Una bomba atomica sulla Luna, un piano Top-Secret datato 1958 e che coinvolgeva le istituzioni scientifiche e militari americane.
“Project A119”, questo il nome in codice dato al piano segreto che, ancora oggi, non viene riconosciuto ufficialmente dalla Casa Bianca. Come e perché si voleva far detonare un ordigno nucleare sul suolo lunare? Quali gli scopi e i risultati concreti che Washingtonintendeva raggiungere?
Inizialmente l’ipotesi di un “bombardamento” atomico sulla superficie lunare avrebbe avuto essenzialmente finalità scientifiche, un esperimento astronomico in pratica. Tuttavia, il sospetto malcelato è che dietro le motivazioni prettamente accademiche vi fosse una finalità essenzialmente politica e militare. Basta analizzare lo scenario della Guerra Fredda dell’epoca: siamo alla fine della presidenza di Dwight Eisenhower, l’Unione Sovietica ha appena festeggiato il successo dello Sputnik. Gli Stati Uniti d’America, soprattutto nella percezione dell’opinione pubblica interna, necessitano di una prova di forza tecnologica ancor prima che militare. Viene così rispolverato dai cassetti un vecchio piano che prendeva in esame la detonazione di una bomba atomica sulla Luna.
Esplosione sulla Luna che sarebbe stata chiaramente visibile dalla Terra, aspetto quest’ultimo tutt’altro che secondario.
I propositi statunitensi, tuttavia, si risolsero in un nulla di fatto. Probabilmente la realizzazione operativa fu procrastinata nel tempo: al fine di valutare eventuali conseguenze negative per il nostro pianeta e considerare l’ampia gamma di rischi. Sino alla cancellazione definitiva. Cosa portò all’ annullamento del “Project A119”?
Dopo l’abbattimento dell’aereo-spia U2 nel maggio del 1960, i rapporti tra Mosca e Washington raggiunsero l’apice della tensione. Far esplodere una bomba atomica sulla Luna, con tutte le incognite in caso di imprevisti o fallimento della missione, avrebbe innalzato la tensione internazionale sino ad una pericolosa spirale geopolitica. Al Cremlino, inevitabilmente, avrebbero interpretato il “Project A119” come un atto intimidatorio, se non addirittura di guerra. Con tutte le conseguenze del caso.
Top Secret, la bombe atomique sur la lune : alors sauté sur le "projet A119 ″
Publié le 6 mai 2016 dans les mystères de l'espace par Paolo Messacantata
, un plan top secret daté de 1958 et des institutions militaires et scientifiques américaines.
« Projet A119 » était le nom de code donné au plan secret encore non reconnu officiellement par la maison blanche. Comment et pourquoi vous avez voulu faire exploser un engin nucléaire sur la surface lunaire ? Ce que les résultats concrets prévus que Washington avait l'intention d'atteindre ?
Au départ l'hypothèse d'une « bombe » atomique sur la surface lunaire aurait essentiellement scientifique, astronomique expérience dans la pratique. Toutefois, le soupçon est que purement théorique motivations non dissimulée là était essentiellement des objectifs politiques et militaires. Analyser simplement le scénario de la guerre froide : nous sommes à la fin de la présidence de Dwight Eisenhower, l'Union soviétique vient de fêter le succès de Spoutnik. Les États-Unis d'Amérique, notamment dans la perception du public intérieur nécessitent une confrontation avant même que la technologie militaire. Est ensuite dépoussiéré de plateaux un ancien régime qui a pris en considération, l'explosion d'une bombe atomique sur la lune.
Explosion sur la lune qui serait bien visible depuis la terre, ce dernier semble loin d'être secondaire.
Intentions d'américains, cependant, a abouti à une impasse. Probablement la mise en oeuvre a été retardée au fil du temps : afin d'évaluer les éventuelles conséquences négatives pour notre planète et tenir compte du large éventail de risques. Jusqu'à l'annulation définitive. Ce qui a conduit à l'annulation du « Projet A119 » ?
Après la démolition de l'avion-espion U2 en mai 1960, les relations entre Moscou et Washington ont atteint le summum de la tension. Faire exploser une bombe atomique sur la lune, avec toutes les inconnues de l'incident ou l'échec de la mission, aurait augmenté la tension internationale jusqu'à une géopolitique de la dangereuse spirale. Au Kremlin, inévitablement, ils auraient joué le « projet A119 » comme un acte d'intimidation ou même la guerre. Avec toutes les conséquences de l'affaire
