JULES VERNE ET LES SECRETS DU FUTUR
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JULES VERNE ET LES SECRETS DU FUTUR
Il y a quelques années, Jean Jules Verne, arrière petit fils du célèbre écrivain retrouva au fond d’un coffre un manuscrit oublié :“PARIS AU XXe siècle”. Il stupéfia tout le monde et nous apporta la preuve que le père de Robur le Conquérant voyageait dans le temps.
Un jour de 1863 Jules Verne a eu l’idée de nous regarder vivre. Il imagina notre capitale avec son métro, ses tours et ses fax ! Lorsqu’il présenta son travail à Hetzel, son éditeur, celui-ci refusa de le publier...
Étrange et fascinant auteur que cet écrivain à l’œuvre prolifique, dont les ouvrages ont fait rêver plusieurs générations d’hommes amoureux d’évasion et d’aventures. Sans être ingénieur, il se souciait de donner à ses récits de la vraisemblance scientifique et technique propre à enflammer les imaginations les plus réfractaires.
Dans ses VOYAGES EXTRAORDINAIRES, Jules Verne a voulu être le cicérone attentif de ses lecteurs. Il les a tous pris par la main afin de les conduire dans les méandres de labyrinthes multiples et variés, dont il connaissait par cœur les moindres replis.
En cette fin de cycle, nombreux sont ceux qui commencent à se rendre compte que les romans “cosmographiques” de Jules Verne sont porteurs de messages voilés concernant notre futur. Cet écrivain était un farceur! Ne prenons pas ce mot dans un sens péjoratif, mais au contraire dans son véritable contexte grammatical, dans son sens propre. Au XIXe siècle, un farceur était celui qui introduisait un mystère dans un écrit,comme une farce dans une volaille...
De nombreux chercheurs se sont rendus compte qu’un certain nombre de textes signés par Jules Verne ont été codés et conçus autour d’un cryptogramme. Dans le premier tome de La Jangada, l’auteur révèle qu’il a utilisé des anagrammes, des métagrammes, des logogriphes et autres jeux de mots qui sont autant d’indications voilées. D’autre part, Verne aimait chiffrer, pour ne pas dire coder, ses écrits. Souvent, il pratiqua une kabbale phonétique, qui est la voix de la Nature !
A l’instar de Jonathan Swift, Jules Verne jongle à sa manière avec la langue des oiseaux...La Gaye Science ! Voir en lui un grand prophète mythologique de notre temps ne constitue pas une démarche insensée, mais une approche différente de son œuvre imposante. Derrière ses textes transparaît pour qui sait les lire, une composition plus passionnante encore. L’auteur semble avoir été le porte-parole d’une grande société initiatique qui l’a chargé de transmettre au futur, c’est à dire au XXe siècle, les clés majeures de sa grande mutation scientifique et technologique.
Dans 20,000 lieues sous les mers, il affirme:
“ Je suis l’historien des choses d’apparences impossibles, qui sont pourtant réelles, incontestables.”
Pour lui, le cycle historique constitue une explication traditionnelle de l’histoire du monde fondée sur la loi d’analogie. Il est évident que chaque cycle trouve sa conclusion dans un cataclysme. Le nôtre sera sanctionnée par un déluge d’eau et de feu qui mettra tout “sens dessus dessous”. Alors des rescapés repartiront de zéro et relanceront une nouvelle période civilisatrice. Cette théorie laisse à l’homme son libre arbitre de déterminer sa propre fin du monde.
Parfois, J.Verne nous livre sa pensée et laisse transparaître sa vision humaniste de notre société, qu’il aimerait voir évoluer vers l’âge d’or, quand elle s’engage à grands pas vers une catastrophe plus que meurtrière !
L’éternel Adam caractérise bien cet état d’esprit. Dans cette nouvelle, l’écrivain est devenu pessimiste. Il fait un retour aux sources en évoquant un continent englouti , détruit par la faute des hommes.
À travers ses héros, il retrace huit mille ans d’Histoire, illustrée par la domination de l’homme sur l’homme et la suprématie imposée par les guerres. Massacres, tueries, viols se sont succédés sur une planète abreuvée de sang.
Juleses Verne se livre, caché derrière son personnage principal à une analyse poussée d’une théorie qui lui fait faire un retour aux origines, c’est à dire dans les fonds marins. Là,il découvre les traces d’une civilisation supérieure détruite par un cataclysme.
Puis, un certain docteur Mendoza ose dire que ces peuple, aujourd’hui disparus sans laisser la moindre trace, étaient parvenus à un degré d’évolution égale ou analogue au leur, comme les Babyloniens, les Égyptiens ou...les Atlantes. On rit alors bêtement, autour de lui !
Mendoza insiste et affirme que des peuples appartenant à une humanité supérieure, et bien antérieure aux Atlantes, sont nés, ont prospéré et se sont éteints sans que n recouvert par un flux volcanique...
Il prend aussi position contre la bêtise de l’homme qui, avec ses théories fausses sur la vie et son fonctionnement,entraîne lui-même sa chûte.
JULES VERNE ET L’INVISIBLE COLLÈGE
Les biographes craignent les vies sans histoires: il leur faut pour tenir le lecteur, de l’amour et des drames, des crimes et des scandales ! Jules Verne n’a rien fait en apparence pour faciliter la rédaction de leurs chroniques ou autres articles...Du moins en apparence...
Quiconque étudie de nos jours l’œuvre prolifique de cet auteur fécond, se rend vite compte qu’il existe deux degrés de lecture applicables à ces différents bouquins.
Ce côté caché des écrits du Maître de l’aventure n’a pas échappé à quelques chercheurs perspicaces. Né à Nantes, le 8 février 1828, Jules Verne passa toute sa jeunesse dans ce grand port breton. Jusqu’en 1770, la Compagnie des Indes avait régné sur la ville apportant avec elle richesses, et mouvements. Au XIXe siècle une forte activité maritime donnait à Nantes une ambiance particulière. La cité était une porte ouverte sur l’ensemble du monde.
Certains pensent que Jules Verne fut coopté dès 1846 par une société secrète implantée dans la ville, et dont une Loge se serait située passage Pommeray. Les membres qui la composaient étaient pour la plupart des scientifiques. Ils savaient déjà que l’industrialisation commençait à provoquer des changements climatiques irréversibles sur le globe.
Leurs observations avaient révélé que des marées de hautes amplitudes se faisaient de plus en plus fréquentes. Disposant d’un réseau d’informateurs répartis sur toute notre planète, ils savaient que la Terre se réchauffait. Possédant une énorme bibliothèque, ils permirent au jeune Jules Verne de la consulter quand bon lui semblerait. Ces initié estimaient qu’un nouveau déluge se préparait, tous leurs calculs les conduisant à la même conclusion.
Tous leurs travaux s’appuyaient sur l’anticipation.Pour eux, il ne faisait aucun doute que la montée des eaux du globe se manifesterait en Méditerranée, en Atlantique et dans le Pacifique.
Avant que notre monde moderne ait compris les dangers de l’effet de serre, les initiés nantais envisageaient déjà la fonte des glaciers, dont Gaspard Cornélius avait annoncé l’imminence.
Les écologistes affirment que nos industries, avions et fusées provoquent la montée des eaux .En 2050, 300 millions d’hommes auront péri en Asie du sud-est et que la Chine sera un cimetière marin. Les grandes inondations qui ont ravagé ce vaste pays en 1995 et 1996 en seraient le prélude.
En deux siècles, le co 2 a augmenté de 25% !
L’INVISIBLE COLLÈGE
Nul ne sait aujourd’hui ce qu’est devenue la banque de données dans laquelle Jules Verne puisa pour rédiger ses livres. On suppose que cette vaste bibliothèque était celle de l’Invisible Collège auquel appartenut René Descartes.
L’Invisible Collège était composé des Très Illuminés Frère de la Rose+Croix.
L’Invisible Collège était le nom répandu dans le public pour expliquer que les frères de la Rose+Croix n’étaient pas réunis en un lieu, car ils vivaient dans tous les pays d’Europe.
Des auteurs sérieux prétendent que l’Invisible Collège s’est perpétué jusqu’à nous. Tout en restant d’une extrême prudence,nous ne pouvons pas totalement exclure cette hypothèse, car des messages hermétiques, sculptés dans la pierre, nous laissent supposer qu’au cours des siècles, des initiés ont légué au futur des symboles inaltérables.
En 1668, dix-huit ans près la mort de Descartes, le vénérable frère de Bohème Comenius fit publier Le Chemin de Lumière, écrit en 1640, il le dédicace à ses frères illuminés de la Royal Society fondée en 1660.
Il s’adresse à eux en ces termes:
“...Illustres Sirs ! Ce n’est pas un hasard qu’un livre intitulé The Way of Light doit vous être envoyé, hommes illustres dont les travaux pour tirer la lumière de la philosophie naturelle (science de la nature) du puits profond de la vérité vont être révélés et publiés à travers l’Europe. C’est à très juste titre, puisque cet ouvrage a été conçu dans ce pays (l’Angleterre) qui nous offrait asile pour cette recherche de la Lumière et de la Vérité qui est maintenant passée sous votre surveillance, conformément à la Parole du Christ, applicable au sens propre en cette occasion: “D’autres ont labouré et vous avez récolté.”
“ A travers le monde, la nouvelle sera claironnée que vous êtes engagés dans les travaux dont le but est d’assurer que la connaissance et l’empire de l’esprit humain sur la matière ne sera plus longtemps une chose incertaine et faible.”
L’âme de l’Invisible Collège se reflétait dans le Discours de la Méthode de René Descartes, quand ce dernier écrivait:
“ La métaphysique constitue le racines de l’arbre de la Connaissance dont les sciences sont les fruits.”
Descartes a réhabilité la Tradition, tenue sous le boisseau pendant des siècles. Les idéologues de toutes tendances ne lui ont pas pardonné !
JULES VERNE INITIÉ-INITIANT
Jules Verne était un initié. Il fut sans doute le porte parole d’un Invisible Collège qui à travers lui nous a délivré un testament concernant la fin de notre cycle.
Dans tous ses livres, il a codé ses textes et camouflé subtilement dans les gravures qui les illustrent des renseignements parallèles , que bien peu soupçonnent. Ils sont souvent d’importance. D’après ces illustrateurs, il paraît que cet auteur était fort attaché au tracé des dessinss et qu’il faisait recommencer ceux qui étaient trop différents des maquettes qu’il leur soumettait. Certes, indices, anagrammes, positions, localisations de paysages viennent appuyer ou rectifier le texte de l’écrivain.
Jules Verne, prophète-profane, vécut dans l’intimité d’une foule de savants. Cette chaîne de scientifiques devait avoir des racines communes : une société initiatique plus que discrète !
Nous savons que son approche de la science fut des plus sérieuse. A l’automne de sa vie, le romancier coucha sur le papier toute l’angoisse qui semblait s’être emparée de lui ,dans une de ses oeuvres parmi le moins connues : Sans dessus dessous .
L’auteur affirmait alors que son livre reposait sur des bases sérieuses. Il constituait une sorte d’accusation contre le scientisme. Initialement Sans dessus dessous
s’appelait Le Monde renversé . On y fait la connaissance avec un groupe d’industriels américains décidés à modifier l’axe de la terre.
Jules Verne laisse deviner tout son désenchantement envers la science dont il pressent les futurs dévoiements au bénéfice du profit. Cette “science sans conscience”, celle que condamnait déjà le bon Rabelais, se préparait à induire un cataclysme artificiel. Après que les puissances de l’argent eurent acheté le pôle Nord, un terrible engin explosif, inventé par des Pieds Nickelés de génie,devait provoquer un basculement de la planète.
UN VISIONNAIRE QUI AVAIT ENVISAGÉ LA TRANSFORMATION DE NOTRE ENVIRONNEMENT
Jules Verne dans ses différents ouvrages semble nous avoir décrit ce qu’ est notre environnement aujourd’hui.
Les événements dramatiques que vit notre époque ont remis en vedette et appelé l’attention inquiète de nos contemporains sur la vieille littérature prophéique à laquelle on n’accordait jadis qu’un sourire indulgent, pour ne pas dire moqueur.
La crainte de la fin du monde réapparaît et préoccupe les esprits anxieux des menaces sournoises qui planent sur notre monde.
Beaucoup estiment qu’une Intelligence Invisible manipule le destin de l’humanité. Bien que la menace atomique militaire semble s’être éloignée, nombreux sont ceux qui redoutent son usage dit pacifique !
Après la désintégration de l’atome et les cris de victoire qui l’ont accueillie, les expériences et les résultats qui suivirent ont interpellé de nombreux philosophes qui pressentaient des drames irréversibles pour le futur. L’accident survenu le 26 avril 1986 à Tchernobyl leur donna raison !
Sur son lit de mort Einstein disait :” J’ai peur” en songeant aux conséquences effroyables des découvertes qui avaient abouti à la bombe A.
Le savant se souvenait que la première bombe atomique tactique, baptisée “Little Boy” , larguée le 6 août 1945 sur Hiroshima avait fait plus de 80.000 morts en explosant. Elle contenait 30 kgs d’uranium. La température qu’elle dégagea, s’éleva à 6 000 degrés. Dans le ciel de la ville martyre, elle prit l’aspect d’un second soleil éclatant de lumière.
Le 6 août 1945 correspondait à la fête catholique de la TRANSFIGURATION...presque personne à l’époque n’a remarqué cet étrange synchronisme symbolique.