CIVILISATIONS DISPARUES - le passé a parlé
CIVILISATIONS DISPARUES : LE PASSE A PARLE !
Au printemps 2002, des chercheurs ont prospecté au large de Cuba des formations rocheuses inhabituelles découvertes en profondeur au large des côtes. Certains scientifiques admettent qu’il pourrait s’agir d’une cité engloutie provenant jusque-là d’une civilisation inconnue. Des échantillons de roches ont été prélevés. Ils devraient permettre de mieux comprendre comment s’est former la péninsule de Guanahacabibes à l’extrémité occidentale de l’île. M. Iturralde, directeur de recherche au musée d’histoire naturelle de Cuba a collaboré avec la société canadienne d’exploration Advanced Digital Communications (ADC) afin de tenter de résoudre le mystère de la formation rocheuse lisse, semblable à du granite, et surtout géométriquement conçue. Les premières observations sous-marines ont révélé des structures ressemblant à des pyramides et des routes sur une zone de 20km 2 à plus de 600 mètres de profondeurs. ADC travaille avec un robot spécialement conçu pour récupérer des échantillons de roches et de sédiments dans le but de les dater et d’y rechercher des indices prouvant qu’ils aient pu être un jour émergés. Les scientifiques engagés dans cette opération espèrent retrouver des signes de vie humaine tels que des dessins, sculptures et objets fabriqués.
Un lourd silence est retombé sur les découvertes archéologiques faites au large de Bimini. Pourtant des kilomètres de films ont été tournés à la verticale des structures sous-marines qui entourent l’île. On sait aujourd’hui qu’un astéroïde s’est écrasé, il y a des milliers d’années dans le Golfe du Mexique, provoquant sans doute un gigantesque cataclysme à la surface de la planète. A la suite de cet accident cosmique, des fractures de l’écore terrestre ont peut-être engendré d’effroyables affaissements de plateaux continentaux, entraînant sous l’océan des civilisations dont nous ne savons plus rien.
LA VERITE SE CACHE-T- ELLE AU MEXIQUE ?
Les Aztèques, Azteca, en souvenir d’Aztlan point de départ de leur migration, ne se considéraient eux-mêmes que comme les fils dégénérés de civilisations brillantes qui les avaient précédés. Pour eux, les pyramides que les savants officiels datent du VI e siècle environ avaient été construites par des dieux, à l’origine du monde ? Les arts, l’architecture, la mosaïque,la ciselure et la sculpture, ainsi que l’invention du calendrier cosmogonique étaient dus selon eux aux anciens habitants de Tula, qui avaient été initiés par le Roi Dieu Quetzalcóatl : « Le Serpent à Plumes. C’était lui ce Maître du Monde, et les Toltèques qui avaient les premiers pratiqué tous les arts et acquis toutes les sciences dont bénéficiait l’ancien Mexique. Nous devons reconnaître que bien avant les Hébreux qui rassemblèrent leurs connaissances orales dans le Talmud, vers 550 avant notre ère, les savants Aztèques condensèrent la somme de leur savoir dans deux documents inviolables pour le profane : le Popol Vuh et le calendrier cosmogonique. Ce dernier constitue d’ailleurs la synthèse des différents chapitres du livre sacré. Le Popol Vuh ou Livre du Conseil, qui relate les événements antérieurs au déluge, fut retranscrit en latin au cours du XVI e siècle par un « sage quiché » qui très certainement était un Espagnol catholique. La plus remarquable traduction française de ce document est due à l’érudit abbé Brasseur de Bourbourg, et rien ne prouve avec certitude que cette « bible » soit attribuable aux Quichés.
NOTA : Le Popol Vuh a été retrouvé au Guatemala, à Chichicastenengo. L’église Saint Thomas, élevée sur une petite éminence, est considérée à notre époque, comme un des derniers hauts lieux occultes des Mayas. Ceux-ci pratiquent en son sein des cérémonies magiques aux anciens dieux. Chaque jour, des dizaines de kilos d’encens (du copal en particulier) sont brûlés dans ce sanctuaire mal christianisé…Les Codex qui donnèrent naissance à la traduction du Popol Vuh auraient appartenu à un prince de la famille royale de Montezuma.
Comme d’autres peuples de l’Amérique moyenne, les Mexicains pensaient que plusieurs mondes successifs avaient précédé le nôtre. Chacun d’eux s’étaient effondré dans des cataclysmes au cours desquels l’humanité avait péri. C’est cette idée qui domine le mythe des «éluder la menace constante qu’ils estimaient peser sur l’univers. On devine dans ce comportement les traces indélébiles laissées par un atavisme enraciné au plus profond du subconscient des individus, et on a l’impression que le Popol Vuh, qui relate plusieurs fins du monde, dit vrai. Dans les archives des anciennes civilisations d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud, est conservée la preuve que de très nombreuses organisations humaines ont déjà été détruites par des cataclysmes cosmiques. Nous restons confondus devant la grandiose conception de l’univers qu’exprimaient les savants précolombiens par des nombres. Les Mayas remontèrent le temps 400 millions d’années avant leur ère, qui débuta 3331 ans avant J.C ! Tourmentés par une angoisse cosmique qui ne leur laissait ni trêve ni répit, ils avaient découvert que certaines conjonctions d’astres étaient mortelles pour la nature et l’homme. C’est en dressant de fantastiques montagnes de chiffres contre le ciel nocturne qu’ils trouvaient la consolation à un destin presque inéluctable. Leurs méditations mathématiques, n’étaient d’ailleurs pas vides d’intérêt. Si nous comparons leur savoir au nôtre, nous découvrons que les calculs astronomiques modernes donnent à l’année une durée de 365 jours 242,198 alors que les Mayas lui accordaient une valeur de 365 jours 242,129…Ils avaient aussi calculé le temps de révolution de Vénus : 584 jours, les astronomes d’aujourd’hui lui en donnent 583,92. Vénus jouait un rôle très important dans la vie religieuse des peuples d’Amérique moyenne. Cette fut divinisée sous le nom de « Quetzalcóatl » : le Serpent à Plumes.
On a retrouvé en Syrie, dans la ville d’Ugarit (Ras Shamra), un poème dédié à la déesse de la planète ANAT, qui intervertit les deux aurores et la position des étoiles ! Or ANAT n’est autre que la planète Vénus. Mieux, les égyptologues ont découvert dans la tombe de Semout, l’architecte et sûrement amant de la reine Hatshepsout, un panneau de plafond représentant la sphère céleste. Les signes du zodiaque et les autres constellations ont été reproduits avec une orientation fausse du panneau sud. Le groupe Orion Sirius, qui occupe le centre de ce panneau, choque les astronomes. En effet, Orion apparaît à l’ouest de Sirius au lieu de se trouver à l’est. De plus, il paraît se déplacer dans le mauvais sens. La véritable interprétation de l’orientation irrationnelle du panneau « sud » et la position inversée d’Orion paraît être celle-ci. Le ciel représenté sur cette fresque fut peint pour commémorer un événement du passé avant que le sud, le nord, l’est et l’ouest n’intervertissent leur position dans la sphère céleste. Différentes thèses militent en faveur d’un accident cosmique survenu brusquement dans un lointain passé. Emmanuel Velikovsky dans » Mondes en collision «, évoque de grandes catastrophes terrestres survenues dans le passé. Sa culture et son érudition dérangèrent un grand nombre de pontifes et de mandarins, qui voyaient dans son œuvre une hérésie. B.Mac Laughlin astronome à l’université du Michigan, le cloua au pilori et le roula dans la boue, avouant sans vergogne : » No, I have not read the book » (Non, je n’ai pas lu le livre.)—C.Q.F.D ! Les thèses de Velikovsky ne sont plus combattues aujourd’hui, car on sait que l’équateur n’est plus à sa place primitive. Selon le Dr. Tom Phillips, de l’université de l’Illinois, ce dernier coupait en diagonale, il y a 300 millions d’années, ce qui est aujourd’hui le Middle West américain, alors que les Etats-Unis et la Russie appartenaient probablement au même continent. Les preuves de ce qui pouvait être la configuration de la terre à l’époque, sont extraites des mines de charbon, non seulement du Middle West, mais aussi de la Russie et de certaines parties de l’Europe, où l’on trouve des blocs de tourbe pétrifiée recelant des restes fossilisés de plantes qui, non carbonisées, ont été préservées au cours des siècles. De nombreux chercheurs pensent qu’un accident cosmique bien plus récent a remodelé le globe !
DES ANCIENS PROPHETES…AU PARLEMENT EUROPEEN !
La relecture, des textes sacrés à la lumière du présent, peut éclairer notre passé et nous mettre en garde contre le futur. Tentons l’expérience.
On ne se souvient pas de ce qui est ancien ; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
L’ECCLÉSIASTE : I/II
Je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée (l’obscurité), qu’ils ont passé la mer, qu’ils ont tous été baptisés dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé de la même nourriture, qu’ils ont tous bu le même breuvage, car ils buvaient l’eau de la pierre qui les suivait (des glaçons ?). I. CORINTHIENS. X, 1.6.
Avant de juger à priori ces témoignages, gardons à l’esprit cette citation de Renan qui dit : Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont le plus profond respect pour les choses du passé.
En effet, nul n’ignore actuellement les menaces qui pèsent sur notre planète du fait des astéroïdes. La dernière génération de télescopes et les observations des laboratoires cosmiques nous le prouvent, notre espace est pollué par des rochers fous. L’un d’eux 2 000 YA est passé à 800 000 kilomètres de la terre, sans attirer l’attention des astronomes ! Chacun se souvient de la fantastique explosion survenue au-dessus de la Tugunska en 1908. Nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve. L’affaire semble sérieuse comme le prouve le document suivant :
L’ASSEMBLEE PARLEMENETAIRE DU CONSEIL DE L’EUROPE * Session Ordinaire de1996 * Résolution 1080 (1996) Relative à la détection des astéroïdes et des comètes potentiellement dangereux pour l’humanité.
*** 1. Il existe deux grandes catégories d’objets extraterrestres qui risquent de s’écraser sur notre planète : les comètes et les astéroïdes. Les astronomes leur donnent généralement le nom d’objets proches de la Terre. Leur nombre total est inconnu, mais on estime à approximativement 2 000 le nombre d’astéroïdes d’une taille supérieure à 1 Km, dont l’orbite coupe celle de la Terre. Ces objets sont les plus dangereux : or une seule et faible proportion d’entre eux a été détecté jusqu’à présent.
2. Etant donné que l’explosion à proximité de la surface de la Terre d’un objet ayant un diamètre d’à peine 60 m peut avoir l’effet d’une bombe nucléaire de 10 mégatonnes, toute collision avec un objet de taille supérieure aurait des conséquences catastrophiques à l’échelle de la planète. Parmi les exemples récents, les plus célèbres sont celui de l’explosion d’un objet ayant un diamètre d’environ 60 m qui s’est produite à Toungouska (Sibérie) en 1908, et qui a détruit plus de 2 000 Km2 d’une forêt peu habitée, ainsi que la violente collision avec Jupiter des fragments de la comète Shoemaker-Levy 9 (en juillet 1994). Ces fragments qui mesuraient plus d’un demi-kilomètre environ, ont dévasté une surface supérieure à celle de la Terre. On découvre fréquemment sur notre planète des traces d’impacts plus petits, ainsi que des fossiles témoignant que des collisions cataclysmiques se sont déjà produites par le passé.
3. Le volume considérable d’informations qu’on a rassemblées ces dernières années sur les collisions d’astéroïdes et de comètes indique que celles-ci peuvent provoquer des catastrophes écologiques à grande échelle et à long terme, entraînant parfois la disparitions totale d’espèces . Ces collisions constituent donc une grave menace pour nos civilisations.
UN CHOC DE TITANS COMME EXEMPLE
Un astronome amateur, membre de l’Association française d’astronomie, M. Rudolf Mulder, qui réside au Cap d’Ail, dans les Alpes-Maritimes, a démontré par des calculs très précis que l’Etoile du Berger vient des limites de notre système solaire, Vénus porte encore les traces de sa collision avec Uranus, affirme M. Mulder. Les sondes cosmiques ont révélé à l’aide de clichés parfaits, transmis à la Terre, les traces de ce choc titanesque. Elles se présentent sous la forme d’un énorme bassin de 3 000 kilomètres de profondeur, parcouru par un étrange sillon de 3 250 kilomètres de longueur et large de 280 kilomètres. Toute cette zone est sillonnée par des failles profondes aux abords escarpés. Vénus et Uranus encore incandescentes se seraient heurtées. Plus massive Uranus fut moins affectée par cette collision alors que Vénus aurait été projetée vers Saturne puis vers Jupiter ; attirée par son attraction, elle aurait alors été piégée par le Soleil , avant de venir se stabiliser entre Mercure et la Terre. L’accident relaté ici a peut-être une origine plus récente, due à l’action d’une comète. C’est lui qui provoqua le déluge sur notre planète, comme l’affirment de nombreuses traditions fort éloignées géographiquement les unes des autres. Nous l’avons dit, les peuples d’Amérique centrale évoquent dans leur Histoire l’ancienne Terre sur laquelle leur civilisation était fixée avant ce drame.
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