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Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer

 

 

 

 

Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer

La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.

Ce passage contenu dans le documentaire  » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus plus grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde:

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=edikv0zbAlU#!

Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.

Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).

Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend  » pudiquement à une pureté de 90%.

Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:

- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités

- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.

Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain ( lequel est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité  » affaibli « - avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation:  néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).

Etant donné que cette « matière toxique organique » est injecté directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimer le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière acculte et inobservable.

C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.

Le SV-40 – contaminant - ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire, un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.

Les chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le mésothéliome.

Selon le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ 1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations » pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.

Le Dr Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les décès, et plus encore.

Posté par jean Meunier

      



09/04/2013
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