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la guerre -Syrie -la plus colossale plaque de réserve de gaz du mond

La Syrie se trouve sur la plus colossale plaque de réserve de gaz du monde, d’où la guerre !

mercredi 4 mars 2015, par visiteur (Date de rédaction antérieure : 20 juillet 2012).

Refondation énergétique du Moyen-orient : la plaque tectonique syrienne

http://www.legrandsoir.info/refonda…

Par Chems Eddine CHITOUR le 14 juillet 2012

« Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent. » - Jean-Paul Sartre (extrait du livre Le Diable et le Bon Dieu)

Un conflit qui dure depuis seize mois et qui aurait fait des milliers de morts selon une comptabilité tenue soigneusement par les médias des pays occidentaux qui attribuent insidieusement les morts uniquement au régime de Damas et non aussi aux insurgés armés lourdement par les Occidentaux avec l’argent des roitelets du Golfe. Les chrétiens ont peur de servir de variables d’ajustement d’un conflit qui les dépasse. Ce conflit, un siècle après les accords de Sykes-Picot, met en jeu les mêmes acteurs avec en plus, les Etats-Unis, la Russie et la Chine et…Israël. Les dépouilles sont toujours les mêmes, les dirigeants arabes faibles, lâches qui continuent à s’étriper pour le plus grand bien de l’Empire et de ses vassaux. Avec cette fois-ci, un coup d’arrêt à la tentation d’Empire, de la part de puissances asiatiques qui s’affirment.

Que se passe t-il réellement, et pourquoi Assad ne tombe pas malgré les communiqués triomphalistes présentant des personnalités qui ont lâché le pouvoir, le général Tlass, l’ambassadeur de Syrie en Irak qui s’enfuit au Qatar… Un autre round de négociations sur le règlement pacifique en Syrie s’est tenu dernièrement à Moscou. Cette fois, le ministère des Affaires étrangères de Russie a invité le président du Conseil national syrien (CNS) Abdel Basset Sayda. Mais il n’y a pas eu de rapprochement de positions. D’autre part, l’émissaire international Kofi Annan, qui poursuit sa tournée en Iran, a rencontré Bachar el-Assad en Syrie pour tenter de trouver une issue au conflit dans le pays. Il a annoncé lundi 9 juillet 2012 être tombé d’accord avec le président Bachar el-Assad sur une « approche » qu’il soumettra aux rebelles syriens.

La diabolisation des médias occidentaux

Et si la version matraquée tous les jours par les médias français n’était pas la bonne ? C’est en tout cas l’avis du politologue Gérard Chalian, sur le plateau de « C dans l’air » du 14 juin 2012, sur France 5 : ce qu’il dit c’est que ce n’est pas uniquement un méchant contre des gentils et que la volonté d’intervention et les hésitations des Occidentaux ne sont pas forcément liées à des sentiments purement humanistes. Il dit qu’une intervention impliquerait beaucoup de conséquences géopolitiques. Pour lui, ce qui se passe en Syrie est avant tout une affaire politique et non humanitaire. C’est en fait, l’exacerbation du conflit artificiel sunnite/chiite avec d’un côté pour les sunnites l’Arabie Saoudite, le Qatar, l’Union européenne, les Etats-Unis et Israël et de l’autre, les chiites, c’est-à-dire les Alaouites aidés par l’Iran. Le but de la manipulation est de casser l’Iran et de réduire le Hezbollah.

Nous verrons qu’il existe aussi l’argument énergétique. Le témoignage d’une Française, épouse d’un Franco-Syrien, qui a séjourné en Syrie du 19 mai au 12 juin 2012, est édifiant : « Alors que ce pays offrait une totale sécurité, les "Amis de la Syrie" y ont semé la violence. À Alep, des bandes armées ont fait leur apparition dans le 2e semestre 2011 : kidnapping, demandes de rançons… Une mafia très lucrative. Nous avons eu connaissance de nombreux récits d’enlèvements à toute heure et à tout endroit à Alep à un rythme quasi quotidien. Les enfants ont pris l’habitude de téléphoner à leurs parents dès leur arrivée et départ de l’école. Les militaires et policiers sont les cibles privilégiées pour ceux qui sont payés pour tuer. Ainsi, un commandant de 35 ans a été abattu de 2 balles dans la tête un matin à 8h30 alors qu’il achetait du pain. Les commerçants ferment sur ordre d’hommes armés qui menacent de brûler leur boutique. Ainsi, le 2 juin, à la Médine (anciens souks) tout était fermé. Les médias français parlent alors de grève générale anti-régime. Lors de manifestations pro-Bachar, des hommes armés s’infiltrent et se mettent à tirer dès que la foule est dense. Ceci est filmé et envoyé aux chaînes de télévision. Le pouvoir conseille de ne pas faire de manifestations de soutien pour éviter ces tueries. La population, qui est confrontée aux kidnappings, bombes, asphyxie des commerces, connaît des difficultés d’approvisionnement en fuel, essence et gaz. Il n’y a pas pénurie en Syrie, mais les véhicules de transport sont attaqués et brûlés sur les routes. (1)

« Pour ceux qui, à l’étranger, souhaitent apporter leur aide, il est impossible de virer de l’argent et impossible d’en retirer sur place (d’un compte en France par exemple). À Damas, tout semble comme avant, vie diurne et nocturne, malgré la menace des bombes. Cependant, beaucoup d’hôtels ont fermé, le tourisme est inexistant. À Homs, un seul quartier reste occupé par les rebelles. Les habitants se sont réfugiés dans les villages alentour chez la famille ou des amis. Sur les grands axes routiers, l’ASL effectue des contrôles et abat sur le champ un militaire présent. (…) Il n’y a pas de guerre civile en Syrie, les communautés continuent de vivre en harmonie. Il y a des actes de barbarie et de violence de la part de mercenaires et de l’ASL contre des minorités pour provoquer une guerre civile. (…) Monsieur Sarkozy a en son temps exprimé au patriarche maronite venu le rencontrer que les chrétiens d’Orient devaient laisser leur pays aux musulmans et que leur avenir était en Europe. L’Occident applique en Syrie le même scénario qu’en Irak et en Libye. (…) L’opposition en Syrie participe de façon légale au changement. Les gens sont écoeurés par le manque d’objectivité des médias français. La seule source, l’Osdh, basée à Londres, est animée par un Frère musulman, payé par les services secrets britanniques. » (1)

L’argument énergétique

Le professeur Imad Fawzi Shueibi analyse les causes et les conséquences de la récente position de la Russie au Conseil de Sécurité de l’ONU. Le soutien de Moscou à Damas n’est pas une posture héritée de la Guerre froide, mais le résultat d’une analyse en profondeur de l’évolution des rapports de force mondiaux. La crise actuelle va cristalliser une nouvelle configuration internationale, qui d’un modèle unipolaire issu de la chute de l’Union Soviétique, va évoluer progressivement vers un autre type de système qui reste à définir. Inévitablement, cette transition va plonger le monde dans une période de turbulences géopolitiques. L’attaque médiatique et militaire à l’encontre de la Syrie est directement liée à la compétition mondiale pour l’énergie, ainsi que l’explique le professeur Imad Shuebi : la Syrie, centre de la guerre du gaz au Proche-Orient. C’est ainsi que Imad Fawzi Shueibi analyse la situation actuelle. Il écrit : L’attaque médiatique et militaire à l’encontre de la Syrie est directement liée à la compétition mondiale pour l’énergie, ainsi que l’explique le professeur Imad Shuebi. (2)

« Avec la chute de l’Union soviétique, les Russes ont réalisé que la course à l’armement les avait épuisés, surtout en l’absence des approvisionnements d’énergie nécessaires à tout pays industrialisé. Au contraire, les USA avaient pu se développer et décider de la politique internationale sans trop de difficultés grâce à leur présence dans les zones pétrolières depuis des décennies. C’est la raison pour laquelle les Russes décidèrent à leur tour de se positionner sur les sources d’énergie, aussi bien pétrole que gaz. (…) Moscou misa sur le gaz, sa production, son transport et sa commercialisation à grande échelle. Le coup d’envoi fut donné en 1995, lorsque Vladimir Poutine mit en place la stratégie de Gazprom. (…) Il est certain que les projets Nord Stream et South Stream témoigneront devant l’Histoire du mérite et des efforts de Vladimir Poutine pour ramener la Russie dans l’arène internationale et peser sur l’économie européenne puisqu’elle dépendra, durant des décennies à venir, du gaz comme alternative ou complément du pétrole, avec cependant, une nette priorité pour le gaz. À partir de là, il devenait urgent pour Washington de créer le projet concurrent Nabucco, pour rivaliser avec les projets russes et espérer jouer un rôle dans ce qui va déterminer la stratégie et la politique pour les cent prochaines années. Le fait est que le gaz sera la principale source d’énergie du XXIe siècle, à la fois comme alternative à la baisse des réserves mondiales de pétrole, et comme source d’énergie propre.(…) Moscou s’est hâté de travailler sur deux axes stratégiques : le premier est la mise en place d’un projet sino-russe à long terme s’appuyant sur la croissance économique du Bloc de Shanghai ; le deuxième visant à contrôler les ressources de gaz. C’est ainsi que furent jetées les bases des projets South Stream et Nord Stream, faisant face au projet américain Nabucco, soutenu par l’Union européenne, qui visait le gaz de la mer Noire et de l’Azerbaïdjan. S’ensuivit entre ces deux initiatives une course stratégique pour le contrôle de l’Europe et des ressources en gaz.

« Le projet Nord Stream relie directement la Russie à l’Allemagne en passant à travers la mer Baltique jusqu’à Weinberg et Sassnitz, sans passer par la Biélorussie. Le projet South Stream commence en Russie, passe à travers la mer Noire jusqu’à la Bulgarie et se divise entre la Grèce et le sud de l’Italie d’une part, et la Hongrie et l’Autriche d’autre part. (2)

« Pour les États-Unis, poursuit le professeur Imad, le projet Nabucco part d’Asie centrale et des environs de la mer Noire, passe par la Turquie et devait à l’origine passer en Grèce, mais cette idée avait été abandonnée sous la pression turque. Ce projet, écrit le professeur Imad, bat de l’aile. À partir de là, écrit-il, la bataille du gaz a tourné en faveur du projet russe. En juillet 2011, l’Iran a signé divers accords concernant le transport de son gaz via l’Irak et la Syrie. Par conséquent, c’est désormais la Syrie qui devient le principal centre de stockage et de production, en liaison avec les réserves du Liban. C’est alors un tout nouvel espace géographique, stratégique et énergétique qui s’ouvre, comprenant l’Iran, l’Irak, la Syrie et le Liban. Les entraves que ce projet subit depuis plus d’un an donnent un aperçu du niveau d’intensité de la lutte qui se joue pour le contrôle de la Syrie et du Liban. Elles éclairent du même coup le rôle joué par la France, qui considère la Méditerranée orientale comme sa zone d’influence historique, devant éternellement servir ses intérêts, et où il lui faut rattraper son absence depuis la Seconde Guerre mondiale. En d’autres termes, la France veut jouer un rôle dans le monde du gaz où elle a acquis en quelque sorte une "assurance maladie" en Libye et veut désormais une "assurance-vie" à travers la Syrie et le Liban. (…) L’empressement de la coalition Otan-Etats-Unis-France à mettre fin aux obstacles qui s’élevaient contre ses intérêts gaziers au Proche-Orient, en particulier en Syrie et au Liban, réside dans le fait qu’il est nécessaire de s’assurer la stabilité et la bienveillance de l’environnement lorsqu’il est question d’infrastructures et d’investissement gaziers. La réponse syrienne fût de signer un contrat pour transférer vers son territoire le gaz iranien en passant par l’Irak. Ainsi, c’est bien sur le gaz syrien et libanais que se focalise la bataille, alimentera-t-il. (2)

« De plus, poursuit le professeur Imad, la coopération sino-russe dans le domaine énergétique est le moteur du partenariat stratégique entre les deux géants. Il s’agit, selon les experts, de la "base" de leur double veto réitéré en faveur de la Syrie. Parallèlement, Moscou affiche sa souplesse concernant le prix du gaz, sous réserve d’être autorisé à accéder au très profitable marché intérieur chinois. (…) En conséquence, les préoccupations des deux pays se croisent au moment où Washington relance sa stratégie en Asie centrale, c’est-à-dire, sur la Route de la soie. (…) Cet aperçu des mécanismes de la lutte internationale actuelle permet de se faire une idée du processus de formation du nouvel ordre international, fondé sur la lutte pour la suprématie militaire et dont la clé de voûte est l’énergie, et en premier lieu le gaz. La "révolution syrienne" est un paravent médiatique masquant l’intervention militaire occidentale à la conquête du gaz. Quand Israël a entrepris l’extraction de pétrole et de gaz à partir de 2009, il était clair que le Bassin méditerranéen était entré dans le jeu et que, soit la Syrie serait attaquée, soit toute la région pourrait bénéficier de la paix, puisque le XXIe siècle est supposé être celui de l’énergie propre. Selon le Washington Institute for Near East Policy (Winep, le think tank de l’AIPAC, [le Lobby sioniste américain]), le Bassin méditerranéen renferme les plus grandes réserves de gaz et c’est en Syrie qu’il y aurait les plus importantes. La révélation du secret du gaz syrien fait prendre conscience de l’énormité de l’enjeu à son sujet. Qui contrôle la Syrie pourrait contrôler le Proche-Orient. » (2)

L’argument religieux : sunnite versus chiite

« Un autre argument de basse intensité est le conflit artificiel sunnite-chiite. Le conflit en Syrie est devenu, écrit Bernard Haykel, spécialiste du Moyen-Orient à l’université Princeton, une guerre par procuration entre Riyadh et Téhéran. Pendant de longues années, le salafisme a été le vecteur d’influence de l’Arabie Saoudite. Mais cette doctrine a créé des monstres, notamment Al-Qaîda, qui se sont retournés contre le régime des Al Saoud. Aujourd’hui, l’anti-chiisme et le discours contre l’Iran sont utilisés par la monarchie pour que les Saoudiens, à 90% sunnites, fassent bloc derrière le régime. Cela pourrait devenir aussi la nouvelle base des relations avec les États-Unis. Il a montré comment le régime saoudien tente de tirer son épingle du jeu dans le grand chambardement du printemps arabe. (3)

« Mais c’est la Syrie qui est au centre de l’attention de l’Arabie Saoudite. Le roi s’est prononcé contre le régime de Bachar Al-Assad. Il a rappelé son ambassadeur à Damas. Les Saoudiens estiment que l’Iran est aujourd’hui une menace réelle pour leur pays. Ils jugent que si Bachar Al-Assad est renversé, ce sera un revers important pour l’influence de l’Iran dans la région. Il y a donc un flot d’argent saoudien qui vise à radicaliser les sunnites syriens, comme en 2006-2007 au Liban quand il s’agissait de radicaliser les sunnites locaux contre le Hezbollah. Riyadh ne considère plus qu’un changement dans la région soit mauvais. "Enfin, elle tente de promouvoir cette approche à Washington." L’Arabie Saoudite est sous protection militaire des Etats-Unis », conclut Bernard Haykel. « Ces deux pays entretiennent aussi des relations commerciales fortes, dominées par les hydrocarbures et les ventes d’armes. » (3)

Le résultat de cette anomie

Quels sont les perdants et quels sont les gagnants ? Le grand perdant est d’abord et avant tout le peuple syrien qui paie le prix fort d’une guerre qui le dépasse. Il devient clair que la clé de la réussite économique et de la domination politique réside principalement dans le contrôle de l’énergie du XXIe siècle : le gaz. C’est parce qu’elle se trouve au coeur de la plus colossale réserve de gaz de la planète que la Syrie est sur une plaque tectonique énergétique. Une nouvelle ère commence, celle des guerres de l’énergie. Le grand gagnant dans tous les cas est Israël qui réussit — sans y participer — à affaiblir ses adversaires, l’Iran, les pays arabes qui ne comptent plus et le Hezbollah. On l’aura compris, la paix en Syrie n’est pas pour demain. Hélas !

Chems Eddine Chitour

NOTES :

1. http://www.afrique-asie.fr/nous-ecr…

2. Imad Fawzi http://www.voltairenet.org/article174022.html
8 mai 2012

3. Bernard Haykel : Le conflit en Syrie est devenu une guerre par procuration entre Riyadh et Téhéran. Conférence École des Hautes études en sciences sociales, Paris, mardi 22 mai 2012

L’OTAN reconnaît que 70% des Syriens soutiennent Bachar el-Assad :

http://mai68.org/spip/spip.php?article5314

Syrie - 31 aout 2013 - les ’rebelles’ admettent leur responsabilité dans le massacre chimique

Des "rebelles" ont déclaré à un reporter d’Associated Press avoir commis une erreur dans la manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie saoudite, ce qui a causé un accident.

Déclaration d’une femme rebelle : « Les Saoudiens ne nous ont pas dit de quel type d’armes il s’agissait ou comment les utiliser. Nous ne savions pas qu’il s’agissait d’armes chimiques. Nous n’aurions jamais imaginé qu’il pouvait s’agir d’armes chimiques. »

Voici trois articles dont un en français, et deux en anglais qui citent diverses sources. Celui en français reprend les articles en anglais :

http://mai68.org/spip/spip.php?article5808

25 Messages de forum

  • Il est certain que l’enjeu stratégique majeur de tout ce qui se passe en Orient sont ces nouvelles "routes de la soie" c’est à dire les oléoducs et les gazoducs qui sillonnent et/ou doivent sillonner le continent eurasiatique. Il est vrai que la Syrie se trouve à un carrefour de ces voies du commerce internaional.

    Mais la Syrie constitue aussi un double verrou stratégique, au sens classique du terme, selon deux lignes : celle de l’Euphrate à l’Est et celle de l’Oronte et la trouée de Homs à l’Ouest. Entre ces deux lignes, la zone tampon du désert de Syrie. Ces lignes séparent l’Eurasie de l’Euroméditerranée.

    Si la Syrie tombe entre les mains de Téhéran-Moscou, c’est une vision Eurasie qui prédomine, la Méditerranée devient un des lacs intérieurs de l’immense continent, commandée à partir d’une des capitales de l’Orient.

    Si la Syrie ne tombe pas entre les mains de Téhéran-Moscou, c’est l’Euroméditerranée qui prédomine et la Méditerranée demeure une mer ouverte commandée à partir de l’Europe.

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    • nous devons soutenir la r.s.s pour a faible c’est criminel americaine qui vie sur nos sang chaque jour la france l’angletterre isral cherche a demontre leur cle mondiaux sur les faible . moi toi l’autre perssonne ne d’accort avec se clan qui nous tromper chaque joure si la siry a une clauchal de reseve se leur intere . pas ce que ce tourver sur leur sol ce pas un siryenne qui a mi sa ni toi noi moi se dieu . alors le monde doit comprende cela pour soutenir se fidel pays . si aujour d’hui la siry est attaque lpar la soutient de la france ou les cruminelle americaine se vous les journaliste qui sont ressponsable de tout mai hinsallaha nous lmes vincrons .

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  • Jai enormement aime cette analyse qui me semble etre tres fiable.Il demeure a present de savoir qui va l’emporter, des bons ou des mauvais, selon l’optique sous laquelle on voit ce conflit. A priori, je pencherais, a moyen terme, pour les Syriens Sunnites qui representent l’immense majorite de la population du pays. N’empeche que les choses peuvent changer si l’extreme radicalisme sunnite en arrivait a faire peur aux Sunnites moderes, et il y en a certes beaucoup. A mon avis, considerer les geopolitiques mondiales et les enjeux economiques c’est faire preuve de realisme, mais il ne faudrait pas non plus oublier que le citoyen Syrien moyen, a l’instar de ses confreres en Egypte, en Tunisie, en Libye et au Yemen, en a marre d’etre traite par le Baath au pouvoir comme une quantitee negligable, comme ce fut le cas durant les 40 dernieres annees.Attendons voir comment tout va se terminer.

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  • Que de mots, que de mots ! Approche énergétique comme si La Syrie n’était pas d’inspiration capitaliste qui aurait trouvé un arrangement allant dans l’intérêt de l’Occident sur l’exemple de l’Algérie ou du Nigeria. Arguments géopolitiques ou religieux mais pas un mot sur le Golan pourtant premier but de cette guerre faite à la Syrie. Comme par hasard, impasse sur l’accueil par Sarkozy en grande pompe de Assad quelques jours avant la visite de Perez venu mandater Paris d’intervenir auprès du président syrien pour le prier de céder le stratégique plateau. Une même démarche a été tentée par la Turquie. Devant le niet de Assad, quelques mois plus tard, a commencé la guerre anti-syrienne. L’oublier c’est oublier le motif essentiel de cette agression et faire de la désinformation même si c’est à son corps défendant. Il y a aussi le refus d’inscrire la guerre anti-syrienne dans le cadre de la destruction de l’Irak, la Lybie, la déstabilisation de l’Égypte, tout cela pour le grand confort d’Israël

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    • Bien d’accord avec vous globalement.Aussi, il faut parler du rôle destructif du petit qatar ? il (roi) s’est effacé ou bien ils l’ont effacé pour "conduite dangereuse" sur une route stratégique. Se faire remplacer par son fils est pourtant une technique syrienne, mais dangereuse si elle est mal maîtrisée. Les dégâts sont énormes ( Egypte, Libye, Algérie/son frère ……etc).La Syrie depuis 1973 n’a plus inquiété israel ……

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  • GUERRE À LA GUERRE - Rassemblement demain Jeudi 29 août 2013 Chatelet contre l’attaque sur la Syrie

    Rendez-vous Jeudi 29 Août à 18h30
    Fontaine des innocents
    (Métro : Châtelet-les-Halles Sortie Pierre Lescot
    ou Châtelet Sortie Place de Navarre)

    http://mai68.org/spip/spip.php?article5786

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  • No War on Syria ! France is Leading you Astray.

    International military intervention in Syria means supporting the terrorists of AL QAIDA and contributing to the flourishing of terror in the MENA region. Any military intervention would be definitely impopular ; it would also create a real risk of a boomrang effect once international fundementalist groups seize the power in Syria. War on Syria would undoubtedly increase the feeling of hostility towards the interfering countries.

    It would be a big mistake to do so. In order to avoid global chaos and unpredictable consequences in the area, nothing but a political solution could sort out the Syrian problem. France, UK, and USA are so blinded by their will to weaken Iran, Hezbollah and Russia to the point of taking the risk of bringing nails to their coffins, at least in the area. The use of chemicals has not been proven yet by UN and seems more of a lure than anything else. No lies and NO WAR ON Syria ! France is leading you astray. Beware of global chaos !

    A recent study has demonstrated that a huge layer of gas does exist in Syria. It is more than clear that any international presence would be to loot the natural resources of the country : http://mai68.org/spip/spip.php?arti…

    NO WAR ON Syria ! France is leading you astray. Beware of global chaos ! http://othelloettounsi.canalblog.co… http://othelloettounsi.canalblog.com/

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  • c’est un copié collé de l’article paru sur le réseau Voltaire par Imad Fawzi Shueibi. leRÉSEAU VOLTAIRE | DAMAS (SYRIE) | 8 MAI 2012

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  • Arrêtez avec l’argument gazier ! Vous faites le jeu des commanditaires de cette guerre de destruction et de morts, continuation de ce qui est arrivé à l’Irak et la Libye. L’objectif premier est le Golan qu’on passe sous silence et qu’Israël considère vital à sa sécurité. Ensuite la destruction et la guerre civile dans un pays frontalier, troisièmement affaiblir le Hezbollah sinon l’anéantir en ayant recours aux milices djihadistes, enfin neutraliser un allié de l’Iran. En ce qui concerne le gaz, la Syrie n’est pas socialiste à ce que je sache et Assad aurait été heureux de faire comme l’Algérie et se positionner sur le marché gazier mondial dominé par l’impérialisme américain.

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    • Salut Hassinus,

      Israël n’est que l’armée moyen-orientale de l’impérialisme américain.

      Et si les dirigeants occidentaux veulent faire toute cette stratégie militaire, favoriser Israël, détruire le Hezbollah, etc. C’est pourquoi, sinon pour le Gaz ?

      « La politique est un prolongement de la lutte économique ; et la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. »
      Karl von Clauswitz

      Je ne sais pas si Assad est "socialiste" ou pas, mais son père était allié à l’URSS, et son pays, la Syrie, fonctionnait un peu comme en Allemagne de l’Est. Et c’est justement quand, en 2005, le fils a voulu suivre un peu la mode des privatisations qu’il y a eu une contestation sur laquelle s’est appuyée l’impérialisme américano-sioniste pour essayer de détruire la Syrie antisioniste de Bachar el-Assad.

      Et le fils Assad, Bachar, reste allié à la Russie, et pas à l’impérialisme USraélien !

      Par ailleurs, la Syrie antisioniste de Bachar el-Assad est la colonne vertébrale du Hezbollah, comme dit si bien Hassan Nasrallah. Si elle disparaît, le Hezbollah disparaîtra avec !

      Comme Marx, je suis matérialiste ; et, donc, je recherche toujours les raisons économiques. Car les raisons idéologiques ne sont qu’un justificatif, auprès des masses, des guerres menées pour l’économie.

      Cette guerre contre la Syrie antisioniste est menée évidemment à des buts économiques. Les hydrocarbures sont le carburant de cette guerre !

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

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      • Vous mélangez tout et la citation marxiste n’explique rien. Le monde capitaliste assis sur l’économie usurière apour premier objectif la défense de la survie d’Israël, et ne recule devant aucune guerre pour assurer le confort de l’Etat hébreux. C’est un objectif à court terme qui passe avant les intérêts économiques nationaux de chaque pays capitaliste. Les gouvernements des USA de la France ou de l’Angleterre jouent clairement contre l’intérêt de leur peuple dans leur volonté de répondre aux objectifs sécuritaires d’Israël. Ainsi la France refuse de vendre des voitures à l’Iran. Vous aussi vous ne parlez pas du Golan comme s’il ne comptait que pour des prunes.Or c’est le motif premier de cette guerre. C’est parce que Assad, invité de Sarkozy a refusé de le céder comme le demandait le Président israélien, venu à paris, une semaine avant Assad que celui-ci a été considéré ennemi public numéro 1. Le gaz ou le pétrole là où ils se trouvent appartiennent aux USA par les mécanismes du marché. Pourquoi faire une guerre pour ce que vous obtenez sans lever le petit doigt. Il suffit de voir ce qui se passe en Irak occupé, le pétrole a vu sa production énormément baisser. Israël, enfant capricieux et exigeant, tant chéri par l’Occident, est dans ses exigence comme une parenthèse dans la marche du monde dont il bouleverse la logique économique et fonctionne comme le catalyseur de l’écroulement de l’Occident capitaliste.

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        • Tu es un idéologue !

          La seule chose que tu voies, c’est : Israël ! Israël ! Israël ! Israël !

          Un jour, tu comprendras qu’Israël n’est qu’un instrument au service de l’impérialisme occidental. Un instrument que l’Occident est peut-être déjà en train de laisser tomber ! Penser qu’Israël dirige le monde est une erreur grave. Une obsession ! Et parfois même une maladie mentale : Israël ! Israël ! Israël ! Israël !

          Quant à ton Golan, il fait déjà, et depuis longtemps, partie des territoires volés par Israël ! Et, jusqu’à cette guerre qui n’a pas été provoquée par Bachar, celui-ci n’a jamais eu les moyens de contrer l’occupation du Golan par Israël ; alors, je ne vois pas bien quoi Bachar aurait pu céder face à Sarkozy à ce sujet !

          Ce que Sarkozy demandait à Bachar, c’était d’abandonner le Hezbollah à son sort et de passer dans le camp occidental. Bien sûr Bachar n’a pas trahi.

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          • Comme je ne crois pas à la psychanalyse, je vais de ce pas consulter un psychiatre. Au lieu de réponde aux arguments, tu recours aux décrets et à l’insulte. Je ne vois qu’Israël parce qu’il se dresse telle une montagne. Tant-pis pour ceux qui ne veulent pas voir. Le sionisme recherche la domination du monde et sa théorie du "Peuple élu sert d’idéologie aux capitalisme usurier. Ce sont des faits. Quant au Golan Israël veut se l’annexer définitivement et "légalement " pour en finir avec les multiples condamnations de l’ONU. Il est le premier faiseur de guerre. Aujourd’hui même, en Israël, Hollande condamne la prolifération nucléaire et le fait dans un Etat qui possède l’arme nucléaire gracieusement donnée il est vrai par les socialistes français. Suis-je un idéologue…. Beaucoup moins que toi qui cherche à noyer le poisson ! Salutations idéologiques

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            • Tu confirmes ma réponse en disant « Je ne vois qu’Israël » ! et, le fait que tu dises pour quelle "raison" tu ne vois qu’Israël n’amoindrit en rien cette confirmation.

              Quand tu parles du "capitalisme usurier", cela semble signifier que si le capitalisme n’était pas usurier, alors tu accepterais le capitalisme ! pourtant, je suppose que tel n’est pas le cas et que tu hais le capitalisme en soit. Aussi, je pense que tu t’es mal exprimé. En effet, le "capitalisme usurier", c’est exactement comme "monter en haut" ou "descendre en bas".

              L’idéologie capitaliste n’a nul besoin du sionisme pour exister. D’ailleurs, même si Hitler avait réussi à exterminer les Juifs aussi bien que les cows-boys ont exterminé les Indiens — le sionisme n’existerait plus, puisqu’il est l’idéologie de la classe dominante juive, qui aurait disparu en même temps que tous les Juifs — le capitalisme serait toujours là. Je te rappelle que ce sont les capitalistes qui ont financé Hitler. Notamment les capitalistes américains.

              Le sionisme est l’idéologie de la classe dominante juive, c’est-à-dire de la bourgeoisie juive. Mais c’est tout ! Et les autres bourgeoisies, celles qui ne sont pas juives, ont d’autres formes d’idéologies capitalistes.

              Quant à Hollande, qui a été chercher ses ordres en Israël, ce n’est pas parce que la France est une colonie d’Israël que les autres pays le sont aussi. Je te rappelle par exemple que Netanyahou s’est mis très en colère quand il a vu qu’Obama, c’est-à-dire l’impérialisme américain, refusait de faire ce qu’Israël souhaitait à propos de l’Iran.

              Ce n’est pas Israël qui commande à l’Amérique, même si depuis 2007 Israël commande à la France !

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              • Question /réponse, c’est extraordinaire comme tu édictes, cher ami, tu es l’inventeur les idées de droit divin ! Bravo. Le capitalisme usurier est une évolution du capitalisme qui voit la sphère de la circulation du capital et des produits prendre le pas sur le capitalisme industriel productif. Ce qui a l’avantage pour la classe dominante de réduire la puissance de la classe ouvrière. Or le formidable brassage du capital financier se fait à l’avantage des banquiers sionistes persuadés qu’ils appartiennent au peuple élu et que leur vocation est la domination du monde. La loi "Rothschild" signée par Pompidou en 1973 a été adopté par tous les états européens. Bref tout pays où la capital usurier est dominant , de facto, se met au service du sionisme. Sous estimer l’état sioniste c’est faire son jeu… et de l’idéologie.

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                • N’importe quoi !

                  Tu devrais relire Le Capital de Karl Marx : L’usure est la définition même du capitalisme. Elle fait toute la différence entre le "trésor" et le "capital". Le trésor s’enterre et ne vise qu’à se conserver. Tandis que le capital s’investit pour tirer une plus-value. Quand il s’agit d’argent, car la banque n’est qu’une entreprise capitaliste particulière, cette plus-value s’appelle "usure". Donc, par définition, le capitalisme est toujours usurier !

                  Quand aux banquiers, ils ne sont pas tous sionistes, loin de là ! Et la loi Rothschild ne profite pas seulement aux banquiers juifs, mais aussi aux banquiers protestants, catholiques, ou d’autres religions, ou même athées !

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  • Et je te vois aussi… Minimisant la puissance de cet état sioniste qui défie l’ONU, possède illégalement la bombe nucléaire, organise des meurtres dans n’importe quel point du monde, a été pour beaucoup dans l’écroulement de l’Urss ( dont les richesses ont été partagées entre 10 oligarques sionistes), sait faire ses sombres tâches par d’autres, est pour quelque chose dans le 11 septembre etc… Un Etat qui proclame haut et fort qu’il es tprêt à sacrifier l’humanité entière pour préserver sa sécurité.Et qui par conséquent constitue un danger mondial y compris et surtout pour les Juifs non sionistes

    http://www.legrandsoir.info/la-syri…

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  • pas grand chose à dire de plus intelligent que les autres, les conflits dans cette zone existent depuis au moins ma naissance, je pense bien avant bien sur , un peux loin mes cours d’histoire….. Mais continuer à se bouffer le nez pr des énergies quasiment épuisées… quelle bêtise. j’ose à peine parler de religion… sois disant chaque doctrine (et oui c’est ça en théorie) prône la paix, et bien historiquement on en est loin, non ?



18/09/2015
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