VACCINS MONDIALISATIOBN DECES MALADIES DANGER A LIRE ET FAIRE CONNAITRE
Décès subit du célèbre juge italien anti-mafia Imposimato alors qu'il prévoyait une action contre l'obligation vaccinale et la Ministre de la Santé
Hier, le pharmacien français Serge Rader nous prévenait au sujet du décès subit du célèbre juge italien Fernando Imposimato qui avait clairement pris position contre l'infâme obligation vaccinale (en Italie, mais aussi en France et en général):
"J'ai appris hier la mort de Ferdinando IMPOSIMATO, décédé étrangement ce 2 janvier 2018 à 81 ans alors qu'il était en pleine forme ces derniers mois. Il devait être parmi nous à Paris ce mois de Septembre mais n'a pu venir en raison de l'hospitalisation de son épouse.
Il était le Président honoraire de la Cour suprême de Cassation italienne et s'était,entre autres, occupé de l'affaire Aldo Moro et de la tentative d'assassinat de l'ancien pape.
Il était une personnalité très appréciée en Italie et avait été pressenti comme Président de la la République mais après plusieurs tours, le système lui a préféré l'actuel MATARELLA. Plusieurs fois Sénateur et député, il a participé aux grandes manifestations italiennes contre l'obligation vaccinale en la déclarant anticonstitutionnelle (Art 32) et criminelle et qu'elle n'était qu'un pot-de-vin légalisé fait à l'industrie pharmaceutique.
Il préparait une attaque pénale contre l'actuelle Ministre de la Santé Beatrice Lorenzin et acolytes."
Fernando Imposimato avait dans le passé aussi dénoncé l'implication du groupe Bilderberg dans des attentats survenus en Italie:
Il avait, en outre, aussi dénoncé le rôle véreux de l'OTAN.
Voir aussi:http://initiativecitoyenne.be/2018/01/deces-subit-du-celebre-juge-italien-anti-mafia-imposimato-alors-qu-il-prevoyait-une-action-contre-l-obligation-vaccinale.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
Vaccination antigrippale à dose renforcée: plus de 100 seniors décédés dans les essais cliniques
Vaccination antigrippale à dose renforcée:
Plus de 100 seniors décédés
Par Yelena Sukhoternia, 6 janvier 2016
Les praticiens de soins de santé et les personnes âgées reçoivent deux brochures différentes sur le vaccin contre la grippe. Des informations clés ne figurent pas dans la brochure des seniors.
Comme c’est le cas tous les hivers, le marketing continue de pousser le vaccin contre la grippe. Le CVS-Pharmacy offre même un bon de réduction de 20% sur les achats aux personnes qui acceptent de se faire vacciner contre la grippe On commercialise aussi un vaccin à forte dose qui est bien sûr plus rentable pour les fabricants et la pharmacie, bien qu’il y ait de multiples raisons de s’en méfier, en particulier pour les personnes âgées. Le Fluzone High-Dose est un vaccin injectable spécifiquement approuvé pour les personnes de 65 ans et plus. Fabriqué par Pasteur, ce vaccin contient trois souches de grippe et quatre fois plus d’antigènes (substances qui provoquent la réponse immunitaire) que les vaccins ordinaires contre la grippe, affirme CVS-Pharmacy. (Rite Aid offre également ce vaccin et admet que « d’autres études sont en cours » pour vérifier si ce vaccin apporte vraiment une amélioration.)
La compagnie pharmaceutique admet que le vaccin n’est pas recommandé pour les personnes ayant déjà présenté des réactions indésirables aux vaccins dans le passé (en particulier le Syndrome de Guillain-Barré).
Mais, entre les campagnes de marketing et l’offre d’une réduction de 20% sur des achats, une information essentielle a été omise : 105 seniors sont morts après avoir participé à deux essais cliniques des vaccins à haute dose (Fluzone haute-dose), et 91 personnes sont mortes après avoir été vaccinées avec le vaccin Fluzone habituel.
Rite Aid et d’autres compagnies pharmaceutiques offrent également le vaccin, mais beaucoup de personnes se demandent si on dit la vérité aux seniors par rapport aux risques que pourraient présenter ces vaccins.
Deux essais cliniques ont été menés avant l’approbation du Fluzone. Les deux études ont été menées et parrainées par Sanofi Pasteur, le fabricant même du vaccin (clair potentiel de conflits d’intérêts).
Dans la première étude, 2.573 adultes âgés de 65 ans et plus ont reçu la dose « élevée » du Fluzone et 1260 personnes ont reçu l’injection du vaccin habituel du Fluzone. Parmi ces personnes, on trouve un nombre important de seniors qui ont présenté un effet indésirable grave dans les 6 mois qui ont suivi la vaccination (156 personnes avaient reçu le vaccin à dose élevée et 93, le vaccin habituel.)
En outre, 16 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 7 autres qui avaient reçu le vaccin habituel sont mortes entre le 29ème jour et le 180ème jour après la vaccination. Mais, comme le dit la notice reçue par des patients sans méfiance, « aucun décès n’a été signalé dans les 28 jours qui ont suivi la vaccination. »
Les compagnies pharmaceutiques sont connues pour présenter les résultats des études de manière à minimiser les risques, et beaucoup se sont demandé si ce n’était pas le cas du Fluzone, y compris le site Health Impact News dans un article publié en 2013 dans les médias sociaux.
Habituellement, les études rapportent les résultats en chiffres ronds pour les effets indésirables survenus au cours des 30, 60 et 90 premiers jours. Dans le cas de cette étude, on a choisi de préciser qu’aucune personne n’est décédée au cours des 28 premiers jours après le vaccin. Mais un total de 23 participants à l’étude (dose élevée et dose régulière) sont morts à partir du 29ème jour. Pourquoi a-t-on choisi le 29ème jour pour commencer à compter ?
Deuxième étude : Davantage de réactions indésirables et plus de décès.
Au cours de la seconde étude, 15.992 adultes âgés de 65 ans ou plus ont reçu la dose élevée de Fluzone et 15.991 personnes ont reçu le vaccin habituel. Les résultats montrent que 1323 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 1442 qui avaient reçu le vaccin normal ont présenté des effets secondaires graves dans les 6 à 8 mois qui ont suivi la vaccination (204 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 200 personnes qui avaient reçu le vaccin normal ont présenté des effets secondaires graves endéans les 30 jours qui ont suivi la vaccination.) En outre, 83 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 84 personnes qui avaient reçu le vaccin normal sont mortes dans les 6 à 8 mois. 6 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose sont mortes dans les 30 jours qui ont suivi la vaccination.
Selon la fiche d’information du vaccin Fluzone, aucun de ces décès n’était lié au vaccin. La fiche précise : « ces données ne fournissent pas la preuve d’une relation causale entre les décès et la vaccination Fluzone - haute dose. »
La première étude affirme que les décès ne peuvent être liés à l’étude clinique car, « la majorité de ces participants avaient des antécédents médicaux de maladies cardiaques, hépatiques, néoplasiques, rénales et/ ou respiratoires ». La deuxième étude affirme la même chose : la majorité des participants ayant « une ou plusieurs maladies comorbides chroniques.»
La question se pose – sans plus d’investigation, comment ces chercheurs sont-ils arrivés à la conclusion qu’aucun décès n’était lié à la vaccination ? Pourquoi les données concernant les personnes âgées ayant des problèmes de santé et les personnes n’ayant pas de problèmes de santé particuliers n’ont-elles jamais été comparées ou ajoutées à la notice ? Pouvons-nous vraiment faire confiance aux dires de l’entreprise pharmaceutique qui a commandité sa propre étude ?
Quoi qu’il en soit, 105 décès et la quantité d’effets secondaires indésirables enregistrés dans les deux études présentent de sérieux signaux d’alarme pour quiconque envisagerait de recevoir un vaccin contre la grippe. Les effets indésirables graves comprennent des problèmes potentiellement mortels, comme le Syndrome de Guillain-Barré qui, avec ses paralysies ressemble à la poliomyélite.
C’est peut-être là une des raisons pour lesquelles le patient doit, avant de recevoir le vaccin, signer un formulaire de consentement.
Le formulaire de consentement: sensibilisation au risque, ainsi qu’à l’impossibilité de poursuivre la Compagnie
Lors d’une vaccination, (selon Rite Aid), le patient doit lire et signer un formulaire qui comprend les éléments suivants :
« J’ai bien lu ou me suis fait lire la fiche d’information sur la vaccination. J’ai eu l’occasion de poser des questions à ma satisfaction, ainsi que de comprendre les avantages et les risques du/des vaccin(s). Je libère et décharge complètement Rite Aid Corporation, ses sociétés affiliées, ses dirigeants, ses administrateurs, ainsi que ses employés de toute responsabilité en cas de maladie, blessure, perte ou de dommage qui pourrait résulter de la /les vaccination(s). » Tel est le formulaire de consentement de Rite Aid.
Il y a deux parties importantes à ce consentement : vous signez que vous comprenez les risques, et que vous ne pourrez en aucun cas engager des poursuites envers la compagnie si jamais des réactions défavorables devaient se produire.
Pour bien comprendre les risques, vous devez lire la fiche complète sur les deux vaccins Fluzone (haute dose et vaccin normal) qui comprend les données sur les essais cliniques et les décès post-vaccination, ainsi que près de 30 effets indésirables (de légers à potentiellement mortels) rapportés après l’approbation du vaccin. Il faut cependant savoir que cette fiche est uniquement destinée aux fournisseurs de soins de santé ; ces derniers n’étant pas susceptibles de la montrer au patient. (Auraient-ils des choses à cacher ?)
Que reçoit le patient ?
Le patient reçoit une fiche d’information officielle qui reprend des effets secondaires comme : douleurs, fatigue, maux de tête apparaissant après l’injection du vaccin haute dose et qui vous conseille de consulter le fournisseur de soins de santé pour le reste. C’est là qu’en tant que patient vous devez être vigilant et poser des questions très spécifiques, comme aussi faire vos propres recherches.
La deuxième partie de votre consentement concerne le fait que vous ne pouvez pas poursuivre la pharmacie qui vous a administré le vaccin. Vous devez également savoir qu’il ne vous est, non plus, pas possible de poursuivre la firme pharmaceutique qui a fabriqué le/ les vaccin(s). […]
Les effets secondaires peuvent cependant être rapportés au VAERS (Système de déclaration des effets indésirables des vaccins). Il est également possible de demander une somme de dédommagement par le biais du Programme national d’indemnisation des victimes de la vaccination (VICP) qui a déjà dû débourser plus de 3,5 milliards de dollars depuis 1986. (Les deux tiers environ des demandes étant rejetées, on peut facilement comprendre que le nombre des victimes pourrait être beaucoup plus élevé).
Bien que certaines personnes aient pu prouver que le vaccin ait causé le dommage (comme dans le cas de Baily Banks où le vaccin ROR avait causé l’ADEM (Encéphalomyélite aiguë disséminée, un important gonflement du cerveau aux conséquences graves), les fabricants de vaccins ne peuvent jamais être tenus responsables. C’est une réalité malheureuse qui a permis à l’industrie de prospérer, alors même que ces effets secondaires indésirables importants, comme des décès, continuaient d’augmenter. Assurez-vous de garder tous ces éléments à l’esprit avant que vous-même ou quelqu’un de votre famille envisage de se faire vacciner.
Source : Althealthworks
La réalité vaccinale: une suite infinie d'horreurs et de drames
La réalité vaccinale: osons la voir dans toute sa laideur, dans toute son horreur, AUCUN enfant ne mérite d'être embarqué de force sur le "Titanic des vaccins" à cause d'autorités vendues et de médecins-moutons!!!
Copier-coller du témoignage de Lionel Nobili, papa du petit Nello, victime grave des vaccins:
" Nello encore hospitalisé dans un état critique... J'ai une grande confiance en mon fils et je sais qu'il se battra encore... Une pensée pour le petit Livio qui comme Nello cesse de se battre contre la vieille faucheuse... A TOUS CEUX QUI NE CESSENT DE VENIR POLLUER NOS PAGES, EN VENANT BAVER LEUR VENIN DE PRO VAX. AFIN DE DEFENDRE L'INTERET DES INDUSTRIES PHARMACEUTIQUES, OU LEUR CROYANCE STUPIDE SUR L'INNOCUITE DES VACCINS OU LEUR EFFICACITÉ OU ENCORE L'INTERET GENERAL INDISCUTABLE D'UNE VACCINATION DE MASSE..... JE VOUS INVITE A VENIR PASSER LE REVEILLON AVEC NOUS, BANDE DE .... OU UNE SEMAINE DE NOTRE QUOTIDIEN. Ou encore me servir de punching-ball, j'aurai moins de scrupule que de faire mal a un sac qui ne m'a rien fait..."
TURQUIE : Plus de 10.000 familles rejettent les vaccinations pour leurs enfants
Meltem Ozgenç
Daily News, Ankara, 26 décembre 2017
Selon le Prof. Dr Mehmet Ceyhan chef de l’hôpital universitaire pédiatrique de Haceteppe, Unité « maladies », le nombre de familles qui refusent de faire vacciner leurs enfants en raison de la rumeur non fondée que l’aluminium des vaccins pourrait conduire à la maladie d’Alzheimer est passé à plus de 10.000 par an.
« Les analyses menées dans notre pays ont montré que les vaccinations ont permis d’éviter 14.296 décès par an. Si nous abandonnons les vaccinations, il est clair qu’il y aura des milliers de morts », a déclaré M. Ceyhan, ajoutant que le taux d’aluminium utilisé comme catalyseur dans certains vaccins est « trop faible pour affecter la santé humaine. »
Ces derniers jours, il y a eu des professeurs d’université qui ont publié dans des organes de presse des déclarations contre divers vaccins. Nous n’en connaissons pas la raison, mais ils ont néanmoins laissé l’impression qu’ils essayaient de se faire entendre. Malheureusement, pareilles déclarations causent de graves dommages aux soins de santé de notre pays », a-t-il dit.
Ceyhan a déclaré que les vaccins se sont révélés efficaces contre les maladies. Ils ont permis une diminution de 98% des maladies. Certaines maladies ayant même complètement disparu grâce aux vaccins, mais il y a eu une « augmentation sérieuse du refus de vaccinations » à la suite de rumeurs infondées.
« Par exemple, le nombre de familles qui ont refusé la vaccination pour leurs enfants en 2011 était de 183, 913 en 2013, 5091 en 2015 et plus de 10.000 en 2016. En conséquence, nous constatons malheureusement une augmentation de certaines maladies » a dit Ceyhan, en se référant à l’augmentation des cas de coqueluche au cours des trois dernières années.
« En dehors de cela, certaines personnes fournissent au public de fausses informations comme celles qui colportent que les vaccins contiennent du mercure. Dans notre pays, les vaccins ne contiennent pas de mercure, étant donné qu’ils sont actuellement administrés en doses uniques », a-t-il ajouté.
L’unité des maladies infectieuses pédiatriques de l’hôpital universitaire de Haceteppe a vu des enfants non vaccinés mourir de méningite à pneumocoques et des handicapés, a ajouté M. Ceyhan, précisant «qu’un nombre important d’enfants » sont morts du fait qu’ils n’ont pas reçu le vaccin contre la grippe. »
« Il ne faut pas oublier que les vaccins sont la méthode la plus efficace et la moins coûteuse pour protéger des millions de personnes de la mort et de l’invalidité. Cette pratique qui a été initiée dans les années 1700 s’est répandue dans le monde entier ».
Par ailleurs, le ministre de la Santé a déclaré dans un communiqué au quotidien Hürriyet que l’aluminium utilisé dans les vaccins « n’a pas entraîné d’effets secondaires graves ou de maladie à long terme. »
« L’aluminium a été utilisé dans divers vaccins à raison de plus de trois milliards de doses. Aucun autre effet secondaire n’a été signalé, si ce n’est qu’une exposition à long terme à l’aluminium en grande quantité pourrait entraîner une faiblesse des os. D’autre part, les niveaux d’aluminium dans les vaccins sont très bas. Dans notre pays, aucun des vaccins contre la grippe ne comprend d’aluminium », a déclaré le ministère.
Source : Hurriyetdailynews
Vaccins: quand la justice contredit les autorités sanitaires (L'Etat sommé de verser 190 000 euros à une secrétaire victime du vaccin HB)
Vaccins, quand la justice contredit les autorités sanitaires
Pierre Bienvault , le 27/12/2017
La cour administrative d’appel de Nantes vient d’ordonner l’indemnisation d’une secrétaire dentaire estimant être tombée malade à cause de l’aluminium contenu dans un vaccin. Cette décision, qui n’est pas isolée, intervient alors que les autorités sanitaires et la majorité des scientifiques réaffirment l’innocuité de l’aluminium.
Pourquoi, dans certains dossiers vaccinaux, la justice prend-elle parfois des décisions semblant aller contre les données scientifiques majoritaires ? La question se pose après un arrêt rendu vendredi 22 décembre par la cour administrative d’appel de Nantes.
Celui-ci donne raison à une secrétaire d’un cabinet dentaire estimant être victime d’effets secondaires liés à l’aluminium dans un vaccin contre l’hépatite B. Les juges ont condamné l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) à lui verser 190 000 €. Cette décision intervient alors que doit entrer en vigueur, le 1er janvier, l’extension de l’obligation vaccinale décidée par le gouvernement.
À la demande de son employeur, cette secrétaire avait été vaccinée contre l’hépatite B en 1994. Dans les semaines suivantes, elle a développé des douleurs musculaires et une fatigue généralisée. Elle a alors saisi l’Oniam, estimant être atteinte d’une myofasciite à macrophages. Une maladie que certains scientifiques, minoritaires, relient à la présence d’aluminium dans les vaccins. Ce que contestent fermement le ministère de la santé ou l’Inserm.
« Ce n’est pas une première »
Avocat de la secrétaire médicale, Me François Jégu se refuse à commenter cette décision de Nantes à la demande de sa cliente, qui souhaite rester discrète. « Mais ce n’est pas une première. À plusieurs reprises, notamment à Versailles et Caen, j’ai obtenu gain de cause pour des personnes ayant développé une myofasciite à macrophages après un vaccin. Et le Conseil d’État nous a soutenus, estimant que le lien de causalité, sans être certain, était plausible », souligne MeJégu, qui défend des membres de l’association E3M, opposée à l’aluminium dans les vaccins.
En juin, le tribunal administratif de Caen a ainsi condamné l’Oniam à verser 367 418 € ainsi qu’une rente annuelle de 9 900 € à une infirmière ayant présenté des problèmes de santé neuf ans après avoir été vaccinée contre l’hépatite B.
En dépit de ce délai très long, le tribunal a estimé que l’existence d’un lien de causalité entre ce vaccin contenant de l’aluminium et la fatigue, les douleurs articulaires et les troubles cognitifs de cette infirmière « n’est pas exclue et revêt une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi ». Ce qui va donc à l’encontre du constat de la très grande majorité de la communauté scientifique.
Le même phénomène s’est déjà produit ces dernières années dans des dossiers judiciaires de soignants victimes d’une sclérose en plaque liée, selon eux, à un vaccin contre l’hépatite B. Alors même que, là encore, aucun lien de causalité n’est prouvé, pour les autorités sanitaires internationales.
Des « indices graves, précis et concordants »
En juin dernier, la Cour de justice de l’Union européenne a marqué les esprits dans un dossier de ce type. Elle a estimé que, même en l’absence de consensus scientifique, des juges nationaux pouvaient donner raison à une personne s’estimant victime de ce vaccin, à condition qu’elle présente des « indices graves, précis et concordants » pouvant permettre de conclure à un lien de causalité entre la vaccination et une maladie.
Suivant cette logique, ces dernières années, des juges français ont, malgré l’absence de certitude scientifique, accordé des indemnisations à des requérants ayant juste apporté la preuve que leur sclérose en plaque s’était développée peu de temps après une vaccination et en l’absence d’antécédents familiaux de la maladie.
Pierre Bienvault
Source: La Croix
Un vaccin obligatoire contre la grippe la laisse aveugle, avec une sclérose en plaques
Une dame déclare que « le vaccin obligatoire contre la grippe » l’a rendue aveugle et lui a provoqué une sclérose en plaques
Vaxxter Staff, 24.12.2017
Ce n’est que quelques semaines après avoir reçu le vaccin antigrippal que Jennifer Whitney affirme avoir reçu un diagnostic de sclérose en plaques. Mukilteo, une résidente de Washington âgée de 34 ans, explique que Whitney a été poussée par son patron à faire le vaccin. Finalement, Whitney a été licenciée suite aux nombreux jours de congé qu’elle a dû prendre pour pouvoir faire face à l’apparition des symptômes de la sclérose en plaques. Pendant 10 mois, Whitney n’a plus pu rien voir. En outre, elle ne peut maintenant plus avoir d’enfants.
Elle a déclaré à MailOnline : « certaines personnes me disent que tout se passe dans mon imagination parce qu’elles croient que les vaccins sont sûrs, ce qui n’est évidemment pas le cas. »
« Je n’imagine absolument pas tous ces symptômes et je n’imagine sûrement pas non plus comment je me sentais auparavant. Je ne sais pas si je pourrai, un jour, recouvrer ma santé. »
Whitney était gestionnaire dans une entreprise d’optométrie au moment où elle a reçu son diagnostic de sclérose en plaques. Elle déclare que son patron lui a pratiquement forcé la main pour qu’elle se fasse vacciner contre la grippe.
« J’ai senti les pressions qui s’exerçaient sur moi pour que je puisse servir d’exemple pour les autres employés », affirme-t-elle. Mon patron encourageait tout le monde à se faire vacciner.
Je ne voulais pas créer d’incident et je me suis rendue à la pharmacie à l’heure du déjeuner pour recevoir mon vaccin contre la grippe. Ensuite, je suis retournée au travail. »
Dans les jours qui ont suivi, Whitney affirme avoir ressenti une variété d’effets secondaires possibles, comme des maux de tête, des douleurs et des vertiges.
« J’ai juste réussi à rentrer chez moi, mais j’ai dû appeler mon mari pour me venir en aide. J’étais si faible que je ne pouvais plus marcher. Mon mari a dû me porter pour rentrer dans notre appartement. Une fois à l’intérieur, il m’a allongée sur le canapé. A ce moment, je ne savais pas que j’allais passer les semaines suivantes au même endroit ! »
Les médecins lui ont dit qu’elle souffrait de vertiges bénins. Le jour suivant Whitney a été soumise à un examen IRM qui a révélé qu’elle était atteinte de sclérose en plaques. On lui a expliqué que son système immunitaire attaquait son cerveau.
« J’étais tellement choquée » dit-elle. « j’ai toujours été une personne en bonne santé. Je n’ai jamais dû m’absenter de mon travail pour cause de maladie.
Je ne parvenais pas à comprendre comment j’ai pu, soudainement, du jour au lendemain, développer une maladie grave incurable.
En outre, les effets secondaires des médicaments qui m’avaient été prescrits ont drôlement compliqué ma vie. Ma peau a éclaté en cloques sur tout le corps. J’ai fait part de la chose à mon neurologue. Il m’a rappelée ultérieurement pour faire des tests pour le lupus qui est un effet secondaire rare du Gilenya. »
Son état l’a pratiquement rendue incapable de faire son travail. Les fortes secousses qu’elle éprouvait lui rendaient la manipulation des lunettes quasiment impossible. C’est à cette époque qu’elle fut licenciée. Dans la suite, elle a commencé à éprouver des sortes de brûlures aux yeux. Maintenant, elle est sans travail et vit de régulières périodes de cécité.
Elle vient de découvrir que le tribunal des vaccins dédommage les victimes de vaccins contre la grippe.
Source : Vaxxter
Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)
Le Mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu’il y a derrière…)
Interview de Joshua Coleman par Shawn Siegel (extraits)
20 avril 2017
Josh est le père d’un petit garçon qui est resté paralysé très peu de temps après avoir reçu 4 vaccins. Josh a rejoint l’équipe de VAXXED qui sillonne, en bus, les Etats-Unis pour présenter le documentaire VAXXED, comme pour informer le public et filmer les victimes de vaccins.
Josh : la santé de mon premier enfant a été endommagée par les vaccins. A 17 mois, alors qu’il était en parfaite santé et qu’il avait déjà pu marcher et courir, il a reçu une série de vaccins. Peu de temps après, il a commencé à perdre le contrôle de ses jambes et à faire des choses bizarres.
Un matin après s’être réveillé, il ne savait plus marcher. On a diagnostiqué une myélite transverse.
Nous nous sommes retrouvés à l’hôpital John Hopkins plus particulièrement spécialisé dans ce type de maladies. Après avoir fait passer toute une série de tests au petit, les médecins ont conclu que son problème devait être dû aux vaccins. On nous a dit qu’il s’agissait d’une maladie très rare (1 cas sur un million).
Comme je n’avais pas fait personnellement de recherches, j’ai cru ce que les médecins m’ont dit.- Malgré tout ce que nous avions traversé comme épreuves et comme problèmes, je n’étais pas encore tout à fait réveillé pour me décider à faire mes propres recherches et à approfondir mes connaissances sur la question des vaccins. Au fur et à mesure que nous approfondissions nos connaissances, au plus nous avions l’impression de rentrer dans un véritable cauchemar.
J’ai vu les vidéos du Dr Ayoub qui explique que l’aluminium attaque la myéline. C’est l’aluminium qui se trouve dans les vaccins qui pourrait provoquer ces terribles myélites. – J’avais aussi entendu parler du fameux documentaire : « Trace Amounts ». Alors que la salle était comble, j’ai malgré tout pu obtenir une place grâce à Laura Hayes dont le fils est gravement handicapé à vie à la suite d’une série de vaccinations. – Le film m’a complètement bouleversé. Ce que je découvrais grâce au film était tout à fait incroyable.
Au cours de la manifestation contre l’obligation vaccinale, j’ai présenté mon témoignage en public, comme me l’avait demandé Laura Hayes.- A la suite de mon témoignage, des gens m’ont dit que je voulais sûrement me venger. Je dois dire que rien ne peut être plus éloigné de la vérité. La seule chose que je voulais, c’était que le drame qui nous avait touchés, n’arrive plus jamais à un seul enfant ou adulte. Je ne veux pas que les compagnies pharmaceutiques perdent de l’argent. Je veux seulement que ces dommages de santé et ces décès dus aux vaccinations s’arrêtent tout net.
Je voulais aussi souligner que la maladie qui a frappé mon fils portait précédemment le nom de poliomyélite, tout comme le Guillain Barré. Ces maladies ont été redéfinies et rebaptisées.
Si au moins nous avions pu profiter d’un réel consentement éclairé. J’étais, comme quantités d’autres personnes, à mille lieues de m’imaginer qu’un vaccin pouvait produire des paralysies !
Le public est tellement peu informé que la majorité des gens ne peuvent même pas imaginer ce qui peut se produire avec les vaccins. C’est comme cela qu’en matière d’autisme nous sommes passés aux Etats-Unis, d’un cas sur 10.000, à un cas sur 48 aujourd’hui.- Ces personnes atteintes d’autisme sont souvent cloitrées chez elles ou sont placées dans des institutions. Il s’ensuit que peu de personnes se rendent compte qu’il existe maintenant presqu’une génération entière atteinte d’autisme. Si les gens pouvaient vraiment se rendre compte de ce qui a changé au cours des 30 dernières années, ils ouvriraient de très grands yeux !
Je me suis finalement joint à l’équipe de VAXXED qui, de ville en ville tente d’informer un maximum de personnes, comme de filmer les témoignages de victimes.
Nous avons eu le cœur brisé en filmant quantités de victimes
Quand nous regardions l’expression des parents, c’était tout autre chose que des statistiques. Ils veulent nous réduire à des statistiques ! J’ai ainsi filmé plus de 800 histoires de complications vaccinales au cours des 4 mois de notre périple avec le bus VAXXED. J’espère que ces témoignages, visibles sur internet, ouvriront les yeux de beaucoup et pourront sauver des vies.
Quand, dans les salles, nous demandions que les personnes qui avaient connu des complications vaccinales se lèvent, il y avait parfois les ¾ de la salle qui se tenaient debout. C’était tellement émouvant que pas mal de gens éclataient en larmes.
Combien de victimes ou parents de victimes ne sont-ils pas venus écrire leur nom sur le bus, qui sont venus prier, pleurer devant le bus ou même s’effondrer. Le bus est devenu un énorme symbole.
Le geste d’une petite fille qui en dit long !
Dr Wakefield, le petit garçon de Josh, Polly, le deuxième petit fils de Josh, Del Bigtree (réalisateur du film VAXXED)
A découvrir aussi
- MORINGA
- Le SIDA et d’autres virus ont bien été créés par les Etats-Unis dans un but génocidaire
- Des nano-robots pour remplacer les stents et l’angioplastie