GRAAL -ARTHUR-EXCALIBUR - PAIX-LIBERTE-AMOUR DIVIN

LES DOSSIERS SECRETS DE L’HISTOIRE ET SI HITLER N’ETAIT PAS MORT A BERLIN ?

LES DOSSIERS SECRETS DE L’HISTOIRE ET SI HITLER N’ETAIT PAS MORT A BERLIN ?

La maison natale de Hitler a connu une certaine célébrité à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce vaste bâtiment d’un étage sur Salzburg Vorstadt, une place du centre ce Braunau, abritait une bibliothèque publique, avant de  donner asile à une école de filles puis à une banque. Elle fut rendue à sa propriétaire légitime, Mme Kreszentia Pommer en 1946. Jusqu’à aujourd’hui personne n’a voulu acheter cet édifice où le dictateur allemand vit le jour et une sorte de crainte pèse sur ces vieux murs. Ce qui fit dire à un conseiller municipale : «  L’idée que la maison natale de l’ancien maître du III e Reich est un lieu historique, simplement  parce que Hitler y est né nous déplaît et je ne pense pas que ce soit la raison pour laquelle elle continue d’être disponible… « Actuellement nombreux sont ceux qui pensent  que le Führer n’est pas mort à Berlin. Tout le monde le sait, Russes, Américains, Anglais et Français ont joué le jeu sans que personne n’ose depuis les contredire. Les agents du N.K.V.D. ont poussé la plaisanterie à son paroxysme par l’intermédiaire du capitaine Pavlovitch Vassilki, chargé de faire reconnaître au S.S. Strumfhürer Harry Mengarhausen, les restes calcinés d’un homme totalement méconnaissable…dans une petite forêt des environs de Berlin. En effet pourquoi avoir transporté les corps d’Eva Braun et d’Adolf Hitler dans les bois de Finow pour les faire identifier, alors que dans le bunker de la Chancellerie, cette formalité aurait été plus raisonnable ? Tout simplement parce que les Soviétiques furent les premiers persuadés que les corps trouvés dans l’antre du dernier combat n’étaient pas ceux du Fürher et de sa femme Eva. Pendant des années, les prisonniers dirigés vers les camps de la mort étaient minutieusement inspectés à leur arrivée, et tous ceux qui ressemblaient à un membre influent du régime nazi se trouvaient immédiatement mis à l’écart dans le but d’être un jour utilisé. Les dossiers top-secret du F.B.I., de l’Intelligence Service, du Deuxième Bureau français et de la N.K.V.D. ont longtemps recelé des informations très précises sur la fin présumée de Hitler et ce n’est pas du tout comme on a tendance à le croire que l’ancien maître du IIIe Reich quitta son bunker inaccessible aux bombes et aux obus.

CONTRE ENQUÊTE SUR UNE CHARMANTE JEUNE FEMME BLONDE

Fille d’un médecin de campagne de Silésie, Hanna Reitsch se passionna dès  l’âge de douze ans pour l’aviation. Pendant des années les spectateurs des meetings aériens l’acclamèrent follement partout dans le monde. C’est elle la première qui traversa les Alpes en planeur. Sur chaque terrain elle glanait des prix d’acrobatie aérienne et en 1938, son audace  et son courage stupéfièrent les Américains qui assistaient à ses exhibitions au-dessus de l’aéroport de Cleveland. L’Institut allemand de recherche aéronautique la désigna comme pilote d’essai. Pour son compte Hanna Reitsch osa piloter un V-1 ! C’est elle que les services d’espionnage du monde entier suspectèrent d’avoir été chercher Hitler à Berlin en avril 1945. Hanna Reitsch est un des êtres les plus mystérieux et des plus intrépides associé à jamais au drame d’Apocalypse où s’effondra le rêve monstrueux d’une poignée d’hommes qui voulaient  devenir les maîtres du monde. A l’heure de la débâcle, le capitaine Hanna Reitsch se trouvait au Q.G. du général Ritter von Greim, c’est à dire à la 6 e flotte aérienne, quand celui-ci reçut un télégramme lui prescrivant de se rendre immédiatement à Berlin, au bunker de la Chancellerie. C’était le 24 avril et Goering venait de démissionner pour raison de santé. Von Greim accompagné d’Hanna décida de se rendre à Rechlin où, pensait-il, il pourrait trouver un hélicoptère capable d’atterrir à Berlin, dont tous les aérodromes étaient occupés ou inutilisables. --- Voulez-vous être mon pilote ? demanda Greim à l’héroïne du ciel . --- Avec plaisir. Lorsque le couple arriva à Rechlin, le dernier hélicoptère avait été mis hors d’usage quelques heures plus tôt. Ritter von Greim décida de se rendre à Gatow dans l’espoir  d’y découvrir un hélicoptère apte à voler. Leur voyage fut problématique, car seul restait à Rechlin un Focke Wulf 190 monoplace, dans lequel Hanna se glissa en queue d’appareil. «  C’était une petite niche à chien, devait raconter plus tard l’aviatrice, dans laquelle je m’insinuai comme une chenille, toute recourbée. » Le Focke Wulf prit l’air, escorté par quarante chasseurs. Immédiatement l’escorte fut attaquée par la chasse soviétique. Criblé de balle, l’avion réussit non sans peine à se poser à Gatow sous le feu de l’artillerie ennemie. Un seul avion restait pour leur permettre de parcourir les 30 kilomètres qui les séparaient de Berlin. Un Stork qui lui aussi ne possédait qu’une place, celle du pilote. Le général prit les commandes et sa compagne réussit à se placer derrière lu, courbée, les genoux pliés. Sous une grêle d’obus, le pilote échappa à la D.C.A. en volant en rase-mottes sous la protection des arbres. Soudain un éclair embrasa l’avion. ---Je suis touché au pied ! cria von Greim. Hanna Reitsch réussit à saisir le manche à balai et à manœuvrer pour éviter les rafales d’armes automatiques et les arbres. Une longue rafale de balles atteignit l’appareil perçant les réservoirs à essence. Dans une mer de flammes et de fumée Hanna repéra le pylone de l’antenne de la Chancellerie. Elle piqua sur Unter den Linden  et la porte de Brandebourg. Dans un décor de fin du monde, l’avion glissa à travers les ruines et roula enfin sur les pavés retournés par l’artillerie. Un camion arrivait. Hanna fit signe au chauffeur. Il s’arrêta et l’aida à hisser von Greim évanoui jusque sur le siège. Quelques minutes plus tard, les deux rescapés pénétraient dans le repère maudit. Le lendemain, un sergent pilote réussit au péril de sa vie à poser un Arado 96 à une centaine de mètres du premier avion. L’histoire officielle nous dit que Hitler nomma Greim chef de la Luftwaffe avec  pour mission d’ouvrir une brèche à l’armée Wenck. Le Fürher confia au remplaçant de Goering la tache d’arrêter Himmler qui avait commencé des négociations avec les Alliés pour obtenir une capitulation sans conditions. Le 29 avril à 02 heures du matin, Hanna quitta Berlin avec l’Arado 96 et un passager : officiellement von Greim, officieusement Adolf Hitler. Le nouveau ministre de l’Air aurait quant à lui quitté la capitale allemande avec le sergent pilote qui avait posé l’Arado ; mais cette fois aux commandes du Stork qui avait qui avait été mis à l’abri et réparé en hâte. Fidèle aux consignes reçues, von Greim porta le message du Fürher à Kesselring, avant de tomber entre les mains des troupes américaines dans le réduit de Bohême. Greim craqua entre les dents un tube de cyanide de potassium. La mort fut instantanée. Arrêtée à son tour, Hanna Reitsch fut interrogée pendant plusieurs mois par les agents du F.B.I. Jamais elle n’avoua quoi que ce soit sur les événements qui se déroulèrent dans la nuit du 29 avril 1945 à Berlin.

UN REPERE DOTE D’ARMES SECRETES ET DE MYSTERIEUX ENGINS VOLANTS

En 1943, l’amiral Doenitz, chef suprême de la marine allemande déclarait : «  La flotte sous-marine allemande est fière d’avoir construit un paradis terrestre pour le Führer, quelque part dans le monde. «

Un général S.S. confiait, en 1945, à un Français réfugié en Argentine : « Nous avons aménagé de longue date une base secrète dans l’archipel de la Terre de Feu. Les hommes sur lesquels reposent l’avenir idéologique sont installés là-bas. «

Pour nous cette allégation est totalement fausse. Le repère des anciens chefs nazis du IIIe Reich se situerait au Pérou, dans les moyennes vallées, dont l’altitude varie entre  1 000 et 2 000 mètres et qui jouissent d’un climat identique à celui de l’Europe continentale. Hitler et ses proches ont certainement quitté l’Allemagne à bord d’un Heinkel 277-V-1, appareil à très long rayon d’action capable de rallier l’Europe à l’Amérique du Sud sans escale. En 1945, l’Allemagne possédait six de ces géants de l’air, or un seul exemplaire est tombé aux mains de l’US Air-Force. Que sont devenus les autres ?

N.B. Le crâne, percé d'un balle et retrouvé dans la Chancellerie en ruines, fut longtemps donné comme étant celui de Adolf Hitler. De récentes analyses ADN prouvèrent, qu'il s'agit en fait d'un tête de femme…Cherchez l'erreur !

LES DOSSIERS SECRETS DE L’HISTOIRE
ET SI HITLER N’ETAIT PAS MORT A BERLIN ?

La maison natale de Hitler a connu une certaine célébrité à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce vaste bâtiment d’un étage sur Salzburg Vorstadt, une place du centre ce Braunau, abritait une bibliothèque publique, avant de  donner asile à une école de filles puis à une banque. Elle fut rendue à sa propriétaire légitime, Mme Kreszentia Pommer en 1946.
Jusqu’à aujourd’hui personne n’a voulu acheter cet édifice où le dictateur allemand vit le jour et une sorte de crainte pèse sur ces vieux murs. Ce qui fit dire à un conseiller municipale :
«  L’idée que la maison natale de l’ancien maître du III e Reich est un lieu historique, simplement  parce que Hitler y est né nous déplaît et je ne pense pas que ce soit la raison pour laquelle elle continue d’être disponible… « 
Actuellement nombreux sont ceux qui pensent  que le Führer n’est pas mort à Berlin. Tout le monde le sait, Russes, Américains, Anglais et Français ont joué le jeu sans que personne n’ose depuis les contredire. Les agents du N.K.V.D. ont poussé la plaisanterie à son paroxysme par l’intermédiaire du capitaine Pavlovitch Vassilki, chargé de faire reconnaître au S.S. Strumfhürer Harry Mengarhausen, les restes calcinés d’un homme totalement méconnaissable…dans une petite forêt des environs de Berlin. En effet pourquoi avoir transporté les corps d’Eva Braun et d’Adolf Hitler dans les bois de Finow pour les faire identifier, alors que dans le bunker de la Chancellerie, cette formalité aurait été plus raisonnable ? Tout simplement parce que les Soviétiques furent les premiers persuadés que les corps trouvés dans l’antre du dernier combat n’étaient pas ceux du Fürher et de sa femme Eva. Pendant des années, les prisonniers dirigés vers les camps de la mort étaient minutieusement inspectés à leur arrivée, et tous ceux qui ressemblaient à un membre influent du régime nazi se trouvaient immédiatement mis à l’écart dans le but d’être un jour utilisé. Les dossiers top-secret du F.B.I., de l’Intelligence Service, du Deuxième Bureau français et de la N.K.V.D. ont longtemps recelé des informations très précises sur la fin présumée de Hitler et ce n’est pas du tout comme on a tendance à le croire que l’ancien maître du IIIe Reich quitta son bunker inaccessible aux bombes et aux obus.

CONTRE ENQUÊTE SUR UNE CHARMANTE JEUNE FEMME BLONDE

Fille d’un médecin de campagne de Silésie, Hanna Reitsch se passionna dès  l’âge de douze ans pour l’aviation. Pendant des années les spectateurs des meetings aériens l’acclamèrent follement partout dans le monde. C’est elle la première qui traversa les Alpes en planeur. Sur chaque terrain elle glanait des prix d’acrobatie aérienne et en 1938, son audace  et son courage stupéfièrent les Américains qui assistaient à ses exhibitions au-dessus de l’aéroport de Cleveland. L’Institut allemand de recherche aéronautique la désigna comme pilote d’essai. Pour son compte Hanna Reitsch osa piloter un V-1 !
C’est elle que les services d’espionnage du monde entier suspectèrent d’avoir été chercher Hitler à Berlin en avril 1945.
Hanna Reitsch est un des êtres les plus mystérieux et des plus intrépides associé à jamais au drame d’Apocalypse où s’effondra le rêve monstrueux d’une poignée d’hommes qui voulaient  devenir les maîtres du monde.
A l’heure de la débâcle, le capitaine Hanna Reitsch se trouvait au Q.G. du général Ritter von Greim, c’est à dire à la 6 e flotte aérienne, quand celui-ci reçut un télégramme lui prescrivant de se rendre immédiatement à Berlin, au bunker de la Chancellerie.
C’était le 24 avril et Goering venait de démissionner pour raison de santé. Von Greim accompagné d’Hanna décida de se rendre à Rechlin où, pensait-il, il pourrait trouver un hélicoptère capable d’atterrir à Berlin, dont tous les aérodromes étaient occupés ou inutilisables.
--- Voulez-vous être mon pilote ? demanda Greim à l’héroïne du ciel .
--- Avec plaisir.
Lorsque le couple arriva à Rechlin, le dernier hélicoptère avait été mis hors d’usage quelques heures plus tôt. Ritter von Greim décida de se rendre à Gatow dans l’espoir  d’y découvrir un hélicoptère apte à voler. Leur voyage fut problématique, car seul restait à Rechlin un Focke Wulf 190 monoplace, dans lequel Hanna se glissa en queue d’appareil.
«  C’était une petite niche à chien, devait raconter plus tard l’aviatrice, dans laquelle je m’insinuai comme une chenille, toute recourbée. »
Le Focke Wulf prit l’air, escorté par quarante chasseurs. Immédiatement l’escorte fut attaquée par la chasse soviétique. Criblé de balle, l’avion réussit non sans peine à se poser à Gatow sous le feu de l’artillerie ennemie.
Un seul avion restait pour leur permettre de parcourir les 30 kilomètres qui les séparaient de Berlin. Un Stork qui lui aussi ne possédait qu’une place, celle du pilote. Le général prit les commandes et sa compagne réussit à se placer derrière lu, courbée, les genoux pliés.
Sous une grêle d’obus, le pilote échappa à la D.C.A. en volant en rase-mottes sous la protection des arbres. Soudain un éclair embrasa l’avion.
---Je suis touché au pied ! cria von Greim.
Hanna Reitsch réussit à saisir le manche à balai et à manœuvrer pour éviter les rafales d’armes automatiques et les arbres. Une longue rafale de balles atteignit l’appareil perçant les réservoirs à essence.
Dans une mer de flammes et de fumée Hanna repéra le pylone de l’antenne de la Chancellerie. Elle piqua sur Unter den Linden  et la porte de Brandebourg. Dans un décor de fin du monde, l’avion glissa à travers les ruines et roula enfin sur les pavés retournés par l’artillerie. Un camion arrivait. Hanna fit signe au chauffeur. Il s’arrêta et l’aida à hisser von Greim évanoui jusque sur le siège. Quelques minutes plus tard, les deux rescapés pénétraient dans le repère maudit.
Le lendemain, un sergent pilote réussit au péril de sa vie à poser un Arado 96 à une centaine de mètres du premier avion.
L’histoire officielle nous dit que Hitler nomma Greim chef de la Luftwaffe avec  pour mission d’ouvrir une brèche à l’armée Wenck. Le Fürher confia au remplaçant de Goering la tache d’arrêter Himmler qui avait commencé des négociations avec les Alliés pour obtenir une capitulation sans conditions.
Le 29 avril à 02 heures du matin, Hanna quitta Berlin avec l’Arado 96 et un passager : officiellement von Greim, officieusement Adolf Hitler.
Le nouveau ministre de l’Air aurait quant à lui quitté la capitale allemande avec le sergent pilote qui avait posé l’Arado ; mais cette fois aux commandes du Stork qui avait qui avait été mis à l’abri et réparé en hâte. Fidèle aux consignes reçues, von Greim porta le message du Fürher à Kesselring, avant de tomber entre les mains des troupes américaines dans le réduit de Bohême. Greim craqua entre les dents un tube de cyanide de potassium. La mort fut instantanée.
Arrêtée à son tour, Hanna Reitsch fut interrogée pendant plusieurs mois par les agents du F.B.I. Jamais elle n’avoua quoi que ce soit sur les événements qui se déroulèrent dans la nuit du 29 avril 1945 à Berlin.

UN REPERE DOTE D’ARMES SECRETES ET DE MYSTERIEUX ENGINS VOLANTS 

En 1943, l’amiral Doenitz, chef suprême de la marine allemande déclarait :
«  La flotte sous-marine allemande est fière d’avoir construit un paradis terrestre pour le Führer, quelque part dans le monde. « 

Un général S.S. confiait, en 1945, à un Français réfugié en Argentine :
« Nous avons aménagé de longue date une base secrète dans l’archipel de la Terre de Feu. Les hommes sur lesquels reposent l’avenir idéologique sont installés là-bas. « 

Pour nous cette allégation est totalement fausse. Le repère des anciens chefs nazis du IIIe Reich se situerait au Pérou, dans les moyennes vallées, dont l’altitude varie entre  1 000 et 2 000 mètres et qui jouissent d’un climat identique à celui de l’Europe continentale.
Hitler et ses proches ont certainement quitté l’Allemagne à bord d’un Heinkel 277-V-1, appareil à très long rayon d’action capable de rallier l’Europe à l’Amérique du Sud sans escale.
En 1945, l’Allemagne possédait six de ces géants de l’air, or un seul exemplaire est tombé aux mains de l’US Air-Force.
Que sont devenus les autres ?

N.B. Le crâne, percé d'un balle et retrouvé dans la Chancellerie en ruines, fut longtemps donné comme étant celui de Adolf Hitler. De récentes analyses ADN prouvèrent, qu'il s'agit en fait d'un tête de femme…Cherchez l'erreur !
 


18/07/2014
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