les médecins nient : Il est écrit avec indécence : « discrète chute de cheveux » ;
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Il est écrit avec une saisissante indécence « Chute saisonnière : printemps, août » !! ; Très grave hypotension associée à de l’hyperthermie. Malaises très fréquents à cause de l’hypotension. Grandes difficultés pour me lever de mon lit la nuit. Ce point est décisif. Le VIDAL dit :
« Manifestations d’hypersensibilité : hyperthermie associée le plus souvent à une hypotension. Nausées, vomissements. « Affection du système immunitaire : « Ces manifestations imposent l’arrêt immédiat et définitif du traitement ».
Graves infections ORL quasiment en permanence, dont plusieurs graves otites séreuses, bilatérales ayant entraîné une perte provisoire d’audition. Bronchites graves à répétition ; Cancer du sein lourdement opéré : mutilation totale et irréparable (février 2012).
Le pouvoir carcinogénique de l’azathioprine (molécule à la base de l’imurel) est affirmé par : - Le VIDAL : « Effets indésirables : tumeurs malignes » ; - Une vaste littérature scientifique, citée précisément par des experts.
97 consultations à l’hôpital de Bourges concomitamment à la prise de l’imurel ! Innombrables consultations chez le médecin généraliste ; 129 jours d’arrêt de maladie concomitamment à la prise de l’imurel dont 30 jours deux semaines après le début de la prise de ce « médicament » qui entraînait ma descente aux enfers de jour en jour : cet arrêt de maladie de 30 jours a été signé par le docteur Baudet… Trois graves tentatives de suicide (en 2014) car ma vie était et est insupportable.
7- Janvier 2013 : je commence à comprendre, ayant récupéré le stupéfiant dossier médical de médecine interne en octobre 2012. Début de l’organisation de l’omerta, de la production de faux en tous genres : que ce soit du fait de la direction de l’hôpital, des médecins, de l’expert judiciaire, de la Justice Administrative. Tentatives d’intimidation dès octobre 2013 (main courante au commissariat). Expertise judiciaire frauduleuse avec la complicité générale (01 septembre 2014). L’affaire ne doit sortir en aucun cas.
II- Explications.
Le docteur Aaron m’a reçue pour la première fois le 28 avril 2009 et a posé 5 diagnostics (Cf. Page 1 de ce résumé : I- 3). Il en rend compte dans un premier courrier (daté du 15 mai 2009) adressé à plusieurs médecins - mais pas à moi. Il prescrit hors Autorisation de Mise sur le Marché hors cadre réglementaire un médicament très toxique à la dose maximale, parait-il à ma « demande » : « A la demande de Madame Nikaise » est-il écrit. Ces gravissimes errances intellectuelles ne peuvent s’expliquer qu’ainsi : ce médecin spécialiste ayant fait quelque douze ans d’études, n’allait pas bien ce jour du 28 avril 2009. Surmenage ? Problèmes personnels ? Fatigue importante ?
1- Il est évident que le docteur Baudet (ophtalmologiste), que le docteur Labussière (médecin interniste), que le docteur Grunchec (mon ex médecin généraliste), et que le docteur Aaron luimême, ont compris très rapidement ces erreurs, que comprend immédiatement toute personne qui connaît les éléments mentionnés supra - ce qui n’était pas mon cas. 2- Les médecins comprennent d’autant plus que j’ai subi immédiatement de très graves effets secondaires, dont en particulier la spectaculaire chute de mes cheveux : effet secondaire noté en toutes lettres dans le VIDAL et par « L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament » ;
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3- Mais ils ont préféré se taire, et persévérer dans ce traitement qui me tuait, afin de se protéger mutuellement. Ces erreurs étaient si hallucinantes, qu’il était impossible de les avouer, d’où la persévérance à maintenir ce « médicament » toxique. 4- D’où le déni absolu à reconnaître la corrélation évidente, car notée en toutes lettres - en particulier dans le VIDAL, entre cette prescription et les douleurs insupportables que j’endurais, dont le cancer.
Ont été organisées depuis cette date et avec succès jusqu’à aujourd’hui du moins, l’omerta, et une vaste stratégie de dissimulation et de mensonges ; et ce avec l’appui complice de la justice administrative, puis de la justice pénale. Avec en plus : - La rédaction d’un rapport d’expertise grotesque (Décembre 2014) digne des médecins mis en scène par Molière…: Ainsi, pour justifier la qualité de son expertise, le docteur Cotineau - expert judiciaire - dit avoir mis à disposition « une large table quadrangulaire, des fauteuils confortables et des sanitaires ». Il dit ne pas s’être basé sur « la lettre » des ouvrages de médecine mais sur leur « esprit » (Courrier remis à la justice le 18 mars 2015) ; - La rédaction d’un rapport d’enquête totalement erroné (remis à la justice par le commissariat de Bourges en janvier 2016).
III- « Expertise » du 01 septembre 2014.
1- Une vaste escroquerie avec la complicité de tous ceux qui ont participé à cette « expertise » frauduleuse, qui m’a anéantie ; complicité y compris de la compagnie AXA représentée parait-il par le docteur Lerède (Médecin à Orléans - AXA étant l’assureur de l’hôpital de Bourges au moment des faits). Concernant ce docteur Lerède, il n’a pas en réalité été mandaté par AXA. Je prouverai les malversations d’AXA et l’abus de confiance dont j’ai été victime.
2- Il était impossible de dire la vérité : ce « médicament » a été prescrit le 05 mai 2009 de façon illégale pour traiter une très grave maladie auto-immune qui n’existait pas : une très grave forme de spondylarthrite ;
3- Il fallait a posteriori trouver une autre justification : d’où l’invention délirante d’une autre très lourde pathologie oculaire : une gravissime uvéite (affection oculaire) bilatérale me menaçant de « cécité », de « sacrifice du globe oculaire », et mettant en jeu mon « pronostic vital » !! Notés en toutes lettres dans l’expertise judiciaire (Remise à la « justice » le 10 décembre 2014).
« Rapport » judiciaire (rédigé par le docteur Cotineau) envoyé par mail en word…, quantité pléthorique de fautes de frappe…, éléments de correction en rouge (et notés sous les mots) propres aux fichiers word même pas supprimés… Ce document est scandaleux dans la forme. Et le caractère lourdement erroné et fallacieux du contenu a été démontré par cinq expertises rédigées par des médecins spécialistes de réputation nationale et internationale.
Pour résumer : - Prescription illégale faite au nom d’une pathologie imaginaire et justifiée a posteriori par une autre pathologie tout aussi imaginaire ; - Complicités multiples ; - Omerta judiciaire. Il est évident que l’affaire ne doit en aucun cas sortir de l’ombre. Et en aucun cas, je ne dois avoir droit à un débat contradictoire ni être entendue de façon loyale et honnête.
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