Les guerres contre les cathares - Le GRAAL Cathare à l' Ile de la REUNION -
Les guerres contre les cathares
La première croisade contre les albigeois (1209 - 1218)
L'assassinat de son légat amena le pape à lever une croisade contre les hérétiques. Le roi de France, Philippe Auguste, répondit à l'appel et laissa ses plus puissants vassaux, le duc de Bourgogne, les comtes de Montfort et de Saint-Pol prendre la tête de l'armée. Ce sont 300 000 croisés qui descendirent dans la vallée du Rhône. Le comte de Toulouse, Raymond VI, soupçonné d'avoir encouragé le meurtre du légat, s'était rallié à l'Église et s'était croisé contre ses propres sujets. L'armée des croisés mit le siège sur la ville de Béziers, une ville solidement fortifiée. Cependant les habitants, forts de ce sentiment de sécurité, assaillirent les campements qui se tenaient aux pieds des murailles. Les ribauds (mercenaires et chevaliers recrutés pour l'expédition) profitèrent que les portes des remparts étaient ouvertes pour se frayer un chemin à l'intérieur de la cité et pour y faire pénétrer ensuite une partie de l'armée. Aux soldats qui se demandaient comment faire pour distinguer, dans la population, ceux qui étaient hérétiques de ceux qui étaient fidèles, l'abbé de Cîteaux, Arnaud Amaury, répondit par cette phrase terrible : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens! » La mise à feu du Languedoc commença : la ville fut incendiée et ses habitants, massacrés. Après Béziers, ce fut le tour de Carcassonne où l'armée s'annonça à la fin du mois de juillet 1209. L'âme de la résistance de la ville fut le jeune vicomte Roger de Trencavel. Le siège dura trois semaines, les assiégeants avaient privé la ville d'eau, obligeant les assiégés à parlementer. Trencavel qui était venu parlementer fut mis prisonnier par les croisés, rompant ainsi le code d'honneur de la chevalerie. Simon de Montfort, un chevalier croisé dont le courage avait été remarqué, fut choisi pour succéder aux biens de Trencavel. Cependant, ses sujets lui étaient naturellement hostiles. Aussi, jusqu'à sa mort, en 1218, il fut constamment en guerre contre ses sujets récalcitrants.
A l'issue de ces sièges longs et éprouvants, les croisés victorieux offraient la vie sauve aux hérétiques acceptant de renier leur foi, mais ils étaient bien peu nombreux. Par le fer, le feu et le sang, la croisade continuait, mais l'enjeu devenait chaque jour plus clair, il s'agissait pour les seigneurs du Nord de maîtriser le Midi. Le comte de Toulouse et le roi d'Aragon finirent par s'en inquiéter et, en 1213, ils unirent leurs forces pour attaquer Simon de Montfort au château de Muret. L'assaut tourna court malgré l'avantage numérique, Pierre d'Aragon fut tué, etRaymond VI dut se replier dans sa ville de Toulouse qui fut par la suite investie par l'armée de Simon de Montfort. Mais le peuple gardait une fidélité profonde et préférait aller au bûcher en chantant plutôt que de renier sa foi. Lorsque Raymond VI et son fils Raymond VII revinrent d'Angleterre où ils s'étaient réfugiés, ils furent accueillis avec beaucoup d'enthousiasme. Une émeute populaire avait chassé les chevaliers français de la ville de Toulouse. A cette nouvelle, Montfort accourut aussitôt pour mettre le siège dans la ville, c'est là qu'il fut tué en 1218. Sa mort fut accueillie par des cris de joie : les cathares voyaient disparaître le plus cruel de leurs ennemis.
Simon de Montfort
Chef de la croisade contre les albigeois, il mena cette guerre avec courage et cruauté. Il s'était déjà illustré pour sa bravoure au cours de la quatrième croisade. Il représente le « puritanisme du nord ». Il est le parfait opposé de son ennemi, le comte Raymond VI de Toulouse, symbole du « méridional libertin ». Ils sont le modèle du choc des deux cultures en présence.
En 1224, de nouvelles menaces se précisèrent sur le pays occitan. Le nouveau roi Louis VIII va se montrer plus implacable encore que son père Philippe Auguste. En 1226, alors que les seigneurs et comtes du Midi se voyaient réinstallés sur leurs terres, une seconde armée croisée allait déferler sur le Languedoc, avec le roi de France en personne à sa tête. La plupart des villes s'effondrèrent ou se soumirent assez facilement. Seul Avignon opposa une âpre résistance de trois mois. La mort de Louis VIII sauva Toulouse d'un nouveau siège, mais les redditions successives de ses vassaux finirent par convaincre Raymond VII qu'il valait mieux capituler. Par le traité de Meaux, signé en 1229, le comte de Toulouse s'engagea à demeurer fidèle au roi et à l'Eglise catholique, à mener une guerre intraitable contre les hérétiques et à marier sa fille unique au frère du nouveau roi de France, Louis IX, afin de préparer le rattachement du Languedoc à la France. Après la signature du traité et le retour de Raymond VII à Toulouse, le tribunal d'Inquisition fut créé et confié à une poignée de dominicains. Jouissant d'un pouvoir sans limites, les inquisiteurs sillonnèrent le Midi pour débusquer les hérétiques. Mais ces mesures ne suffirent pas à étouffer l'aspiration du Midi à croire et à gouverner comme il l'entendait. Une seconde révolte secoua la région après l'assassinat, en 1242, des juges du tribunal de l'Inquisition par des chevaliers cathares.
Bataille de Muret
La bataille de Muret, le 12 septembre 1213 fut un tournant dans la lutte pour le Midi occitan, à l'avantage de l'armée royale.
La prise du château de Montségur
Une paix définitive fut signée à Lorris en 1243 entre le roi de France et le comte de Toulouse. C'était la fin de l'Occitanie indépendante et surtout du catharisme. Pour leur porter le coup de grâce, il fallut cependant prendre la forteresse de Montségur, symbole du refus de l'autorité royale, où s'était réfugiés 400 croyants de la religion cathare. La position de la forteresse (un pic dominant de plus de cent mètres des terres voisines) donnait un sentiment de confiance immense aux assiégés. Durant une année, ils défièrent avec succès l'autorité du roi et du pape. Les 10 000 soldats engagés dans le siège ne pouvaient que constater l'inefficacité des boulets que catapultaient les pierrières contre les remparts. Cependant, une nuit de juillet 1244, grâce au renfort d'un groupe de montagnards habitués à l'escalade et connaissant parfaitement les lieux, les assiégeants réussirent à pénétrer dans la place par surprise et parvinrent à obtenir sa capitulation complète. Ne disposant plus d'aucun refuge sûr, pourchassés par les inquisiteurs, les derniers cathares vécurent comme des bêtes traquées, suscitant parfois de brèves révoltes. Les Parfaits survivants émigrèrent en Catalogne, en Sicile et en Lombardie. Ainsi disparaissait la culture la plus raffinée de l'époque : la civilisation occitane issue du mythe de la chevalerie, de l'honneur chevaleresque et de l'amour-courtois, honorée par les troubadours.
Montségur, forteresse imprenable
Montségur n'était pas un château comme les autres. Les architectes qui le construisirent eurent le souci d'édifier une bâtisse aisément défendable. Mais ils eurent également la volonté de construire un véritable temple de la religion cathare. Ainsi, l'orientation de l'édifice n'était pas simplement due au hasard : ses principaux axes se situaient dans l'alignement des points qui signalaient à l'horizon les endroits où se lève et se couche le Soleil à certaines époques de l'année (équinoxes et solstices). Le Soleil tenait un rôle important en tant que symbole de la Lumière et du Bien dans la religion cathare. Montségur est devenu aujourd'hui un symbole de la renaissance occitane.
La pierre de Chintamani ou Norbu Rinpoch
Au Tibet, il est tenu communément que sous le règne du roi Tho-tho-ri Nyan-tsan, en 331 de notre ère,
un coffre tomba des cieux qui renfermait quatre objets sacrés parmi lesquels se trouvait la pierre de Chintamani (en sanscrit)
ou Norbu Rinpoch (en tibétain).
D'après le professeur Roerich,
Helena, la femme de Roerich, écrivit que la pierre possédait un lustre sombre,
comme un cœur noir, et portait quatre lettres inconnues. Roerich identifia
les lettres comme étant du sanscrit et les traduisit ainsi : "
Je viens de parmi les étoiles. J'apporte le calice couvert du bouclier.
Dessous,
j'apporte un trésor, le don d'Orion.
" La pierre irradiait plus fort que le radium, mais à une autre fréquence".
GRAAL CHINTAMANI MAKARA MAHDI CHRIST MAITREYA
Pierre de CHINTAMANI - GRAAL -- GANESH - PIERRE PHILOSOPHALE - VEILLEUR -
par Gilbert Grondin, jeudi 4 août 2011
Cintamani (Sanskrit ; Devanagari : le ...) également écrit comme Chintamani (ou pierre de Chintamani) est un bijou souhaiter-accomplissant dans des traditions indoues et bouddhistes, équivalentes à la pierre du philosophe en alchimie occidentale. Dans le bouddhisme il est tenu par les bodhisattvas, l'Avalokiteshvara et le Ksitigarbha. On le voit également porté sur le dos du poumon ta (cheval de vent) qui est dépeint sur les drapeaux tibétains de prière. En exposant le Dharani de Cintamani, la tradition bouddhiste maintient qu'on atteint la sagesse de Bouddha, capable comprendre la vérité du Bouddha, et transforme des afflictions en Bodhi. On dit que permet à on de voir le Retinue saint d'Amitabha et d'assemblée sur le lit de mort à un. Dans la tradition bouddhiste tibétaine le Chintamani est parfois dépeint comme une perle lumineuse et est dans la possession de plusieurs de différentes formes du Bouddha. Dans l'hindouisme il est relié aux dieux, au Vishnu et au Ganesha. Dans la tradition indoue il est souvent dépeint comme bijou fabuleux dans la possession du roi de Naga
ou comme sur le front du
Makara.
Le yoga Vasistha, à l'origine écrit dans la 10ème ANNONCE de siècle, contient une histoire au sujet du cintamani. Dans le bouddhisme le Cintamani serait une de quatre reliques qui sont venues dans un coffre qui est tombé du ciel (beaucoup de le terma est tombé du ciel dans des cercueils) pendant le règne du Roi Lha Thothori Nyantsen du Thibet. Bien que le roi n'ait pas compris le but des objets, il les maintenait toujours dans une position de vénération. Plusieurs ans après, deux étrangers mystérieux sont apparus à la cour du roi, expliquant les quatre reliques, qui ont inclus la cuvette du Bouddha (probablement une cuvette de chant) et un Charmstone (bijou, cristal ou gemme) avec l'incantation de fredonnement d'Om Mani Padme inscrite là-dessus, connues sous le nom de pierre de mani. Ces quelques objets étaient les bringers du Dharma au Thibet. Illustration : 14ème peinture de Goryeo de siècle de Ksitigarbha tenant un cintamani.
Cintamani (Sanskrit; Devanagari: …) also written like Chintamani (or hones of Chintamani) is a jewel wish-achieving in Hindu and Buddhist traditions, equivalent to the stone of the philosopher in Western alchemy. In Buddhism it is held by the bodhisattvas, Avalokiteshvara and Ksitigarbha. One also sees it carried on the back of the lung your (horse of wind) which east depicts on the flags Tibetans of prayer. By exposing Dharani de Cintamani, the Buddhist tradition maintains that one reaches the wisdom of Buddha, able to include/understand the truth of the Buddha, and transforms afflictions into Bodhi. It is said that allows one to see holy Retinue of Amitabha and assembly on the bed of died in one. In the Buddhist tradition Tibetan Chintamani is sometimes depicts like a luminous pearl and is in the possession of several of various forms of the Buddha. In the hindouism it is connected to the gods, to Vishnu and Ganesha. In the Hindu tradition it is often depicts like fabulous jewel in the possession of king de Naga or as on the face of Makara. Vasistha yoga, in the beginning writes in the 10th ADVERTISEMENT of century, contains a history about the cintamani. In Buddhism Cintamani would be one of four relics which came in a trunk which fell from the sky (much the terma fell from the sky in coffins) during the reign of King Lha Thothori Nyantsen of Thibet. Although the king did not include/understand the goal of the objects, it always maintained them in a position of veneration. Several years after, two mysterious foreigners appeared at the court of the king, explaining the four relics, which included the basin of the Buddha (probably a basin of song) and Charmstone (jewel, crystal or gem) with the incantation of fredonnement of Om Mani Padme registered on top, known under the name of stone of mani. These some objects were the bringers of Dharma in Thibet. Illustration: the 14th painting of Goryeo of century of Ksitigarbha holding a cintamani. La pierre de Chintamani ou Norbu Rinpoch Au Tibet, il est tenu communément que sous le règne du roi Tho-tho-ri Nyan-tsan, en 331 de notre ère, un coffre tomba des cieux qui renfermait quatre objets sacrés parmi lesquels se trouvait la pierre de Chintamani (en sanscrit) ou Norbu Rinpoch (en tibétain). D'après le professeur Roerich, cette pierre a été apporté par un voyageur extra terrestre et provenait d'un autre monde (constellation d'Orion). La "chaleur interne" ou radiation de la pierre Chintamani est décrite comme "plus forte que le radium", mais d'une fréquence totalement différente due à sa grande sensibilité aux vibrations mentales. D'anciennes chroniques d'Asie prétendent que le divin messager des cieux donna un fragment de la pierre à l'empereur de l'Atlantide, Tazlavou (Saint Hilaire J. (Roerich H.), On Eastern Crossroads, New York, 1930). Depuis les temps les plus anciens, mais Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont} L'ordre du Temple fut fondé en 1118. En 1184, le troubadour et chevalier du Temple Wolfram Von Eschenbach écrivit son Titurel dans lequel il condensa toutes les légendes du Graal. Il sous-entendait qu'une relation existait entre le Graal et l'Asie et le décrivait comme une pierre (und dieser Stein ist Gral gennant : et cette pierre est nommée Graal). In Tibet, it is held commonly that under the reign of Tho-tho-laughed king Nyan-tsan, into 331 of our era, a trunk fell from the skies which contained four crowned objects among which the stone of Chintamani (in Sanskrit) or Norbu Rinpoch was (in Tibetan).According to professor Roerich, this stone was brought by a terrestrial extra traveller and came from another world (constellation of Orion). “Internal heat” or radiation of the Chintamani stone is described like “stronger than radium”, but of a completely different frequency due to its great sensitivity to the mental vibrations. Old chronicles of Asia claim that the divine messenger of the skies gave a fragment of the stone to the emperor of Atlantis, Tazlavou (Holy Hilaire J. (Roerich H.), One Eastern Crossroads, New York, 1930).Since the oldest times, but Livre, Shambhala, oasis of light, Andrew Divided into volumes, ED. Robert Laffont} the order of the Temple was founded in 1118. In 1184, the troubadour and knight of the Temple Wolfram Von Eschenbach wrote his Titurel in which it condensed all the legends of Graal. It implied that a relation existed between Graal and Asia and described it like a stone (und dieser Stein STI awkward Gral: and this stone is named Graal Parlait-il de Shambhala et de la pierre Chintamani ? Le troubadour médiéval assurait que Titurel avait vécu 500 ans. Etrange parallèle avec l'existence du Prêtre Jean qui dura 562 ans." {Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont} "La Pierre philosophale rosicrucienne paraît une réplique de la Pierre Chintamani et les méthodes de rajeunissement rappellent des techniques similaires employées dans le Royaume du Prêtre Jean." {Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont} Le Graal est le vase de la Connaissance spirituelle et de la transformation intérieure. {Livre, Jules Vernes et Arsène Lupin Tome II, Alexandra Schreyer} - Saint Graal - San Graal ou San Greal Sang raal ou Sang real {Livre, Enigme sacrée (L'), Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln}
Le Graal est associé également à Excalibur.
Selon la Tradition, Excalibur, l'épée du roi, aurait eu un cristal enchâssé dans sa garde (semblable au poignard de force, agrandi).
{Livre, Pouvoir des cristaux (Le), Michael G. Smith, Ed. J'Ai Lu}
Les Cathares, les Templiers,
et les Rosicruciens ont essayé de préserver la lignée du Saint Graal mais en vain.
Dans le Parzival, écrit par Wolfram von Eschenbasch entre 1195 et 1240, est décrit comme une pierre :
{Livre, Mystère de l'arche perdue (Le), Graham Hancock, Ed. J'Ai Lu}
Et si le Graal ne contenait pas le sang physique du Christ mais la force psychique du Christ ? Le Graal pouvait fort bien être une en plasma de verre, ou bien une coupe taillée, à l'image de la Coupe céleste, dans une pierre de cette nature, ce qui expliquerait fort bien qu'on l'ait pris pour une émeraude. Le Graal était une coupe taillée dans une pierre. Il avait la forme et la taille d'une grosse orange coupée en deux et ne comportait à l'origine aucun ornement.
{Livre, Secret des Cathares (Le), Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu}
Don Quichotte, est un livre à clef qui, sous le voile d'un roman picaresque, traite des pérégrinations du Graal. Alonso Quijaro a servi de modèle à Cervantès pour son personnage Don Quichotte.
Dans les premiers siècles de notre ère, le Graal se trouvait à Rome, puis ensuite, en Aragon (selon les uns le pape Sixte II le donna au IIIème siècle à Saint Laurent qui était originaire de Huesca, selon les autres, ce furent les rois Wisigoths qui le prirent et l'apportèrent, au Vème siècle. Le Graal, enfermé dans une arche d'ivoire qui le dérobait aux regards du public, resta à San Juan de la Pena de 713 à 1134. Il fit transporter sur le versant nord des Pyrénées. Il ne reparait à San Juan de la Pena qu'après la croisade contre les cathares.
Le Graal véritable a transité de la grotte de Montesinos et dans l'île fluviale de Barataria, deux endroits que mentionne Cervantès dans son Don Quichotte. {Livre, Secret des Cathares (Le), Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu, Récit de Rochito Pacheco à Henri Collet, en 1929} Selon la légende, c'est dans une émeraude tombée du front de Lucifer que fut taillée la coupe du Graal qui servit à Joseph d'Arimathie pour recueillir le sang du Christ. Lucifer, celui qui porte la lumière, "étoile tombée en terre", se trouve ainsi étroitement lié à l'émeraude. {Magazine, Monde Inconnu (Le), No 57, 01/1985, Symbolisme et pouvoir des pierres précieuses, Eric Sable} D'après les Nosairis (habitant le Djebel Ansarieh (ou monts Alawites), les Nosairis sont appelés Alawites depuis l'occupation française) le Graal "est un symbole et il représente la doctrine que Jésus n'enseigna qu'à Jean le disciple bien-aimé." {Livre, Rex Deus, Marilyn Hopkins, Graham Simmans,Tim Wallace Murphy, Ed. du Rocher} LE TRAVAIL AVEC LA PIERRE DE CHINTAMANI A L' ILE DE LA REUNION - à ST ANDRE - EST SUPERVISE PAR NOTRE VEILLEUR : de petits éclats sont parfois remis de par le monde comme lorsqu'un nouveau CENTRE de civilisation doive être Fondé LA PIERRE DE CHINTAMANI ET LA CITÉ DES HUIT IMMORTELS Cela semble être un trapézoèdre de pierre noire ou de minerai, avec des stries luisantes. Toutefois, c'est plus qu'une pierre, ou moins que cela. Les scientifiques ne pourraient l'étudier à fond parce que cela n'existe que partiellement dans les concepts humains de matière et d'espace. Plus qu'un artéfact, la Pierre de Chintamani est la clef de portes qui furent fermées dans la nuit des temps. Un morceau de la pierre était conservé dans un monastère au Tibet, un autre morceau au Musée d'Histoire Naturelle de la ville de New York et le troisième dans la cité de l'Agartha. Une vieille légende sud-américaine raconte que le dieu Tvira construisit un temple sur une île du lac Titicaca afin d'y abriter trois pierres sacrées nommées Kala. Trois pierres noires étaient semblablement vénérées par les Musulmans dans la Kaaba de la grande mosquée de la Mecque. Il y a plusieurs traditions concernant ces pierres, mais toutes s'accordent quant à leur origine céleste. Les Musulmans prétendent qu'à l'origine les pierres étaient blanches, mais qu'elles ont noirci sous l'effet de pensées négatives ou mauvaises. En Hongrie, près du village de Stregoicavar, il y avait un monolithe que les occultistes du XIXème siècle considéraient comme étant une des clefs. Le monolithe était à l'origine de beaucoup de superstitions, en particulier la croyance que quiconque dormirait dans son voisinage serait pour le reste de ses jours hanté par des cauchemars d'un autre monde. La Pierre de Chintamani est mentionnée dans de nombreux textes comme étant "le trapézoèdre lumineux". Un savant arabe connu sous le nom de Abdul Al-Hazred y fait référence dans son manuscrit Kitab Al-Azif, du XVIIIème siècle. Von Junzt y fait allusion dans son Unaussprechlichen.Kulten , ainsi que les écrits Ponape et le De Vermiis Mysteriis de Prinn. La référence la plus récente à ces pierres date des années 1920 et donne des indications quant aux raisons qui les ont assimilées à des "clefs". Dans les croyances bouddhiques et taoïstes, existe une tradition des "huit immortels" : huit maîtres qui résident sous une montagne à la frontière de la Chine et du Tibet. La cité, connue dans certaines légendes sous le nom d'Agartha et de Hsi Wang Mu dans d'autres, est peut-être souterraine et l'on dit souvent qu'elle se trouve non loin de Lhasa. Il y a eu plusieurs rapports, plus ou moins douteux, d'explorations de tunnels conduisant à cette cité, mais le plus convaincant est celui de l'artiste mystique russe Nicholas Roerich (1874-1947). Alors qu'il voyageait en Asie, durant la première décennie du XXème siècle, il entendit parler des huit immortels et de leur demeure dans la montagne. Un guide indigène lui parla d'une immense caverne, dans la chaîne des monts Kunlun,
où des trésors auraient été cachés depuis l'aube de
l'histoire et où vivrait un peuple étrange d'hommes gris.
Dans les années 1920, l'Abbé supérieur de la lamaserie de Trasilumpo confia à Roerich
un fragment de pierre magique issue d'un autre inonde : la Pierre Chintamani,
réputée provenir de la région de Sirius.
Un texte asiatique ancien dit que "lorsque le fils du Soleil descendit sur
Terre pour enseigner à l'humanité, du ciel tomba un bouclier qui portait la puissance du monde".
Helena, la femme de Roerich, écrivit que la pierre possédait un lustre sombre,
comme un cœur noir, et portait quatre lettres inconnues. Roerich identifia
les lettres comme étant du sanscrit et les traduisit ainsi : "
Je viens de parmi les étoiles. J'apporte le calice couvert du bouclier. Dessous,
j'apporte un trésor, le don d'Orion." La pierre irradiait plus fort que le radium, mais à une autre fréquence.
Les légendes asiatiques rapportent que cette radiation s'étend sur de grandes
distances et influence les événements mondiaux, et que la masse principale
de cette pierre est conservée dans une tour de la cité du Fils des Etoiles.
Roerich déclara qu'au cours de son voyage au Tibet il aperçut un disque volant
(il utilisa ce terme vingt ans avant qu'il n'entra dans le vocabulaire courant).
Son guide lui dit que cet engin venait de l'Agartha.
Selon la théorie de Roerich cette pierre serait chargée de shugs,
courants de force psychique. Il présumait qu'elle
fonctionnait comme un accumulateur électrique capable,
en quelque sorte, de restituer l'énergie qui s'y trouve emmagasinée.
Par exemple, elle augmenterait la vitalité
spirituelle de celui qui la touche, lui conférant des connaissances
ou exaltant ses capacités psychiques lui permettant
d'apercevoir l'Agartha, la vallée des Huit Immortels.
Selon Balam, la pierre est la clef de tous les futurs
et de la destinée de chacun. C'est un lieu de
puissance, un vortex quantique non technologique. Source
www.jamesaxler.com/dlwsg/ chintamani_stone.htm
ROERICH À LA RECHERCHE DE SHAMBHALLA
Les adeptes de la théorie de la Terre Creuse ont consacré beaucoup d'énergie
à tenter de repérer les entrées polaires, particulièrement la boréale,
vers les parties creuses de la Terre
. Ils ont puisé leur matériel de recherche à de nombreuses sources, les méthodes scientifiques,
entre autres, ont été
utilisées, depuis l'imagerie des satellites
jusqu'aux relevés sismographiques
. Mais auparavant, les "Chercheurs de Terre Creuse"
cherchaient les informations dans les légendes et le folklore
ainsi que dans les rapports des expéditions polaires.
Par exemple, le Bhagavat Purana raconte l'histoire des fils du Maharaja Sagara
que leur père envoya de par le monde
à la recherche du cheval sacrificiel qui avait été volé par Indra.
A un certain moment, les fils de Sagara partirent de l'Inde vers le nord-est,
pénétrèrent dans la Terre et trouvèrent le cheval à l'ermitage
de Kapila Rishi (ils ne se montrèrent guère amènes à l'égard des Rishis).
D'autres Puranas offrent davantage de détails.
Ils relatent que les Sagaras vinrent à un océan du nord, le traversèrent,
et qu'ensuite ils pénétrèrent dans les entrailles de la Terre.
Il y a des croyances bouddhiques traditionnelles
à propos de la cité de Shambhala et du royaume de l'Agartha,
au sein duquel elle se trouve. En l'occurrence, certains
entretiens que l'érudit Nicholas Roerich eut avec des lamas et d'autres tibétains,
tandis qu'il voyageait avec sa femme dans
cette région vers 1920, ont été consignés dans divers livres,
à commencer par ceux de Roerich lui-même, entre autres
Altai-Himalaya (1929) et Shambhala (1930). (Son œuvre artistique est toujours
exposée au Musée Nicholas Roerich au 319 West 107th Street à New York City).
Roerich écrit :
"Je me souviens que, tandis que nous franchissions la passe de Karakorum, mon saïs,
le Ladaki, me demanda : savez-vous pourquoi il y a là-bas une haute terre si particulière ?
Savez-vous que, dans des cavités souterraines de nombreux trésors
sont cachés et qu'il y vit une tribu merveilleuse qui exècre les péchés du monde ? Et en effet, en approchant de Khotan
, les sabots de nos chevaux firent résonner le sol, comme si nous chevauchions sur des cavités
. Les gens de notre caravane attirèrent notre attention sur ce phénomène...
Quand nous vîmes des entrées de cavernes, nos caravaniers dirent : des gens vivaient ici,
il y a longtemps; maintenant ils sont à l'intérieur ; ils ont trouvé un passage souterrain vers ce royaume souterrain."
Voici les passages les plus importants (tirés de Shambhala, la resplendissante,
Nicholas Roerich) d'une conversation que Roerich eut en 1928 avec un lama tibétain.
"Roerich : Lama, parle moi de Shambhala.
Lama : Mais vous, les occidentaux, vous ne savez rien de Shambhala, vous ne cherchez pas à savoir.
Sans doute vos questions sont-elles inspirées par la curiosité, et vous évoquez ce nom sacré en vain."
Après que Roerich l'eut un peu amadoué, le lama le considéra et poursuivit :
"L : La Grande Shambhala est bien au-delà de l'océan. C'est le puissant domaine céleste.
Cela n'a rien à voir avec notre Terre. Pourquoi et comment se fait-il que vous et votre peuple s'y intéressent ?
Seulement dans certains endroits, loin au nord, peut-on voir les rayons
resplendissants de Shambhala... Les secrets de Shambhala sont bien gardés.
R : Lama, nous connaissons la grandeur de Shambhala. Nous sommes conscients
de la réalité de ce royaume indescriptible. Mais nous connaissons aussi l'existence
de la Shambhala terrestre. Nous savons que de grands lamas ont visité Shambhala..
. Nous connaissons l'histoire du Lama Buryat, comment il fut conduit par un passage secret très étroit..
. Alors ne me parlez pas seulement de la Shambhala céleste, mais aussi de la terrestre...
parce que je sais qu'il y en a une vraie sur Terre aussi... Lama, comment se fait-il
que la Shambhala terrestre n'ait pas encore été découverte
par des voyageurs ? Les cartes nous montrent tant de chemins d'expéditions
. Il semble bien que tous les sommets aient été marqués et toutes les vallées et rivières explorées.
L : ..Mais jusqu'ici ces gens n'ont pas tout trouvé, alors, qu'un homme essaye d'atteindre Shambhala
saris y avoir été appelé ! Vous avez entendu parler des torrents empoisonnés
qui entourent les hauts plateaux. Peut-être avez-vous vu des gens mourir à cause des gaz lorsqu'ils s'en approchent
... Beaucoup de gens essayent d'aller à Shambhala
sans invitation. Certains ont disparu à tout jamais. Quelques rares parmi eux atteignent
Plus récemment, Jan Lamprecht aborda ce sujet dans son livre Hollow Planete
[Les Planètes Creuses] (1998). Un lama et docteur tibétain, enseignant de renom
en bouddhisme Vajrayana, donna des conférences à San Jose,
Californie, et fit référence à l'Agartha. Il porte le titre de : Sa Sainteté Orgyen Kusum Lingpa,
ce qui laisse présumer qu'il appartient à une certaine lignée et qu'il détient
d'anciennes informations sur le sujet. Lamprecht écrit :
Au cours de ses conférences à San Jose, ce lama déclara que 1'Agartha pouvait être atteinte
depuis l'Inde en volant vers le nord pendant sept jours. Je présume que
le lama entendait par là : la vitesse du vol d'un oiseau.
Dans ce cas, en sept jours à la vitesse moyenne d'un oiseau,
vers le nord à partir de l'Inde on atteint facilement l'Arctique.
Le lama de Roerich affirmait que Shambhala se situait dans le lointain nord.
Serait-ce une référence à l'océan arctique
http://www.marioduguay.com/
http://etoiledefeudor.e-monsite.com/rPierre de CHINTAMANI - GRAAL -- GANESH - PIERRE PHILOSOPHALE - VEILLEUR -
par Gilbert Grondin, jeudi 4 août 2011, 10:45
Cintamani (Sanskrit ; Devanagari : le ...) également écrit comme Chintamani (ou pierre de Chintamani) est un bijou souhaiter-accomplissant dans des traditions indoues et bouddhistes, équivalentes à la pierre du philosophe en alchimie occidentale. Dans le bouddhisme il est tenu par les bodhisattvas, l'Avalokiteshvara et le Ksitigarbha. On le voit également porté sur le dos du poumon ta (cheval de vent) qui est dépeint sur les drapeaux tibétains de prière. En exposant le Dharani de Cintamani, la tradition bouddhiste maintient qu'on atteint la sagesse de Bouddha, capable comprendre la vérité du Bouddha, et transforme des afflictions en Bodhi. On dit que permet à on de voir le Retinue saint d'Amitabha et d'assemblée sur le lit de mort à un. Dans la tradition bouddhiste tibétaine le Chintamani est parfois dépeint comme une perle lumineuse et est dans la possession de plusieurs de différentes formes du Bouddha. Dans l'hindouisme il est relié aux dieux, au Vishnu et au Ganesha. Dans la tradition indoue il est souvent dépeint comme bijou fabuleux dans la possession du roi de Naga ou comme sur le front du Makara. Le yoga Vasistha, à l'origine écrit dans la 10ème ANNONCE de siècle, contient une histoire au sujet du cintamani. Dans le bouddhisme le Cintamani serait une de quatre reliques qui sont venues dans un coffre qui est tombé du ciel (beaucoup de le terma est tombé du ciel dans des cercueils) pendant le règne du Roi Lha Thothori Nyantsen du Thibet. Bien que le roi n'ait pas compris le but des objets, il les maintenait toujours dans une position de vénération. Plusieurs ans après, deux étrangers mystérieux sont apparus à la cour du roi, expliquant les quatre reliques, qui ont inclus la cuvette du Bouddha (probablement une cuvette de chant) et un Charmstone (bijou, cristal ou gemme) avec l'incantation de fredonnement d'Om Mani Padme inscrite là-dessus, connues sous le nom de pierre de mani. Ces quelques objets étaient les bringers du Dharma au Thibet. Illustration : 14ème peinture de Goryeo de siècle de Ksitigarbha tenant un cintamani.
Cintamani (Sanskrit; Devanagari: …) also written like Chintamani (or hones of Chintamani) is a jewel wish-achieving in Hindu and Buddhist traditions, equivalent to the stone of the philosopher in Western alchemy. In Buddhism it is held by the bodhisattvas, Avalokiteshvara and Ksitigarbha. One also sees it carried on the back of the lung your (horse of wind) which east depicts on the flags Tibetans of prayer. By exposing Dharani de Cintamani, the Buddhist tradition maintains that one reaches the wisdom of Buddha, able to include/understand the truth of the Buddha, and transforms afflictions into Bodhi. It is said that allows one to see holy Retinue of Amitabha and assembly on the bed of died in one. In the Buddhist tradition Tibetan Chintamani is sometimes depicts like a luminous pearl and is in the possession of several of various forms of the Buddha. In the hindouism it is connected to the gods, to Vishnu and Ganesha. In the Hindu tradition it is often depicts like fabulous jewel in the possession of king de Naga or as on the face of Makara. Vasistha yoga, in the beginning writes in the 10th ADVERTISEMENT of century, contains a history about the cintamani. In Buddhism Cintamani would be one of four relics which came in a trunk which fell from the sky (much the terma fell from the sky in coffins) during the reign of King Lha Thothori Nyantsen of Thibet. Although the king did not include/understand the goal of the objects, it always maintained them in a position of veneration. Several years after, two mysterious foreigners appeared at the court of the king, explaining the four relics, which included the basin of the Buddha (probably a basin of song) and Charmstone (jewel, crystal or gem) with the incantation of fredonnement of Om Mani Padme registered on top, known under the name of stone of mani. These some objects were the bringers of Dharma in Thibet. Illustration: the 14th painting of Goryeo of century of Ksitigarbha holding a cintamani.
La pierre de Chintamani ou Norbu Rinpoch
Au Tibet, il est tenu communément que sous le règne du roi Tho-tho-ri Nyan-tsan, en 331 de notre ère, un coffre tomba des cieux qui renfermait quatre objets sacrés parmi lesquels se trouvait la pierre de Chintamani (en sanscrit) ou Norbu Rinpoch (en tibétain).
D'après le professeur Roerich,
cette pierre a été apporté par un voyageur extra terrestre et provenait d'un autre monde (constellation d'Orion).
La "chaleur interne" ou radiation de la pierre Chintamani
est décrite comme
"plus forte que le radium",
mais d'une fréquence totalement différente due à sa grande sensibilité aux vibrations mentales. D'anciennes chroniques d'Asie prétendent que
le divin messager des cieux donna un fragment de la pierre à l'empereur de l'Atlantide,
Tazlavou (Saint Hilaire J. (Roerich H.), On Eastern Crossroads, New York, 1930).
Depuis les temps les plus anciens,
mais
Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont}
L'ordre du Temple fut fondé en 1118. En 1184, le troubadour et chevalier du Temple Wolfram Von Eschenbach écrivit son Titurel dans lequel il condensa toutes les légendes du Graal. Il sous-entendait qu'une relation existait entre le Graal et l'Asie et le décrivait comme
une pierre (und dieser Stein ist Gral gennant : et cette pierre est nommée Graal).
In Tibet, it is held commonly that under the reign of Tho-tho-laughed king Nyan-tsan, into 331 of our era, a trunk fell from the skies which contained four crowned objects among which the stone of Chintamani (in Sanskrit) or Norbu Rinpoch was (in Tibetan).According to professor Roerich, this stone was brought by a terrestrial extra traveller and came from another world (constellation of Orion). “Internal heat” or radiation of the Chintamani stone is described like “stronger than radium”, but of a completely different frequency due to its great sensitivity to the mental vibrations. Old chronicles of Asia claim that the divine messenger of the skies gave a fragment of the stone to the emperor of Atlantis, Tazlavou (Holy Hilaire J. (Roerich H.), One Eastern Crossroads, New York, 1930).Since the oldest times, but Livre, Shambhala, oasis of light, Andrew Divided into volumes, ED. Robert Laffont} the order of the Temple was founded in 1118. In 1184, the troubadour and knight of the Temple Wolfram Von Eschenbach wrote his Titurel in which it condensed all the legends of Graal. It implied that a relation existed between Graal and Asia and described it like a stone (und dieser Stein STI awkward Gral: and this stone is named Graal).
Parlait-il de Shambhala et de la pierre Chintamani ? Le troubadour médiéval assurait que Titurel avait vécu 500 ans. Etrange parallèle avec l'existence du Prêtre Jean qui dura 562 ans."
{Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont}
"La Pierre philosophale rosicrucienne paraît une réplique de la Pierre Chintamani et les méthodes de rajeunissement rappellent des techniques similaires employées dans le Royaume du Prêtre Jean." {Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont}
Le Graal est le vase de la Connaissance spirituelle et de la transformation intérieure.
{Livre, Jules Vernes et Arsène Lupin Tome II, Alexandra Schreyer}
- Saint Graal
- San Graal ou San Greal
Sang raal ou Sang real
{Livre, Enigme sacrée (L'), Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln}
Le Graal est associé également à Excalibur.
Selon la Tradition, Excalibur, l'épée du roi, aurait eu un cristal enchâssé dans sa garde (semblable au poignard de force, agrandi).
{Livre, Pouvoir des cristaux (Le), Michael G. Smith, Ed. J'Ai Lu}
Les Cathares, les Templiers,
et les Rosicruciens ont essayé de préserver la lignée du Saint Graal mais en vain.
Dans le Parzival, écrit par Wolfram von Eschenbasch entre 1195 et 1240, est décrit comme une pierre :
{Livre, Mystère de l'arche perdue (Le), Graham Hancock, Ed. J'Ai Lu}
Et si le Graal ne contenait pas le sang physique du Christ mais la force psychique du Christ ?
Le Graal pouvait fort bien être
une
en plasma de verre, ou bien une coupe taillée, à l'image de la Coupe céleste, dans une pierre de cette nature, ce qui expliquerait fort bien qu'on l'ait pris pour une émeraude.
Le Graal était une coupe taillée dans une pierre. Il avait la forme et la taille d'une grosse orange coupée en deux et ne comportait à l'origine aucun ornement.
{Livre, Secret des Cathares (Le), Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu}
Don Quichotte, est un livre à clef qui, sous le voile d'un roman picaresque, traite des pérégrinations du Graal. Alonso Quijaro a servi de modèle à Cervantès pour son personnage Don Quichotte.
venait d'Asie"."La
Dans les premiers siècles de notre ère, le Graal se trouvait à Rome, puis ensuite, en Aragon (selon les uns le pape Sixte II le donna au IIIème siècle à Saint Laurent qui était originaire de Huesca, selon les autres, ce furent les rois Wisigoths qui le prirent et l'apportèrent, au Vème siècle.
Le Graal, enfermé dans une arche d'ivoire qui le dérobait aux regards du public, resta à San Juan de la Pena de 713 à 1134. Il fit transporter sur le versant nord des Pyrénées. Il ne reparait à San Juan de la Pena qu'après la croisade contre les cathares.
Le Graal véritable a transité de la grotte de Montesinos et dans l'île fluviale de Barataria, deux endroits que mentionne Cervantès dans son Don Quichotte.
{Livre, Secret des Cathares (Le),
Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu, Récit de Rochito Pacheco à Henri Collet, en 1929}
Selon la légende, c'est dans une émeraude tombée du front de Lucifer que fut taillée la coupe du Graal qui servit à Joseph d'Arimathie pour recueillir le sang du Christ.
Lucifer,
celui qui porte la lumière,
"étoile tombée en terre",
se trouve ainsi étroitement lié à l'émeraude.
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 57, 01/1985, Symbolisme et pouvoir des pierres précieuses, Eric Sable}
D'après les Nosairis (habitant le Djebel Ansarieh (ou monts Alawites), les Nosairis sont appelés Alawites depuis l'occupation française) le Graal "est un symbole et il représente la doctrine que Jésus n'enseigna qu'à Jean le disciple bien-aimé."
{Livre, Rex Deus, Marilyn Hopkins, Graham Simmans,Tim Wallace Murphy, Ed. du Rocher}
LE TRAVAIL AVEC LA PIERRE DE CHINTAMANI
A L' ILE DE LA REUNION - à ST ANDRE - EST SUPERVISE PAR NOTRE VEILLEUR :
de petits éclats sont parfois remis de par le monde
comme lorsqu'un nouveau
CENTRE de civilisation
doive être Fondé
LA PIERRE DE CHINTAMANI
ET LA CITÉ DES HUIT IMMORTELS
Cela semble être un trapézoèdre de pierre noire ou de
minerai, avec des stries luisantes. Toutefois, c'est plus qu'une pierre,
ou moins que cela. Les scientifiques ne
pourraient l'étudier à fond parce que cela n'existe que
partiellement dans les concepts humains de matière et d'espace.
Plus qu'un artéfact, la Pierre de Chintamani est la
clef de portes qui furent fermées dans la nuit des temps.
Un morceau de la pierre était conservé dans un monastère au Tibet,
un autre morceau au Musée d'Histoire Naturelle
de la ville de New York et le troisième dans la cité de l'Agartha.
Une vieille légende sud-américaine raconte que le dieu Tvira
construisit un temple sur une île du lac Titicaca afin d'y
abriter trois pierres sacrées nommées Kala.
Trois pierres noires étaient semblablement vénérées
par les Musulmans dans la Kaaba
de la grande mosquée de la Mecque. Il y a plusieurs traditions concernant
ces pierres, mais toutes s'accordent quant à leur origine céleste.
Les Musulmans prétendent qu'à l'origine les pierres étaient blanches,
mais qu'elles ont noirci sous l'effet de pensées négatives ou mauvaises.
En Hongrie, près du village de Stregoicavar, il y avait un monolithe que les occultistes
du XIXème siècle considéraient comme étant une des clefs.
Le monolithe était à l'origine de beaucoup de superstitions,
en particulier la croyance que quiconque dormirait dans son voisinage serait
pour le reste de ses jours hanté par des cauchemars d'un autre monde.
La Pierre de Chintamani est mentionnée dans de nombreux textes comme étant
"le trapézoèdre lumineux". Un savant arabe connu sous le nom de Abdul Al-Hazred
y fait référence dans son manuscrit Kitab Al-Azif, du XVIIIème siècle.
Von Junzt y fait allusion dans son Unaussprechlichen.Kulten
, ainsi que les écrits Ponape et le De Vermiis Mysteriis de Prinn.
La référence la plus récente à ces pierres date des années 1920
et donne des indications quant aux raisons qui les ont assimilées à des "clefs".
Dans les croyances bouddhiques et taoïstes, existe une tradition
des "huit immortels" : huit maîtres qui résident
sous une montagne à la frontière de la Chine et du Tibet.
La cité, connue dans certaines légendes sous le
nom d'Agartha et de Hsi Wang Mu dans d'autres, est peut-être
souterraine et l'on dit souvent qu'elle se trouve non loin de Lhasa.
Il y a eu plusieurs rapports, plus ou moins douteux, d'explorations
de tunnels conduisant à cette cité, mais le plus convaincant est celui
de l'artiste mystique russe Nicholas Roerich (1874-1947).
Alors qu'il voyageait en Asie, durant la première décennie
du XXème siècle, il entendit parler des huit immortels
et de leur demeure dans la montagne. Un guide indigène lui parla
d'une immense caverne, dans la chaîne des monts Kunlun,
où des trésors auraient été cachés depuis l'aube de
l'histoire et où vivrait un peuple étrange d'hommes gris.
Dans les années 1920, l'Abbé supérieur de la lamaserie de Trasilumpo confia à Roerich
un fragment de pierre magique issue d'un autre inonde : la Pierre Chintamani,
réputée provenir de la région de Sirius.
Un texte asiatique ancien dit que "lorsque le fils du Soleil descendit sur
Terre pour enseigner à l'humanité, du ciel tomba un bouclier qui portait la puissance du monde".
Helena, la femme de Roerich, écrivit que la pierre possédait un lustre sombre,
comme un cœur noir, et portait quatre lettres inconnues. Roerich identifia
les lettres comme étant du sanscrit et les traduisit ainsi : "
Je viens de parmi les étoiles. J'apporte le calice couvert du bouclier. Dessous,
j'apporte un trésor, le don d'Orion." La pierre irradiait plus fort que le radium, mais à une autre fréquence.
Les légendes asiatiques rapportent que cette radiation s'étend sur de grandes
distances et influence les événements mondiaux, et que la masse principale
de cette pierre est conservée dans une tour de la cité du Fils des Etoiles.
Roerich déclara qu'au cours de son voyage au Tibet il aperçut un disque volant
(il utilisa ce terme vingt ans avant qu'il n'entra dans le vocabulaire courant).
Son guide lui dit que cet engin venait de l'Agartha.
Selon la théorie de Roerich cette pierre serait chargée de shugs,
courants de force psychique. Il présumait qu'elle
fonctionnait comme un accumulateur électrique capable,
en quelque sorte, de restituer l'énergie qui s'y trouve emmagasinée.
Par exemple, elle augmenterait la vitalité
spirituelle de celui qui la touche, lui conférant des connaissances
ou exaltant ses capacités psychiques lui permettant
d'apercevoir l'Agartha, la vallée des Huit Immortels.
Selon Balam, la pierre est la clef de tous les futurs
et de la destinée de chacun. C'est un lieu de
puissance, un vortex quantique non technologique. Source
www.jamesaxler.com/dlwsg/ chintamani_stone.htm
ROERICH À LA RECHERCHE DE SHAMBHALLA
Les adeptes de la théorie de la Terre Creuse ont consacré beaucoup d'énergie
à tenter de repérer les entrées polaires, particulièrement la boréale,
vers les parties creuses de la Terre
. Ils ont puisé leur matériel de recherche à de nombreuses sources, les méthodes scientifiques,
entre autres, ont été
utilisées, depuis l'imagerie des satellites
jusqu'aux relevés sismographiques
. Mais auparavant, les "Chercheurs de Terre Creuse"
cherchaient les informations dans les légendes et le folklore
ainsi que dans les rapports des expéditions polaires.
Par exemple, le Bhagavat Purana raconte l'histoire des fils du Maharaja Sagara
que leur père envoya de par le monde
à la recherche du cheval sacrificiel qui avait été volé par Indra.
A un certain moment, les fils de Sagara partirent de l'Inde vers le nord-est,
pénétrèrent dans la Terre et trouvèrent le cheval à l'ermitage
de Kapila Rishi (ils ne se montrèrent guère amènes à l'égard des Rishis).
D'autres Puranas offrent davantage de détails.
Ils relatent que les Sagaras vinrent à un océan du nord, le traversèrent,
et qu'ensuite ils pénétrèrent dans les entrailles de la Terre.
Il y a des croyances bouddhiques traditionnelles
à propos de la cité de Shambhala et du royaume de l'Agartha,
au sein duquel elle se trouve. En l'occurrence, certains
entretiens que l'érudit Nicholas Roerich eut avec des lamas et d'autres tibétains,
tandis qu'il voyageait avec sa femme dans
cette région vers 1920, ont été consignés dans divers livres,
à commencer par ceux de Roerich lui-même, entre autres
Altai-Himalaya (1929) et Shambhala (1930). (Son œuvre artistique est toujours
exposée au Musée Nicholas Roerich au 319 West 107th Street à New York City).
Roerich écrit :
"Je me souviens que, tandis que nous franchissions la passe de Karakorum, mon saïs,
le Ladaki, me demanda : savez-vous pourquoi il y a là-bas une haute terre si particulière ?
Savez-vous que, dans des cavités souterraines de nombreux trésors
sont cachés et qu'il y vit une tribu merveilleuse qui exècre les péchés du monde ? Et en effet, en approchant de Khotan
, les sabots de nos chevaux firent résonner le sol, comme si nous chevauchions sur des cavités
. Les gens de notre caravane attirèrent notre attention sur ce phénomène...
Quand nous vîmes des entrées de cavernes, nos caravaniers dirent : des gens vivaient ici,
il y a longtemps; maintenant ils sont à l'intérieur ; ils ont trouvé un passage souterrain vers ce royaume souterrain."
Voici les passages les plus importants (tirés de Shambhala, la resplendissante,
Nicholas Roerich) d'une conversation que Roerich eut en 1928 avec un lama tibétain.
"Roerich : Lama, parle moi de Shambhala.
Lama : Mais vous, les occidentaux, vous ne savez rien de Shambhala, vous ne cherchez pas à savoir.
Sans doute vos questions sont-elles inspirées par la curiosité, et vous évoquez ce nom sacré en vain."
Après que Roerich l'eut un peu amadoué, le lama le considéra et poursuivit :
"L : La Grande Shambhala est bien au-delà de l'océan. C'est le puissant domaine céleste.
Cela n'a rien à voir avec notre Terre. Pourquoi et comment se fait-il que vous et votre peuple s'y intéressent ?
Seulement dans certains endroits, loin au nord, peut-on voir les rayons
resplendissants de Shambhala... Les secrets de Shambhala sont bien gardés.
R : Lama, nous connaissons la grandeur de Shambhala. Nous sommes conscients
de la réalité de ce royaume indescriptible. Mais nous connaissons aussi l'existence
de la Shambhala terrestre. Nous savons que de grands lamas ont visité Shambhala..
. Nous connaissons l'histoire du Lama Buryat, comment il fut conduit par un passage secret très étroit..
. Alors ne me parlez pas seulement de la Shambhala céleste, mais aussi de la terrestre...
parce que je sais qu'il y en a une vraie sur Terre aussi... Lama, comment se fait-il
que la Shambhala terrestre n'ait pas encore été découverte
par des voyageurs ? Les cartes nous montrent tant de chemins d'expéditions
. Il semble bien que tous les sommets aient été marqués et toutes les vallées et rivières explorées.
L : ..Mais jusqu'ici ces gens n'ont pas tout trouvé, alors, qu'un homme essaye d'atteindre Shambhala
saris y avoir été appelé ! Vous avez entendu parler des torrents empoisonnés
qui entourent les hauts plateaux. Peut-être avez-vous vu des gens mourir à cause des gaz lorsqu'ils s'en approchent
... Beaucoup de gens essayent d'aller à Shambhala
sans invitation. Certains ont disparu à tout jamais. Quelques rares parmi eux atteignent
Plus récemment, Jan Lamprecht aborda ce sujet dans son livre Hollow Planete
[Les Planètes Creuses] (1998). Un lama et docteur tibétain, enseignant de renom
en bouddhisme Vajrayana, donna des conférences à San Jose,
Californie, et fit référence à l'Agartha. Il porte le titre de : Sa Sainteté Orgyen Kusum Lingpa,
ce qui laisse présumer qu'il appartient à une certaine lignée et qu'il détient
d'anciennes informations sur le sujet. Lamprecht écrit :
Au cours de ses conférences à San Jose, ce lama déclara que 1'Agartha pouvait être atteinte
depuis l'Inde en volant vers le nord pendant sept jours. Je présume que
le lama entendait par là : la vitesse du vol d'un oiseau.
Dans ce cas, en sept jours à la vitesse moyenne d'un oiseau,
vers le nord à partir de l'Inde on atteint facilement l'Arctique.
Le lama de Roerich affirmait que Shambhala se situait dans le lointain nord.
Serait-ce une référence à l'océan arctique
http://www.marioduguay.com/
http://etoiledefeudor.e-monsite.com/rPierre de CHINTAMANI - GRAAL -- GANESH - PIERRE PHILOSOPHALE - VEILLEUR -
par Gilbert Grondin, jeudi 4 août 2011, 10:45
Cintamani (Sanskrit ; Devanagari : le ...) également écrit comme Chintamani (ou pierre de Chintamani) est un bijou souhaiter-accomplissant dans des traditions indoues et bouddhistes, équivalentes à la pierre du philosophe en alchimie occidentale. Dans le bouddhisme il est tenu par les bodhisattvas, l'Avalokiteshvara et le Ksitigarbha. On le voit également porté sur le dos du poumon ta (cheval de vent) qui est dépeint sur les drapeaux tibétains de prière. En exposant le Dharani de Cintamani, la tradition bouddhiste maintient qu'on atteint la sagesse de Bouddha, capable comprendre la vérité du Bouddha, et transforme des afflictions en Bodhi. On dit que permet à on de voir le Retinue saint d'Amitabha et d'assemblée sur le lit de mort à un. Dans la tradition bouddhiste tibétaine le Chintamani est parfois dépeint comme une perle lumineuse et est dans la possession de plusieurs de différentes formes du Bouddha. Dans l'hindouisme il est relié aux dieux, au Vishnu et au Ganesha. Dans la tradition indoue il est souvent dépeint comme bijou fabuleux dans la possession du roi de Naga ou comme sur le front du Makara. Le yoga Vasistha, à l'origine écrit dans la 10ème ANNONCE de siècle, contient une histoire au sujet du cintamani. Dans le bouddhisme le Cintamani serait une de quatre reliques qui sont venues dans un coffre qui est tombé du ciel (beaucoup de le terma est tombé du ciel dans des cercueils) pendant le règne du Roi Lha Thothori Nyantsen du Thibet. Bien que le roi n'ait pas compris le but des objets, il les maintenait toujours dans une position de vénération. Plusieurs ans après, deux étrangers mystérieux sont apparus à la cour du roi, expliquant les quatre reliques, qui ont inclus la cuvette du Bouddha (probablement une cuvette de chant) et un Charmstone (bijou, cristal ou gemme) avec l'incantation de fredonnement d'Om Mani Padme inscrite là-dessus, connues sous le nom de pierre de mani. Ces quelques objets étaient les bringers du Dharma au Thibet. Illustration : 14ème peinture de Goryeo de siècle de Ksitigarbha tenant un cintamani.
Cintamani (Sanskrit; Devanagari: …) also written like Chintamani (or hones of Chintamani) is a jewel wish-achieving in Hindu and Buddhist traditions, equivalent to the stone of the philosopher in Western alchemy. In Buddhism it is held by the bodhisattvas, Avalokiteshvara and Ksitigarbha. One also sees it carried on the back of the lung your (horse of wind) which east depicts on the flags Tibetans of prayer. By exposing Dharani de Cintamani, the Buddhist tradition maintains that one reaches the wisdom of Buddha, able to include/understand the truth of the Buddha, and transforms afflictions into Bodhi. It is said that allows one to see holy Retinue of Amitabha and assembly on the bed of died in one. In the Buddhist tradition Tibetan Chintamani is sometimes depicts like a luminous pearl and is in the possession of several of various forms of the Buddha. In the hindouism it is connected to the gods, to Vishnu and Ganesha. In the Hindu tradition it is often depicts like fabulous jewel in the possession of king de Naga or as on the face of Makara. Vasistha yoga, in the beginning writes in the 10th ADVERTISEMENT of century, contains a history about the cintamani. In Buddhism Cintamani would be one of four relics which came in a trunk which fell from the sky (much the terma fell from the sky in coffins) during the reign of King Lha Thothori Nyantsen of Thibet. Although the king did not include/understand the goal of the objects, it always maintained them in a position of veneration. Several years after, two mysterious foreigners appeared at the court of the king, explaining the four relics, which included the basin of the Buddha (probably a basin of song) and Charmstone (jewel, crystal or gem) with the incantation of fredonnement of Om Mani Padme registered on top, known under the name of stone of mani. These some objects were the bringers of Dharma in Thibet. Illustration: the 14th painting of Goryeo of century of Ksitigarbha holding a cintamani.
La pierre de Chintamani ou Norbu Rinpoch
Au Tibet, il est tenu communément que sous le règne du roi Tho-tho-ri Nyan-tsan, en 331 de notre ère, un coffre tomba des cieux qui renfermait quatre objets sacrés parmi lesquels se trouvait la pierre de Chintamani (en sanscrit) ou Norbu Rinpoch (en tibétain).
D'après le professeur Roerich,
cette pierre a été apporté par un voyageur extra terrestre et provenait d'un autre monde (constellation d'Orion).
La "chaleur interne" ou radiation de la pierre Chintamani
est décrite comme
"plus forte que le radium",
mais d'une fréquence totalement différente due à sa grande sensibilité aux vibrations mentales. D'anciennes chroniques d'Asie prétendent que
le divin messager des cieux donna un fragment de la pierre à l'empereur de l'Atlantide,
Tazlavou (Saint Hilaire J. (Roerich H.), On Eastern Crossroads, New York, 1930).
Depuis les temps les plus anciens,
mais
Livre, Shambhala, oasis de lumière, Andrew Tomas, Ed. Robert Laffont}
L'ordre du Temple fut fondé en 1118. En 1184, le troubadour et chevalier du Temple Wolfram Von Eschenbach écrivit son Titurel dans lequel il condensa toutes les légendes du Graal. Il sous-entendait qu'une relation existait entre le Graal et l'Asie et le décrivait comme
une pierre (und dieser Stein ist Gral gennant : et cette pierre est nommée Graal).
In Tibet, it
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