Toulouse : une policière poignardée dans un commissariat. Son agresseur justifie « parce qu’elle représente la France »
De Mike Borowski, Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer
Encore, encore et encore et toujours, mais quand nos élites cosmopolites comprendront que nous abritons parmi nous des dangers, des soldats de l’étranger dont le rêve est de se débarrasser de toute trace de vie Française sur nos terres.
Evidemment nos médias, nos politiques, nos grands financiers et tous ceux qui contrôlent le pays, n’ont que la démission de Macron de ce jour en tête. Seul les intéresse ces arcanes des couloirs là où le grand public n’a pas accès. Dans le fond c’est presque normal, puisqu’ils ne vivent que de ça et par ça. Les attaques répétées contre le sujet Français ou la réalité d’une nation à la dérive, de cela ils s’en fichent, elles ne leur rapportent rien, pas un centime dans des poches déjà bien pleines.
En attendant, une nouvelle policière a été poignardée par ce que la novlangue politiquement correcte appelle un « assaillant » ou un « déséquilibré », forcément fou, ou mentalement dérangé. Elle l’a été à l’intérieur de son commissariat, preuve en est que ces criminels n’ont peurs de rien, ni de personne. Dans tous les cas pas des pouvoirs publics qui n’ont à bien y réfléchir pas plus de pouvoir qu’un délégué de classe de collège. Ils ne représentent aucune force, ni aucune autorité, ou plutôt le législateur aidé de ses amis de la magistrature ont tout mis en place afin d’enlever ce peu d’influence qu’il lui restait.*
Après les nationaux victimes des malfrats, au tour des policiers, et des militaires. Nous sommes devenus un peuple de victimes, ayant obligation de baisser la tête et les yeux devant le sauvage, celui chez qui la civilisation n’est toujours pas passé. Ainsi, notre lâcheté le conforte dans sa force, il se prend pour dominant, il n’est dans le fond qu’un sous-être n’ayant pas place ici-bas.
En un claquement de doigt nous pourrions le faire retourner chez lui dans son arbre perché ou dans sa montagne au confins d’un espace que notre ancien Etat lui a créé, sans ce dernier sur terre faite de sable et caillasse il n’y avait rien, quelques ânes et des oliviers tout au plus. Il est piteux, il est bête, il est chez lui soumis la tête par terre telle une sorte de colibris.
Nous n’avons pas à avoir peur de ces gens, ses ancêtres avaient été balayé par un souverain empli du courage de l’action au contraire de ce que l’on connaît. Mais je ne m’en fais pas nous reviendrons à ce que nous avons fait. La seule question c’est quand. Au vu des événement c’est pour très bientôt.