3° Guerre MONDIALE: Terreur ordinateur portable de l'État islamique d'Doom
Urgent : Fusillades en plein Paris et explosion près du Stade de France
Attaques terroristes : la guerre en plein Paris
Le Conseil du culte musulman condamne "avec la plus grande vigueur"
Le Républicain lorrain (Michel Klekowicki)
"Le 7 janvier quand 'ils' ont tué Charlie, rien, croyait-on, ne pourrait dépasser l'horreur de cet acte. Pourtant hier soir, 13 novembre, à Paris, le terrorisme a tué à nouveau. A grande échelle. Aveuglément. Sans pitié. (...) Aujourd'hui, pour nous tous, commence le jour d'après. Un jour où il sera impératif de démontrer que ni le terrorisme ni la haine n'ont droit de cité en France. C'est ce défi que chacun d'entre nous devra relever. Avec pour seules armes le courage, la dignité et la solidarité."
L'Est républicain (Philippe Marcacci)
Une mobilisation des effectifs sans précédent. La totalité des effectifs du 36 quai des Orfèvres a été rappelée afin de procéder aux constations et témoignages, soit 2200 personnes. À cela s'ajoutent 800 policiers de voie publique de la préfecture de police et 46 équipages, soit environ 150 personnes venant des effectifs de la grande couronne venus en renfort pour assurer la sécurisation, la protection et les patrouilles de voie publique dans la capitale. Trois escadrons de gendarmerie mobile ont été projetés soit en tout 200 personnes, ainsi que trois compagnies de CRS, en tout 300 personnes sont également présentes afin de tenir les axes autoroutiers entrants et sortants de l'A6 et l'A4.
Enfin 1500 militaires ont été déployés sur l'Ile-de-France. Cela porte 7000 hommes le plan Sentinelle. 61 point de passages transfrontaliers dont 15 des principaux aéroports français font désormais d'un contrôle systématique. Afin d'assurer l'aspect sanitaire et médicale, le plan blanc a été déclenché. 36 établissements hospitaliers sont concernés afin d'accueillir les blessés. Dans la nuit de vendredi à samedi, 83 blessés d'urgence absolue et 132 blessés d'urgence relative ont été recensés. 450 hommes de la Brigade des sapeurs pompiers de Paris sont en action épaulés par 4 colonnes - soit 280 personnes - issues de brigades hors de Paris.
EN DIRECT - Au moins quatre fusillades dans le 10e arrondissement et des détonations à proximité du Stade de France ont fait une centaine de morts. François Hollande a décrété l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire et annoncé le rétablissement des contrôles aux frontières.
Le Républicain lorrain (Michel Klekowicki)
"Le 7 janvier quand 'ils' ont tué Charlie, rien, croyait-on, ne pourrait dépasser l'horreur de cet acte. Pourtant hier soir, 13 novembre, à Paris, le terrorisme a tué à nouveau. A grande échelle. Aveuglément. Sans pitié. (...) Aujourd'hui, pour nous tous, commence le jour d'après. Un jour où il sera impératif de démontrer que ni le terrorisme ni la haine n'ont droit de cité en France. C'est ce défi que chacun d'entre nous devra relever. Avec pour seules armes le courage, la dignité et la solidarité."
L'Est républicain (Philippe Marcacci)
Une mobilisation des effectifs sans précédent. La totalité des effectifs du 36 quai des Orfèvres a été rappelée afin de procéder aux constations et témoignages, soit 2200 personnes. À cela s'ajoutent 800 policiers de voie publique de la préfecture de police et 46 équipages, soit environ 150 personnes venant des effectifs de la grande couronne venus en renfort pour assurer la sécurisation, la protection et les patrouilles de voie publique dans la capitale. Trois escadrons de gendarmerie mobile ont été projetés soit en tout 200 personnes, ainsi que trois compagnies de CRS, en tout 300 personnes sont également présentes afin de tenir les axes autoroutiers entrants et sortants de l'A6 et l'A4.
Enfin 1500 militaires ont été déployés sur l'Ile-de-France. Cela porte 7000 hommes le plan Sentinelle. 61 point de passages transfrontaliers dont 15 des principaux aéroports français font désormais d'un contrôle systématique. Afin d'assurer l'aspect sanitaire et médicale, le plan blanc a été déclenché. 36 établissements hospitaliers sont concernés afin d'accueillir les blessés. Dans la nuit de vendredi à samedi, 83 blessés d'urgence absolue et 132 blessés d'urgence relative ont été recensés. 450 hommes de la Brigade des sapeurs pompiers de Paris sont en action épaulés par 4 colonnes - soit 280 personnes - issues de brigades hors de Paris.
À 3 heures du matin, il nous signalait que les forces de l'ordre levaient progressivement le camp.
United Airlines a déclaré que ses trois vols encore prévus vers Paris, au départ de Chicago,
Newark et Washington D.C., décolleraient.
Lire notre article sur ce sujet.
(Avec AFP)
Un jeune homme sorti de chez lui, à deux pas de la rue de Charonne, raconte : "Je sortais faire une course, tard ce vendredi soir, et là, j'ai vu l'horreur, des corps sans vie sur le bitume, et des gens qui jetaient des draps depuis leurs fenêtres pour qu'on puisse recouvrir ces corps... C'est la guerre en bas de chez moi. J'ai pu rentrer chez moi, et me suis barricadé."
(avec AFP)
«C'était le chaos. J'étais sur la droite dans la salle du Bataclan, une chanson de Eagles of death metal était en train de se finir, quand j'entends des bruits d'explosion comme des pétards, je vois le chanteur enlever sa guitare, je me retourne, je vois un type armé d'une arme automatique qui tire en l'air. Tout le monde se couche au sol. À partir de là, c'est l'instinct qui reprend le dessus, à chaque rafale, on essaye de ramper le plus loin possible des tireurs (impossible de vous dire le nombre tout s'est passé trop vite).»
Lire l'intégralité de ce témoignage dans notre article.
Selon notre journaliste présente sur place, une dizaine de personnes ont été exfiltrées de la salle de concert.
A l'intérieur de l'enceinte, les spectateurs n'ont rien vu. Un journaliste du Figaro qui assistait au match raconte avoir entendu deux déflagrations. "C'était assez fort. On avait l'impression de bombes agricoles. Sur le moment, personne n'a pensé que c'était une fusillade. Après un moment de flottement, le stade a été bloqué. Il n'y a pas eu de mouvement de panique. Vers 23h30 le stade s'est vidé."
Selon notre journaliste sur place, une quinzaine de camions de la croix rouge viennent d'arriver. L'opération est toujours en cours.
«Nous sommes passés en scooter vers 21h30, soit quelques secondes après les faits. Il n'y avait pas encore la police. On a croisé des gamins qui couraient dans le sens inverse sur le quai de Jemmapes. Et des voitures qui partaient à reculons. Des gens criaient : "N'allez pas par là-bas, il y a des coups de feu et des rafales".
J'ai vu quatre ou cinq corps qui jonchaient le sol, dans une mare de sang. Ces corps qui ne bougeaient plus étaient par terre sur la terrasse du bar-brasserie, Le Phare du canal, qui se situe à l'intersection entre la rue du Faubourg du Temple et la rue de la Fontaine au Roi. Tout le monde était hébété, ou bien retranché dans les restaurants.»Sur un ton particulièrement grave, très touché, très ému, le président de la République a parlé d'attaques terroristes. "Des attaques sans précédent sont en cours dans l'agglomération parisienne", a indiqué le président. Il a parlé de "plusieurs dizaines de tués", "beaucoup de blessés", ajoutant "c'est une horreur", à propos des attentats à Paris et dans le secteur du Stade de France.
"Ce que les terroristes veulent, c'est nous faire peur, nous saisir d'effroi. Il y a de quoi avoir peur, il y a l'effroi. mais il y a face à l'effroi une Nation qui sait se défendre, qui sait mobiliser ses forces, et qui une fois encore saura vaincre les terroristes", a déclaré le chef de l'Etat lors d'une courte allocution depuis l'Elysée.
Il a pris deux décisions importantes : "l'état d'urgence a été décrétée sur tout le territoire" et il a décidé de la fermeture des frontières françaises.
Le président a également indiqué que "les forces de sécurité font assaut notamment dans un lieu à Paris".
Depuis la Maison-Blanche, le président américain Barack Obama vient de réagir. «Il ne s'agit pas seulement d'une attaque de Paris ou la France, mais de toutes les valeurs de l'humanité». «Nous serons aux côtés de la France pour combattre le terrorisme et l'extrémisme», a-t-il ajouté. «Ceux qui pensent qu'on peut terroriser les Français ont tort». Le président américain a assuré être «en contact avec les officiels français pour transmettre nos condoléances aux familles de ceux qui ont été tués». «Je n'ai pas encore appelé Hollande, il est très occupé à ce moment j'imagine».
La préfecture recommande également "aux établissements recevant du public, de renforcer la surveillance des entrées et d'accueillir ceux qui en auraient besoin d'interrompre les manifestations ou événements en cours en extérieur".
« Fusillades meurtrières à Paris... Encore... », a commenté Nadine Morano sur son compte Twitter. « On attend avec effroi des éléments d'information en ayant le coeur serré en pensant aux victimes », a ajouté la députée européenne LR. « Pensées pour les victimes et courage aux forces de l'ordre et aux secours présents à Paris », a également expliqué Nicolas Dupont-Aignan sur les réseaux sociaux.
Même tonalité pour la sénatrice du Bas-Rhin Fabienne Keller, qui évoque son « horreur » face aux fusillades à Paris. « Mes pensées aux victimes, à leurs familles et aux forces de l'ordre et secours mobilisés sur le terrain », ajoute-t-elle. Le sénateur LR de la Manche a lui, dès 22h55, avancé un premier bilan de « 30 morts au moins ». « Serrons les rangs », a-t-il conseillé avant de faire part de ses « inquiétudes » à la veille de Cop21, la conférence internationale sur le changement climatique qui doit se tenir en décembre à Paris. « Maintenir ? », s'interroge-t-il en soulevant les « risques grands ». « Pas le moment de polémiquer », ajoute cependant l'élu.
La porte-parole de LR, Lydia Guirous, a elle aussi, signifié son « effroi absolu ». « Pensées aux victimes innocentes auxquelles ils ont arraché la vie », a-t-elle ajouté.
Le sénateur LR de la Manche Philippe Gosselin a lui, dès 22h55, avancé un premier bilan de « 30 morts au moins ». « Serrons les rangs », a-t-il conseillé avant de faire part de ses « inquiétudes » à la veille de Cop21, la conférence internationale sur le changement climatique qui doit se tenir en décembre à Paris. « Maintenir ? », s'interroge-t-il en soulevant les « risques grands ». « Pas le moment de polémiquer », ajoute cependant l'élu. La polémique est en revanche assumée par Walleyrand de Saint-Juste, le candidat FN en Ile-de-France. « Derrière les auteurs de ces tueries, il faudra pointer les vrais responsables qui, eux, sont politiques ! », a expliqué la tête de liste FN. Mise en cause encore plus directe de la part de Louis Alliot, le chef de file du parti d'extrême droite en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées : "M. Valls, vous voyez où est le danger ? Le vrai ! Irresponsable !", a expliqué le compagnon de Marine Le Pen.
Le candidat LR en Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a été parmi les premiers a annoncé qu' «en raison des événements dramatiques », il avait « décidé de suspendre [sa] campagne des élections régionales. » Christian Estrosi, lui aussi, a annoncé que « toutes les actions de [sa] campagne régionales sont suspendues » en région Paca.
Adressant une « pensée pour les victimes », Alexis Bachelay, député PS des Hauts-de-Seine, s'est dit « horrifié par ces lâches attaques terroristes à Paris ». « La France est attaquée et nous ferons face à nos ennemis », a assuré le porte-parole de la Gauche forte.
On ne sait pas encore si il y a eu un ou plusieurs tireurs, mais un tireur aurait été aperçu en train de fuir sur le boulevard Jules Ferry.
Notre journaliste sur place raconte :
Selon la chaine, le président François Hollande a été exfiltré du stade par ses services de sécurité.
Une cellule a été mise en place au ministère de l'Intérieur. Le Raid a été mis en alerte.
EN COURS : Mis à jour à 07:18
Le Républicain lorrain (Michel Klekowicki)
"Le 7 janvier quand 'ils' ont tué Charlie, rien, croyait-on, ne pourrait dépasser l'horreur de cet acte. Pourtant hier soir, 13 novembre, à Paris, le terrorisme a tué à nouveau. A grande échelle. Aveuglément. Sans pitié. (...) Aujourd'hui, pour nous tous, commence le jour d'après. Un jour où il sera impératif de démontrer que ni le terrorisme ni la haine n'ont droit de cité en France. C'est ce défi que chacun d'entre nous devra relever. Avec pour seules armes le courage, la dignité et la solidarité."
L'Est républicain (Philippe Marcacci)
Une mobilisation des effectifs sans précédent. La totalité des effectifs du 36 quai des Orfèvres a été rappelée afin de procéder aux constations et témoignages, soit 2200 personnes. À cela s'ajoutent 800 policiers de voie publique de la préfecture de police et 46 équipages, soit environ 150 personnes venant des effectifs de la grande couronne venus en renfort pour assurer la sécurisation, la protection et les patrouilles de voie publique dans la capitale. Trois escadrons de gendarmerie mobile ont été projetés soit en tout 200 personnes, ainsi que trois compagnies de CRS, en tout 300 personnes sont également présentes afin de tenir les axes autoroutiers entrants et sortants de l'A6 et l'A4.
Enfin 1500 militaires ont été déployés sur l'Ile-de-France. Cela porte 7000 hommes le plan Sentinelle. 61 point de passages transfrontaliers dont 15 des principaux aéroports français font désormais d'un contrôle systématique. Afin d'assurer l'aspect sanitaire et médicale, le plan blanc a été déclenché. 36 établissements hospitaliers sont concernés afin d'accueillir les blessés. Dans la nuit de vendredi à samedi, 83 blessés d'urgence absolue et 132 blessés d'urgence relative ont été recensés. 450 hommes de la Brigade des sapeurs pompiers de Paris sont en action épaulés par 4 colonnes - soit 280 personnes - issues de brigades hors de Paris.
À 3 heures du matin, il nous signalait que les forces de l'ordre levaient progressivement le camp.
United Airlines a déclaré que ses trois vols encore prévus vers Paris, au départ de Chicago,
Newark et Washington D.C., décolleraient.
Lire notre article sur ce sujet.
(Avec AFP)
Un jeune homme sorti de chez lui, à deux pas de la rue de Charonne, raconte : "Je sortais faire une course, tard ce vendredi soir, et là, j'ai vu l'horreur, des corps sans vie sur le bitume, et des gens qui jetaient des draps depuis leurs fenêtres pour qu'on puisse recouvrir ces corps... C'est la guerre en bas de chez moi. J'ai pu rentrer chez moi, et me suis barricadé."
(avec AFP)
«C'était le chaos. J'étais sur la droite dans la salle du Bataclan, une chanson de Eagles of death metal était en train de se finir, quand j'entends des bruits d'explosion comme des pétards, je vois le chanteur enlever sa guitare, je me retourne, je vois un type armé d'une arme automatique qui tire en l'air. Tout le monde se couche au sol. À partir de là, c'est l'instinct qui reprend le dessus, à chaque rafale, on essaye de ramper le plus loin possible des tireurs (impossible de vous dire le nombre tout s'est passé trop vite).»
Lire l'intégralité de ce témoignage dans notre article.
Selon notre journaliste présente sur place, une dizaine de personnes ont été exfiltrées de la salle de concert.
A l'intérieur de l'enceinte, les spectateurs n'ont rien vu. Un journaliste du Figaro qui assistait au match raconte avoir entendu deux déflagrations. "C'était assez fort. On avait l'impression de bombes agricoles. Sur le moment, personne n'a pensé que c'était une fusillade. Après un moment de flottement, le stade a été bloqué. Il n'y a pas eu de mouvement de panique. Vers 23h30 le stade s'est vidé."
Selon notre journaliste sur place, une quinzaine de camions de la croix rouge viennent d'arriver. L'opération est toujours en cours.
«Nous sommes passés en scooter vers 21h30, soit quelques secondes après les faits. Il n'y avait pas encore la police. On a croisé des gamins qui couraient dans le sens inverse sur le quai de Jemmapes. Et des voitures qui partaient à reculons. Des gens criaient : "N'allez pas par là-bas, il y a des coups de feu et des rafales".
J'ai vu quatre ou cinq corps qui jonchaient le sol, dans une mare de sang. Ces corps qui ne bougeaient plus étaient par terre sur la terrasse du bar-brasserie, Le Phare du canal, qui se situe à l'intersection entre la rue du Faubourg du Temple et la rue de la Fontaine au Roi. Tout le monde était hébété, ou bien retranché dans les restaurants.»Sur un ton particulièrement grave, très touché, très ému, le président de la République a parlé d'attaques terroristes. "Des attaques sans précédent sont en cours dans l'agglomération parisienne", a indiqué le président. Il a parlé de "plusieurs dizaines de tués", "beaucoup de blessés", ajoutant "c'est une horreur", à propos des attentats à Paris et dans le secteur du Stade de France.
"Ce que les terroristes veulent, c'est nous faire peur, nous saisir d'effroi. Il y a de quoi avoir peur, il y a l'effroi. mais il y a face à l'effroi une Nation qui sait se défendre, qui sait mobiliser ses forces, et qui une fois encore saura vaincre les terroristes", a déclaré le chef de l'Etat lors d'une courte allocution depuis l'Elysée.
Il a pris deux décisions importantes : "l'état d'urgence a été décrétée sur tout le territoire" et il a décidé de la fermeture des frontières françaises.
Le président a également indiqué que "les forces de sécurité font assaut notamment dans un lieu à Paris".
Depuis la Maison-Blanche, le président américain Barack Obama vient de réagir. «Il ne s'agit pas seulement d'une attaque de Paris ou la France, mais de toutes les valeurs de l'humanité». «Nous serons aux côtés de la France pour combattre le terrorisme et l'extrémisme», a-t-il ajouté. «Ceux qui pensent qu'on peut terroriser les Français ont tort». Le président américain a assuré être «en contact avec les officiels français pour transmettre nos condoléances aux familles de ceux qui ont été tués». «Je n'ai pas encore appelé Hollande, il est très occupé à ce moment j'imagine».
La préfecture recommande également "aux établissements recevant du public, de renforcer la surveillance des entrées et d'accueillir ceux qui en auraient besoin d'interrompre les manifestations ou événements en cours en extérieur".
« Fusillades meurtrières à Paris... Encore... », a commenté Nadine Morano sur son compte Twitter. « On attend avec effroi des éléments d'information en ayant le coeur serré en pensant aux victimes », a ajouté la députée européenne LR. « Pensées pour les victimes et courage aux forces de l'ordre et aux secours présents à Paris », a également expliqué Nicolas Dupont-Aignan sur les réseaux sociaux.
Même tonalité pour la sénatrice du Bas-Rhin Fabienne Keller, qui évoque son « horreur » face aux fusillades à Paris. « Mes pensées aux victimes, à leurs familles et aux forces de l'ordre et secours mobilisés sur le terrain », ajoute-t-elle. Le sénateur LR de la Manche a lui, dès 22h55, avancé un premier bilan de « 30 morts au moins ». « Serrons les rangs », a-t-il conseillé avant de faire part de ses « inquiétudes » à la veille de Cop21, la conférence internationale sur le changement climatique qui doit se tenir en décembre à Paris. « Maintenir ? », s'interroge-t-il en soulevant les « risques grands ». « Pas le moment de polémiquer », ajoute cependant l'élu.
La porte-parole de LR, Lydia Guirous, a elle aussi, signifié son « effroi absolu ». « Pensées aux victimes innocentes auxquelles ils ont arraché la vie », a-t-elle ajouté.
Le sénateur LR de la Manche Philippe Gosselin a lui, dès 22h55, avancé un premier bilan de « 30 morts au moins ». « Serrons les rangs », a-t-il conseillé avant de faire part de ses « inquiétudes » à la veille de Cop21, la conférence internationale sur le changement climatique qui doit se tenir en décembre à Paris. « Maintenir ? », s'interroge-t-il en soulevant les « risques grands ». « Pas le moment de polémiquer », ajoute cependant l'élu. La polémique est en revanche assumée par Walleyrand de Saint-Juste, le candidat FN en Ile-de-France. « Derrière les auteurs de ces tueries, il faudra pointer les vrais responsables qui, eux, sont politiques ! », a expliqué la tête de liste FN. Mise en cause encore plus directe de la part de Louis Alliot, le chef de file du parti d'extrême droite en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées : "M. Valls, vous voyez où est le danger ? Le vrai ! Irresponsable !", a expliqué le compagnon de Marine Le Pen.
Le candidat LR en Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a été parmi les premiers a annoncé qu' «en raison des événements dramatiques », il avait « décidé de suspendre [sa] campagne des élections régionales. » Christian Estrosi, lui aussi, a annoncé que « toutes les actions de [sa] campagne régionales sont suspendues » en région Paca.
Adressant une « pensée pour les victimes », Alexis Bachelay, député PS des Hauts-de-Seine, s'est dit « horrifié par ces lâches attaques terroristes à Paris ». « La France est attaquée et nous ferons face à nos ennemis », a assuré le porte-parole de la Gauche forte.
On ne sait pas encore si il y a eu un ou plusieurs tireurs, mais un tireur aurait été aperçu en train de fuir sur le boulevard Jules Ferry.
Notre journaliste sur place raconte :
Selon la chaine, le président François Hollande a été exfiltré du stade par ses services de sécurité.
Une cellule a été mise en place au ministère de l'Intérieur. Le Raid a été mis en alerte.
MAJ : nouvelle fusillade en cours dans le 11ème arrondissement.
Selon la police, une fusillade a éclaté ce vendredi soir dans l’est parisien. Elle aurait fait plusieurs victimes, selon des témoins sur place. Une explosion a également eu lieu près du Stade de France où se déroule un match de football entre la France et l’Allemagne. Selon i-Téle, le président François Hollande aurait été exfiltré du stade par ses services de sécurité.
Trouvé: Terreur ordinateur portable de l'État islamique d'Doom
Enterré dans un ordinateur Dell capturé en Syrie sont des leçons pour la fabrication de bombes et missives de peste bubonique sur l'utilisation des armes de destruction massive.
Antakya, Turquie - Abu Ali, un commandant d'un groupe rebelle syrienne modérée dans le nord de la Syrie, montre fièrement un ordinateur portable noir en partie couvert de poussière. "Nous avons pris cette année à partir d'un repaire ISIS," dit-il.
Abou Ali dit que les combattants de l'État islamique d'Irak et al-Sham (ISIS), qui ont eux-mêmes depuis rebaptisé l'État islamique, ont tous fui avant que lui et ses hommes ont attaqué le bâtiment. L'attaque a eu lieu en Janvier dans un village dans la province syrienne d'Idlib, près de la frontière avec la Turquie, dans le cadre d'une plus vaste offensive anti-ISIS survenant à l'époque. "Nous avons trouvé l'ordinateur portable et le cordon d'alimentation dans une pièce," at-il poursuivi, "je l'ai pris avec moi. Mais je ne ai aucune idée si elle fonctionne encore ou si elle contient quelque chose d'intéressant. "
Lire la suite de FP sur l'État islamique
- Le complexe: est l'ordinateur portable ISIS de malheur une menace opérationnelle?
- Rencontrez Lady Al-Qaïda: Pourquoi chaque groupe djihadiste veulent les Etats-Unis de libérer Aafia Siddiqui?
- L'intérieur de la bureaucratie du Mal: De l'électricité pour les eaux usées, des États-Unis Intel avertit l'État islamique a obtenu assez bon à diriger un pays.
Comme nous sommes passés sur l'ordinateur portable Dell, il en effet toujours travaillé. Il était également impossible de passe-protégée. Mais vint une énorme déception: Après nous avons cliqué sur "My Computer", tous les disques apparaissaient vides.
Mais les apparences peuvent être trompeuses. Regardant de plus près, l'ordinateur portable ISIS était pas vide du tout: Enterré dans les «fichiers cachés» de l'ordinateur étaient 146 gigaoctets de matériel, contenant un total de 35,347 fichiers dans 2.367 dossiers. Abu Ali nous a permis de copier tous ces fichiers - qui comprenait des documents en français, anglais et arabe - sur un disque dur externe.
Trouvé sur l'ordinateur Une capture d'écran de la matière. Les fichiers semblent être des vidéos de discours par des clercs djihadistes. (Cliquez pour agrandir.)
Le contenu de l'ordinateur portable se révèlent être un trésor de documents qui fournissent des justifications idéologiques pour les organisations djihadistes - et une formation pratique sur la façon de mener des campagnes meurtrières de l'Etat islamique. Ils comprennent des vidéos d'Oussama ben Laden, des manuels sur la façon de faire des bombes, des instructions pour voler des voitures, et des leçons sur la façon d'utiliser des déguisements afin d'éviter d'être arrêté alors qu'il voyageait d'un endroit chaud djihadiste à l'autre.
Mais après des heures et des heures de faire défiler les documents, il est devenu clair que l'ordinateur portable ISIS contient plus que les manuels de propagande et d'instruction typiques utilisées par les djihadistes. Les documents suggèrent également que le propriétaire de l'ordinateur portable a été lui-même enseigne à propos de l'utilisation d'armes biologiques, en préparation d'une attaque potentielle qui aurait choqué le monde.
Les informations sur l'ordinateur portable fait clair que son propriétaire est un ressortissant tunisien nommé Muhammed S. qui a rejoint ISIS en Syrie et qui a étudié la physique à la chimie et de deux universités dans le nord-est de la Tunisie. Plus inquiétant encore est la façon dont il a prévu d'utiliser que l'éducation: L'ordinateur portable ISIS contient un document de 19 pages en arabe sur la façon de développer des armes biologiques et la façon de militariser la peste bubonique provenant d'animaux infectés.
"L'avantage des armes biologiques est qu'ils ne coûtent pas beaucoup d'argent, tandis que les pertes en vies humaines peuvent être énormes», indique le document.
Le document comprend des instructions sur la façon de tester la maladie comme arme en toute sécurité, avant qu'il ne soit utilisé dans une attaque terroriste. "Lorsque le microbe est injecté en petites souris, les symptômes de la maladie devraient commencer à apparaître dans les 24 heures», dit le document.
L'ordinateur portable comprend également un 26 pages fatwa, ou d'une décision islamique, sur l'utilisation des armes de destruction massive. "Si les musulmans ne peut pas vaincre le kafir [infidèles] d'une manière différente, il est permis d'utiliser des armes de destruction massive», affirme la fatwa de l'imam djihadiste Arabie Nasir al-Fahd, qui est actuellement emprisonné en Arabie Saoudite. "Même si elle tue chacun d'eux et eux et leurs descendants essuie la face de la Terre."
Lorsque contacté par téléphone, un membre du personnel d'une université tunisienne figurant sur les copies d'examen de Muhammed a confirmé qu'il fait des études de chimie et de physique là. Elle dit que l'université a perdu sa trace après 2011, cependant.
Out of the blue, elle a demandé: «Avez-vous trouvé ses papiers à l'intérieur de la Syrie?" A demandé pourquoi elle pourrait penser que les effets de Mahomet auraient fini en Syrie, elle a répondu, «Pour plus de questions à son sujet, vous feriez mieux de poser la sécurité de l'Etat."
Un nombre étonnant de Tunisiens ont afflué vers le champ de bataille syrien depuis la révolte a commencé. En Juin, ministre de l'intérieur de la Tunisie
Une photo de Mohammed S. trouvé sur son ordinateur portable. Cette image a été digitalement changée.
Out of the blue, elle a demandé: «Avez-vous trouvé ses papiers à l'intérieur de la Syrie?" A demandé pourquoi elle pourrait penser que les effets de Mahomet auraient fini en Syrie, elle a répondu, «Pour plus de questions à son sujet, vous feriez mieux de poser la sécurité de l'Etat."
Un nombre étonnant de Tunisiens ont afflué vers le champ de bataille syrien depuis la révolte a commencé. En Juin, le ministre tunisien de l'Intérieur a estimé qu'au moins 2.400 Tunisiens ont été des combats dans le pays, principalement en tant que membres de l'Etat islamique.
Cela ne veut pas la première fois que les djihadistes ont tenté d'acquérir des armes de destruction massive. Même avant les attaques du 9/11, Al-Qaïda avait expérimenté un programme d'armes chimiques en Afghanistan. En 2002, CNN a obtenu une cassette montrant Al-Qaïda tests membres gaz toxique sur trois chiens, qui tous sont morts.
Rien sur l'ordinateur portable ISIS, bien sûr, suggère que les djihadistes possèdent déjà ces armes dangereuses. Et toute organisation djihadiste contemplant une attaque bioterroriste devra faire face à de nombreuses difficultés: Al-Qaïda a tenté en vain pendant des années pour mettre la main sur ces armes, et les États-Unis ont consacré des ressources considérables à empêcher les terroristes de faire tout ce genre de percée. Le matériel sur cet ordinateur portable, cependant, est un rappel que les djihadistes sont également difficiles au travail à acquérir les armes qui pourraient leur permettre de tuer des milliers de personnes d'un seul coup.
"La vraie difficulté dans l'ensemble de ces armes ... [est] d'avoir fait un système de distribution viable qui va tuer beaucoup de gens", a déclaré Magnus Ranstorp, directeur de recherche du Centre d'études de la menace asymétrique au Collège de défense nationale suédois. "Mais pour produire des armes tout à fait effrayant est certainement dans les capacités [de l'État islamique]."
Gains de balayage de l'État islamique dans les derniers mois ont peut-être fourni avec la capacité de développer de telles armes nouvelles et dangereuses. Les membres du groupe djihadiste ne sont pas uniquement les combats sur les lignes de front ces jours - ils contrôlent également des parties substantielles de la Syrie et de l'Irak. La crainte est maintenant que des hommes comme Muhammed pourraient être tranquillement travailler derrière les lignes de front - par exemple, dans l'Université islamique contrôlée par l'État de Mossoul ou dans un laboratoire de la ville syrienne de Raqqa, de facto, le capital du groupe - de développer chimique ou armes biologiques.
En bref, plus le califat existe, plus il est probable que les membres ayant une formation en sciences viendront avec quelque chose d'horrible. Les documents trouvés sur l'ordinateur portable de l'djihadiste tunisien, quant à lui, ne laissent pas de place au doute quant ambitions meurtrières du groupe.
"Utiliser une petite grenades avec le virus, et de les jeter dans des endroits fermés comme les métros, les stades de football, ou des centres de divertissement," le document de 19 pages sur les armes biologiques conseille. "Préférable de le faire à côté de la climatisation. Il peut également être utilisé au cours des opérations de suicide »
https://www.facebook.com/events/732333903538727/
beaucoup d' entre les français par exemple n'ont pas compris que la guerre de SYRIE, LYBIE et IRAK se sont progressivement exportés en EUROPE et en FRANCE ( la FRANCE a sa part de responsabalité dans ces trois conflits) . Les 120 morts de PARIS suffiront ils pour les faire réfléchir? Hé bien NON, pas grave les FRANCAIS ont la mémoire courte c' est DE GAULLE qui l' a dit et ils font TOTALEMENT confiance en ceux qui les dirigent et manipulent.
Le VEILLEUR à l' Ile de la REUNION
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