Les ordinateurs de google ont appris à "rêver" et ses visions sont fortement psychédéliques..
Cette semaine, google a dévoilé les images qui ont été générer ses réseaux de neurones artificiels en utilisant un logiciel de reconnaissance de l'image. La nature hautement psychédélique, par moments, inquiétante, par moments, céleste, de ces loops visuels a provoqué la fascination de la web (ce cerveau global composé de machines et de l'homme). L'analogie avec le roman de philip k. Dick, qui a été emmenée au cinéma comme blade runner par ridley scott, les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Ne vous ai-je fait attendre. Ce sont ces rêves électroniques des machines dans les moments avant de se réveiller à l'intelligence ? Au moins une de ces images, contient des moutons électriques arremolinadas dans le ciel comme les fractales bovins.
Les images "qui rêvent" les machines de google, dont la mission récemment semble être développer l'intelligence artificielle et de construire une armée de robots, sont le résultat de son apprentissage en reconnaissance d'image. Dans ce cas, le logiciel a été programmé pour créer vos propres images sur la base des informations déjà stockées à travers des millions d'images étiquetées avec le nom des animaux ou des choses comme "chat", "chaise", "la vache".
Le logiciel de google a déjà appris à reconnaître ces images sans étiquettes et, de fait, certains de ses nouveaux téléphones ont déjà cette fonction. Dans le nouveau expérience a permis que les ordinateurs faire "libre association" (comme si elles avaient été à la psychanalyse jungien) et puis il a ordonné que les partenariats soient renforcées par le biais de boucles de rétroaction (feedback loops).
Les images produites dans les instances de bas niveau de rétroaction ne créent un effet comme si c'était une peinture. Mais quand il s'est toujours ce processus d'itération assez s'ils arrivent à générer des images comme celles qui sont déjà somptueuses rêves psychédéliques, dans lesquels les loops semblent rivaliser l'imagination surréaliste et on pourrait penser que les programmeurs de google ont administré à leurs machines avec Un peu de lsd ou même dmt :
L'un des défis des réseaux neuronaux est de comprendre ce que c'est exactement ce qui se passe dans chaque couche. Nous savons qu'après l'entraînement, chaque couche progressivement chaque extrait des niveaux plus élevés des traits saillants de l'image, jusqu'à ce que dans la couche finale essentiellement prend une décision de quelle image montre. Par exemple, la première image, vous pouvez rechercher des contours ou coins. Couches intermédiaires interprètent les traits essentiels pour trouver des formes générales et composants, comme une feuille ou une porte.
Les dernières couches joignent les précédentes sur une interprétation complète-ces neurones s'activent en réponse à des choses très complexes comme les bâtiments complets ou des arbres.
(images générées par les machines de google)
LAS COMPUTADORAS DE GOOGLE PARECERÍAN HABER TOMADO LSD: USANDO SOFTWARE DE RECONOCIMIENTO VISUAL, HAN APRENDIDO A “SOÑAR“ Y SUS VISIONES SON ALTAMENTE PSICODÉLICAS..
Esta semana Google dio a conocer las imágenes que han estado generando sus Redes Neurales Artificiales utilizando un software de reconocimiento de imagen. La naturaleza altamente psicodélica, por momentos perturbadora, por momentos celestial, de estos loops visuales ha provocado la fascinación de la Web (ese cerebro global conformado por máquinas y humanos). El símil con la novela de Philip K. Dick, que fue llevada al cine como Blade Runner por Ridley Scott, ¿Sueñan los Androides con Ovejas Eléctricas? no se he hizo esperar. ¿Son estos los sueños electrónicos de las máquinas en los momentos antes de despertar a la inteligencia? Al menos una de estas imágenes, contiene ovejas eléctricas arremolinadas en el cielo como fractales bovinos.
Las imágenes “que sueñan” las máquinas de Google, cuya misión recientemente parece ser desarrollar la inteligencia artificial y construir un ejército de robots, son el resultado de su aprendizaje en reconocimiento de imagen. En este caso el software fue programado para generar sus propias imágenes en base a la información ya almacenada a través de millones de imágenes etiquetadas con el nombre de animales o cosas como “gato”, “silla”, “vaca”.
El software de Google ya ha aprendido a reconocer estas imágenes sin etiquetas y de hecho algunos de sus nuevos teléfonos ya tienen esta función. En el nuevo experimento se permitió que las computadoras hicieran “libre asociación” (como si hubieran ido al psicoanálisis jungiano) y luego se ordenó que las asociaciones fueran reforzadas a través de bucles de retroalimentación (feedback loops).
Las imágenes generadas en instancias de bajo nivel de retroalimentación sólo crean un efecto como si fuera una pintura. Pero cuando se sigue este proceso de iteración lo suficiente se llegan a generar imágenes como estas, que son ya suntuosos sueños psicodélicos, en los que los loops parecen rivalizar la imaginación surrealista y uno podría pensar que los programadores de Google han dosificado a sus máquinas con un poco de LSD o incluso DMT:
Uno de los desafíos de las redes neurales es entender qué es exactamente lo que sucede en cada capa. Sabemos que después del entrenamiento, cada capa progresivamente extrae niveles cada más altos de los rasgos destacados de la imagen, hasta que en la capa final esencialmente toma una decisión de qué imagen muestra. Por ejemplo, la primera imagen puede buscar contornos o esquinas. Capas intermedias interpretan los rasgos básicos para encontrar formas generales y componentes, como una hoja o una puerta.
Las últimas capas ensamblan las anteriores en una interpretación completa –estas neuronas se activan en respuesta a cosas muy complejas como edificios completos o árboles.
(imágenes generadas por las máquinas de Google)
