Bernard-Henri Lévy, le philosophe-milliardaire sculpteur d’excréments, s’est fendu d’un article aux relents méphitiques sur son blog, la Règle du jeu. Il est conseillé de le lire attentivement jusqu’au bout avant de prendre connaissance de l’article de la rédaction de Quenelplus qui suit. Descente dans les bas-fonds de la pensée talmudo-sioniste.
La Grande Peur des juifs de France
Les juifs de France en ont assez.
Assez de ces métros où il devient périlleux de porter une kippa.
Assez de ces écoles de la République où être un enfant juif vaut brimades à la sortie des classes.
Assez de la France des amateurs de quenelle dont les meetings sont autant d’appels à la détestation des juifs.
Assez de la France des islamo-fascistes qui ont, comme au temps de l’affaire Dreyfus et des bandes du marquis de Morès, franchi un degré de plus dans l’abjection en commençant de s’attaquer à des synagogues et à des commerces juifs.
Assez de ces manifestations où la « solidarité avec Gaza » n’est souvent qu’un prétexte à hurler sa haine du nom juif.
Assez de lire des reportages décrivant des quartiers où les Mohamed Merah et autres Mehdi Nemmouche sont tenus pour des héros.
Ils en ont assez, oui.
Ils sont nombreux, du coup, à se poser la question : « sommes-nous toujours les bienvenus au pays des Lumières et de l’émancipation des juifs? sommes-nous toujours chez nous dans ce pays étrange où le nouage de l’antisionisme le plus vil, du négationnisme le plus épais et de la concurrence victimaire la plus trouble est en train de produire un antisémitisme de type nouveau et potentiellement dévastateur ? »
Et ils sont de plus en plus nombreux à répondre par la négative et à partir s’établir en Israël.
Notes de la rédaction de Quenelplus :
Ce pays est le leur [aux juifs].
Pourquoi BHL, qui se gargarise à longueur d’émissions – les rares fois où il est invité (il a les clés) – de termes de novlangue tels que « laïcité » et « vivre-ensemble », écrit-il que « Ce pays est le leur [aux juifs]« ? En soi-disant héritier de l’universalisme des Lumières, on s’attendait plutôt à ce qu’il écrive : « Ce pays est aussi le leur », sous-entendu « la France appartient à toutes les catégories de Français, y compris aux Français de confession juive, d’égale manière en droit, en mérite et en devoir ».
Or, le Porteur d’excréments n’a pas écrit « Ce pays est aussi le leur », lui qui pourtant est un intellectuel, produit de la littérature et sait employer la langue française de manière précise et à bon escient (en revanche, pour la typographie, il reste des efforts à faire… Faux, nul, zéro !).
BHL ne prend tout simplement plus de gants (et pourtant, qu’est-ce que nous sommes sales, nous les gueux, nous les « sans-dents » !) : selon lui, la France appartient exclusivement aux juifs, d’autant plus qu’ils sont « en première ligne face à la barbarie qui gronde, les juifs de France sont aussi ses meilleures sentinelles », propos parallèles à la fameuse« avant-garde de la République » du Premier ministre Valls, son allié indéfectible dont « l’honnêteté oblige à dire que les pouvoirs publics n’ont pas failli et se sont montrés, jusqu’ici, d’une vigilance sans faille » pour interdire toute critique de la main-mise du sionisme sur la France.
Les « pouvoirs publics » sont par ailleurs bien aidés par les milices sionistes type bétar, LDJ et antifas – les fameuses « meilleures sentinelles » de la République – qui organisent des « pogroms inversés » pour faire taire toute parole ou pensée qui iraient contre les intérêts d’Israël. Ces milices ne tiendraient pourtant pas 30 secondes contre les forces de police ou des organisations citoyennes comme la Gaza Firm, si elles n’étaient pas couvertes des sceaux de l’impunité et de la clémence par les plus hautes instances politiques, judiciaires et maçonniques de notre chère France occupée.
Cette république est leur œuvre. De Bernard Lazare à Pierre Mendès France en passant par René Cassin, Romain Gary et tant d’autres, les juifs ont été parmi les bâtisseurs de cette République de France qui reste l’un des lieux du monde où les valeurs d’humanisme et d’universalisme qui sont les leurs restent le plus vivantes.
Sans les juifs, donc, la France serait aujourd’hui à n’en pas douter un désert de sable et de pierres ! Oui, sachez-le : les valeurs d’humanisme et d’universalisme sont l’apanage des juifs qui nous les ont généreusement apportées, à nous tous, pauvres sauvages illettrés. La parole de Jésus ou de Mohammed et certains extraits du Talmud, ça ne fait pas résonner la cloche dans le beffroi sordide qui te sert de cerveau, admirateur de Lucifer ?
En outre, il faut relever l’antisémitisme insoutenable de cette citation. En effet, BHL est catégorique : les juifs seraient donc les bâtisseurs de notre république, cette république qui est à l’origine des pires crimes contre l’humanité commis au nom des droits de l’Homme, qui s’étendent de la colonisation impériale instaurée par Jules Ferry, jusqu’aux guerres humanitaires déclenchées de nos jours pour apporter la « démocratie de marché » et l’argent-dette à des peuples qui en majorité les refusent. BHL nous révèle par conséquent que les juifs seraient responsables de cette sale république qui plonge la France et le monde dans les bras des banksters et les tourments du chaos généralisé. Vas-y, vomis !
Mais que font le CRIF, la LICrA, l’UEJF, le CACA, le SPLEEF et le SCHBOOB ?
Finalement, réjouissons-nous que les goyim ne soient pas responsables du désastre actuel ! Merci à BHL de dédouaner la France authentique et éternelle des crimes du passé commis en notre nom, nous la merdasse ! Nous regrettons pourtant et nous condamnons fermement qu’il inclue dans son analyse la responsabilité de l’ensemble des juifs dans cette crise mondiale, puisque ce qu’il est convenu d’appeler la « Dissidence », terme qui se galvaude de jour en jour et auquel nous préférons celui de « Résistance », est authentiquement contre l’amalgame honteux qui voudrait que les juifs soient tous des talmudo-sionistes haineux, comme BHL voudrait nous le faire croire pour se rassurer de ne pas être le seul dans son cas.
Ils sont nombreux, du coup, à se poser la question : « sommes-nous toujours les bienvenus au pays des Lumières et de l’émancipation des juifs? […] Et ils sont de plus en plus nombreux à répondre par la négative et à partir s’établir en Israël. […] Je ne crois pas qu’il faille partir. Je comprends qu’on le décide, bien sûr, quand on le fait poussé par les nobles raisons de l’esprit, du cœur et de la volonté de contribuer à la consolidation de la société israélienne.
L’« ami inconditionnel d’Israël » s’en défend, mais son but et celui de la « communauté organisée » est en réalité de pousser un maximum de Français de confession juive à faire leur alya (émigration vers Israël des Juifs de la Diaspora) en prétextant une montée de l’antisémitisme en France que les sionistes mettraient eux-même subrepticement en scène, appuyés par les médias et les pouvoirs publics à leur botte.
Même si la France serait pour de bon débarrassée de certains énergumènes, nous nous refusons de souhaiter le départ de quiconque en Israël, puisque ce serait valider le projet sioniste contre lequel nous luttons. À la rigueur, pourquoi ne pas offrir la Lune aux sionistes, qui pourraient alors déclarer, sans levée de bouclier aucune, que ce territoire est « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre » ? À moins que les Sélénites n’aient leur mot à dire… ? Oh et puis non, ils seraient capables de la faire sauter, ces boulets !
Et puis cette part miraculeuse, et encore majoritaire, de la société française dont j’ose croire que les réflexes, plus encore que la réflexion, ont été affûtés par l’Histoire : elle ne se laissera plus prendre par surprise le jour où surgira, s’il surgit, le groupe en fusion pogromiste !
Alors ? Qu’est-ce qu’on attend pour foutre le camp ? Ils sont chez eux, bordel, laissons-les en paix dans ce pays qui n’appartient qu’à eux et barrons-nous, les mecs ! On trouvera bien un îlot en Méditerranée via « les réflexes, plus encore que la réflexion », puisque nous ne sommes que des bêtes, nos paroles n’étant que des grognements instinctifs !
C’est tout juste si on ne chie pas dans le trou crasseux qui nous sert d’assiette quand notre repas nous tombe tout cuit du ciel, incapables que nous sommes de bâtir une civilisation plurimillénaire qui a toujours résisté aux empires et qui se refuse à tout communautarisme, comme il est inscrit dans la Constitution française :
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
Oui BHL, les Français de confession juive (et les autres aussi) aimeraient qu’on arrête de leur bourrer le mou avec Israël et le prétendu antisémitisme ; ils aimeraient vivre en bonne intelligence avec les Français non juifs qu’ils ne prennent pas de haut, eux. Mais encore faudrait-il qu’on donne la parole à toute la diversité du peuple dans les médias, phagocytés par la présence, la parole et l’idéologie sionistes. Si tu veux vraiment éviter que la société française ne se laisse « prendre par surprise le jour où surgira, s’il surgit, le groupe en fusion pogromiste », ferme-la à tout jamais !
De toute façon, si un jour les Français se réveillent sans écouter la Résistance française, dont le nombre grandit inexorablement, et qui se bat jour et nuit pour une réconciliation nationale de tous les Français contre les élites au pouvoir qui liquident la France tout en nous divisant pour cacher leur forfaiture, et que toute cette histoire finit par tourner chocolat pour la vile fange sioniste, il faut que tu saches, Bernardo, que personne n’acceptera de te cacher dans sa cave !
Par conséquent, il est temps pour l’élite au pouvoir de revenir dans le droit chemin, de cesser toute division et toute incitation à la haine anti-goyim (qui se transformerait par la suite en véritable antisémitisme), et de préparer le retour de la France éternelle, la seule respectable aux yeux des Français, puisque c’est son aura qui nous a fait rayonner dans l’Histoire, aux yeux du monde et dans les galaxies environnantes.
Finissons sur une note humoristico-culturelle et empruntons une citation à ce grand humaniste qu’était Voltaire :
Allez, mes Welches [Français], Dieu vous bénisse ! Vous êtes la chiasse du genre humain. Vous ne méritez pas d’avoir eu parmi vous de grands hommes qui ont porté votre langue jusqu’à Moscou. C’est bien la peine d’avoir tant d’académies pour devenir barbares ! Ma juste indignation, mes anges, est égale à la tendresse respectueuse que j’ai pour vous, et qui fait la consolation de mes vieux jours.
Le sionisme est un SIDA des consciences, et les sionistes la chiasse du genre humain !
Vive la France libre et souveraine !
Mémé Sauciflard, rédacteur chez Quenelplus qui aime tailler dans le lard