La vérité n’est pas toujours agréable, mais dans chaque cas elle nous rend libres. Dans le cas, présent, la vérité nous libère de la peur.
La fausse épidémie de SIDA dans les années 80 a déclenché une peur mondiale, la peur d’avoir tout contact physique avec des personnes inconnues, mais aussi avec les plus proches. Souvenez-vous de ce qu’on nous disait : « Quand tu fais l’amour, tu ne le fais pas seulement avec cette personne, mais avec toutes celles avec qui cette personne a eu des rapports physiques ».
C’était le vrai but de cette « épidémie » : nous faire vivre dans la peur (en dehors de gagner de l’argent, conséquence secondaire de la peur).
Document officiel des archives de la librairie du Sénat des États-Unis
Le document atteste que le virus du SIDA a été artificiellement créé par le département de la Défense des États-Unis d’Amérique.
Traduction :
Le programme Feasibility a été complété en 1974-1975 et le virus entre 1974 et 1979. L’AIDS-laced smallpox vaccine (vaccin contre la variole lardé de SIDA, ndt) a commencé à être injecté chez plus de 100 millions d’Africains en 1977. À plus de 2 000 homosexuels de race blanche (operation Trojan Horse) il a été injecté avec le vaccin contre l’hépatite A « modifié » en 1978 au Centre de contrôle des maladies infectieuses et au Centre de collecte de sang à New York.
Le développement du virus avait apparemment deux objectifs :
- Arme politique/ethnique à utiliser contre les gens de couleur ;
- Réduction programmatique de la population.
Le 29 juillet 1969, quelques jours après que le département de la Défense a demandé au Congrès 10 millions de dollars de financement pour la recherche « d’un agent pathogène biologique synthétique, une substance qui n’existe pas dans la nature et contre laquelle il n’est pas possible de développer une immunité naturelle », le président de la Force d’intervention républicaine sur Earth Resources and Population (Population et Ressources Terrestres), l’honorable George H.W. Bush, a souligné le besoin urgent d’actions destinées au contrôle de la population pour faire face à la « crise croissante dans le Tiers Monde ».
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