Par BibiCabaya
Police Nationale étant une société privée, elle n’est pas différente de la société américaine de mercenaires Blackwater qu’on ne présente plus et qui est à l’origine d’innombrables meurtres de civils au Moyen-Orient, et particulièrement en Irak (mais pas seulement), au point qu’elle a jugé nécessaire de changer de nom tant sa criminalité était notoire. Elle est devenue Academi. Mais on ne se refait pas une virginité aussi facilement…
Quand nous voyons des gens d’armes gazer des hommes et des femmes pacifiques qui ne font que marcher dans les rues, ce qui est un droit naturel, quand ces gens d’armes les tabassent, les boxent, les kidnappent1 alors qu’il n’y a aucune raison d’agir de la sorte, alors nous savons que nous avons affaire à des mercenaires. D’ailleurs, Emmanuel Macron nous l’a prouvé en leur accordant une prime de €300 pour qu’ils redoublent d’efforts dans la castagne : les mercenaires ne travaillent que pour l’argent, et pour l’argent, ils sont prêts à tout, comme chez Blackwater ; et “tout” veut vraiment dire TOUT. Donc, faites attention. À son époque, Sarközy parlait de “résultats” s’agissant des forces de police. Le terme résultat pour une entreprise privée signifie PROFIT. Sous le mandat de Sarközy, les gardes à vue sont montées en flèche ! Rappelez-vous : chaque fois que vous SIGNEZ un document pour ces entreprises, y compris les commissariats de police, vous donnez accès à votre FIDUCIE qui est bourrée de fric, et ils se servent ! Les gardes à vue sous Sarközy ont rempli les “caisses vides”…
Ceci étant dit, je subodore que la plupart des gens d’armes ne sont pas conscients d’être des mercenaires ni ne savent que POLICE NATIONALE est une boîte privée (ils s’imaginent être fonctionnaires)… mais le comportement de beaucoup d’entre eux est un comportement de mercenaires ; un comportement de gens qui ont reçu des ordres criminels pour l’exécution desquels ils sont payés. Et ces ordres consistent à VIOLENTER, MUTILER, ASSASSINER, exactement comme nous l’avons vu à la ZAD de Sivens, à la ZAD de Notre-Dame-des-Landes et à Paris contre les Gilets Jaunes.
Présentation de POLICE NATIONALE
Raison sociale : DIR ADMINISTRATION POLICE NATIONALE (DAPN)
Activités : “administration de l’État”2, “service central d’un ministère”3
Code d’activité NAF ou APE : Administration publique générale4.
Adresse : 7 rue Nélaton, 75015 PARIS.
SIREN : 120 015 029
SIRET (siège) : 12001502900321
Cette société est active depuis 36 ans, ayant été créée en 1983, et est spécialisée dans le secteur d’activité de l’administration publique générale. Son effectif est compris entre 2200 et 2299 salariés.
On peut se douter qu’avant cette date, soit POLICE NATIONALE était une institution véritablement publique (et, dans ce cas, il s’agissait de la police nationale, entité non enregistrée), soit c’était déjà une société privée portant un autre nom que Dir Administration Police Nationale.
[CORRECTION – EFFACEMENT]
Si vous désirez connaître le nom du PDG de cette entreprise, et même le nom du propriétaire de cette entreprise (c’est au propriétaire que le PDG qui est son employé rend des comptes), vous pouvez commander les Kbis sur https://www.societe.com/ ou https://www.infogreffe.fr/. Vous pouvez aussi commander les rapports de solvabilité et autres informations croustillantes sur l’entreprise sur le site (anglais) de Dun & Bradstreet (cela a un coût).
Cette société fait partie d’un conglomérat qui comprend, entre autres :
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DIRECTION GÉNÉRALE POLICE NATIONALE (DGPN), 11 Rue des Saussaies, 75008 PARIS.
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ÉCOLE NATIONALE POLICE MUNICIPALE, route de Cederousse, 84100 Orange.
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FÉDÉRATION NATIONALE POLICE MUNICIPALE, chez Mr. Chastan J.-C.5, BP 16, 60 rue Petit Lac, 13480 Cabries.
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INSPECTION GÉNÉRALE POLICE NATIONALE, 18 rue des Pyrénées, 75020 PARIS
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UNION NAT RETRAITÉS POLICE NATIONALE, Section de Toulon, Centre de Vacances UNRP, 5 avenue Hector Berlioz, 83240 CAVALAIRE SUR MER
Ce qu’il faut savoir :
Pour qu’une société privée vous réclame quoi que ce soit, ou exige quoi que ce soit de vous, il faut que vous ayez signé un contrat avec elle, ou que vous ayez donné votre accord/consentement.
Avec les sociétés privées qui entendent nous gouverner (entendez nous soumettre) notre accord est toujours PRÉSUMÉ. Il nous revient donc de RETIRER tout consentement présumé et d’avertir la société que notre consentement doit désormais être DEMANDÉ puis OBTENU par écrit au moyen d’une signature à l’encre fraîche.
Idem pour le système judiciaire qui est un système privé : les tribunaux sont privés et souvent appartiennent au président qui siège dans SON tribunal. C’est ce qu’ils disent, n’est-ce pas ? «Vous êtes dans mon tribunal !» Éh bien, c’est tout à fait ça : le tribunal est à eux ! Croyez-vous avoir quelque chance d’un procès équitable dans un tel tribunal ? La justice est également privée. Toute société commerciale est créée pour engranger des profits ; au tribunal, c’est VOUS qui payez. Vous payez quand on vous condamne à une amende, mais vous payez également (à votre insu) quand vous allez en taule car, dans ce cas, les juges ont accès à votre fiducie, et en tirent de larges sommes pour leur retraite, leur train de vie, leurs investissements (certains font des affaires…), etc.
Comme je l’avais fait dans mon article CORPORATOCRATIE, publié sur ce blog le 03 décembre 2014, je vous recommande à nouveau de vous renseigner sur le droit des contrats, entre autres, et d’apprendre à vous défendre de ces sociétés qui cherchent constamment à bafouer nos droits pour nous soumette à leurs diktats qui n’ont qu’un objectif : nous délester de notre argent durement gagné dans le but de nous contrôler (c’est par l’argent qu’elles nous contrôlent car sans argent nous avons peu de possibilités d’action). Généralement, nous PENSONS, nous CROYONS même, que ces sociétés — que nous prenons pour des autorités légitimes, ce qu’elles ne sont pas — ont une AUTORITÉ sur nous. Elles n’en ont AUCUNE. Tout ce qu’elles ont, et nous le voyons actuellement s’agissant des Gilets Jaunes, c’est la force brute et le chiffon rouge de la peur. Cela n’a rien à voir avec l’autorité. Ne confondons pas autorité et criminalité. Ces entreprises sont criminelles : elles nous volent et elles nous tuent. Nous sommes libres. Là encore, ne confondons pas liberté et invincibilité ! Nous sommes des Enfants de la Vie. C’est le Créateur qui nous a placés sur la Terre qu’il a créée. Il nous a donné des droits qui sont naturels et inaliénables, et nous n’avons pour tout devoir que d’obéir à SA LOI : «Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fît», «Honore ta parole», «Ne fais pas de mal à autrui… ne lui cause pas de perte»… Nous n’avons aucun autre devoir sur cette Terre.
LA LOI DE DIEU
LA LOI DE DIEU tient dans les paumes des nos mains. Rien à voir avec les kilomètres de papier sur lesquels sont imprimés les statuts de ces entreprises maléfiques6 qui n’ont pour but que de nous tromper, nous exploiter et nous soumettre à l’esclavage.
LA LOI NATURELLE
La Loi Naturelle du Créateur est inscrite dans notre CONSCIENCE et dans nos GÈNES. Nous n’avons aucun moyen d’y échapper.
Notes :
1 Il ne s’agit pas d’arrestation mais de kidnapping et de séquestration car ces gens d’armes — qui sont des employés du privé — n’ont pas plus de prérogative ni d’autorité de nous arrêter que les vigiles de Carrefour ou de Franprix, ils ne le font, précisément, que parce qu’ils nous VIOLENTENT et que nous nous rendons sous LA CONTRAINTE. «La séquestration est une infraction commise par celui qui prive illégalement une personne de sa liberté. C’est un crime, sauf si la victime est libérée saine et sauve avant le 7e jour, auquel cas c’est un délit.» [Larousse en ligne]
2 Il s’agit de commerce de services gouvernementaux liés à la sécurité. Police Nationale étant privée, il s’agit d’une boîte de mercenaires, et c’est pour cela qu’ils nous cassent la gueule parce c’est la MISSION DES MERCENAIRES !
3 Tous les ministères sont des sociétés privées. Elles contractent entre elles et ont des sous-traitants ou prestataires de services.
4 Ne soyez pas trompés par l’appellation “administration publique” qui ne signifie nullement qu’il s’agirait d’une institution publique, ce n’en est pas une. Il s’agit d’une société privée faisant commerce de services d’administration publique.
5 Vous connaissez beaucoup d’institutions publiques domiciliées chez un particulier ??? Ce monsieur Jean-C. Chastan est probablement le propriétaire de l’entreprise, le patron Je suis tombée, il y a quelques années sur un tribunal à Bobigny qui était enregistré sous le nom d’un particulier : le juge ! C’est le boss : tu fais ce qu’il dit. Point. Autrement tu vas pointer à Pôle Emploi ! Tu parles d’une justice !
6 Les gouvernements (règlement) et les Parlements (loi) qui créent le DROIT = des statuts d’entreprise. Ceux-ci ne concernent que ceux qui travaillent dans ces entreprises ainsi que les clients de ces entreprises. Ils nous appartient de démontrer que nous ne sommes ni clients ni salariés de ces entreprises diaboliques.