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En outre, "sous réserve de motifs suffisants, les autorités russes envisageront l'opportunité d'une action tant politique que militaire", a ajouté le directeur du département des nouveaux défis et menaces du ministère russe des Affaires étrangères.
Le premier ministre irakien Haider al-Abadi a déclaré jeudi qu'il saluerait des frappes aériennes russes contre le groupe djihadiste Etat islamique (EI) en Irak, et s'est dit déçu par l'aide apportée à l'Irak par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis.
"Nous n'avons pas reçu d'aide massive des Etats-Unis. Nous avons besoin de la participation d'une large coalition, comprenant notamment la Russie et l'Iran", a-t-il indiqué.
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"Nous n'allons pas porter de frappes en Irak, nous n'avons pas reçu de demande. Comme vous le savez, nous sommes des gens polis et nous n'arrivons pas si on ne nous invite pas", a indiqué M.Lavrov lors d'une conférence de presse.
L'Armée de l'air russe a entamé mercredi 30 septembre une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustibles appartenant à l'EI.