[ Apparemment, Kirby se rappelle de la « période glorieuse de la guerre du Viet Nam » durant laquelle, tous les jours, des sacs mortuaires rapatriaient les « boys » par dizaines, jusqu’à ce que l’Amérique accepte finalement sa défaite humiliante devant un pays pauvre et sous-développé. Il en est de même en Afghanistan. Il en sera de même en Irak et en Syrie. H.G.]
Maria Zakharova |
Au lieu de faire effondrer l’économie russe, les sanctions l’ont redue plus forte.
La Fédération vient d’ajouter maintenant 200 tonnes d'or à son stock déjà énorme. Les économistes de la Fédération préconisant maintenant la poursuite de ces sanctions occidentales pour au moins encore 5 ans, afin de renforcer encore plus l'économie russe.
NOTE
Obama envisage des options militaires contre la Russie
Des responsables américains indiquent que l'administration Obama commence à envisager des "réponses plus fermes" à l'offensive du régime syrien soutenu par la Russie contre Alep, y compris des "options militaires". Obama aurait-il perdu la tête ? Le fait est que la Russie poursuit ses opérations aériennes en Syrie en dépit des appels du secrétaire d'Etat américain, John Kerry, en faveur d'un arrêt des bombardements dans les zones de combat, y compris à Alep.
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En dépit des appels du secrétaire d'Etat américain, John Kerry ? Depuis quand John Kerry serait-il le décideur de ce que la Russie devrait faire, ou ne pas faire, en Syrie ? Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, précise quant à lui que la poursuite des opérations aériennes russes se justifient par une guerre contre la terreur (ce qui est une simple mesure de bon sens, n'en déplaise aux Américains). Dmitri Peskov appelle les Etats-Unis à tenir leur promesse de distinguer les rebelles modérés opposés au régime Assad et les terroristes.
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En cela, Dmitri Peskov est trop gentil, car il n'y a pas de rebelles modérés opposés au régime Assad. Tous les rebelles syriens sont des islamistes. Et aucun islamiste n'est modéré. Le porte-parole russe juge par ailleurs maladroite et inutile la remarque du porte-parole du département d'Etat américain, John Kirby, qui estime que la poursuite de la violence en Syrie favorise l'émergence d'extrémistes qui peuvent "lancer des attaques contre les intérêts russes", peut-être même "contre des villes russes".
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John Kirby aurait-il, lui aussi, perdu la tête ? Les Russes devraient-ils cesser d'intervenir en Syrie parce que des islamistes syriens vont "bombarder des villes russes" ?... Souhaitons un prompt rétablissement à John Kirby qui souffre visiblement d'un burn out. Malgré la tension croissante entre Moscou et Washington, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov affirme que la Russie demeure prête à coopérer avec les Etats-Unis pour résoudre la crise syrienne. Il est vraiment trop gentil Dmitri Peskov...
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Michel Garroté
Engrenage : les États-Unis envisagent désormais une confrontation directe avec la Russie
Par Pierrick Tillet le 30 septembre 2016, 11:46 - Le monde du Yéti
Selon le Wall Street Journal (WSJ), le gouvernement américain envisage désormais ouvertement de participer directement à la lutte contre l’armée syrienne et la Russie. Ce qui équivaudrait ni plus ni moins à une déclaration de guerre des USA à la Russie.
La CIA et ses alliés régionaux — Arabie saoudite et Turquie — seraient autorisés à fournir des armes d’artillerie lourdes, notamment des systèmes de missiles anti-aériens, aux “rebelles” pris d’assaut par l’armée régulière et l’aviation russe à Alep.
On sentait bien qu’il y avait anguille sous roche avec cette attaque “accidentelle” de l’aviation américaine contre des positions syriennes. Bien des questions troublantes demeuraient après l’affaire toujours non élucidée du convoi humanitaire incendié. Et on se demandait toujours comment des “rebelles” isolés pouvaient tenir tête aussi longtemps et aussi efficacement face à l’assaut conjugué d’une armée de terre reconstituée et d’une aviation ultra sophistiquée.
Une implication directe officiellement reconnue
Les choses ont maintenant le mérite d’être claires. Si les informations du WSJ sont exactes, la responsabilité de la CIA dans la coordination des milices “rebelles” en Syrie est désormais officiellement reconnue.
Or rappelons que les troupes “rebelles” sont essentiellement composées de milices islamiques (Al Nosra et Daech) et de mercenaires internationaux venus renverser le régime du président Bachar el-Assad. Le mythe des “rebelles modérés” n’est plus guère soutenu que par les médias occidentaux et quelques esprits égarés.
On se souviendra aussi qu’en droit international, une action militaire en territoire étranger n’est autorisée qu’avec le consentement du gouvernement légitime du pays concerné ou avec mandat de l’ONU. Si les Russes ont l’accord du gouvernement syrien, les États-Unis et leurs alliés n’ont ni l’un, ni l’autre.
Cette escalade est au moins révélatrice d’une évidence : Alep, voie de passage la plus directe entre la Méditerranée et la Mésopotamie, cruciale pour l’acheminement du pétrole et du gaz, est une place stratégique que l’Occident ne se résout pas à perdre, quitte à agir en violation du droit international, quitte à pactiser avec le diable et à faire courir à la planète toute entière les risques d’un embrasement généralisé. Quant aux prétextes pseudo-humanitaires de l’intervention occidentale dans la région, il y a belle lurette qu’ils ont fait long feu.
=> Source de mes infos : WSJ et DWN
Les USA menacent d’« attaques dans les villes russes ».
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Imaginons un instant Maria Zakharova, porte parole du Ministre des Affaires Etrangères de Russie, déclarer « Si les Etats-Unis continuent à soutenir les terroristes, ils pourraient subir des attaques dans les villes américaines ». Imaginez le tollé des Américains et de leurs roquets européens, imaginez les titres des médias occidentaux « La Russie menace d’attaquer les Etats-Unis », etc…
Eh bien lors de son point de presse quotidien du 28 septembre, John Kirby, porte-parole du Département d’Etat américain (State Department) a directement menacé la Russie d’attaques dans ses villes si la Russie ne cesse pas de soutenir le Président Assad.
Voici sa déclaration exacte: « The consequences are that the civil war will continue in Syria, that extremists and extremists groups will continue to exploit the vacuums that are there in Syria to expand their operations, which will include, no question, attacks against Russian interests, perhaps even Russian cities, and Russia will continue to send troops home in body bags, and they will continue to lose resources – even, perhaps, more aircraft. »
En français: « Les conséquences (de l’aide Russe, voir la totalité de sa déclaration ici) seront que la guerre civile continuera en Syrie, que les groupes extrémistes profiteront du chaos en Syrie pour étendre leurs opérations, ce qui impliquera des attaques contre les intérêts Russes, peut-être même les villes Russes. La Russie continuera à renvoyer ses troupes dans des sacs mortuaires et ils continueront de perdre leurs ressources matérielles, sans doute plus d’avions »
Le chantage américain est clair: Soit la Russie cesse de soutenir Assad soit…
On notera que dans le même temps les Etats-Unis « menacent » de cesser toute concertation avec la Russie concernant les opérations en Syrie, n’appréciant visiblement pas que leurs protégés, les fameux « terroristes modérés », soient en totale déroute grâce aux opérations conjointes de la Syrie et de ses deux seuls intervenants légitimes, la Russie et l’Iran.
Il est certain que la Russie ne répondra pas à cette menace autrement qu’en confirmant sur le terrain son soutien au gouvernement syrien, c’est à dire en poursuivant les opérations d’anéantissement de tous les groupes terroristes, y compris ceux soutenus par les Occidentaux. Et concernant les menaces directes d’attentats dans nos villes de Russie, les américains devraient tout de même faire preuve de prudence: Ce sont eux-mêmes qui ont annoncé il y a quelques semaines « savoir » que la Russie maintient un très grand nombre d’« agents dormants » aux Etats-Unis… Et ceci, ni Maria Zakharova ni aucun officiel Russe n’aura besoin de le dire.
Иван Михайлович Фраков
Mise à jour, 13h: Réaction du Kremlin aux « menaces de terrorisme en Russie »:
http://www.rbc.ru/politics/29/09/2016/57ece35f9a7947986df7a5c2
source: https://rusreinfo.ru/fr/2016/09/les-usa-menacent-d-attaques-dans-les-villes-russes/
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Washington vient de déclarer la guerre à la Russie »
Lauréat du prix Nobel de la paix, le président américain Barack Obama n’en poursuit pas moins fermement une politique d’interventions armées et de conflits à travers le monde, plus longueset plus intenses que tout autre président dans l’histoire récente des États-Unis. Et maintenant, il lance un ballon d’essai contre la Russie, sans prêter attention au fait que cela pourrait entraîner une guerre mondiale suivie rapidement d’un anéantissement nucléaire mutuel.
Comment comprendre autrement la déclaration faite par le porte-parole du département d’État américain, le contre-amiral John F. Kirby, si ce n’est comme une déclaration de guerre directe. La déclaration dit ceci :
Les conséquences seront que la guerre civile se poursuivra en Syrie, que les extrémistes et les groupes extrémistes continueront à exploiter les vides qui sont là, en Syrie, pour étendre leurs activités, qui comprendront, sans aucun doute, des attaques contre les intérêts russes, peut-être même les villes russes, et la Russie continuera à renvoyer ses troupes à la maison dans des sacs mortuaires, et elle continuera à perdre ses ressources – et même, peut-être, perdre encore plus d’avions…
Le même mode opératoire a été utilisé pendant un quart de siècle pour abattre l’Union soviétique. A la fin des années 1980, les États-Unis ont décidé qu’ils étaient en bonne position pour prendre l’empire du mal dans le piège afghan grâce à l’appui qu’eux-mêmes fournissaient aux terroristes armés qui se sont maintenant transformés en terroristes modérés, y compris al-Qaïda. Dans les années 1980, Washington a profité de la richesse saoudienne et des services secrets pakistanais. Voilà comment la soi-disant résistance afghane est née, bénéficiant du soutien logistique pakistanais et du flux de nouvelles recrues venant de tout le Moyen-Orient.
L’ancienne secrétaire d’État américaine et maintenant candidate à la présidentielle, Hillary Clinton, a ouvertement déclaré, en 2012, que de son point de vue c’était une bonne idée :
Lorsque l’Union soviétique a envahi l’Afghanistan, nous avons eu cette brillante idée d’aller au Pakistan et de créer une force de moudjahidines, de les équiper de missiles Stinger et tout le reste, pour aller se battre contre les Soviétiques en Afghanistan. Et nous avons réussi, les Soviétiques ont quitté l’Afghanistan, puis nous avons dit « Great! Goodbye», laissant ces gens formés et fanatiques en Afghanistan et au Pakistan, les laissant bien armés, à créer du désordre…
Ce qu’Hillary a oublié de mentionner, cependant, est le fait que le mouvement moudjahidin en Afghanistan était un terrain fertile pour les actifs d’al-Qaïda. Al-Qaïda était et est toujours contrôlée directement par la Central Intelligence Agency (CIA) afin d’entretenir un processus de déstabilisation du Moyen-Orient, fournissant aux entrepreneurs militaires étasuniens un prétexte pour envahir les États, les uns après les autres.
C’est ce même scénario que la Maison Blanche veut répéter maintenant en Syrie. Il n’est pas étonnant qu’elle ait permis le violent bombardement des soldats syriens le 17 septembre, car il a été fait dans le but d’épargner la vie des militants de Jabhat al-Nusra qui auraient eu du mal autrement à garder leurs positions. Il convient de rappeler qu’en septembre 2015, l’ancien chef de la CIA, David Petraeus, l’un des parrains de la guérilla étasunienne, a exhorté la Maison Blanche à combattre État islamique côte à côte avec Jabhat al-Nusra.
Après six années de guerre perpétuelle, le conflit en Syrie est loin d’être aussi civil que l’on veut nous le faire croire, c’est un conflit entièrement mené de l’extérieur, et non pas de l’intérieur. La Syrie est devenue une sorte de nœud gordien, un endroit où les intérêts de la Russie, de la Chine, de l’UE, de la Turquie, de l’Iran, de l’Arabie saoudite et des États-Unis ont été incroyablement embrouillés.
A ce stade, Washington est totalement incapable de discuter de tout règlement politique sérieux en Syrie, car il considère tout processus de paix dans ce pays déchiré par la guerre comme le signe avant-coureur de la présence permanente de Moscou, de Pékin et de Téhéran dans la région et de la mise en place de plusieursroutes de l’énergie qui donnerait à ces États l’influence et la richesse dans la région, pour l’avenir, et signifiera qu’il n’y aura pas de place à table pour les avides défenseurs de démocratie occidentaux.
Voilà pourquoi les États-Unis se sont opposés si vigoureusement à la publication des détails de l’accord de cessez-le-feu russo-américain et ont gardé la discussion sur l’accord aussi loin que possible de l’ONU, de peur qu’il puisse y avoir une résolution de l’ONU adoptée qui rendrait obligatoire de s’y conformer.
Voilà aussi pourquoi, tout en gardant à l’esprit son plan d’ensemble, Washington a utilisé le territoire syrien pour commencer la plus grande guerre indirecte de l’Histoire moderne, si elle continue sa transformation actuelle en une confrontation armée directe avec la Russie. Un total de 80 États se battent à la fois directement et indirectement en Syrie. Ce n’est pas un hasard si le 23 mai 2003, au lieu de rassembler les forces irakiennes en une seule grande unité, l’administration d’occupation américaine a dissous l’armée irakienne, créant ainsi les conditions préalables à la montée d’EI. En janvier 2012, au milieu de la guerre civile syrienne, la CIA a créé unebranche d’sl-Qaïda en Syrie – le fameux Jabhat al-Nusra. Ce n’est plus un secret que les militants de ce groupe terroriste, à différents moments, ont été soignés dans les hôpitaux turcs et israéliens – deux États satellites fidèles à Washington. Ces étapes ont été suivies par l’approbation de l’invasion de la Syrie par l’armée turque, qui a été lancée le 20 août dernier.
Pour créer les conditions préalables à un conflit armé ouvert avec la Russie, Washington a lancé une campagne massive de propagande, visant à discréditer Moscou sans arrêt. Il suffit de se rappeler le soi-disant scandale de dopage et desrévélations que le président ukrainien Petro Porochenko a fait de la présence présumée de plus de 30 000 soldats et des centaines de chars russes dans l’est de l’Ukraine. Et même si ces allégations sont ridicules et sans fondement, Washington les répète, comme s’il n’avait aucun moyen de suivre quelques centaines de tanks partout sur la surface de la Terre et de fournir des preuves irréfutables au public. Et encore, nous entendons ces accusations au sujet de l’implication présumée de Moscou dans la chute du Boeing de la Malaysian Airlines sur le Donbass et bien d’autres accusations. La liste continue. En regardant toutes ces étapes, on ne peut s’empêcher penser au génie de la propagande nazie – Joseph Goebbels – qui conquit la perception du public par la répétition continue de mensonges pourtant transparents, même le jour de l’invasion de la Russie par les nazis.
Martin Berger
Article original publié sur New Eastern Outlook
La Chine recommande à ses citoyens de se préparer pour la Troisième Guerre Mondiale
L’info est tout à fait correcte, je l’ai donné il y a un mois environs, Pékin avait appellé ses citoyens à se préparer à une guerre en mer :
Sur fond de litige territorial qui l’oppose à d’autres Etats asiatiques, la Chine fait face à des problèmes de sécurité nationale qui lui font prêter le flanc à une menace potentielle à sa souveraineté.
Les Chinois devraient se préparer à une guerre en mer afin de protéger la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays, a déclaré le ministre chinois de la Défense Chang Wanquan, lors de l’inspection des zones côtières dans l’est de la Chine.
Il a également souligné les graves problèmes de sécurité nationale, notamment en mer, qui persistent actuellement.
« L’armée, la police et le peule doivent être prêts à se mobiliser pour protéger la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays », a martelé le ministre de la Défense.
La Cour suprême Chinoise a publié un règlement exhortant le pays à prendre toutes les mesures nécessaires disponibles pour protéger ses eaux territoriales.
A ne pas prendre à la légère, dernièrement (Risque de WW3 – Les US activent leur programme de bouclier anti-missiles contre les Chinois aussi) la tension est encore montée avec l’activation du bouclier antimissiles Sud coréen :
Je l’ai rapporté hier, les US ont activé leur bouclier antimissiles à la frontière Russe, (en fait ils l’avaient déjà fait au printemps) . Mais également contre les Chinois, qui sont aussi désormais visés par le système américain de missiles anti-balistiques THAAD . Ce qui nous rapproche dangereusement d’une escalade sans retour vers WW3 .
Comme s’il ne suffisait pas que le Secrétaire américain à la Défense, Ash Carter, et ses généraux jouent le rôle de la poule mouillée, version thermonucléaire, en provoquant la Russie par l’intermédiaire de l’Ukraine, l’Otan se livre maintenant à des exercices militaires aux frontières de la Russie, et vient de lancer, de façon très provocatrice, son programme de bouclier anti-missiles dans l’arrière-cour de la Russie. Ces derniers mois, Obama s’est lui aussi clairement livré à une escalade des tensions dans les eaux qui bordent la Chine, en mer de Chine orientale avec l’aide du Japon, et en mer de Chine méridionale avec l’aide des Philippines ; ces tensions pourraient dégénérer en catastrophe.
Selon le Global China Times , l’affirmation par certains experts des États-Unis que leur pays va vaincre la Chine, si les deux pays se livrent à un conflit militaire, est complètement fausse. The Times affirme que la Chine peut se vanter d’une armée forte de 2,3 millions d’hommes, ajoutant que la Chine ne voudrait pas déclencher un conflit militaire avec les États-Unis, à moins que les États-Unis ne montre une provocation extrême dans la zone contestée.
Il y a un vrai risque que ça dégénère, en tous cas les chinois sont avertis, et ils se préparent.
Petit rappel et précisions :
Cela fait plusieurs mois que certaines personnes essayent de prévenir de ce qu’il se passe actuellement, mais maintenant il semble que nous ayons la confirmation. Le ministre chinois de la Défense, Chang Wanquan, a mis en garde ses citoyens de se préparer pour la 3e guerre mondiale qui est à venir.
La Chine a promis de prendre des mesures pour défier la décision du 12 juillet par la Cour permanente d’arbitrage et pour protéger sa souveraineté. Il a été rapporté que dans un monde post-Brexit, la Chine et la Russie deviendront des super puissances du monde.
Les médias d’État de la Chine ont été inondés de déchaînements au sujet de leurs forces armées et de la souveraineté. Le Global Times chinois est allé jusqu’à contester directement l’Australie, en disant : « Si l’Australie entre dans les eaux de la mer de Chine du Sud, elle sera une cible idéale pour que la Chine avertisse et frappe. »
Sur Weibo, un site réglementé par l’État, Lian Fang, professeur au National Defense University a déclaré que :« L’armée chinoise va s’intensifier et la Chine ne se soumettra jamais à un pays sur les questions de souveraineté », rapporte Reuters.
Wanquan aurait fait la déclaration lors de l’inspection des installations militaires dans la province côtière orientale de la Chine du Zhejiang. Le ministre de la Défense a déclaré que le public chinois devrait être éduqué sur les questions de défense nationale parce que la souveraineté du pays et son intégrité territoriale sont en dangers.
Wanquan a également mis en garde contre les menaces de sécurité en mer, et la nécessité de reconnaître la gravité du risque pour la sécurité nationale de la Chine. Il a en outre chargé l’appareil de sécurité du pays, y compris le secteur militaire, de la police, ainsi que les citoyens pour se préparer à la mobilisation afin de défendre leur souveraineté nationale et l’intégrité territoriale.
Les commentateurs croient également que la Chine a une forte conviction que les États-Unis ont incité les Philippines à contester la mer de Chine méridionale afin que les États-Unis puissent tirer profit et exploiter la région à son profit.
The Free Thought Project confirme que des centaines de navires et sous-marins des trois flottes de l’Armée populaire de libération de la Chine ont entrepris de vastes exercices de munitions en direct dans l’Est, les Mers du Nord et du Sud du pays comme une démonstration de capacités offensives et défensives.
Une guerre entre la Chine et ses voisins a également la possibilité dangereuse de diviser le monde. Les USA viendront sans aucun doute à l’aide de ses alliés, et la Chine et la Russie ont augmenté les liens militaires qui pourraient compliquer davantage le scénario.