La vaccination provoque l'autisme. Voici ce qu'ils savent
La vaccination provoque l’autisme
Voici ce qu’ils savent…
Christina England, 4 juillet 2013
Depuis de nombreuses années, des parents ont été convaincus que les vaccinations multiples ont provoqué l’autisme chez leurs enfants. Mais partout dans le monde, les gouvernements ont catégoriquement nié cette possibilité. Ils continuent à mettre leur tête dans le sable et à ignorer ce qui se passe. Ils refusent d’effectuer les études pertinentes et ne veulent répondre à aucune question qui pourrait mettre la vérité sur les vaccins en pleine lumière.
Leurs actions sont clairement démontrées dans une vidéo publiée le 11 mai 2013, enregistrée au Congrès Américain et dans laquelle apparaissent les Députés Burton et Bill Posey et le Dr Weldon.
Cette vidéo illustre ce qui s’est passé au fil des années derrière des portes closes. Elle donne aux parents l’occasion rare de pouvoir être les témoins directs des mensonges qui sont racontés au public, ainsi que de l’énormité de la supercherie en ce qui concerne les vaccins. [1]
Vaccins, mensonges et vidéo
Cette vidéo a commencé à être tournée en l’an 2000.
Le Député Dan Burton, président du la Commission de Réforme Gouvernementale sur l’autisme et les vaccinations pour enfants (2000) a ouvert la séance en déclarant que l’autisme, autrefois considéré comme une maladie rare, était quasi devenu une épidémie. Il devait préciser qu’il existait une priorité absolue à effectuer un maximum de recherches sur la relation possible entre les vaccins et l’autisme. Il a terminé son introduction en précisant qu’il nous fallait cesser de nous mettre la tête dans le sable et ignorer cette possibilité.
S’adressant au Dr Coleen Boyle, Directrice du Centre National sur les Malformations Congénitales et les Troubles du Développement du CDC (Centres de Contrôle des Maladies), il a demandé :
« Nous avons vérifié tous les dossiers financiers de la FDA, du HHS, du CDC.- Pouvez-vous croire que quelqu’un qui reçoit des fonds de Merck ou d’autres sociétés pharmaceutiques devrait figurer dans les Comités Consultatifs qui donnent leur avis sur des produits pharmaceutiques en provenance de ces sociétés, ou croyez-vous qu’on a, là affaire, à des conflits d’intérêts ? »
Pour la plupart d’entre nous, la réponse à cette question ne devrait poser aucun problème. La chose n’a pas été aussi simple pour le Dr Boyle qui a d’abord semblé être sans voix quand elle a finalement déclaré :
« Je pense qu’il est difficile de répondre à cette question. »
Le Député Burton s’est alors tourné vers le Dr Paul Offit, et lui a dit :
« Vous parlez de collaboration… je suppose que c’est avec la société pharmaceutique Merck ? »
A cette question, Offit commença à bredouiller :
« Oui, je, euh, comme je, euh, l’ai écrit dans mon rapport, j’ai collaboré avec Merck & Company depuis 1992 pour le développement du vaccin contre le rotavirus. »
Le Député Burton a simplement répondu :
« Ce sont eux qui fabriquent le vaccin ROR, (Rougeole, Oreillons,Rubéole) n’est-ce pas ? »
Se retournant vers le Dr Boyle, Dan Burton lui demanda pourquoi le CDC n’avait pas, au cours de l’enquête, envisagé la possibilité que certains de ces vaccins aient pu provoquer l’augmentation de l’autisme. Burton lui demanda de vérifier ce fait. En dépit du fait qu’elle marqua son accord, il semble qu’une fois de plus cette tâche relativement simple ait été trop difficile pour le Dr Boyle, parce que treize ans plus tard, nous attendons toujours sa réponse.
Après avoir parlé à d’autres membres du Congrès, le Député Burton se retourna vers le Dr Boyle et lui dit sur un ton très ferme :
« Pour votre information, Dr Boyle, lors d’une réunion publique dans la région de Brick en 1997 avec le CDC et autres personnes (vous devez être au courant), plusieurs membres de l’auditoire ont posé des questions sur les vaccins et sur le lien possible qui pourrait exister avec l’autisme. Ces personnes ont demandé que des vérifications soient faites. »
Il poursuit :
« Et je soutiens que c’est peut-être, juste peut-être, parce que la compagnie pharmaceutique qui les fabrique avait une certaine influence sur les gens assistant à cette réunion vu qu’ils ont dit : Hey, nous ne voulons pas entrer dans ces détails… Et je précise que si c’est le cas, cela frise le criminel ! »
Député Dan BURTON : audition au Congrès Américain
Mon petit-fils, comme des milliers d’enfants étaient en parfaite santé, jusqu’à ce qu’ils reçoivent ces vaccins multiples…Je veux que vous puissiez VOIR ce que ces parents doivent endurer avec ces enfants
Cfr temps entre 3'36'' et 4'00 environ
En concluant la séquence 2000, je pense que c’est le Dr Rimland qui a fourni la réponse la plus honnête de la journée quand, après avoir écouté tous les commentaires et effectué sa propre recherche scientifique, il a répondu à la question du Député Burton qui voulait savoir s’il existait une possibilité que les vaccins puissent contribuer à l’augmentation des cas d’autisme.
Le Dr Rimland a répondu :
« Il y a non seulement une possibilité, mais une très forte probabilité à partir de toutes les preuves disponibles…Il est assez intéressant de constater que la plupart des autorités officielles ont choisi d’affirmer que l’augmentation des cas d’autisme n’avait aucun rapport avec les vaccinations. – J’ai l’habitude de m’en référer à une citation qui m’apparaît très juste : l’histoire des progrès de l’humanité s’est accomplie sur la réfutation d’arguments d’autorité. »
Ce sont là des mots forts. Pourquoi n’a-t-il pas été entendu ?
Les organismes gouvernementaux continuent d’ignorer les appels
Si l’on s’en réfère à l’année 2002, il semble bien que rien n’ait beaucoup changé. Le Député Dan Burton a une nouvelle fois présidé une réunion de Comité. Il a décidé d’ouvrir cette cession avec le film poignant et émouvant d’un enfant souffrant d’une forme grave d’autisme pour permettre à l’assemblée de se rendre compte de ce que des parents ont à souffrir jour après jour. Ce bout de film a ému l’assistance jusqu’aux larmes. Le Député Burton a ajouté que comme son petit fils, il y avait des milliers d’enfants dans le pays qui étaient parfaitement normaux jusqu’à ce qu’ils reçoivent des vaccins multiples. Il a poursuivi en des termes extrêmement durs :
« Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique et à notre gouvernement de camoufler ce gâchis, car il ne va pas disparaître et va coûter des milliards de plus aux contribuables si nous permettons à la FDA, au HHS et aux agences de santé de continuer à se cacher derrière une façade où ils prétendent que des études prouvent le contraire de manière concluante, alors que tout cela est faux ! »
En fait, comme le montre la vidéo, tout ce débat houleux dure depuis plus d’une décennie. Chaque année, ce sont les mêmes problèmes qui sont discutés, les mêmes questions qui sont soulevées et la Commission en arrive toujours aux mêmes conclusions que les études nécessaires n’ont pas été réalisées pour établir le lien entre vaccinations et autisme.
Alors, pourquoi pareille situation et pourquoi rien n’a-t-il été fait ?
La représentante (chercheuse) du gouvernement s’est montrée hésitante
En 2012, le Député Bill Posey a tenté à nouveau d’interroger l’insaisissable et maintenant grisonnante Dr Boyle du CDC sur les vaccinations et l’autisme.
Le Député Posey pose alors la question :
« Dr Boyle, mon prédécesseur, le Député Welder est un médecin très compétent et respecté de tous. C’est de lui que j’ai appris qu’il pensait avec beaucoup de certitude que le thimérosal dans les vaccins était certainement un facteur qui contribuait à provoquer l’autisme. Je me demande donc si le CDC a déjà organisé ou facilité une étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. L’avez-vous fait ? »
Comme on pouvait s’y attendre, au lieu de répondre à la question posée, le Dr Boyle évite complètement la question et répond :
« Nous avons réalisé un certain nombre d’études portant sur la relation entre le thimérosal et l’autisme et autres troubles du développement. »
Sans renoncer à sa première question, le Député Posey reformule sa question dans l’espoir d’obtenir une réponse claire et directe. Il demande :
« Donc, clairement, nettement et sans équivoque, avez-vous étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés ? »
Ce à quoi, le Dr Boyle a répondu :
« Nous n’avons pas étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés. »
Comme le Dr Boyle essayait de poursuivre dans une langue de bois, le Député Posey l’arrêta en disant :
« Peu importe, c’était le sens de ma question, vous m’avez fait perdre deux minutes de mon précieux temps. »
Il lui a alors demandé :
« Quelles sont les mesures qu’a prises le CDC pour s’assurer de l’intégrité de la recherche réalisée par le Dr Thorsen qui, comme vous le savez, a été inculpé pour faute grave par rapport à une mauvaise utilisation des ressources ? »
Une fois encore, on peut s’apercevoir que Boyle essaie d’esquiver la question. Au lieu de répondre directement au Député Posey, elle a essayé de s’en référer à des données incorrectes qui avaient trait au fait que le Dr Thorsen avait été co-investigateur dans seulement deux des études réalisées. Cette réponse fut immédiatement démentie par Posey qui a alors demandé si on pouvait l’autoriser à divulguer l’information selon laquelle le Dr Thorsen avait en fait été impliqué dans 21 des 24 études réalisées.
A aucun moment, et dans n’importe quelle partie de la vidéo, le Dr Boyle n’a répondu aux questions posées sans essayer d’éluder la question qui lui était posée, et même quand Posey lui a demandé :
« Etes-vous revenue pour valider les différentes études auxquelles Thorsen a participé ? Ce que je veux dire, c’est que vous savez pertinemment bien que ce type est un monstrueux malfrat, un des hommes les plus recherchés de la planète, et c’est sur lui que vous comptez pour vous fournir les données qui vous permettront de décider si le thimérosal a des effets pervers ? »
Plutôt que d’admettre les défaillances du Dr Thorsen, le Dr Boyle s’est immédiatement attelée à la défense de Thorsen, alors même que cet homme se trouve en tête de liste des hommes les plus recherchés de l’état fédéral pour 22 chefs d’accusation pour fraude électronique, blanchiment d’argent…. qui devraient lui valoir 260 ans de prison pour ses crimes. [2]
Conclusion
Après avoir vu la vidéo, il est évident que pas une seule personne interrogée par le Député Burton ou par la Commission ne possédait la moindre preuve que les vaccins ne pouvaient pas provoquer l’autisme.
Au lieu de cela, les personnalités ont donné de fausses informations et ont tenté d’éviter toutes les questions qui leur étaient posées. Nombreuses étaient les personnes ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie qui fabrique les vaccins et qui paradoxalement n’y voyaient aucun problème.
Les membres du CDC et de la FDA et autres organismes qui régulent le problème des vaccinations se doivent d’être totalement indépendants. Si, comme Paul Offit, ils détiennent des brevets relatifs aux vaccins ou collaborent avec les entreprises qui fabriquent les vaccins, il ne leur est pas possible d’être réellement indépendants comme de faire totalement preuve d’impartialité.
Il est certain que les parents qui font toute confiance aux fonctionnaires en ce qui concerne la vie de leurs enfants, méritent mieux que cela. Il est grand temps que les choses changent. Les parents qui font confiance au programme de vaccinations doivent impérativement être en possession des preuves concrètes que les vaccins qu’on leur propose sont sans danger. Au lieu d’ajouter sans cesse de nouveaux vaccins au programme et de tenter de les rendre obligatoires, les gouvernements et leurs représentants doivent d’abord répondre aux questions qui leur sont posées.
Cette vidéo représente une preuve concluante que ce n’est toujours pas le cas.
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Références
1. http://www.youtube.com/watch?v=3wwDPcNdxJQ (VIDEO)
Source: Vactruth
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