LES INITIÉS DU SOLEIL -ORDEN DE LOS CABALLERO TEMPLARIOS
LES INITIÉS DU SOLEIL
Partie 2
L'origine de la connaissance des Templiers était plus au-delà de Jésus lui-même
Comme nous avons été la publication, non seulement les Templiers furent les bienfaiteurs du culte du soleil, mais qu'il était aussi María Magdalena et nombreux pré-chrétienne qui suit le culte d'ISIS, qui était également pas étranger aux initiés Templiers.
Certains seront demanderont parce que nous parlons de cette Voici... la réponse est claire : que de comprendre les Templiers, mais adressé des questions de foi que l'ordre tenu secret, comme le culte du soleil, l'influence de l'Égypte et de leur religion dans l'ordre ou le culte de Mitra, entre autres.
C'est comme vouloir comprendre le vrai message de Jésus, alors qu'en même temps croire que Mary Magdalene était une prostituée.
Ici nous traitons pas l'histoire officielle, pour qu'il y a des centaines de pages et de livres d'histoire, ici traitent de la version des faits qui ne sont pas claires, ceux qui ont besoin d'étude et de débat, même si cela génère beaucoup de démangeaisons.
Il y a beaucoup de choses ici on peut ne pas les compter, mais si nous pouvons donner la poussée initiale pour les moteur de recherche et guide de jusqu'où les chercher.
Comme un vieil adage, la porte s'ouvre aussi bien d'un côté et d'autre part, à entrer et sortir est le même.
« Seulement il y a deux jours dans l'année où rien ne peut être fait. L'un est appelé hier et demain un autre.
Donc aujourd'hui, c'est la journée idéale à aimer, grandir et surtout vivre"
Dalai Lama.
et mon préféré qui a à voir avec cette page :
"Toutes les religions ont une base commune. Ne diffèrent dans la façon de présenter ses dogmes et ses principes".
Krumm Heller
LES INITIÉS DU SOLEIL
Partie 2
AKHÉNATON: « LA JOIE DU SOLEIL »
La croyance des mondes grecs et romains qui, en Egypte, a vu le berceau de la science hermétique, a persisté jusqu'à nos jours. Aujourd'hui encore, seuls les mots pyramide et obélisque évoque pour nous les plus impénétrables mystères.
Il n'est donc pas surprenant que les rosacrucianos et les francs-maçons sont entourés de symboles et hiéroglyphes qui évoquent la terre des pharaons.
Toutefois, côté le fait que cette région bénie des dieux avait trouvé sur les messagers de l'histoire de l'humanité, ce qui est l'appel de ce disparu la civilisation, à l'époque de la conquête spatiale ?
Tout simplement, l'ignorance que nous sommes votre source. Nous pourrions certainement demander des égyptologues savants, mais, tranqui-licemonos. Sur l'origine de cette civilisation extraordinaire, ils ne savent pas plus que les commun des mortels... Voir qui établit qu'une chronologie serait pour les quatre premières dynasties pharaoniques, c'est-à-dire, la période archaïque de l'ancien Empire. Finition il serait !
De même, des milliers de touristes déjà peuvent « mitrailler » avec grand renfort de plateau de Gizeh immémoriale de films photographiques. Qui pourrait croire que ce que les pyramides et le Sphinx révélerait son anti - guo secret ?
Nous allons parler sérieusement et regarder mieux dans la seule réalité qui avec - taba véritablement à ce moment-là : religion et des mythes autour d'elle.
Cette réalité nous montre que l'Égypte est incontestablement la patrie du culte solaire. Est-ce le soleil qui se lève à l'est par le nom d'Horus et qui obtient à l'ouest avec Aton, Tum ou Aw. Nous avons fait contacter ici, dans le cadre de l'Égypte ancienne, avec « le mon - civiliser Zion » de tout un peuple.
Chaque peuple, en effet, traditionnellement reçoit un histo - riche en « mission »: « guides spirituels », Hermes Trismegisto sont dans ce cas, ses lumières visibles. C'est, sans aucun doute, Hermes, les « trois fois grands », qui s'est chargé de la « mission » de l'Egypte, pour reprendre une expression de bienvenue à l'occultiste Alveydre Saint-Yves.
Qui expliquera par ailleurs la naissance en Égypte du concept infiniment plus subtil du « Soleil Invisible », « Soleil noir », avec - qui aiment la « soleil de nuit » de carrière elliptique inaccessibles à nos recherches, le modèle des évolutions mystérieux de l'affaire entre la mort et le retour à la vie... Le prototype de la psychanalyse moderne et de la chimie.
De Claude Saint-Martin, justement surnommé le « philosophe inconnu-acide", fut le premier penseur chrétien qui a essayé, dans le ~ xvni, iglo remplacer l'homme dans la voie de la tradition. Il a enseigné reliant le christianisme avec l'Atlantide, à travers l'Egypte, le druidisme et le mosaismo primitif du livre d'Enoch.
Cette affiliation a été organisée récemment par la fin Paul Le Cour, fondateur de l'archéologie traditionnelle Atlantis Magazine. Le culte du soleil a été ainsi les Égyptiens dans le canal opérateur de l'Atlan-tida. Ce culte, oublié par les descendants de la première farao-nes, aurait été détachées au goût du jour par initié qui est objectif - à notre étude : Akhénaton.
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Parmi les Egyptiens - écrit Paul Le Cour - il y avait une croyance en un Dieu suprême et un deuxième Dieu, le créateur du soleil. Une stèle du Musée de Berlin appelé le soleil « fils de Dieu ». La porte de la Temple de Médinet-Abou, lit: « est-il, le soleil, qui a fait tout ce qui est et rien n'a été fait sans elle jamais. " San Juan dira les mêmes quatorze siècles plus tard parler de Christ.
Nous rappelons aux lecteurs qu'Akhénaton vécu quatorze siècles avant Jésus Christ.
Dans le même texte, Paul Le Cour a développé sa thèse en profondeur-profondeur. De là, l'auteur de l'Aquarium était * il avait besoin de sa pensée et a sorti une conclusion qu'il serait difficile de ne pas signer :
L'objectif premier de la religion solaire a probablement été l'Atlan - tida ou une région située à 50 ° de latitude nord (Hiperboreo?). Il a été créé la première sphère céleste, soutenu, en outre, par Atlas et créé le zodiaque, qui est en quelque sorte l'horloge de la religion solaire dont festivals annuels souligne, ainsi que les transformations au cours des siècles. En effet, Atlantis, la religion solaire est devenu au Mexique, au Pérou, en Egypte, en Chaldée. Reliés entre eux par une tradition commune, que les Atlantes, qui ont été appelés « peuple du soleil », les Egyptiens, les Babyloniens et les mexicains construite des temples dont le fronton était accompagné de deux ailes disque solaire... Religion glauque était solaire, comme celle des druides ; le culte de Dionysos était solaire et aussi celle de Mitra.
Adresse, sur ce point précis du raisonnement, le phénomène qui représente Akhénaton dans l'histoire de notre Humani-papa : d'un lien réel entre la tradition Atlante et glauques (ou tradition) et notre époque actuelle : la civilisation judéo-chrétienne. Et nous le ferons notre conclusion de l'auteur grand mystique Merejkovski :
Atlantis, voici ce qui est en bas de la vertigineuse, de l'Antiquité égyptienne terrible.
Atlantes et reyes-pontifices
Le mythe du continent perdu de l'Atlantide, est liée à la théorie des cycles de l'humanité, Bienvenue à Platon et a continué plus tard par toute la tradition ésotérique jusqu'à nos jours.
Les prêtres de l'Egypte ancienne avaient conservé, et leurs livres saints témoignent de cela, la mémoire d'un vaste continent qui aurait étendu au milieu de l'océan Atlantique, dans un espace délimité à l'ouest par la rupture géologique Açores et orientale du détroit de Gibraltar.
Le Critias Platon a longuement décrit une ville de l'avec - continent submergé : Poseidonis, gigantesques portes de Golden City, construit en gradins, avec ses immenses temples et son système de go - gouvernement dirigé par reyes-sacerdotes, les possesseurs des législations prononcés par les dieux, devant rangée qui est placé en Poseidon ou Neptune, roi des mers, armé de son Trident. Aussi, selon Platon, l'île de Poseidonis, dernier fragment de l'Atlantide, était submergée 9 000 ans avant l'époque de la homme sage Solon.
Le géographe grec Strabon, mais aussi de Proclus, confirmer les allégations eux - tions de Platon. Comment Solon ait eu connaissance de la tradition de l'Atlantide ? Qu'une seule réponse semble cohérente. Le sacer - DOTS égyptiens, qui a cherché à obtenir les informations sur le propre en - Québec, il a transmis les voyageurs grecs qui souvent visitaient leur pays.
Les prêtres égyptiens des ISC, pourrait connaître une tradition qui remonte à la date de permis pour l'immersion et la disparition de ce grand continent ? Les données des sciences naturelles, préhistoire et anthropologie conviennent tous à cette date...
Il reste à prouver qu'il y avait en fait une ville d'Égypte dans l'IXe millénaire avant notre ère. Eh bien, des études récentes semblent essayer aussi.
Si une civilisation ancienne et fermée il devais déjà neuf mille ans avant Jésus Christ, rien de ce qui s'opposerait j'ai a joué un rôle de réceptacle, puis véhicule civilisation de l'Atlantide. J'ai découvert-mos empreintes digitales au plus ancien monument en Egypte : le Sphinx de Gizeh.
Le grand Sphinx contemporaine de l'Atlantide ? Pourquoi pas? Re-cuerdese votre desarenamiento de Thoutmès IV. Il a fait l'objet d'une observation étonnante ; les membres du colosse avaient été boeuf - taurados des premières dynasties... À l'époque du Pharaon qui régna trente-quatre siècles avant notre ère, le Sphinx était, moins 1.100 ans.
Mais, exactement ce qu'est ce géant, moitié homme, moitié animal ? L'idée selon laquelle serait reproduire les caractéristiques d'un pharaon n'est pas pris en charge dans n'importe quel document. Au contraire, son nom même semble se n'imposer qu'une relation surprenante avec continent - saparecido de l'Atlantide.
Voyez-le. La stèle de Thoutmès I (troisième roi de la XVIIIème dynastie, qui nous intéresse) nous enseigne le nom qu'a donné ensuite le colosse de Pierre: « Frantz » (ligne 2082 « texte des pyramides »)... Maintenant, selon la légende, qui contient toujours une vérité profonde, les deux dernières îles de grande importance de l'Atlantide, avant votre & total ricion, ont été appelés « Chemin » et « Daitia ». Quand le match est moins inquiétant.
Même l'hypothèse selon laquelle les premières dynasties pharaoniques serait ceux d'entre les rois de l'Atlantide, qui renforce la présence des mastabas (tombes) du souverain en question, situé dans les environs du grand Sphinx de Gizeh est...
Les premières dynasties égyptiennes
Ces rois de la première dynastie ont été enterrés à Peker, à deux kilomètres environ du Temple d'Osiris à Abydos. Et ici nous avons affaire à un deuxième point de contact avec le tra-édition de l'Atlantide. C'est à Abydos, en fait, où la suite de je-Cher-Nofret, haut fonctionnaire du roi Sesostris III a été trouvée (1849-1887 a. J. C.) qui nous raconte une initiation aux mystères... L'initiation même Herodotus se limitant à déclarer: « les prêtres d'Osiris, accompagné d'une vieille tradition, peuvent dire rien de la mort de son Dieu... » Maintenant, dans la foulée, il est fait mention de l'ini - nismes Thot, qui n'est autre qu'Hermès Trismegistos, qui « a ouvert la route qui mène à sa tombe à Peker à Dieu », et qui a organisé
« grande sortie », « mettre en mouvement le navire »...
C'est pourquoi lors de la conclusion des premiers égyptiens, ou quand moins ses « initiateurs », s'est évadé en bateaux à la catastrophe qui a vu l'effondrement du continent disparu, il y a plus qu'une étape.
La dernière partie de la description des mystères, n'aurait peut-être pas se termine avec la déclaration suivante: "je lui ai fait entrer dans le bateau... ? J'ai en - sanchado de la joie dans le cœur des habitants de l'est (la vie) et j'ai suscité l'enthousiasme chez les habitants de l'Ouest (la toux-muer)... Bateau a adressée à Abydos et Osiris, les premiers habitants de l'Ouest, Seigneur d'Abydos, a conduit à son palais. »
Nous soulignons que l'ouest est représenté comme la demeure des morts. En effet, pour les Egyptiens, Punt, la terre des grands ancêtres, situé dans les limites de la Libye (qui s'étend au Maroc actuel) était un culte posthume. Rappelez-vous quand les Egyptiens ne vivaient plus au-delà, comprendere' best mos cherchant ainsi s'approcher de son pays d'origine : Atlan - tida submergée, avec toute vraisemblance.
Fit, à ce stade, jeté le doute sur l'existence de l'Atlantide, a affirmé dans l'antiquité par Homère, Platon, Solon, Herodotus, Estra - bon, Diodore ? Ne le croyez pas, parce que les anciens placés précisément le continent disparu » à l'autre bout de la Libye, au-delà où le soleil se couche... ».
Ainsi s'explique, bien sûr, la consanguinité des moyens sûrs familles - nantes, rei de préserver la pureté de l'atlante de sang tel que prescrit par le grand Hermès.
L'origine de l'Atlantide de l'antiquité, les Égyptiens est une confirmation supplémentaire dans la considérablement vieille habitude de l'ocre rouge qui ont barbouillé les cadavres. Le premier exemple, nous savons de cette pratique il nous donne l'homme de Cro-Magnon, Caucasiens, qui a vécu pendant près de quarante mille ans. Cet homme, mis en évidence dans les Eyzies (France), qui était de plus de 1,90 mètres, baignade était efec-ment dans l'ocre rouge. Quand on sait que les Atlantes étaient apo - race donnée « rouge », et réputé pour sa taille gigantesque, nous serons en mesure de pre - guntarnos si l'homme de Cro-Magnon ne serait pas la course des atlantes.
Il n'est pas invraisemblable de le croire si nous pensons que :
La mémoire écrasante de cette ascendance était si puissant physique - esprit en terre nilotique pour préserver son particulier - et laridades morales ont été mis en place, depuis la nuit des temps, deux des législations plus extraordinaires de la tradition pharaonique :
1 - le souverain se fiance avec sa sœur ;
2 - le roi, les grands prêtres et tous les descendants mâles de cigares de la race d'origine de mettre certains corps d'ocre rouge... Douanes affaiblira... Vers les fin dynasties, seul le Pharaon et le Hiérophante est embadurnarán avec de la peinture rouge.
Madame Szumlanska place le déclin de la course au pouvoir de l'Égypte dans le voisinage de la dynastie XVIII, ou dans le temps qui nous intéresse, le pharaon Akhenaton. C'est sous cette dynastie, lorsque l'Egypte avait son « chant du cygne »: « une splendeur sans précédent répartis sur l'Egypte avec la 18ème Dynastie. Horus, le Dieu du pays de Punt, vu re-bloom sa légende merveilleuse. "
Les premiers égyptiens, ancêtres des survivants de l'Atlantide, auraient atteint le Nil vallée, à travers l'Afrique du Nord, des îles Canaries. Maintenant, en 1882-1886, le Sage Verneau a publié son rapport sur une mission scientifique dans le lac d'îles Canaries-archipie qui a fourni une documentation considérable sur les hommes de Cro-Magnon, à la fin d'une enquête de cinq ans. L'idée principale de Verneau reposait sur une parenté d'Atlante avec les guanches, ancêtres des habitants des îles Canaries. Nous ne devons pas oublier que l'Atlantide disparaisse, devrait laisser émerger les crêtes de ses chaînes de montagnes que le sommet du Teide pourrait être l'un des vestiges.
Le savant Français a fait remarquer dans les momies pourrait examiner une énorme capacité crânienne (1.790 cm3 en moyenne), haute (2,10 m) de hauteur et, surtout, une déformation poscoronal spécifiquement cromagnoide « qui n'est pas due à une déformation rituelle que les Sémites, mais toujours en un point précis et est situé entre la »
villages où il y a ce rite, principalement parmi les Egyptiens ". Nous reste, à la fin de ce chapitre, décrivant la monoteis de l'innovation-ta symbolisée par le culte solaire qui fait son apparition avec la Homo sapiens de Cro-Magnon et son rite de l'ocre rouge pour continuer l'Egypte pharaonique et aboutissent à un idéal plus subtil et plus pur de la
religion solaire elle-même : le remplacement du soleil à travers le disque lui-même.
La cosmogonie sacrée des Égyptiens. Le « livre des morts »
La cosmogonie de l'Égypte est entièrement contenue dans la fa - moso livre des morts, pour les cénacles initiatiques de la l'ancienne Égypte, par les Égyptiens considèrent la mort comme une espèce
initiation (de l'initium latine: « Vie de Renaissance »).
Parmi les points de vue que le livre décrit, sur le bateau solaire est la plus courante. Cette vision centrale où nous avons trouvé les deux lumi-narias (le bateau, qui symbolise la lune croissante, prenez le disque solaire : Ra) forment le noyau de toute la cosmologie sacrée.
Pour les Égyptiens, la lune, vue d'un point de vue spirituel, n'était pas du tout inférieure au soleil, mais leur mariage symbolise l'involution ou, pour reprendre les termes de la Bible, l'étape d'origine de la « chute ». Dans le domaine spirituel, c'est pourquoi ce phénomène d'involution exacerbe la chute initiale de l'humanité, dont les conséquences sont représentés respectivement par le sexe et la mort, comme l'ORIGINAL était, selon la tradition, BISEXUADO et immortel. Ce concept de la ANDROGINADO primordiale est situé dans le célèbre dialogue de Platon, le banquet. Pour le divin maître, a commencé dans les mystères égyptiens et ardent défenseur de la thèse « fr-pa'lante », il y avait une course originale « dont l'essence est maintenant disparu, » race d'individus qui étaient eux-mêmes les deux principes, plus - culino et féminin et il est donc androgyne. Les êtres de cette espèce "ils étaient une force extraordinaire et même des projets audacieux et nourri dans leurs cœurs fiers d'attaquer aux dieux ». Cette tentation à l'échelle des cieux n'est pas nouveau ; C'est le mythe de Prométhée, de géants et les Titans. Dans la Bible elle-même, n'est pas evo - chaque « promesse de devenir des dieux comme » ? (Genèse, III)
Mais la chose étrange dans le texte de Platon, directement - hôtel des mystères de l'Égypte, est le fait que les dieux, pour - fenderse, ils fulminan pas les êtres androgynes comme ils fulminaron les Titans, ils paralysent leur action et leur pouvoir en les séparant en deux. Par la suite, l'homme et la femme, née de la séparation des sexes ou les principes, le masculin et le féminin.
La même chose arrive avec la lune et le soleil, par référence aux gnous - tra land. La tradition ésotérique, comme nous l'avons vu, enseigne que ces deux étoiles ont été Unis dans l'origine et formé le corps et ensuite séparés... Nous avons constaté encore une fois ce premier couple que soleil-lune se sont réunie dans le Dieu Osiris dont liens, lunaires et unique - boeuf, ont été soulignés à maintes reprises par les égyptologues. La resu-rrection d'Osiris, pétrifiés dans la mort, bien au chaud dans leurs bandes de momie (allusion au monde lui-même, soumis à l'implacable 'loi de la nature"), destiné à la restauration de l'unité dans le retour à l'intégrité d'origine.
Mort, le mystère dans le sens caché du terme, est magiquement surmontée grâce à la véritable « passeport » car il n'y a plus le livre égyptien des morts. Le voyage de l'âme est des - écrit en détail par analogie avec le voyage diurne du bateau du Ra, bateau solaire, la voûte du ciel. L'exemple de la « dios-fracaso » Osiris était présent dans toutes les mémoires : symbolise la « chute ».
Avant de qu'amoral, rêveur et indolent personnes des Egyptiens, le grand Hermes brandi l'exemple de la discipline et de l'équilibre cosmique : l'élite égyptienne dont il a atteint la forme croyaient en l'existence d'une "âme du monde » dont « voyants » étaient le soleil, lune et des planètes. Cette « religion du Cosmos » ouvert l'Egyptien visions moitié inattendues. Il est sorti avec joie dans la "préparation pour mort-
vous ' qui vous a proposé à votre sélection. La morale est devenue un lien vi - vingt ans entre l'homme et l'univers par l'intercession de la cosmiscos des dieux.
Les dieux cosmiques : Horus-Osiris, Amon-Rê. Heures, comme l'héritier de son père Osiris, on peut considérer comme l'héritier du monde divin dans son ensemble. Il est le successeur de tous les autres dieux. Ainsi, au vieillissement de l'humanité, les initiés ont été appelés pour prendre en charge le gouvernement « cosmique ». Heures, de ce point de vue, est apparue comme la divinité humaine par excellence-excellence. La même légende est importante.
Dans un premier temps, heures est considéré comme le « serviteur de son père, » Osiris, tué par Seth. Mais par très détesté être, Seth est nécessaire à l'équilibre cosmique, puis mal doit être si bon pour réussir. Nous trouvons ici l'idée d'un être divin qui est délibérément sacrifié pour le salut de l'Hu-
{a Christos), Osiris,. manidad dans ce cas L'objet de ce sacrifice était au volant de l'homme pour libérer son supérieur d'instinct par la destruction de sa nature inférieure. C'est ce qu'ils nous enseignent, grâce à une terminologie qui est parfois semble em-brollada, les religions qui ont précédé le christianisme et dont ' salva - dores » avec Mitra, Adonis, Dionysos, Baldur, Orphée...
Complètement différentes heures, apparaît donc le rôle d'Osiris et la question est, ce que le OSIRIANISMO ne pas fusionné avec le christianisme naissant ? Il faut voir à l'intransigeance du pri - simple église de parents et de son désir de rendre « accessible » cris-christianisme aux masses, rejetant les éléments ésotériques, une cause
l'échec de cette fusion. Seulement l'élite égyptienne a eu des conséquences d'une décision lourde pour l'humanité : les tradi-tions ésotérique de l'osirianismo devait être préservé à tout prix. Est né, où la disparition de l'Égypte comme cette civilisation, alchimie, Gnose et le MANIQUE1SMO, puis le mouvement des Templiers, qui devait donner naissance à la franc-maçonnerie.
L'élite égyptienne avait deviné dans le décalogue de Moïse et « béni l'optimisme » christianisme le piège fatal : affirmer que tout serait en Difficulté « automatiquement » et comment par la force des choses est engourdie au monde (9).
Cette précision était nécessaire pour comprendre l'importance d'autre Dieu cosmique et surtout celle de la fraternité secrète que le ro - deaba : la Fraternité d'HÉLIOPOLIS, qui avait été consacré à l'AR du Dieu-soleil, où ont été son importance politique et religieux au cœur de l'Egypte ancienne.
Le Dieu Ra, que l'on retrouve déjà dans la barque solaire, était considéré comme le "premier de des pharaons. Il symbolisait le soleil en passant par les « quatre maisons dans le monde » et dépeint comme le vainqueur du serpent. Nous sommes ici en présence de tous les mythes ori - ginarios de diverses religions qui ont suivi la première mogonia de cos-égyptienne. Le Dieu Ra était, sous la XIIe dynastie, de trouver une seconde jeunesse : leur assimilation pour le Dieu de Thèbes, Amon, qui devait donner naissance à la dualité d'Amon-Rê.
De la même manière, nous pouvons voir que le souverain sacrificateur de l'hélium - polis une peau de léopard étoiles décorées, (lui) a pris parce qu'il était le « chef des secrets du ciel » et le « voir grand ». La ville d'Héliopolis, dans le delta du Nil, a été un des trois centres des grands mystères d'Hermopolis (ville d'elle - rnes) et Abydos, d'origine d'Atlantis.
L'importance d'Héliopolis est attestée dans la cristianis-mo, qui, selon le Nouveau Testament, était à Héliopolis où la Sainte famille aurait ont reposé quand la "fuite en Egypte".
Le clergé de cette ville sacrée placé un « pont magique » - bre l'abîme de la mort selon les procédures qui sont donc maintenant désespérément perdu. Ce qui peu nous savons de lui ne nous per - hypothèse risquée de la mite advance... Probablement, toutefois, que certaines confréries occultes ont des précisions à cet égard. Nous ajouterons seulement que c'étaient des égyptologues allemands qui se livrent à des fouilles à Héliopolis.
Plus important, en ce qui concerne son essence solaire, est le grand dieu Amon-Rê, dont le culte était centré dans la tour de Thèbes dans l'articulation de la gi-gantesco monumentale : Luxor-Karnak. Ici, il n'est pas mystères. Religion n'est admise et, malheureusement, (comme c'est presque toujours le cas), vous aurez envie de dépassement de capacité sur quelques secteurs où n'a rien à voir : la direction administrative et puis la politique du pays. Ce sera un fait consommé sous la XXIe dynastie. À-quelques siècles d'histoire et de l'Égypte seront effondrera !
CONTINUER
Prochain chapitre
La toute-puissance du clergé de l'AMN
LOS INICIADOS DEL SOL
Parte 2
El Origen del Conocimiento Templario, fue mas alla del propio Jesus
Como hemos venido publicando, no solo los Templarios fueron benefactores del culto al Sol, sino que también lo era María Magdalena, y muchos precristianos que seguían el culto a Isis, que también no fue ajeno a los Templarios iniciados.
Algunos se preguntarán porque hablamos de esto aquí... la respuesta es clara: Como poder entender a los templarios, sino abordamos cuestiones de Fe que la Orden mantenía secreta, como el culto al Sol, la influencia de Egipto y su religión en la Orden o el culto a Mitra entre otros.
Es como querer entender el verdadero mensaje de Jesus, mientras al mismo tiempo creer que Maria Magdalena era una prostituta.
Aquí no abordamos la historia oficial, para eso hay cientos de paginas y libros de historia, aquí abordamos la versión de los hechos que no están claros, los que necesitan estudio y debate, aunque a muchos esto le genere picazón.
Hay muchas cosas que aquí no podemos contarles, pero si podemos darle el empujón inicial para que sean buscadores y guiarlos por donde buscar.
Como dice un viejo refrán, la puerta se abre tanto de un lado como del otro, para entrar y salir es la misma.-
"Solo existen dos días en el año en los que nada puede ser hecho. Uno se llama Ayer y el otro Mañana.
Por lo tanto Hoy es el día Ideal para Amar, Crecer y principalmente Vivir"
Dalai Lama.
y mi favorita que tiene que ver con esta pagina:
"Todas las religiones tienen una base común. Solo se diferencian en la manera de presentar sus dogmas y principios".
Krumm Heller
LOS INICIADOS DEL SOL
Parte 2
AKENATÓN: «ALEGRÍA DEL SOL»
La creencia de los mundos griego y romano, que veían en Egipto la cuna de la ciencia hermética, ha persistido hasta nuestros días. Aún hoy, sólo las palabras obelisco y pirámide evocan para nosotros los más impenetrables misterios.
No es de extrañar, por lo tanto, que rosacrucianos y francmasones se rodeen de símbolos y de jeroglíficos que evocan la tierra de los faraones.
Sin embargo, aparte el hecho de que aquella comarca bendecida por los dioses se hubiese encontrado en las avanzadillas de la historia de la Humanidad, ¿cuál es el atractivo de aquella civilización desaparecida, en la era de la conquista del espacio?
Muy sencillamente, el desconocimiento en que estamos de su origen. Desde luego, podríamos interrogar a doctos egiptólogos, pero, tranqui- licémonos. Sobre el origen de aquella extraordinaria civilización, no saben más que el común de los mortales... A ver quién establece una cronología seria para las cuatro primeras dinastías faraónicas, es decir, el período arcaico del Imperio Antiguo. ¡Aviado estaría!
Del mismo modo, miles de turistas ya pueden «ametrallar» con gran refuerzo de películas fotográficas la inmemorial meseta de Gizeh. ¿Quién creería por esto que las pirámides y la Esfinge iban a revelar su anti- guo secreto?
Hablemos en serio y fijémonos mejor en la única realidad que con- taba verdaderamente en aquel tiempo: la religión y los mitos que la rodeaban.
Esta realidad nos enseña que Egipto es incontestablemente la patria del culto solar. Es él, el Sol, quien se levanta al Este con el nombre de Horus y que se pone al Oeste con el de Atón, de Tum o bien de Aw. Tomamos contacto aquí, en el marco del antiguo Egipto, con «la mi- sión civilizadora» de todo un pueblo.
Cada pueblo, en efecto, recibe tradicionalmente una «misión histó- rica»: los «guías espirituales», Hermes Trismegisto en este caso, son sus luces visibles. Es, sin duda, Hermes, el «tres veces grande», quien se hizo cargo de la «misión» de Egipto, por citar una expresión grata al esoterista Saint-Yves d'Alveydre.
Quién nos explicará de otro modo el nacimiento en Egipto del concepto infinitamente más sutil de «Sol invisible», de «Sol negro», con- siderado como el «Sol nocturno» en su carrera elíptica inaccesible a nuestras investigaciones, el modelo de las evoluciones misteriosas de la materia entre la muerte y el retorno a la vida... El prototipo de la al- quimia y del moderno psicoanálisis.
Claude de Saint-Martin, justamente apodado el «Filósofo descono- cido», fue el primer pensador cristiano que intentó, en el ~iglo xvni, reponer al hombre en el camino de la tradición. Enseñó la vinculación del cristianismo con la Atlántida, a través de Egipto, el druidismo y el mosaísmo primitivo del Libro de Enoch.
Esta filiación ha sido sostenida recientemente por el llorado Paul Le Cour, fundador de la revista de arqueología tradicional Atlantis. El culto del Sol habría llegado así a los egipcios por el canal de la Atlán- tida. Este culto, olvidado por los descendientes de los primeros farao- nes, habría sido repuesto al gusto del día por el iniciado que es obje- to de nuestro estudio: Akenatón.
Entre los egipcios —escribe Paul Le Cour— existía la creencia en un Dios supremo y en un segundo dios, el Sol creador. Una estela del museo de Berlín llama al Sol «hijo de Dios». En la puerta del templo de Medinet-Abu, se lee: «Es él, el Sol, quien ha hecho todo lo que es, y nada ha sido hecho sin él jamás.» San Juan dirá lo mismo catorce siglos más tarde hablando de Cristo.
Recordemos al lector que Akenatón vivió catorce siglos antes de Jesucristo.
En el mismo texto, Paul Le Cour desarrollaba su tesis en profun- didad. Partiendo de aquí, el autor de La Era del Acuario * precisaba su pensamiento y sacaba una conclusión que sería difícil no suscribir:
El primer foco de la religión solar fue verosímilmente la Atlán- tida o una comarca situada hacia el 50° de latitud Norte (¿el Hiperbóreo?). Allí fue creada la primera esfera celeste, soportada, por lo demás, por Atlas y creado el Zodíaco, que constituye en cierto modo el reloj de la religión solar cuyas fiestas anuales señala, así como las transformaciones a través de los siglos. En efecto, de la Atlántida, la religión solar pasó a México, al Perú, a Egipto, a Caldea. Reunidos por una común tradición, la de los atlantes, que han sido denominados «el pueblo del Sol», egipcios, mexicanos y babilonios edificaron templos en cuyo frontón se veía el disco solar acompañado de dos alas... La religión hiperbórea era solar, como lo fue la de los druidas; el culto de Dionisos era solar y lo fue igualmente el de Mitra.
Abordamos, en este punto preciso del razonamiento, el verdadero fenómeno que representa Akenatón en la historia de nuestra Humani- dad: el de un verdadero enlace entre la tradición atlante e hiperbórea (o gran tradición) y nuestra época actual: la civilización judeocristiana. Y haremos nuestra esta conclusión del gran autor místico Merezhkovski:
La Atlántida, he aquí lo que está en el fondo de la vertiginosa, de la espantosa antigüedad egipcia.
Atlantes y reyes-pontífices
El mito del continente perdido, de la Atlántida, se vincula a la teoría de los ciclos de la Humanidad, grata a Platón y proseguida después por toda la tradición esotérica hasta nuestros días.
Los sacerdotes del antiguo Egipto habían conservado, y sus libros sagrados dan fe de ello, el recuerdo de un vasto continente que se habría extendido en medio del océano Atlántico, en un espacio delimitado al Oeste por las islas Azores y al Este por la rotura geológica del estrecho de Gibraltar.
El Critias de Platón nos describe extensamente una ciudad del con- tinente sumergido: Poseidonis, ciudad de gigantescas puertas de oro, edificada en graderío, con sus enormes templos y su sistema de go- bierno dirigido por reyes-sacerdotes, poseedores de las leyes dictadas por los dioses, en primera fila de los cuales se sitúa Poseidón o Neptuno, rey de los mares, armado de su tridente. También según Platón, la isla de Poseidonis, último fragmento de la Atlántida, quedó sumergida nueve mil años antes de la época del sabio Solón.
El geógrafo griego Estrabón, así como Proclo, confirman las afirma- ciones de Platón. ¿Cómo hubiera podido Solón tener conocimiento de la tradición atlántida? Sólo una respuesta parece coherente. Los sacer- dotes egipcios, que pretendían tener la información de los propios at- lantes, la transmitieron a los viajeros griegos que a menudo visitaban su país.
Los sacerdotes egipcios de Sais, ¿podían conocer una tradición que se remontaba a la fecha admitida para la inmersión y la desaparición de aquel continente fabuloso? Los datos de las ciencias naturales, de la Prehistoria y de la Antropología concuerdan todos con esa fecha...
Queda por demostrar que efectivamente existía un pueblo egipcio en el IX milenio antes de nuestra era. Ahora bien, los estudios recientes parecen probarlo sobradamente.
Si una civilización antigua y cerrada existía ya nueve mil años antes de Jesucristo, nada se opondría a que hubiera desempeñado un papel de receptáculo y luego de vehículo a la civilización atlántida. Descubri- mos sus huellas en el monumento más antiguo de Egipto: la Esfinge de Gizeh.
¿La gran Esfinge contemporánea de la Atlántida? ¿Por qué no? Re- cuérdese su desarenamiento efectuado por Tutmés IV. Fue objeto de una constatación asombrosa; los miembros del coloso habían sido res- taurados desde las primeras dinastías... En la época de aquel faraón que reinó treinta y cuatro siglos antes de nuestra era, la Esfinge tenía, LO MENOS MIL CIEN años de edad.
Pero, ¿qué representa exactamente ese gigante, mitad hombre, mitad animal? La idea según la cual reproduciría los rasgos de un faraón no se apoya en ningún documento. Por contra, su nombre mismo parece establecer por sí solo una relación sorprendente con el continente de- saparecido de la Atlántida.
Veámoslo. La estela de Tutmés I (tercer rey de la XVIII dinastía, la que nos interesa) nos enseña el nombre que daban entonces al coloso de piedra: «Ruty» (línea 2082 del «texto de las pirámides»)... Ahora bien, según la leyenda, que siempre contiene un fondo de verdad, las dos últimas islas de gran importancia de la Atlántida, antes de su desapa- rición total, se llamaban «Ruta» y «Daitia». La coincidencia es cuando menos inquietante.
Lo que refuerza aún la hipótesis según la cual las primeras dinastías faraónicas serían las de los REYES ATLANTES, es la presencia de las mastabas (o tumbas) de los soberanos en cuestión, situadas todas en las proximidades de la gran Esfinge de Gizeh...
Las primeras dinastías egipcias
Aquellos monarcas de la primera dinastía eran inhumados en Peker, a dos kilómetros aproximadamente del templo de Osiris, situado en Abidos. Y aquí abordamos un segundo punto de contacto con la tra- dición atlántida. Es en Abidos, efectivamente, donde se ha encontrado la estela de I-Cher-Nofret, alto funcionario del rey Sesostris III (1887- 1849 a. de J. C.) que nos relata una iniciación a los misterios... La misma iniciación de la cual Heródoto se limitaba a declarar: «Los sacerdotes de Osiris, unidos por una vieja tradición, no podían decir nada de la muerte de su Dios...» Ahora bien, en esa estela, se hace mención del ini- ciado Thot, que no es otro que Hermes Trismegisto, el que «ha abierto al dios la vía que conduce a su tumba, en Peker» y que ha organizado
la «gran salida», «poniendo en movimiento la nave»...
De ahí a concluir que los primeros egipcios, o cuando menos sus «iniciadores», escaparon en embarcaciones a la catástrofe que vio el hundimiento del continente desaparecido, no hay más que un paso.
La última parte de la descripción de los misterios, ¿acaso no finaliza con la declaración siguiente: «Le he hecho entrar en la nave... He en- sanchado de gozo el corazón de los habitantes de Oriente (los vivos) y he suscitado el entusiasmo en los habitantes de Occidente (los muer- tos)... La embarcación ha abordado Abidos y conducido a Osiris, el primero de los habitantes de Occidente, señor de Abidos, a su palacio.»
Subrayemos que Occidente es representado como la morada de los muertos. En efecto, para los egipcios, Punt, la tierra de los grandes antepasados, situada por ellos en los límites de Libia (que se extendía hasta el Marruecos actual) era objeto de un culto postumo. Cuando recordemos que los egipcios sólo vivían para el más allá, comprendere' mos mejor que procuraban así acercarse a su país de origen: la Atlán- tida sumergida, con toda verosimilitud.
¿Cabe, en este estadio, poner en duda la existencia de la Atlántida, afirmada en la Antigüedad por Homero, Solón, Heródoto, Platón, Estra- bón, Diodoro? No lo creemos, pues los antiguos situaban precisamente el continente desaparecido «al otro extremo de Libia, allá donde el Sol se pone...».
Así se explica, naturalmente, la consanguinidad de las familias rei- nantes, medio seguro de conservar la pureza de la sangre atlante según la prescripción dictada por el gran Hermes.
El origen atlántida de los antiguos egipcios halla una confirmación suplementaria en la costumbre considerablemente antigua del ocre rojo con el que eran embadurnados los cadáveres. El primer ejemplo que conocemos de esa práctica nos lo da el hombre de Cro-Magnon, de raza blanca, que vivió hace casi cuarenta mil años. Este hombre, sacado a la luz en Eyzies, Francia, que medía más de 1,90 metros, se bañaba efec- tivamente en el ocre rojo. Cuando sepamos que los atlantes eran apo- dados la «raza roja», y reputados por su talla gigantesca, podremos pre- guntarnos si el hombre de Cro-Magnon no sería de la raza de los atlantes.
No es inverosímil creerlo si pensamos que:
El recuerdo abrumador de aquella ascendencia era tan poderosa- mente apreciado en tierra nilótica que para conservar sus particu- laridades físicas y morales fueron instituidas, desde la aurora de los tiempos, dos de las más extraordinarias leyes de la tradición faraónica:
1. — El soberano se desposa con su hermana;
2. — El rey, los grandes sacerdotes y todos los puros DESCENDIENTES VARONES de la raza original se untan el cuerpo con ocre rojo... Las costumbres irán debilitándose... Hacia las últimas dinastías, únicamente el faraón y el Hierofante se embadurnarán con pintura roja.
Madame Szumlanska sitúa la decadencia de aquella raza dirigente de Egipto en los alrededores de la XVIII dinastía, o sea, en la época que nos interesa, la del faraón Akenatón. Fue bajo aquella dinastía cuando Egipto tuvo su «canto del cisne»: «Un esplendor inaudito se extendió sobre la tierra de Egipto con la XVIII dinastía. Horus, el dios originario del país de Punt, vio reflorecer su maravillosa leyenda.»
Los primeros egipcios, antepasados de los supervivientes de la Atlántida, habrían llegado al valle del Nilo, a través del África del Norte, procedentes de las islas Canarias. Ahora bien, en 1882-1886, el sabio Verneau publicó su Informe sobre una misión científica en el archipié- lago canario en el cual proporcionaba una documentación considerable sobre los hombres de Cro-Magnon, al término de una investigación de cinco años. La idea principal de Verneau se fundaba en un parentesco atlante con los guanches, antepasados de los habitantes de las Canarias. No olvidemos que la Atlántida, al desaparecer, debía dejar emerger las crestas de sus cordilleras de las que el pico Teide podría ser uno de los vestigios.
El sabio francés notó en las momias que pudo examinar una enorme capacidad craneana (1.790 cm3 de promedio), una estatura elevada (2,10 m) y, sobre todo, una deformación poscoronal específicamente cromagnoide «que no es debida a una deformación ritual como en los semitas, sino siempre en un punto preciso y que se encuentra entre los
pueblos donde no existe ese rito, principalmente entre los egipcios». Nos resta, al final de este capítulo, describir la innovación monoteís- ta simbolizada por el culto SOLAR que hace su aparición con el Homo sapiens de Cro-Magnon y su rito del ocre rojo para continuar en el Egipto faraónico y culminar en un ideal más sutil y más puro de la
misma religión solar: la sustitución del propio Sol por el DISCO.
La cosmogonía sagrada de los egipcios. El «Libro de los muertos»
La cosmogonía de los egipcios está enteramente contenida en el fa- moso Libro de los muertos, destinado a los cenáculos iniciáticos del an- tiguo Egipto, por considerar los egipcios la muerte como una especie
de iniciación (del latín initium: «renacer a la vida»).
Entre las visiones que el libro describe, el de la barca solar es la más frecuente. Esta visión central donde reencontramos las dos lumi- narias (la barca, que simboliza la Luna creciente, lleva el disco solar: Ra) formaba el núcleo de toda la cosmogonía sagrada.
Para los egipcios, la Luna, considerada desde un punto de vista espiritual, no era en absoluto inferior al Sol, pero su unión simboliza la involución o, por emplear el lenguaje de la Biblia, la etapa original de la «caída». En el plano espiritual, pues, este fenómeno de involución agrava la caída inicial del género humano cuyas consecuencias están representadas respectivamente por el SEXO y la MUERTE, pues el SER ORIGINAL era, según la tradición, BISEXUADO e INMORTAL. Este concepto del ANDROGINADO primordial se encuentra de nuevo en el famoso diálogo de Platón El Banquete. Para el divino maestro, iniciado en los misterios egipcios y ardiente defensor de la tesis «at- lante», existía una raza original «cuya esencia está ahora extinguida», raza de individuos que llevaban en sí mismos los dos principios, mas- culino y femenino, y por ende andróginos. Los seres de esta especie «eran de una fuerza y de una audacia extraordinarias y abrigaban en su corazón proyectos orgullosos hasta atacar incluso a los dioses». Esta tentación de escalar los cielos no es nueva; es el mito de Prometeo, el de los Gigantes y de los Titanes. En la Biblia misma, ¿acaso no es evo- cada la «promesa de tornarse semejante a los dioses»? (Génesis, III)
Pero lo más extraño que hay en el texto de Platón, directamente de- rivado de los Misterios de Egipto, es el hecho de que los dioses, para de- fenderse, no fulminan a los seres andróginos como fulminaron a los Titanes, sino que paralizan su acción y su potencia separándolos en dos. En lo sucesivo, el Hombre y la Mujer nacerán de la separación de los sexos o de los principios, el MASCULINO y el FEMENINO.
Lo mismo sucede con la Luna y el Sol, ambos por referencia a nues- tra Tierra. La tradición esotérica, como hemos visto, enseña que esos dos astros estaban unidos en el origen y formaban cuerpo y que luego se separaron... Encontramos de nuevo a esta pareja inicial Sol-Luna reunida en el dios Osiris cuyas vinculaciones, tanto lunares como sola- res, han sido repetidas veces subrayadas por los egiptólogos. La resu- rrección de Osiris, petrificado en la muerte, ceñido en sus vendas de momia (alusión al mundo mismo, sometido a la implacable «ley de la naturaleza»), significaba el restablecimiento de la unidad en el retorno a la integridad original.
La muerte, ese misterio en el sentido oculto del término, es vencida mágicamente gracias al verdadero «pasaporte» para el más allá que constituye el Libro de los muertos egipcio. El viaje del alma está des- crito con detalle por analogía con el viaje diurno de la barca de Ra, la barca solar, por la bóveda del cielo. El ejemplo del «dios-fracaso» Osiris seguía presente en todas las memorias: simbolizaba la «caída».
Frente a aquel pueblo amoral, soñador e indolente de los egipcios, el gran Hermes blandía el ejemplo de la disciplina y del equilibrio cósmico: la élite egipcia que él logró formar creía en la existencia de un «alma del mundo» cuyas «luces» visibles eran el Sol, la Luna y los planetas. Esa «religión del Cosmos» abrió al egipcio medio visiones insospechadas. Se lanzó con alegría en aquella «preparación a la muer-
te» que su selección le proponía. La moral se convertía en un lazo vi- viente entre el hombre y el Universo por intercesión de los dioses cósmiscos.
Los dioses cósmicos: Horus-Osiris, Amón-Ra. Horas, por ser el heredero de su padre Osiris, puede ser considerado como el heredero del mundo divino tomado en su conjunto. Aparece como el sucesor de todos los demás dioses. Así, ante el envejecimiento de la Humanidad, los iniciados se veían llamados a hacerse cargo del «gobierno cósmico». Horas, en esta óptica, aparecía como la divinidad humana por exce- lencia. Su leyenda misma es significativa.
Al principio, Horas es considerado como el «vengador de su padre», Osiris, muerto por Seth. Pero por muy aborrecido que sea, Seth no deja de ser necesario al equilibrio cósmico, pues el mal ha de existir para que el bien pueda triunfar. Volvemos a encontrar aquí la idea de un ser divino que se sacrifica deliberadamente por la salvación de la Hu-
manidad {un Christos), Osiris, en este caso. El objeto de semejante sacrificio era conducir al hombre hacia la liberación de sus instintos superiores por la destrucción de su naturaleza inferior. Es lo que nos enseñan, a través de una terminología que a veces se nos antoja em- brollada, las religiones que precedieron al cristianismo y cuyos «salva- dores» con Adonis, Orfeo, Dionisos, Baldur, Mitra...
Completamente diferente del de Horas, pues, aparece el papel de Osiris y cabe preguntarse, ¿por qué el OSIRIANISMO no se fusionó con el cristianismo naciente? Hay que ver en la intransigencia de los pri- meros Padres de la Iglesia y en su deseo de hacer «accesible» el cris- tianismo a las masas, rechazando los elementos esotéricos, una causa
del fracaso de esa fusión. Sólo que la élite egipcia había de tomar una decisión preñada de consecuencias para la Humanidad: las tradi- ciones esotéricas del osirianismo debían ser preservadas a toda costa. Así nacieron, cuando la desaparición de Egipto en tanto que civilización, la GNOSIS y el MANIQUE1SMO, la ALQUIMIA y luego el movimiento TEMPLARIO, que había de hacer nacer la FRANCMASONERÍA.
La élite egipcia había adivinado en el Decálogo de Moisés y el «optimismo beato» del cristianismo la trampa fatal: afirmar que todo se arreglará «automáticamente» y como por la fuerza de las cosas es adormecer al mundo (9).
Esta puntualización era necesaria para comprender la importancia de otro dios cósmico y sobre todo la de la cofradía secreta que lo ro- deaba: la FRATERNIDAD DE HELIÓPOLIS que se había consagrado al dios-Sol Ra, de donde procedió su importancia política y religiosa en el seno del Egipto antiguo.
El dios Ra, a quien encontramos ya en la barca solar, era considerado como el «primero de los faraones». Simbolizaba al Sol pasando por las «cuatro casas del mundo», y representado como el vencedor de la serpiente. Nos encontramos aquí en presencia de todos los mitos ori- ginarios de las diversas religiones que sucedieron a la primera cos- mogonía egipcia. El dios Ra debía, bajo la XII dinastía, encontrar una segunda juventud: su asimilación al dios de Tebas, Amón, que hubo de hacer nacer la dualidad Amón-Ra.
Observaremos, de la misma manera, que el gran sacerdote de Helió- polis(lO) llevaba una piel de leopardo adornada de estrellas, pues era el «jefe supremo de los secretos del cielo» y el «grande de visión». La ciudad de Heliópolis, en el delta del Nilo, era uno de los tres centros de misterios más importantes con el de Hermópolis (la ciudad de Her- rnes), y el de Abidos, de origen atlántida.
La importancia de Heliópolis es atestiguada hasta en el cristianis- mo, puesto que, según el Nuevo Testamento, fue en Heliópolis donde la Sagrada Familia habría descansado cuando la «huida a Egipto».
El clero de aquella ciudad sagrada colocaba un «puente mágico» so- bre el abismo de la muerte según unos procedimientos que hoy están irremediablemente perdidos. Lo poco que sabemos de ello no nos per- mite adelantar hipótesis aventuradas... Es probable, sin embargo, que ciertas cofradías ocultas posean precisiones al respecto. Añadiremos solamente que fueron egiptólogos alemanes los que se ocuparon de las excavaciones de Heliópolis.
Más significativo aún, en cuanto a su esencia solar, es el gran dios Amón-Ra cuya adoración estaba centrada en torno de Tebas en el gi- gantesco conjunto monumental: Luxor-Karnak. Aquí ya no se trata de misterios. La religión únicamente es admitida y, desgraciadamente (como casi siempre es el caso), querrá desbordar sobre unos sectores en los que no tiene nada que hacer: la dirección administrativa, y luego política, del país. Será un hecho consumado bajo la XXI dinastía. ¡Al- gunos siglos más de Historia y Egipto se derrumbará!
CONTINUARA
Próximo Capitulo
La omnipotencia del clero de Amón
Parte 2
El Origen del Conocimiento Templario, fue mas alla del propio Jesus
Como hemos venido publicando, no solo los Templarios fueron benefactores del culto al Sol, sino que también lo era María Magdalena, y muchos precristianos que seguían el culto a Isis, que también no fue ajeno a los Templarios iniciados.
Algunos se preguntarán porque hablamos de esto aquí... la respuesta es clara: Como poder entender a los templarios, sino abordamos cuestiones de Fe que la Orden mantenía secreta, como el culto al Sol, la influencia de Egipto y su religión en la Orden o el culto a Mitra entre otros.
Es como querer entender el verdadero mensaje de Jesus, mientras al mismo tiempo creer que Maria Magdalena era una prostituta.
Aquí no abordamos la historia oficial, para eso hay cientos de paginas y libros de historia, aquí abordamos la versión de los hechos que no están claros, los que necesitan estudio y debate, aunque a muchos esto le genere picazón.
Hay muchas cosas que aquí no podemos contarles, pero si podemos darle el empujón inicial para que sean buscadores y guiarlos por donde buscar.
Como dice un viejo refrán, la puerta se abre tanto de un lado como del otro, para entrar y salir es la misma.-
"Solo existen dos días en el año en los que nada puede ser hecho. Uno se llama Ayer y el otro Mañana.
Por lo tanto Hoy es el día Ideal para Amar, Crecer y principalmente Vivir"
Dalai Lama.
y mi favorita que tiene que ver con esta pagina:
"Todas las religiones tienen una base común. Solo se diferencian en la manera de presentar sus dogmas y principios".
Krumm Heller
LOS INICIADOS DEL SOL
Parte 2
AKENATÓN: «ALEGRÍA DEL SOL»
La creencia de los mundos griego y romano, que veían en Egipto la cuna de la ciencia hermética, ha persistido hasta nuestros días. Aún hoy, sólo las palabras obelisco y pirámide evocan para nosotros los más impenetrables misterios.
No es de extrañar, por lo tanto, que rosacrucianos y francmasones se rodeen de símbolos y de jeroglíficos que evocan la tierra de los faraones.
Sin embargo, aparte el hecho de que aquella comarca bendecida por los dioses se hubiese encontrado en las avanzadillas de la historia de la Humanidad, ¿cuál es el atractivo de aquella civilización desaparecida, en la era de la conquista del espacio?
Muy sencillamente, el desconocimiento en que estamos de su origen. Desde luego, podríamos interrogar a doctos egiptólogos, pero, tranqui- licémonos. Sobre el origen de aquella extraordinaria civilización, no saben más que el común de los mortales... A ver quién establece una cronología seria para las cuatro primeras dinastías faraónicas, es decir, el período arcaico del Imperio Antiguo. ¡Aviado estaría!
Del mismo modo, miles de turistas ya pueden «ametrallar» con gran refuerzo de películas fotográficas la inmemorial meseta de Gizeh. ¿Quién creería por esto que las pirámides y la Esfinge iban a revelar su anti- guo secreto?
Hablemos en serio y fijémonos mejor en la única realidad que con- taba verdaderamente en aquel tiempo: la religión y los mitos que la rodeaban.
Esta realidad nos enseña que Egipto es incontestablemente la patria del culto solar. Es él, el Sol, quien se levanta al Este con el nombre de Horus y que se pone al Oeste con el de Atón, de Tum o bien de Aw. Tomamos contacto aquí, en el marco del antiguo Egipto, con «la mi- sión civilizadora» de todo un pueblo.
Cada pueblo, en efecto, recibe tradicionalmente una «misión histó- rica»: los «guías espirituales», Hermes Trismegisto en este caso, son sus luces visibles. Es, sin duda, Hermes, el «tres veces grande», quien se hizo cargo de la «misión» de Egipto, por citar una expresión grata al esoterista Saint-Yves d'Alveydre.
Quién nos explicará de otro modo el nacimiento en Egipto del concepto infinitamente más sutil de «Sol invisible», de «Sol negro», con- siderado como el «Sol nocturno» en su carrera elíptica inaccesible a nuestras investigaciones, el modelo de las evoluciones misteriosas de la materia entre la muerte y el retorno a la vida... El prototipo de la al- quimia y del moderno psicoanálisis.
Claude de Saint-Martin, justamente apodado el «Filósofo descono- cido», fue el primer pensador cristiano que intentó, en el ~iglo xvni, reponer al hombre en el camino de la tradición. Enseñó la vinculación del cristianismo con la Atlántida, a través de Egipto, el druidismo y el mosaísmo primitivo del Libro de Enoch.
Esta filiación ha sido sostenida recientemente por el llorado Paul Le Cour, fundador de la revista de arqueología tradicional Atlantis. El culto del Sol habría llegado así a los egipcios por el canal de la Atlán- tida. Este culto, olvidado por los descendientes de los primeros farao- nes, habría sido repuesto al gusto del día por el iniciado que es obje- to de nuestro estudio: Akenatón.
Entre los egipcios —escribe Paul Le Cour— existía la creencia en un Dios supremo y en un segundo dios, el Sol creador. Una estela del museo de Berlín llama al Sol «hijo de Dios». En la puerta del templo de Medinet-Abu, se lee: «Es él, el Sol, quien ha hecho todo lo que es, y nada ha sido hecho sin él jamás.» San Juan dirá lo mismo catorce siglos más tarde hablando de Cristo.
Recordemos al lector que Akenatón vivió catorce siglos antes de Jesucristo.
En el mismo texto, Paul Le Cour desarrollaba su tesis en profun- didad. Partiendo de aquí, el autor de La Era del Acuario * precisaba su pensamiento y sacaba una conclusión que sería difícil no suscribir:
El primer foco de la religión solar fue verosímilmente la Atlán- tida o una comarca situada hacia el 50° de latitud Norte (¿el Hiperbóreo?). Allí fue creada la primera esfera celeste, soportada, por lo demás, por Atlas y creado el Zodíaco, que constituye en cierto modo el reloj de la religión solar cuyas fiestas anuales señala, así como las transformaciones a través de los siglos. En efecto, de la Atlántida, la religión solar pasó a México, al Perú, a Egipto, a Caldea. Reunidos por una común tradición, la de los atlantes, que han sido denominados «el pueblo del Sol», egipcios, mexicanos y babilonios edificaron templos en cuyo frontón se veía el disco solar acompañado de dos alas... La religión hiperbórea era solar, como lo fue la de los druidas; el culto de Dionisos era solar y lo fue igualmente el de Mitra.
Abordamos, en este punto preciso del razonamiento, el verdadero fenómeno que representa Akenatón en la historia de nuestra Humani- dad: el de un verdadero enlace entre la tradición atlante e hiperbórea (o gran tradición) y nuestra época actual: la civilización judeocristiana. Y haremos nuestra esta conclusión del gran autor místico Merezhkovski:
La Atlántida, he aquí lo que está en el fondo de la vertiginosa, de la espantosa antigüedad egipcia.
Atlantes y reyes-pontífices
El mito del continente perdido, de la Atlántida, se vincula a la teoría de los ciclos de la Humanidad, grata a Platón y proseguida después por toda la tradición esotérica hasta nuestros días.
Los sacerdotes del antiguo Egipto habían conservado, y sus libros sagrados dan fe de ello, el recuerdo de un vasto continente que se habría extendido en medio del océano Atlántico, en un espacio delimitado al Oeste por las islas Azores y al Este por la rotura geológica del estrecho de Gibraltar.
El Critias de Platón nos describe extensamente una ciudad del con- tinente sumergido: Poseidonis, ciudad de gigantescas puertas de oro, edificada en graderío, con sus enormes templos y su sistema de go- bierno dirigido por reyes-sacerdotes, poseedores de las leyes dictadas por los dioses, en primera fila de los cuales se sitúa Poseidón o Neptuno, rey de los mares, armado de su tridente. También según Platón, la isla de Poseidonis, último fragmento de la Atlántida, quedó sumergida nueve mil años antes de la época del sabio Solón.
El geógrafo griego Estrabón, así como Proclo, confirman las afirma- ciones de Platón. ¿Cómo hubiera podido Solón tener conocimiento de la tradición atlántida? Sólo una respuesta parece coherente. Los sacer- dotes egipcios, que pretendían tener la información de los propios at- lantes, la transmitieron a los viajeros griegos que a menudo visitaban su país.
Los sacerdotes egipcios de Sais, ¿podían conocer una tradición que se remontaba a la fecha admitida para la inmersión y la desaparición de aquel continente fabuloso? Los datos de las ciencias naturales, de la Prehistoria y de la Antropología concuerdan todos con esa fecha...
Queda por demostrar que efectivamente existía un pueblo egipcio en el IX milenio antes de nuestra era. Ahora bien, los estudios recientes parecen probarlo sobradamente.
Si una civilización antigua y cerrada existía ya nueve mil años antes de Jesucristo, nada se opondría a que hubiera desempeñado un papel de receptáculo y luego de vehículo a la civilización atlántida. Descubri- mos sus huellas en el monumento más antiguo de Egipto: la Esfinge de Gizeh.
¿La gran Esfinge contemporánea de la Atlántida? ¿Por qué no? Re- cuérdese su desarenamiento efectuado por Tutmés IV. Fue objeto de una constatación asombrosa; los miembros del coloso habían sido res- taurados desde las primeras dinastías... En la época de aquel faraón que reinó treinta y cuatro siglos antes de nuestra era, la Esfinge tenía, LO MENOS MIL CIEN años de edad.
Pero, ¿qué representa exactamente ese gigante, mitad hombre, mitad animal? La idea según la cual reproduciría los rasgos de un faraón no se apoya en ningún documento. Por contra, su nombre mismo parece establecer por sí solo una relación sorprendente con el continente de- saparecido de la Atlántida.
Veámoslo. La estela de Tutmés I (tercer rey de la XVIII dinastía, la que nos interesa) nos enseña el nombre que daban entonces al coloso de piedra: «Ruty» (línea 2082 del «texto de las pirámides»)... Ahora bien, según la leyenda, que siempre contiene un fondo de verdad, las dos últimas islas de gran importancia de la Atlántida, antes de su desapa- rición total, se llamaban «Ruta» y «Daitia». La coincidencia es cuando menos inquietante.
Lo que refuerza aún la hipótesis según la cual las primeras dinastías faraónicas serían las de los REYES ATLANTES, es la presencia de las mastabas (o tumbas) de los soberanos en cuestión, situadas todas en las proximidades de la gran Esfinge de Gizeh...
Las primeras dinastías egipcias
Aquellos monarcas de la primera dinastía eran inhumados en Peker, a dos kilómetros aproximadamente del templo de Osiris, situado en Abidos. Y aquí abordamos un segundo punto de contacto con la tra- dición atlántida. Es en Abidos, efectivamente, donde se ha encontrado la estela de I-Cher-Nofret, alto funcionario del rey Sesostris III (1887- 1849 a. de J. C.) que nos relata una iniciación a los misterios... La misma iniciación de la cual Heródoto se limitaba a declarar: «Los sacerdotes de Osiris, unidos por una vieja tradición, no podían decir nada de la muerte de su Dios...» Ahora bien, en esa estela, se hace mención del ini- ciado Thot, que no es otro que Hermes Trismegisto, el que «ha abierto al dios la vía que conduce a su tumba, en Peker» y que ha organizado
la «gran salida», «poniendo en movimiento la nave»...
De ahí a concluir que los primeros egipcios, o cuando menos sus «iniciadores», escaparon en embarcaciones a la catástrofe que vio el hundimiento del continente desaparecido, no hay más que un paso.
La última parte de la descripción de los misterios, ¿acaso no finaliza con la declaración siguiente: «Le he hecho entrar en la nave... He en- sanchado de gozo el corazón de los habitantes de Oriente (los vivos) y he suscitado el entusiasmo en los habitantes de Occidente (los muer- tos)... La embarcación ha abordado Abidos y conducido a Osiris, el primero de los habitantes de Occidente, señor de Abidos, a su palacio.»
Subrayemos que Occidente es representado como la morada de los muertos. En efecto, para los egipcios, Punt, la tierra de los grandes antepasados, situada por ellos en los límites de Libia (que se extendía hasta el Marruecos actual) era objeto de un culto postumo. Cuando recordemos que los egipcios sólo vivían para el más allá, comprendere' mos mejor que procuraban así acercarse a su país de origen: la Atlán- tida sumergida, con toda verosimilitud.
¿Cabe, en este estadio, poner en duda la existencia de la Atlántida, afirmada en la Antigüedad por Homero, Solón, Heródoto, Platón, Estra- bón, Diodoro? No lo creemos, pues los antiguos situaban precisamente el continente desaparecido «al otro extremo de Libia, allá donde el Sol se pone...».
Así se explica, naturalmente, la consanguinidad de las familias rei- nantes, medio seguro de conservar la pureza de la sangre atlante según la prescripción dictada por el gran Hermes.
El origen atlántida de los antiguos egipcios halla una confirmación suplementaria en la costumbre considerablemente antigua del ocre rojo con el que eran embadurnados los cadáveres. El primer ejemplo que conocemos de esa práctica nos lo da el hombre de Cro-Magnon, de raza blanca, que vivió hace casi cuarenta mil años. Este hombre, sacado a la luz en Eyzies, Francia, que medía más de 1,90 metros, se bañaba efec- tivamente en el ocre rojo. Cuando sepamos que los atlantes eran apo- dados la «raza roja», y reputados por su talla gigantesca, podremos pre- guntarnos si el hombre de Cro-Magnon no sería de la raza de los atlantes.
No es inverosímil creerlo si pensamos que:
El recuerdo abrumador de aquella ascendencia era tan poderosa- mente apreciado en tierra nilótica que para conservar sus particu- laridades físicas y morales fueron instituidas, desde la aurora de los tiempos, dos de las más extraordinarias leyes de la tradición faraónica:
1. — El soberano se desposa con su hermana;
2. — El rey, los grandes sacerdotes y todos los puros DESCENDIENTES VARONES de la raza original se untan el cuerpo con ocre rojo... Las costumbres irán debilitándose... Hacia las últimas dinastías, únicamente el faraón y el Hierofante se embadurnarán con pintura roja.
Madame Szumlanska sitúa la decadencia de aquella raza dirigente de Egipto en los alrededores de la XVIII dinastía, o sea, en la época que nos interesa, la del faraón Akenatón. Fue bajo aquella dinastía cuando Egipto tuvo su «canto del cisne»: «Un esplendor inaudito se extendió sobre la tierra de Egipto con la XVIII dinastía. Horus, el dios originario del país de Punt, vio reflorecer su maravillosa leyenda.»
Los primeros egipcios, antepasados de los supervivientes de la Atlántida, habrían llegado al valle del Nilo, a través del África del Norte, procedentes de las islas Canarias. Ahora bien, en 1882-1886, el sabio Verneau publicó su Informe sobre una misión científica en el archipié- lago canario en el cual proporcionaba una documentación considerable sobre los hombres de Cro-Magnon, al término de una investigación de cinco años. La idea principal de Verneau se fundaba en un parentesco atlante con los guanches, antepasados de los habitantes de las Canarias. No olvidemos que la Atlántida, al desaparecer, debía dejar emerger las crestas de sus cordilleras de las que el pico Teide podría ser uno de los vestigios.
El sabio francés notó en las momias que pudo examinar una enorme capacidad craneana (1.790 cm3 de promedio), una estatura elevada (2,10 m) y, sobre todo, una deformación poscoronal específicamente cromagnoide «que no es debida a una deformación ritual como en los semitas, sino siempre en un punto preciso y que se encuentra entre los
pueblos donde no existe ese rito, principalmente entre los egipcios». Nos resta, al final de este capítulo, describir la innovación monoteís- ta simbolizada por el culto SOLAR que hace su aparición con el Homo sapiens de Cro-Magnon y su rito del ocre rojo para continuar en el Egipto faraónico y culminar en un ideal más sutil y más puro de la
misma religión solar: la sustitución del propio Sol por el DISCO.
La cosmogonía sagrada de los egipcios. El «Libro de los muertos»
La cosmogonía de los egipcios está enteramente contenida en el fa- moso Libro de los muertos, destinado a los cenáculos iniciáticos del an- tiguo Egipto, por considerar los egipcios la muerte como una especie
de iniciación (del latín initium: «renacer a la vida»).
Entre las visiones que el libro describe, el de la barca solar es la más frecuente. Esta visión central donde reencontramos las dos lumi- narias (la barca, que simboliza la Luna creciente, lleva el disco solar: Ra) formaba el núcleo de toda la cosmogonía sagrada.
Para los egipcios, la Luna, considerada desde un punto de vista espiritual, no era en absoluto inferior al Sol, pero su unión simboliza la involución o, por emplear el lenguaje de la Biblia, la etapa original de la «caída». En el plano espiritual, pues, este fenómeno de involución agrava la caída inicial del género humano cuyas consecuencias están representadas respectivamente por el SEXO y la MUERTE, pues el SER ORIGINAL era, según la tradición, BISEXUADO e INMORTAL. Este concepto del ANDROGINADO primordial se encuentra de nuevo en el famoso diálogo de Platón El Banquete. Para el divino maestro, iniciado en los misterios egipcios y ardiente defensor de la tesis «at- lante», existía una raza original «cuya esencia está ahora extinguida», raza de individuos que llevaban en sí mismos los dos principios, mas- culino y femenino, y por ende andróginos. Los seres de esta especie «eran de una fuerza y de una audacia extraordinarias y abrigaban en su corazón proyectos orgullosos hasta atacar incluso a los dioses». Esta tentación de escalar los cielos no es nueva; es el mito de Prometeo, el de los Gigantes y de los Titanes. En la Biblia misma, ¿acaso no es evo- cada la «promesa de tornarse semejante a los dioses»? (Génesis, III)
Pero lo más extraño que hay en el texto de Platón, directamente de- rivado de los Misterios de Egipto, es el hecho de que los dioses, para de- fenderse, no fulminan a los seres andróginos como fulminaron a los Titanes, sino que paralizan su acción y su potencia separándolos en dos. En lo sucesivo, el Hombre y la Mujer nacerán de la separación de los sexos o de los principios, el MASCULINO y el FEMENINO.
Lo mismo sucede con la Luna y el Sol, ambos por referencia a nues- tra Tierra. La tradición esotérica, como hemos visto, enseña que esos dos astros estaban unidos en el origen y formaban cuerpo y que luego se separaron... Encontramos de nuevo a esta pareja inicial Sol-Luna reunida en el dios Osiris cuyas vinculaciones, tanto lunares como sola- res, han sido repetidas veces subrayadas por los egiptólogos. La resu- rrección de Osiris, petrificado en la muerte, ceñido en sus vendas de momia (alusión al mundo mismo, sometido a la implacable «ley de la naturaleza»), significaba el restablecimiento de la unidad en el retorno a la integridad original.
La muerte, ese misterio en el sentido oculto del término, es vencida mágicamente gracias al verdadero «pasaporte» para el más allá que constituye el Libro de los muertos egipcio. El viaje del alma está des- crito con detalle por analogía con el viaje diurno de la barca de Ra, la barca solar, por la bóveda del cielo. El ejemplo del «dios-fracaso» Osiris seguía presente en todas las memorias: simbolizaba la «caída».
Frente a aquel pueblo amoral, soñador e indolente de los egipcios, el gran Hermes blandía el ejemplo de la disciplina y del equilibrio cósmico: la élite egipcia que él logró formar creía en la existencia de un «alma del mundo» cuyas «luces» visibles eran el Sol, la Luna y los planetas. Esa «religión del Cosmos» abrió al egipcio medio visiones insospechadas. Se lanzó con alegría en aquella «preparación a la muer-
te» que su selección le proponía. La moral se convertía en un lazo vi- viente entre el hombre y el Universo por intercesión de los dioses cósmiscos.
Los dioses cósmicos: Horus-Osiris, Amón-Ra. Horas, por ser el heredero de su padre Osiris, puede ser considerado como el heredero del mundo divino tomado en su conjunto. Aparece como el sucesor de todos los demás dioses. Así, ante el envejecimiento de la Humanidad, los iniciados se veían llamados a hacerse cargo del «gobierno cósmico». Horas, en esta óptica, aparecía como la divinidad humana por exce- lencia. Su leyenda misma es significativa.
Al principio, Horas es considerado como el «vengador de su padre», Osiris, muerto por Seth. Pero por muy aborrecido que sea, Seth no deja de ser necesario al equilibrio cósmico, pues el mal ha de existir para que el bien pueda triunfar. Volvemos a encontrar aquí la idea de un ser divino que se sacrifica deliberadamente por la salvación de la Hu-
manidad {un Christos), Osiris, en este caso. El objeto de semejante sacrificio era conducir al hombre hacia la liberación de sus instintos superiores por la destrucción de su naturaleza inferior. Es lo que nos enseñan, a través de una terminología que a veces se nos antoja em- brollada, las religiones que precedieron al cristianismo y cuyos «salva- dores» con Adonis, Orfeo, Dionisos, Baldur, Mitra...
Completamente diferente del de Horas, pues, aparece el papel de Osiris y cabe preguntarse, ¿por qué el OSIRIANISMO no se fusionó con el cristianismo naciente? Hay que ver en la intransigencia de los pri- meros Padres de la Iglesia y en su deseo de hacer «accesible» el cris- tianismo a las masas, rechazando los elementos esotéricos, una causa
del fracaso de esa fusión. Sólo que la élite egipcia había de tomar una decisión preñada de consecuencias para la Humanidad: las tradi- ciones esotéricas del osirianismo debían ser preservadas a toda costa. Así nacieron, cuando la desaparición de Egipto en tanto que civilización, la GNOSIS y el MANIQUE1SMO, la ALQUIMIA y luego el movimiento TEMPLARIO, que había de hacer nacer la FRANCMASONERÍA.
La élite egipcia había adivinado en el Decálogo de Moisés y el «optimismo beato» del cristianismo la trampa fatal: afirmar que todo se arreglará «automáticamente» y como por la fuerza de las cosas es adormecer al mundo (9).
Esta puntualización era necesaria para comprender la importancia de otro dios cósmico y sobre todo la de la cofradía secreta que lo ro- deaba: la FRATERNIDAD DE HELIÓPOLIS que se había consagrado al dios-Sol Ra, de donde procedió su importancia política y religiosa en el seno del Egipto antiguo.
El dios Ra, a quien encontramos ya en la barca solar, era considerado como el «primero de los faraones». Simbolizaba al Sol pasando por las «cuatro casas del mundo», y representado como el vencedor de la serpiente. Nos encontramos aquí en presencia de todos los mitos ori- ginarios de las diversas religiones que sucedieron a la primera cos- mogonía egipcia. El dios Ra debía, bajo la XII dinastía, encontrar una segunda juventud: su asimilación al dios de Tebas, Amón, que hubo de hacer nacer la dualidad Amón-Ra.
Observaremos, de la misma manera, que el gran sacerdote de Helió- polis(lO) llevaba una piel de leopardo adornada de estrellas, pues era el «jefe supremo de los secretos del cielo» y el «grande de visión». La ciudad de Heliópolis, en el delta del Nilo, era uno de los tres centros de misterios más importantes con el de Hermópolis (la ciudad de Her- rnes), y el de Abidos, de origen atlántida.
La importancia de Heliópolis es atestiguada hasta en el cristianis- mo, puesto que, según el Nuevo Testamento, fue en Heliópolis donde la Sagrada Familia habría descansado cuando la «huida a Egipto».
El clero de aquella ciudad sagrada colocaba un «puente mágico» so- bre el abismo de la muerte según unos procedimientos que hoy están irremediablemente perdidos. Lo poco que sabemos de ello no nos per- mite adelantar hipótesis aventuradas... Es probable, sin embargo, que ciertas cofradías ocultas posean precisiones al respecto. Añadiremos solamente que fueron egiptólogos alemanes los que se ocuparon de las excavaciones de Heliópolis.
Más significativo aún, en cuanto a su esencia solar, es el gran dios Amón-Ra cuya adoración estaba centrada en torno de Tebas en el gi- gantesco conjunto monumental: Luxor-Karnak. Aquí ya no se trata de misterios. La religión únicamente es admitida y, desgraciadamente (como casi siempre es el caso), querrá desbordar sobre unos sectores en los que no tiene nada que hacer: la dirección administrativa, y luego política, del país. Será un hecho consumado bajo la XXI dinastía. ¡Al- gunos siglos más de Historia y Egipto se derrumbará!
CONTINUARA
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La omnipotencia del clero de Amón
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