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rapports sexuels autorisés sur des enfants de moins de 9 ans

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Talmud : Les rapports sexuels autorisés sur des enfants de moins de 9 ans

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Quelques extraits du talmud (Édition Soncino) avec ses annotations : Il faut savoir que le talmud est utilisé pour former les rabbins !
   Sanhedrin 54b :
« Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. »

 

Sanhédrin 59b :
« Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »
Yebamoth 60b :
« Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : ‘Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte (et qui était mariée à un prêtre) qui n’avait pas encore trois ans et un jour, et Rabbi a déclaré : ‘Elle peut vivre avec ce prêtre’. »

Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si quelqu’un sodomise un enfant moins âgé, aucune culpabilité n’est encourue.
Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s’en prendre à celles de moins de 3 ans.
Le fait est qu’il ne sera pas puni par Dieu s’il sodomise un garçon de moins de 9 ans ou une fille de moins de 3 ans.
En outre, un enfant de moins de 9 (ou 3) ans qui se serait fait sodomiser n’est pas coupable du crime pédérastique alors que l’enfant qui est plus vieux que 9 (ou 3) ans, qu’il soit sodomisé ou qu’il sodomise, est coupable.

 

 

 Talmud – Ketouboth, 11a-11b « Rabba a dit que ça voulait dire ceci : “Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là (moins de trois ans), c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil (1) ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où “ une fille est pénétrée par un morceau de bois”. (1) Les larmes reviennent toujours dans les yeux, de même, la virginité d’une petite fille qui n’a pas encore trois ans revient toujours. »
 
Talmud – Ketouboth, 11a-11b « Rab Judah a dit que Rab avait dit : “Un petit garçon qui a des rapports avec une femme adulte la rend comme si elle était pénétrée par un morceau de bois.” Bien que les rapports avec un petit garçon ne sont pas considérés comme un acte sexuel, nous restons dans le cas où la femme est pénétrée par un morceau de bois. » Talmud – Abhodah Zarah 36b-37a
 
Talmud – Abhodah Zarah 36b-37a « Rabbi Naham ben Isaac a dit : “Au sujet des enfants païens, ils décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme, et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux. (…) À partir de quel âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.” Rabina a dit : “Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginale.” Talmud – Sanhedrin 54b. Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans.
 
Talmud – Sanhedrin 55b-55a « Qu’a-t-il été dit par là : — Rab a dit : “La pédérastie (1) avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.” Samuel a dit : “La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.” (2) Quelle est la base de leur désaccord ? – Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait être capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’être un sujet actif, ne peut être considéré comme le sujet passif d’un acte de pédérastie. (3) Samuel soutient quant à lui que l’Écriture dit : “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme” (Lévitique 18 :22). Il a donc été enseigné, conformément à l’avis de Rab, que le crime de pédérastie n’est qualifié qu’à partir de neuf ans et un jour ; (55a) mais celui qui commet la bestialité, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’être abusée d’une manière bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de châtiment. (4) » (1) On se place ici du point de vue du sujet passif de la*****. Ainsi qu’il a été établi plus haut en 54a, la culpabilité est encourue par le sujet actif de la*****, même si le sujet passif est un mineur (rappel : moins de treize ans). Cependant, une nouvelle distinction va être faite maintenant pour les sujets passifs ayant moins de treize ans. (2) Rab place le minimum à neuf ans ; mais si la***** est pratiquée sur un enfant plus jeune, aucune culpabilité n’est encourue. Samuel, lui, fait de trois ans le minimum. (3) À neuf ans, un enfant mâle a atteint la maturité sexuelle. (4) Explications depuis “Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour qui commet…” : Nous observons ainsi trois clauses distinctes dans cette Baraitha. La première (“Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour”) concerne le sujet passif de la pédérastie, la peine est alors encourue par le sujet actif adulte. Tel doit être le sens profond ici, car d’une part, le sujet actif n’est jamais explicitement désigné comme étant de sexe masculin, cela doit se comprendre spontanément, exactement comme on le comprend spontanément lorsque la Bible dit “Tu ne coucheras pas avec un homme…” où seul le sexe du sujet actif est stipulé ; et d’autre part, si l’âge de référence avait été celui du sujet actif, la culpabilité étant alors encouru par un sujet passif adulte, pourquoi alors avoir fait un cas précis du crime de pédérastie ? Puisque dans tout crime d’inceste commis par l’enfant, le sujet adulte passif n’encourt aucune culpabilité, à moins bien sûr, que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans et un jour. C’est pourquoi cette Baraita a retenu l’affirmation de Rab selon laquelle le sujet adulte est condamnable, quand le sujet passif a plus de neuf ans et un jour. »
 
Talmud – Sanhedrin 55b « Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie). » Une variante de ce passage est : « Y a-t-il une chose qui soit permise à un Juif et qui soit interdite à un païen. Le rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles est permis à un Juif. » En considérant les deux en même temps, la dernière comme une illustration de la première, on apprend que la peine relative à la violation du commandement : « À sa femme oui, mais pas à la femme de son voisin » ne s’applique que pour les rapports naturels, mais pas pour les rapports qui ne sont pas naturels. »
 
Talmud – Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. » Talmud – Sanhedrin 69a : « “Un homme” : — De ce qui précède, je ne connais la teneur de la loi qu’à l’égard d’un homme adulte, mais qu’est-il dit pour les enfants qui sont âgés de neuf ans et un jour, et qui sont capables d’avoir des rapports sexuels ? Et cela depuis le vers : “Et si un homme…” (a) ? – Il répondit : “Un mineur de cette âge peut produire de la semence, mais ne peut pas engendrer avec elle, car sa semence est comme la graine des céréales qui n’en sont qu’aux deux tiers de leur croissance.(b)” (a) “Et” indique une extension de la loi, et doit être interprété comme une préparation à l’inclusion du cas d’un mineur âgé de neuf ans et un jour. (b) De telles céréales contiennent des graines, mais si on les sème, elles ne pousseront pas. » Talmud – Yebamoth 12b : « Rabbi Bebai a récité tous ces cas particuliers devant Rabbi Naham : “Trois catégories de femmes peuvent (a) utiliser un absorbant (b) dans leurs relations sexuelles avec leur mari (c). Une mineure, une femme enceinte, et une nourrice. La mineure parce qu’elle pourrait (sinon) devenir enceinte, et ainsi pourrait mourir (…)” Et quel doit être l’âge de cette mineure (d) ? Entre onze ans et un jour et douze ans et un jour. Celles qui sont plus jeunes (e), ou celles qui sont plus vieilles (f), doivent avoir des relations sexuelles avec leurs maris de la manière habituelle. »
 
(a) devraient (Rashi. R. Tam), voir Tosaf V. (b) Du duvet, de la laine ou du lin. (c) Pour empêcher la conception. (d) Qui pourrait concevoir, mais qui risque aussi de mourir. (e) Pour qui la conception est impossible. (f) Pour qui la conception est sans danger. »

Source : Scribd.com via E&Rsource : http://atil.ovh.org/noosphere/talmud2.php

En 1893 est paru le livre « Le Talmud démasqué, les enseignements rabbiniques secrets concernant les Chrétiens ». Son auteur était le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg.
( –  Lire  –  Télécharger  – )
 
Plus récemment un autre auteur a mis en cause les lois talmudiques. Il s’agit d’Israël Shahak.
C’était un Juif rescapé de l’Holocauste qui a émigré en Israël en 1945 et servi dans l’armée juive Tsahal. Militant des droits de l’homme, il s’est attaqué à l’influence de l’obscurantisme religieux juif dans la vie politique israëlienne.
En 1965, il est révolté par l’attitude d’un Juif religieux qui refuse de prêter son téléphone afin d’appeler une ambulance pour secourir un goy (non Juif). Ce religieux justifie son refus en invoquant la Halakha qui interdit de sauver un non-juif le jour du Sabbat. Questionnés par Shahak, les membres de la Cour rabbinique de Jérusalem (nommés par l’Etat d’Israël) répondent que ce refus était parfaitement conforme aux lois talmudiques. Selon cette loi, il est interdit à un juif de profaner le jour du Sabbat pour sauver un non-juif. Par contre c’est permis pour sauver un juif. Scandalisé par cette discrimination, Shahak se met alors à étudier les lois talmudiques et expose le résultat de ses recherches dans des livres comme « Le racisme de l’État d’Israël » et « Histoire juive, religion juive, le poids de trois millénaires ». (  –  Télécharger  –  )

 

En 1973, Shahak révèle ainsi que l’armée israélienne a distribué à ses soldats une brochure disant ceci : « Lorsque nos forces rencontrent des civils en temps de guerre ou lors d’une poursuite ou d’un raid, tant qu’il n’y a aucune certitude que ces civils sont dans l’impossibilité de nuire à nos troupes, alors, conformément à la Halakha, ils peuvent et doivent être tués. En aucun cas on ne peut se fier à un Arabe, même s’il donne l’impression d’être civilisé. En temps de guerre, nos troupes donnant l’assaut sont non seulement autorisées mais tenues par la Halakha de tuer même les civils paisibles, c’est-à-dire les civils paisibles en apparence ».
Cette brochure a alors été retirée mais ceux qui l’ont mise en pratique n’ont jamais été punis.

Israël Shahak pense même que le comportement impérialiste des Israéliens envers les Palestiniens est calqué directement sur le contenu de l’Ancien testament où Dieu encourage les Hébreux à exterminer tous les anciens peuples occupant la terre promise.

Si on lit l’Ancien testament, en effet, il n’y a plus de problèmes de traduction : On voit directement ce qu’il en est des enseignements haineux envers les populations non-juives. On voit également l’intolérance barbares dont faisait preuve la loi mosaîque; Hors la loi talmudique n’est autre que le développement de cette loi mosaïque.

Voici quelques exemples :

Exode 21.2-4 :
« Si tu achètes un serviteur (esclave) hébreu, il servira six années, et, la septième, il sortira libre, gratuitement.
S’il est venu seul, il sortira seul ; s’il avait une femme, sa femme sortira avec lui.
Si son maître lui a donné une femme, et qu’elle lui ait enfanté des fils ou des filles, la femme et ses enfants seront à son maître, et lui, il sortira seul ».

Exode 22.2 :
« Si un voleur est pris sur le fait d’effraction…
Lui (le voleur) cependant doit réparer ; et s’il ne le peut, il sera vendu pour son vol. »

Lévitique 20.9-16 :
« Tout homme qui maudira son père et sa mère sera certainement mis à mort ; il a maudit son père et sa mère, son sang est sur lui.
Et un homme qui commet adultère avec la femme d’un autre, — qui commet adultère avec la femme de son prochain… : l’homme et la femme adultères seront certainement mis à mort.
Et l’homme qui couchera avec la femme de son père, découvre la nudité de son père ; ils seront certainement mis à mort, tous deux : leur sang est sur eux.
Et si un homme couche avec sa belle-fille, ils seront certainement mis à mort, tous deux ; ils ont fait une confusion : leur sang est sur eux.
Et si un homme couche avec un mâle, comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable ; ils seront certainement mis à mort : leur sang est sur eux.
Et si un homme prend une femme et sa mère, c’est une infamie ; on les brûlera au feu, lui et elles, et il n’y aura point d’infamie au milieu de vous.
Et si un homme couche avec une bête, il sera certainement mis à mort ; et vous tuerez la bête.
Et si une femme s’approche d’une bête, quelle qu’elle soit, pour se prostituer à elle, tu tueras la femme et la bête ; elles seront certainement mises à mort : leur sang est sur elles ».

Lévitique 21.9 :
« Et si la fille d’un sacrificateur se profane en se prostituant, elle profane son père ; elle sera brûlée au feu ».

Lévitique 24.16 :
« … et celui qui blasphémera le nom de l’Éternel sera certainement mis à mort : toute l’assemblée ne manquera pas de le lapider ; on mettra à mort tant l’étranger que l’Israélite de naissance, lorsqu’il aura blasphémé le Nom ».

Lévitique 26.27-33 :
« Et si avec cela vous ne m’écoutez pas, et que vous marchiez en opposition avec moi,
je marcherai aussi en opposition avec vous, avec fureur, et je vous châtierai, moi aussi, sept fois plus, à cause de vos péchés ;
et vous mangerez la chair de vos fils, et vous mangerez la chair de vos filles ;
je détruirai vos hauts lieux, et j’abattrai vos colonnes consacrées au soleil, et je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles, et mon âme vous aura en horreur.
Et je réduirai vos villes en déserts, et je désolerai vos sanctuaires, et je ne flairerai pas l’odeur agréable de vos parfums,
et je désolerai le pays, et vos ennemis qui y habiteront en seront étonnés ;
et vous, je vous disperserai parmi les nations, et je tirerai l’épée après vous, et votre pays sera mis en désolation, et vos villes seront un désert ».

Nombres 15.32-36 :
« Et comme les fils d’Israël étaient au désert, ils trouvèrent un homme qui ramassait du bois le jour du sabbat.
Et ceux qui le trouvèrent ramassant du bois, l’amenèrent à Moïse et à Aaron, et à toute l’assemblée.
Et on le mit sous garde, car ce qu’on devait lui faire n’avait pas été clairement indiqué.
Et l’Éternel dit à Moïse : L’homme sera mis à mort ; que toute l’assemblée le lapide avec des pierres hors du camp.
Et toute l’assemblée le mena hors du camp, et ils le lapidèrent avec des pierres, et il mourut, comme l’Éternel l’avait commandé à Moïse ».

Nombres 31.9 et 14-18 :
« Les Israélites emmenèrent captives les femmes des Madianites avec leurs petits enfants, ils razzièrent tout leur bétail, tous leurs troupeaux et tous leurs biens.
….

Moïse s’emporta contre les commandants des forces, chefs de milliers et chefs de centaines, qui revenaient de cette expédition guerrière.
Il leur dit :  » Pourquoi avez-vous laissé la vie à toutes les femmes ?
Ce sont elles qui, sur les conseils de Balaam, ont été pour les Israélites une cause d’infidélité à Yahvé dans l’affaire de Péor : d’où le fléau qui a sévi sur la communauté de Yahvé.
Tuez donc tous les enfants mâles. Tuez aussi toutes les femmes qui ont connu un homme en partageant sa couche.
Ne laissez la vie qu’aux petites filles qui n’ont pas partagé la couche d’un homme, et qu’elles soient à vous. »

Josué 10.29-40 :
« Josué, et tout Israël avec lui, passa de Makkéda à Libna, et il attaqua Libna.
L’Eternel la livra aussi, avec son roi, entre les mains d’Israël, et la frappa du tranchant de l’épée, elle et tous ceux qui s’y trouvaient; il n’en laissa échapper aucun
[…]
Josué, et tout Israël avec lui, passa de Libna à Lakis; il campa devant elle, et il l’attaqua.
L’Eternel livra Lakis entre les mains d’Israël, qui la prit le second jour, et la frappa du tranchant de l’épée, elle et tous ceux qui s’y trouvaient, comme il avait traité Libna.

 
 Qu’est-ce que le Talmud ? 
[…] Mon cher Docteur Goldstein, si vous rassembliez tous les écrits de tous les auteurs de tous les temps, qui de près ou de loin mentionnèrent la personne de Jésus-Christ, ou firent allusion aux chrétiens ou à la foi chrétienne, vous ne trouverez jamais de plus exécrables insultes, ni de blasphèmes plus odieux que ceux qui jalonnent les pages de ces 63 livres du Talmud, texte qui est, nous dit-on, « le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », tout comme « le livre qui est utilisé pour la formation des rabbins ». La lecture du Talmud dans le texte, va vous ouvrir les yeux comme jamais ils ne l’ont été auparavant. Le Talmud couvre d’opprobre la personne de Jésus-Christ, les chrétiens et la foi chrétienne, comme ils ne l’avaient jamais été au cours de ces 20 siècles de sacrifice, pendant lesquels les chrétiens transmirent au monde entier un héritage culturel et spirituel sans égal. Les mots que vous allez lire sont foncièrement indécents, obscènes, vils, et orduriers, et je vous en présente mes excuses par avance, mais ce sont des citations mot pour mot de la traduction intégrale officielle du Talmud en langue anglaise. Préparez-vous à une surprise.
En 1935, les grands pontes du rabbinisme international, décidèrent pour la première fois dans toute l’histoire du judaïsme de publier une traduction intégrale officielle et annotée des 63 livres du Talmud dans une langue profane, et ils choisirent bien évidemment la langue anglaise. Quelle force a bien pu les conduire à commettre une telle faute stratégique, cela restera l’un des mystères de l’histoire humaine… Peut-être sous-estimèrent-ils tout simplement le risque, et qu’ils n’entreprirent cette traduction que parce qu’un si grand nombre de « Juifs » de la nouvelle génération (prétendus ou autoproclamés tels) sont absolument incapables de comprendre les différentes langues utilisées dans la rédaction originale du Talmud.
Les grands pontes du rabbinisme international sélectionnèrent donc les meilleurs érudits pour établir cette traduction. Ces savants très réputés rédigèrent également de nombreuses notes de bas de page, destinées à éclaircir la traduction lorsqu’une telle chose leur semblait nécessaire. La traduction intégrale officielle et annotée du Talmud en langue anglaise parut en 1935 chez Soncino Press. Elle a (P. 34) toujours été désignée depuis comme l’Édition Soncino du Talmud. Elle ne fut évidemment tirée qu’à un nombre très restreint d’exemplaires et ne fut pas non plus proposée à la vente pour le grand public. Néanmoins, l’Édition Soncino peut encore se trouver à la Bibliothèque du Congrès, ainsi qu’à la bibliothèque publique de New York. J’ai eu la chance d’avoir accès à un exemplaire de cette édition pendant de nombreuses années ; car aujourd’hui tous les exemplaires sont devenus de précieux objets de collection. Si elle eut son utilité pour les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), l’Édition Soncino du Talmud n’en reste pas moins une arme à double tranchant. Si elle permit à nouveau l’enseignement du Talmud à des millions de jeunes « Juifs » (prétendus ou autoproclamés tel), elle a en contrepartie le regrettable effet d’instruire aussi quelques chrétiens, au sujet de ce que le Talmud avait à dire sur Jésus, ou sur les chrétiens, ou encore sur la foi chrétienne. Et cet effet secondaire est bien parti pour se retourner contre eux, un de ces jours prochains. Un jour, les chrétiens vont avoir le regret de mettre en doute d’une manière assez appuyée que le Talmud soit « la source de laquelle Jésus de Nazareth a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde ». Le tonnerre gronde même déjà de place en place, ne l’entendez-vous pas ?
Maintenant, mon cher Docteur Goldstein, j’ai bien peur de ne plus pouvoir attendre pour faire place ici, à des citations scrupuleusement exactes de l’Édition Soncino. Mes commentaires pour en souligner l’énormités seront superflus, vous le verrez très vite. Je n’éprouve pas trop de scrupules à vous faire parvenir de telles obscénités par la poste, car l’Édition Soncino du Talmud ne figure pas sur la liste des envois interdits, je me suis renseigné auprès du bureau fédéral. Quoi qu’il en soit, je vous présente à nouveau mes excuses pour ces termes, que la nécessité seule me force à mettre sous vos yeux. Je pense que vous allez me comprendre. Si j’en crois ce qui est marqué sur la première page, l’édition intégrale du Talmud fut « traduite en anglais avec notes, glossaire et index » par des érudits es Talmud aussi éminents que le Rabbin Docteur I. Epstein, le rabbin Docteur Samuel Daiches, le rabbin Docteur Israël W. Slotki (M.A.[32]), le Docteur A. Cohen (M.A., Ph.D.), Maurice Simon (M.A.), et le très révérend Docteur J.H. Hertz, qui se fit en outre l’auteur de la préface, et qui à cette époque était également Grand Rabbin d’Angleterre.
Les citations suivantes sont un petit échantillon de toutes celles que j’ai pu relever dans l’Édition Soncino du Talmud, livre duquel Jésus-Christ aurait « puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » :
 
SANHÉDRIN, 55b-55a :
 
« Qu’a-t-il été dit par là : — Rab a dit[33] : “La pédérastie [ 1 ] avec un enfant (Page 34) qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.” Samuel a dit : “La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.” [ 2 ] Quelle est la base de leur désaccord ? – Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait être capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’être un sujet actif, ne peut être considéré comme le sujet passif d’un acte de pédérastie. [ 3 ] Samuel soutient quant à lui que l’Écriture dit : “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme” [ 4 ]. Il a donc été enseigné, conformément à l’avis de Rab, que le crime de pédérastie n’est qualifié qu’à partir de neuf ans et un jour ; (55a) mais celui qui commet la bestialité, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’être abusée d’une manière bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de châtiment. [ 5 ] »
 
Mon cher Docteur Goldstein, avant de vous citer plus amplement ce livre, (Page 36) duquel il est faussement dit que Jésus-Christ « a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde », j’éprouve le besoin de rappeler à votre attention la déclaration officielle que le rabbin Morris N. Kertzer fit dans le numéro du 17 juin 1952 de Look Magazine. Dans cette déclaration faite au nom du Comité Israélite d’Amérique du Nord (« le Vatican du Judaïsme »), le rabbin Morris N. Kertzer informait les 20 millions de lecteurs de Look Magazine que le Talmud est « le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », et qu’il est par la même occasion « le livre utilisé pour la formation des rabbins ». Je vous prie de garder cela à l’esprit pour la suite de votre lecture. […] Ceci pour apporter une preuve supplémentaire que le Talmud n’est pas resté lettre morte pour la formation des rabbins d’aujourd’hui. En voulez-vous une autre confirmation ?
 
La voici : les spécialistes mondiaux du Talmud confirment que l’Édition Soncino est une traduction très fidèle et qu’elle suit presque mot à mot le texte original. Dans l’Histoire du Talmud, écrite en collaboration avec le célèbre Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson déclare encore :
 
« Comme conclusion de ce premier volume, nous voudrions inviter le lecteur à jeter un coup d’œil en arrière sur tout le passé du Talmud, (…) il verra que non seulement le Talmud n’a pas été détruit, mais que pas même une seule lettre n’en est tombée, et qu’aujourd’hui il s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire. (…) Le Talmud est l’une des merveilles du monde. À travers les 20 siècles de son existence il a survécu dans son intégralité, et non seulement ses ennemis n’ont pas réussi à en détruire une seule ligne, mais encore ils n’ont pas même été capable d’en diminuer le rayonnement à une époque quelconque. Le Talmud domine toujours les esprits d’un peuple entier, qui vénère son contenu comme vérité divine (…). Des écoles destinées à l’enseignement du Talmud apparaissent et se multiplient dans presque chaque ville où Israël est présent, et particulièrement dans ce pays où des millions sont collectés pour les caisses de deux universités : le Hebrew Union College de Cincinnati, et le Séminaire de Théologie Juive d’Amérique de New York, et dans lesquelles l’objet d’étude principal n’est autre que le Talmud. (…) Il existe également dans notre ville des maisons d’étude (Jeshibath) pour apprendre le Talmud dans les quartiers de l’East Side, et où de nombreux jeunes étudient quotidiennement le Talmud. »
Cette « vérité divine » que « vénère tout un peuple » et de laquelle « pas une (Page 37) seule lettre n’est tombée », et qui aujourd’hui « s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire », s’illustre parfaitement par cette nouvelle citation mot pour mot :
 
SANHÉDRIN, 55b :
 
« Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie). » (Les parenthèses de ces citations sont dans l’Édition Soncino.)
 
-> [ 3 ] Une variante de ce passage est : « Y a-t-il une chose qui soit permise à un Juif et qui soit interdite à un païen. Le rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles est permis à un Juif. »
->[ 4 ] En considérant les deux en même temps, la dernière comme une illustration de la première, on apprend que la peine relative à la violation du commandement : « À sa femme oui, mais pas à la femme de son voisin » ne s’applique que pour les rapports naturels, mais pas pour les rapports qui ne sont pas naturels. [35] »
 
SANHÉDRIN, 69a :
 
« “Un homme” : — De ce qui précède, je ne connais la teneur de la loi qu’à l’égard d’un homme adulte, mais qu’est-il dit pour les enfants qui sont âgés de neuf ans et un jour, et qui sont capables d’avoir des rapports sexuels ? Et cela depuis le vers : “Et si un homme…” ? [ 2 ] – Il répondit : “Un mineur de cette âge peut produire de la semence, mais ne peut pas engendrer avec elle, car sa semence est comme la graine des céréales qui n’en sont qu’aux deux tiers de leur croissance.” [ 3 ]
-> [ 2 ] “Et” indique une extension de la loi, et doit être interprété comme un préparation à l’inclusion du cas d’un mineur âgé de neufans et un jour.
-> [ 3 ] De telles céréales contiennent des graines, mais si on les sème, elles ne pousseront pas. »
 
SANHÉDRIN, 69b :
 
« Nos rabbins ont enseigné la chose suivante : Si une femme s’exhibe avec obscénité avec son jeune fils (un mineur), et que celui-ci commette la (Page 38) première phase de rapports sexuels avec elle [36], Beth Shammai dit qu’il la rend par là inapte au sacerdoce. [ 1 ] Mais Beth Hillel dit qu’elle est encore apte au sacerdoce. (…) Mais ils s’accordent tous deux pour dire que le rapport sexuel que fait un garçon de neuf ans et un jour, est un vrai rapport sexuel, tandis que celui fait par un garçon de moins de huit ans ne l’est pas [ 2 ], leur désaccord ne porte que sur le cas d’un garçon qui a huit ans.
Talmud_set
    
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15/07/2019
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