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vimana et les guerres des dieux lorsque les "DIEUX" de l' INDE géraient des groupes de vaisseaux spatiaux en INDE

http://www.enricobaccarini.com/david-davenport-la-carta-del-cielo-del-nord-e-le-rotte-dei-vimana-nel-cosmo/

 

David Davenport, la Carta del Cielo del Nord e le Rotte dei Vimana nel cosmo!

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David Davenport, la carte du ciel du Nord et les itinéraires de la vimana dans le cosmos!

 

La carte du ciel du Nord dessiné par Davenport sur les indications des traités anciens (© Enrico Baccarini)
Par Enrico Baccarini © – ignoré dans les décennies, enterré par des souvenirs et un silence assourdissant, il ya quelques années au cours de notre recherche, nous avons réussi à récupérer l'une des dernières études que Davenport a conduit peu de temps avant de mourir et qui a fusionné dans une carte stellaire qu'il a lui-même appelé "North Sky Card" à laquelle le savant a consacré de nombreux efforts avant de désactiver , constituant un legs à approfondir pour les générations futures.
C'est probablement la première fois que la carte de Davenport est publiée en version complète et en bonne résolution (analysable et étudeable). Nous en avons parlé dans notre vimana et les guerres des dieux dans lesquelles nous avons consacré tout un chapitre au thème, en essayant d'approfondir les véritables origines de cette carte et les principaux aspects qui la concernent.

 

Dans la mesure où il est connu depuis sa première composition, la soi-disant North Sky Card n'a jamais vraiment vu la lumière à moins, dans les magazines du secteur sporadique qui n'ont certainement pas donné la valeur et la notoriété qu'il mérite. Une couverture délibérée de silence qui a indûment dissimulé l'existence pendant près de 30 ans par ceux qui crient à la liberté d'information en réalité cachent des ambitions beaucoup plus personnaliste et Blackout.
Mais c'est une autre histoire
Nous sommes venus en sa possession grâce à deux amis de Davenport, le premier qui a fait un cadeau à lui était l'ami Giulio Perrone (anciennement directeur RAI) a disparu aujourd'hui, mais à laquelle j'ai noué une profonde amitié. Il était, cependant, grâce à l'effort conjoint avec le chercheur et ami Fabio sicilien qui, après des décennies de silence, les véritables mystères derrière cette carte stellaire ont finalement été en mesure de revenir à la lumière.

 

Reconstruction originale avec des annotations créées par David w. Davenport de la rukma vimana selon les descriptions fournies dans le «Shastra.»
Depuis 2009, avec Fabio sicilien, nous avons soumis la carte à une analyse minutieuse et ce n'est qu'aujourd'hui que nous pouvons comprendre ce que Davenport avait commencé à développer, c'est-à-dire un document décrivant les itinéraires anciens que les Indiens, identifiés comme des visiteurs cosmiques, suivi pour atteindre notre planète ou l'existence de systèmes solaires habités par d'autres formes de vie.
L'ensemble va peut-être sembler absurde ou incroyable, mais ECHO dans nos esprits les versets de Padma Puran, texte connu au moins depuis 500 av. j.-c., déclarant que «dans le cosmos il ya 8 400 000 formes de vie, 900 000 dont sont aquatiques, 2 000 000 sont constitués d'arbres et de plantes;» 1 100 000 sont de petits êtres vivants tels que les insectes et les reptiles; 1 000 000 oiseaux volatils; 3 000 000 sont des animaux et, enfin, 400 000 sont des espèces humaines, donc des formes de vie intelligentes semblables à la nôtre!

 

Toujours en référence au papier, et aux sources par lesquelles il a été réalisé, au fil des ans, j'ai pu entendre plusieurs «hypothèses» contrastées.
La réalité derrière tout cela est fournie par le même Davenport, ou mieux de ses journaux que nous avons réussi providentiellement à redécouvrir, et dans lequel David lui-même fournit les éléments clés pour résoudre l'énigme.
Nous avons identifié la première référence dans un cahier écrit en 1980 dans lequel, à la date du 5 janvier, Davenport a écrit "... des notations intéressantes pour la recherche, a découvert les coordonnées des tunnels spatiaux et des énergies cosmiques dans le Surya Siddhanta + astronomie dans la préhistoire humaine + Mahabharata ...".
De cette première notation, nous apprenons comment la source primaire à partir de laquelle Davenport a développé sa carte du ciel Nord a été grâce à Surya Siddhanta, le plus ancien traité astronomique dans le monde écrit en sanskrit et dont le nom signifie littéralement "le traité parfait des dieux solaires".
Le texte possédait aussi une origine «divine». Selon ses propres pages, il a été écrit par un messager du Dieu soleil, Surya, à la fameuse Asura Maya danad vers la fin de la dernière Skywalker Yuga.

 

Table incorporée dans la carte du ciel du Nord et probablement faite par Ettore Vincenti (© Enrico Baccarini)
Le 9 janvier 1980, Davenport a ajouté "... a observé la position astronomique des planètes et des constellations de la Nakshatra, de la" Shastra par Surya Siddhanta: et les routes des vaisseaux spatiaux (le vimana, N.D.A.) et des champs d'énergie dans les secteurs définis "."
Le terme Nakshatra identifie les «maisons» astronomiques indiennes, l'examen de nos subdivisions dans les constellations de voûte céleste.
Davenport avait passé de nombreuses années à étudier les anciens textes sanskrits et avait été en mesure de faire face aux savants Indiens les plus importants de cette période. Il dérive une image assez intéressante et passionnante dans laquelle le plus ancien traité astronomique dans le monde (le Surya Siddhanta) et un texte sur l'ancien Indian Air Science (le «Shastra»), maintenant de l'authenticité éprouvée, ils semblent avoir gardé pendant des siècles et des millénaires des informations qui va bien au-delà de tout ce que nous avons jusqu'ici traité.
À la date du 11 janvier 1980, Davenport notes "a complété un brouillon de la carte stellaire". Le travail fébrile accompli dans les années de la recherche, les voyages et les traductions des manuscrits antiques semblaient être arrivés à un tournant, à un but que le même Davenport, je pense, n'aurait jamais pensé à atteindre.

Nous devons nous arrêter un instant pour comprendre le contexte dans lequel le document créé par Davenport est contextuel. L'Inde, et le moins connu du Pakistan, sont des lieux tout à fait extraordinaires, une réalité dans laquelle ils ont été conservés pendant des millénaires de connaissances anciennes transposées plus tard en sanskrit.
La plupart de ces traités ne sont pas disponibles dans les langues occidentales et beaucoup de ces textes existent sous la forme d'un seul manuscrit aux bibliothèques des temples ou même, comme souligné à maintes reprises, ont été transmis sous forme orale par le maître à disciple à travers le jiji.
Ces textes ne sont pas seulement religieux mais aussi mathématiques, astronomiques ou scientifiques. Le plus connu est le Surya Siddhanta, dont la traduction moderne est basée sur «l'hypothèse», puisque le livre semble décrire un scénario astronomique qui n'est pas toujours et complètement d'accord avec aujourd'hui. De même, son contenu présente un niveau totalement extraordinaire de détails scientifiques et analytiques.

Nous en venons aux analyses réalisées avec Fabio sicilien sur la carte du ciel du Nord. Pour les questions d'espace, nous serons obligés de fournir ici seulement un clin d'œil court, mais nous sommes déjà aux prises avec une analyse beaucoup plus profonde qui va essayer de sonder tous les aspects, mystère et d'erreur afin de fournir le matériel au public que depuis trop longtemps a été éclipsé et qui, au contraire, affirme sa place légitime dans l'histoire en mémoire de ceux qui le réalisent.
La carte fournit une représentation, dans notre époque, du ciel boréal en ascension droite et en déclinaison.
Le papier se compose de cinq cercles concentriques parallèles de latitude céleste (déclinaison – DEC) centrés sur le pôle nord céleste. Le cercle le plus éloigné est l'Équateur céleste, les cercles délimitent quatre couronnes circulaires appelées «annuelles» ou «quadrants» et sont espacées de 20 °. La carte est divisée en 24 zones par autant de méridiens célestes de longitude (ascension droite – AR), y compris le méridien zéro (0 h) de l'équinoxe de printemps.

De gauche à droite: David w. Davenport, Josier, Ettore Vincenti
Le papier ne montre pas toutes les étoiles visibles, mais seulement certains, évidemment les seuls considérés comme «intéressant». Il ya toutes les 65 étoiles, deux sont marqués de la carte et l'un des «itinéraires» a indiqué conduit au système de Sirio a + b, tandis qu'un deuxième système étoile du sud est indiqué le long de l'Équateur céleste dans la partie inférieure droite et est celui de lambda Acquarii (FK5 871).
En bas à droite est la signature de son auteur "David w. Davenport", témoignant du travail Chartreux effectué par le chercheur. Séparé de la même carte, nous trouvons également une table que les amis proches de Davenport ont confirmé avoir été faite par le journaliste Ettore Vincenti.

De l'étude comparative de la carte avec les cartes astronomiques les plus actuelles et les textes les plus reculés de l'Inde antique émergent des données vraiment déroutantes.
D'abord la carte de Davenport montre la position «actuelle» des étoiles et non, comme soutenu jusqu'à récemment, une représentation stellaire de 10 000 b.c. À l'intérieur, en fait, l'étoile polaire est dans sa position aujourd'hui. En 10 000 av. j.-c., le pôle nord céleste se trouvait dans la constellation d'Hercule, et non dans la petite Ourse telle qu'elle se produit maintenant et dans la même carte en question.
 
Référence sur la carte de Davenport à'Viman passage', indiquant presque la présence de'raccourcis stellaires'(© Enrico Baccarini)
Selon Fabio sicilien et le soussigné de la carte de Davenport a l'objectif prioritaire de mettre en évidence certains systèmes stellaires comme «remarquable», comme, selon l'hypothèse de Davenport, habité, et berceau à partir de laquelle est venu les «visites divines» dans l'Inde védique.
Outre la terre, appelée Bhuloka et placée au centre, et une sélection de quelques étoiles et constellations, dans le cercle central (à moins de 20 °) et autour du troisième (50 °) et du cinquième cercle (90 °, Équateur céleste) il ya 10 écrits en sanskrit. Globalement, la carte indique les itinéraires suivis par les vimana et les devas, leurs occupants, pour atteindre Bhuloka, soulignant également les groupes d'étoiles habitées sur leurs sentiers.
Les itinéraires marqués sont les suivants (dans le sens des aiguilles d'une montre):
– Arturo-Polar;
– Altair-Polar;
– Altair-Andromeda;
– Polar-Andromeda;
– Andromeda
-Alcyone (Pléiades);
– Polar
-Alcyone (Pléiades);
– Alcyone (Pléiades)
-Aldebaran (Hyades);
– Aldebaran (Hyades)
-Bételgeuse (passant par la ceinture d'Orion);
– Bételgeuse-Capella;
– Capella-Polar;
– Polar-Bételgeuse;
– Polar-Sirioa + b (Fuorimappa).
Notez que, comme à côté de la polaire, Dhruva en sanskrit, est également indiqué Bhuloka, le sens général de la carte nous dit comment la destination de la plupart des itinéraires indiqués était la terre. Dans l'ensemble, 7 des 12 itinéraires pointent vers notre planète.
Dans le cadre juste esquissé une constellation en particulier, et ses étoiles voisines, sont d'un intérêt particulier, Orion. Sur la carte de Davenport, et selon ses théories, ce secteur stellaire semble être densément «peuplé» et traversé par les nombreuses routes stellaires.
En collaboration avec l'étoile alpha Orionis, nous trouvons une dénomination intéressante que Davenport a repris de Surya Siddhanta. L'étoile, plus connu sous le nom de Bételgeuse, a été appelé en sanskrit ARDRA, littéralement «humide» ou «vert»! Peut-être pour indiquer que dans une planète à côté de cette étoile il y avait des conditions pour pouvoir accueillir la vie?
Davenport s'intéressait profondément à cette région de la constellation d'Orion, en particulier à un astérisque (ou groupe d'étoiles) appelé en sanskrit Mriga El. À ne pas oublier comment la constellation d'Orion avait été profondément importante pour de nombreux peuples de l'antiquité. Dans son étymologie, on trouve le mot pluriel "Nephilim", dans la Bible considéré comme les anges déchus ou descendu sur la terre. En araméen, le singulier "Nephila" indiquait précisément la constellation d'Orion ainsi que pour les chaldéen "Niphla" toujours indiqué Orion. Est-il possible de croire que les dieux, ou certains d'entre eux, décrits dans les anciens textes sanskrits provenaient de ce secteur galactique? Pourquoi pas!!!


Détail du papier. Sur la droite vous pouvez voir l'inscription'ARDRA'tandis qu'au centre le groupe d'étoiles identifié comme Mriga iras. Les lignes pointillées correspondent aux itinéraires de vimana dans l'espace. (© Enrico Baccarini)
L'étoile tire son nom moderne de la distorsion du mot arabe IB au Jauzah, mais dans sa plus ancienne forme préaraméenne, elle était composée des mots Beth, House et El, les dieux, littéralement la maison des dieux.
Les noms sanskrit et pré-araméen, pour Davenport, ont consacré la valeur profonde de cette étoile.
Dans le Panthéon des divinités hindoue ARDRA/Bételgeuse est également présidée par le Dieu, le nom ancien de Shiva, dont l'image a été représentée, dans la position de yoga, sur certains sceaux trouvés à Mohenjo je donne et datée à 3000 b.c., il ya 5000 ans. Comme nous l'avons observé dans notre texte, la tradition veut que le Shiva AdiYogi soit «descendu» sur le Mont Kanan il y a plus de 40 000 ans et d'ici, après avoir médité pendant longtemps, il avait donné ses enseignements à la modernité, les sept sages.
Évidemment, ce n'est que le début et notre recherche de réponses à cela et d'autres mystères liés à l'Inde ancienne et à l'œuvre menée par David w. Davenport va continuer!
Enrico Baccarini ©

 

La Carta del Cielo del Nord disegnata da Davenport sulle indicazioni di antichi trattati (©Enrico Baccarini)

di Enrico Baccarini© – Ignorata nei decenni, sepolta dai ricordi e da un silenzio assordante, alcuni anni fa durante le nostre ricerche siamo riusciti a recuperare uno degli ultimi studi che Davenport condusse poco prima di morire e che confluì in una mappa stellare che lui stesso chiamò ‘Carta del Cielo del Nord’ a cui lo studioso dedicò molti sforzi prima di spegnersi, costituendo una eredità da approfondire per le generazioni future.

Questa è probabilmente la prima volta che la Mappa di Davenport viene pubblicata in versione integrale e in buona risoluzione (analizzabile e studiabile). Ne abbiamo parlato profusamente nel nostro I Vimana e le Guerre degli Dei in cui abbiamo dedicato un intero capitolo al tema, cercando di approfondire le vere origini di questa mappa e gli aspetti principali che la riguardano.

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Per quanto nota fin dalla sua prima composizione, la così detta Carta del Cielo del Nord non ha mai visto veramente la luce se non limitatamente, in sporadiche riviste di settore che non le hanno certamente dato il giusto valore e rilievo che avrebbe meritato. Una voluta coltre di silenzio che ne ha celato indebitamente l’esistenza per quasi 30 anni da parte di coloro che gridando alla libertà di informazione in realtà celano velleità ben più personalistiche e oscurantiste.

Ma questa è un’altra storia :-)

Siamo venuti in suo possesso grazie a due amici di Davenport, il primo che ce ne fece dono fu l’amico Giulio Perrone (già dirigente RAI) oggi scomparso ma a cui mi legò una profonda amicizia. E’ stato però grazie allo sforzo congiunto con il ricercatore e amico Fabio Siciliano che, dopo decenni di silenzio, i veri misteri dietro questa carta stellare sono finalmente potuti tornare alla luce.

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Ricostruzione originale con annotazioni realizzata da David W. Davenport del Rukma Vimana secondo le descrizioni fornite nel Vymanika Shastra.

Dal 2009, con Fabio Siciliano, abbiamo sottoposto la mappa a minuziose analisi e solo oggi possiamo comprendere ciò che Davenport aveva iniziato a sviluppare, ovverosia una carta che descriveva le antiche rotte che gli dei indiani, identificati come visitatori cosmici, seguivano per giungere sul nostro pianeta ovvero l’esistenza di sistemi solari abitati da altre forme di vita.

Il tutto ci potrà forse suonare assurdo o incredibile ma riecheggiano nella nostra mente i versi del Padma Purana, testo noto almeno dal 500 a.C., in cui si afferma che “nel cosmo esistono 8.400.000 forme di vita, 900.000 delle quali sono acquatiche, 2.000.000 sono costituite da alberi e piante; 1.100.000 sono piccoli esseri viventi come insetti e rettili; 1.000.000 di volatili; 3.000.000 sono animali ed infine 400.000 sono specie umane“, quindi forme di vita intelligenti simili alla nostra!

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Sempre in riferimento alla Carta, e alle fonti attraverso cui fu realizzata, negli anni ho potuto ascoltare svariate e contrastanti ‘ipotesi’.

La realtà dietro tutto ciò ci viene fornita però dallo stesso Davenport, o meglio dai suoi diari che siamo riusciti provvidenzialmente a ritrovare, ed in cui lo stesso David fornisce gli elementi chiave per la risoluzione dell’enigma.

Abbiamo identificato il primo riferimento in un quaderno scritto nel 1980 in cui, alla data del 5 gennaio, Davenport scrisse “…interessanti notazioni per la ricerca, scoperte le coordinate dei tunnel spaziali e delle energie cosmiche nel Surya Siddhanta + astronomia nella preistoria umana + Mahabharata…”.

Da questa prima notazione si apprende come la fonte primaria da cui Davenport sviluppò la sua Mappa del Cielo del Nord fu grazie al Surya Siddhanta, il più antico trattato astronomico al mondo scritto in lingua sanscrita ed il cui nome letteralmente significa “il perfetto trattato degli Dei solari“.

Il testo possedeva, inoltre, un’origine ‘divina’. Secondo quanto scritto nelle sue stesse pagine venne infatti enunciato da un messaggero del dio del Sole, Surya, al famoso asura Maya Danava verso la fine dell’ultimo Satya Yuga.

Tabella incorporata alla Carta del Cielo del Nord e realizzata verosimilmente da Ettore Vincenti (©Enrico Baccarini)

Tabella incorporata alla Carta del Cielo del Nord e realizzata verosimilmente da Ettore Vincenti (©Enrico Baccarini)

 

Il 9 gennaio 1980 Davenport aggiunge “… osservata la posizione astronomica dei pianeti e delle costellazioni delle Nakshatra vediche, dal Vymanika Shastra dal Surya Siddhanta: e le rotte delle navi spaziali (i Vimana, n.d.a.) e dei campi di energia nei settori definiti”.

Il termine Nakshatra identifica le ‘case’ astronomiche indiane, il corrispettivo della nostra suddivisone in Costellazioni della volta celeste.

Davenport aveva speso molti anni a studiare gli antichi testi sanscriti e aveva potuto confrontarsi con i più importanti studiosi indiani di quel periodo. Ne deriva un quadro alquanto interessante ed emozionante in cui il più antico trattato astronomico al mondo (il Surya Siddhanta) e un testo sull’antica scienza aereonautica indiana (il Vymanika Shastra), oramai di comprovata genuinità, sembrano aver custodito per secoli e millenni informazioni che vanno ben oltre tutto quanto abbiamo fino ad ora trattato.

Alla data dell’11 gennaio 1980 Davenport annota “completata una bozza della mappa stellare”. Il lavoro febbrile compiuto in anni di ricerche, viaggi e traduzioni da antichissimi manoscritti sembrava essere giunto ad un punto di svolta, ad un traguardo che lo stesso Davenport, ritengo, non avrebbe mai pensato di raggiungere.

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Dobbiamo fermarci un momento per comprendere il contesto all’interno del quale si contestualizza la Carta realizzata da Davenport. L’India, e il meno conosciuto Pakistan, sono luoghi del tutto straordinari, realtà in cui sono state conservate per millenni conoscenze antichissime successivamente trasposte in lingua sanscrita.

La maggior parte di questi trattati non è disponibile nelle lingue occidentali e molti di questi testi esistono in forma di singolo manoscritto presso le biblioteche dei templi o addirittura, come evidenziato più volte, furono tramandati in forma orale da Maestro a discepolo attraverso la Sruti.

Si tratta di testi di carattere non solo religioso ma anche matematico, astronomico o scientifico. Il più noto è appunto il Surya Siddhanta, la cui traduzione moderna è basata su ‘ipotesi’, giacché il libro appare descrivere uno scenario astronomico che non si accorda sempre e completamente con quello odierno. Parimenti, i suoi contenuti ci presentano un livello di dettaglio scientifico e analitico totalmente straordinario.

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Veniamo alle analisi compiute assieme a Fabio Siciliano sulla Carta del Cielo del Nord. Per questioni di spazio saremo costretti a fornirne in questa sede solo un breve cenno ma siamo già alle prese con un’analisi molto più approfondita che cercherà di sondare ogni aspetto, mistero ed errore al fine di fornire al pubblico materiale che per troppo tempo è stato eclissato e che, invece, reclama il suo doveroso posto nella storia in memoria di chi lo realizzò.

La mappa fornisce una rappresentazione, nella nostra epoca, del cielo boreale in Ascensione Retta e Declinazione.
La Carta è costituita da cinque cerchi concentrici paralleli di latitudine celeste (Declinazione – Dec) centrati sul Polo Nord Celeste. Il cerchio più esterno è l’Equatore Celeste, i cerchi delimitano quattro corone circolari detti “annuli” o “quadranti” e sono distanziati di 20°. La mappa è divisa in 24 settori da altrettanti meridiani di longitudine celeste (Ascensione Retta – AR) fra i quali il meridiano zero (0h) dell’equinozio di primavera.

Da sinistra: David W. Davenport, Josier, Ettore Vincenti

Da sinistra: David W. Davenport, Josier, Ettore Vincenti

La Carta non riporta tutte le stelle visibili ma solo alcune, evidentemente le sole ritenute “interessanti“. Vi sono indicate in tutto 65 stelle, due sono segnate invece fuori dalla mappa e una delle ‘rotte’ indicate conduce al sistema di Sirio A+B, mentre un secondo sistema stellare australe è indicato lungo l’Equatore Celeste in basso a destra ed è quello di Lambda Acquarii (FK5 871).

In basso a destra è riportata la firma del suo autore “David W. Davenport”, a testimonianza del certosino lavoro condotto dal ricercatore. Disgiunta dalla stessa mappa troviamo anche una tabella che amici vicini a Davenport ci hanno confermato essere stata realizzata dal giornalista Ettore Vincenti.

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Dallo studio comparato della Mappa con le carte astronomiche più attuali e i testi più remoti dell’antica India emergono dati veramente sconcertanti.

Anzitutto la Mappa di Davenport mostra la posizione ‘attuale’ delle stelle e non, come sostenuto fino a poco tempo fa, una rappresentazione stellare del 10.000 a.C. Al suo interno, infatti, la Stella Polare si trova nella sua posizione odierna. Nel 10.000 a.C. il Polo Nord Celeste si trovava nella costellazione di Ercole, e non nell’Orsa Minore come avviene adesso e nella stessa Mappa in questione.

Riferimento nella Carta di Davenport a ‘Viman Passage’, quasi ad indicare la presenza di ‘scorciatoie stellari’ (©Enrico Baccarini)

Riferimento nella Carta di Davenport a ‘Viman Passage’, quasi ad indicare la presenza di ‘scorciatoie stellari’ (©Enrico Baccarini)

Secondo Fabio Siciliano ed il sottoscritto la Mappa di Davenport ha lo scopo prioritario di evidenziare alcuni sistemi stellari definibili come “notevoli” in quanto, secondo l’ipotesi di Davenport, abitati, e culla da cui provennero le ‘visite divine’ nell’India Vedica.

Oltre alla Terra, detta Bhuloka e posta nel centro, e ad una selezione di alcune stelle e costellazioni, nel cerchio centrale (entro 20°) ed intorno al terzo (50°) e quinto cerchio (90°, Equatore Celeste) sono presenti 10 scritte in Sanscrito. Nel complesso la mappa indica le rotte seguite dai Vimana e dai Deva, i loro occupanti, per raggiungere Bhuloka, evidenziando anche i gruppi di stelle abitate poste sui loro percorsi.

Le rotte tracciate sono le seguenti (in senso orario):

– Arturo-Polare;

– Altair-Polare;

– Altair-Andromeda;

– Polare-Andromeda;
– Andromeda

-Alcyone(Pleiadi);
– Polare

-Alcyone(Pleiadi);
– Alcyone (Pleiadi)

-Aldebaran(Iadi);
– Aldebaran(Iadi)

-Betelgeuse (passando per la Cintura di Orione);

– Betelgeuse-Capella;
– Capella-Polare;
– Polare-Betelgeuse;
– Polare-SirioA+B (fuorimappa).

Da notare che, giacché accanto alla Polare, Dhruva in Sanscrito, è parimenti indicata Bhuloka, il senso generale della mappa ci indica come la destinazione di molte delle rotte indicate fosse proprio la Terra. Nel complesso 7 percorsi su 12 puntano al nostro pianeta.

Nel quadro appena delineato una costellazione in particolare, e le sue stelle limitrofe, risultano di particolare interesse, Orione. Nella mappa di Davenport, e secondo le sue teorie, questo settore stellare sembra essere densamente ‘popolato’ e attraversato dalle numerose rotte stellari.

In concomitanza con la stella Alpha Orionis troviamo una denominazione interessante che Davenport riprese dal Surya Siddhanta. La stella, più nota come Betelgeuse, era chiamata in sanscrito Ardra, letteralmente ‘umida’ o ‘verde’! Forse ad indicare che in un pianeta prossimo a questa stella esistevano le condizioni per poter ospitare la vita?

Davenport fu profondamente interessato a questa zona della costellazione di Orione, in particolare modo ad un asterisco (o gruppo di stelle) denominato in sanscrito Mriga Shiras. Da non dimenticare come la stessa costellazione di Orione fosse stata profondamente importante per moltissimi popoli dell’antichità. Nel suo significato etimologico la parola ritroviamo la  parola plurale “nephilim”, nella Bibbia considerati gli angeli caduti o discesi sulla Terra. In aramaico il singolare “nephila” indicava proprio la costellazione di Orione così come per i caldei “niphla” indicava sempre Orione. E’ possibile ritenere che gli dei, o alcuni di essi, descritti negli antichi testi sanscriti provenissero proprio da questo settore galattico? Perché no!!!

 

Dettaglio della Carta. A destra si osserva la scritta ‘Ardra’ mentre al centro il gruppo di stelle identificato come Mriga S’iras. Le linee tratteggiate corrispondono alle rotte dei Vimana nello spazio. (©Enrico Baccarini)

Dettaglio della Carta. A destra si osserva la scritta ‘Ardra’ mentre al centro il gruppo di stelle identificato come Mriga S’iras. Le linee tratteggiate corrispondono alle rotte dei Vimana nello spazio. (©Enrico Baccarini)

La stella trae il suo nome moderno dalla distorsione della parola araba Ib al Jauzah, ma nella sua più antica forma pre-aramaica era composta dalle parole Beth, casa, ed El, Dei, letteralmente la Casa degli Dei.
Sia il nome sanscrito che quello pre-aramaico, per Davenport, sancirono il profondo valore di questa stella.

Nel pantheon delle divinità induiste Ardra/Betelgeuse è presieduta inoltre dal dio Rudra, antico nome di Shiva, la cui immagine fu rappresentata, in posizione Yoga, su alcuni sigilli rinvenuti a Mohenjo Daro e datati al 3000 a.C., cinquemila anni fa. Come abbiamo osservato nel nostro testo, la tradizione vuole che l’AdiYogi Shiva fosse ‘sceso’ sul monte Kailash oltre 40.000 anni fa e da qui, dopo aver meditato per un tempo lunghissimo, avesse impartito i propri insegnamenti ai SaptaRishi, i Sette Saggi.

Ovviamente questo è solo l’inizio e la nostra ricerca di risposte a questo e ad altri misteri legati all’India antica e al lavoro condotto da David W. Davenport proseguiranno!

Enrico Baccarini©

 

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28/06/2017
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