MAHDI - CHRIST - AVATAR - MAITREYA -VARUNA/MAKARA/GRAAL/CHINTAMANI
666 MONDIALISATION - MATERIALISME ou le CHOIX SPIRITUEL: MAHDI - CHRIST - AVATAR - MAITREYA -
par Gilbert Grondin, samedi 19 novembre 2011,
Le concept d' un CHRIST triomphant, arrivant à JERUSALEM sur les nuages célestes, pour y régner mille ans, est vrai en un sens, et totalement faux quant au dessein, au lieu, et à la méthode. Le CHRIST revient; la JERUSALEM (LIEU DE PAIX) n' est pas la ville principale d' ISRAEL; ce mot est simplement le symbole d' un monde qui aurait du être actuellement en paix, d' un monde où le calme et une certaine mesure de justes relations humaines aurait du exister; ce qui n' est ABSOLUMENT PAS le CAS en 2011. Par le développement du concept de SYNTHESE et l' utilisation correcte de l' énergie, l' ASHRAM du GRAAL à L' Ile de la REUNION oeuvre au maximum pour cette action en collaboration avec les DEVAS ANGES ARCHANGES PLANETAIRES et SHAMBALLA. Plus de 4500 groupements initiatiques de par le monde ont été sollicités pour oeuvrer en commun a cette aventure planétaire hors du commun avec bien peu de résultats. La science aurait du transformer le monde où le travail serait aboli, et où les phases de la vie de l' homme auraient pu être exécutées par la science et non comme actuellement par une explotation de millions d' enfants de par le monde. Une réforme générale financière est nécessaire; le principe su partage sera bientôt reconnu comme concept motivant la nouvelle CIVILISATION à mettre en place (le principe d' échange et de troc deviendra courant dans le monde entier, les monnaies pourront être remplaçées par un système de TROC et un échange monétaire international - représentant les denrées échangées par un plan gradué de valeurs relatives. Nous terminerons ce jour en signalant qu' au sein de l' ASHRAM du GRAAL, les travailleurs HIERARCHIQUES réunissent actuellement des disciples moins avancés, qui travaillent dans la même direction, par communauté d' intérêt, mais non par la reconnaissance d' instructions similaires. Les disciples de l' ASHRAM du GRAAL, préoccupés des plans HIERARCHIQUES pour l' avenir, deviendront de plus en plus des CANAUX de pouvoir dans le monde. L' injonction BIBLIQUE de prendre racine vers le bas et de porter des fruits vers le haut, ont pour eux une signification occulte profonde.
The concept of a CHRIST triumphing, newcomer in JERUSALEM over the celestial clouds, to reign there thousand years, is true in a sense, and completely forgery as for the intention, the place, and the method. CHRIST returns; JERUSALEM (PLACE OF PEACE) is not the principal city of ISRAEL; this word is simply the symbol of a world which would currently have being in peace, of a world where calms and a certain measurement of right human relations would have to exist; what is absolutely not the CASE in 2011. By the development of the concept of SYNTHESIS and the correct use of energy, the ASHRAM of the HOLY GRAIL in the Island of the MEETING works to the maximum for this action in collaboration with DEVAS PLANETARY ANGELS ARCHANGELS and SHAMBALLA. More than 4500 initiatory groupings all over the world were solicited to work jointly has this planetary adventure out of the commun run with well few results. Science would have to transform the world where work would be abolished, and where the phases of the life of the man could have been carried out by science and not like currently by a exploitation of million children all over the world. A financial general reform is necessary; the principle known division will be recognized soon like concept justifying new CIVILIZATION to be set up (the principle of exchange and of barter will become current in the whole world, the currencies could be replaced by a system of BARTER and an international monetary exchange - representing the food products exchanged by a graduated plan of relative values. We will finish this day by announcing that within the ASHRAM of the HOLY GRAIL, the workers HIERARCHICAL currently bring together less advanced disciples, who work in the same direction, by community of interest, but not by the recognition of similar instructions. The disciples of the ASHRAM of the HOLY GRAIL, concerned about the HIERARCHICAL plans for the future, will become more and more them CHANNELS of being able in the world. The BIBLICAL injunction to take root to the bottom and to bear fruits upwards, have for them a major occult significance.
19 NOVEMBRE 2011. L' Humain doit comprendre maintenant que le ROYAUME de DIEU, attendu depuis si longtemps, n' est autre chose que l' apparition sur terre, dans la vie quotidienne, d' hommes chez qui l' Ame domine, à tous les degrés de cette domination de l' Ame. Donc vous comprenez maintenant que le ROYAUME de DIEU a toujours été présent, mais qu' il n' a pas été reconnu par la masse de l' humanité, vu le nombre relativement faible des personnes qui expriment sa qualité. Quand cette reconnaissance dans les 25 ans qui suivent 2011 sera devenue générale, L' idée et le bon sens toujours présents dans la conscience des humains témoigneront du fait de la PRESENCE de CEUX qui ont atteint le but. Leur manifestation de DIVINITE sera considérée comme normale, constituant un objectif UNIVERSEL, et garantissant la perfection future de l' HUMANITE. Les degrés de cette expression DIVINE pourront alors être signalés; allant de disciples en probation, puis de disciples de par le monde, à CEUX qui ont atteint la maîtrise comme au sein de l' ASHRAM du GRAAL à l' Ile de la REUNION et jusqu' au CHRIST. Ainsi, progressivement, l' idée ou le concept de l' existence des MAITRES en présence corporelle sera inculquée et régulièrement acceptée; une attitude nouvelle envers le CHRIST se développera, qui comprendra tout le meilleur du passé, mais intègrera les hommes dans une approche plus saine et mieux venue du probleme tout entier. Le temps est venu où l' ASHRAM du GRAAL proclame le fait e la PRESENCE du CHRIST sur terre, en tant que CHEF de la HIERARCHIE et administrateur du ROYAUME de DIEU.
November 19, 2011. The Human one must understand now that the KINGDOM OF GOD, awaited since so a long time, is other thing only the appearance on ground, in the everyday life, men at whom the Heart dominates, with all the degrees of this domination of the Heart. Thus you understand now that the KINGDOM OF GOD was always present, but that it was not recognized by the mass of humanity, considering the relatively low number of the people who express her quality. When this recognition in the 25 years which follow 2011 becomes general, the idea and the good direction always present in the conscience of human will testify because of PRESENCE to THOSE which achieved the goal. Their demonstration of DIVINITY will be regarded as normal, constituting a UNIVERSAL objective, and guaranteeing the future perfection of HUMANITY. The degrees of this DIVINE expression could then be announced; energy of disciples in probation, then disciples all over the world, with THOSE which reached the control as within the ASHRAM of the HOLY GRAIL in the Island of the MEETING and to CHRIST. Thus, gradually, the idea or the concept of the existence of the body involved MASTERS will be inculcated and regularly accepted; a new attitude towards the CHRIST will develop, who will include/understand all best past, but will integrate the men in a healthier approach and better come from the entire problem. The time came where the ASHRAM of the HOLY GRAIL proclaims the fact E the PRESENCE of CHRIST on ground, as a CHIEF of the HIERARCHY and administrator of the KINGDOM OF GOD.
Toulouse troque ses euros pour des violettes MONNAIE. Le "sol violette" : c’est le nom de la nouvelle monnaie locale et solidaire mise en circulation ce vendredi 6 mai par la Ville de Toulouse. Plus proche d’aspect du ticket resto que du bifton traditionnel les billets de 1, 5 et 10 sols sont échangeables contre leur équivalent en euros au Crédit Municipal et au Crédit Coopératif- les deux partenaires financiers de l’opération-,sous réserve d’avoir payé 15 euros d’adhésion à l’association Sol.«Le futur consommateur soliste s’engageant ainsi à participer à une économie alternative régie par une éthique indépendante des circuits financiers traditionnels», explique Jean-Paul Pla, l’adjoint à l’économie sociale et solidaire à la mairie. Concrètement le sol n’est pas capitalisable. Exit donc toute velléité de spéculation. La monnaie alternative perd 2% de sa valeur en euros si elle n’est pas dépensée dans un délai de trois mois chez l’un des 40 commerçants et entreprises membres du réseau. Ces derniers, magasins bios, garage associatif, librairies, cinémas indépendants, commerces de vêtements éthiques, sont signataires d’une charte basée sur le respect de l’environnement, la non concurrence et le développement d’initiatives locales. Au mois de juin, le "sol violette" permettra aussi de circuler sur l’ensemble du réseau de transport publics.Avis aux éventuels faussaires. Le sol est équipé d’un code à bulle infalsifiable inventé par une entreprise montalbanaise. «Nous sommes très fiers de cette utilisation locale», explique l’un de ces concepteurs. Sur le fond, le système est lancé sur un territoire de 100 000 habitants réparti des quartiers populaires à ceux plus aisés de l’hyper centre de Toulouse. «Il n’est pas réservé à un public de clients bobos branchés», explique Frédéric Bosqué, le coordinateur du projet Sol. Ce dernier en veut pour preuve la dotation de 27 000 sols attribués par la mairie de Toulouse à trois associations de quartiers spécialisées dans l’aide aux chômeurs. «90 familles en précarité recevront une allocation mensuelle de 30 sols pendant six mois», précise Jean-Paul Pla. «L’objectif est de leur permettre d’accéder elles aussi à une consommation saine». Le sol violette, une stratégie de com ? Une démarche qui va dans le bon sens, défend Patrick Viveret, ex conseiller à la Cour des comptes, et l’un des experts sollicités par Toulouse : «Il est temps que les citoyens se préoccupent de faire de l’argent un bien public au service d’un développement durable», ajoute-t-il. Toulouse espère convaincre 400 solistes d’ici la fin de l’année et un millier en 2012. Pierre Cohen le maire de Toulouse n’exclut pas non plus de verser aux employés municipaux qui en feront la demande une partie de leur salaire en sols. A terme, les créateurs du ce nouveau réseau monétaire espère une large adhésion du secteur entreprenariat local. «Imaginez ce que ca ferait si Airbus consacrait 1% de ses achats dans la région en sols violette», se prend à rêver Frédéric Bosqué. J-M.E
Capitale de l'aviation européenne, Toulouse, pourrait faire prendre aussi de la hauteur à notre économie agrippée aujourd'hui par les serres des banquiers. HISTOIRE DE FRANCE ET DE NAVARRE :
L'institution d'un capitoulat à Toulouse date du comte Alphonse Jourdain, fils de Raymond IV de Toulouse. Les conseillers du comte forment avec les juges du comte un chapitre dit le capitolum. Cette cour, au temps des croisades, juge les procès entre les marchands. Les membres de ce collège municipal adoptent le titre de consuls, puis de capitouls.
En 1147, Alphonse Jourdain rédige les privilèges et fixe à 24 le nombre des consuls. Il désigne un notable pour chacun des six quartiers de Toulouse, afin d'arbitrer et juger les affaires commerciales.
En 1152, Raymond V rédige une charte considérée comme le premier règlement municipal. Le chapitre comprend alors quatre juges, deux avocats et six capitulaires. Ces derniers prennent peu à peu le pouvoir en éliminant avocats et juges.
En 1188, les capitouls profitent d'une guerre entre Raymond V et les rois d'Angleterre et d'Aragon pour arracher l'autonomie. Le comte confirme le pouvoir des consuls publiquement sur le parvis de l'église Saint-Pierre. Les consuls ont désormais le pouvoir de police et de justice, le pouvoir réglementaire, le pouvoir de fixer et relever les impôts, le pouvoir de gérer une milice et de faire la guerre. L'acte fondateur des capitouls est encore commémoré sur une plaque de la mairie: « Le 6 janvier 1189, par un acte solennel, Raimond V, comte de Toulouse, confirme aux capitulaires représentants de la population de la ville les libertés qui fondaient l'indépendance de la municipalité toulousaine. »
Dès 1190, ils achètent une série de maisons pour en faire la maison commune, le palais du Capitole, encore aujourd'hui hôtel de ville.
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ACTUALITE :
Lors d'une réunion de conseillers autour du maire de ma commune, j'ai réalisé, il y a quelques jours, qu'en cas de disfonctionnement grave des institutions, le tissu associatif et communal serait une base naturelle, comme une cellule saine , pour organiser une continuité de vie minimum. Notre futur passera-t-il par notre passé, attestant ainsi, comme l'annonce des scientifiques, que le temps n'est pas linéaire, mais circulaire ?
Est-il normal de confier l’Europe à des anciens banquiers de Goldman Sachs ?
Recruter des banquiers comme pompiers de l’Europe, telle semble être la politique des dirigeants européens, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel en tête.
Mario Draghi nouveau président de la Banque centrale européenne (BCE), Loukas Papadimos nouveau 1er ministre grec et Mario Monti nouveau 1er ministre italien, trois financiers promus dont deux anciens responsables de la sulfureuse banque Goldman Sachs qui a aidé la Grèce à dissimuler des milliards d'euros d'emprunts d'Etat...
Mario Draghi, Loukas Papadimos, Mario Monti, trois banquiers formés initialement aux Etats-Unis, sans parler de l’économiste portugais Antonio Borges qui a été mis en place à la tête du département Europe du FMI par DSK ou de Paul Achieltner, conseiller du directeur général du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) président du géant allemand de l'assurance Allianz et qui a travaillé douze ans pour la banque d'affaires américaine...
Aujourd’hui, leur rôle va être sans doute de préserver les intérêts des banques dans l’actuelle crise européenne. Leur programme est tracé d'avance, quoi qu'en pensent les peuples, réduction des dépenses publiques, diminution des prestations sociales, réforme libérale de l'économie.
Mario Draghi a fait ses études chez les Jésuites. Il est licencié en économie et commerce à l'université de Rome "La Sapienza" en 1970 et diplômé du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été de 1991 à 2001 directeur général du Ministère du Trésor, chargé des privatisations. A ce titre, il a été membre du conseil d'administration de plusieurs banques et sociétés en phase de privatisation (Eni, IRI, Banca Nazionale del Lavoro-BNL et IMI). De 2002 à 2005 il est le vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs, la quatrième banque d'affaires mondiale. Il est devenu gouverneur de la Banque d’Italie en 2006.
Loukas Papadimos est diplômé lui aussi du Massachussetts Institute of Technology. Il a été professeur à l’Université américaine de Columbia avant de devenir conseiller économique de la Banque de réserve fédérale de Boston. De 1994 à 2002, il a été gouverneur de la Banque de Grèce, poste qu’il occupait lorsque la Grèce s’est « qualifiée » pour l’euro, grâce à des comptes falsifiés par Goldman Sachs. Puis, il a été vice-président de la BCE. Il vient d’être nommé, sur pression de l’Union européenne et du G20, premier ministre de Grèce avec le soutien des deux partis dominants dont le parti socialiste grec (PASOK).
Mario Monti est diplôme de l’Université de Yale. Il a étudié le comportement des banques en régime de monopole. Puis il a été durant dix ans commissaire européen, de 1994 à 2004, d’abord « au marché intérieur et aux droits de douane » (ou plutôt à leur suppression…) puis à la concurrence. Membre de la Trilatérale et du groupe de Bilderberg - selon Wikipédia - il a été nommé conseiller international de Goldman Sachs en 2005. Il vient d’être nommé sénateur à vie et l’Union Européenne avec le G20 viennent de l’imposer comme président du conseil italien.
Un gouvernement Goldman Sachs aux commandes de l’Europe
La banque Goldman Sachs est surnommée aux Etats-Unis « government Sachs » tant elle est influente sur le gouvernement américain. Le secrétaire au Trésor de Clinton, Robert Rubin, qui procéda à la dérégulation financière, venait de Goldman Sachs. Tout comme le secrétaire au Trésor de Bush, Hank Paulson, qui transféra aux Etats les dettes pourries des banques, lors de la crise financière.
L’actuel président de Goldman Sachs, Llyod Blankfein, aime à dire qu’il « fait le métier de dieu ». En fait, Goldman Sachs est au cœur de la prédation financière en étant impliquée dans de nombreux scandales financiers : celui des « subprimes », celui de la tromperie de ses clients (à qui elle recommandait d’acheter des produits financiers sur lesquels elle spéculait à la baisse), celui du maquillage des comptes grecs.
La nomination de ces trois hommes clarifie d’une certaine façon les choses. Avec la BCE notamment, ils défendent non pas l’intérêt des citoyens et contribuables européens, mais l’intérêt des banques. Une étude britannique citée récemment par le journal Les Echos a le mérite de quantifier nettement le processus en cours. Cette étude indique que grâce aux « plans de sauvetage » de la Grèce et au mécanisme européen de stabilité financière mis en place par la BCE, le FMI et l’UE, l’exposition de chaque foyer de la zone euro va passer de 535 € aujourd’hui à 1.450 € demain !
Le « sauvetage » de la Grèce et de l’Italie, est donc en fait une gigantesque opération de socialisation des pertes du système bancaire. Il s’agit de transférer l’essentiel de la dette grecque - mais aussi espagnole et irlandaise - des mains des banquiers vers celles des contribuables. Il sera ensuite possible de faire assumer les frais de l’inévitable restructuration de ces dettes par les budgets publics européens.
Comme le disent les Indignés espagnols, « ce n’est pas une crise, c’est une escroquerie ! ». Le Parlement européen a voté le « paquet gouvernance » qui réforme le pacte de stabilité en renforçant les contraintes sur les budgets nationaux et les sanctions contre les pays en infraction. Le Conseil européen a parachevé le travail par la suite. Enfin, avec l’accord européen du 26 octobre dernier, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, ont voulu faire croire à l’opinion publique européenne qu’on était sur la bonne voie.
Mais pour se donner enfin les moyens de résoudre durablement la crise, nous avons besoin d’un changement radical de tous les traités, d’une modification des statuts de la BCE, d’une « règle d’or » pour un minimum de niveau social, fiscal et environnemental en Europe.
Or, rien n’indique que nous allons dans ce sens. Une mesure pourtant simple et efficace n’a même pas été prise par les chefs d’Etat européens : que la BCE prête aux Etats à 1,25 % comme elle le fait aux banques privées qui, elles, prêtent ensuite à 18 % à la Grèce. Cette mesure ne cesse d’être refusée par l'Allemagne et par la BCE, qui se retranchent derrière le traité de Lisbonne qui l'interdit…
Autre mesure renvoyée une nouvelle fois aux calendes grecques : une simple taxe sur les transactions financières, qui la plupart du temps sont purement spéculatives et n’apportent rien à l’économie réelle, suffirait à redresser les finances publiques de tous les états européens...
C’est pourquoi aujourd’hui, une avancée réelle pour obtenir une modification des traités allant dans le bon sens, ne peut advenir que si un gouvernement français futur montrait une vraie fermeté dans sa politique de récupération de souveraineté, en particulier monétaire, cette vraie fermeté consistant à être prêt si nécessaire à sortir de l'Union européenne…
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/est-il-normal-de-confier-l-europe-104543
CHANGER le MONDE si vous le désirez vraiment avec le VEILLEUR- et les HIERARCHIES terrestre et de SIRIUS.
Un MONDE de FRATERNITE, de PARTAGE, d' AMOUR, de LIBERTE et de POLITIQUE MONDIALE de PAIX où chacun mangera a sa faim sans crainte d' AUCUN CONFLIT MILITAIRE de quelque sorte que ce soit.
Tous ceux qui préfèrent cet ancien monde qui s' écroule font leur choix librement - LOI de non INTERVENTION-
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Réunion du G20: les prix des chambres où les chefs d’Etat ont logé La nuit à 37000 euros ! Si si ! Vous avez bien lu, ce sont nos amis Belges qui nous le révèlent ….Serrez vous la ceinture…c’est la crise !!! http://luxembourg.lameuse.be/actualite/monde/2011-11-06/reunion-du-g20-les-prix-des-chambres-ou-les-chefs-d-etat-ont-loge-915562.shtml#ancre_commentaires <http:> Evaluation de cannes 60 millions d'euros</http:> (Belga-EPA) Le sommet des pays les plus riches du monde s’est tenu en fin de semaine dernière, à Cannes. Et ça a coûté (très) cher à la France. Tout ce petit monde, qui parlait des dettes difficiles à rembourser, à logé dans des palaces aux prix les plus élevés. Rédaction en ligne Publié le 06/11 à 18h25 Le journal britannique The Sun a mené sa petite enquête et révèle les prix des chambres des chefs d’Etat. Charité (?) bien ordonnée commençant par soi-même, Nicolas Sarkozy, hôte de ce beau monde, s’était réservé la chambre la plus chère: 32.000 livres sterling, révèle le Sun, soit quelque 37.200€ la nuit. C’était au Majestic. Pour son amie, Angela Merkel, il avait prévu une chambre plus modeste puisqu’elle n’a coûté que 11.600€ la nuit. Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a logé dans la suite Grâce Kelly du Hilton. Prix de la nuit: 35.000€. Même prix pour le président russe Medvedev. Le prince Abdallah d’Arabie Saoudite a logé dans une chambre coûtant 29.000€ la nuit. Tout comme Silvio Berlusconi. Et puis, surprise: David Cameron, le chef du gouvernement britannique a dû, lui, se contenter d’une très modeste chambre à 2000€ au Mariott. Certes, on se doute que tous ces gens ne vont pas loger dans un Formule 1. Mais quand on sait qu’ils étaient là pour parler de la crise économique dans laquelle le monde est plongé, on se dit qu’il y a un gouffre entre ces chefs d’Etat et la réalité quotidienne.
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Les MAITRES "OFFICIELS" de la PLANETE:
Audit The Federal Reserve Reveals 16 Trillion in Secret Bailouts Cette somme a été distribuée aux grandes banques et n'a jamais été rendue et il n'y a pas eu d'intérêts... A quelles fins ? On ne sais pas (encore). Et voici les principaux incriminés (dont des banques européennes, vous apprécierez...) Citigroup: $2.5 trillion ($2,500,000,000,000)Morgan Stanley: $2.04 trillion ($2,040,000,000,000)Merrill Lynch: $1.949 trillion ($1,949,000,000,000)Bank of America: $1.344 trillion ($1,344,000,000,000)Barclays PLC (United Kingdom): $868 billion ($868,000,000,000)Bear Sterns: $853 billion ($853,000,000,000)Goldman Sachs: $814 billion ($814,000,000,000)Royal Bank of Scotland (UK): $541 billion ($541,000,000,000)JP Morgan Chase: $391 billion ($391,000,000,000)Deutsche Bank (Germany): $354 billion ($354,000,000,000)UBS (Switzerland): $287 billion ($287,000,000,000)Credit Suisse (Switzerland): $262 billion ($262,000,000,000)Lehman Brothers: $183 billion ($183,000,000,000)Bank of Scotland (United Kingdom): $181 billion ($181,000,000,000)BNP Paribas (France): $175 billion ($175,000,000,000)and many many more including banks in Belgium of all placesView the 266-page GAO audit of the Federal Reserve(July 21st, 2011): http://www.scribd.com/doc/60553686/GAO-Fed-Investigation voici le lien vers l'article complet : http://www.dailypaul.com/188540/audit-teh-federal-reserve-reveals-16-trillion-in-secret-bailouts Audit The Federal Reserve Reveals 16 Trillion in Secret Bailouts
The first ever GAO(Government Accountability Office) audit of the Federal Reserve was carried out in the past few months due to the Ron Paul, Alan Grayson Amendment to the Dodd-Frank bill, which passed last year. Jim DeMint, a Republican Senator, and Bernie Sanders, an independent Senator, led the charge for a Federal Reserve audit in the Senate, but watered down the original language of the house bill(HR1207), so that a complete audit would not be carried out. Ben Bernanke(pictured to the right), Alan Greenspan, and various other bankers vehemently opposed the audit and lied to Congress about the effects an audit would have on markets. Nevertheless, the results of the first audit in the Federal Reserve’s nearly 100 year history were posted on Senator Sander’s webpage earlier this morning.What was revealed in the audit was startling:$16,000,000,000,000.00 had been secretly given out to US banks and corporations and foreign banks everywhere from France to Scotland. From the period between December 2007 and June 2010, the Federal Reserve had secretly bailed out many of the world’s banks, corporations, and governments. The Federal Reserve likes to refer to these secret bailouts as an all-inclusive loan program, but virtually none of the money has been returned and it was loaned out at 0% interest. Why the Federal Reserve had never been public about this or even informed the United States Congress about the $16 trillion dollar bailout is obvious - the American public would have been outraged to find out that the Federal Reserve bailed out foreign banks while Americans were struggling to find jobs.To place $16 trillion into perspective, remember that GDP of the United States is only $14.12 trillion. The entire national debt of the United States government spanning its 200+ year history is "only" $14.5 trillion. The budget that is being debated so heavily in Congress and the Senate is "only" $3.5 trillion. Take all of the outrage and debate over the $1.5 trillion deficit into consideration, and swallow this Red pill: There was no debate about whether $16,000,000,000,000 would be given to failing banks and failing corporations around the world.In late 2008, the TARP Bailout bill was passed and loans of $800 billion were given to failing banks and companies. That was a blatant lie considering the fact that Goldman Sachs alone received 814 billion dollars. As is turns out, the Federal Reserve donated $2.5 trillion to Citigroup, while Morgan Stanley received $2.04 trillion. The Royal Bank of Scotland and Deutsche Bank, a German bank, split about a trillion and numerous other banks received hefty chunks of the $16 trillion."This is a clear case of socialism for the rich and rugged, you’re-on-your-own individualism for everyone else." - Bernie Sanders (I-VT)When you have conservative Republican stalwarts like Jim DeMint(R-SC) and Ron Paul(R-TX) as well as self identified Democratic socialists like Bernie Sanders all fighting against the Federal Reserve, you know that it is no longer an issue of Right versus Left. When you have every single member of the Republican Party in Congress and progressive Congressmen like Dennis Kucinich sponsoring a bill to audit the Federal Reserve, you realize that the Federal Reserve is an entity onto itself, which has no oversight and no accountability.Americans should be swelled with anger and outrage at the abysmal state of affairs when an unelected group of bankers can create money out of thin air and give it out to megabanks and supercorporations like Halloween candy. If the Federal Reserve and the bankers who control it believe that they can continue to devalue the savings of Americans and continue to destroy the US economy, they will have to face the realization that their trillion dollar printing presses will eventually plunder the world economy.
The list of institutions that received the most money from the Federal Reserve can be found on page 131 of the GAO Audit and are as follows..
Citigroup: $2.5 trillion ($2,500,000,000,000)Morgan Stanley: $2.04 trillion ($2,040,000,000,000)Merrill Lynch: $1.949 trillion ($1,949,000,000,000)Bank of America: $1.344 trillion ($1,344,000,000,000)Barclays PLC (United Kingdom): $868 billion ($868,000,000,000)Bear Sterns: $853 billion ($853,000,000,000)Goldman Sachs: $814 billion ($814,000,000,000)Royal Bank of Scotland (UK): $541 billion ($541,000,000,000)JP Morgan Chase: $391 billion ($391,000,000,000)Deutsche Bank (Germany): $354 billion ($354,000,000,000)UBS (Switzerland): $287 billion ($287,000,000,000)Credit Suisse (Switzerland): $262 billion ($262,000,000,000)Lehman Brothers: $
Parce qu’ils ruinent la confiance, ils sont les pires ennemis du capitalisme. Une équipe coordonnée par Xavier Raufer dévoile dans un livre choc, “la Finance pousse-au-crime”, le rôle majeur joué par la délinquance financière dans la crise actuelle.Et si le crime financier (fraude, escroquerie, trafics en tout genre) était au moins aussi important que “la main invisible des marchés” pour expliquer le déclenchement du cataclysme économique que nous traversons ? Xavier Raufer, que nos lecteurs connaissent bien, a réuni une équipe de choc pour étudier la “scène de crime” d’où tout est parti, le Wall Street des dix dernières années : un policier, spécialiste du renseignement criminel international, Jean-François Gayraud, un universitaire spécialisé dans les sciences de gestion, Pascal Junghans, un inspecteur des impôts, spécialiste du blanchiment, Noël Pons, et un magistrat, spécialiste des questions douanières, Charles Prats. À eux cinq, ils ont dépouillé une montagne de rapports et de documents à la fois judiciaires et financiers, et consulté les sources les plus fiables, des rapports du Congrès américain aux archives de l’Onu DC (Onu Drogue and Crime) qui constatent l’effet d’aubaine créé par la crise des subprimes au profit de l’argent sale, d’origine criminelle ou terroriste, lequel s’est en gouffré dans l’économie légale, en manque de liquidités…Dans le scandale des subprimes lui-même, ils mettent au jour les éléments d’une “escroquerie systémique” qui, profitant de la grande dérégulation de Wall Street, sous Bill Clinton, a mis le feu aux poudres : le détournement, via une ingénierie financière “high-tech”, de l’argent des banques jusqu’alors destiné à l’économie réelle vers des montages frauduleux qui allaient contaminer le monde entier.Des bénéficiaires de cette escroquerie (une poignée de prédateurs ayant revendu à temps la dette de leurs clients insolvables) jusqu’à leurs victimes (les 20 millions de ménages incapables de rembourser), en passant par le contexte législatif et réglementaire ayant permis à ces mêmes prédateurs d’agir sans contrôle, Raufer et ses coauteurs offrent en moins de 150 pages une synthèse lumineuse de la question. Sans oublier quelques portraits instructifs : on découvre les liens structurels qui existaient entre Madoff et des figures de premier plan de la mafia (Robert Jaffe, en particulier) ; on apprend surtout que, bien avant le déclenchement de la crise, des voix s’étaient élevées pour prévoir le pire et que les politiques les ont méthodiquement négligées.Les auteurs sont particulièrement sévères pour l’Administration démocrate : celle de Bill Clinton, sous lequel, écrit Jean-François Gayraud, « Washington (présidence, Congrès) s’est incliné devant New York (Wall Street) » ; mais aussi et surtout l’Administration Obama qui, loin de tirer les leçons de la crise de 2007-2008, a assoupli les derniers obstacles réglementaires qui auraient pu empêcher la fraude de prospérer. Résultat : « La crise a affecté à peu près tout le monde, sauf ses opérateurs directs » dont aucun, à l’exception notoire de Madoff, que le choix du “plaider coupable” a dispensé de s’expliquer, n’a été durablement inquiété par la justice.Or, rappellent les auteurs, « un marché récompensant les pratiques douteuses conduit à une allocation biaisée des ressources. Un marché ne peut fonctionner sans un certain niveau de confiance entre ses acteurs : la méfiance conduit les opérateurs économiques et financiers à la timidité. L’efficacité, à moyen terme, pour l’intérêt général, penche plus du côté des bonnes pratiques que des mauvaises ».La confiance, matériau de base du capitalisme, de l’investissement et de la croissance, voilà bien ce qu’ont détruit les “pousseau- crime” de la finance. Et pourtant, plaide Raufer, on ne peut se passer des financiers ! C’est aussi à eux que s’adresse ce livre, qui plaide pour la lucidité. « Le monde financier doit prendre conscience de l’existence d’une autre main invisible, celle du crime, capable d’intimider, de menacer, de truquer, d’éliminer, et ce dans une discrétion et un silence de mort… Il doit réaliser que le crime organisé transnational n’est pas un agacement mineur, un zéro au bout de la ligne, mais la seule force structurée au monde sachant, depuis quatre ou cinq décennies, manipuler, diriger et dissimuler à travers la planète des centaines de milliards de dollars et d’euros. » Or il en va de la délinquance économique comme de la délinquance tout court. Comme l’écrit Jean-François Gayraud, « moins un système est perçu comme capable de sanctions crédibles et effectives, plus il encourage ses acteurs en situation d’opportunités criminelles à passer à l’acte et à récidiver ». Ce qui est vrai pour un caïd de banlieue l’est aussi pour les candidats à la succession de Madoff. Eric BrancaLa Finance pousse-au-crime, sous la direction de Xavier Raufer, Choiseul, 144 pages, 17 €.
Quand le crime et la fraude nourrissent la criseVA le jeudi, 24/11/2011 dans Dossier d'actualité Version imprimableEnvoyer à un amiDu blanchiment de l’argent de la drogue à la machine infernale des “subprimes”, voici comment la fraude a profité de l’aveuglement des États et de la naïveté des citoyens.Le grand laxisme de l’Administration Obama En mai 2010, James K.Galbraith, éminent professeur d’économie, dépose devant la sous-commission des affaires criminelles de la commission de justice du Sénat américain. Le fils du Prix Nobel éponyme fustige Tim Geithner (ministre des Finances des États-Unis) pour avoir refusé de commanditer un rapport approfondi sur l’étendue de la fraude dans la documentation des prêts hypothécaires, demandé en 2009 par le représentant Lloyd Doggett. « L’étude de la fraude financière a été négligée, s’indigne Gal braith, les économistes ont minimisé le rôle de la fraude dans toutes les crises analysées […] et ils continuent à le faire. »En juin 2010, la Cour suprême des États-Unis restreint la notion de honest services, désormais uniquement invocable s’il y a eu, preuves à l’appui, rétrocommissions ou pots-de-vin.Comme d’usage, un point mineur, un sujet abscons, perdu dans l’infinité des lignes d’un texte immense, une retouche d’allure anodine et technique, et une conséquence claire : épingler les délinquants en col blanc va devenir encore plus ardu pour les procureurs américains. On a bien lu : aux États-Unis, deux ans après Madoff, son futur successeur sera plus difficile encore à attraper et à condamner.Le scandale des bureaux de change mexicains En avril 2006, un DC-9 est saisi sur le tarmac de l’aéroport de Ciudad del Carmen (Mexique) ; il contient près de 6 tonnes de cocaïne. L’enquête révèle que l’avion a été acheté à Oklahoma City (États-Unis) avec des fonds transférés par Wachovia Corp. et Bank of America.Wachovia n’est pas novice, dit le procureur fédéral américain chargé du dossier : quatre “narco-avions” ont été achetés par son truchement, ayant au total transporté 22 tonnes de cocaïne d’Amérique latine à la frontière des États-Unis. De 2004 à 2007, Wachovia a traité environ 380 milliards de dollars pour le compte de “bureaux de change” mexicains implantés aux États-Unis, bureaux dont chacun sait qu’ils sont la commode “pompe à fric” des narcos. Ce flagrant manque de compliance [soumission aux règles, NDLR], ajoute le procureur, a donné à ces derniers « carte blanche pour financer leurs opérations ». […]Fin 2009, Antonio Maria Costa, qui dirige l’Onu Drogue and Crime (OnuDC), avertit qu’au plus fort de la crise (dix-huit mois entre 2007 et 2009, pendant lesquels le système bancaire mondial est quasi paralysé), des banques sevrées de liquidités ont absorbé d’importants flux d’argent criminel, certaines étant sauvées par cet afflux d’argent “noir”. A.M. Costa estime les profits annuels de la criminalité organisée internationale à environ 350 milliards de dollars…Pire que les “subprimes”, le scandale des saisies L’enchaînement des fraudes ayant servi de détonateur à la crise des subprimes est désormais bien établi : des masses de prêts prédateurs- menteurs distribués à des ménages modestes et insolvables ; la titrisation de ces prêts en produits financiers innovants très risqués et abusivement bien notés par des agences spécialisées complices ; enfin leur vente par les grandes banques d’investissement de Wall Street à des clients mal conseillés. Cependant, après le déclenchement de la crise en 2008, on pouvait imaginer que les fraudes avaient cessé. Il n’en fut rien. Depuis, un nouveau scandale en partie criminel a émergé : le foreclosure gate ou le scandale des saisies.Pourquoi ? Avec l’éclatement de la bulle immobilière (la chute des prix), les ménages américains piégés par les prêts prédateurs se sont révélés rapidement incapables d’assumer leurs échéances. Or les procédures de saisies immobilières menées par les mortgage lenders et les banques apparaissent piégées par une multitude d’éléments défectueux (pièces manquantes, erronées ou incomplètes) ou frauduleux (pièces maquillées, signatures falsifiées, documents antidatés, etc.).Pour comprendre une situation aussi étrange, il faut remonter le temps. Pendant les années d’euphorie, des institutions financières ont fait fortune en revendant les prêts hypothécaires sous forme de produits financiers (titrisation) et ont créé à cette fin leur propre système informatisé (appelé MERS) enregistrant ces milliers de transactions de ventes et d’achats. Ce système MERS fait gagner du temps et surtout facilite la revente aux investisseurs de ces tonnes d’hypothèques frauduleuses car il produit des documents peu détaillés sur l’hypothèque et l’emprunteur.Sans documentation suffisante, les acheteurs des produits financiers ne peuvent donc en évaluer la qualité réelle. La crise survenue, les banques et les lenders ont tenté de récupérer les maisons des propriétaires incapables d’honorer leurs échéances de prêts mais ont eu des difficultés à reconstituer la chaîne de la propriété des hypothèques et à retrouver les documents originaux.Certaines banques ont alors contourné l’obstacle en fabriquant de faux documents. La confusion est si grande désormais que parfois plusieurs banques se retrouvent à réclamer la même maison ou à saisir des maisons sans incident de paiement !Comme l’écrit le Prix Nobel d’économie Paul Krugman à propos de ces saisies immobilières douteuses : « Les histoires horribles prolifèrent. »Le chaos de la documentation juridico-financière ainsi dévoilé n’est pas accessoire dans cette crise des subprimes mais un de ses éléments centraux de puis le début.On comprend pourquoi en octobre 2010, les procureurs généraux des cinquante États ont annoncé leur décision d’ouvrir une enquête commune sur les suspicions de fraudes dans ces procédures de saisies immobilières déjà mises en oeuvre ou non encore appliquées. L’enjeu est de taille : près de 11 millions de ces procédures ont été lancées entre 2008 et 2010, 20 millions de personnes sont concernées dont 2,8 millions ont déjà perdu leur logement.Si ces fraudes sont avérées, les banques feront face à des montagnes de procès et perdront leurs droits sur des milliers de maisons. Les pertes pourraient s’avérer abyssales (des centaines de milliards de dollars) et condamner à la faillite certaines banques. Seront-elles à nouveau sauvées ? Le chaos en partie frauduleux des saisies immobilières pourrait compromettre le rétablissement du marché de l’immobilier aux États-Unis. Les enjeux sont donc considérables.Cassandre à Wall Street On l’ignore souvent, mais une partie importante de l’opposition entre régulateurs et dérégulateurs s’est précisément cristallisée sur la question des fraudes. Loin des débats théoriques et abstraits, la “question criminelle” a été en coulisses au centre du débat. Les dérégulateurs ont toujours considéré que les fraudes seraient absorbées, blanchies et évacuées par des marchés autorégulateurs ; leur réalité et leur influence ne pouvant s’avérer que marginales. Les régulateurs, en revanche, doutant de l’infaillibilité quasi divine des marchés, considéraient indispensable l’action d’un arbitre neutre afin de faire respecter les règles des marchés ; faute de quoi les comportements les plus louches prendraient le dessus et les dérégleraient.Lors des années d’euphorie, la majorité des républicains et des démocrates se trouvait du côté des dérégulateurs, avec à leur tête Alan Greenspan. Les voix discordantes étaient isolées. Parmi celles-ci, il y eut Brooksley E. Born qui incarna le rôle d’une Cassandre moderne. À la tête d’une agence aussi stratégique que méconnue, la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), en charge des marchés à terme, elle n’aura eu de cesse de mettre en garde contre les dérives d’un marché sensible et insuffisamment contrôlé.Une anecdote significative mettant en présence ces deux personnalités montre bien la réalité de ce débat cachée aux yeux du plus grand nombre.Peu après sa nomination en 1996 à la tête de la CFTC, B. E. Born est invitée par Alan Greenspan, alors président de la Réserve fédérale, à un déjeuner privé au siège de l’institution à Washington. Que se disent-ils ? B. E. Born rapporte ce surprenant dialogue :A. Greenspan – « Eh bien, Brooksley, je parie que vous et moi ne serons jamais d’accord au sujet des fraudes.B. E. Born – Sur quoi ne sommes-nous pas en accord ? A. Greenspan – Eh bien, vous croirez probablement toujours qu’il faudrait qu’il y ait des lois contre les fraudes, et je ne pense pas quant à moi qu’il y ait un besoin quelconque d’une loi contre les fraudes. »Ce déjeuner résonne pour B. E. Born comme une sonnette d’alarme.Elle réalise l’absolutisme d’Alan Greenspan dans son opposition à toute forme de régulation. Pour un dogmatique comme A. Greenspan, la fraude est simplement un non-sujet. À la tête de la CFTC, B. E. Born constate combien le marché des produits dérivés est dangereux : « Il n’y avait aucune transparence sur ces marchés. Aucune supervision.Aucun régulateur ne savait ce qui s’y passait. Il n’y avait aucun compte à rendre à personne. » En résumé, c’était le Far West. Elle comprend qu’en fait personne ne veut savoir […].B. E. Born aurait été écoutée à l’époque, la crise des subprimes aurait pu être évitée…La “tromperie” de Goldman Sachs L’affaire Goldman Sachs éclate mi-avril 2010 après une plainte de la Securities and Exchange Commission (SEC). Le gendarme de la Bourse reproche à cette banque un double jeu de grande ampleur au préjudice de ses clients. D’un côté, leur avoir vendu des titres subprimes à hauts risques mais très bien notés par les agences et, d’un autre côté, d’avoir créé dans le même temps un produit financier (un CDO) pour et avec un fonds spéculatif (Paulson & Co) en pariant sur son effondrement. Ce type de pari financier à la baisse porte un nom à Wall Street : selling short ou short selling position. Goldman Sachs s’est comporté en “agent double” : comme banquier, il a semblé représenter les intérêts des investisseurs acheteurs de CDO, mais comme trader il a plutôt privilégié ceux de la salle de marché en pariant à la baisse contre ses clients investisseurs. Le cynisme du procédé est patent : est-il illégal ? Cette forme de déloyauté est-elle une fraude ?La banque se défend alors de tout “conflit d’intérêts”, arguant d’une étanchéité totale (Chinese wall) entre ses activités de trading et de conseil. Mais personne à Wall Street n’envisageait sérieusement que la SEC et Goldman Sachs poursuivent trop longtemps leur querelle. Dès juillet 2010, la SEC annonce qu’elle a conclu un accord avec la banque d’affaires.Goldman Sachs s’engage à payer la somme de 550 millions de dollars pour avoir “trompé” ses investisseurs, soit un des settlements les plus importants de l’histoire financière américaine.Cependant, même avec une sanction si rude, la SEC peut-elle réellement triompher ? Pas vraiment puisque ces 550 millions de dollars ne représentent que l’équivalent de 15 jours de profits de la banque en 2009, ou 3 % de l’enveloppe de primes de 16,2 milliards de dollars distribuée en 2009, ou encore 16 % de ses bénéfices du premier trimestre 2010. Surtout, cette pénalité semble bien modeste au regard des bénéfices que les tromperies en cause auraient rapporté à la banque : 15 milliards de dollars.C’est pourquoi nombre d’experts prévoyaient ou espéraient que la SEC imposerait une somme au moins double. Dans cet accord, la banque ne reconnaît pas formellement la “tromperie” mais admet que les documents marketing présentant le CDO douteux (Aba cus) « contenaient des informations incomplètes »(incomplete informations) et que cela avait été « une erreur »(mistake) de ne pas révéler le rôle joué par le fonds Paulson. Finalement, la banque s’en sort bien : le PDG Lloyd C. Blank fein sauve sa tête et la banque réalise en plus un profit substantiel. En effet, dès l’annonce de l’accord avec la SEC, la valeur du titre de la banque augmentait de 2 % à la Bourse de New York dans un marché moribond. Un gain bien supérieur à l’amende fédérale. La réaction du “marché” signifie que, pour les investisseurs, cet accord est favorable à la banque. […] Goldman Sachs se voit désormais attribuer des surnoms probablement caricaturaux mais révélateurs de la perception d’une partie de l’opinion américaine : “Government Sachs” pour pointer son entrisme à Washington ou “Goldman Sacks” (to sack : “piller”) de manière plus infamante.Encore faut-il ne pas se tromper dans l’analyse. Ainsi que le note Paul Krugman : « Goldman Sachs fait très bien son métier. Malheureusement, ce qu’elle fait est mauvais pour l’Amérique.» Et même pour le reste du monde.On ne peut en effet reprocher à un renard d’être un renard, ni à une poule d’être une poule : on peut en revanche s’interroger sur les responsabilités et les raisons de ceux ayant consciemment ouvert les portes du poulailler.La Finance pousse-au-crime, sous la direction de Xavier Raufer, Choiseul, 144 pages, 17 €.
Eclatement de la zone Euro
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La Chronique Agora
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Paris, Jeudi 24 novembre 2011
Selon Sarkozy (Olivier) : la Zone euro aura cessé d'exister d'ici trois mois !...
Philippe Béchade
▪ ... et il en pense quoi, le frangin ?
Si nous devions résumer l'actualité des dernières heures (disons de celles écoulées depuis lundi), nous retiendrions que les liquidités se font rares sur les marchés. La ressource monétaire devient chère pour l'Autriche et surtout l'Espagne. Cette dernière a émis mardi, dans la douleur, une série d'emprunts à échéance très courte, avec un écart de taux record par rapport à l'Allemagne.
Comme pour exacerber toutes les craintes des créanciers, la nouvelle équipe qui vient de prendre le pouvoir en Espagne redoute également que la réalité des déficits régionaux ait été largement travestie par le gouvernement de M. Zapatero.
▪ Ce ne fut pas la seule mauvaise surprise du jour. Les marchés ont été douchés par l'échec cuisant d'une émission obligataire de bons du Trésor à 10 ans... en Allemagne !
La "Buba" n'a pu placer mercredi matin que 3,5 milliards sur les six milliards d'euros de Bunds proposés aux enchérisseurs.
Soucieux de rassurer le gentil contribuable européen, des "experts" s'empressaient d'incriminer un niveau de rémunération peu attractif : moins de 2%. Cela ne fait pas lourd en effet... mais ce n'est pas ce genre de considération qui dissuadait les acheteurs depuis le début de l'été dernier car la sécurité, ça n'a pas de prix !
L'Allemagne est-elle aussi exemplaire qu'elle l'affecte auprès de ses partenaires européens, parfois soupçonnés de tripatouiller les chiffres relatifs à leur endettement ?
Certains articles parus en début de semaine dans la presse française et anglo-saxonne évoquent un recours à certaines astuces comptables en usage dans les Länders (régions allemandes jouissant d'un statut d'autonomie budgétaire) pour minorer le montant de la dette de l'Etat fédéral, laquelle serait en pourcentage très proche de celle de la France.
Et d'après certaines études, c'est l'Allemagne qui présente les plus forts risques de récession à l'horizon 2012/2013 dans la mesure où l'activité industrielle chinoise se contracte cet automne. Cela met en évidence des excédents de capacité de production très importants : les besoins en machines-outils de l'empire du Milieu pourraient plonger en chute libre, sans négliger la multiplication des grèves qui paralysent les usines.
Pékin ne peut pas s'opposer à une vague de fond de dizaines de millions d'ouvriers qui réclament de meilleurs salaires : c'est le seul moyen d'assurer des débouchés à la production locale si la récession s'aggrave en Occident.
S'il faut intervenir pour combler parallèlement le passif généré par des milliers d'entreprises qui cesseront d'être rentables en cas de hausse de leurs coûts de production (c'est déjà le cas dans le contexte actuel de concurrence effrénée entre pays émergents)... la Chine verra fondre ses réserves de change. Il faudrait alors s'attendre à ce qu'elle soit progressivement moins présente lors des émissions de la BCE ou de la Fed en 2012 et les années suivantes.
Brassez énergiquement toutes ces charbons ardents micro- et macro-économiques et vous obtenez une forte élévation de la température dans la cocotte-minute de la crise de la dette.
▪ Il n'en faut pas beaucoup plus pour conclure, comme M. Olivier Sarkozy (le demi-frère du président, à la tête d'une filiale du Carlyle Group) qu'un credit crunch généralisé est imminent et que l'éclatement de la Zone euro devrait survenir sous trois mois !
Nous sommes convaincu que les derniers échanges téléphoniques entre les deux frangins ont été animés. Si toutefois ils se sont parlé mercredi soir, entre un coup de fil à José Manuel Barroso (qui continue de s'accrocher à son projet d'Eurobonds) et Angela Merkel, qui se demande symétriquement pourquoi M. Barroso ne comprend pas qu'ils ne verront jamais le jour puisque l'Allemagne s'y oppose de la manière la plus formelle.
Nous ne sommes pas loin de nous demander si M. Sarkozy (Olivier) n'a pas un peu raison !
Les marchés, qui excluaient l'hypothèse d'un éclatement de l'Eurozone jusqu'au 27 octobre dernier (adoption à reculons du principe mort-né du FESF), commencent également à se dire que la situation commence à prendre une bien étrange -- et bien inquiétante -- tournure.
▪ Ces sombres pensées alimentent un courant vendeur qui ne s'est pas tari depuis cinq séances de repli consécutif. Le CAC 40 s'est donc enfoncé un peu plus profondément sous les 2 850 points mercredi soir, vers 2 822 points. De son côté, l'Euro-Stoxx 50 dévissait de 1,9%, sous les 2 100 points ; le voici revenu à 2% de son plancher annuel.
Le biais restait également baissier à Wall Street, qui accélérait à la baisse après deux heures et demi de cotations. Le Dow Jones qui chutait de 200 points, retombant sous les 11 300 points.
Pendant ce temps, de fin stratèges tentent de rassurer leur clients avec des "ça baisse mais il n'y a pas de panique" ou "ce n'est pas très alarmant, il n'y a pas de volumes".
Les épargnants qui se laissent convaincre que rien de grave ne saurait survenir se font laminer... Cela fait 400 points perdus sur le CAC 40 en huit séances et -- 600 points depuis le 27 octobre dernier (3 410/2 820).
Pour couronner le tout, notez que l'ensemble des supports graphiques moyen terme ont été cassés en même temps, aussi bien en Europe qu'à Wall Street. L'un des aspects techniques les plus alarmants de la séance de mercredi, c'est la franche cassure du plancher des 1,3430 $ par l'euro en direction des 1,3350.
▪ Prétendre dans ces conditions que l'absence de volumes rend le mouvement de repli actuel presque bénin est manifestement une lourde erreur d'appréciation. Paris a perdu 10% en huit jours sans jamais rebondir : c'est clairement un scénario qui fait mal au portefeuille.
Si l'on creuse un peu la question des volumes, leur étroitesse renforce à mon avis notre sentiment de malaise. Vous y voyez la preuve évidente d'une raréfaction de la liquidité.
En effet, nous savons que la plupart des gérants font face à un flux de retraits des fonds actions, notamment en provenance de l'assurance-vie. L'affirmation selon laquelle les SICAV sont gorgées de cash est une sorte de conte de fées pour faire croire qu'elles attendent juste le bon moment pour revenir en force sur le marché.
Mais ce n'est pas l'aspect le plus inquiétant : la contraction des volumes va de pair avec le gel des échanges interbancaires. C'est tellement évident que personne n'ose faire le lien... tant cela donne des sueurs froides.
Les BFI (banques de financement et d'investissement) n'ont plus d'argent pour spéculer. Et les banques européennes au sens large ont de plus en plus de mal à trouver du dollar pour poursuivre leurs opérations sur les marchés aux Etats-Unis.
Autrement dit, si l'on enchaîne les séances à 2,5 milliards d'euros, cela traduit également le manque de moyens des acheteurs. C'est une situation particulièrement alarmante compte tenu du mode de fonctionnement des marchés depuis 10 ans -- des marchés qui vivent surtout à crédit.
Il est facile d'observer que les phases d'expansion des cours correspondent à celles de gonflement de liquidités -- généralement les périodes d'assouplissement quantitatif. Les indices ont grimpé deux à trois fois plus vite en 2009 et 2010, que ce que justifiaient les conditions économiques sous-jacentes.
C'était typiquement des marchés de bulles d'actifs.
Nous sommes tout simplement en train de vivre le processus inverse : contraction de la liquidité, récession économique en Occident, baisse de la croissance dans les émergents, chute des effets de levier dans les hedge funds, sous pondération des OPCVM en actions.
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Je vous invite à lire le site de Pierre Jovanovic et sa Revue de Presse Economique... www.jovanovic.com Pour ceux qui ne causeraient pas le Shakespearien voici un site gratuit de traduction : http://www.reverso.net Extrait : (mais la suite est aussi dans le même ton...) SEMAINE "EXPLOSIVE" EN PERSPECTIVE du 21 au 24 novembre 2011... : Jeudi et vendredi dernier ont vu une fuite massive d'Europe: les capitaux ont fui, les bons du trésor italiens, espagnols, etc., vendus à toute hâte, bref ça sent le roussi. Les anglo-saxons ont même rajouté de l'huile sur le feu, encore, disant que si la BCE ne se met pas tout de suite à la planche à billets, eh bien c'en sera terminé de l'euro. "Either the ECB Prints and Germany Walks... or the EU Sees a Domino Debt Collapse Followed by Systemic Failure" dit par exemple Phoenix Capital Research. Et ils ne sont pas les seuls. Les Anglais ne veulent pas répondre à la demande de rejoindre l'euro d'Angela Merkel (sic). Ainsi, le DailyMail a titré: "Scrap the Pound and join the sinking Euro! German minister claims Britain WILL join single currency as Merkel tries to scupper OUR vote; The extraordinary comments by finance minister Wolfgang Schäuble come as David Cameron arrived in Berlin to meet Angela Merkel, pictured today". Seul Bruxelles décidera s'il faut endetter encore plus les Européens. Cela dit, la planche à billets a montré depuis 2008 qu'elle ne servait pas à grand chose à partir du moment où la confiance est rompue entre les banques. Et là, que ce soit ici ou à New York, grâce à MF Global, la situation est désespérée... On va voir exactement ce qui va se passer. Le Telegraph a titré: "The euro is a macro-economic weapon of mass destruction, it simply must be defused." !!! Enorme... Et voyez BlackRock: ils risquent d'être réduits en bouillie si les CDS sur les bons du trésor ne sont pas déclenchés: "Blackrock Bond Creditors European Central Bank Greece Ireland Italy Meltdown Portugal" un papier Reuters sur ZH. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2011— Le Blythe Masters via le site éditeur. — Envoyez ce lien à votre banquier et à tous vos amis..— Mon avant-dernier bébé: "777, la chute de Wall Street et du Vatican"! Vos critiques sont ici, la 4e de couve ici.— 40 pages pdf de NOTRE-DAME DE L'APOCALYPSE. La Revue de Presse est ici. Recevez le catalogue gratuit.— Rediffusion des news, mise en réseau public ou privé, sous quelque forme sont interdites sans l'accord préalable de l'auteur.— La Revue de Presse radio sur 95,2 Mhz direct un mercredi sur deux 14h.
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