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Les mondialistes ne sont pas des élus de Dieu. Même s’ils pensent l’être.

 

Qu’est-ce qu’un mondialiste ?

 

 

 

Article d’Emmanuel Spraguer paru sur AltRight.com

Traduction libre de Charles Janson

Les mondialistes ne sont pas des élus de Dieu. Même s’ils pensent l’être.

Le président Donald Trump a récemment appelé Gary Cohn, banquier d’affaires démocrates et membre démissionnaire de son administration, un mondialiste. Depuis, les médias officiels ne cessent de l’accuser d’antisémitisme et prétendent que « mondialiste » signifierait « juif ». Or, c’est faux, ou a minima extrêmement caricatural.

Un mondialiste n’est pas nécessairement un juif. Ceci n’implique pas une absence totale de corrélation entre judéité et mondialisme : faire partie d’une tribu puissante, élitiste et peu enracinée aide probablement à devenir mondialiste, mais il existe beaucoup (trop !) de mondialistes qui ne sont pas juifs.

Les juifs ont été sur-représentés parmi les bolchéviques, au point que la majorité des « bourreaux volontaires de Staline » étaient juifs, mais cela n’implique pas que l’adjectif « bolchévique » ait une connotation antisémite, même si certains l’interpréteront de la sorte s’ils veulent diaboliser qui parle. Par ailleurs, quand bien même le terme « mondialiste » désignerait des éléments souvent liés à des juifs, comme l’intolérance à l’égard du nationalisme ou de très hauts niveaux de richesse, cela n’a rien d’unique aux Juifs, et dire que « mondialisme » est antisémite revient à ignorer tous les non-juifs engagés dans la destruction des identités.

Mais il y a aussi quelque chose de plus intéressant à remarquer : un double standard considérable entre la façon dont on parle des Blancs et celle dont on parle de la communauté que le CRIF, par exemple, prétend représenter. Des expressions ouvertement racistes comme « babtou », « privilège blanc », « blantriarchie » ou autre, qui attaquent clairement les Blancs en tant que Blancs, passent pour antiracistes, alors que des termes subtils et complexes comme « mondialiste » sont taxés de racisme. Autrement dit, attaquer les Blancs en termes explicitement raciaux est considéré comme normal, socialement acceptable, voire bon, alors que désigner peut-être certains Juifs à travers un terme idéologique non-racial serait inacceptable. Curieux…

Le « privilège blanc » est un mythe propagé par ceux qui veulent voir les Blancs disparaître

Sur cette petite mise au point, passons à la question principale : qu’est-ce qu’un mondialiste ? À mon avis, on peut définir le mondialiste-type de la manière suivante. Un mondialiste est une personne profondément hostile à la démocratie, aux traditions régionales, ainsi qu’aux droits, libertés et intérêts propres de peuples souverains. Les mondialistes que nous avons aux États-Unis poussent de hauts cris dans leurs médias parce que la Russie a investi 100,000 dollars dans des publicités Facebook, alors que les israéliens et les saoudiens dépensent des dizaines de millions de dollars pour corrompre les candidats et les membres du Congrès américain, ce qui ne témoigne guère d’un grand respect de la démocratie.

Plus encore, ces gens dépensent personnellement des milliards à chaque élection pour décider des programmes des candidats, censurer des personnes et des idées, etc. Les élections de 2016 et 2017 ont clairement montré que, pour les mondialistes, la « démocratie » signifie voter comme eux veulent qu’on vote. Si vous votez pour d’autres candidats que les leurs, votre vote démocratie fait de vous un « fasciste », un –phobe, etc. C’est comme s’ils ne comprenaient pas le vrai sens de la démocratie…

Pourtant, ces gens ne sont pas stupides. Maléfiques, ils le sont sans doute, mais pas idiots. Ils ont certainement la capacité de comprendre que sans choix réel, il n’y a pas de démocratie. Pourquoi, alors, sont-ils si hostiles au jeu naturel du vote et aux électeurs légitimes ? Parce que, pour eux, la fin justifie les moyens, et que leurs fins ne sont pas les nôtres. Ils feront n’importe quoi pour arriver à ce qu’ils veulent. Ce ne sont pas des gens moralement décents. Ce ne sont pas des gens moraux tout court.

Pour se sentir à l’aise au milieu de toutes leurs manipulations, des coups d’état financés par Soros à la propagande médiatico-bobo grassement subventionnée en Occident en passant par leurs idées du jour absurdes, il faut être profondément dégénéré.

Quand des mondialistes voient des objets vikings originaux, trésors historiques, fondus pour en faire des tuyaux à chiottes, cela ne les touche pas. Quand ils voient des églises détruites ou des statues de héros blancs vandalisées, cela ne les choque pas. Quand la cathédrale de Cologne devient une cave à tournantes, cela ne les indigne pas. Les mondialistes ne se voient pas – ou plus – liés aux peuples sur lesquels ils règnent avec de plus en plus de brutalité.

Les mondialistes ne conçoivent pas leur histoire, leur identité, comme mêlée à celle des masses d’hommes et de femmes qui souffrent au-dessous d’eux. Qui sont-ils ? Un groupe oligarchique, parasitaire, déconnecté des gens du quotidien – des gens comme nous, des vrais gens. Ils ne nous comprennent pas et ne veulent surtout pas nous comprendre. D’avance, ils ont nous ont choisi comme ennemis ou au moins comme masse à exploiter et à détruire. Et s’ils peuvent simuler l’empathie pour tel ou tel, selon les intérêts du jour, ils n’en ont au fond pas du tout.

Quand nous regardons autour de nous, que voyons-nous ? Des Européennes violées. Nos pays envahis. Nos peuples remplacés. Notre histoire dénigrée, réécrite de façon délirante. Nos ancêtres déshonorés. Nos droits abrogés. Nos lieux saints profanés. Et tout cela, nous le ressentons personnellement. C’est bien pour cela qu’il est parfois si difficile de maintenir une conscience identitaire aujourd’hui, sans être tenté par la dépression (ou par la fuite dans les séries et jeux vidéo) !

Non, nous ne pouvons pas faire comme si de rien n’était quand notre race, notre civilisation, sont poussées à l’abattoir au milieu des coups et des insultes. Nous souffrons tous pour les jeunes Allemands emprisonnés pour des mots, les jeunes Suédoises violées en série par des musulmans, les jeunes Français déchiquetés par des « camions fous », pour toutes ces atrocités que les bobos présentent comme totalement normales et tolérables. Ceux qui nous disent de nous habituer à vivre avec le terrorisme (Manuel Valls, Sadiq Khan, et d’autres) sont profondément sociopathes.

Pour les mondialistes, rien n’est vraiment sacré. Pour eux, une nation est un marché à exploiter, les gens et les peuples sont des commodités à acheter, vendre et jeter quand on n’en a plus besoin. Nos tragédies ne sont pas les leurs. Nos pertes ne sont pas les leurs.

Maria Ladenburger, fille d’un haut fonctionnaire UE, violée et tuée par des migrants (en 2016) comme tant d’autres. Tu la sens, la face sombre de ton mondialisme ?

À l’exclusion des masses qui les suivent, les mondialistes forment une classe sociale à part. Comme dirait Christophe Guilluy, ils cultivent un entre-soi inégalé. Ils ont une identité de groupe, des mythes fondateurs, des préjugés partagés – comme n’importe quel autre groupe humain – mais ils sont trop orgueilleux pour le reconnaître. Du coup, ils préfèrent tout sophistiquer, intellectualiser, marketer, plutôt que de consentir à un débat honnête.

Ils croient être supérieurs aux autres parce qu’ils croient dans l’égalité : la contradiction devrait les mettre mal à l’aise, mais ils préfèrent noyer le poisson dans des discours pseudo-intelligents qui occupent tout l’espace médiatique. Comme les gauchistes, ils ont évidemment leurs non-dits, leurs préjugés, leurs dogmes, mais ils les mettent dans l’ombre en n’autorisant aucun débat contradictoire et en ne permettant pas qu’on les « déconstruise » comme eux le font sans pitié avec nous.

Souvent, les politiques des mondialistes sont conçues et formulées comme des abstractions. Diversité, développement durable, croissance économique, compétitivité, mondialisation… renvoient pour nous à des phénomènes réels et pénibles, mais les mondialistes préfèrent les concevoir tous seuls dans leur bulle, eux qui n’ont pas à en supporter les coûts. Le mondialiste ne veut surtout pas se préoccuper, ne serait-ce qu’un instant, du petit Blanc intelligent condamné à se racailliser pour survivre dans sa classe du 93, ou du « mâle blanc » de 50 ans renvoyé via un plan social et incapable de payer les traites de sa maison.

Quand les politiques de commerce international, ou plutôt les intérêts des milliardaires internationaux et des multinationales, ne s’alignent pas avec l’intérêt des citoyens, des industries entières sont détruites et des millions de gens se retrouvent sans emploi. Peu importe pour les mondialistes : leurs investissements ne se mesurent pas en « capital humain », comme disait Samuel Pisar !

 

Samuel Pisar !

De même, les mondialistes qui en veulent au protectionnisme de Trump ou au Brexit ne daignent pas songer qu’une politique économique ne se mesure pas seulement en PIB ou PNB, mais qu’elle affecte des gens de classe sociale différente de manière totalement opposée. Ils n’y pensent pas, car ils ne se font aucun souci pour les gens qu’ils sacrifient.

Un populiste, lui, est une personne dotée d’une profonde empathie pour son peuple et pour les gens ordinaires. Le populiste est humain là où les trafiquants d’êtres humains qui disent soutenir la « diversité » ne le sont pas. Certains mondialistes, comme Kevin Williamson – qui n’est pas juif –, croient réellement que faire mourir les Blancs déshérités à coups d’héroïne et autres opiacés à bas prix est une bonne chose.

Les populistes sont les seuls à contrecarrer les plans diaboliques des mondialistes et à soutenir les gens décents, travailleurs, méritoires – les indigènes de l’Occident. Ce que les mondialistes, quelle que soit leur origine ethnique, ne tolèrent pas du tout.

Dès lors, un mondialiste pourrait aussi être défini comme quelqu’un dont les engagements identitaires ne vont pas vers les gens qu’il domine, et ce même s’il est du même sang. Quand un éboueur, un jardinier, un ouvrier qualifié se retrouve à travailler pour des clopinettes parce qu’il doit s’aligner au tarif brouteur des Mexicains/Africains/Indiens/etc., le mondialiste ne s’en soucie pas. Le mondialiste ne se conçoit pas comme français, américain, blanc ou européen. Dans un certain sens, même quand un mondialiste est un pur blanc de souche, il ne partage plus du tout notre conscience identitaire et a choisi une identité exclusive de la nôtre. Pour eux, être français, américain ou autre chose, ce n’est qu’avoir un morceau de papier, et on peut réécrire notre histoire façon 1984 sans que lui se sente le moins du monde concerné.

Les mondialistes s’identifient à des valeurs soi-disant universelles qui, comme par hasard, assurent leur domination sur le reste du monde. Ils s’identifient au libre-échange, aux organismes mondialistes, à toutes les sources de rente qu’ils construisent pour eux, même si ces sources s’approvisionnent de notre travail et de notre sang. Ils sont, comme disaient Eugene V. Debs ou Koudenhove-Calergi, des « citoyens du monde », c’est-à-dire des citoyens de nulle part. Ils ne sont attachés à aucun lieu et ne perçoivent le sol que par sa valeur marchande. Ce sont des traîtres. Seule innovation, ils nous trahissent en choisissant de n’être loyaux envers personne et non envers un souverain étranger particulier, mais cela ne fait pas vraiment de différence.

Le châtiment traditionnel pour les traîtres

Il existe des juifs « du quotidien » qui font preuve d’une réelle sympathie envers les difficultés et les souffrances des gens ordinaires. Ces Juifs, en particulier lorsqu’ils défendent nos intérêts – par exemple, Paul Gottfried, mentor du leader Alt-Right Richard Spencer –, ne sont pas des mondialistes. On a donc bon nombre de non-juifs qui sont des mondialistes consommés et des Juifs qui ne sont pas mondialistes. Ceci prouve que l’argument médiatique « mondialiste = juif riche et puissant » relève de la caricature tendancieuse, si ce n’est du mensonge complet.

Un fonctionnaire ou un politicien honnête est ce qu’on appelait, auparavant, un serviteur public. Il prend en compte les intérêts des gens ordinaires avec sérieux. Et ce, même si les gens ordinaires sont des Blancs. Des fonctionnaires et des politiciens respectables s’efforcent d’élaborer des politiques publiques conformes aux intérêts des gens ordinaires, moyens, de ceux qui sont la substance même d’un pays et d’une civilisation.

Si les mondialistes servent aussi mal les peuples, ce n’est pas seulement parce que « les Juifs ! ». Les mondialistes sont des traîtres, des psychopathes, des salopards parce qu’ils ont choisi de l’être – parce qu’ils ont fait le choix d’oublier leur mission de service public. Le passage du « servir son peuple » au « servir les minorités » n’est qu’un masque de leur psychopathie.

Les mondialistes ont compris le contrat social à l’envers. Les gouvernements n’existent que pour une seule raison – le bien et les droits de leur peuple. Cela, les nationalistes, les populistes, les identitaires s’en souviennent. Les mondialistes ont choisi de l’oublier. Ils ont choisi de croire que les gouvernements n’existe que pour les servir, eux, les bourgeois-bohème, les rentiers internationaux, tandis que nous, pauvres hères, sommes supposés nous faire déposséder et tuer en silence.

Aussi longtemps que les mondialistes continueront à contrôler les leviers de pouvoir, les gouvernements les serviront, eux, et pas nous. Cela n’a rien d’antisémite : être juif n’oblige en rien à faire le choix du mondialisme. En revanche, celui qui fait ce choix, qui qu’il soit, doit être considéré comme un ennemi implacable – et ce d’autant qu’il l’a bien voulu.



17/03/2018
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