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Record de chaleur extrème dans l'hémisphère Sud

Mercredi 8 janvier 2014 3 08 /01 /Jan /2014 13:09

Pendant qu'une vague de froid terrasse l'Amérique du Nord, du pas vu depuis 20 ans, l'Amérique du Sud et l'Australie connaissent des températures exceptionnellement chaudes.

Des températures de 40° sont à noter en Argentine et 50° en Australie. Les températures extrêmes sont de rigueur actuellement... du pas vu depuis des décennies. Pendant le même temps, l'Antarctique bat des records d'extension de la banquise qui a piégé des scientifiques et un brise glace chinois...

 

Buenos Aires est confrontée à la pire canicule depuis 1970. La température varie, depuis deux semaines, entre 30 et 40 degrés dans la capitale argentine. Les climatiseurs tournent donc à plein régime et les pics de consommation génèrent des coupures de courant, un cauchemar dans certains quartiers.

ici photo d'une plage de Rio de Janeiro au Brésil - janvier 2014

Le thermomètre avoisine les 40 degrés en Argentine. La chaleur de l'été austral, le plus cuisant depuis cent ans d'après certains spécialistes, a enveloppé donc particulièrement ce réveillon du nouvel an. Air conditionné et ventilateurs tournent à plein régime. Comme de coutume, les infrastructures énergétiques du pays sud-américain ne supportent pas une telle consommation. "T'as de la lumière ?" est la question sur toutes les lèvres des porteños, les habitants de Buenos Aires. La moitié d'entre eux sont sans électricité. Un feu rouge sur deux fonctionne dans la capitale. Pour protester contre les coupures de courant, les porteños bloquent avec des pneus et des poubelles les principales artères et autoroutes de la capitale argentine tout en frappant sur leurs casseroles.


L’année 2013 a été l’année la plus chaude de l’histoire de l’Australie, alors que le continent vit actuellement une grave sécheresse qui menace tout particulièrement le bétail d’élevage du pays.

Une canicule affecte le centre et le nord de l’Australie, venant s’ajouter aux dommages déjà subis par les éleveurs qui ont vu leurs troupeaux diminuer à vue d’œil alors que l’Australie a vécu l’année la plus chaude de son histoire en 2013.

Les températures ont atteint 40°C dans la majorité des régions agricoles clés de l’Australie la semaine dernière, le thermomètre affichant 48°C dans la ville de Birdsville dans le Queensland.

L’année 2013 a été l’année la plus chaude de l’histoire de l’Australie, alors que le continent vit actuellement une grave sécheresse qui menace tout particulièrement le bétail d’élevage du pays.

Une canicule affecte le centre et le nord de l’Australie, venant s’ajouter aux dommages déjà subis par les éleveurs qui ont vu leurs troupeaux diminuer à vue d’œil alors que l’Australie a vécu l’année la plus chaude de son histoire en 2013.


 

Les températures ont atteint 40°C dans la majorité des régions agricoles clés de l’Australie la semaine dernière, le thermomètre affichant 48°C dans la ville de Birdsville dans le Queensland.

« Les nouveaux records de températures en Australie sont remarquables parce qu’ils n’ont pas eu lieu dans une année El Nino, mais lors d’une année normale » a déclaré David Karoly, un scientifique climatique de l’Ecole de Sciences de la Terre à l’Université de Melbourne.

Le régime météorologique El Nino est un réchauffement des températures à la surface de l’océan dans l’est et le centre du Pacifique qui apporte généralement des conditions chaudes, sèches et souvent de sécheresse en Australie.

Pendant ce temps, en Antarctique, la banquise bat des records d'extension :

De plus, une rocambolesque expédition de climatologues partis étudier le réchauffement climatique a été bloqué par la banquise. Persuadée de n’avoir rien à craindre des eaux glacées de l’Antarctique, une expédition de climatologues a été prise au piège dans 5 mètres de glace. Les passagers de l’Akademik Shokalskiy sont sains et saufs, maintenant vient le temps des interrogations.

Les mers qui bordent l’Antarctique sont parmi les plus hostiles et les plus dangereuses du monde. Loin de tout territoire habité, la zone bordant la Baie du Commonwealth, là où l’expédition s’est retrouvée piégée par les glaces, est connue pour être fréquemment parsemée d’icebergs voire complètement gelée.

Dans ces conditions, il est très étonnant d’apprendre que l’expédition s’est contentée d’affréter un navire comme le Akademik Shokalskiy. En effet, ce bâtiment est classé « UL » en matière de renforcement de la coque, ce qui correspond au renforcement le plus léger possible pour un navire. À titre de comparaison, le Aurora Australis, qui est utilisé à plein temps par les chercheurs australiens basés en Antarctique est un brise-glace, et non un simple navire avec un léger renforcement au niveau de la coque.

Sept ans après le naufrage du Explorer, un navire relativement similaire au Akademik Shokalskiy, en raison d’un iceberg, il est tout bonnement étonnant de constater que les leçons de la catastrophe n’ont toujours pas été tirées. D’ailleurs la liste des épaves de navires inadaptés aux glaces qui jonchent le plancher océanique de la région continue de s’agrandir d’année en année, au fil des expéditions bâclées en direction de l’Antarctique.

Pour compléter les âneries, le Xue-Long (Dragon-des-neiges), un brise-glace chinois a été piégé par les eaux gelées dans l'Antarctique en portant secours à un navire russe, et il est parvenu à s'extirper de la zone de banquise en profitant d'une fenêtre de météo favorable.

sources : http://www.lepoint.fr/ / http://www.actualites-news-environnement.com

http://www.europe1.fr/ / http://www.contrepoints.org

http://www.lemonde.frNP-le-nouveau-paradigme-copie-1



08/01/2014
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