GRAAL -ARTHUR-EXCALIBUR - PAIX-LIBERTE-AMOUR DIVIN

tradition orale que se transmettent les gardiens de la halaka (loi rabbinique

La vraie raison pour laquelle Jésus fut rejeté et mis à mort par les grands prêtres juifs.

Un petit texte sans prétentions mais c'est la vraie histoire.
 
           
    
Ce qui va suivre fait partie de la tradition orale que se transmettent les gardiens de la halaka (loi rabbinique), il    sera donc très difficile de trouver des sources sur ce sujet et ce d'autant plus que le Jésus dont il sera est question ici est assez différent de l'icône que les pères de l'église se sont    dépêches d'affubler de traits empruntés à diverses doctrines gnostiques.
Je rappelle que le nom même de Jésus à été inventé de toutes pièces afin de correspondre à d'inavouables calculs    guématriques, qu'en fait il s'appelait "Issa", prononçable "Yechoua" en Araméen.
Physiquement il n'avait sûrement pas les yeux bleus et les cheveux blonds, et il était loin d'être chétif, d'ailleurs    il n'hésitait pas à taper du poing comme en témoigne l'opération menée contre les marchands du temple.
C'est donc du véritable Jésus dont il sera question, pas de l'icone Hollywoodienne.
Une haine toujours vivace
Tout d'abord il est aisé de constater que 2000 ans après les faits, le commun des juifs voue à Jésus et aux chrétiens de tous bords    un mépris à peine voilé.
C'est ainsi que le prophète est aimablement affublé du surnom d'acrobate ou de trapéziste du fait de sa position sur    la croix.
Les religieux vont jusqu'à faire des prières afin de les maudire lui sa mère et ses adeptes et il existe une quantité    phénoménale de litanies insultantes à leur encontre qu'il serait trop long d'exposer ici.
On s'aperçoit aussi qu'en agissant ainsi ils ne font que suivre les préceptes que leurs ont inculqué les docteurs de    la loi, les sages de la Thora. Eux mêmes ne savent pas vraiment pourquoi il leur est demandé d'agir ainsi. Pour eux, Jésus était un hérétique coupable d'avoir voulu privilégier l'esprit de la loi    sur le texte, le fond sur la forme.
Rappelons qu'en ce temps les prêtres juifs exerçaient une véritable dictature par le biais de lois complètement    absurdes, incompréhensibles et très contraignantes (d'ailleurs cela ne s'est pas arrangé depuis).
Pour les religieux, Jésus s'est présenté en tant que réformateur, il a contesté le pouvoir des prêtres et c'est à ce    titre qu'il a été châtié.
Bien entendu la vérité est tout autre mais seuls les "sages d'Israël" la connaissent pleinement.
Néanmoins, elle transparaît dans certains passages du nouveau testament et il est possible a celui qui à l'esprit    avisé d'en deviner le contenu.
Le noeud du problème réside dans la raison pour laquelle les grands prêtres d'Israël ne l'ont pas accepté comme    Messie. C'est une raison simple voire enfantine mais néanmoins inavouable, mais avant d'y venir il faut retracer le contexte de l'époque.
Il y a 2000 ans, la Palestine est en ébullition, les esprits s'échauffent (comme aujourd'hui ), l'excitation est à    son comble : ça y est ! l'heure de la délivrance va bientôt sonner, le joug de l'expiation va se lever, une nouvelle ère s'annonce, c'est la fin des temps, l'ére messianique !
Pour résumer, les juifs sont convaincus de l'imminence de l'arrivée du Machiah fils de David, personnage    eschatologique légendaire qui va restaurer le royaume d'Israël et les débarrasser de la tutelle romaine.
    Pourquoi en sont ils si sûrs ?
C'est mathématique, d'après la prophétie, il doit arriver après "un temps, des temps, et la moitié d'un temps" une    expression qui fait référence à la doctrine des yugas mais que les sages juifs ont par ignorance traduit par "3 jours et demi".
Et comme il est dit dans la Thora que pour Dieu, un jour est comme un an, et un an comme mille ans, et comme selon le    calendrier hébraïque le monde a été crée il y a 3500 ans, ils sont donc sûrs et certains de leurs calculs.
D'ailleurs la majeure partie du peuple juif a fait son alyah (comme aujourd'hui ), il reste bien des réfractaires qui    ont préfère s'en tenir à la loi et rester en exil en mésopotamie (le Mossad se chargera de les faire revenir au XXéme siécle ).
Qui plus est, du point de vue astrologique, une nouvelle ère s'annonce celle des poissons (aujourd'hui on nous    rabâche les oreilles avec l'ere du verseau).
Donc tous les signaux sont au verts, ne manque plus que le principal intéressé, ce fameux Messie.
A quoi le reconnaîtrons ils ?
La tradition orale et cachée (orale car elle n'est écrite nulle part, cachée car des esprits désincarnés en sont à    l'origine) stipule un certain nombre de signes qui permettrons de reconnaître cet individu hors du commun.
-Tout d'abord, il sera de la lignée du roi David. (ce qui n'est pas reluisant car David n'est même pas juif selon la    loi rabbinique puisque sa mère était une moabite, un peuple issu de pratiques incestueuses).
-Il connaîtra la Torah mieux que quiconque puisqu'il fera en sorte que tous se mettent à l'étudier.
-Il pourra tuer qui il veut rien qu'avec le souffle de sa bouche. (Moise est réputé avoir eu le même    pouvoir).
Tous les rabbins connaissent ses signes mais il en existe un autre que seuls les "grands de la torah", les maîtres du    peuple d'Israël connaissent, et depuis le temps de Jésus ils gardent le secret puisque sa nature même n'est pas conforme aux préceptes spirituels de la religion mosaïque.
- Simplement le messie est censé s'être accaparé toutes les richesses de la terre.
Ce n'est pas une affirmation à prendre au sens figuré, ou une quelconque métaphore, le messie en question n'est pas    censé être immensément riche, non, il doit posséder en son nom propre la majeure partie des richesses du monde.
Il y avait des juifs très riches du temps de Jésus comme du temps de Moise (la légende raconte que l'un d'entre eux    avait 600 ânes pour transporter rien que les clefs de ses coffres), mais aucun n'a jamais prétendu au titre de messie. Non, celui que les juifs attendaient et continuent d'attendre, doit selon la    doctrine secrète posséder un droit de propriété inaliénable sur tout ce qui a une quelconque valeur pécuniaire sur l'ensemble du globe terrestre.
A l'époque cette incroyable prétention aurait pu faire sourire, comme ce fut le cas en 1897 lors de la révélation du    projet de création d'un état pour les juifs, mais à l'heure de la mondialisation et de la gouvernance globale force est de reconnaître que cet objectif est à portée de ces dynasties de la haute    finance qui par le biais d'un endettement généralisé peuvent se prévaloir d'une hypothèque sur l'ensemble des biens produits. Qui l'eut cru ?
Jésus Vs les sages de la Torah.
C'est dans ce contexte d'effervescence pré-messianique qu'un pauvre fils de charpentier commence à faire parler de    lui à Jérusalem.
Ses sermons amènent une foule grandissante, il s'en prend aux docteurs de la loi, les traite de face de serpents,    renverse les tables des changeurs de monnaie sur le parvis du temple.
Des disciples le suivent, il fait des miracles, guérit des malades, il a le "Roah Akodesh" en lui (esprit saint), il    aide les pauvres, leur promet le royaume des cieux. La foule est subjuguée, là où il passe des attroupements se forment. Il veut apporter la torah aux goys et comble du comble il déclare être le    Messie !
S'en est trop pour les sages d'Israël qui décident de le convoquer un examen en bon et due forme.

Manque de pot, c'est un descendant du roi David, il connaît la torah sur le bout des doigts (on l'appelle même    rabouni, c'est à dire maître).
Après toute une série de questions pièges, le chef du sanhédrin lui pose la question qui lui brûle les    lèvres:
-Est tu le Messie ?
-Oui, je le suis.
-Mais alors, où est ton royaume ?
(Dans leur esprit le Messie ne peut être qu'un roi qui s'est lancé à la conquête du monde comme Alexandre le    Grand).
-Mon royaume n'est pas de ce monde, il est dans les cieux.
S'en est trop pour les docteurs de la torah qui déchirent leurs chemises en signe de colère. Un charpentier pauvre de    surcroît a prétendu être le richissime messie, c'est un affront qui ne doit pas rester impuni.
A ce moment du récit, les versions divergent, selon les chrétiens il aurait été crucifié au terme d'une journée de    tortures, selon les musulmans, il s'est envolé au ciel. Dans les 2 cas, il en redescendra le jour du jugement dernier.
Les juifs quand à eux se sont dépêchés d'oublier cet épisode traumatisant dont on trouve néanmoins des traces dans    les archives rabbiniques de l'époque.
En quoi le magistère de Jésus fut traumatisant pour l'élite juive de l'époque ? Ils ont parfaitement compris la parabole de Jésus qui leur a démontré qu'au lieu de privilégier le spirituel, ils se    sont complètement abandonnés au matérialisme, c'est à dire en fin de compte à Satan.
Cet épisode marque une rupture dans le judaïsme, la prophétie s'est interrompue, l'alliance scellée sur le mont Sinaï    entre Dieu et les juifs a été rendue caduque. A partir de ce moment toutes les malédictions prophétisées ont commencé à s'abattre sur eux, le temple a été détruit, l'arche d'alliance fut profanée    et comme prophétisé, ils ont étés mis en esclavage et déportés.
6 siècles plus tard, la révélation de Muhammad les plonge encore plus dans la perplexité, peuple limité en nombre,    ils doivent lutter sur les 2 fronts sans cesse croissants que sont le christianisme et l'islam. Les temps modernes en créent un troisième, celui de l'assimilation, ils sont contraints de    reconstruire des murs, de reformer des ghettos.
Le XX éme siècle leur a donné un berger qui a rongé même la corne de leurs sabots, Ils se posent la question : Dieu    les aurait il abandonné ?
Mais miracle ! La terre promise est de nouveau entre leurs mains, puis c'est le tour de Jerusalem et comme à    l'époque, il ne manque plus que le messie. Reste plus qu'à trouver celui qui aura un compte en banque assez garni et les juifs pourront aborder la nouvelle ére messianique comme il se    doit.



05/02/2014
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